[RP] La plage

pnj

Entendant son appel et sentant le désir de son beau chevalier servant
Myssie dites Aphrodite s'approcha doucement de lui tout en enlevant son corsage...
Quelle belle nuit... Face aux vagues avec celui qui fait battre son coeur le temps d'une nuit...
Le coeur troublé par cet être si beau, si noble...
Ce soir sera la nuit des interdits, de tous les interdits..
Le sourire au coeur, elle l'embrasse passionnément tout en l'allongeant sur cette plage magnifique..

Axe37

Les interdits seront, au rythme des vagues...

Axe37 enlaçait Myssie tel une pieuvre...

"Je ne vous promets que cette nuit Madame...
Mais je vous promets une nuit inoubliable,
Une nuit où les étoiles seront jalouses de vous...
Une nuit où la lune se couchera avant nous...
Une nuit où les poissons nous feront un balai...
Une nuit où je ne regretterai votre ... **** ....

Une nuit où nous nous sommes aimez,
Des heures qui nous resterons gravées..."
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Si vous avez vouloir de faire bien,
C'est le vouloir de Dieu,car le seul vôtre
Est vouloir mal,quand rien n'y a de bien.
Vous avez beau dire le Paternostre...

pnj

Myssie sentit des frissons montés dans tout son corps...
Cette nuit sera inoubliable...
Elle savait que ce serait un amour d'une nuit mais c'est une nuit qui resterait à jamais gravé en elle..
Tels deux amants en folie, c'est un ébat doux et chaleureux que Myssie savoure à chaque instant
Son corps en accord avec le sien
C'est comme si ils se connaissaient depuis toujours...
Le temps d'une nuit leurs deux corps ne feront qu'un...
La fièvre au corps et ce doux plaisir en elle lui fait perdre le peu de timidité qui lui restait et se laisse aller à corps perdu entre ses mains douces et viriles avec une totale confiance en lui...

pnj

Myssie avait le cafard ce soir...
Elle prit idée de retourner sur cette plage magnifique
Là où tout avait commencé..
Qu'elle était bête
Penser à celui qui ne voudra jamais d'elle pour le meilleur et pour le pire..
C'était elle tout craché ça
Elle tombait toujours amoureuse de ceux qu'ils ne fallaient pas...
Avoir de ses nouvelles lui faisait tellemen du bien mais lui rappeler chaque seconde que son coeur était à lui et rien qu'à lui...
Elle repense à cette nuit sur la plage... Nuit inoubliable
Elle replia ses jambes et mit sa tête entre celles-ci pour pleurer comme elle n'avait jamais pleurer..

"Tu me manques, je dois l'admettre... J'ai hâte de te revoir..."

Si seulement ces paroles pouvaient signifier plus...
Elle replongea le nez dans sa peine, inconsolable..

Kiliana

Enfin elle Le revoyait!! Des heures de voyage, dangereux, harassant! Mais la fatigue s'évanouit au premier roulement des vagues!

L'impétuosité de l'océan la galvanisait. Elle monta sur une petite dune, observa les alentours et l'horizon. La silhouette de quelques navires marchands se dessinait au loin... Un ballet d'oiseaux marins tourbillonnait au-dessus d'eux. Le pâle soleil d'hiver perçait le ciel et plongeait ses mains de feu dans l'eau scintillante...

Kiliana respira l'air iodé à pleins poumons, et offrit son visage opalin aux embruns...

Edhel

Dans la nuit froide ou la plage se fait balayer par des bourrasques de vent glacées et humide de l'océan, Edhel s'assit dans le sable à regarder la limite entre l'eau et le ciel : noir sur noir, le vide. Dés demain il repartait vers l'intérieur des terres et il comptait un peu profiter de l'océan, lui l'enfant des montagnes et des forets.

Plongé dans ses pensées les plus lointaines et les plus sombres, enfouit dans le grand drap de laine noire qui lui tenait lieu de manteau, la nuit l'enveloppait de ses mains protectrices, et malgré l'espace qui l'entourait, il se sentait a l'aise, en sécurité, loin des tracas et des dangers, son âme se reposait comme lorsqu'il était au fin fond d'une caverne, persuadé que nul ne viendrait troubler sa quiétude et l'obliger à rester sur le qui-vive.

Alors que la lune parcourait le ciel imperturbable et que le charbon qu'il avait pris dans l'âtre de la taverne refroidissait, il se leva lentement et s'en retourna là où il pourrait passer la nuit, un vieux moulin à eau à l'entrée de la ville. Vieille ruine envahie de lierre et de sable, mais à l'abri du vent ou il pourrait faire un feu et se reposer quelques heures avant de partir alors que le soleil dormirais encore derrière l'horizon.

...
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Dusmas ir slikts padomdevējs ... Bet ko tas relaksējoša !
La colère est mauvaise conseillère... Mais qu'est ce que ça défoule !!

Kiliana

Le lendemain...

Kiliana, après avoir effectué son travail, se rendit sur la plage. Le temps était radieux, l'océan miroitait de mille scintillements.

Mais dans l'esprit de la Pictave, une tempête dévastatrice faisait rage! D'aucuns n'auraient pu résister aux vents qui soufflaient d'une force éolienne dans son coeur et qui faisaient trembler son corps! Une colère noire soulevait des bourrasques d'amertume et de rancoeur!

Kil cherchait l'apaisement, en vain. Elle s'assit, remonta ses genoux et croisa ses bras autour. Elle fixa l'horizon, une ligne plus droite que les méandres labyrinthiques de son âme souffrante.

