[RP] Cérémonie de récompenses et de remerciements

Lndil s'était levé de bonne heure afin de suivre les préparatifs.

La salle des banquets avait été déjà récurée hier... la nuit aidant l'évacuation de l'humidité le temps aidant bien capricieux.

Il s'approcha de son majordome.
Bonjour Gontrand...
Tout va bien je suppose.
Nous ferons comme nous avons convenu, des tables déjà en partie préparées sur les cotés, derrières les colonnades et des chaises disposées au centre avec un estrade et mon siège au fond.

Oui messire, cela sera prêt d'ici peu.
Toujours avare de ses paroles mais rudement efficace le bonhomme... un majordome quoi ^^

Le comte regarda ce microcosme s'aggiter et posa deux questions bien qu'il connaissait la réponse.
Besoin de bras supplémentaire ? Et en cuisine ?
Gontrand regardait tous ces gens d'un oeil affuté.
Non et rien à signaler Comte

Je vais faire un tour... nous nous reverrons plus tard
Oui messire
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Après une longue nuit de voyage depuis Bertincourt, Pegas arriva à la capitale Artésienne tout excité de retrouver ses compagnons et amis, et surtout ce fut un grand jour à ses yeux, cette cérémonie tant attendu va avoir lieu enfin dans cette période de fin de mandat du comte et ses conseillers...
C'est au lueur du jours qu'il arriva au chevet des portes de la ville, il descendit de sa monture et continua la distance qui lui restait en marchant afin de se dégourdir les jambes...
Devant l'entrée de l'endroit où se déroulera la cérémonie, Pegas salua les garde et se présenta , Il attacha sa monture et pénétra ensuite dans une grande salle richement décorée pour l'occasion... à l'autre bout il reconnu le comte qui parlait à un homme , il prit alors sa direction, et le salua en arrivant à son chevet...

Mon comte...

Pegas balaya la salle une autre fois du regard un léger sourire aux lèvres...

Je pense que la salle est bien prête pour accueillir les invités... y a t-il une pièce pour me changer? demanda t-il au comte d'un air légèrement embarrassé, Je dois me changer avant qu'ils n'arrivent...
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Dès qu'elle avait entendu que la cérémonie avait lieu à Arras, Maya était passé à sa petite maison, elle avait préparée ses bagages, préparée doucement Enzo.

Dès qu'elle aperçut Juliann, elle l'invita à l'accompagner pour la cérémonie. Juliann accepta avec grand plaisir ...

Maya prit le temps d'envoyer un pigeon à Thomas pour l'aviser de son départ sachant très bien qu'elle le retrouverait là, à la cérémonie.

Elles avaient prise la route tard dans la nuit et avaient galopé longuement pour arriver jusqu’à Arras...

En entrant dans la ville Maya prit une grande respiration, Arras était la première ville qu’elle avait habitée en arrivant en Artois, mettre les pieds ici ressassait beaucoup de souvenir dans le cœur de Maya, elle descendit de son cheval et en marchant doucement, elle alla directement à l'hôtel réserver deux chambres, une pour elle et Thomas et une pour Juliann et Enzo.

Elle s'y installa confortablement, fit sa toilette, mis son uniforme et ses galons. Dès qu'elle fut prête, accompagner de Juliann et Enzo qui avaient eux aussi mit leurs plus beaux atours, ils partirent en marchant pour la cérémonie.

En arrivant devant l'endroit, Maya fut impressionné par la salle grandiose. Elle entra doucement cherchant du regard des gens qu'elle connaissait, il y avait beaucoup de monde, tous s'affairait aux derniers préparatifs.

Au loin dans la salle, Maya aperçut le comte ainsi que le sénéchal Pegas, elle avança doucement vers eux contente de voit un visage qu’elle connaissait.
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Naoki avait préparer quelques affaires en entendant l'annonce du sénéchal pour la cérémonie de remerciement. Afin de s'y rendre, la jeune femme avait prit la route dès l'annonce au soir. Elle arriva dans la capitale Artésienne et se dirigea vers un hotel. Ici elle reserva une chambre et après avoir fait un brin de toilette, elle enfila de nouveau vêtement qui sentaient bon la rose.

Naoki prit alors la direction de la cérémonie lorsqu'elle remarqua qu'elle avait oublier ses galons a l'hotel...

Zut ! demi-tour ! je ne peux pas m'y rendre ainsi!

Elle courut donc en sens inverse et monta les marches deux à deux jusqu'a sa chambre. La elle décrochat ses galons des anciens vêtements et les accrocha à leur nouvelle place.

Elle redescendit ensuite tout aussi vite les marches et marcha d'un pas rapide dans les ruelles d'Arras. Lorsqu'elle arriva à la cérémonie, elle vit au loin Maya et Pegas et ce dirigea vers ceux-ci.

Lorsqu'elle arriva à la hauteur de maya elle lui sourit et la salua


Coucou ! et ben dit donc il n'y as pas beaucoup de monde que je connaisse ici.

Ange avait appris qu'une cérémonie aller avoir lieu à Arras en allant au château le matin même . En plus apprenant qu'il y allait avoir de quoi boula.. heu se déshaltérer, elle se dit que vu la chaleur de ces jours-ci, elle en profiterait pour boire un ou deux verres et de discuter avec les personnes qu'elle connaissait déjà . Et puis faire de nouvelle connaissance tand qu'elle y était .

Elle rentra donc chez elle en quatrième vitesse en espérant revenir à temps pour ne rien louper . Elle réveilla ses deux petits, Léa et Olivier, elle ne voulait plus les laisser seuls après ces trois semaines loin deux . Comme Korame n'était déjà plus là, elle lui laissa un mot sur la table pour lui dire où elle se trouvait et que s'il le peut et le veux, qu'il la rejoigne . Elle espérait qu'il puisse venir, mais en même temps elle en douter . Elle se prépara en mettant une robe bleu et blanche, une robe qu'elle n'avait pas mise depuis deux mois au moins . Puis elle habilla aussi ses deux amours de leur plus beaux habits .

Quelques minutes de préparations plus tard, ils étaient fin près tout les trois pour prendre la direction du lieu de la cérémonie . Ange fit sortir les enfants et elle ferma la porte de chez elle . Elle pris ensuite ses enfants dans ses bras, les embrassa en leur demandant de rester sage comme à leur habitude et de ne surtout pas faire de bétises . Elle les porta tout les deux et se dirigea vers la salle où aller avoir lieu la cérémonie .

Le chemin avait été long, mais elle y arriva après une bonne marche qui lui parut des heures . Elle reposa les petits par terre, dépoussièra un peu leur habits ainsi que les siens et entra dans la salle .
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Elles étaient enfin prêtes. Louison était merveilleuse dans cette tenue, son père en restait bouche bée, Chanel se pencha à son oreille

c'est une bien jolie jeune fille n'est ce pas??? , elle lui sourit et entraina Louison a sa suite

allez on file au chateau, la petite posait milles questions sur le déroulement, qui serait présent ....
Hum..je ne saurais te dire exactement comment cela va se passer mais il y aura du beau monde et des gens valeureux.

Chanel entra dans la pièce , Louison sur ses talons regardait les décorations, Chani retint un rire lorsque la petite s'extasia devant les candélabres

viens!! allons saluer tout ce beau monde,

Chanel salua d'un signe de tête le sénéchal Pegas ainsi que les quelques soldats présents , glissant discrètement le nom et la fonction de chacun a l oreille de la petite Louison , et s'approcha du comte , Erwyn

Ta grandeur, Erwyn, bien le bonjour , Erwyn tu es magnifique comme toutjours quant à toi Lndil tu as l air préoccupé comme toujours
Elle leurs sourit et se dirigea vers d'autres invités

regarde Louison, la belle dame a qui nous venons de dire bonjour est Erwindyll , c'est notre chancelière et l homme à côté d'elle est notre comte

Elle est bien jolie c est vraie et monsieur le comte est fort beau aussi
Te voila sous le charme du comte aussi jeune fille

Louison rougit aux dernieres paroles de Chanel
Ah tiens je vois une amie , viens allons la saluer,
bonjour Ange comment vas tu?
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Tirtsa était en route pour Arras pour la cérémonie de remerciements.

Le cocher était venu l'a chercher très tôt ce matin après copieux petit déjeuner, elle s'était dit qu'elle prendrait juste une pomme pour le cas où elle aurait faim à midi.

La jeune femme portait un corset de couleur pourpre orné d'un tulle noir et noué par un ruban de satin au dos ainsi qu'un jupon ample de même couleur ce qui faisait ressortir la couleur de ses cheveux auburn et de ses yeux noisettes. Elle avait emporté quelques nécessaires de toilettes afin d'être fraiche à son arrivée et deux tenues de rechange pour l'occasion.

Elle regarda pendant un long moment le paysage défilé sous ses yeux puis au mouvement cahotant de la calèche elle s'endormit....

Elle fut réveillée par un grand OHHHH venant de la voix du cocher. Encore un peu endormie elle était comme sur un nuage.
Tirtsa prit machinalement ses affaires et vit la porte de la calèche s'ouvrir. Une main était tendue vers elle afin de l'aider à descendre. Elle remercia le cocher d'un sourire emprunt de délicatesse et lui donna quelques écus.

Après le départ de la calèche, elle s'arrêta un instant à la vue de la grande bâtisse. Un grand portail était ouvert. Elle remis en place son jupon et se dirigea vers la charmante demeure du comte Lndil.

Tout en marchant, elle souriait à la joie de revoir ses collègues du guet Artésiens.....
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Zaza arrivait enfin...
La calèche se posta devant la grande grille du chateau ; elle était bien heureuse car ses jambes étaient toutes engourdies et le fait de faire quelques pas lui ferait le plus grand bien !

Elle fit attention aux jupons de sa robe en descendant, puis s'adressa à son cocher

Messire, vous pouvez vaquez à présent ^^ je vous conseille de vous rendre à ma taverne, elle se nomme "Au coin de Paradis" et par la même, prévenez mon tavernier de mari que je suis arrivée et qu'il pourra venir me rejoindre dès qu'il sera prêt et aura boucler son bureau à la mairie, je vous en remercie d'avance !

Elle le récompensa de plusieurs écus sonnants et trébuchants afin qu'il aille se restaurer et boulasser ; sur ce, elle tourna les talons et se dirigea dans l'allée qui menait au chateau
La journée était toujours aussi belle et promettait d'être boulasseuse !

On pouvait voir les valets s'agiter, les jardins magnifiquement décorés, des tonneaux entassés un peu partout, cela fit sourire Zaza

Elle hata le pas pour atteindre la salle de cérémonie ! elle était sublime, aux couleurs chaudes ; nombreux étaient déjà dans la salle à se saluer et se donner des nouvelles et c'est alors qu'elle aperçut Ange avec ses deux beaux enfants qui parlait avec Damechanel, ainsi que Tirtsa magnifiquement vétue, elle décida donc d'aller à sa rencontre et s'approcha de la belle pour la saluer et saluer les autres convives qu'elle connaissait avant l'arrivée de la grand foule !
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Tirtsa regardait le magnifique parc du comte. Tout les haies avaient été taillées minutieusement pour l'occasion. Des parterres de fleurs agrémentaient le jardin ainsi que des bordures de roses blanches et rouges.
Elle s'arrêta devant un bassin orné de nénuphars où quelques poissons rouges nageaient cherchant de quoi manger.

La jeune femme se retourna à la voix de Zaza qui l'a saluait. Elle lui souriait en l'a voyant dans sa robe de satin blanc.

Je suis heureuse de te voir Zaza. Tu as une très jolie robe.

Par timidité qu'elle ne laissait rien transparaître, Tirsta se sentait soulager de rentrer dans la salle avec Zaza. Toutes les deux allèrent saluer Damechanel ainsi que Ange et ses deux enfants adorablement vêtus.
Tout en s'approchant de nos amis elle murmura à Zaza !
Tu connais un endroit chez le comte où je pourrais me passer un coup d'eau fraiche !!!!

Nous arrivèrent à hauteur de Damechanel et Ange et Tirtsa leur sourit :

Bonjour Chany, bonjour Ange et bonjour euh....demoiselle dis-je en regardant la jeune fille à côté de Chany.
Je me mettais à hauteur des enfants de Ange pour leur faire un coucou de la main, qui à ma vue se cachèrent derrière la jolie robe de leur maman.
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Alors qu'il profite de cette belle journée en sa baignant au lac, une colombe se pose à proximité de Tonnerre.

Grrrrrrrrrrr, on ne peut jamais être tanquille. Qui nous attaque encore.?

Il récupére le pigeon et lit le message. 'Viens me rejoindre à Arras pour la cérémonie'.

Pas de signature mais il connaissait l'expéditeur.

Grrrrrrrrrrr, je préfére aller à la guerre qu'à ces sacrées cérémonies. Espérons que Dame boulasse sera présente.

Rapidement, il enfourche son étalon et regagne sa grande maison vide.

Pfffff, heureusement que ma tenue est prête, cela aurait été le bouquet final. Zut, il reste les bottes à cirer.

Quelques bons crachats, que mon ami mung n'aurait pas renié, un peu d'huile de coude et celles-ci brillaient de milles feux. Il se dépêche de tout fermer pensant au fait qu'il ne remettrait pas les pieds de sitôt dans le coin.

Il enfourche de nouveau Tonnerre et scruste le ciel. Mascotte est là.

Allez Tonnerre en route pour Arras.

Arras, il n'y avait été qu'une fois et s'était juré de ne pas y retourner à moins d'y être obligé. La seule fois, c'était lorsqu'il était aspirant et lors de l'exercice de déplacement avec le sergent Jaid. Les tavernes étaient désertes. Il sourit néanmoins, pensant que le lendemain, il avait été à Péronne et avait plumé le sergent au ramp.

