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[RP] Qui c'est qu'a meulé? Ça fouette!

Shanephillips
TRIBUNAL D'ANGERS
Procès opposant Kayhan...elle a un nom?! A l'Archiduché d'Anjou.



A quelques petits jours de la fin du mandat, l'Archicanard pensait en avoir terminé avec la procure. Il avait raccroché le marteau comme qu'on dit dans le jargon des procureurs qui ont de la bouteille. Et pas seulement de celle qu'on porte au bec pour en siffler le contenu et faire des bulles. Même si le rouquin n'avait jamais pu mettre la main sur ce foutu marteau de la justice, si proche et pourtant si loin. Qu'est ce qu'il pouvait bien raccrocher alors ? Ben rien, c'est ça le problème. Après sa dernière affaire, il s'était dit qu'il pouvait mettre fin à sa longue carrière de trois ou quatre procès avec la satisfaction d'avoir accompli quelque chose de bien, de juste. De grand. Et pourtant, aux premières lueurs du jour de pas celui d'après, mais de celui encore après. Le surlendemain donc. Un événement qui pouvait paraître anodin aux yeux du plus grand nombre, mais qui ne l'était PAS, fut porté à la connaissance de notre canard à la crête rousse, obligeant ainsi ce dernier à endosser de nouveau la charge de procureur de l'Archiduché d'Anjou. Le Procureur aux Poulaines Palmées. P3, pour les connoisseurs.

Parfois la vie peut être une foutue mainoise, une sacrée plaie dans le cul. On est là peinard, à siroter un godet, le cul sur un tabouret, écoutant d'une oreille discrète le groupe de bardes nous jouer une air classy. Du genre qui te fait dodeliner de la courge en claquant des doigts de façon désinvolte et cool. Inconscient des rouages qui viennent de se mettre en marche dans l'ombre, et dans l'unique but de nous y faire plonger. A l'ombre. En l'occurrence, dans n'importe quoi pouvant accueillir de la flotte en quantité. Parfois la vie peut être une foutue mainoise, comme je disais, il ne suffit que d'un bac de trèfles fanés pour mettre le feu aux poudres. Un simple bac de trèfles... Aussi résistant qu'on puisse être, aussi proche soit la date du solstice d'été, il y a des limites à ce qu'on peut humainement supporter mecton. C'est pourquoi il fallait rapidement mettre un terme à cette torture olfactive, ce terrorisme de la pestilence, qui fait saigner les yeux, froncer la trombine et moucher une substance sombre et noire dans les trous de nez. Cela devenait sérieux et cette histoire ne pouvait se régler qu'en faisant appel à de spécialistes de la sale besogne. Dans le système judiciaire, les crimes liés à l'hygiène corporelle sont considérés comme foutrement répugnants. A Angers, les maréchaux, le pôle justice et les jardiniers sont membres d'une unité d'élite appelée Unité Spéciale pour les Narines. Voici leur histoire... KWEK KWEK.
Fondu enchainé noir, ouverture sur le canard faisant de lents aller et retour tout en débutant son acte d'accusation.


Kayhan, K.a.y.h.a.n,. Kaykayte. Kay.
La vieille craquelée. MAIS JE SUIS PAS VIEILLE !! Tut tut tut. On en sait rien d'abord. C'est toi qui le dit. SI-LENCE! Où j'évacue la salle.
Oui nan je sais que c'est pas en mon pouvoir oh.Mollo la condescendance. 'Chié.

Ceci n'est pas une intervention, ou peut être bien que si en quelque sorte, mais c'est surtout, un acte d'accusation. TON acte d'accusation.
*Pointe la Connécrade du doigt*
On aurait très bien pu patienter encore quelque jour, ce n'est plus si loin à présent, que le solstice d'été pointe le bout de son nez, nous permettant enfin de pouvoir respirer pleinement avec le notre, sans que ça nous brûle dans les poumons. Ou qu'on suffoque. Qu'on puisse respirer à nouveau...en ta compagnie, qui, si on n'prend pas en compte l'odeur plus que musquée que tu te trimbales, est toujours sympa.
T'es trop con, on s'marre bien. C'est vrai hein, en plus t'es Orpilleuse, ça ne gâche rien.


Sourire on. Sourire off.