Un goéland poussa un cri strident au-dessus de sa tête, comme s'il se gaussait des larmes qu'elle essayait de ravaler. Kil le regarda disparaître au loin... un point blanc... un tout petit point blanc... Et soudain, une évidence...

pnj

Enfin ....ils étaient arrivés à destination ....voyage éprouvant ...long et un peu douloureux pour une certaine partie du corps qui malgré son aspect charnu n'en était pas moins tendre.

Comme à son habitude David s'était écroulé sur le lit tout habillé et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire il dormait. Et comme d'habitude elle s'était penchée sur lui pour le regarder avec le sourire.

Ils avaient posé les bagages dans un coin de la chambre et elle n'avait pas quitté sa cape, pressée de LE retrouver ....l'océan.

Sans faire de bruit elle sortit sur le palier, entrebailla la porte de chambre où dormait Fey et appela Triplebuse ...celà serait plus agréable de faire une balade à deux ...même si il ne s'agissait que d'un chien.

Arrivée dans la ruelle elle se laissa guider par l'odeur des embruns et le bruit des vagues. Elle partit en courant le long du chemin, Triplebuse sur les talons .....vraisemblablement heureuse elle aussi.

Et là au bout du chemin .....l'immensité .....l'horizon infini .....et comme à chaque fois elle restait bouche bée devant ce spectacle ...jamais elle ne se lasserait ....jamais. Elle quitta ses chausses et crispa ses pieds en riant sur le sable ....chatouillis du sable entre les orteils ...Et elle fit un petit pas en avant en voyant un crabe minuscule lui monter sur les pieds . Laissant ses chausses au bord de la plage elle s'avança tranquillement vers l'eau. La marée était haute mais les vagues étaient minuscules ...elle mit les pieds dans l'eau et voyant Triplebuse flairer l'eau à côté d'elle lui en envoya une giclée du bout du pied, ce qui eut pour effet de lui faire faire un bond qui la fit éclater de rire.

Elle se mit à courir au bord de l'eau en criant .....allez allez un peu d'énergie Triplebuse ....tu as quatre pattes et il semblerait que j'en ai plus que toi .....

Elle finit par s'affaler sur le sable à bout de souffle, passa un bras autour du cou de Triplebuse venue s'asseoir contre elle ....et elles restèrent là toutes les deux contemplant l'infini de l'horizon.

pnj

Myssie marchait sur la plage
Comme à chaque fois qu'elle avait besoin de réfléchir, de penser, de pleurer...
Cet endroit l'apaisait..
Les vagues était le fruit de l'apaisement qui envahissait son coeur à chaque fois qu'elle venait ici
Elle venait se faire consoler par l'océan, toujours là pour elle
Elle ferma les yeux, laissant le vent lui fouetter, doucement, le visage...
Puis, ré-ouvrant les yeux, elle vit une silhouette sur la plage, recroquevillé sur elle-même..

"Mais qui cela peut-il bien être ?"

Elle continua à marcher vers la silhouette, puis, elle reconnut cette jolie jeune femme dont elle avait fait la connaissance hier..
Elle s'approcha d'elle, s'accroupit et lui dit :

"Kiliana ? Vous vous rappelez de moi ? On s'est vu en taverne hier.. J'ai pensé à vous cette nuit, vous êtes partie tellement vite... Vous m'avez l'air en colère et je vois beaucoup de peine... Vous voulez en parler ?"

Myssie lui sourit chaleureusement pour l'accompagner dans sa peine et s'assit à coté d'elle attendant une réponse ou non... Peu importe si juste sa présence pouvait lui faire du bien..

Kiliana

Kiliana était plongée dans les abysses de sa colère et de sa douleur... Elle concentrait son esprit sur le bercement des vagues, pour ne pas sentir le poignard qui faisait saigner son coeur.

"Kiliana ? Vous vous rappelez de moi ? On s'est vu en taverne hier.. J'ai pensé à vous cette nuit, vous êtes partie tellement vite... Vous m'avez l'air en colère et je vois beaucoup de peine... Vous voulez en parler ?"

Kil sursauta. Elle reconnut immédiatement l'adorable et prometteuse damoiselle qui les avait si gentiment accueillis la veille au soir, Theudrik et elle. A la pensée de Theudrik, ses yeux se brouillèrent, ses lèvres tremblèrent... Elle trouva néanmoins la force de sourire.

- Bonjour Myssie!

Kil essuya du revers de sa manche ses larmes.

- Je suis désolée que vous ayez assisté à notre querelle... Je ne vous importunerai pas avec mes peines de coeur. Mon chagrin va partir, avec la marée descendante! Enfin, je l'espère... C'est dans cette immensité que la douleur se noie!

Kil embrassa du regard l'océan et l'horizon. Elle poursuivit.

- Dites-moi, Myssie, mon petit doigt me dit qu'il faudrait organiser une fête de la mer, avec des chansons de marins!! J'ai le coeur à m'étourdir dans la danse et les rires!!

Kil regarda la demoiselle, les yeux pétillants. Son sourire en disait long sur son remerciement...

pnj

Kiliana se forca à sourire pour pas monter la peine énorme qu'elle devait avoir au coeur... et lui répondit :

"Je suis désolée que vous ayez assisté à notre querelle... Je ne vous importunerai pas avec mes peines de coeur. Mon chagrin va partir, avec la marée descendante! Enfin, je l'espère... C'est dans cette immensité que la douleur se noie! "

Myssie sourit... Cette jeune femme savait très bien parler... Myssie aimait ses mots... Une poète..
Puis, la voyant essuyer ses larmes, elle rajouta :

"Dites-moi, Myssie, mon petit doigt me dit qu'il faudrait organiser une fête de la mer, avec des chansons de marins!! J'ai le coeur à m'étourdir dans la danse et les rires!!"