Il éclate de rire et pense au sergent. Une grande cérémonie doit impliquer la présence de nombreuses personnalités. Ne serait-ce pas le moment qu'elle éxécute son gage. Il rit et se met à chanter :

Fais la poule, fais la poule........

Enfin, voilà Arras.

Bon vite fait à la taverne pour s'humidifier le gosier et un petit coup de dépoussiérage. Suite à cela, direction la fontaine et un peu d'eau sur le visage pour lui redonner figure humaine. Depuis hier, il n'avait pas beaucoup dormi. Bertin.Azin et maintenant Azin-Arras.

Aprés s'être renseigné, il se dirige vers la salle où doit se dérouler cette cérémonie. A son arrivée, il remarque aussitôt éclair.

Bah tu vois mon joli, tu ne seras pas tout seul.

Il descend de sa monture et lui tape sur la croupe aprés l'avoir embrassé sur le museau.

Allez va le rejoindre.

Il se présente à l'entrée et on lui indique la direction à suivre.

Une petite boule lui noue le ventre. Il pénétre dans cette salle merveilleusement décorée. Un regard vite fait lui permet de voir Stella.
Il se dirige vers elle. Elle était merveilleusement jolie et pour la première fois, son joli petit ventre était apparent.

Il s'approche d'elle en lui souriant. Il dépose un baiser sur sa joue et discrétement lui caresse son ventre.

Eh bah dis donc Stella, la grossesse te va trés bien. Tu es ravissante.....
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Comme pour toutes festivités en dehors du domaine et hors de Bertincourt, l’escouade d’Ytres y alla en calèche. Nathy s'en réjouit, car il allait retrouver des amis, des connaissances des environs, et sûrement sa princesse de cœur, affublée malheureusement de son jumeau bien trop collant à son gout. Le damoiseau était certain de passer une excellente journée. Et puis, il n’était pas content de revoir le monsieur aux longueurs oreilles, histoire de lui montrer qu’il était capable de se tenir à carreau.

Sa Maman avait une longue robe rouge munie d’un bustier noir et une capeline rouge drapée en forme. Un joli foulard ivoire ornait son cou parfumé. Hum, comme elle sentait bon sa maman et c’est avec plaisir qu’il s’etait glissé près d’elle dans la calèche pour l’embrasser et sentir sa douce fragrance de violette.

Rufus s’était mis aussi sur son trente et un, rasé de près, veston et braies du dimanche pour cet évènement. Il portait sur ses cheveux hirsutes un joli chapeau, cadeau de la maman de Nathy. Quelques heures plut tôt, l’enfant l’avait surpris dans ses préparatifs. Le vieux coursier marmonnait devant son miroir, faisant moult révérences et pirouettes, et parlant à une femme invisible, enfin du moins c’est ce qu’avait compris Nathy. Il fut vite rabroué par le vioc, mécontent d’avoir été épié.


Lui, avait mis son écharpe en bandoulière, passée sur son pourpoint neuf avec ceinture et sa cape à simple collet. Sa maman l’avait complimenté, faisant ainsi monté une jolie teinte rose sur ses joues. Il espérait de tout cœur que sa comparse le trouverait tout aussi charmant.


Il faisait un temps merveilleux. Ils prirent place, sa maman, et lui dans la calèche. Une jeunette de 12 printemps les accompagna pour cette équipée vers la capitale. Alicette parée d'une jolie robe était de la partie. Rufus les suivit à cheval. Ils traversèrent plusieurs villages, dans lesquels ils virent des amis qui se rendirent aussi à la cérémonie. Il rêvassait de sa belle tout en s’emplissant les narines des senteurs maternelles. Arras se profila enfin à l’horizon et ils pénétrèrent dans la capitale. Bien vite, la salle des banquets se trouva sous leurs yeux. La cour devant la bâtisse était très animée. Plus la calèche avançait dans la cour, plus le bâtiment lui semblait immense. A côté du lieu des festivités se dressaient une écurie et un autre bâtiment, moins solennel mais vaste. Lorsque leur moyen de locomotion s’arrêta devant le hall d’entrée, le damoiseau tout joyeux descendit d’un bond. Il s’apprêta à s’engouffrer vers l’entrée mais à la voix de sa mère, il stoppa tout mouvement et fit volte face. Il attendit patiemment sa mère, le visage souriant et lui tendit son bras comme il l’avait si souvent vu faire entre grands. Peu après rejoint par sa mère, Alicette et Rufus qui avait confié sa monture à l'un des palefreniers. Un homme en livrée les accueillit de quelques mots et les conduisit à l’intérieur.

Lndil était dans ses appartements... il ne savait de quoi se vêtir...
D'un coté c'était la fin de son mandat et une cérémonie des plus importantes... mais de l'autre, sa nature lui indiqua qu'il ne serait pas à laisse dans ces habits cérémoniels.
Il opta donc pour une tenue plus légère mais qui m'était en valeur la couronne qu'il portait.

Gontrand était déjà passé indiqué que les personnes commençaient à arriver.
Il passa l'épée sur le coté ... regarda en arrière... non il avait tout.
Il descendit en direction de la salle de réception.

Effectivement voila déjà bien de l'assistance. Il recherchait les personnes qui allaient l'accompagner pour la cérémonie.... Il vit sa Prévot mais celle ci semblait être occupée avec Tirsta. Il alla à la rencontre de Liptis.

Bonjour Liptis... comment vas tu ?
Je suis désolé de ne pas être passé au fort depuis plusieurs jours maintenant mais tu dois avoir idée de mes occupations.
Ceci dit j'aurai besoin de te voir, je voudrai te proposer quelque chose.

En regardant dans l'assistance il vu l'escouade d'Ytres... Il vit le petit Nathanael. Lndil espéra qu'il se tiendrait plus a carreaux que lors des allégeances...


Il se rappela qu'auparavant il avait déjà vu le Sénéchal Pegas à qui il avait indiqué une chambre pour se changer mais il ne l'avait plus revu depuis.
Il avait également rencontre la comtesse Erwyndyll... il avait du paraître stressé car elle lui avait posé une question en ce sens à quoi il avait répondu qu'il était content que tout se passe comme prévu.
Tient d'ailleurs il la voyait également maintenant... il irait la taquiner un chouilla après.

(NB: j'ai édité avec un flashback car j'avais pas vu deux post!!!)
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Alors qu'elle discutait , elle aperçut Le comte arriver et parler avec Liptis ; elle s'excusa auprès des filles et alla saluer son Comte et le féliciter pour les féstivités qu'il leur offrait , puis Liptis ; cela faisait un long moment qu'elle ne l'avait pas croisé ! elle leur fit une révérence, puis tendit sa main aux deux hommes

Bonsoir messieurs ! quelle belle fête qui s'annonce ne trouvez vous pas ?
félicitation mon cher Lndil ! je suis époustouflée !! vou savez recevoir ^^ ya pas à dire!!!

elle lui sourit
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Ayant revêtu son plus bel uniforme, Tulle se rendit pour assister à la cérémonie de remerciements et de récompenses. De nombreuses personnes étaient déjà présentes.

La cérémonie n'avait pas encore commencée.

Tulle reconnut le comte et son parrain, Liptis en compagnie de Zazroyaume et d'une autre personne qu'il ne connaissait pas. Il vérifia que son uniforme n'avait aucuns faux plis et que son épée était correctement accrochée puis il alla à leur rencontre pour les saluer.

Bonjour Dame, bonjour Messieurs.
Monsieur le Comte je vois que vous avez délaissé votre bureau quelques instants pour cette cérémonie. Elle promet d'être belle.

Tulle sourit à Lndil.
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Bonjour Zaza...
Lui fait un baise main
Pour l'occasion...
Lui fait un clin d'oeil
Sinon j'espère effectivement que cela s'annonce bien... mais nous avons bien travaillé la chose.


Entendant un homme voulant se désaltérer...
Bonjour messire... il ne me semble pas vous connaître... mais si vous avez soif vous pourrez boire tout votre saoul juste après la cérémonie
Parlant plus bas
mais si vous voulez de quoi vous désécher le gosier, vous pouvez toujours quémander une petite chopine au nom du comte... demandez Gontrand

Voila qu'Alric arriva...
Bonjour messire Alric.... où se trouve le reste de votre troupe ?
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La matinée avait été fort occupée autour des préparatifs pour leur départ vers la Capitale, des tenues du jour , et de moult recommandations à La Marie. La cuisinière du domaine n’avait pas le privilège contrairement à Rufus de les suivre. Depuis trois jours, elle était prise d’un rhume des foins qui ne cessait de la faire larmoyer. Elle resterait donc là pour surveiller le reste de la domesticité c’est à dire un jeune page et sa propre personne.

L'air était doux en cette période estivale. Toutefois, une légère brise soufflait, ce qui décida la Baronne à se munir de son foulard mais aussi d’un fin gilet crème brodé, exécutée à fils comptés avec des fils de soie aux teintes chatoyantes, de rouge, et de noir. Gilet qui pourrait s’avérer utile en fin de soirée. Elle avait mis du temps à choisir sa tenue, et enfila avec soin une robe rouge cerise, au bustier de dentelle noire. Sa chevelure d’ébène cascadait sur ses épaules dénudées et entourait un ovale délicat. Seul bijou porté était son familier médaillon argenté qui ne la quittait que très rarement.


Capeline sur ses épaules, elle héla sa petite troupe afin de se mettre en route. Une toute jeune fille ferait partie de leur voyage, et tiendrait compagnie à son fils. Ombeline fut bien heureuse de la voir et la complimenta sur sa robe. Alicette semblait aux anges. Quand à Nathy, il ne cessa de se caler contre sa mère, quémandant affection et réconfort, tout en posant une flopée de questions sur cette cérémonie. Attendrie, elle le prit dans ses bras et profita de ses instants de pur bonheur. Avec joie, elle répondit à ce déluge d’interrogations et narra quelques souvenirs de cérémonie. Puis, Ombeline se mit à conter aux enfants divers histoires fantastiques mêlant les aventures périlleuses de chevaliers à celles de dragons ou de vilains sorciers.

Le temps s’égraina ainsi bien vite et les toits des maisons arrageoises se profilèrent rapidement dans leur champ de vision. Une odeur résineuse des pins, et des grands aulnes de la forêt d’Arras embaumait l’espace. Le cocher ralentit l’allure et pénétra à l’intérieur de la Bourgade après avoir passé le contrôle de sécurité de la prévôté. Il les laissa devant un grand bâtiment avant de filer vers les écuries. La Baronne arbora un large sourire en contemplant l’exubérance joyeuse de son fils qui déjà filait vers la salle des banquets. Elle dut le rouspéter afin qu’ils les attendent.

A la suite d’un homme en livrée, la petite escouade traversa un long hall. Ils y croisèrent quelques demoiselles pomponnées pour l'occasion et des hommes bien vêtus mettant même pour certains en valeur leurs titres et médailles. Elle scruta dans l’un des miroirs du hall, sa silhouette quelques secondes, s’interrogeant sur son propre accoutrement, et eut un instant de coquetterie bien féminine. Elle remit délicatement quelques mèches bouclées et rebelles en place, lissa les pans de sa robe, ensuite, remit prestement bien en place le col de la seyante cape de son fils avant de s’avancer vers la porte de chêne donnant sur la salle des banquets. Ils foulèrent d’un même pas, le dallage de cette grande salle. Balayant les lieux d’un regard attentif, elle put compter aisément le nombre des convives. Il y avait déjà foule. Quelques visages familiers apparurent durant son observation, notamment celle du Baron de Boves et du Comte en pleines palabres. Légère crispation, et esquisse d’une fugace grimace, son regard clair croisa celui de sa Grandeur. Se souvenant d’une situation presque identique, enfin à peu de chose près, elle décida d’éviter de faire resurgir de mauvais souvenirs passés en salle d’allégeances.

D’une main ferme, elle guida les deux enfants à l’opposée des deux nobles, Rufus sur leurs talons. Quelques domestiques attendaient religieusement derrière les tables somptueusement garnies de volailles fumantes, de fruits juteux et de grands vins. L'escouade d'Ytres attendit non loin de là, sur le bas côté.
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Chanel embrassa Ange et les enfants

Bien sur que je me rappelle d'eux , ils ont bien grandis, tu as eu raison de les amenés quant à cette jeune demoiselle , elle s'appelle Louison
Louison fit une révérence
bonjour madame, enchantée de faire votre connaissance
Louison s'amusait avec les jumeaux
C'est une enfant adorable , j'aimerai beaucoup que son père me la confie, il faut juste que je trouve une excuse , je pense qu en lui disant que j ai besoin de quelqu un a mon service il dirait oui

Trista les avaient rejoint suivie de Zaza, Louison lui tirait le bras
Quelles belles dames
Ce sont Trista et Ange , des membres du guet et le dame en belle robe blanche est Zazaroyaume , notre prévôte

Le regard de Chanel fut attiré par l entrée d'une dame et de son chevalier

Oh Fréné!!!!, comment avait elle fait pour trainer Cask jusqu ici, sourire aux lèvres , elle embrassa ses amis
Fréné tu es magnifique et toi Cask tres élégant
Je vais fort bien merci et cette jeune fille s'appelle Louison

Lousion fit de nouveau une révérence

bonjour dame , messire enchantée de faire votre connaissance

Chanel se pencha à l'oreille de la petite

tu dois en avoir assez de ces courbettes ma pauvre chérie

Oh non ma dame je suis tellement contente d'être là


Chanel avisa un serveur avec un plateau fort bien garnit

Que diriez vous de trinquer aux hommes et aux femmes que nous mettons à l'honneur aujourd'hui?
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Ayant lu l'annonce dans les forts, Astreria avait fait son paquetage et était tout de suite partie pour ses deux jours de voyage entre Amiens et Arras. Elle était un peu inquiète car elle n'avait croisé aucun archer en route, elle espérait qu'ils n'avait pas oublié.

