Ombeline
Merci pour votre compliment... Et je tiens à vous répéter toute ma joie à votre retour parmi nous Baronne d'Ytres.
Il lui fit un baise main.
Pour ce qui est du médicastre... je verrais... mais du sommeil me sera déjà du plus bénéfique.
Excuse moi Ombeline, je vais te laisser un instant....
La Baronne le regarde filer en direction du Maréchal d'Armes dont la silhouette ne lui était guère inconnue. Cela la ramena bien des mois voir années en arrière. Un temps où deux régions étaient bien proches et que sa guilde foulait souvent la Normandie pour des missions descorte ou de mandat Un temps bien loin que cela. Laissant là le passé où il devait être, de simples souvenirs, elle tourna la tête en direction du Sénéchal Pegas Rooo, le moribond, il avait filé, la laissant là, plantée comme une andouille sur cette estrade le maraud Elle le chercha des yeux dans la salle et le vit en train de picoler allègrement auprès de sa marraine Perl Ah évidemment, un fan de boulasse ne pouvait être guère loin des fûts et tonnelets.
Relevant légèrement les pans de sa robe pour ne point saccrocher, elle descendit aussi discrètement que possible de lestrade en passant par le petit escalier sur le côté avant que le Comte et le Maréchal dArme ne démarrent la suite des festivités. Tout en descendant le dict escalier, elle faillit louper lune des marches croyant être la victime dune illusion doptique
Elle se rattrapa de peu à la barrière et termina comme si de rien nétait, mais arbora un léger teint pâle sur le visage. La distance et la foule ne facilitaient guère la tâche pour identifier avec certitudes le porteur de la cape noire mais toute de même Ce maintien ces traits familiers cet uniforme et Elle crut apercevoir au travers des déplacements de spectateurs, la poule de poils qui le suivait partout. Etait-il revenu ? Où était-ce encore lune de ses hallucinations dues à la fatigue et séquelles de cet hiver particulier ?
Estourbie, elle ne savait plus où elle en était Le discours du Maréchal nétait plus quun fond sonore et lointain Une bousculade avec lun des serveurs la ramena sur terre, à temps pour entendre le nom de Pegas, cité. Elle tourna la nuque vers lestrade puis de nouveau vers larrière salle mais la foule compacte ne lui permettait plus de distinguer lhomme illusion, ou réalité sans doute la première, songea-t-elle de plus, il était seul sans le Calaisien ce qui pourrait être un mauvais présage
Soudain, à cette pensée, elle se signa bien vite, pour conjurer le mauvais il. Un rendez-vous avec la médicastre Nefi serait à planifier au plutôt, elle devrait lui part de tout ses humeurs, et par Aristote, que cela ne soit que de la fatigue Chagrinée, le teint encore bien pâlichon, elle tenta de suivre la suite des remises de récompenses.
Il lui fit un baise main.
Pour ce qui est du médicastre... je verrais... mais du sommeil me sera déjà du plus bénéfique.
Excuse moi Ombeline, je vais te laisser un instant....
La Baronne le regarde filer en direction du Maréchal d'Armes dont la silhouette ne lui était guère inconnue. Cela la ramena bien des mois voir années en arrière. Un temps où deux régions étaient bien proches et que sa guilde foulait souvent la Normandie pour des missions descorte ou de mandat Un temps bien loin que cela. Laissant là le passé où il devait être, de simples souvenirs, elle tourna la tête en direction du Sénéchal Pegas Rooo, le moribond, il avait filé, la laissant là, plantée comme une andouille sur cette estrade le maraud Elle le chercha des yeux dans la salle et le vit en train de picoler allègrement auprès de sa marraine Perl Ah évidemment, un fan de boulasse ne pouvait être guère loin des fûts et tonnelets.
Relevant légèrement les pans de sa robe pour ne point saccrocher, elle descendit aussi discrètement que possible de lestrade en passant par le petit escalier sur le côté avant que le Comte et le Maréchal dArme ne démarrent la suite des festivités. Tout en descendant le dict escalier, elle faillit louper lune des marches croyant être la victime dune illusion doptique
Elle se rattrapa de peu à la barrière et termina comme si de rien nétait, mais arbora un léger teint pâle sur le visage. La distance et la foule ne facilitaient guère la tâche pour identifier avec certitudes le porteur de la cape noire mais toute de même Ce maintien ces traits familiers cet uniforme et Elle crut apercevoir au travers des déplacements de spectateurs, la poule de poils qui le suivait partout. Etait-il revenu ? Où était-ce encore lune de ses hallucinations dues à la fatigue et séquelles de cet hiver particulier ?
Estourbie, elle ne savait plus où elle en était Le discours du Maréchal nétait plus quun fond sonore et lointain Une bousculade avec lun des serveurs la ramena sur terre, à temps pour entendre le nom de Pegas, cité. Elle tourna la nuque vers lestrade puis de nouveau vers larrière salle mais la foule compacte ne lui permettait plus de distinguer lhomme illusion, ou réalité sans doute la première, songea-t-elle de plus, il était seul sans le Calaisien ce qui pourrait être un mauvais présage
Soudain, à cette pensée, elle se signa bien vite, pour conjurer le mauvais il. Un rendez-vous avec la médicastre Nefi serait à planifier au plutôt, elle devrait lui part de tout ses humeurs, et par Aristote, que cela ne soit que de la fatigue Chagrinée, le teint encore bien pâlichon, elle tenta de suivre la suite des remises de récompenses.