Myssie sourit.. Cette jeune feme la fascinait.. Quelle force.. Elle enviait cette force qu'elle avait en elle... Elle aimerait en avoir autant

"Vous êtes épatante ! Et vous avez des superbes idées ! Vous voulez faire ça à la Rochelle avec d'autres habitants si j'ai bien compris ?"

Myssie lui sourit en attendant sa réponse..

Kiliana

-Ce serait bien volontiers, damoiselle Myssie! Une fête, de la danse, des rires, de la bière! Quoi de mieux pour réchauffer un coeur refroidi? Regardez cet océan qui nous invite à éclabousser notre bonne humeur, à couler notre peine! Damoiselle, écoutons cette force de vie!

Kiliana tendit son index vers l'énergie titanesque. Ce pour quoi, pour qui, elle était venue... Elle repartirait sans lui, mais elle voulait saisir dans sa mémoire de piaf les va-et-vient de cette force invincible!

Elle prit les mains de Myssie dans les siennes.

-Organisez cela ma demoiselle! Je vous aiderai si cela est nécessaire! Vous pourrez comptez sur moi!

Kil sentait son chagrin s'évaporer, du moins tâchait-elle de s'en persuader... S'esbaudir dans la danse, c'était tout ce qui pouvait la sauver de la noyade qu'elle avait projetée. Elle sourit à Myssie, impatiente d'entendre sa réponse...

pnj

Myssie eut un petit rire en voyant l'impatience de Kiliana
Elle lui répondit :

"C'est une très bonne idée ! Mais cela ne dépend pas que de moi, il faut que je voye tout ça avec le conseil mais promis j'en parlerai et je suis sure qu'ils trouveront cette idée fabuleuse !"

Myssie lui sourit chaleureusement..
Elle fera tout pour que cette idée soit accepté, si ça peut l'aider à lui remonter le moral..
Elle avait hâte que ça se fasse...
Elle resta auprès de son amie autant de temps qu'il fallait en regardant les vagues s'écraser sur le sable doux..

Kiliana

Kiliana se redressa, respira à pleins poumons l'air salé, et sourit, pour la première fois de la journée...

- Vous avez raison, Myssie! Il faut aller de l'avant! Parlez-en au CM, et organisez ce bal!

Kil prit la main de Myssie, et l'incita à courir sur les dunes...

Feyrak

Elle n’avait que trop retarder l’instant. La pensée d’Iwa l’avait retenue, mais elle ne pouvait différer plus longtemps : l’appel de la mer se faisait entendre au plus profond d’elle-même. Laïa, jouait avec ses petits petons, les attrapant dans sa main et les relâchant, inlassablement. Elle regardait son bébé avec un amour infini, les yeux emplis d’une douce tendresse.

Elle habilla l’enfant chaudement et posa sur elle une couverture. Elle sortit et prit la direction de la plage, qu’elle avait déjà repérée malgré elle.

Debout face à l’océan, elle ferma les yeux, laissant mille émotions l’envahir. Elle les rouvrit et laissa errer son regard sur cette immensité grandiose. Les larmes lui vinrent aux yeux devant tant de beauté majestueuse. Le soleil qui faisait une sortie, laissait ses rayons se briser sur les vagues, en mille étoiles scintillantes et dansantes.

Elle parcourut la plage des yeux, à la recherche d’un rocher où se poser. Avec un sourire, elle en vit un qui se détachait de tous. Elle s’y dirigea et prit Laïa au creux de ses bras. Elle s’assit sur le roc mouillé par les embruns, mais peu importait. Ses pensées s’envolèrent loin d’ici, un autre rocher, une autre plage…tant de souvenirs merveilleux…. Leur nid à Gwen et à elle….tant de temps écoulé…..Le petit corps tout chaud contre elle, la rappela au présent. Elle pencha la tête vers ce nid de douceur, sourit tendrement et déposa un baiser sur le front de cet être innocent. Elle plongea les yeux dans ceux de sa fille et frissonna devant tant de pureté. Quoi de plus beau que le regard d’un bébé ? Tant de beauté éclairait ses yeux, la soif de découvrir. Sa Laïa sourit et elle senti son cœur fondre d’amour.

Oh mon ange d’amour, tu es si belle, si pure.

Elle rit en voyant Triplebuse qui jouait avec les vagues, aboyant après celles qui la mouillait. Elle contempla l’eau miroitante, laissant ses pensées s’envoler vers le lointain horizon. Elle ne se posait plus la question de savoir ce qu’il y avait au loin. Il s’y trouvait des gens, ni plus ni moins, qui traversaient leur vie faisant chacun son chemin. Elle y avait trouvé le père de sa fille qui pourtant était déjà à ses côtés depuis fort longtemps, alors qu’elle ne le voyait qu’en ami. Ce cher ami qu’elle aimait tant avait aussi disparu aujourd’hui, il n’était pas près d’elle pour la réconforter comme autrefois. Elle regarde Laïa. Il lui avait cependant laissé le plus beau des cadeaux. La gorge serrée, elle s’efforça de faire prendre une autre tournure à ses pensées.