Arrivée sur place, elle se rendit dans une petite salle, revêtir son uniforme.

*heureusement que c'est une cérémonie, sinon je serai obligée de porter une belle robe, pfff * songeait-elle en s'habillant.

S'assurant que les plis étaient marqués comme il faut et ainsi l'uniforme impeccable, elle mit ses bottes cirés et au moins son épée. Satisfaite d'elle, elle se rendit sur le lieux de la cérémonie.

Elle aperçut diverses personnes qu'elle avait du mal à reconnaitre, chacun semblait en pleine discussion. Mais point d'archer, angoisse.

Elle finit par repérer Luna qui se cachait dans un coin et alla la rejoindre pour la saluer et en même temps guetter la porte.

Bonjour Luna. Tu as fait bon voyage ? Tu as des nouvelles des autres archers ?
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Ange discutait de tout et de rien avec Chani et la jeune Louison . Cette dernière s'amusait avec les deux petits, ce qui l'a fit sourire .

Oui elle m'a l'air très gentille cette demoiselle et de plus elle adore les enfants a ce que je peu voir .

Arrivèrent ensuite Tirtsa et Zaza .

Bonjour les filles !! Comment allez vous ? Contente de vous voir, je me sens moins seule sur le coup

Vous avez de belles robes dites moi

Ange souria quand Tirtsa sa baissa pour dire bonjour aux enfants et que ceux-ci se cachèrent derrière elle .

Hihi, ils sont intimidés, c'est la première fois depuis leur anniversaire qu'ils voient autand de monde . Laissez leur quelques minutes et vous verrez que leur timiditer aura disparu

Héhé Zaza je vois que tu perds pas le nord quand il s'agit de boulasser .. moi j'ai oublier mon tonneau de Père Naud au chateau .. j'espère qu'on me le volera pas

Se fut au tour de Fréné de passer les portes de la salle de réception . Elle était accompagner d'un homme qu'elle ne connaissait pas . Elle la bisouilla, comme il était de coutume à Péronne .

Bonjour Fréné ! ça va très bien merci et toi ? Et comment vas Péronne depuis que je suis partis ? D'ici quelques jours j'y serais de nouveau d'ailleurs .

Et oui se sont bien mes deux petits, Léa et Olivier . Ils grandissent à une vitesse à cette âge là ...

C'est là que Chani proposa de trinquer aux hommes et aux femmes .

Ho la bonne idée que tu as la . Trinquons tu as parfaitement raison .
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Elle avait déjà bien rit avec les filles et elle ne pouvait rêver mieux comme détente !

La boulasse prenait place et après les babillages et discuter avec Ange, Chany, fait connaissance avec Louison, elle avait rejoint le Comte et Liptis ; après les révérences et les "baise main", elle répondit à ce cher Liptis

Oui ! il me tarde de pouvoir revenir cher Liptis !! d'ailleurs je n'ai pas te féliciter pour ton poste de tribun ! j'espère que tout va bien ; sinon, à Calais, c' est un peu calme, cependant je ramenerai une bonne réserve de Père Naud et je te promets que nous y gouterons tous !!

elle lui sourit, tout comme elle vait répondu au clin d'oeil du comte amusée

C'est alors qu'elle vit son ti Pat arriver à la porte de la salle et comme elle lui avait quasi ordonné de venir ^^ elle se précipita à sa rencontre, chopines en main !


Ah te voilà toi !! il me tardait !! tu as vu comme nous sommes toutes fagotées ce jour ^^ tu dois être content ^^ mouarf !!

elle le taquinait comme toujours ^^c'était un de ses passe temps favoris

Bon alors tu viens avec moi pour saluer le Comte !! et après on pourra attaquer les réserves du chateau !!
Je vais attention quand même car mon mari ne devrait pas tarder et je voudrai être debout pour l'accueillir, il me tarde tant de le retrouver !!

Elle explosa de rire et l'entraina afin de rejoindre les garçons qui discutaient ^^chiffons ?? mouahahaha,

Tulle ! bonsoir, excusez moi car j'avais filé un moment, j'espère que tout se passe bien !

Cher Comte, je vous présente un de mes meilleurs lieutenant...messire Patcaf !
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Alicette, la petite fille de 12 ans, broyait du noir en taverne lorsque Nathy et tout les autres l'avait attrapé au passage. Et en route pour la cérémonie ! Mais... Mais je ne suis pas bien habillé ! Pas de problème !
Une petite halte devant sa chaumière, elle choisit une belle robe, l'enfila en vitesse, ajusta sa coiffure et sauta dans la calèche.



Elle ne dit pas un mot de tout le long du voyage. Elle observait Nathy. Enfin, ils arrivèrent. Elle aperçut alors Ombeline qui la complimenta pour sa robe. La petite rougit et la remercia. Nathy, lui, c'était blottis dans les bras de sa mère. Alicette s'approcha et lui dit :

" Alors comme ça t'es le fils d'Ombeline, hein ? Tu sais, moi je l'aime beaucoup ta maman !"
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Leducg se trouvait sur les remparts de Péronne quand un coursier arriva et lui donna une missive. Et c'est rapidement que le Capitaine la lut.

Houlà... J'ai intérêt d'aller vite me changer et de ma rendre aussi tôt a Arras sinon je risque d'être en retard pour le début de la cérémonie.

Leducg donna alors quelques pièces au coursier puis il parti aussi en direction de sa propriété. Une fois cher lui il se dépêcha de sortir son classique costume de cérémonie et l'enfila a toute vitesse. Il prit quand même le temps de faire briller ses galons ainsi que de nettoyer son épée et cirer ses bottes.
Une fois prêt il sortit de cher lui tout en refermant derrière lui puis monta sur sous fidèle ami Ombre et pris la direction d'Arras.

Aller mon ami si on ne traîne pas en route on devrait y être une petit heure avant le début de la cérémonie.

Après plusieurs heures Leducg arriva enfin a la Capitale, on pouvait très bien voir que quelque choses allait avoir lieu vue le monde qui se trouvais déjà présent. Le Capitaine arriva alors au pas a hauteur de la grand place, il descendit d’Ombre et se rendit aux écuries et le confia au palefrenier.

Tien voici quelques pièce, je veux que tu en prennes en le plus grand soin.

Leducg essuya alors un peu ses bottes qui avait prit la poussière durant son trajet de Péronne a Arras. Ensuite il parti en direction du lieu où se déroulera la cérémonie. Une fois sur place il aperçu le Comte accompagner de la Prévôt, il s’en approcha et les salua.

Bien le bonjour, j’espère que je ne suis pas trop en retard car je ne voyais plus le temps passer a force de surveiller les remparts de Péronne.
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Alors que les présentations entre les hommes se passaient, Zaza sentie comme une chaleur derrière elle et n'eut à peine le temps de réagir lorsque Son Ange, la saisit par la taille et la retourna afin qu'elle lui fit face ; il était là !! elle succomba à son doux baiser qu'elle lui rendit avec passion profitant de cette douce étreinte

Elle plongea ses yeux dans les siens et lui sourit

Bonsoir Mon Amour ! te voilà enfin !!
Je vais bien maintenant que tu es là , il me tardait tant !!

Elle rougit alors qu'il lui souffla son Amour et la complimentait sur sa tenue et scrutpa la sienne avec attention, s'approcha et lui souffla un doux "je t'aime"

Mais je te retourne le compliment mon cher mari, tu es magnifique

Elle le laissa s'excuser auprès des autres convives et saluer avant de lui présenter Pat, cependant elle ne prit pas lapeine de lui présenter Alric qu'il connaissait bien

Mon Ange, voici Pat, tu sais celui que je taquine à foison et qui n'est autre que notre meilleur pochtron du guet

Elle éclata de rire et laissa les hommes se faire la bacouette, s'accrochant cependant au bras de son mari adoré
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Patcaf avait eu du mal à se frayer un chemin parmi cette foule habillée comme un dimanche et où tout le monde se souriait même ceux qui s'étaient traités de "frtrfkuy" et même de "vgbjuikjh" la veille!
Heureusement Zaza, poitrine en avant, lui avait frayé un passage.

Un Comte on l'appelle comment? Eminence? Grandeur? Sérenitude? j'en sais rien on va faire simple. On est "Guetautrou" pas diplomate.

Ah! Bonjour, cher Comte , je suis très heureux de vous connaître et de vous présenter les respect du guet de Cambrai ce qui sera vite fait car nous ne sommes plus que deux. Notre guet, comme les autres, tel une fleur en fin de vie s'étiole peu à peu... malgré l'abondance de travail fourni par notre chère Zaza et l'ambiance qu'elle a su créer;
Même si ma tristesse devant cette crise est grande je vous remercie de cette grandiose réception...

On fait la bise? On roule une pelle?
Ah oui, merci Zaza, on s'incline on fait un zweep zweep avec le chapeau et on va boulasser!

Sur le chemin il rencontra l'heureux homme de Zaza. Moins de Protocole...

Salut Tib, Zaza me parle également souvent de vous. elle est très amoureuse mais les tentations sont grandes .
On peut se tutoyer, non? Ne t'en fais pas je la surveille de près, de très près...
Un haut de page sans rappel des scores c'est simplement -1 mais on peut changer ça contre un cruchon ?

Surtout qu'il est pas en haut de page, mais ça fait un cruchon de gagné
Devant la mine satisfaite de Tib il l'amena s'en jeter un dans le gosier.
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Dark' arriva sans se pressée trop habituée aux cérémonies diverse pour ne plus se formalisé d 'une de plus .

Elle avait passé son uniforme son épée au fourreau rouge qui ne la quittait jamais ceinte à sa taille , salua militairement tout le monde et regarda la salle voyant quelques personnes de sa connaissance , les saluant un à un d 'un hochement de tête .

Puis elle chercha ses frères , mais ne vit personne du fort encore de présent .
Elle se dirigea donc pour se servir une choppe attendant tranquillement l' arrivée des autres .
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Dark' entendit une voix l' interpeller , se retourna et vit Fréné .
Sans hésiter elle lui saute au cou et la bisouille faisant fit de la bienséance ambiante bien trop heureuse de la revoir , puis l' écoute surprise

Ton homme ?? Ha mais oui je veux le voire !

Elle rit et posa sa choppe fin prête pour les présentations .
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Louison était aux anges, Chanel lui avait offert une belle robe et l'avait emmenée avec elle à cette cérémonie.

Que de belles dames il y avait,de beaux messires , des soldats en uniformes qui brillaient et le comte....

Elle l avait croisé quelques fois dans les rues d'Arras mais jamais d'aussi près

Chanel ...chanel ... je peux faire un tour dans la salle? Chanel avait accepter

Louison marchait donc dans cette salle immense , au milieu des ces personnes que jamais peut être elle ne reverrait

ca doit ressembler à ca la vie d'une princesse pensa t elle
Elle se retournait de temps à autres , vérifiant que Chanel était toujours dans la salle

Diab qui était de retour a Amiens vaguait a ses occupations dans ses champs.
Soudain un pigeon se posa non loin de lui avec un parchemin attaché a sa patte.Il donna quelques grains de mais au pigeon pour son retour et lu le parchemin.
Ben dis donc une invitation a une cérémonie a Arras signé du sénéchal Pegas.Il se doit de s`y rendre sur le champ.Après un bon bain il enfila son plus bel habit militaire pris quelques trucs et partit pour Arras.
Arrivé a Arras se dirigea vers le lieu de la cérémonie.Que de monde ici se dit-il.Il apercu au loin dans la salle la lieutenant Astreria,Sate et Dark.
D`un grand sourire se dirigea vers eux pour les saluer!
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Devant l’afflux d’arrivants tous plus bien habillés les uns que les autres, Clarisse se rendit compte de l’incongruité de sa tenue. Elle remit ses chaussures en vitesse, puis se promena autour des groupes animés. Tout le monde semblait se connaître, les conversations allaient bon cœur, il n’y avait qu’elle qui était toute seule : était-elle donc la seule nouvelle en Artois ?

Arf elle avait trop voyagé, et ce n’est pas comme cela qu’on se fait des amis…

Puis elle se demanda si elle avait bien sa place à cette cérémonie. Jouer les pique-assiette ne la dérangeait pas mais quand même, elle se sentait un peu de trop.
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Clarisse, simple petite paysanne née à Lausanne.

Sur quelque préférence une estime se fonde,
Et c'est n'estimer rien qu'estimer tout le monde...

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Nathy venait de se prendre les pieds dans la robe d'une grande dame. Ombeline s'excusa et elle présenta Alicette puis Rufus. La petite fille de 12 ans, toute timide, dit :

- Bonjour madame...
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La salle commença à se remplir, ce fut Luna la première qui arriva saluant le sénéchal et le comte, ,ce dernier qui indiqua une porte répondant à la demande de Pegas qui voulait une pièce pour se changer, ce fut le tour de maya qui s'approcha d'eux et les salua suivie de sa sœur d'armes de la même garnison la soldate Naoki. Le jeune sénéchal s'excusa et se dirigea vers la pièce, saluant révérencieusement au passage une comtesse qui se joignit à Lndil tojours préoccupé par les derniers préparatifs...

