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[RP] EGLISE d'AGEN : St Jean le Pauvre

Mickia
Mickia, se rendit a l’église de ce si joli petit village d’Agen…
Elle espérait y retrouver Jérôme et pouvoir se recueillir ensemble…
Elle venait d’apprendre la disparition d’une amie connue et aimée de tous deux…

Mickia, entra le plus doucement possible et alla s’asseoir non loin de tili…

Elle ne pu s'empêcher de repenser à la dernière fois ou ils s’étaient retrouvés
Dans la petite chapelle du manoir de la confrérie…
Et ou il avait prononcé ces mots comprenant sa peine…

Je suis vraiment triste que tu arrives dans ces conditions.
Laisse couler tes larmes, car elles évacuent la souffrance.
Il viendra des jours plus joyeux en ces lieux, je te le promets.


Mickia , plongea son visage au creux de ses mains…
Horobi
Bienvenue Dame, bienvenu Cosme .
C'est au sein de cette belle église que vous serez baptisé. Mais il vous faudra d'abord suivre une pastorale . Si vous me laissez ici même un petit parchemin pour votre demande officielle, je vous ouvrirai mercredi la porte de la salle de pastorale (sur le forum d'Agen)

Si d'autres veulent en profiter pour se joindre à vous , qu'ils le disent . Plus nous serons d'aristotéliciens , plus nous rirons et augmenterons
notre prestige d'Agenois .
Vive la prune , Aristote et le Roi
Cosme
Cosme, le nouveau Bourgmestre, entra dans l'église derrière dame Horobi et l'entendit parlé.

Bien sure, madame la curé. J'attend de pouvoir le faire avec impatience.
Alexandra_
Emilie entre dans l'église avec tout ses enfants elle s'avance vers un banc met un genoux a terre se signe puis s'installe puis elle commence a prier

mon dieu pardonné moi ma vie est trop difficile ici je n'en peux plus

une larme coule sur sa joue puis elle regarde ses enfants et les serres très fort contre elle

elle leur parle doucement pour leur dire a quel point elle les aiment mais ne fini pas sa phrase pour ne pas les effrayer sur la suite des évènements
Lanceline
Elle se leva tôt, ce matin-là. Il lui faudrait...
Elle s'habilla chaudement, descendit et s'enfonça dans la neige, le tout en boitant fortement. C'est que le froid n'arrangeait en rien la douleur de sa cheville, loin de là! Elle tremblait de froid, mais aujourd'hui elle s'était fixé un but: aller coûte que coûte saluer Aristote, et lui dire deux-trois mots sur sa façon de penser.
Elle arriva enfin devant l'église, s'arrêta devant les lourdes portes de bois et s'engouffra dans le bâtiment. Là, elle se signa et alla s'agenouiller sur un banc. Elle ferma les yeux et pria silencieusement. Pour sa soeur, d'abord, pour Barbarian, ensuite, pour Bee et Cloé, puis, en dernier lieu, pour elle.


Ô Aristote, exauce ma prière.

Elle releva la tête et se rendit compte que des larmes coulaient sur son visage. Elle eut une dernière pensée pour le Noël qu'elle passerait, elle ne savait trop où, en compagnie de sa soeur qui ne voudrait sûrement pas lui parler... Elle le reconnaissait, ce qu'elle avait fait était inexcusable. "Mais est-ce une raison pour se torturer?" La jeune femme ne connaissait pas de réponse. Elle avait tourné et retourné dans sa tête le problème; il lui faudrait sacrifier ses ambitions et son amour au profit de sa famille. Mais le résultat en vaudrait la peine...
La jeune femme soupira. Elle avait pris son parti, elle ne pourrait plus reculer. Avancer, toujours aller de l'avant...
La Blonde se releva péniblement, s'aidant du banc, et se dirigea vers les lourdes portes en boitant afin de rejoindre le froid. Et, éventuellement, d'aller se réchauffer en taverne.

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Horobi
Horobi qui était un mur mais avait des oreilles soupira : que de malheur , que de malheur

puis elle s'en alla faire quelques boules de neige ...
Horobi


Horobi vint placarder une affichette sur la porte de l'Eglise


***********Ce soir : après la messe et le sermon de Noël ******* .... venez nombreux assister à la bataille de boules de neige sur le parvis.

Votre curé
Vanwolk
Elsie.
Pas une cloche ne se fit remarquer en ce dimanche matin sur la place agénoise, si ce n'est une cloche rousse, seule sur le parvis de l'église, à attendre quelque chose qui ne semblait pas vouloir arriver. Pas un seul autochtone ne la rejoignit et c'est le nez en l'air qu'elle regarda le clocher demeurant muet.

Les bras croisés sur la poitrine, elle scruta alors les alentours, profitant des quelques rais d'un soleil d'hiver déjà bien haut dans le ciel dépourvu de nuage. Un soupir, puis deux, à défaut d'apercevoir des agenois, elle espéra qu'un lorrain cher à son coeur ne tarderait pas à la sortir de ce grand moment de solitude.

