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[RP] Cérémonie de récompenses et de remerciements

--La.petite.manon
La petite Manon trop heureuse d'être de sortie et de pouvoir être avec sa maman lui dit en souriant

"Ze serai super sage, M'man, comme touzours"

Puis elle chercha du regard si elle revoyait le Monsieur Zouzou de la dernière fois, mais pas facile de sa hauteur, elle ne voyait que des armes et des bas de robes ou de braies....
Callima
Callima regarda Mungaud bousculer ceux que le séparaient d'elle et venir la rejoindre.
Elle rougit quand il la complimenta sur sa toilette.

Ta réputation? Je ne voudrais la ternir!


Elle était surprise de sa réflexion. Une de plus ou de moins dans son Harem...
Elle resta contre lui à écouter la suite des récompenses. Elle n'y comprenait rien mais pour le moment une seule chose lui importait: elle était avec Mungaud, il lui tenait la main.

C'est encore long? On mange et on boit quand?
Je n'ai rien pris depuis que j'ai quitté Bertin. Certes je suis partie avec la Boulasse mais là... çà commence à faire faim et soif...

En plus tous ces gens que je ne connais pas..... C'est vraiment pour toi que je suis venue...


Elle se hissa sur la pointe des pieds et lui embrassa tendrement sa joue barbue
Alric83
Alric qui, depuis que le Comte était monté sur l'estrade, était resté dans un coin de la salle, eut toutes les peines du monde à se frayer un chemin jusqu'au régnant. Il mit genoux à terre pour lui présenter ses respects.

Je vous prie de me pardonner, votre Grandeur, vous êtes difficilement accessible ce soir, dit-il en souriant en pensant à la foule compacte qu'il venait de traverser.
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Zazaroyaume
Zaza avait laissé le temps à Alric de présenter ses respects au comte et vint se placer devant lui

Cher Alric, j’ai la fierté de pouvoir te remettre cette récompense plus que méritée pour ton ancienneté et ton implication au sein de notre entité, mais aussi la médaille de vétéran ainsi qu’une chemise brodée ornant la barrette de celle-ci au nom du Guet!



Une fois le collier remis, elle lui accrocha la médaille de vétéran



Voici ta chemise



Zaza après avoir donnée la chemise à Alric et l'avoir en core félicité, lui fit une bise, puis se recula afin de laisser le comte reprendre la parole
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Jaidelachance
Que de monde, que de monde, la petite brunette se sentait de plus en plus mal à l'aise . Son uniforme un peu étriqué commençait à lui flanquer de sacrées bouffées de chaleur et surtout lui ramollir le ciboulot, enfin, il fallait bien l'admettre, il aurait été plus malin de sa part de ne pas ramper parmi la foule amassée dans la salle pour mieux s'approcher du buffet, et surtout pour mieux échapper au regard de son Lieutenant.

Les yeux collés contre des mollets graciles ou des bottes tellement cirées qu'elle pouvait y voir le reflet de sa choucroute décoiffée, elle manquait à chaque avancée de se cogner le nez contre une jambe, un pied, n'importe quoi au sol qui bougeait, et même quelques déchêts de petits-fours mal machés que les gens laissaient tomber en mangeant.

Puis soudain le Comte annonça le commencement officiel de la cérémonie .
La brunette lança un regard hagard et hasardeux, le nez en l'air, pour vérifier si elle s'était assez éloignée de la zone dangereuse des Archers d'Amiens.
Ouf, de ce côté là, ça sembait chose faite. Elle voyait de loin son Lieutenant discuter avec Luna et Sate, Diabolo les rejoindre, ne restait plus qu'à croiser les doigts pour que personne ne l'ait apeçue rentrer, ou même encore que l'horrible dame Balabira ne fasse intrusion dans la salle.