Alors oui oui...

Le procureur à la crête rousse se déplace en agitant les bras pour appuyer ses propos. En plus ça te renforce ce drama, je ne dis QUE ça. Enfin nan, je dis autre chose aussi, sinon le procès serait court et nul et sans grand intérêt parce qu'on comprendrait pas grand chose. Bref. Laissez moi reprendre où j'évacue la salle. Toujours pas?!

...je t'entends déjà me dire en te reniflant le coude, meh, je suis large! MAIS Nan Kaykayte, c'est là que tu te trompes justement. T'es pas large. Carrément pas même. T'es tellement passée date, si tu étais un bon gros claquos, tu serais même plus coulant, tu te promènerais sur la tablée. S'il y a bien quelque chose qui est large, c'est pas la marge avant ta prochaine trempette nan, large, c'est le niveau qu'à atteint le fumet que tu te coltines et que tu nous imposes. Et pourtant on est pas des putains de chochotte Kayhan, tu le sais très bien. A Brissel, ça coinçait sévère aussi hein. On en est plus à quelques témoignages éparses de touristes maniérés et précieux là, d'une, qu'ils aillent se faire FOUTRE. Oui j'ai dit foutre. Et de deux, c'est un soulèvement gastrique d'envergure quasi épidémique qui s'est étendu à tous ceux qui partagent une taverne avec toi, la vieille.
*ET TOC!* Même pas vrai, je sens rien. Ça, c'est parce que tu t'es ruiné le tarin avec tes effluves nocives ma chère Kaykayte. Malheureusement pour nous, ce n'est pas notre cas. Pas encore du moins.
Mais enfin... Regarde. RE-GARDE !


L'irlandais joint le geste à la parole en tendant la paluche à quatre doigts pour lui désigner le mur, mais en fait, faut s'imaginer un bac de trèfles parfumés. Bah ouais, c'est qu'un mur à la con sinon, y a pas grand chose à y voir.
Ah c'est sur, ça demande un poil d'imagination, soyez pas gland.


Kay !
T'as fait fondre les trèfles au Poitin! Y sont tout crevé dans leur bac. Assassinés ! C'est la goutte d'eau qui pue, qui fait déborder le vase. Qui pue aussi du coup.


L'heure est venue, le rouquin s'éclaircit le gosier. HEM HEM HEM, oui comme ça. Il est grand temps d'énoncer l'acte d'accusation. C'est UN PEU le boulot du procureur ouais, c'est légèrement pour cette raison qu'il n'est absolument pas payé. Oui aussi. Vos gueules.

C'est pourquoi MOI, Quartus Jean Eudes René Marguerite Parfait, pas Michel. Ouais j'fais les choses en grand c'te fois ci.
En ce douzième jour de juin 1465, je t'accuse TOI, Kaykayte, Orpilleuse parfumée, de Trouble à l'Ordre Public pour Destruction massive des capacités olfactives des Angevins.
Celles des mainois on s'en tape. Y peuvent bien crever, ça...ça change pas.

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Kayhan
[Beaucoup plus tôt dans la matinée]

Elle zone sur sa vieille paillasse, dans son appartement miteux sous les toits à Angers.
Son vieux ragondin obèse, Marcel, étire une diagonale sur le ventre de sa patronne.


Aaaaah.... Ptain qu'on est bien....

Qu'elle dit en s'étirant.

Fait chaud mais on est bien !


Vrai que la chaleur s'est lourdement abattue sur Angers ces derniers temps, donnant aux journées des allures de vacances estivales.
Ceci rappelle d'ailleurs à Kay que le solstice d'été approche à grands pas.
Date importante pour celle qui ne prend donc que deux bains par an : un à chaque solstice.
Néanmoins il y a peu, elle a annoncé à ses collègues et amis que cette année, elle faisait péter le bain de l'été, estimant que ce semestre bientôt écoulé, elle ne s'était pas trop salie, et qu'il y avait donc "de la marge" (sic).

Faisant l'étoile de mer sur sa paillasse, elle regarde le plafond en bullant, lorsqu'elle entend un poing s'abattre sur la porte d'entrée. Trois fois.


Faut toujours qu'on vous pète les rouleaux quand vous glandez.

