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Des courtes & des brèves

Perceval_aelis
Citation:
Karradoc sait plenké !!! Jarive pa ah leu trouvez, leu lache !!!!! Jeu rantre ah Cambrai
Geai se perd queue tu va mieu

Grau poutou baveu,

Minah

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Perceval_aelis
Glissé de traviole entre deux branches de sapin, bien en vue pour celle qui s'assiéra là.

Citation:
Pas de visite. Pas de voyage. Pas de sommeil.
Contrarié.


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Réponse formulée, glissée sous sa porte en passant.

Citation:
Navrée. J'aurai aimé savoir ce qu'il en était.
Si la proposition tient toujours, je prends une option pour ce soir.


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Mot déchiré à l'arrache et posé sur le fauteuil qu'elle a coutume d'occuper.

Citation:
J'ai en partie la suite ! Floue, n'aide pas beaucoup, mais vous l'entendrez.
Vos habitudes sont longues à prendre : je m'imposerai vous aiderai encore cette nuit


donne ainsi un accent de générosité

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Un petit vas-y-dire vient le débusquer pour lui remettre un petit mot à l'écriture familière.

Citation:
J'ai à nouveau les veines glacées, pas de taverne ce soir. Vous connaissez le chemin, l'huis y sera déclos.

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Perceval_aelis
Maladresse senestre teinte délicatement l'écriture de l'Apidae, elle n'est point encore tout à fait domestiquée cette main-là, les déliés ont l'irrégularités touchantes des jeunes élèves qui peinent à apprivoiser les lettres.
Deux missives pour le sud, l'une à la rédaction d'une simplicité contrariée, l'autre d'un épanchement un peu plus confus.



Citation:
Nicolas,

La Saint Noël appelle un courrier à échanger, rappelez-vous. Vous excuserez mon atermoiement et espère néanmoins que colis vous aura trouvé en bonne date.

Soyez remercié de vos bontés à mon égard, bénignités qui semblent plus affables que les miennes à votre personne.
Vos soins sont prodiges, la douleur s'est atténuée jusqu'à presque disparaître, et pendant mon court séjour en Paris, votre escorte est venue livrer ma médecine, que j'ai prise, conformément aux recommandations faites. Elle ne m'a coûté que 10 écus par essence, je crains qu'il n'y ait erreur, les essences sont bien plus coûteuses, Pierre ne se serait-il point trompé en les prix ?

Vous me manquez. Toujours, tout le temps.
Tel l'été à la Fleur, tel la Fleur à l'Abeille.

Dieu garde. Toujours.

P.


Pli plus tardif que prévu, hésitant, et adjoint à la lettre, un petit pot refermant du miel.

Citation:
Alphonse,

Il paraît que je réfléchis trop, on vient de me le dire, alors que je recommençais pour une énième fois ce courrier. C'est que décembre ne m'est propice à aucune joie, je m'y plonge en un hivernage studieux, et délaisse les plaisirs (domaine où je n’excelle jà guère) pour une sombre malencolie.
Décembre m'a ravi ma mère et avec, une partie de mon âme. Sept années que décembre imprime la douleur vive de l'absence, sept années où mon père ne fête plus mes anniversaires, sept années où finalement, mes tentatives d'être à la hauteur de ce qu'elle était, sont purement vouées à l'échec.
Je me suis toujours sentie comme une ombre derrière elle.

Alors, même si je ne suis guère friande de cette époque festive, ni des traditions qui s'y rapportent, recevez ceci, courrier et attention, non pas pour la Noël, mais pour exprimer ma sincère gratitude (poignet est presque remis et sans votre intervention, j'aurai attendu de trop) et renouveler voeu d'affection à votre égard.

Miel provient de mes ruches, miel de cet été, principalement de tilleuls et de trèfles blancs pour ce dernier. Doux assez, en note mentholée, on le dit excellent pour les insomnies, apparemment guère pour les miennes. J'en ai d'autres dont les ruches sont sises en forêt, plus corsés, je vous en enverrai un jour prochain, un pot, quand est-ce votre anniversaire ?