En tournant le nez ( car Jaid voyait avec le nez ) vers la gauche, elle s'aperçut qu'elle n'était pas trop loin du buffet. C'était le moment où jamais d'aller se gaver à qui mieux-mieux dès que la foule aurait les yeux rivés vers le prochain récompensé.
Plus loin encore la brunette aperçut Brunehaut, celle qui avait été son modèle avant de la lâcher dans la bergerie, puis Maeva, Erwyndyll, Fanfan parmi d'autres visages connus.
Ouh là là, il y en avait du beau monde et des belles toilettes ... dire qu'on lui avait imposé à elle de porter un uniforme lourd et étouffant .

Puis un peu plus près, quelques Aspirants et soldats mélangés, dont le fameux Leportel qui discutait avec Stella.
Hum, Stella ...
... Jaid avait eu vent par des échos de couloirs venant de courants-d'air contraires et de différents souffles plus ou moins fiables et variables selon le sens des coqs de clochers, que cette dernière ne laissait pas le beau Rufus indifférent, ou tout au moins que l'Apollon avait su s'attirer ses faveurs.
Se méfier de la concurrence, donc. Et la tenir à l'oeil.


Mais à propos du beau Rufus, où se trouvait-il ?
D'instinct, la petite sergente chercha la présence de son Capitaine, non, ancien Capitaine Ombeline, elle savait que le fantasme de ses jours et de ses nuits ne se trouvait jamais bien loin d'elle.

Bientôt, elle l'aperçut ... son oeil vif, son front intelligent, ça ne pouvait être que lui.
Petit regard noir vers l'Aspirante Stella pour voir si cette dernière l'avait repéré elle aussi.
Le coeur de Jaid se mit à battre la chamade.
Il était là, à quelques mètres à peine, et cependant intouchable ... Il fallait que la brunette trouve un stratagème pour l'approcher. Un peu maladroitement, et lançant également quelques regards furtifs en direction de son lieutenant, elle marcha lentement en crabe parmi la foule dans sa direction.
Plus elle s'approchait, plus elle sentait le désir monter en elle.

Mais ... mais ... mais qui est-ce qu'il regardait en bavant, li ??? Ce serait-y pas la Stella justement ???

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Lndil
Je vous prie de me pardonner, votre Grandeur, vous êtes difficilement accessible ce soir,

Après la remise des décorations par Zazaroyaume


Il n'y a aucun souci mon cher Alric car il y a vraiment foule... aujourd'hui nous prendrons bien notre temps afin que beaucoup soit remercié...
Nous allons d'ailleurs attendre messire Lénaïs qui devrait apparaître.



Erwyndyll était venue s'installer sur l'estrade, il lui fit un merveilleux sourire car elle semblait préoccupée...
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Leportel62


Lou suivait d'un oeil la cérémonie et de l'autre la salle (non, non, je n'ai pas de strabisme).

Il remarqua l'arrivée de Fanfan qui semblait seule. Beauz lui avait encore posé un lapin. Pauvre Fanfan. A sa manière de se baisser et partant du principe qu'elle ne devait pas parler aux chausses et bottes, il supposa que Manon était avec elle.

Il décida 'd'aller les chercher.

Chou, je reviens, je vais inviter Fanfan à venir avec nous.

En se faufilant, quelle ne fut pas son bonheur de croiser le sergent Jaid qui semblait comme un éclaireur à la recherche de l'ennemi.

Bonjour Sergent. Belle cérémonie, hein. Il paraît qu'ensuite, il y a un spectacle; une poule dansante d'aprés ce que j'ai pu comprendre.

Il continua à se frayer un chemin jusqu'atteindre Fanfan. Effectivement, Manon donné sa petite main à sa maman.

Il attrapa Manon et la prit dans ses bras. Il lui fit un gros bisou.

Viens ici, tu seras mieux, en bas tu ne dois voir que des c....euh, des jambes. Là haut, tu seras mieux.

Suis moi Fanfan, on va rejoindre les autres, nous sommes prés du buffet....