Une fois à l'intérieur de la pièce, Pegas ôta ses vêtement civiles et enfila son uniforme propre ses deux galons brillants sur ses épaules et son arme dans son fourreau, en caressant le pommeau de son épée ornée sur l'extrémité d'un petit pégase argenté, un léger sourire naquit en pensant à la personne qui lui avait offert cette œuvre artisanale forgée par lui même, le jeune sénéchal se noya dans ses souvenirs pensant à ses moments en compagnie de son ami, il aurait espéré le voir ici dans cette cérémonie... ah *oui la cérémonie*, pensa t-il il... Il fut resortit de sa petite rêvasserie nostalgique quand il entendit des voix , des rires, des bruits de verres trinqueurs... Une belle ambiance régnait à l'extérieur de cette petite pièce... Pegas en sortant de la pièce fut surpris de voir tant de monde, balayant la grande foule du regard, il reconnu presque tout le monde, Il salua de la tête ceux qui croisèrent son regard et avança vers les table du buffet ....
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Cask avait suivit sa douce à travers la salle, belle comme elle etait il l'aurait suivi n'importe ou...:p
Ils arrivèrent près de chanel et d'une dame qu'il ne connaissait pas. D'un hochement de tete il salua l'inconnu et rendit sa bise à chanel.

"Content de te revoir chanel depuis le temps! et oui ma douce fréné a reussi a me mener jusqu'ici mais ma récompense en vaut la peine."

Il adressa un sourire coquin à chanel puis ne pu resister à l'envie de deposer un delicat baiser dans le cou de sa bien aimée.
Il adressa un sourire à la personne qui se prénommait ange et se présenta

"Bonjour dame je suis Caskblinder d'Argenson, tisserand péronnais et amoureux de la miss fréné, ravi de faire votre connaissance."

Sa belle venait d'interpeller une autre jeune femme, decidemment sa douce connaissait beaucoup de monde...Arrivée à leur hauteur Cask se sentit dévisagé, quelque peu mal à l'aise il souria betement.
Laissant fréné faire les présentations et discuter il regarda la foule et reconnu certains de ses amis, d'un hochement de tete il les salua...
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Chanel sourit a Cask

bien longtemps en effet , nos occupations y sont pour beaucoup elle vit alors atterri a leurs pieds un chapeau qu ne leur était pas inconnu

Elle se baissa et le ramassa

hum hum.... je crois que ceci appartient a une de nos connaissances Fréné,

relevant la tête , elle aperçu Odas qui leur souriait
Elle lui rendit son sourire et l invita a venir les rejoindre par un signe de la main
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Nathy observait tous ces Grands bouger, parler fort et s’en filocher pour certains verre sur verre. Il avait bien envi e de tendre la menotte vers l’une des pâtisseries alléchantes. A la rigueur, il en offrirait bien une à Alicette, sa camarade du jour, avec qui il avait fait plus ample connaissance dans la calèche. Quoiqu’en y réfléchissant, il ne lui avait pas dit bien grand-chose, acquiesçant à ses questions " Alors comme ça t'es le fils d'Ombeline, hein ? Tu sais, moi je l'aime beaucoup ta maman !" et confirmant par un moi aussi, j’l’aimeeeeeeeeeee bien retentissant et pis après ils avaient été hypnotisés par les histoires contées.

Il tourna sans cesse la tête, observant tout autour de lui. Il sentit quelques picotements sous la nuque et croisa le regard du vieux coursier. Ce dernier n’arrêtait pas de le mirer avec un drôle d’air, pourtant, il se tenait à carreaux, et n’avait fait encore aucune sottise. Il lui sourit d’un air angélique, montrant ses mimines blanches. Soudain, ce fut le branle bas de combat. Sa mère avait décidé de lever le camp, adieu gâteaux et sucrerie, direction la vieille pas tout à fait vieille répondant au nom de Stella. Soupirant, il suivit sa mère bon gré mal gré, et c’était guère facile avec tous ces grands et ces longues robes, fallait jongler, esquiver… Patatras, le voilà prit dans une étoffe rouge et boumm. Tout penaud, le séant sur le sol, il leva les yeux vers la dame aux longs cheveux. Il se releva puis bafouilla des excuses et fit une petite révérence comme il l’avait apprise avec son tuteur.

Pardon, D’me, j’vous avais pas vu.
Pardon D’me.
Pas fais attention. Vousetes pas fait mal ?

Paroles accompagnées d'un sourire angélique.
Sa tendre maman prit la parole, puis Alicette se présenta. Flûte, pas présenté moi, ni salué vite il devait se rattraper. Seconde petite révérence.

Oui, bonjour Mad’me.
Je m’appelle Na tha nael.

Il se tortilla un peu, attendant que la dame réponde et espérait ne pas lui avoir fait mal. C'est là qu'il aperçut le Sénéchal qu'il avait rencontré lors des festivités de la Saint Jean. Il s'en rappelait bien car l'officier taillait les bûches avec une rapidité et dextérité déconcertantes. Il tenta de lui faire un petite geste de salutation, mais devait sans doute pas le voir puis regarda de nouveau la dame de ses grands yeux.

Clarisse en était là de ses méditations quand un petit garçon vint la heurter, manquant presque la renverser sous l'effet de la surprise. Elle se pencha pour vérifier que l'enfant n'était pas blessé mais déjà une jeune femme l'abordait :

Oh, veuillez nous pardonner, nous allions un peu vite et mon fils a encore par moment du mal à tenir sur ses gambettes.
Clarisse sourit :

Je vous en prie, il n'y a pas de mal.

La dame reprit :

Je n’ai pas l’honneur de vous connaître, êtes-vous nouvellement installée en nos terres ?
Je me présente, Ombeline, Baronne d’Ytres, Bertincourtoise, voici mon fils Nathanael, accompagnée d’une jeune voisine de notre village , Alicette et là, Rufus, mon coursier ou plutôt hum l’homme devenu indispensable de la maisonnée qui est à notre service depuis des lustres.

Bien le bonjour noble dame. Je me nomme Clarisse... tout court... fit la jeune fille en souriant.Je suis nouvelle effectivement, je me suis installée à Calais après un long voyage. Je me suis invitée à cette cérémonie, sans doute n'avais-je pas à le faire mais j'avais besoin de distractions.

Elle faillit rajouter que son garde-manger était vide et que la réception, et surtout son buffet, était le bienvenue mais un sursaut d'orgueil l'en empêcha. Elle décida de changer de sujet :

Vous avez un bien bel enfant, Madame. Et extrêmement poli et bien élevé.

Bonjour jeune Nathanael, rajouta-t-elle en faisant un clin d’œil au petit garçon.
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Clarisse, simple petite paysanne née à Lausanne.

Sur quelque préférence une estime se fonde,
Et c'est n'estimer rien qu'estimer tout le monde...

Zaza aprèsa voir profité de quelques verres en compagnie de son amour, de Pat, sourit à l'appel de Lndil ; elle glissa un bisous à son Ange et l'excusa afin de rejoindre le Comte à sa demande

Elle était toute éxitée et avait hate de voir la cérémonie débuter ! elle alla se placer non loin du Comte et attendit les autres personnes appelées
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Tout au plaisir de sa degustation, elle vit soudain arriver son chef ami Odas, qui vint lui faire quelques courbettes d'usage, qu'il n'etait pourtant pas habitué à lui faire d'ordinaire.
Elle tenta de garder son serieux le temps qu'il lui fasse sa reverence mais quand il arriva au baise main, elle pouffa de rire.

Bonjour très cher, quelle joie de vous voir en ce lieu, vous voilà bien élégant vous aussi...

Puis reprenant sur un ton plus familier.

Bon un peu de sérieux, tient moi compagnie, j ai l'air d'une poivrote ainsi tout seule avec ma bière.

Ils trinquèrent alors que Liptis venait les rejoindre.
Il fit moins de manieres et lui donna une chaleureuse bise.

Bonjour mon filleul, je vois que tu es toujours à l'heure aux cérémonies pas comme moi, enfin le comte n'a pas encore commencé, donc on dira que je ne suis pas en retard...ah ben d'ailleurs quand on parle du loup le voilà qui s'installe sur son trone...
ça lui va pas trop mal, on dirait qu'il y prend gout!

Elle souria et vida alors la chope qu'elle tenait, et demanda à ce qu on lui en reserve une seconde
Elle n'etait pas encore trop attentive à l'allocution du comte qui demandait à ce que l'auditoire prenne place...elle se demandait d'ailleurs à quel endroit ils devaient se rendre.
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Astreria se retourna aux paroles de Luna pour voir sa Sergente, tenter de se dérober. Mais elle n'eut pas le temps de lui courir après que la petite dernière parmi les archers arriva, Dame Sate.

Elle rendit son salut à Sate. Puis comme cette dernière lui demandait si cela allait durer longtemps, une idée germa dans son esprit :

Longtemps ? Je ne pense pas, enfin ça dépendra du Sergent, vous savez : elle est capable de ralentir une cérémonie à elle toute seule. Je serai vous, je la ramènerai vers nous, elle est déjà perdue et dieu sait ce qu'elle va encore nous faire. Oui, Sate, étant donné que la mer doit vous appeler, surveillez donc le sergent !!!!Elle souriait, ça serait une corvée de moins pour elle.


Oui, luna j'ai fait très bon voyage et après je repars directement pour péronne avec euhhh le sénéchal et le sergent, dit elle légèrement inquiète. Elle voyait d'ici les soirée beuveries dans les fossés, ça allait être du joli


Regardant la porte, elle vit Diabolo la franchir et le salua quand il les rejoignit. Puis elle attendit le début de la cérémonie et l'arrivée des soldats manquants. Promenant son regard, elle remarqua un garnement qui avait l'air aussi gaffeur que son Sergent, Jaidelachance
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Le comte prend la parole et sans se départir de sa choppe s 'installe tranquillement aux cotés de ses amis afin de voire le déroulement de la cérémonie .
Apercevant Diablo elle lui fait signe afin qu' il les rejoigne .
Puis Fréné la présente alors à son aimé

Cask enchantée...

Elle le regarde et lui tend la main tout en cherchant du regard ses frères se demandant pourquoi aucun n' est présent .
Cele fait plus d 'un moi qu' ils sont mobilisés elle même est épuisée , mais elle continue de fouiller la foule présente du regard espérant tomber sur un visage familier .
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B’jour, b’jour la compagnie.

Pegas se tourna lorsqu'il entendit la voix familière qui s'adressé au petit groupe...

Bonjour Ombeline... toujours aussi ravissante ... La baronne était accompagné d'une autre dame qui ne faisait pas partie du domaine d'Ystre, le sénéchal n'eut pas le souvenir de l'avoir rencontré avant, il fut curieux de savoir qui s'était, chose qui ne tarda pas à arriver....

Je vous présente Clarisse, calaisienne depuis peu, après un long périple.
Dame Clarisse, voici :

Stella, Leportel, Pegas, humm Polgara, il me semble si je ne me trompe pas.

Tous soldats de l’Ost. D’ailleurs cette cérémonie est en leur honneur ainsi que pour les membres du Guet.

Enchanté dame Clarisse, je suis ravi de vous connaitre... accompagnant ses paroles d'un geste révérencieux...

Pegas porta son regard vers l'estrade lorsque il entendit la voix du comte...
Chères Artésiennes et Artésiens.... si vous vous voulez bien prendre place

Un moment après avoir attiré l'attention des invités , Lndil fit signe au sénéchal, qui s'excusa auprès de ses amis et la dame qui s'était jointe à eux et se dirigea vers l'estrade, il s'arrêta au passage quand il aperçu Nathy...

Salut toi ... lui dit il d'un sourire amical ébouriffant ses cheveux... Je suis content de te voir ici, le sénéchal fut surpris quand son regard croisa celui de la fillette qui était pas loin de Nathanael ...

Alicette !! toi ici?; mais quelle jolie surprise, je suis heureux de te voir... cette une cérémonie ne va surement pas t'ennuyer, profites en... Pegas lui fit la bise et se tourna ensuite vers le fils de la baronne ; lui fit un clin d'œil complice... à tout à l'heure mon grand... et veille sur Alicette ^^...

Pegas monta sur l'estrade, il salua Zaza et se plaça à coté du comte , attendant la suite des évènements...
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Faisant un signe à chaque arrivant sur l'estrade.
Il ne nous manque que la comtesse Erwyndyll.... mais je ne doute pas qu'elle va arriver.

Se mettant bien en face de l'assistance et parlant d'une voie forte.

Nous voila réunis aujourd’hui pour remercier plusieurs personnes pour leur aide au comté. Aide qui bien souvent se fait corps et âme sans compter le temps passer.

Il est temps que certains de ces individus soient remerciés ici publiquement afin de reconnaître justement leur travail.

Appelant la prévôt Zazaroyaume à ses cotés.

Concernant le guet…
Nous avons proposés pour un anoblissement les lieutenants Nicolas__eymerich et messire Patcaf .
Lndil appelle les deux personnes au devant de lui.
Messieurs, nous n’avons pas encore eu de réponses de l’hérauderie…Les services de l'hérauderie ont été fortement pris et nous n'aurons une réponse que dans la quinzaine.
Sachez néanmoins que vous êtes promus au grade de Commandeur de l’Ordre du Mérite du Cygne dès à présent.
ET quoi qu’il arrive un grand merci de la part de notre comté et de tous ses habitants.


