Danyhel
Si l'arrivée de Vittorina avait elle même fait gronder la colère de l'Alzo, ces derniers jours n'avaient pas été de bonnes augures pour elle. Au-delà du simple fait qu'elle s'amusait à tester la patience, et les nerfs du jeune homme, elle s'appliquait tout particulièrement à vouloir le reprendre à tout va. A cela, un malheureux après midi, Danyhel avait perdu son sang-froid lorsqu'un imbécile doublé de crétin des alpes y avait mit son grain de sel. Suffisamment bien placé pour que cela ne fasse réagir la Firenze, supposément honteuse de la situation. Et comme une couche supplémentaire, elle s'évertuait à placer Vittorio à tout va ; lui ne ferait pas ainsi. Lui, ne dirait pas cela. Lui, ne penserait pas comme ceci. Lui, était disparut en mer, et avait confié la vie de sa fille qu'il fallait de toute évidence reprendre à nombreux point, à Danyhel. N'en déplaise à la jeune fille ; n'en déplaise à ceux qui côtoyait la florentine de près ou de loin. Agacé par les agissement de la Fragile, Alzo lui avait indiqué ; « Nous parlerons, ce soir. A Aixe. » Il était temps. Temps de remettre en ordre, un bon nombre de point. Cependant, la colère devait passer en second plan ; il le savait, Vittorina était une tête forte, mais derrière les grands airs, la fragilité du cur suivait au galop. A de simples mots, les Alzo pouvaient en venir à scandale. Ce qui n'était point le bienvenu en les terres du couple Zolenien.
Assit derrière le bureau, minérales ne décrochent de la porte ; la frappant de la froideur dont les billes étaient capables au-delà du charmant bleuté, elles attendaient l'entrée de la jeune femme. Mains jointent en une boule, l'index se joue de l'autre, faisant tourner encore et encore, la chevalière qui était l'honneur et le seul héritage encore palpable des siens. En était-elle seulement digne ? Ou bien plaçait-il nombres espoirs vains en le peuple d'Alzo ayant encore la tête sur les épaules ?
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Assit derrière le bureau, minérales ne décrochent de la porte ; la frappant de la froideur dont les billes étaient capables au-delà du charmant bleuté, elles attendaient l'entrée de la jeune femme. Mains jointent en une boule, l'index se joue de l'autre, faisant tourner encore et encore, la chevalière qui était l'honneur et le seul héritage encore palpable des siens. En était-elle seulement digne ? Ou bien plaçait-il nombres espoirs vains en le peuple d'Alzo ayant encore la tête sur les épaules ?
- Faites la entrer.
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