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Spagyricus
Spagyricus était arrivé à Agen, ville réputée pour ses prunes. Mais c'est une rousse qu'il recherchait ce jour là. Une rousse au caractère fort pieux. Il en avait eu la démonstration la nuit précédente à l'auberge. Et c'est donc tout naturellement qu'il s'en alla la chercher à l'église locale. Et en effet elle baguenaudait tranquillement sur le parvis de la Maison du Très Haut.

Salutations douce Elsie ! l'interpella-t'il. Comment va ? C'est toujours un ravissement de voir ce que le Très Haut est capable de créer. la complimenta-t'il sans forcer. Puis remarquant le peu d'animation qui régnait en ces lieux, il ne put que noter, laconique, le peu d'empressement autour de l'édifice. Ach... Ici aussi on manque de bureaucrates ?...
Elsie.
Rapide quart de tour en entendant la voix familière, elle accueillit Spagyricus d'un franc sourire.

J'ai failli attendre !

Et de laisser un bras s'enrouler doucement autour du sien.

Et je vais très bien, mieux, très mieux en fait. Et vous ?

Sans attendre la réponse et après avoir jeté un furtif coup d'oeil sur la porte en bois close derrière eux, la rousse s'adressa une nouvelle fois à son compagnon.

Dites, vous croyez qu'Il ... regard qui se lève vers le ciel avant de retrouver celui de Spagyricus... nous en voudra si on fait l'impasse sur la visite de cette église ? C'est pas que j'n'en ai pas envie mais ces édifices lugubres et sans vie commencent à me faire froid dans le dos. Cela fait quelques jours, à une exception près, qu'on passe plus de temps à dépoussiérer qu'autre chose non ?
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Spagyricus
Spagyricus offrit son bras à la rousse, en profitant pour humer un peu de son parfum si rustique , et sans tergiverser il lui répondit aussi sec.

Bah... Vous savez, la Foi se vit partout. Et les édifices sacrés ont surtout pour vocation de nous permettre de nous rassembler. Et vous voyez un rassemblement ici vous ? demanda-t'il en balayant les alentours de sa main libre. Pis j'vais vous dire... En ce qui concerne l'enseignement, on aura plus d'audience en d'autres lieux... D'ailleurs, j'ai repéré une Taverne qui vous siera bien au teint.... sourit-il. Allez zou... en route ma belle... lâcha-t'il en l'entraînant loin de cette maison morte et en lui flattant discrètement les reins.
Horobi
Pfft quelle poussière et quelle odeur !!

Horobi se fit un passage parmi les pigeons qui avaient pris possession de l'eglise en son absence. Elle ouvrit tout grand le portail et fit sonner les cloches à se faire sauter les tympans pour rameuter les paroissiens .. puis elle attendit .. rien , bof elle alla s'asseoir dans le confessionnal ; il y faisait plus chaud et cela sentait moins le pigeonnier. Elle écouta ... mais bientôt son attention baissa et on n'entendit plus qu'un discret ronflement .
Tynie
Tynie aime les églises. Elle s'y rend souvent, elle s'y rend longuement. Elle y retrouve la froide atmosphère du couvent, nostalgique. Celle d'Agen, s'élevant fièrement sur la grande place, est aussi vieille que les antiques murailles qui entourent la ville. La brunette l'affectionne tout particulièrement : il y a ce parvis grisonnant, cette porte imposante de bois massif finement sculpté, ces personnages de pierre blanche figés à jamais dans l'imminente douleur du Jugement Dernier, l'odeur de sacré qui déjà donne la chair de poule..

Tynie la retrouve aujourd'hui, entre deux coups de pioche. Elle grimpe vivement les quelques marches irrégulières et pousse d'une main le lourd battant dont le grincement l'emplit de joie. Ses sabots résonnent sur les dalles noircies. Pénombre et présence. La petite se signe et rabat la capuche de sa cape de laine grossière. Sur le sol se découpent de délicates tâches de couleur, élégance du soleil qui illumine les vitraux ouest, donnant aux saints profils chatoyants une aura particulière. Elle s'avance le long de la nef, respirant à peine, et s'immobilise à quelques pas du cœur. L'autel lui fait face et la toise de toute son immense gloire, lui qui a porté la coupe et le pain.

Tynie se glisse dans la première rangée de sièges et s'agenouille sur le prie-dieu, croisant ses fins doigts blancs. Elle retrouve le couvent, les longues heures de prière et les robes grises des bonnes sœurs..Elle confie ses souvenirs à Aristote et glisse de même son avenir entre ses mains. Elle lui souffle des promesses, ainsi recroquevillée, lui certifiant, du haut de ses dix-sept ans, que son existence entière ne sera jamais vouée qu'à suivre ses saints principes.
Horobi
Un bruit de chaise stoppa le rêve d'Horobi .. Adieu les yeux noirs , pourtant Horobi l'avait cherché et trouvé .. mais la réalité lui revint comme une vessie de porc qui vous éclate à la figure pour l'avoir trop gonflée. Elle chassa les plis de sa chasuble et sortit dignement du confessional . Une jeune femme était en prière et ne faisait pas attention à elle . le soleil faisait dansser les couleurs des vitraux sur le sol .
Horobi soupira
et dire qu'il va falloir quitter cettte église sous peu ..
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