Voyant le sénéchal Mateu arriver, il l'invita sur l'estrade d'un geste de la main.
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Mine de rien elle fit une grimace rapide a Odas puis repris son sérieux

Chanel avait fit signe a Louison de la rejoindre , la cérémonie commençait

Elle attrapa la main de la petite et se faufila parmis la foule

viens sinon nous ne verrons rien


Le comte appelait Pat et Nicolas, Chanel était heureuse de voir son ami ainsi récompensé
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Nathy devint pivoine quand la clarisse tout court dit de lui qu’il était beau et pis poli. Ses petits yeux brillèrent de joie. Et toc, pour le vieux schnock qui la ramenait sans cesse depuis l’histoire des allégeances. Le garnement se retourna vers Rufus d’un air de dire, tu vois, hein, t’entends bien des esgourdes là… Et hop, flûte pas le temps de traînasser que sa mère repartait sur les chapeaux de roue direction la pas tout à fait vieille de Stella. Ah celle-là, il l’aimait bien, en plus elle en savait des trucs sur les zamours.

Il prit la main d’Alicette afin qu’elle les suive bien dans cette foule de Grands, après tout c’était lui l’Homme de cette équipée parce que bon Rufus, hein… tout sourire aux lèvres, il se posta devant Stella pendant que sa maman parlait, parlait, parlait un vrai comme un moulin, à se demander ce qu’elle avait ce soir, et pourtant elle n’avait rien bu, ça il en était certain, il ne l’avait pas lâché d’une semelle. Il plaint Clarisse tout court mais bon, se glissa vite fait dans les bras de la pas tout à fait vieille Stella et déposa un poutou sonore sur sa joue puis il se réinstalla près d’Alicette.


Salut toi ... ébouriffement des cheveux par le Sénéchal... Je suis content de te voir ici
à tout à l'heure mon grand... et veille sur Alicette ^^...

Nathy hocha de la tête d’un air entendu et tout en se haussant sur les pieds, enserra la taille d’une main de propriétaire Alicette pourtant plus haute que lui.

Oui, chef !!!


Tout à coup la voix du monsieur aux grandes oreilles pointues retentit. Nathy tira sur l'un des pans de la robe de sa mère, lâchant Alicette quelques secondes.

Za commence, za commence, m'man, il parle le monsieur aux grandes oreilles pointues et hoooo, regarde, regarde, m'aman, y'a Pegas aussi qu'est là bas, et pis hooooo,
tirote ensuite sur la robe de Clarisse.
Olalala, zavez vu Dame Clarisse tout court, zest pour des médailles !!! Za brille...

Il ouvrit les noeils bien grands, et ferma le bec qaund il vit la mère de sa princesse de cœur dans la foule soldatesque. Sa comparse ne devait pas être loin, il la chercha partout des yeux.

Patcaf, un peu surpris, s'avança sur l'estrade. Malgré son côté rebelle il était impressionné.
Il s'éclaircit la gorge (une bonne boulasse ne sera pas inutile après ) et prit brièvement la parole.

Cher Comte, je suis à la fois heureux et surpris de votre reconnaissance.
(regarda Zaza puis le groupe du guet)
En effet, d'autres méritent autant voire plus que moi cet honneur.
Je vais pourtant avoir l'outrecuidance de vous demander plus, une simple promesse de votre part: que dans votre participation aux futurs conseils vous fassiez tout pour que le guet puisse retrouver sa place, celle qu'il mérite, au sein de l'Artois.

Laissant la place à ceux qui le suivaient il rejoignait la bande des "Guetautrou" pour partager avec eux ce qu'il considérait comme un début... et boulasser un grand coup
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Zaza voyant Patcaf se faufiler le rappela à la hate

mais tu veux resté la oui !!reviens en face de moi non mais !

Elle lui sourit

Zaza tenant les deux récompenses, s’avança devant Patcaf et s’est émue qu’elle lui passe le collier autour du coup ; il avait été un soutien sans faille et lui avait appris nombreuses ficelles du métier

Mon cher Patcaf ! Au nom de tous, j’ai la fierté et l’honneur de pouvoir te remettre ce collier ; il représente notre reconnaissance, récompensant ton investissement de chaque jour, ton mérite et l’excellence de ton travail !



Elle s’avança donc pour lui faire la bise, émue et sourit à son ti Pat, puis alla se placer à coté du Comte lui signalant que Nico aurait surement beaucoup de retard...
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Le personnel au service du comte passait à travers la salle avec un plateau où des chopines y était posées. Tirtsa en pris une lorsque celui-ci s'approcha du groupe. Ses yeux noisettes brillaient en écoutant Patcaf.

Pat mettait à l'honneur le Guet d'Artois ce qui ému beaucoup la jeune femme. Discrètement elle leva sa chopine en direction de Pat tout en esquivant un sourire à Zaza et à Alric à ses côtés.

Puis notre prévôt s'avança vers l'estrade tenant deux colliers qui servaient de récompense dans sa main. Pat était déjà descendu de l'estrade quant Zaza l'interpella. Le lieutenant Patcaf fit demi-tour malgré lui. Tirtsa se retenait de rire. Sacré Pat !! pensait-elle.

Elle vit au loin Chany et Ange, un sourire au lèvres.
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Dans le public avec sa charmante compagne, le pépère suivait cette remise de récompenses. Bien au creux de ses bras, il écouta la remise du collier du chevalier au Cygne à Patcaf. Il se retourna vers sa belle et lui dit alors.

Allez, on s'en va, j'en ai assez vu.

Mais c'est que le début amour.

Oh tu sais, il n'est pas utile d'en voir plus. Quand tu vois ce qu'on lui remet pour tout son travail. Le pauvre Pat, au lieu d'être félicité, on le traine dans la boue en l'associant à Alazais, TGT, Gnia et tous ses traitres fuyards. Ca me dégoute moi. Je reste pas plus longtemps à cette supercherie. Mais si tu veux rester, tu peux mon amour, vais aller me siffler quelques futs pour oublier ça !
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Heureux de la présence de Zaza, à la fois chef et complice ....

Zaza (Peux pas te dire "Madame la Prévôte", ça casserait tout...) comme je l'ai dit tout à l'heure à notre Comte,je suis heureux pour moi c'est certain, mais aussi pour tous les boulasseux et boulasseuses qui sont là, mais plus que tout j'espère que le travail que tu as fait, sans relâche, avec nous pour le guet portera ses fruits demain!
Excuse moi auprès du Comte de m'éclipser un moment mais je dois aller très vite remercier quelqu'un sans qui je ne serais pas là aujourd'hui et qui a droit à de la reconnaissance, au moins la mienne!

Fendit la foule, se dirigea vers Fid, lui roula une pelle pour cacher son émotion et revint se placer sur l'estrade
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Comprenait YB, même s'il regrettait qu'il parte si vite.
Il avait eu les mêmes pensées tout à l'heure. Là, il restait un espoir et sans arrière pensée par rapport à l'évènement ni à la politique, qu'on montre que le guet existe suffisait à son bonheur.
La déception serait que ce soit sans lendemain
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Pink blessée était arrivée avec son amour , la main d'YB sur sa taille elle regardait tout autour d'elle, écoutait distraitement car sa blessure lui faisait encore mal.

Déçu Yeuxbleus l'entraina vers quelques beaux futs, et l'invita a trinquer avec lui.
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Les actes non les paroles font la loyauté

La Baronne d’Ytres avait la gorge sèche aussi mais n’eut guère le temps de prendre une coupe à son tour que le silence était réclamé dans l’assistance. La remise des récompenses allaient prendre place. De petits coups secs tirèrent sur son étoffe. Elle attrapa la paume de son fils qui semblait tout excité.


Za commence, za commence, m'man, il parle le monsieur aux grandes oreilles pointues et hoooo, regarde, regarde, m'aman, y'a Pegas aussi qu'est là bas, et pis hooooo,
Olalala, zavez vu Dame Clarisse tout court, zest pour des médailles !!! Za brille...

Oui mon ange mais chutttt, ne nous faisons pas remarquer et… mais plus la peine d’en dire davantage, il était devenu muet comme une carpe.

Intriguée d’une telle rapidité dans l’exécution de sa demande, elle le contempla étonnée et comprit bien vite la raison de son état en apercevant un des membres de la famille Squire, le reste de la troupe ne devait point être loin.

En balayant la salle du regard, elle aperçut encore de nombreuses allées et venues. La salle aurait du mal à contenir tant de monde. Elle était heureuse de voir pareilles festivités, tous devraient s’en réjouir, oui tous. D’un même mouvement avec ses voisins, elle applaudit les récompensés au fur et à mesure et fit un clin d'œil complice à Alicette qui semblait être tout comme son fils, aux anges d'assister à un événement aussi important pour l'Artois.
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Chani était heureuse de voir le travail de Pat mais du guet tout entier mis à l honneur, la médaille importait peu a ses yeux , la reconnaissance était là, aux yeux de tous .......

Elle regarda son parrain s éloigner , ne le comprenant que trop bien

Vous avez l air bien triste ma dame?

ce n est rien , je t expliquerai un jour quand tu seras plus grande
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Depuis le début de la cérémonie, ses yeux n'avaient quitté la porte d'entrée. Personne n'était arrivé à l'horizon.
Déçue, elle se glissa silencieusement sur l'estrade et attendit la suite.
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Comtesse de Guines, Dame d'Anzy

La soirée étais déjà commencer, dès son entré dans la salle il aperçu Erwyn qui regardais la porte intensivement, ne sachant pas trop si se regard lui étais destiné il étais un peu nerveux, car il venais tous juste de faire apparition main dans la main avec la fille d’Erwyn. Neidanac étais bien au courant que la comtesse de la grande affection de la comtesse et sa fille et de l’importance de voir sa fille resplendissant de bonheur, mais le bourrin se répéta silencieusement dans sa tête que se regard ne lui étais pas destiné, question de se soulagez !... la comtesse attendais peut être quelqu'un. Sa main se referma d’avantage contre celle de Elena pour l’entraîner tous en douceur pour se frayer un chemin pour se rapprocher de la scène,
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TENACI VIMINE JUNGOR/ UN LIEN PUISSANT M’UNIT AU LYS

Gabyc arriva discrètement dans la salle sans trop se faire remaquer. Elle avait entendu parler de cette cérémonie un peu au village. La jeune femme s'était dit qu'elle y pourrais bien y aller aussi, croiser les gens de l'ost et les anciens colègue du guet. Elle avait laisser ses cheveux détachés tomber sur ses épaules et était vêtu d'une robe bleuté assez simple, rien pour se faire remaqué.

Une fois dans la salle, elle s'empressa de trouver une place libre dans l'estrade pour assister à la remise. Elle passa au bar juste avant, histoire de ne pas passez la soirée seule, elle aurait aumoins la chopine. Elle salua Perl qui était assis non loin, puis Maya et Neid qui venait d'entrer.
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Fanfan avait fini par arriver sur le lieu de la remise des distinctions, mais n'avait pas réussi à décider Beauz à l'accompagner, pourtant elle l'avait patiemment attendu.
C'est donc accompagnée de sa petite fille Manon qu'elle entra dans la salle au moment où le Comte et Madame La prévot remerciaient Pat pour les services rendus.
Heureuse de constater qu'on reconnaissait enfin le travail immense accomplit par le guet, elle essaya de se frayer un passage.
Il y avait beaucoup de monde et surtout des visages connus.

S'adressant à Manon, elle lui chuchota:

" Ne me quitte pas des yeux, car tout le monde ne te connait pas et je risque d'avoir un peu de mal à te retrouver si tu te faufiles entre les gens, Maman ne peut pas progresser comme toi au milieu de ce monde et je vais rester discrète , espérant peut être l'arrivée du Lieutenant" ajoutat elle en souriant
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Callima regarda Mungaud bousculer ceux que le séparaient d'elle et venir la rejoindre.
Elle rougit quand il la complimenta sur sa toilette.

Ta réputation? Je ne voudrais la ternir!

Elle était surprise de sa réflexion. Une de plus ou de moins dans son Harem...
Elle resta contre lui à écouter la suite des récompenses. Elle n'y comprenait rien mais pour le moment une seule chose lui importait: elle était avec Mungaud, il lui tenait la main.

C'est encore long? On mange et on boit quand?
Je n'ai rien pris depuis que j'ai quitté Bertin. Certes je suis partie avec la Boulasse mais là... çà commence à faire faim et soif...

En plus tous ces gens que je ne connais pas..... C'est vraiment pour toi que je suis venue...

Elle se hissa sur la pointe des pieds et lui embrassa tendrement sa joue barbue

Zaza avait laissé le temps à Alric de présenter ses respects au comte et vint se placer devant lui

Cher Alric, j’ai la fierté de pouvoir te remettre cette récompense plus que méritée pour ton ancienneté et ton implication au sein de notre entité, mais aussi la médaille de vétéran ainsi qu’une chemise brodée ornant la barrette de celle-ci au nom du Guet!



Une fois le collier remis, elle lui accrocha la médaille de vétéran



Voici ta chemise



Zaza après avoir donnée la chemise à Alric et l'avoir en core félicité, lui fit une bise, puis se recula afin de laisser le comte reprendre la parole
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Je vous prie de me pardonner, votre Grandeur, vous êtes difficilement accessible ce soir,

Après la remise des décorations par Zazaroyaume

Il n'y a aucun souci mon cher Alric car il y a vraiment foule... aujourd'hui nous prendrons bien notre temps afin que beaucoup soit remercié...
Nous allons d'ailleurs attendre messire Lénaïs qui devrait apparaître.


Erwyndyll était venue s'installer sur l'estrade, il lui fit un merveilleux sourire car elle semblait préoccupée...
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Oh Chanel , regardez ce que votre ami Pat fait a l 'autre messire

Chanel sourit en voyant la petite Louison choquée par la pelle de Pat

comment t expliquer, ce n'est pas ce que tu crois ,c'est une marque d'amitié disons purement cambrésienne

C'est qui le messire?
c'est Fidos, un ami
Et la jeune dame aux cheveux rouges c'est Maé, capitaine des taureaux de cambrai, mon amie aussi
se sont tous vos amis????
Oh non pas tous , je connais nombre d entre eux certain uniquement de noms , où pour les avoir rencontré , allez chuuut la cérémonie continue, je te présenterai tout le monde après !!