C'est débraillée au possible qu'elle file ouvrir la porte, derrière laquelle se trouve un coursier qui sans un mot lui remet un pli cacheté puis se tire.
La lecture de la missive, qui s'avère être une convocation pour un procès pour Trouble Olfactif à l'Ordre Public (un TOOP et non un TOP, quoi), ne provoquera chez elle qu'une unique réaction :


AH LES EMPAFÉS !


[Plus tard]

Sans avoir pris la peine de se changer ou ne serait-ce que de se rebrailler - et parlons même pas de se laver - Kay a déboulé dans la salle d'audience, et écoute présentement le réquisitoire du Procureur, qui s'avère être aussi l'Archicanard, mais également son collègue Orpilleur, et plus encore, son pote Kweeky.

Ses mâchoires se serrent, puis la consternation envahit son visage, au fur et à mesure que le Procanard égraine les joyeusetés qu'on lui reproche.
Elle le laisse terminer, puis se lève pour prendre la parole.

Commençant par tendre un doigt très peu propre et qui fouette en direction de Shane :


TRAHISON !


Ça fait toujours bien de commencer sur un mot choc.

Déjà , je ne pue pas. Je sens la nature.

Dit-elle en chassant une mouche un peu collante.

La nature hostile ou la nature morte, peut être, mais la nature quand même.
Au passage, tiens le Proc, sens moi ça.


Et de dégainer un avant bras dénudé, bien plus marron que rose ou beige.
Elle ignore royalement le bruit que fait le type qui garde la porte de la salle d'audience non loin d'elle, lorsqu'il s'écroule après avoir lâché un hoquet.


Ne me dis pas que ça peut pas attendre décembre là !

Elle regarde tour à tour le Procureur et le Juge, cherchant dans leur regard une forme d'approbation.
Leur air crispé et le fait qu'un autre garde soit en train de tourner de l'oeil tout en tentant d'éventer en vain celui qui s'est évanoui près d'elle, la pousse donc à poursuivre sa défense, après avoir rengainé son bras.


Sinon... Oui, j'ai tué les trèfles quand Cune a fait un petit courant d'air vers moi.
Dommage collatéral.
Fallait foutre un Français dans l'axe du courant d'air !
On aurait fêté ça avec une tournée.


C'est vrai quoi, pourquoi y a jamais un de ces oiseaux là pour venir se coller dans le champ d'action de l'arme bactériologique ambulante qu'elle est ?
Un regard en coin en direction du Juge :


De toutes façons, je plaide la relaxe.
D'une, je pue pas, enfin pas encore tant que ça.
Et de deux, j'ai obtenu une dérogation spéciale du patron devant témoins pour pas prendre le bain du solstice d'été de cette année.
Z'avez qu'à lui demander de venir témoigner si vous me croyez pas.


Et crac.
Avec ça, c'est l'immunité assurée.
Du moins, c'est ce qu'elle se dit.

Par sécurité elle enverra quand même discrètement une brève missive à l'Irlandais :




Chef !

Je suis dans la merde.
Au sens figuré hein, cette fois.
Venez au Tribunal leur dire, vous, que j'ai une marge confortable avant d'avoir à me récurer, et que je suis exemptée de bain jusqu'en fin d'année.
Je vous préviens de suite : je suis fauchée (éternellement).
Commencez pas à me préparer une cartouche à 2.000 balles par témoignage en justice.
Éventuellement, j'indemnise en gnôle ou en quatrains.

Kaykayte
Orpillette

_________________
Katina_choovansky.
Parmi la courageuse foule assistant au procès, un mouchoir à la main, Gligor et un éventail à coté d'elle




Pendant des mois, de trop longs mois, Katina avait cru que la pestilence qui flottait dans l’air était du fait des français, car comme chacun le sait, le français est un être flasque qui, à force de devoir ployer l’échine et cirer des pompes en permanence, finit par développer une gangrène de la dignité aussi inconfortable qu’odorante (Oui, en 1465, la médecine était déjà une branche professionnelle extrêmement intéressante et fort prometteuse vu le nombre de sujets touchés par ce fléau).
Ajoutons à cela que l’hiver avait anesthésié le paysage aussi bien que les odeurs les plus virulentes, et l’on excusera la Montmorency de s’être rendue compte seulement à la première vague de chaleur de juin, « que sa mère, mais c’est Kayhan, qui fouette comme ça ?! »
Et c’était bien elle.

