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[RP] EGLISE d'AGEN : St Jean le Pauvre

Elyset
En arrivant à la tente près de l'église, Ely vit mère Horobi entrer pour la messe. Silencieusement il entra à son tour et s'assit sur un banc. Mère Horobi semblait radieuse. La cérémonie commença et mère Horobi fit une belle envolée oratoire. Écoutant ce sermon, Ely se sentit interpeller par cette phrase.
Citation:
""Alors, cher maître, l’homme de bien est donc le citoyen ?"

Ely n'avait jamais réfléchi à cela. Il se demanda
comment devenir un meilleur citoyen si on veut être un homme de bien. Il faudrait que j'en reparle avec mère Horobi.
Ely laissa de côté cette idée et écouta le reste de la messe en silence. Puis il fit génuflexion avant de quitter la tente pour reprendre son chemin vers le marché. Peut-être aurait-il plus de chance de matin? Il lui fallait du maïs pour son élevage. Mais au fond de lui-même il espérais trouver des carcasses à vendre ? Plein d'espoirs, Ely se dirigea vers la place de la mairie.
--Jeanjeancharpentier
Après avoir travaillé toute la journée sur les plans de la curette, Jeanjean se sentait épuiser. Sous la tente, Jeanjean toussait et grelottait. Il prit un peu de vin épicé bien chaud que lui tendit son apprentis. Il le regarda en souriant.
Laisse-moi je vais me reposer un peu. Puis j'irais montre les plans à mère Horobi.

Silencieux l'apprentis salua et sortit. Au bout d'un moment, Jeanjean s'assoupit dans sa chaise. Une bienfaisante chaleur le réveilla.
Hum! je me sens un peu mieux. Je vais aller travailler.
Il voulut se lever et retomba parterre. Une voix alarmée lui murmura
Non! non! vous avez la fièvre. Venez vous mettre au lit. Jacquouille aide-moi. Il est trop lourd pour moi.

Jeanjean sentis de vigoureux bras le prendre comme un fétu de paille et le déposer sur une paillasse bien moelleuse et douillette. Trop faible pour se défendre, Jeanjean sentit qu'on lui donnait à boire lentement un breuvage chaud et amère.
Voilà maître. Demain vous irez mieux. Dormez maintenant.

Rapidement le sommeil le gagna et Jeanjean se débattait mais une petite voix sortit des limbes le calmait immédiatement. Couvert de sueur, il s'éveilla en criant en se redressant
Han! han!
Rapidement des mains le repoussèrent sur le lit et tâtèrent son front.
Sa fièvre est tombé. Plus de danger. Gardez-le au chaud dame. Il devrait se remettre rapidement. Donnez-lui à boire ses simples.

Il ouvrit ses yeux allourdis pour découvrir le regard inquiet de sa femme.
Amelyne c'est toi croassa-t-il
Amelyne sourit et posa un baiser sur sa joue.
Bien sûr mon tendre ami! Tu m'a fait peur. Tes apprentis t'ont ramené à la maison brûlant de fièvre. Maintenant tu vas me faire le plaisir de ne pas bouger pendant que je vais chercher un peu de soupe. Tu dois avoir faim.

Jeanjean regarda sa femme s'activer dans la cuisine mais ses yeux se refermèrent malgré lui. Assise près de lui brodant une chemise, Amelyne chantonnait d'une voix douce quand il s'éveilla à nouveau.
Tiens te revoilà. Attends j'ai un peu de soupe pour toi.

Vivement elle posa son ouvrage et prit une assiette déposé près d'elle. Lentement elle lui donne la soupe au lard et lui fit boire une tisane bien chaude.Jeanjean voulut se lever un peu la tête mais hélas impossible trop faible.
T'est mon ange. Mais je pue comme un putois.

Amelyne pouffa de rire en se pinçant le nez.
C'est toi qui la dit mon doux. Pour l'instant tu vas te reposer. Plus tard je te ferais chauffer un banc d'eau pour ta toilette. Puis je ferais venir le babier pour tes cheveux et ta barbe. T'as l'air d'un bouc.

Hihihi! d'accord mais chante-moi ma tendre aimée.
Épuisé par la maladie, Jeanjean se rendormie au son du chant d'Amelyne
Robin25
Je n'étais pas en avance . Et la chasuble de mère Horobi était terminée heureusement. Je me pressai et allai directement à l'église pour la trouver.
J'entrai dans l'église, fit ma génuflexion et allai dans la sacristie. Là je vis des chasubles de toutes les couleurs.Tient Me dis-je un donateur à déjà fourni mère Horobi. Enfin ce n'est pas cela qui lui plait. Comme il n' y avait personne, je déposai ma chasuble à coté des autres et mis un mot à coté.