Creeks arriva accompagné de sa servante, il était un peu énervé, car il n'avait toujours pas reçu les écus pour payer les soldats!!

Enfin bref ce n'était pas l'endroit, ni le moment, il s'installa discrètement, pas très loin de sa sergente et la salua d'un signe de la tête
Il remarqua que son Lieutenant n'était pas là, pourtant c'est l'occasion ou jamais que certain voit a quoi il ressemble, mais il ne fut pas plus choqué que sa, après tout sa fait heu....

Il réfléchit cinq bonnes minutes....

Bah le premier jour ou il est arrivé ce fut aussi la dernière fois qu'il l'est vue en faite, mais au moins lui a eu la chance de le croiser

Il sourit et secoua la tête pour revenir a ce qui se passé dans la salle et essaya de reconnaître des visages familier, tout en écoutent la suite
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Le vieux coursier ruminait de n’avoir pu sortir une quelconque bafouille pour s’éclipser de l’escouade d’Ytres avant la demande du Comte de faire silence. Là, il était un peu tard pour déranger la Baronne de manière discrète. En outre, elle avait l’air hypnotisée par tout ce tralalala, à moins qu’autre chose la captivait mais bon le Rufus avait autre chose à penser lui. Et pis tous ces décolletés plongeant et ces peaux de porcelaine commençaient à bien l’émoustiller.

Il fallait qu’il LA trouve dans cette masse colorée, mais cela ne serait chose aisée tant la salle était remplie, à croire que tous les artésiens s’étaient donnés rendez-vous. Y aurait-il assez de victuailles, de poulardes rôties, de sanglier en sauce, de pâtés et autres viandes alléchantes ? Difficile dilemme tout de même auquel il était confronté, le buffet ou la quête de sa fougueuse amiénoise. Jetant ensuite un regard en biais sur le buffet, il prit le Saint Père de la Boulasse de ne pas l’oublier et balaya à nouveau la salle des banquets de son regard avide. Un petit mouvement sur le côté autour de Stella lui fit tourner la nuque. Ses grosses paluches devinrent moites, ses yeux s’emplirent d’une convoitise nouvelle, une légère coulée de bave ruissela au coin de sa bouche.

Bondiou de vindiou, comment avait-il pu ne pas LES voir plus tôt ? La chemise de l’aspirante en était déformée tant ils semblaient étroits dans celle-ci et si ... Raclement de gorge du vieux débridé. La grossesse avait certains avantages pour le plus grand bonheur des yeux de Rufus. Le vieux coursier était dans la fascination de caresser cette poitrine si opulente, ce ventre arrondi, ces larges hanches... et de faire bien d'autres choses, tant son imagination était riche en ce domaine. Une petite déformation se fit peu à peu dans le bas de son pantalon. Tudieu de bonté de mère, marmonna-t-il, zest pas le moment de za. Il devait se concentrer sur le discours, oui, le discours. Par tous les saints, difficile de le faire, avec za sous le pif. Y avait vraiment de quoi se rincer les mirettes, et en oublier les papillons qui le talonnaient quelques instants auparavant dans l’estomac.

Néanmoins, il se sentit observé, tourna la caboche et croisa un ensorcelant regard à se pâmer d'amour et de volupté. L'actrice principale de ses fantasmes depuis des mois était à quelques foulées de lui. ELLE était là, il n'avait qu'à faire quelques pas, juste à trouver une brèche parmi cette foule et lui déclarer toutes les phrases iditotes apprises et répétées devant le miroir pour la prendre de nouveau dans ses filets.

Quelque chose clochait dans ce regard autrefois si vibrant. Il y flairait un sentiment différent, un je ne sais quoi de ... Et là, il LA vit lui jeter un regard de haut en bas et surtout d'en bas. Pâlissant, il comprit que ses braies trahissaient parfaitement son état d'esprit, mais après tout elle n'avait peut-être pas découvert l'origine de cette effusion, y avait donc pas à se faire du mourrons.

Atlante arriva dans la salle où la cérémonie avait déjà commencée depuis un moment, déjà des récompense étaient données.

Il rentra discrètement et se mit à la recherche de certains de ses compagnons. Ce qui ne fut pas facile, vu le monde qu'il y avait ....
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Fanfan vit arriver Creeks qui lui fit un petit signe; elle remarqua qu'il semblait soucieux...
Puis elle vit arriver Loulou, toujours aussi dynamique et en quelques minutes , elle se vit propulser vers le buffet, Manon, dans les bras de Loulou.

"Doucement, on va pas bousculer tout le monde" dit Fanfan en lui souriant "Manon va être aux premières loges dans tes bras"
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Perl cherchait du regard Lenais que tous aussi semblait chercher peut-être une urgence à Bertincourt le retenait… La tête toujours tournée elle avait cru entendre son nom résonner, son cœur avait fait mille tour avant qu’elle réalise que c’était bien à elle de se rendre à l’avant.

Les jambes tremblotantes elle avait fini par réussir à se faufiler jusqu’au comte, incognito elle avait du essuyer ses mains plus d’une fois durant se trajet qui lui avait semblé durer une éternité.

Arrivé devant Lndil, Perl avait fait une révérence respectueuse, avec un sourire timide de se retrouver ainsi à l’avant.

Oooo merci sir. Avait-elle dit d’une petite voix que seul les gens en première ligne avait pu entendre avant de regarder sa marraine.
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Toujours le regard fixé sur la porte...et toujours personne. Les décorés passaient l'un après l'autre. La Comtesse ne les voyait même pas et elle ratait l'essentiel de la cérémonie...

Elle poussa un soupir, chercha à se concentrer sur ce qui se déroulait sous ses yeux et regarda autour d'elle.
Sourire éblouissant du Comte d'Artois, Erwyn chercha au fond d'elle-même de quoi lui en offrir un presque convaincant. Allez...on pourrait presque y croire.

Il fallait qu'elle s'applique à suivre cette cérémonie. Bientôt son tour viendrait et elle se voyait bien rester raide comme un piquet et sourire aux lèvres sans s'avancer à l'évocation de son nom et de la tâche qu'elle avait à faire.
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Comtesse de Guines, Dame d'Anzy

Merci à vous Perl pour votre travail au nom de l’Artois. Il l’embrasse chaleureusement.
Veuillez rejoindre vos compères à ma droite…


Lndil regarda la comtesse de Guines... son sourire ne faisait que trahir l'attente ou la tristesse visible dans ses yeux...
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Ange s'était installer dans un coin avec les petits . Léa et Olivier s'amuser tout deux comme a leur habitude . Pendant ce temps Ange profiter de regarder la cérémonie . Elle fit un grand sourire quand Pat reçu sa récompense .

Ange était fin heureuse que des personnes du guet était féliciter pour leur travail et leur dévouement pour ce métier qui était très prenant . Elle en savait quelque chose puisqu'elle même avait été Lieutenant il n'y a pas si longtemps que ça . Maintenant elle se proposait à aider les guets qui avaient besoin d'aide en ces temps difficile . Malgré qu'elle est démissionné de son poste, elle avait encore du mal à partir de se travail qu'elle aimait . D'où sont engagement récent dans les réservistes .

Revenant hors de ses pensées, elle continua d'assister aux remises de prix tout en continuant de surveiller du coin de l'oeil ses deux enfants .
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Regarde Perl faire sa révérence et rejoindre les autres membres du guet à sa droite... il s'avance à nouveau

Remercions aussi pour le riche soutien apporté à leur lieutenant respectif mais aussi, reconnaissant là, des intégrations exceptionnelles.... mesdames Tirtsa & Crysline et messire Guillome
Si ces personnes voulaient bien s'avancer jusqu'à nous et monter sur cette estrade !
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Le diacre arriva très en retard.

Mais enfin ils peuvent pas sonner les cloches pour prévenir quand ça commence ?! J'suis désolé mais c'est des choses qui se font.

Rouspéta t-il dans sa barbe.

Fidos avait eu la main lourde en taverne, il avait fallu à Carbo un peu de temps pour reprendre ses esprits et encore il n'était pas bien sûr de les avoir tous retrouvés...

La foule se pressait dans la salle des banquets, une foule comme il avait rarement vu, peut-être même plus grande que pour le passage du Roy à Bertincourt, c'est dire.

Certes le diacre n'était pas concerné au premier chef par l'événement, il n'avait pour toute expérience dans le maintien de l'ordre que quelques veilles sur les remparts de Péronne lorsque les brigands rôdaient et les Champenois menaçaient m'enfin il était curieux d'assister à un grand moment d'unité Artésienne et de rendre hommage à ses zélés et obscurs défenseurs. En tout cas l'émotion était palpable et générale dans l'assistance.

Bon alors où est passée Chani ? Comment faire pour la retrouver dans tout ce beau monde...

Bravo Guillomme !

Dit-il quand il entendit Lndil appeler son compatriote Péronnais.

La première connaissance qu'il aperçut était Darkangelfly, la jeune femme avait l'air assez tendue. Il l'approcha doucement...

Bonjour Dark.

Chuchota t-il...

J'ai raté beaucoup de choses ? Dis-moi, as-tu vu Chani ?
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Nadjine arriva à la cérémonie avec beaucoup de retard, mais c'était son habitude.

Pour l'occasion, elle portait une houppelande blanche, brodé de fils dorée et de perle de la mer du Nord. Sa ceinture était un cadeau de sa défunte mère, seul héritage désuet transmis de mère en fille, et abîmé pas le temps.

Ses cheveux qu'elle avait pour habitude de relever en un chignon tenu par une aiguillette, étaient lâchés, et montraient toute leur longueur. Deux, trois fleurs misent en guise d'apparat.




Elle entra discrètement dans la salle de cérémonie, tenant son fils, Galaad, par la main.

Celui-ci avait à peine trois ans, il rentrait pour la première fois dans une cérémonie officielle. Une petite peur lui vint à l'esprit à la vue de tant de personnes, il s'accrocha un peu plus à la main de sa mère. Il portait un petit mantel vert sur des braies marron. Un ceinture de son père avec, une bourse en cuire à lanière torsadée.

Nadjine regarda son petit homme avec beaucoup de fierté et regretta l'absence de son amant. Chassant ses pensées de son esprit, elle s'avança et reconnu Ange. Elle alla vers elle, fit une grosse bise à ses filleuls Léa et Olivier. Et laissa Galaad les rejoindre dans leur jeu.

Puis demanda:

euhh, tu pourrais me résumer un peu la cérémonie.... je suis en retard comme d'hab!
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Guillomme arriva, enfin à Arras, après avoir avait reçus un courrier, lui demandant d’y venir rapidement
Epuisée de la route, et du travail de colosse qu’il effectuer depuis quelques temps, il avait les cernes au yeux, apercevant au loin une foules, il s’y dirigeas, au moins ce n’était pas difficile de trouver le chemins, il but une rasade, pour se donner un coups de fouet , et avança curieux, de nature, voir de quoi il retourner, il fut surpris de tant de monde en un seul lieux, lui qui était plutôt du genre a éviter le monde, alors qu’il se frayer un passage essayant de trouver ses amis, il s’entendit appeler, se disant que sa devait être quelqu’un d’autre il continua, a chercher quand il entendit, une voix connu

Bravo Guillomme !

Il se retourna apercevant carbonnel, remarqua que le comte l’avais bien appelez, et souffla au passage a son ami

« Euh que doit je faire ? La comment doit je l’appeler ? , Monseigneur ? Sa majesté, son altesse ?»

Guillomme s’avança vers l’estrade mal a l’aise ne sachant le pourquoi on l’avait appeler, au moins se dit t’il il est arrivé juste a temps

Chani se sentit très fière en entendant le comte appeler Guillomme

Au moment où il passa à sa hauteur elle lui glissa a l oreille

bravo Guil et t inquiète appelle Mr le comte se sera parfait
Elle sourit , puis balayant la salle du regard , elle aperçu un diacre de sa connaissance

suis moi Louison , j ai quelqu un a te présenter

pardon, excusez moi , elle se faufila dans la foule , chose terriblement difficile en robe, Louison collée a elle , et alla rejoindre Carbo, arrivant dans le dos de celui-ci, elle déposa un baiser dans le cou

bonjour toi , bien dormi?
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Tirtsa était abasourdi par la foule. Elle regarda son lieutenant Alric se diriger vers l'estrade et sourit en observant son grand maintien devant le comte et Zaza.

Je finissais ma chopine et me glissait à travers la foule pour la déposer sur une table où se trouvait diverses boissons et des mets préparés pour l'occasion.
Elle entendit le comte :

"S'avancer vers l'estrade" Cette phrase raisonnait comme un roulement de tambour dans sa tête. Elle se sentait pâle tout d'un coup et ses jambes flageolaient, elle se retint un instant à la table devant elle, puis se ressaisit en se servant vite fait une choppe de bière, histoire d'alléger son trouble.

Après une profonde respiration, elle pris son jupon entre ses mains pour avancer plus vite et chemina à travers ce beau monde esquivant un "pardon" à chaque fois qu'une personne se trouvait sur son passage.

A quelque pas de l'estrade, elle mis correctement son jupon en place et le souleva légèrement pour monter les marches. Devant le comte, son visage s'empourpra, elle laissa tomber délicatement son jupon. La jeune femme fit une révérence tout en baissant la tête. Elle se releva doucement et lui sourit timidement.

Tirtsa regarda de ses grands yeux noisette le comte Lndil, figée commet une statue et lui dit comme si elle récitait un poème :

Je vous remercie Messire le comte pour votre diligence envers le guet Artésiens.