Pourriez-vous si vous en avez la possibilité, le temps, de me mettre par écrit votre conte sur les nombrils, il ne cesse de m'intriguer.
Se peut-il que l'on puisse aimer plusieurs personnes de manières distinctes et d'avoir pour eux des attentes, des affections différentes ?

Voyez, je n'ai point trop réfléchis, laissé les mots s'écouler sans trop y penser, j'espère que vous arriverez à vous y retrouver, si je tente de me relire, il est fort probable que courrier finisse en bonne flambée.
J'ai écrit dernièrement à Nicolas, un courrier bref, en lignes frêles, comme si la fluidité de nos premiers courriers s'était étiolée après ma dernière visite en Périgord, je n'ai pu me résoudre à lui confier certains de mes maux, ni tout un tas d'autres stupidités qui m'embrouillent, me troublent, me fanent. Je ne veux pas l'inquiéter plus, ni lui provoquer chagrin inutile et encore moins l'ennuyer, il semble porter jà, à bout de bras la misère incommensurable du monde, lui qui a l'âme si tendre, si douce que je crains par un mot, une attitude, blesser un angle de sa sensibilité.

Me voilà ridicule à vous conter mes insignifiances, veuillez me le pardonner, j'essaie de remettre de l'ordre dans mes idées, dans ma vie, dans l'état de mes sentiments.
Je vous laisse mes pensées confuses, comme elles me sont parvenues et dans l'attente de retrouvailles, un jour, cela est certain, vous espère en bonne santé.

Dieu garde. Toujours.

Abeille

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Perceval_aelis
Citation:
Paraît que ça se souhaite.
Alors Bonne Saint Noël!

H



Citation:
Paraît.
Je ne la fête plus, depuis que mère n'est plus.

P.

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Perceval_aelis
~ Mots-mots-motus ~



Elle glisse un papier plié dans la botte du dormeur/ronfleur avant de se faufiler dans l'obscurité matinale.
Mot bref.


Citation:
Il n'y a qu'avec vous que le froid me laisse répit.
J'ai un peu mieux dormi.


---

Citation:
Un mauvais rêve et constat : vous, vous dormiez.
L'autre ne revient pas : il faudra y aller.


Comme un sagouin, les mots ont été gribouillés sur une page ouverte d'un des bouquins de grec ou d'arabe, à la marge.

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*Propre et plié, envoyé par un petit vas-y dire.

Citation:
Sanguienne ! N'écrivez plus sur mes livres !
Néanmoins vous me raconterez ?
Nous irons si tel est votre souhait.



*Livré en main propre, soigneusement plié.

Citation:
Venez !
Qu'importe l'heure.


*Un mot disposé à une place qu'il a l'habitude d'explorer.
Clair pour lui, sibyllin pour les autres.
S'il passe en taverne, mot sera lu, et tiédeur retrouvée, sinon ne restera pour elle, que la froidure des draps.


Citation:
Huis ouvert.

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Perceval_aelis
Citation:
Courrier vôtre fût perdu mais la teneur gardée en mémoire.
Pour vous répondre, projet d'hivernage est de finir les études à minima d'arabe.
C'est long, bien que je progresse vite, dans le même temps, tactique et stratégie militaire, il faut mettre à contribution son temps libre.
Pour mon père, aucune alliance avec le fauve du sud, bien que l'idée fut soulevée, personne en les Bandes Noires ne souhaitent rallier un fruit pourri, qui plus est, sous peu alliance se fera entre Siméon et je, rendant incompatible tout éventuel projet avec le dit fauve.
Où en êtes-vous ? Quels sont vos projets pour les mois à venir, voir si ceux-ci seraient compatibles avec les nôtres.

Dieu garde. Toujours.

P.

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Perceval_aelis
Citation:
Perceval.