Citation:

Mère Horobi, je vous ai déposé cette chasuble dans votre sacristie. J'ai fait comme vous me l'avez demandé, J'ai brodé un calice sur l'arrière de votre chasuble et je me suis permis d'en broder un devant aussi comme cela les fidèles verront en vous le vin , euh le sang où que vous soyez.
Pardonnez moi ce retard, j'ai du allé à Lectoure chercher quelques pelotes d laine vu qu'à Agen le marché ne distribue plus de ce produit.
Mais je vois que je ne suis pas en retard et le six décembre sera une très bonne date pour l'inauguration de l'église.
Je repasserai tantôt voir si mon travail vous a plus


signé : Maistre Robin tisserand


Aussitôt après je sortis de l'église et me rendis au port pour prendre l'air de notre fleuve.

_________________
Horobi
Aussitôt vu, aussitôt mis , la robe allait parfaitement à Horobi.
Elle regigea un mot pour le déposer à la boutique de Robin .


Cher Robin , je crois que ce sera une excellente robe pour aller rendre l'extrême onction et faire entrevoir les paradis de lumière et de plénitude :wink:
Je te serre dans mes bras et t'invite à prendre un pot après l'inauguration.
Xanthi
Xanthi avait entendu dire que l'église d'Agen serait inaugurée ce dimanche.
Comme elle fermait sa maison, avec l'aide de Mahault, elle avait préparé des vasques qui fleuriraient l'église.

Elle ne vit personne.

Viens Mahault posons la vasque ici, Mère Horobi la trouvera et surtout, réveille moi dimanche, j'ai encore loupe la messe de mercredi.

Elles sortirent et retournèrent faire leur bagage.
Puis une idée lui traversa l'esprit. Elle laissa sa serve et se rendit en taverne. Il lui fallait parler à Damoiselle Shushi.

_________________
Horobi
Devant la porte de l'eglise un superbe bouquet qui ferait très bien sur l'autel demain ...

.....Il y avait tant de chose à faire pour que l'église soit prête pour l'inauguration
Horobi compta sur ses doigts :

..
-Porter un grog à jean jean qui grelottait de fièvre.
-Essayer la chasuble de cérémonie ,
-vérifier que lla chemise en dentelle de l'évêque était propre
-aller prendre un bain au l .. heu non ...
-installer le portrait d St Nicolas

Le Maire avait bien travaillé . Un hérault parcourait la ville en criant : INAUGURATION DE St Jean le Pauvre . Venez nombreux demain ..Mère Horobi vous attend , l'évêque sera présent ... [i][size=12]et surtout il ajoutait de venir chacun avec une idée , un poème , une cantate , un dicton de saison, un ex voto, une prière qui seraient accrochés dans l'église ce vendredi 1457

[/size]
--Servant
Messe dominicale du 6 décenbre 1457



Les petites mains de la sacristie s'activaient pour bien décourer et fleurir la belle église de Saint Jean le pauvre . Les servants d'autels disposait les composition ammener par dame Xanthi et il passerent un dernier coup de balais dans l'allée central et sur la parvis.Un dernier coup de cire d'abeille était également passer sur l'ambon et la chair, ainsi que sur les bancs. La Chorale répétait quelques cantiques avant le début de la célébration.

la porte de la sacristie s'ouvrit et Monseigneur Vanwolk entra suivit de son vicaire. Les enfants de choeur et les sacristain présent allèrent le saluer et l'aidèrent à se vetir pour la célébration. Il avait fait fabriquer une chasuble exprès, il enfila avant les dentelle que mere Horobi lui avait gentillement préparer et se coiffa de sa mytre et alla ensuite prier quelques instants devant le maitre autel.

Pendant ce temps les sacristains préparait le pain et le vin , les ensencoirs et les linges liturgiques. Le carillonneur arriva dans l'église, il se signa et monta de suite au clocher pour faire retentir la volée et avertir les paroissiens de l'office de ce dimanche


--Jeanjeancharpentier
En ce dimanche de fête, Jeanjean se dirigea vers l’église avec à son épouse Amélyne. Remis et en pleine forme, Jeanjean voulait remercier pour la grâce de santé qui lui avait été accordé. Amélyne avait mis sa plus jolie robe et sa cape bordée de fourrures. Jeanjean la regardait avec ses yeux enamourés.
Voilà ma douce. Nous y sommes l’église est prête. Accorde-moi un instant je vais aller voir mes ouvriers.

Laissant Amélyne sur le portique de l’église, il se dirigea vers le campement des ouvriers quand ceux-ci le virent. Soulagé de le voir en bonne santé, les ouvriers se levèrent comme un seul homme en hurlant de joie.
Viva Jeanjean est revenu!

Certains plus goguenard s’approchèrent de lui en disant
Y paraît que dame Amélyne t’as séquestré. Pauvre homme! Hihihi!