Elle jeta un regard vers Zaza et Alric comme pour s'assurer qu'elle n'avait pas dit de bêtises. Elle aperçu Guillomme qui s'avançait vers nous ce qui l'a rassura. Ouf... je me sentirais moins seule ! se dit-elle
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Pegas qui n'avait pas l'habitude de rester sérieux pour très longtemps, pensait y arriver cette fois-ci, du moins, le temps des récompenses, chose qui n'arriverai surement pas avec l'apparition subite de Lenais qui surgit de nul part en titubant, le sénéchal se mordilla la lèvres inférieure en le voyant ains, mais ce fut peine perdue, un éclat de rire réussit quand même à s'échapper, Pegas se posa la main sur ses lèvres afin de freiner son fou rire, il y parvint mais difficilement, il se redressa et d'une voix légèrement embarrassé il s'adressa aux personnes sur l'estrade...

Veuillez me pardonner ...
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La Baronne ne quittait pas des yeux l’estrade, écoutant l’identité des récompensés, des visages familiers, d’autres inconnus mais dont les noms lui disaient tout de même quelque chose. Un léger bruissement d’étoffes près d’elle la détourna de la cérémonie et croisa le regard de Clarisse qui lui soufflait quelques paroles.

Excusez-moi Madame, je vais devoir prendre congé, je repars ce soir de l'Artois pour quelques jours. Je suis persuadée que nous aurons l'occasion de nous revoir dans un endroit plus tranquille et que nous pourrons converser à loisir.

Oh. Et bien, ne vous excusez point, voyons. … surtout si vous avez des impératifs, nous ne pouvons vous le reprocher. Au bon plaisir de vous revoir alors. Si vous désirez me rendre visite, à Bertincourt, ma porte vous sera grande ouverte et surtout bonne route. Soyez prudente.

Main posée sur son fils, le faisant sursauter.

Mon ange, Clarisse doit nous quitter. Dis lui donc au revoir.

Zaurevoir D’me Clarisse tout court dit-il en souriant puis il replongea son regard en quête de sa princesse de cœur.
La Baronne la regarda quitter la salle, c'est à cet instant qu'elle aperçut Laureline parmi la foule. Elle donna un léger coup de coude à son fils.

Regarde qui vl'a la bas !
Va, je t'autorise à la rejoindre, mais pas de sottises, hein.
Et ne bouscule personne. Reste poli. Allez file vite.

Le rire tonitruant du Sénéchal Pegas retentit. La jeune femme se demanda bien ce qui se passait sur l'estrade, tendit le cou afin de mieux voir, mais pas évident avec ce monde. Psttttt, quelle idée de se mettre dans le fond de la salle aussi. Finalement, elle réussit à identifier l'origine de cette hilarité en voyant s'avancer Lenais... enfin avancer...tituber serait plus adéquate pour la situation présente.
Fichtre il est rond de chez rond. Quel maboulll celui-là songea-t-elle en souriant.
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Il vit Guillome s'approcher d'un pas incertains....

Venez et montez à la vue de tous Guillome.
Tirsta monta également sur l'estrade... il ne manquait plus que Crysline.
Je vous remercie Messire le comte pour votre diligence envers le guet Artésiens.
Ce n'est pas à vous de me remercier... cela n'est un qu'un juste retour.


Arriva Lénaïs qui semblait quelque peu dans les bras de Bacchus.
Messire Lénaïs.. heureux de vous voir.... vous serez récompensés dès que notre prévôt aura rendu hommage aux trois personnes appelées, si cela ne vous gêne pas.
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Nadjine remercia Ange pour ce brillant résumé. Elle salua Jetho avec un grand sourire et lui demanda de ces nouvelles.

Gardant un oeil sur Galaad qui jouait calmement avec les jumeaux, elle applaudit les récompensés, une petite goutte de Père Naud à la main.
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Fanfan arriva avec difficultés jusqu'au niveau de Stella qu'elle salua et bisouilla en ayant pris soin de saluer ceux qu'elle rencontrai au passage. C'est qu'il y avait foule et elle le fit machinalement et le plus dicrètement possible. Il y avait beaucoup de visages connus.
Elle espérait que Beauz n'arriverait pas trop en retard, étant en train de préparer leur départ et qu'il s'attarderai un peu, car il avait été très peu visible ces derniers temps...
Manon était heureuse dans les bras de Loulou, et surtout la bouche pleine de sucrerie..
Elle sourit attendrie et se concentra sur la remise des décorations des gens du guet, tous méritants et dévoués surtout lors des jours troublés qu'ils venaient de vivre, comme les soldats de l'ost...
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Il trouva son ancienne tenu de capitaine qui mis pour la circonstance avec une pensé notalgique.

Beauz arriva discretement et se mit a côté de sa Fanfan pour l'embrassé tout aussi discretement..

Lui Mumura;je suis la cherie malgré notre occupation pour notre depart en voyage.

Regarda le monde,les visage connu et les nouveaux.La petite Manon qui viens lui faire un Bisous

Chut reste tranquille ma petite Manon.Lui donnant une petite friandise pour occupé ça jolie langue.
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Bien evidement cher Comte !

elle lui fit un clin d'oeil

Une fois le Comte ayant annoncé les noms des récompensés et les avoir remercier, Zaza vint se placer au devant d’eux et s’exprima :

Tirtsa, Guillomme, c’est avec fierté et honneur qu’en ce jour de pouvoir à tous, vous remettre, pour vos qualités d’adaptations au sein de l’équipe et de part le travail impeccable que vous avez su fournir au Guet, les médailles référentes à l’assiduité, à la Douane et au Faucon représentant la surveillance active des marchés, afin de récompenser votre mérite ! Bravo !







Elle s’approcha alors de chacun pour leurs remettre les dites médailles et les embrasser, les encourageant à continuer dans ce sens ; celle de Crysline serait gardée jusqu'à son retour par le Comte ou sera confié à son lieutenant ; elle remit le tout à Lndil puis lui laissa les derniers mots
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Chanel regarda Louison et lui fit un clin d'oeil

Elle s'appelle Louison , c'est la petite du tavernier chez qui je descend chaque fois que je viens a Arras....... Louison je te présente Carbonnel , diacre de Péronne et bien plus qu'un ami

L 'enfant regarda le diacre et lui sourit

Bonjour messire, enchantée de faire votre connaissance, tirant sur la manche de Chanel
je peux aller au buffet s'il vous plait?

bien sur que tu peux , elle la regarda s'éloigner puis se retourna sur Carbo

J'aimerai beaucoup l emmener avec nous quand penses tu? attendant sa réponse, elle se rapprocha de lui et glissa sa main dans la sienne, lui relevant sa mèche d'un geste de la main
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En entendant le nom des 3 personnes que le comte venaient d'appeler , Chanel leva la tête , son coeur battait la chamade , ces 3 jeunes femmes avaient étées d'une aide précieuse , kiki n ayant pas hésiter a s'engager lorsque Chanel l en avait prié , Nienna demandant sa mutation, et Ange toujours prête a aider.
Péronne avait eu beaucoup de chance d'avoir ces trois femmes durant une période sensible.
Chanel les regarda et applaudit en les regardant s'avancer vers l'estrade
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Kiki sursauta en entendant son nom, elle tourna la tête dans tout les sens en ce demandant pourquoi l'avait on appelé, elle ne comprenait pas bien.
Elle n'avait fait que son métier avec le sourire car elle l'aimait ce travail, elle l'adorait même.

Tout en soupirant, elle s'avança essayant de se faire un passage à travers la foule " pardon....excusez moi....pardon..."
Kiki se retrouva à quelques pas de l'estrade et commença à chercher Nienna et Ange, elle ne voulait pas se retrouver seule devant l'estrade.
Elle les aperçut s'approchant aussi et Kiki les rejoignit donc comme pour montrer que le guet était une équipe soudé, une grande famille.
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Nadjine applaudit de bon coeur ces amies. Elle était contente que leur travail était récompensé. Elle murmura à ange:

bravo poulette, allez! vas-y! je garde un oeil sur les jumeaux.
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Petit sursaut de l’enfant quand une main se posa sur son épaule. Levant la frimousse, son croisa rencontra celui de sa mère, rassuré, il l’écouta et regarda tour à tour cette dernière et la Clarisse tout court. La jolie dame aux cheveux couleur des blés partait. Il plia un peu les genoux et sous un sourire la salua.

Zaurevoir D’me Clarisse tout court.

Puis, il reprit se recherches. Où est-elle donc ?
Coup de coude

Regarde qui vl'a la bas !
Va, je t'autorise à la rejoindre, mais pas de sottises, hein.
Et ne bouscule personne. Reste poli. Allez file vite.



Hochant de la caboche, et une fois, la princesse chère à son cœur visualisé, le marmot détala séance tenante. Ses joues se colorèrent dès l’instant où sa comparse déposa un baiser sonore sur celles-ci. Milles étoiles brillèrent dans ses yeux.

coucou Nathy , tu vas bien.

Coucou Laureline, hahhha, que j’ suis content de te voir.


T'as vue Nath y a plein de gens ici, dit t'as pas vue ma maman d'ailleurs.

Oui, oui, elle est là. Elle est avec son régiment.
M’man est bas zavec que parzequ’elle a pas pris son uniforme. Elle a mis une belle robe. Et …


Hésitations du garnement
Allées retours incessants de regards en direction de la détentrice du witwit puis sur ses propres galoches
Teint tout à coup coquelicot
Pensées envers les recommandations de la pas tout à fait vieille Stella sur les compliments et tout le baratin, tripotage de ses menottes…
Puis dans un souffle, il jeta sa phrase tout bas pour pas que les Grands tournoyant tout autour entendent.

t’es belle comme zun gâteau au chocolat.
Voudras danser avec moi, si eu si y a de la musique après tout za ?

Regard bloqué sur ses galoches.

Zaza vit Ange tenter d'attraper la miss Nienna mais celle-ci ne semblait pas bien ; après l'avoir installée confortablement à l'air frais, elle revint au devant de la scène aux cotés de Kiki

Zaza s’approcha de Mamankiki, enfin de sa Kiki elle était émue de pouvoir lui remettre cette récompense, car elle comme ses collègues avait donner son temps sans jamais le compter

Ma Kiki, c’est un honneur et une fierté que de pouvoir aujourd’hui te remettre la médaille de l’assiduité du Guet en reconnaissance de tous les services rendus, de ton travail exceptionnel ainsi que pour ton mérite !



Par la même occasion, je te donne celle de Nienna qui ne se sent pas bien et je te demande pour nous, de bien vouloir la lui remettre lorsqu'elle ira mieux...Elle qui a jusqu'à déménager pour porter son aide et toujours fournit un travail de haute qualité...remercie là encore en notre nom à tous !

Elle fit un clin d'oeil à sa Kiki et se tourna vers Ange

Ma chère Ange, quel bonheur et quelle fierté de me retrouver là devant toi afin de te remettre cette médaille de l'assiduité bien mérité, pour le travail formidable que tu as su offrir au Guet !

doucement elle lui glissa "je sais c'est pas du Père naud..mais tu me pardonneras ^hein !! hihi"



Elle l’embrassa et la serra fort, heureuse d’avoir pu la féliciter mais triste par son départ, espérant qu'elle garderait un bon souvenir de son aventure à leurs cotés !

Elle regarda le Comte ; il ne restait plus qu'a rappeler Lenais qui titubait encore ^^ il fallait pourtant qu'il arrive à le faire monter sur l'estrade
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Fanfan lui sourit et lui saisit furtivement la main en guise de remerciements, puis elle lui chuchota:

"Le guet vient d'être remercier, pour l'instant, donc pas d'inquiétue, d'ailleurs je n'ai vu encore aucun lieutenant de l'Ost"

Répondit a sont charment par sont sourire.et se laissa prendre la main. Observa les personnes au alentour.

Entendit la suite avec son amour a côté de lui.
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Soyez fières Mesdames … l’Artois vous doit de fiers services.
Il embrassa chaleureusement les trois femmes puis lui indiqua sa droite.
Il se disait que le guet aurait été un merveilleux endroit pour une rencontre... mais il semblait que la destinée lui avait sourit.

Il ne restait que Lénaïs encore à féliciter et récompenser. Il s'avance vers lui et lui propose sa main

Messire Lenais soyez reconnu et félicité pour votre conduite exemplaire et une disponibilité sans faille, allant jusqu’à assumer seul votre bureau.
Pour cela vous serez promu au grade de commandeur de l’Ordre du Mérite du Cygne
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Maya pouffa de rire quand elle vit que la bière avait chaviré légèrement sur la poitrine de sa marraine.

Arf....j'avais très chaud mais pas à ce point. Ça risque d'être collant maintenant!

Enfin bon je n’ai pas prévu que quelqu’un y colle son museau donc ça ne devrait pas poser de problème

La décidément, Maya éclata de rire

Ah non Marraine tu avais prévu personne, dis donc tu t'assagie on dirait.

Elle fut surprise par Odas qui vint lui poser un baiser sonore et baveux sur sa joue

Arfffff Odas ...

Elle essuya sa joue du revers de la main et grimpa sur la pointe des pieds pour lui faire un doux bisou sur sa joue.

Puis Brune lui présenta un messire qu'elle avait à peine entrevu au château, elle lui sourit et s'inclina devant lui

Enchanté Messire Liptis
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Zazaz était intérieurement morte de rire en voyant son légendaire maboul dans un état boulasseux ! cela lui rappelait des souvenirs ^^ ; Lorsque Lndil l'aida, elle vint alors se planter devant lui pour lui faciliter la tache et lui sourit

Cher Lenais, me voici bien fière de pouvoir te remettre en ce jour, cette récompense bien méritée !



aussi reçois au nom du guet la médaille de vétéran ainsi que ta chemise brodée ornant la barrette de celle-ci !