Tout avait été tenté. Les menaces, la diplomatie, le chantage affectif, le marchandage…
Kaykaytte n’avait pas cillé, et même pire, désormais, elle pensait pouvoir sauter son bain biannuel, parce que soit disant, elle puait pas tant que ça.
Le petit cœur en marbre de la Montmorency s’était pincé. Les sinus de Kayhan étaient foutus. Plus jamais à potron-minet elle ne pourrait sentir le doux parfum du pain chaud autour d’une boulangerie tout juste ouverte. Plus jamais elle ne pourrait dissocier un champ de boue d’un champ de bouses en pleine nuit. Plus jamais elle ne pourrait dire , alertée par un désagrément olfactif persistant, « ah punaise, je savais bien que j’avais marché dans un mainois » et s'essuyer la semelle dans une herbe tendre.

Dans la salle d’audience, Katina avait pris place près d’une fenêtre qu’elle avait fait ouvrir en grand. Elle savait ce qui allait se passer dès que Kayhan soulèverait un bras et ventilerait de l’air autour d’elle ; elle le vivait tous les jours.

Il fallait que ça cesse, pensait-elle tandis qu’on évacuait le premier garde qui était tombé dans les pommes. Quitte à l’assommer pour la rincer. Quitte à la payer même, bordel.
N’y avait-il donc aucun Dieu pour que justice soit faite ?!!

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Shanephillips
Aaah le retour de cette bonne vieille grosse chaleur estivale, c'est agréable non ? Ne rien faire d'autre que cramer sous le soleil, remuant les narpions à la fraîche, un bon fût de gnôle et un voire neuf saucebacs aux noisettes à portée de main. Oui, neuf, c'est précis mais en même temps le rouquin ne savait pas compter au delà, bien qu'il pouvait être très convainquant quand il vous annonçait des chiffres mirobolants comme dix-huit ou quarante deux. Mais ne nous éparpillons pas, si je causais de la chaleur c'était pour une très bonne raison. Qui dit température élevée, dit Kaykayte qui va suer et si l'orpilleuse avait tendance à exhaler un fumet des plus corsés lorsqu'elle était au sec, valait mieux ne pas s'imaginer à quel point ça coinçait quand elle marinait dans son propre jus, mélange de sueur collante à la limite du gluant et de diverses strates de crasse concentrée. Pourtant, si tout le monde se trouvait rassemblé en ce jour, cela ne voulait malheureusement dire qu'une seule chose. Il était déjà trop tard. *Effet sonore de l'orage qui gronde et qui fait trop peur* Le procès n'était pas lancé depuis plus d'une toute petite poignée de minutes, que celle qu'on savait pas trop si elle était vieille ou pas en dessous de sa couche de sale faisait déjà ses premières victimes parmi les gardes. Et pas seulement ceux se trouvant au plus près de l'épicentre K...

Au doigt puant l'accusant de TRAHISON pointé en sa direction, l'Archicanard ne put s'empêcher de rétorquer vivement en contrepointant Kayhan de son doigt palot d'irlandais.


NÉCESSITÉ !!


Avant d'ajouter très justement.

Eh ben laisse moi te dire, chère amie, que ta nature, elle pue la vieille charogne toute crevée en putréfaction avancée ! Mais l'pire, c'est qu'elle se décompose jamais au point de disparaître et qu'après ça pue plus. Nan ! Avec toi, c'est l'odeur même de pourriture qui se met à pourrir en fouettant toujours plus.

Léger mouvement de recul lorsque la brune lui tend son bras croûteux avec des crevasses dans la crasse lui donnant un aspect écailleux de sol touché par la sécheresse. Sauf que le sol a été préalablement recouvert d'une épaisse couche de daube qui schlingue à donf.

Nan, je sais déjà ce qu'il sent, ton bras.
Y sent le bon gros maine, et je te le dis. Ça PEUT PAS attendre décembre.


Profitant de la fin du premier plaidoyer de la parfumée, qui aime toujours autant les robes soit dit en passant, et du bruit sourd provoqué par la chute d'un garde qui tournait de l’œil tout en se vidant par tous les trous, le Procureur à la crête rousse et volubile reprit la parole.