Pardonnez le temps de réponse. La Saint Noël ne fut qu'un cauchemard. Un long cauchemard sans fin duquel je crois à peine émerger grâce à mon départ de Périgueux. L'église a brulé d'une main criminelle , d'un acte gratuit, mes enfants de choeur y ont péri, les soeurs aussi, Saint Front ne fut qu'enfer, le Con Fesseur en a pâti, Noel ne fut qu'une longue nuit sans journée.Je n'ai su prendre la plume avant ce jour, hormis pour faire les formalités d'usages des laisser-passers. Je n'ai pas su lire mon courrier non plus, et ce pendant longtemps. J'y ai trouvé ce jour votre présent, et il est sans doute bien plus que je ne le mérite. Mon Dieu m'a abandonné et m'a tout repris, voilà le résultat de tous mes péchés. J'ai quitté l'habit, j'ai pris la route, je veux oublier. Tout oublier. Mais je n'oublie pas votre poignet faible, si je ne suis plus homme de Dieu, je suis néanmoins encore votre Ami.

Dis l'Abeille, dis-moi où est l'été...

L'Aconit.


Deux nuits où le sommeil la fuit, où malgré la présence de son hôte dans les draps tiédis, malgré les longues et harassantes promenades qu'elle s'impose avec Khan, ce courrier tracasse, pique d'angoisse, d'envie de prendre les chemins, le rejoindre mais la sèvre de son besoin de repos.
Arrimée à Cambrai. fatiguée de corps et d'âme, se trace réponse.
Toujours malhabile, l'écriture habille le blanc de son austérité contrariée d'une encre si huguenotement noire.


Citation:
Ils peuvent couper toutes les fleurs, mais ne seront jamais maîtres du printemps.*


Que dire après l’indicible ? Quels mots pourraient mieux guérir que des bras venant accueillir la douleur vive, qu'une main cueillant la joue saline, qu'une épaule sur laquelle appuyer son front.
Aucun. Ils sont vides, creux, et inutiles, comme je, éloignée de vous.
Laissez Dieu en dehors de ces cruelles perfidies humaines, si le fruit est pourri, l'arbre n'est point responsable. Il ne vous punit pas, cessez de vous tourmenter.
Partez, et ne regardez point en arrière, n'ayez aucun regret.
Cherchez la beauté, la bonté, votre coeur y est rompu.

Reverrons-nous un jour ? Cessez-vous aussi l'Ostel-Dieu ? Peux-je vous considérer toujours comme mon médecin ? Ces questions sont dérisoires, je m'en rends compte, mais vous les poser me rassure égoïstement. Veuillez m'en excuser.
Poignet et doigts se rétablissent bien.

L'été est inexorable. Il suit le printemps.
Dis Aconit. Quand refleuriras-tu ? Et je te dirai que l'été sommeillait juste dans ton coeur.


Bien plus qu'une amie, votre Abeille.

P.S. Je vous garderai mon premier miel de printemps, le plus doux, issu des fleurs les plus tendres.



*Pablo Neruda dans la phrase : Nos ennemis peuvent couper toutes les fleurs mais ils ne seront jamais maîtres du printemps.
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Perceval_aelis
Citation:
Minouche !
Point de nouvelles, je suis inquiète !
Reviens. Khan a mâchouillé un bout de pelisse de chats.

Ta Perce-oreille.

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Perceval_aelis
Citation:
Quant à moi, mon projet d'hivernage est l'hibernation.
Je crains bien ne pas réussir à me remotiver.
J'ai pourtant terminé mes études d'Arabe, sans avoir eu encore l'opportunité de les mettre en pratique.
J'étudie mollement à l'université Helvète, d'autres matières à l'utilité plus ou moins prononcée.

J'accrois mes connaissances, dans le silence et l'immobilité.

Azharr.