Voici ta chemise !



Elle lui fit une bise et le laissa rejoindre les cotés du Comte...

Elle s'adressa une dernière fois à la foule cherchant les autre membres

Sachez que tous n’ont pu être cités cependant vous n'avez pas moins démérités ! loin de là et c'est pourquoi au nom de l’Artois, nous vous remercions
Le Guet a été malmené suite à la fermeture des frontières et la masse de travail à traiter fut plus que considérable, nous le savons et c'est pourquoi en notre nom à tous, nous tenons à vous remerciez d'avoir seçondés vos lieutenants respectifs avec ténacité, rigueur, donnant de votre temps, protégeant sans compter votre prochain et vous entraidant dans les moments difficiles ! Vous pouvez être fier car nous le sommes et je ne peux que continuer à vous encourager dans ce sens !!
Le Guet pour être opérationnel de façon optimal à besoin des efforts et de la bonne volonté de tous et chaque jour, je ne peux que constater cette solidarité qui vous caractérise ; je ne peux que vous dire BRAVO et MERCI !

Zaza n'était pas très douée pour les discours et laissa donc sa place au Grand Maître de cérémonie
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Lndil eu plaisir à voir toutes ces personnes du guet qui se tenait à sa droite... mais il ne fallait pas s'endormir...

Que le Sénéchal Pégas et le Capitaine Leducg me rejoigne
Arrive le Sénéchal et le Capitaine au signe de mains du comte


Concernant l’OST , messires Léo et Farenheit… venez à nous.
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Pegas écoutait attentivement les paroles de Zaza , un sourire de fierté germa sur ses lèvres, son discours fut court, pas tellement protocolaire mais trop expressif, il applaudissait vivement la fin de son discours, en attendant l'intervention du comte, Pegas balaya l'assemblé du regard cherchant les lieutenant et sergent de l'Ost, le tour de l'armée va pas tarder à arriver, il leurs fit des signe discret de rassembler leurs soldat dans des rang par garnison, le regard du jeune sénéchal s'arrêta sur Nefi, un léger sentiment le tressaillit en pensant à César qui devrai accompagner les squires, pourvue qu'il ne commet pas de bêtises en ces lieux surtout pas en ce moment... difficile de le tenir tranquille surtout s'il se trouve au même endroit avec son complice de toujours Cathal... Mais connaissant Nefi, Pegas fut un peu rassuré, Elle est de nature ferme et sévère, mais quand même, on peut s'attendre à tous avec les deux gaffeurs,qui furent inaperçus jusque là, le sénéchal ne les avait pas encore repéré, ou peut être qu'ils étaient en dehors de la salle...Pegas qui ne voulait pas être perturbé, il chassa ces pensées de son esprit et se re-concentra de nouveau sur la suite des cérémonie, il reporta son attention vers les lieutenant et leurs sergent rassemblant chacun ses éléments dans les rang selon leurs garnisons respectives...

Que le Sénéchal Pégas et le Capitaine Leducg me rejoigne

Pegas s'approcha du comte ainsi que le capitaine et se mit en face de l'assemblée qui avaient tous presque le regard orienté vers l'estrade...

Concernant l’OST , messires Léo et Farenheit… venez à nous.

Le sénéchal les regarda s'avancer, un sourire joyeux et fière sur ses lèvres...

----Edit (pas vu le poste de Lndil ^^)----------------------------------------------------------------------------
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Voyant le sourire de Pegas, Lndil se dit que cette cérémonie semblait être bien réussie.

Soyez remerciez pour votre travail. Vous êtes dès à présent tout deux Commandeur de l'ODM du Cygne.
Le Sénéchal Pégas va vous remettre les colliers....
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[ Tout en émoi près d'ELLE]


Sacrénom de bondiou, LA voilà qui approche. L’incarnation de son Fantasme était là devant ses mirettes.

Oh, vous avez de la bave au bord des lèvres. Permettez-vous que je vous l'enlève ?

Il pouvait flairer son odeur ensorcelante. Et cette épicurienne sensation… caresse de volupté sur sa bouche de ses doigts si sensuels, lorsqu’ELLE récolta son léger débordement d’écume. Le voilà de plus en plus émoustillé. Sa moustache frisotta de plaisir.
ELLE l’avait touché. Un frisson l’avait parcouru des pieds à la tête. L’aspirante Stella l’avait déjà mis en émoi avec ses sacrés atours sous son étroite chemisette … généreux trésors nouvellement convoités par le vieux débridé mais là, ELLE, ELLE avait su en quelques secondes, mettre son épiderme et pas que celui-ci tout en émoi.
Il ne rêvait que d’approfondir plus en avant sa bouche exquise. Mais il ne devait point effaroucher la belle amiénoise… et faire preuve de subtilité pour acquérir toute son attention, chose oh combien difficile pour l’homme de paille qu’il était. L’ivresse le guettait, la satiété le pistait, et une tendinite pantalonesque le pourchassait.

Allez mon vieux, faisy voir zun peu de ton chARmEU légendaire et zette f’melle zera tout zà toi. Qu’ tout ze temps à zemmagasiner le baratin attrape femelle faze enfin rezette.

Se souvenant de ses répétitions matinales devant le grand miroir de sa chambrée, il savait quoi dire, quoiqu’il ne devait point se mélanger les pinceaux dans les citations apprises. Et pis, ah oui, le coursier devait se donner une contenance, c’est ce qu’il avait bouquiné. Zieutant un noeil sur le buffet, il choppa une coupe et la lui tendit, frôlant au passage son bras. Rooooohhhh.
Déglutissement.
Se positionnant sur son meilleur profil, bombant le torse pour lui faire mirer mine de rien ses biscottos, et sous un sourire édenté dévoilant ses divers chicots noirs, il se lança dans la danse séductrice.

Oh, divineuuuuuuuuuuu Jaid, Zavez-vous qu’il be zuffit de fermer les noeils, pour que le fumet fermenté d’ v’tre pio m’enivre.
Excusez à un vieux cœur impétueux de crier zainsi le branle bas qui le congestionne comme zune flatulence dans les boyaux.
Ah, si vous saviez, damoiselle Jaid comme j’aimerai, ohhh, comme j’aimerai qu’ vous soyez la bibine de mes rêves, les flageolets mouillants de ma gamelle.
Zes zaveurs dont on ne beut ze priver bour tout fin gourmet.

Regard de braise et sourire béat pour charmer la proie, et hop, effilement d’un verre de calva pour se remettre de tous ses intenses efforts de palabres... mais petite dérive inéluctable et incontrôlable vers les courbes vallonnées d'un certain étroit chemisier perdu sur le bas côté. L'aspirante Stella tentait maladroitement de LES dissimuler à ses noeilnoeils expérimentés mais peine perdue, il pouvait encore les deviner.

Pegas s'approcha du lieutenant Peronnai un sourire sur ses lèvres , après salut militaire échangé entre les deux officiers, le sénéchal s'adressa a Farenheit...

Lieutenant Farenheit, j'ai l'immense honneur de vous remettre ça



Pegas lui remit le collier, accolade , un autre salut militaire ...

Nous sommes tous fier de vous et de vôtre travail au sein de la cavalerie de Peronne que ce soit à l'intérieur de la garnison ou dehors lors des différentes missions ou manœuvres militaires... Votre dévouement envers vôtre patrie est irréprochable ...

Pegas se tourna ensuite Vers le lieutenant Léo qui avança lui aussi vers l'estrade, le sourire du sénéchal devint de plus en plus large encore en voyant devant Leo devant lui, c'est plus qu'une camaraderie qui liaient les deux officiers, puisque c'est sous les ordres du lieutenant que Pegas faisait ses tous premiers pas dans l'Ost il y a quelques années, les deux hommes se saluèrent militairement...

Lieutenant Leo, un immense honneur de vous remettre le collier de l'Ordre du mérite du cygne que vous méritez, vous avez servi l'Artois corps et arme pendant une très longue période ...




le comté et l'Ost sont très fières de vous et de vôtre travail Lieutenant Leo...

Le sénéchal remit le collier au lieutenant de la garnison Bertincourtoise, une accolade puis salut militaire ... Le sénéchal enchaina par un petit applaudissement pour féliciter les deux lieutenants récompensés ...
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Tout en écoutant le sénéchal Pegas, Tirtsa avait une terrible soif et son estomac gargouillait. Elle regarda la table du banquet (pièces montées de charcutaille, poulets croustillants entourés de salade verte, plats de légumes, pain frais, et diverses boissons (bière, Père naud, calva....)

En tous cas, les futs de bière descendait à vue de nez !!! Je me demandais s'il y avait du cointreau, l'eau me venait à la bouche rien que de prononcer ce mot. Je pensais à Pat et sa clairette de Die, ummmm c'est trop bon çà aussi !

Zaza était descendu rejoindre son mari et j'aurais aimé en faire autant pour boire un ti coup.....

A la suite des applaudissements du sénéchal Pégas, je fis de même pour féliciter les officiers de l'Ost.
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Les actes non les paroles font la loyauté

A travers cette récompense c'est tous les soldats de la cavalerie péronnaise que vous honorez... alors merci pour eux !

C'est un honneur pour nous messire....

Attends Léo.
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Bien loin de se douter du manège de son vieux coursier, et de sa parade amoureuse, la Baronne d’Ytres écoutait et observait les divers protagonistes, ne quittant pas des yeux l’estrade.

Félicitations, remerciements, accolades, et embrassades se succédèrent. Deux, trois petits plissements de nez, signes familiers de la Baronne d’un léger agacement apparurent rapidement. La jeune femme s’en voulut de se mettre dans pareil état pour si peu de chose et pis il n’y avait réellement aucune raison à cela, il n’y avait vraiment pas de quoi fouetter un chat enfin bref, elle n’avait pu s’empêcher de tiquer. Mazette, qu’est-ce qui lui prenais, n’importe quoi. . ...

Elle reporta son attention sur la Prévôte et ne se fixa qu’elle. Zaza faisait merveille, encourageant et félicitant les hommes et femmes sous sa houlette. Il est vrai qu’elle avait entendu grand bien sur sa manière de gérer la prévôté et tout autant sur les membres composant cette Institution.

S’ensuivirent les récompenses pour l’Ost, moment qui l’intéressait au plus haut point, elle qui avait jadis œuvrée pour celle-ci . De nouvelles têtes seraient-elles mises à l’honneur ? Sans nul doute. Et d’autres visages familiers pour la Baronne, ne feront que confirmer qu’ils n’avaient guère changés, consciencieux, assidus dans leur travail, toujours prêts à défendre leur patrie quelque soit les risques encourus. Les premiers cités ne l’étonnèrent guère. Moult souvenirs l’assaillirent. Regard humide de les voir pour une fois au devant de la scène. Cela faisait si longtemps. C’est avec chaleur et sincérité qu’elle les applaudit, s’avançant au travers de la foule afin de voir au mieux leur remise de décorations, entraînant Alicette avec elle.

Viens Alicette, avançons, nous verrons mieux. Surtout, reste près de moi, pour ne point te perdre avec tout ce monde. Tu pourras même voir ton parrain à l’œuvre dans son rôle de Sénéchal. Il entame son discours. Vite, suis-moi.


Elles se faufilèrent et débouchèrent après quelques légers coups de coude sur les premières lignes de l’assemblée. Le Lieutenant Farenheit venait d’être décoré. Rapide regard sur la gauche de la scène. Le suivant était attendu.
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Fanfan était tellement absordée par l'état de santé de Stella qu'elle ne prit pas conscience tout de suite de la présence de Pol à leur côté.

Elle lui chuchota en la bisouillant:

"Excuse moi Pol, l'attitude de Stella m'a quelque peu troublé, mais çà me fait plaisir de te voir car nous n'allons pas trainer, car nous prenons la route ce soir..."
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Zaza ayant cédé sa place sur l'estrade au capitaine qui, maintenant, récompensait les services des membres de l'Ost, Alric en profita pour se rapprocher d'elle et Tiberre.
Alric lui tendit la main.

Bonsoir Tiberre. Permets-tu que je fasse la bise à ton épouse pour la remercier ? Cela n'aurait guère été séant sur l'estrade.
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Le soldat Léo semblait avoir du mal à trouver l'estrade...
Il fallait continuer...

Messire Farenheit, placez vous ici à ma gauche

Puis se retournant vers l'auditoire.

Soldat Tulle…

Attendant qu’il se présente…
Pour votre travail et votre présence, je vous nomme Garde de l'ODM du Cygne


Le comte lui remet lui même la décoration et lui susurre à l'oreille
Tu la mérite bien mon Ami...
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Tiberre au coté de son Ange vît arriver Alric a leur niveau. Lui serrant chaleureusement la main, il lui répond :

Bien sur que tu peux lui faire la bise, d'ailleur elle te l'a fait sur l'estrade, mais tu lui as mit un vent^^

Puis fallait que je te dise, tu mérite amplement l'ordre du mérite, je suis heureux pour toi. Félicitation.
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C'était au tour de l Ost d être mis à l'honneur, Chanel applaudit lorsque Fafa fut appelé par le comte

encore quelqu un de valeureux qui méritait amplement d 'être récompensé

Elle chercha ensuite louison du regard et l'aperçu près du buffet , la petite devait être tenté de s approcher des autres enfants , Chanel se demanda si elle oserait , son père - brave homme au demeurant- lui rappelant sans cesse de garder sa place.
vas y ....avance vers eux , n ai pas peur .... pensa t elle , espérant voir la petite faire un pas vers Laurie
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