AUDIENCE !! PU-BLIC !! Peu importe...

Les gardes tombent comme des mouches alors que la présumée coupable ici malodorante, en compte toujours un peu plus autour d'elle. Personne ne sera en sécurité tant qu'elle ne se sera pas trempée et décrassée. Car VOUS pourrez être sa prochaine victime, convulsant dans une mare de votre propre gerbe, tel une île flottante au beau milieu d'un restant de saucisses aux herbes et de cubes de fromages à pâte dure gobés un peu trop vite lors de votre dernier apéro.


Shane se déplaçait au rythme des mots qui lui sortait du bec, appuyant parfois ses propos d'un geste de la main, parce que blablater sans bouger en restant tout droit comme si tu venais de t'empaler l’œillet sur un manche à balai, déjà, t'as l'air con, et puis ça fait pas très pro. Peu avant de se manger le mur ou de basculer comme un fruit à travers la fenêtre à côté de laquelle la Paillette avait eu la bonne idée de s'installer, le P4 fit volte face en pointant Kay du doigt. C'est là qu'on se rend compte qu'un manchot ferait un très mauvais procureur. Disons que l'impact serait vraiment pas le même et le spectacle s'en retrouverait fortement amoindri. Raccourci aussi . Oui.

En plus elle avoue son crime !!
Meurtrieuse de trèfles qu'elle est. Un simple petit courant d'air de rien suffit à crever les plantes vertes alors imaginez un peu ce qu'on se prend en pleine tronche et surtout en plein pif lors d'une exposition prolongée. T'façon c'est simple, si le décrassage du solstice d'été est sauté, il y a de forte chance qu'aucun d'entre nous ne soit encore de ce monde quand aura lieu çui d'hiver.


Et de conclure son réquisitoire par ces quelques mots.

Kayhan Connasse Mékélékon, en plus de ta couche de crasse épaisse, t'auras notre disparition sur le dos.
Reviens à un semblant de raison, va te laver la raie et le reste aussi tant que tu y es. Si tu tiens vraiment à remettre ta trempette à perpette, à savoir le solstice de décembre parce que t'es large.
Cela te coûtera la modique somme de cent écus par jour de retard et ce à partir du 21 Juin 1465, jour du solstice d'été.

Maintenant !
Ceux qui veulent l'ouvrir, eh bien y peuvent le faire.
Que ce soit pour appuyer l'accusation ou témoigner en faveur de la Kaykayte.
Dérogation spéciale de la part de Finn ou pas. Moi, j'en ai terminé !


Shane Out !
Pour l'irlandais, la fin du procès ce sera adossé au mur, bien à proximité de la fenêtre. Parce que suffoquer, c'est mal.

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Estainoise
Elle ne voulait surtout pas rater ça, le solstice d'été ....alors elle avait écumé les mers pour se retrouver à temps en Anjou ....


Deux fois par an, c'était un peu fête...mais la fête était quelque peu perturbée.....

Elle avait bien retrouvé Kay...à Angers, il n'y avait qu'à suivre les effluves. Même ceux qui n'avaient pas de nez ne pouvaient pas se tromper...

Mais au lieu de retrouver Kay au bord du lac ou aux bains publics, Esta se retrouva au tribunal.....

Pour sure qu'elle reconnu Kay....à l'odeur.
Esta en avait l'habitude...mais tout de même là, avec cette chaleur estivale de cette année, son odeur était ....

Esta respire un coup sur deux avec la bouche...tout en se pinçant le nez...
et elle suit le procès.....du fond de la salle.....

ainsi donc, Kay pense pouvoir sauter un solstice?
Sa peur de fondre dans l'eau au point de disparaître avait donc amplifié au point de se retrouver au tribunal.....

Esta voulait aider son amie ....du fond de la salle, et en continuant à se pincer le nez....
mais vrai que ça fouette.....grave....

alors, elle essaie d'aider tout en essayant de ne pas vomir.....


Votre honneur...z'allez tout de même pas ...hum....
respire par la bouche Esta....par la bouche ...s'entend elle penser....

Z'allez tout de même pas éliminer, nettoyer, lustrer.... l'arme secrète d'Anjou contre les envahisseurs?
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