Citation:
Je n'ose y croire. Vous ? Démotivé ?
Vous auriez pu pousser jusqu'en Artois, au moins, vous m'auriez fait leçon, et le temps m'y paraîtrait moins long. Savez-vous si tournoi s'organise en pays helvètes ?
Si tel est le cas, j'ai le souhait de m'y rendre si cela est dans un délai raisonnable et si la période s'y prête.
Le printemps nous annoncera bien quelques quêtes ou quelques guerres à venir, ne vous laissez point aller à la mollesse, de vous, je ne l'accepterai.
Prenez soin.

Dieu garde. Toujours.

P.

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Perceval_aelis
Citation:
Perceval,

vous êtes bien bonne avec moi. Mais la peine n'épargne personne, et le courroux divin non plus. Si je crois perdre la foi comme le sang s'échappe des veines tranchées, je ne crois pas perdre votre aura, par delà la Bretagne où je suis retourné me réfugier, je pense à vos mots. A votre miel. Je crois que je ne refleurirai plus avant le printemps, il faudra sans doute y renoncer. Nous nous reverrons à Paris au printemps, mètre ruban sera sorti. Et si le temps le permet, ou qui sait, une presque coincidence, je viendrai vous voir en Artois.

Apres demain je découvrirai mon navire, je le baptiserais An Archos si son nom ne me plait guère. Ainsi, il faudra tuer le Macoui. Et chaque jour qui passe, j'essaierai de ne plus penser à me faire défroquer. Loin de Périgueux, je ressens une langue solitude, et un renouveau qui semble encore pour l'heure sonner creux. Je suis entouré de dix personnes, je mange à la table de la Reyne de mon pays, et je me sens vide. J'ai besoin de manger pour me remplir de quelque chose. De dévorer sans plaisir. Comme lorsque mon père est mort. Voyez, vous n'êtes pas la seule à percer des fragilités. Je déteste l'image que je me renvoie ces temps-ci. Mais las du silence, je vous dois bien la vérité.

J'ai renié mon page, l'ai largué en disgrâce, je n'ai plus d'enfants et tous les ventres du mondes ont choisi Janvier pour se remplir ou se libérer; Alphonse est de nouveau parrain. Je songe que vous aussi, en faisant bon mariage, vous aurez la joie de remplacer ces âmes que l'Infâme m'a arraché. Je vous souhaite d'être heureuse, bien plus que je ne le suis. Demain j'arrangerais mon cas, jai bon espoir, pour l'heure j'ai besoin d'un navire, et d'une mer à boire.

De Vannes.

l'Aconit.



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Perceval_aelis
Gauche épistolaire pour écriture mal-à-droite.


Citation:
Nicolas,

Qu'il est heureux de vous savoir en projet, je suis ainsi rassurée, et assurée à vous voir refleurir prochainement, même si pour cela je dois attendre le printemps.
Buvez la mer tout votre saoul, rassasiez-vous d'embrun, à grandes rasades de ressac venant heurter la proue, nourrissez vous du bleu de ces horizons sans fin, je vous l'envie, je, qui reste à quai sans nulle autre aventure qu'icelle de la prochaine comtale qui me voit colistière de mon paternel. A tromper l'attente d'un mariage qui lanterne en laissant combler mes failles dans l'exploration de sentiments et de sensations qui n'ont aucunement lieu d'être. Jeu périlleux où j'enlise mon âme à un attachement vain qui blessera sans doute plus qu'il n'apportera joie.
J'étudie. Beaucoup. Plus que de raison, afin de distraire mon esprit, le détourner de ces préjudiciables penchants auxquels je suis soumise.
J'étais dans l'ignorance, que feu se trouve plus fort que raison.

Où irez-vous avec votre nouvelle acquisition ? Quelle sera votre premier grand voyage ? Je rêve aussi de mer, et d'Angleterre, de terres dures du nord, et de contrées froidureuses, inexplorées. Là où il n'y a personne, c'est là où j'aimerai me perdre.
Vous me direz le nom que vous avez finalement choisi, et pourquoi An Archos ?
Un jour aussi, j'aurai mon propre navire, peut-être une caraque de guerre, ou une nave marchande, cela dépendra des projets en l'instant, et de ce que je trouverai.