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Fidos
Fidos ,entre emotion et fiereté aprécie la pelle de patcaf ,il lacha un sourir accompagné par un clin d'euil a son ami avant qu'il l'accompagne avec un regard jusqu'a l'estrade...
Stella...


Stella était songeuse... Elle regardait la Cérémonie d'un oeil distrait...
Toutes ces médailles, ces décorations... Certes elles étaient là pour valoriser et gratifier un bon soldat... Mais, aux yeux de la Demoiselle, les vrais récompenses venaient du coeur...
C'est sur cette petite pensée, que Chou la sortie de ses rêves :


Oui Oui... Va la chercher Chou... Elle sera pas toute seule comme ça...

Elle le regarda partir et aperçue sur son chemin la Sergente Jaide... Voyant qu'elle la regardait de la tête aux pieds, Stella lui fit un grand sourire jusqu'à ce que Chou vienne interrompre leur regard... Le voyant discuter avec elle, elle se reconcentra sur les parole de Zaza et du Comte...

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--Loulou
Oh Chanel , regardez ce que votre ami Pat fait a l 'autre messire

Chanel sourit en voyant la petite Louison choquée par la pelle de Pat

comment t expliquer, ce n'est pas ce que tu crois ,c'est une marque d'amitié disons purement cambrésienne

C'est qui le messire?
c'est Fidos, un ami
Et la jeune dame aux cheveux rouges c'est Maé, capitaine des taureaux de cambrai, mon amie aussi
se sont tous vos amis????
Oh non pas tous , je connais nombre d entre eux certain uniquement de noms , où pour les avoir rencontré , allez chuuut la cérémonie continue, je te présenterai tout le monde après !!
Alric83
La voix un peu assourdie par l'émotion, Alric remercia le Comte :

Merci, votre Grandeur.

Puis le prévôt :


Merci Zaza.


Il lui aurait bien fait la bise, mais ce serait pour plus tard. Telles effusions pourraient troubler l'ordonnancement de la cérémonie. Et Alric ne voulait pas en être cause, d'autant qu'il appréciait que les choses soient opportunes.
Il témoignerait sa gratitude personnelle - ainsi que les amitiés de Lison - à Zaza plus tard.


Il se releva et se retira pour laisser place a Lenais.

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Sir_creeks
Creeks arriva accompagné de sa servante, il était un peu énervé, car il n'avait toujours pas reçu les écus pour payer les soldats!!

Enfin bref ce n'était pas l'endroit, ni le moment, il s'installa discrètement, pas très loin de sa sergente et la salua d'un signe de la tête
Il remarqua que son Lieutenant n'était pas là, pourtant c'est l'occasion ou jamais que certain voit a quoi il ressemble, mais il ne fut pas plus choqué que sa, après tout sa fait heu....

Il réfléchit cinq bonnes minutes....

Bah le premier jour ou il est arrivé ce fut aussi la dernière fois qu'il l'est vue en faite, mais au moins lui a eu la chance de le croiser

Il sourit et secoua la tête pour revenir a ce qui se passé dans la salle et essaya de reconnaître des visages familier, tout en écoutent la suite

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Tiberre
Tiberre regarda son Ange remettre le deuxième collier. Arlic mérité bien cette récompense, plus de deux ans Lieutenant du guet d'Amiens. Il avait fait du bon travail.

En tout cas, sa Douce était toujours aussi belle.

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--Rufus



Le vieux coursier ruminait de n’avoir pu sortir une quelconque bafouille pour s’éclipser de l’escouade d’Ytres avant la demande du Comte de faire silence. Là, il était un peu tard pour déranger la Baronne de manière discrète. En outre, elle avait l’air hypnotisée par tout ce tralalala, à moins qu’autre chose la captivait mais bon le Rufus avait autre chose à penser lui. Et pis tous ces décolletés plongeant et ces peaux de porcelaine commençaient à bien l’émoustiller.