Souriant devant leur bonne humeur, Jeanjean flatta sa barbe
Hum! il me semble que vous vous laissez aller à ce que je vois. Dites-moi vous avez fait quoi cette semaine.

Perplexe, Jacquouille répartit
Ben pardi! On l’a rempli de ses meubles sacrés que l’évêché avait donné. Puis y a des citoyens qui sont venu mettre de belles fleurs. Va voir ça brille comme un sous neuf. Tout est prêt pour l’inauguration. On a préparé une tranché pour la maison de la mère et commencer à mettre les pierres pour le soli.

Etonné, Jeanjean les regarda
Vous aviez pas les plans.

Jacquouille se racla la gorge un peu embarrassé
Ben on les pris sous ta tente quand tu t’es effondré. Tu nous voulais absolument creuser le trou. Alors on s’est dit que tant qu’à t’attendre on s’occupe.
Éclatant de rire, Jeanjean lui prit l’épaule
Je vous reconnais bien là. Mais aujourd’hui c’est jour de fête alors on va tous à l’église. Mettez vos plus beaux braies et venez Amélyne nous attends sur le parvis. :wink:
Mun
Il ne pouvait rester que quelques heures dans la ville mais son devoir l’appelait toujours.
Ayant rejoint la lance qui l’attendait depuis plusieurs jours.
Le rassemblement avait été donné et la foi ainsi que son armée se dirigeait vers le chancre.
Malgré quelques formalités administratives qui tardaient alors qu’il était présent au castel depuis plusieurs semaines, il se dirigea vers l’église du village. Tout en lissant les lettres du Majorqu’il avait reçues.

Poussant les portes de l’Eglise il prit la place comme à son habitude.
Sa tenue de Vidame Blanche Liserée d’or l’épée pendante s’arrêtant sur les hauts des marches assurant la protection des lieux.
Horobi
Horobi entra dans la sacristie déjà en effervescence. Avant de pousser la porte elle entendit L'êvêque qui se débattait avec ses enfants de choeur car ceux-ci voulaient tous être celui qui lui passerait la chasuble. Il finit par se fâcher et les envoya chacun dans un coin réciter 3 crédo pour se calmer .
Elle ouvrit grand la porte et le vit les deux bras dressés , la chasuble à moitié passée sur la tête, le corps grassouillet gigotant. Il ne pouvait la voir .

Vous voulez mon aide , Monseigneur ?
--Mahault_la_muette
Mahault suivait sa maitresse et portait une petite composition florale, qu'elle déposa à l'entrée comme sa maitresse le lui indiquait.
Elle la quitta pour rejoindre sa place et se dirigea vers les bancs réservés aux gens de sa condition.
Elle chercha des yeux si elle voyait Ermine.
Kenny78
Le guerrier borgne ne pourrait guère rester longtemps. Le combat contre les hérétiques allait être rude, mais il avait eu vent d'une inauguration d'église. Il chemina donc vers l'église en armes et armure. Son écu ainsi que son armure étaient frappées de son blason personnel : un écu d'azur au faucon d'argent. Il demanda pardon mentalement au Très-Haut pour aller dans un lieu sacré en armes, mais il n'avait guère le choix. Il ôta son casque et admira l'édifice tout en poussant un petit sifflement admiratif.
Xanthi
Xanthi entra dans l'église en ce dimanche de Saint Niicolas. Mahault la suivait et elle lui indiqua où déposer la composition florale qu'elle avait préparé ce matin.
Laissant la servante rejoindre son banc, elle se dirige vers la sacristie où elle entend des cris et du chahut.
Elle frappe, n'ose entrer.
Elle n'entend plus que des psalmodies et des bruits de tissus froissés.


Mère Horobi ? appelle-t-elle doucement Allez-vous bien ? J'ai là un petit vin de messe que je désire vous faire connaitre.


Elle attend, tend l'oreille, frappe à nouveau.
Toc Toc !
_________________
Horobi
L 'évêque grommela quelque chose d'inaudible et Horobi préféra s'éloigner en riant sous cape dans le coin le plus obcur pour revêtir à son tour les vêtement d'apparât confectionné par les mains habiles de Robin

puis elle ressortit par la porte de côté pour jeter un coup d'oeil sur le parvis et le chemin conduisant à l'église . De nombreux citoyens arrivaient ... Maeline , un grand sourire sur son joli visage lui tendit une bouteille de vin ..

merci maeline .. heu .. peux-tu la garder jusqu'à ce soir Je crois que j'aimerais la partager à l'auberge avec Yan et toi .. qu'en dis-tu ?
Horobi
La foule sur le parvis grossisait


et Monseigneur Van wolk n'était toujours pas là pour accueillir les habitants. ..
Etait-il toujours coincé dans sa chasuble ?
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