Elle pensa à ses amies et se demanda si elles trouveraient ici, ce qu’elles n’avaient pas trouvé ailleurs. L’herbe est plus verte chez le voisin dit-on : pas pour elle, il suffit de regarder autour de soi avec un regard neuf à chaque fois et l’herbe pousse plus verte alors. Mais en l’occurrence, la rupture avec un passé douloureux avait été nécessaire, tant pour Cyle que pour elle-même. Elle pensa à sa douce qui ne se plaignait jamais, mais elle savait que la séparation d’avec le seigneur Arca ne devait pas se passer aussi bien qu’elle voulait le lui faire croire. Elle évitait de lui en parler afin de ne pas éveiller la douleur, Cyle savait qu’elle était là pour l’écouter quand elle le voudrait. En attendant, Fey s’ingéniait à l’amuser autant qu’elle le pouvait : la rabrouant, la taquinant, la boudant quelques fois en riant intérieurement, l’énervant tant et plus que Cyle menaçait de la fouetter.

Elle soupira, le cœur comme étreint par un étau. Elles s’en sortiraient toutes deux, elles y arriveraient, elles étaient aussi fortes l’une que l’autre. Si l’une tombait l’autre serait inexorablement là pour la relever.

Son regard tomba sur deux silhouettes au loin et elle crut reconnaître Kiliana dont elle avait fait la connaissance il y a peu, bavardant avec une autre dame qui lui était totalement inconnue.

Elle reporta son regard sur sa Laïa adorée et joua avec ses petites mains. La petite entourait le doigt de sa mère de sa petite menotte. Fey porta celle-ci à ses lèvres et y déposa un petit baiser.
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La plage

---fromFRcaro_line

La journée avait été belle et chaude sur la Rochelle. Le soir tombé le temps s’était refroidit et un petit vent froid c’était lever. La mer était calme et les vagues, douces. Le niveau de la mer avait monté à ces heures tardives, mais un bout de plage était encore visible où sable était resté sec. La lune était apparue quelques heures avant. Celle-ci était presque pleine et éclairait la mer. Les vagues frappaient sur de gros rocher près du port, mais le son que cela produisait était si relaxant…

Caroline, après avoir passé une journée difficile à travailler, à s’être occuper d’Émilie et avoir passer une soirée calme en taverne à rigoler avec ses amis, elle décida d’allé faire un tour sur la plage malgré la noirceur. Émilie dormait à point fermé, Caroline pris une bonne laine pour se mettre sur le dos puis sortit discrètement de sa maison et marcha dans les rues sombres de La Rochelle. La lune éclairait sa route, puis elle arriva à la plage. Elle retira ses chausses et mis ses pieds dans le sable froid. Elle frissonna au contact de l’eau puis se mis à marcher. Elle marcha quelques temps, puis s’assit dans le sable, au bout de la plage. Elle rêvassa puis… Elle s’endormit.
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Lord_mnack

Après avoir passé une rude journée sous le soleil sur les terres de messire Frans et après avoir frapper le métal de son présent, Lord_Mnack décida de prendre son épée et d'aller s'entrainer sur la plage.
En chemin il commença à apercevoir une silhouette sur le sable, inquiet il accéléra le pas. Une fois arrivé il vit une femme qu'il ne connaissait pas, une femme endormit, il s'assura qu'elle était suffisamment éloignée de l'eau afin de ne pas tomber malade et alla s'entrainer non loin de là dans le but de pouvoir garder un œil sur cette dame endormit.
Une fois assez loin pour que le bruit ne dérange pas il ôta ses chausses et s'avança vers la mer de manière à avoir l'eau un peu plus bas que les genoux. L'air frais de la soirée lui faisait oublier sa journée sous le soleil et lui redonnait de l'énergie.
C'est alors qu'il commença à fendre l'eau et l'air dans de rapide mouvements fluides, amples ou non, admirant parfois le reflet de la lune sur sa lame et l'eau.

---fromFRcaro_line

Caroline se réveilla soudain, un peu perdue. Elle prit une bonne minute avant de reprendre ses esprits et se rendre comte qu’elle c’était endormie quelques heures avant sur la plage. Elle se ressaisit et s’assit doucement sur le sable, à la même place ou elle c’était endormie. Elle vit un peu plus loin une silhouette d’homme qui fessait aller un objet dans le vent et terminait son mouvement dans l’eau fessant tout plein d’éclaboussements. Caroline se leva doucement et avança un peu vers l’homme. Elle alla juste assez loin pour pouvoir lui crier et qu’il puisse entendre, mais elle ne voulait pas se faire mouiller.

Elle cria à l’homme un « Bonjour » suivit d’un « Qui êtes-vous? ». Elle lui sourit doucement, attendant sa réponse.
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Lord_mnack

Lord_Mnack continua de s'entrainer, il fendit l'air jusqu'à ce que ça lame heurte l'océan puis d'un mouvement vif la ressortit comme s'il voulait couper son ennemi de bas en haut.
C'est alors qu'en plein mouvement il entendit quelqu'un lui parler, il se laissa distraire et entrainé par son épée il fit un tour sur lui même et tomba assis dans l'eau.
Il se releva en affichant un large sourire amusé et alla planter son épée dans du sable sec avant de s'approcher de son interlocutrice n'ayant pas assez de souffle pour crier et encore moins l'envie.

Bonjour, vous avez bien dormis ? J'espère que vous n'avez pas attrapé froid.
Sinon je me nomme Lord_Mnack, je suis maraîcher et forgeron à La Rochelle.

Tout en souriant

Et vous ?

---fromFRcaro_line

Caroline ne pu s'empêcher de rire quand l'homme tomba dans l'eau. Elle pu enfin voir son visage qu'elle ne voyait pas de loin quand il se retourna et s'approcha vers elle. Elle lui sourit.