Nicolas, n'attendez point de mon ventre, le remplacement de vos âmes, Arlon est loin de se faire assujettir par des rires d'enfants. Je ne ne suis pas dupe, mon futur mari se fait vieux, et malgré son goût immodéré pour la paillardise et un prime mariage endeuillé, nul enfant ni bâtard ne lui ai connu, d'ailleurs, je ne suis point à l'abri, bâtie comme je suis, d'avoir les entrailles aussi fertiles que falaises de rocailles.

J'aurai voulu un courrier tout en joie mais je ne sais mentir, même en lettre.
Veuillez excuser mon abrupte malenconie mais à nul autre que vous je n'aurai pu m'épancher.

Comme l'été à la fleur, comme la fleur à l'abeille.
Vous êtes mon essentiel.

Perceval

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Perceval_aelis
Mot attaché autour du cou du chien car il doit... bien servir à quelque chose.

Citation:
Endormie trop rapidement !
N'y arrive pas. Chercher un livre, aidera.
Un comble.


Planté là, dans la chambre louée.

Citation:
J'ai pas vendu mon blé mais c'est tout comme.
Je vous retrouverai qu'à l'heure de rejoindre B.


Papier est chiffonné, et se laisse dévorer par les flammes de l'âtre.
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Perceval_aelis
Citation:
Chaire Pairsouille damur,

Han reuveunan deux Dieppe pour chairchez ceux trouyar deux Karradoc, geai croazé hein mouane deux Tastevin ki ma praumi deux minissié haut seucré deux la distiyassion deux niaule oh érisson. Pourre Khan sait pa grave sa doua hêtre bond pourre sait dans, jeu teu coudré hune nouvaile peulice han po deux cha cil faux.

Grau poutou baveu,

Minah

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Perceval_aelis
Mot délivré par un petit vas-y-dire.

Citation:
J'étudie. Viendrai plus tard.




Pif paf pof, un mot. Noté à la va-vite et baillé en taverne.

Citation:
Viendrez m'rejoindre ou vous avez des filles à visiter ?

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Perceval_aelis
Citation:
Perceval,

gardez vous un peu de la politique, tous ceux que je connais qui s'y sont frotté en sont sortis exangues... Vous avez dejà fort à guérir.
Si vous vous trouvez éprise de quelqu'un, je ne peux que m'en réjouir... Voilà qui vaut bien la mer et l'horizon, non ? Oh oui, cela vaut bien la mer et l'horizon... Nous sommes face au bateau, d'ici quelques heures il sera à moi. Ma nouvelle acquisition sera finalement renommée plus tendrement... "Le Chat à la Fenêtre" . Ce n'est pas de moi, mais je trouve cela inspirant. Cela m'entraine dans de contemplatives pensées.

Notre premier grand voyage ? Je ne sais. Sans doute une livraison, j'ai nombre faucons à vendre, je dois m'en occuper. Je me suis lancé dans le commerce, Alphonse dans le parfum. A deux, nous saurons dégoter des essences rares, et qui sait, peut être jouir d'une bonne réputation. J'ai commencé un relié où je prend des notes sur la végétation qui m'entoure, je me fais plante parmi les plantes. Peut être qu'au printemps, oui, je fleurirai près de vous. Peut être qu'un jour, nous voguerons ensemble .

Ne parlez pas mal de vos entrailles, elles ont un pouvoir que les miennes n'auront jamais, et je crois que je commence, dieu délaissé un peu, à le regretter... Alphonse part chercher son fils. Voilà qui sera bon sur le bateau pour renouer avec l'enfance... Notre navire sera exclusivement peuplé de mâles, de sept à vingt six ans. J'aurais aimé vous y contempler. Mélancolie délaissée à quai.

Je vous souhaite de vigoureux descendants, et si un jour vous en avez de trop, vous savez ce que l'on dit : Nicolas, ami des petits enfants... Gardez-m'en un de côté.

Faust.

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