Il fallait qu’il LA trouve dans cette masse colorée, mais cela ne serait chose aisée tant la salle était remplie, à croire que tous les artésiens s’étaient donnés rendez-vous. Y aurait-il assez de victuailles, de poulardes rôties, de sanglier en sauce, de pâtés et autres viandes alléchantes ? Difficile dilemme tout de même auquel il était confronté, le buffet ou la quête de sa fougueuse amiénoise. Jetant ensuite un regard en biais sur le buffet, il prit le Saint Père de la Boulasse de ne pas l’oublier et balaya à nouveau la salle des banquets de son regard avide. Un petit mouvement sur le côté autour de Stella lui fit tourner la nuque. Ses grosses paluches devinrent moites, ses yeux s’emplirent d’une convoitise nouvelle, une légère coulée de bave ruissela au coin de sa bouche.

Bondiou de vindiou, comment avait-il pu ne pas LES voir plus tôt ? La chemise de l’aspirante en était déformée tant ils semblaient étroits dans celle-ci et si ... Raclement de gorge du vieux débridé. La grossesse avait certains avantages pour le plus grand bonheur des yeux de Rufus. Le vieux coursier était dans la fascination de caresser cette poitrine si opulente, ce ventre arrondi, ces larges hanches... et de faire bien d'autres choses, tant son imagination était riche en ce domaine. Une petite déformation se fit peu à peu dans le bas de son pantalon. Tudieu de bonté de mère, marmonna-t-il, zest pas le moment de za. Il devait se concentrer sur le discours, oui, le discours. Par tous les saints, difficile de le faire, avec za sous le pif. Y avait vraiment de quoi se rincer les mirettes, et en oublier les papillons qui le talonnaient quelques instants auparavant dans l’estomac.

Néanmoins, il se sentit observé, tourna la caboche et croisa un ensorcelant regard à se pâmer d'amour et de volupté. L'actrice principale de ses fantasmes depuis des mois était à quelques foulées de lui. ELLE était là, il n'avait qu'à faire quelques pas, juste à trouver une brèche parmi cette foule et lui déclarer toutes les phrases iditotes apprises et répétées devant le miroir pour la prendre de nouveau dans ses filets.

Quelque chose clochait dans ce regard autrefois si vibrant. Il y flairait un sentiment différent, un je ne sais quoi de ... Et là, il LA vit lui jeter un regard de haut en bas et surtout d'en bas. Pâlissant, il comprit que ses braies trahissaient parfaitement son état d'esprit, mais après tout elle n'avait peut-être pas découvert l'origine de cette effusion, y avait donc pas à se faire du mourrons.
Mamankiki
Kiki revenait du couvent ou les soeurs avait réussi à la soigner, elle s'était même acharnée sur Kiki pour ne pas la laisser mourir. Les soeurs avaient voulues la garder mais Kiki, trop tête de mule c'était sauvée préférant être chez elle. Ca n'avait pas été facile d'escalader le mur d'enceinte mais après maintes tentatives elle y parvint.

Arrivée à Péronne, elle traina un moment dans les rues et appris qu'il y avait une cérémonie pour les membres du guet, Kiki se dit que c'était l'occasion de revoir tout ses amis de labeur et de leur faire une surprise. Elle mis une robe dans sa besace et trouva un canasson, elle s'accrocha à la crinière du bestiaux en grimaçant et le mit au galop. Elle s'agrippait à l'animal n'ayant jamais été une grande cavalière, elle fut soulager quand elle vit les remparts d'Arras.

Elle entra dans la capitale et trouva une grange isolée pour changer de tenue, elle avait choisi une robe blanche toute simple et convenant parfaitement à son teint plutôt pâle. Arrivée à la cérémonie elle pensa " si les soeurs me voyait déjà courir partout alors que ma convalescence n'est pas finit, elle me tueraient, c'est sur !! "

Kiki avança timidement, impressionnée par la salle et surtout le monde et elle chercha du regard ses amis.
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