Je...

Elle arrêta de parler un peu gênée. Puis elle repris sa phrase.

Je suis Caroline, enchantée. Oui j'ai bien dormi merci. C'est vrai que le temps est froid le soir...

Caroline grelottait depuis qu'elle c'était approché de l'eau. Elle fit comme si rien était et continua de parler.

Je vous ai vu vous pratiqué avec votre épée, c'est pas mal. À part peut-être la fin qui était plus drôle^^. Vous faites parti de l'armée?
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Lord_mnack

Eh bien je dois vous .....

Une légère brise souffla et saisit Lord_Mnack encore mouillé

Cela ne vous dérangerait il pas que l'on aille s'assoir en peu plus loin de l'eau ? Je pense que l'on sera un peu moins exposé à cette fraiche brise.

En s'éloignant un peu de l'eau

Je dois vous avouer que j'ai déjà eu de meilleur final mais je suis ravi que vous ayez trouvé ça drôle et non ridicule.
Pour répondre à votre question j'ai fait parti de l'ost royale dans la cavalerie du roy. En ce moment je ne fais plus parti d'aucune armée, cependant je ne veux rien perdre de ce que j'ai durement acquis. Si mes amis ou mon comte demande mon aide je ne veux pas les décevoir et les protéger.

S'assoit sur le sable

Vous êtes installées à La Rochelle depuis longtemps ? Si vous y êtes installées bien évidemment.

---fromFRcaro_line

Oui bonne idée allons un peu plus loin.

Caroline suivit l'homme jusqu'au bout de la plage et s'assit à côté de lui.

L'ost royal dans la cavalerie du Roy? Wow.

Elle lui sourit.

Pour ce qui est de moi oui je suis à La Rochelle depuis un bon bout déjà. Je m'y plais bien, j'adore la mer. Mais avant j'habitais à Péronne en Artois. Vous connaissez? Je ne m'y plaisais pas vraiment. J'ai tout de même eu un fiancé là bas, que j'ai laissé quelques jours après avoir donné naissance à notre fille. Elle a aujourd'hui 3 ans. D'ailleurs j'organise un bal pour son anniversaire samedi, vous pourriez venir, ça va être amusant. Et vous, vous avez des enfants?

Caroline s'allongea sur le sable, pour mieux y voir les milliers d'étoiles dans le ciel.

C'est magnifique.
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Lord_mnack

Péronne en Artois ?..... Je n'en ai jamais entendu parlé, pour ma part je viens de champagne, j'ai ressenti l'appel du large après un certains temps.

Hésite un peu

Vous avez eu un fiancé ? Pourquoi l'avoir laissé ?

Sourit

Non je n'ai pas d'enfant, cependant je trouve que ce sont des petites anges venus du ciel, je les trouve magnifique, ils embellissent une vie, redonnent de la joie. Vraiment c'est ....
Un bal ?! Pour ces 3 ans ? Elle en a de la chance ! J'essayerai de venir.

Se tourna vers Caroline se demandant ce qu'elle trouvait magnifique et s'aperçut qu'elle s'était allongée pour admirer le ciel nocturne, il leva la tête pour voir le ciel au dessus de l'eau reflétant la lune

C'est vrai que c'est magnifique

Tilte

Votre fille comment se prénomme-t-elle ? Et où est elle ?

---fromFRcaro_line

Champagne? Ça me dit quelque chose. Oui j'ai eu un fiancé, je l'ai laissé quelques jours après la naissance de notre fille. Il était tendre mais cela est maintenant que du passé.

Caroline soupira un peu. Puis elle sourit à l'homme.

C'est vrai que les enfants son des anges. Ma fille est toute ma vie... Oui je lui organise un grand bal, ça va être sympa.

Caroline s'étira et bailla. Elle resta allonger sur le sol à regarder les étoiles.

Ma fille se nomme Émilie. Elle dort chez moi en ce moment, j'espère qu'elle ne se réveillera pas, je l'ai laissé seule. J'avais besoin de me changé les idées.

Caroline regarda Lord_Mnack.

Il me semble jamais vous avoir vu en taverne, non? Mais je crois vous avoir déjà croisé sur le marché quelques jours avant...
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Lord_mnack

En ce moment je ne mets pas un pied en taverne, je suis en train de forger un présent et comme je le veux le plus parfait possible j'y passe beaucoup de temps. Sinon dès que j'ai du temps libre j'y vais et je paye pas mal de tournée générale ^^ Mais je dois avouer que je n'y suis pas vraiment allé depuis un bon moment ou j'y suis à demi absent...
Néanmoins ce n'est pas pour ça que je ne vais pas en ville je passe plusieurs fois par jour sur le marché à chasser les bonnes affaires, il est donc fort possible que l'on s'y soit croisé ^^ j'aime bien me balader là où il y a du monde, voir de nouveau visage. C'est vraiment...

Laisse son regard se perdre dans le ciel étoilé

---fromFRcaro_line

Caroline écouta l'homme toujours regardant le ciel étoilé... Puis il s'arrêta de parler et regarda le ciel. Elle contempla elle aussi ces petites étoiles qui de loin brillaient comme des diamants. Puis soudain elle vit étoile filante et la pointa pour que Lord_Mnack la voit.

Oh regardez!

Elle sourit...
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Lord_mnack

Aperçois l'étoile filante avant qu'elle ne disparaisse à l'horizon puis ferme les yeux en faisant un vœux.

Vous savez il parait que lorsque l'on fait un vœux au passage d'une étoile filante, celui ci se réalise.

---fromFRcaro_line

Ah oui?

Caroline ferma les yeux puis fit aussi un voeu. Elle les réouvrit et regarda Lord.

Voilà.
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Lord_mnack

Sourit en regardant Caroline dans les yeux

Et si on allait au Lagon ? J'ai entendu dire qu'ils y servent des montagnes de chopes bien pleines

pnj

Un parchemin s’échoua sur la plage de la rochelle
Sans doute un pigeon trop fatigué pour le laisser a la personne .. le destinataire était t’il peut être absent …
Ou cacher dans un lieu que le volatile n’avait pas trouvait
Allez savoir .. toujours est il qu’il volait aux 4 vent cherchant refuge sur les dune de sable

Citation:

Je pense à vous souvent
Je continue quand même
D'aimer les bateaux blancs
Que le désir entraîne
Je manque de vous souvent
Mais je m'en vais quand même……
Laisser voler le vent
Qui souffle sur ma peine

Chère amie, je vous envoie ces quelques mots
Pour vous dire qu'il ne fait pas beau
Et que j'ai mal, seule, depuis que je vous ai perdue…
Je vous écris ces quelques fleurs
Avec mon cœur à l'intérieur
Je vous fais toutes mes excuses

Je rêve à vous souvent
Je me souviens de tout…
Je me réveille à temps
Et je vous vois partout
Je vous attends souvent…….
J'invente un rendez-vous….
mais Vous n'avez plus le temps
Plus une minute à vous

Chère amie, je vous envoie ces quelques mots
Pour vous dire qu'il ne fait pas beau
Et que j'ai mal, seule, depuis que je vous ai perdue…
Je vous écris ces quelques fleurs
Avec mon cœur à l'intérieur
Je vous fais toutes mes excuses

Pas de signature …..
La personne dans sa hâte avait oublié ….
Et pas de nom de destinataire non plus … a qui pouvait bien être destiné cette lettre …
Le courrier s’arrêta au bord de l’eau , une vague vint lécher son angle maintenant la missive au sol
Bientôt elle se serait plus …..
Emporter dans les flots
En attendant elle prenait l’eau comme le cœur de sa destinataire

---fromFRfransdunord

Frans marchait le long de la mer, sur la plage.
Il réfléchissait, il pensait à toute sa vie.
Un moment, il s'arreta et s'assit sur un rocher, il était épuisé, la marche avait drainé ses quelques forces.

Il contempla la mer, et vit, sur le sable, une forme blanche, qui ressemblait à une feuille.
Malgré son épuisement, il marcha jusque la et revint s'asseoir, la feuille dans les mains.

Il lut le poème qui était écrit dessus.

C'est bien joli, tout ca, mais ni auteur, ni destinataire..., ce devait etre une ame en peine qui a écrit cela, pour quelqu'un qu'il ou elle n'a pas voulu citer... en tout cas c'est un bien beau poème... on dira qu'il ést pour moi !

Il sourit et mit le poème dans sa poche, puis resta un long moment assis, voulant retrouver quelques forces pour se hisser au moins jusque la taverne la plus proche.
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Carpe Diem - Vis l'instant présent

Maybee

Ils avaient eu beaucoup de mal à parvenir à La Rochelle, d'ailleurs ce n'était pas leur destination première mais les évènements en avaient décidés autrement. Ils voulaient voir la mer, enfin, surtout elle, parce qu'il préférait la montagne mais il l'avait suivie et pour cela elle lui en était très reconnaissante. La Rochelle s'imposa à eux comme la meilleure destination, et puis ils avaient entendu dire que c'était une fort jolie ville, seulement, on n'entrait pas comme ça en territoire poitevin... ils réussirent tout de même à avoir un laisser passer, et les voici sur la plage, loin de la ville et de ses deux fameuses tours, mais entre deux dunes, à l'abri du vent.

May installait la couverture à terre, Bragon allumait le feu, Faucheuse et Anonyme un peu plus loin,à coté des écus, étaient veillés par Diramamaire et Bucéphale qui prenaient un repos bien mérité.

May s'assit, et sortit de quoi dessiner, elle croqua Bragon, assis sur une souche, près du feu, faisant cuire les poissons pêchés un plus avant dans la journée. Elle aimait à le regarder ainsi, et savait que c'étaient les dernières heures qu'ils auraient ensemble avant quelques temps, alors elle voulait saisir chaque trait de son Aimé, chaque geste. Bragon vint la rejoindre, la serrant dans ses bras, elle ferma les yeux pour laisser vagabonder ses autres sens et s'imprégner encore de son être... plus que quelques heures... un soupir sortit de sa gorge bien qu'elle essaya de le retenir ... ne pas y penser, vivre l'instant... et pour rester maîtresse de ses émotion, ne pas le laisser partir avec une image de tristesse, elle se redressa et s'approcha du feu.

- C'est prêt là non? J'ai un peu faim, y a pas, l'air du large, ça creuse!

Elle se saisit des poissons et les apporta, le repas fut rapide, les deux amants, d'un accord tacite, s'allongèrent côte côte, le regard dirigé vers le ciel, il était dégagé et faisait apparaitre les constellations, prêtes à être capturées, May tendit la main au ciel pour attraper une étoile filante qui malheureusement lui échappa, le grognement de mécontentement qui suivit fit rire Bragon ... non, ne pas y penser, vivre... Ils s'endormirent dans les bras l'un de l'autre mais c'est seule qu'elle s'éveilla, Bragon avait rejoint le monastère voisin quelques heures plus tôt, lui laissant un mot qui la fit sourire. Oui, elle allait profiter de son séjour malgré l'absence de celui qu'elle aimait.
Elle replia la couverture, jeta du sable sur les braises, revêtit Bucéphale de ses fontes et de sa selle mais se contenta de marcher à ses côtés, brides en main, jusqu'à la ville.
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pnj

il est tres tard mais condor marcha le long de la plage, les pieds a moitier dans l'eau. il s'arreta et se tourna face a la mer, contemplant tout et rien a la fois, le regard vague.

il pensait. pensait a son ange qu'il avait hate de revoir. pensait a son long voyage. pensait a son futur proche et loin.

il continua d'avancer un peu puis recula plus sur la plage. il s'assit alors un moment, puis s'allongea. il contempla les étoiles, brillantes au firmament. bercer par les vagues, il s'endormit en pensant a son ange....................................................................

pnj

condor se reveilla doucement, carresser par la douce chaleur du soleil qui était deja haut. il ouvre les yeux douement, s'étire et se leve pour aller direction la ville.

pnj

Les tavernes étaient désertes, Formarie se promenait sur la plage.
les pieds nus dans le sable chaud, c'était un vrai délice...Elle se sentait seule par moment, chand lui manquait, mais elle trouvait à s'occuper et gardait toujours le sourire. Cette promenade au bord des vagues lui ferait le plus grand bien. La mer la resourçait toujours. Cette tranquilité qu'elle affichait par moment, à d'autre la colere la remuer toute entiere.
Certaines fois elle avalait les pecheurs et quand elle était de bonne humeur nous rendez au centuple sur son rivage ce qu'elle nous avait pris...
Changeante, ensorcelante, belle, douce , colérique, elle était tout à la fois.
Formarie ne se lasserait jamais de la contempler assise sur le sable chaud.

pnj

quelques jours aprés, Formarie revint se promener sur la plage.
Des larmes pleins les yeux, elle ne savait plus quoi faire...Elle avait le don de facher chand constament alors que la seule chose au monde qu'elle voulait c'était qu'il soit heureux...peut-etre devait-elle lui rendre sa liberté plutot que de continuer à le rendre malheureux ou le mettre en colere, elle l'aimait trop pour ça.
Decidement la vie était plus simple dans sa foret, elle devrait y retourner plutot que de continuer a faires constament des betises involontaires d'ailleurs.
apres tout, lr pouvait bien se passer d'elle et les humains qu'ils se debrouillent...pourquoi vouloir ameliorer les choses si ça leur plaisait comme ça.
constament angoissée, ayant besoin d'etre tout le temp rassurée et aimée, formarie s'assit sur le sable et attendit que les larmes arretent de coulées. Aprés elle retournerait dans sa taverne avec son sourire comme toujours meme si elle n'en avait aucune envie.

pnj

formarie était encore unr fois à la plage. ce serait la derniere.
Elle avait vécu une vie bien remplie en peu de temps. elle avait aimé ,pleuré et rit beaucoup mais c'était finie. Elle n'avait rien dit à personne et s'en allait en silence comme elle était arrivée sans crier gare.
le spectre de la mort était sur elle. Elle était prete. sa vie a servir les gens par des conseils, de l'aide bien souvent, des denrées distribuées pour aider son prochain était arrivée au bout.
Elle avait tout donner amour et amitié sans compter.Elle espérait du fond du coeur que le paradis l'acceuillerait et que dieu l'en jugerais digne.
N'avait -elle pas était amour et amitié pour tout un chacun?

"Adieu mes amis. Adieu la rochelle je meurt dans tes bras."

Formarie s'allongea sur le dos face aux étoiles et s'endormit tres profondement.

---fromFRsquale

Squale avait eu quelques déboires avec la justice. Il avait été récupéré in extrémiste par un groupe de maréchaux sur la plage pour être jeté en prison. C’est en sortant de son séjour à l’ombre qu’il revint sur cette magnifique plage. Il avait joué un peu les idiots au village, certes, mais savait très bien qu’au fond de lui-même, il était quelqu’un de très sensible et honnête envers les autres.
Squale aperçut Formarie allongée sur la plage et compris de suite. S’agenouillant au près d’elle, il regarda vers le ciel pour implorer les étoiles. S’il y avait un dieu, il fallait qu’il l’accueille de la plus belle des manières ou qu’il la redonne à la vie.

Squale decida alors qu'il etait temps de partir et de ne pas s'immicer dans la vie de cette cité. Il su aussi qu'il n'aurait jamais le loisir d'y revenir. Il sentait que quelqu'un serait la pour reveiller formarie. C'est à bout de force qu'il rejoignit la Rochelle pour tenter de retrouver son amie. Le voyage etait encore long pour ramener la soeur de son amie à bon terme.
Apres, advienne que pourras

---fromFRChandler80

Chandler passait (enfin!) sur la plage quand il vit deux corps inanimés sur la plage....
Il pensait d'abord que c'était deux personnes qui prenaient un bain de soleil, surtout vu le temps actuel, mais en s'approchant il comprit que ca n'était pas ca....
Il remarqua d'abord le corps d'un homme qu'il ne connaissait mais en poursuivant un peu il vit le corps de Form qui gisait a coté.
Prenant ses jambes à son cou il s'approcha de Form.

Il pencha la tete et sentit le souffle faible mais encore existant de Form
Il lui dit:

" Oh ma belle, quel cauchemard de te voir ainsi inanimée dans mes bras, je sais que j'ai commis des erreurs mais je vais tout faire pour te faire revenir parmi nous...."

Il pris la tete de Form sur sa jambe et lui donna un peu d'eau qu'il avait sur lui... Il vit le visage de Form bouger un peu, mais faiblement.

Cependant, il était seul et il y avait deux personnes à secourir, aussi il cria de toutes ces forces:
" A l'aide!!!!!! Venez m'aider!!!!!! Il y a deux personnes inanimées ici!!!!!"
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---fromFR*jerome*

jerome.d décida d'allez se balader sur la plage, et il entendit appelé a l'aide. Il se mit a courir trés vite en direction des crit. tout a cout il apercu un homme: mais il se rendit conte que c'était chandler.

un fois arrivé au coté de chandler il vit formarie qui était inanimés et un autre homme, alors il décida de s'occupé de l'homme car chandler s'occupé de formarie mais malheuresement l'homme était inanimé mais il ne respira plus.

il dit : il ne respire plus, il na plus de pou, il est mort. il faut faire un massege carrdiacle a formarie pour la réanimé.

pnj

Formarie avait l'impression de flotter quelque part entre ciel et terre .
Inconscienment quelque chose la rappelait à descendre, a reprendre conscience dans ce corps loin la bas.
Elle n'en avait pas le courage, mais ce lien tirait toujours vers le bas et refusait de lacher. Une voix, non elle devait se l'imaginer. Mais cette voix, ce bourdonnement était là encore.
Une impression fugace d'humidité se fit sentir, de plus en plus presente.
Elle voulut bouger mais n'avait plus de force. Elle mit toute son energie a essayer d'ouvrir les yeux, mais ne fit que les entrouvrir.
Elle vit Chand qui disait quelque chose, mais n'eu pas la force de parler.
Le voila se lien qui tirer, c'était Chand.

---fromFRChandler80

" Form c'est moi! tu m'entends???"

C'est avec insistance et persévérance qu'il continua à parler à Form depuis qu'il l'a vu ouvrir les yeux...
Il ne voulait pas se décourager car il avait trop de remords face à cette situation et il ne pouvait s'empêcher de culpabiliser!

Quand il entendis Jérôme dire qu'il n'y avait plus aucun espoir pour l'homme qui gisait à côté il se dit qu'il ne voulait pas que la même chose arrive à Form.

Il dit à Jérôme:
" Ca n'est pas la peine pour le massage cardiaque, je l'entends respirer et elle vient d'ouvrir les yeux!"

Il continua à verser de l'eau délicatement sur son visage, puis il dit à Form:

" Tiens voila un peu d'eau, tu devrais boire aussi peu, car tu es toute désydratée..... Si tu veux, il me reste même une miche de pain dans ma poche afin que tu reprennes des forces!"

Il croisait maintenant fort les doigts afin que Form refasse un pas vers la vie....
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---fromFR*jerome*

jerome.d entend chandler parlé a formarie, il se dit c'est bon elle revien a elle.

il dit : je croise aussi les doigt pour toi, pour vus qu'elle reste avec nous.
je peut faire quelle que chose pour t'aider.

---fromFRChandler80

Chandler remercia Jérôme pour son aide et lui dit:

" Oui s'il te plait va chercher du secours, quelques personnes de plus ne seraient pas de trop pour réaccueillir Form à la vie!"

Puis il poursuivit toujours à Jérôme:

" Va voir si tu peux trouver un(e) ami(e) de Form, cela pourrait lui faire plaisir de se sentir entouré des personnes qui lui sont proches, ca lui donnera peut être plus de forces!"

Une fois que Jérôme fut parti, il pria pour qu'il tombe sur quelqu'un, mais il ne quittait toutefois pas Form des yeux avant pouvoir déceler un réel signe de vie de sa part.....
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pnj

Toujours cette impression d'humidité. Formarie se rendit compte que c'était de l'eau, pourquoi de l'eau? il ne pleuvait pas pourtant...
Elle essaya meme de d'ouvrir la bouche, sa gorge seche lui brulait et elle n'arrivait pas à parler. L'eau lui fit du bien en passant entre ses lévres, elle adoucissait cette brulure si presente.
Formarie essaya à nouveau de parler mais ce fut juste un infime murmure qu'elle emit :

"pardon chand"

Les yeux brulants à force de lutter pour les garder ouverts, elle les refermants avec un soupir. Sa respiration se fit plus profonde, elle dormait épuisée.

Colhomban

Appuyé contre un arbre il observait l’horizon bleu déroulé à ses pieds. L’Océan, ou grande eau, puisqu’on ne savait ce que recelait cette partie du monde. Colhomban songeait à des peuples amphibiens : un peu grenouilles, un peu dauphins. Un sourire étira ses lèvres lorsque l’image lui vint en tête. Il préféra tout de même s’attardait sur celles des naïades, habitantes de La Rochelle sûrement, qui se baignaient en contrebas de la falaise et qui n’avaient pas aperçu le spectateur de leurs jeux aquatiques.

Sa main droite serra son bras gauche, une douleur lui lancinée les côtes depuis quelques jours. Résultat de la lance qui lui avait perforé le thorax, mais également de sa chevauchée forcée, et du temps humide qu’il faisait en ses terres. Ses joues étaient creusées, son teint cireux, et ses yeux cernés de noir, encore plus qu’auparavant.

Le sourire s’était vite estompé, et il soupira. Que voulait-il ? Qu’attendait-il ? Pas de familles, ou très peu et loin, pas d’ « amis » et encore moins d’aimés. Pour qui allait-il continuer ? Pour quoi ? Les vocations nourrissaient les esprits les plus solitaires, mais l’absence de ces dernières mettaient fins aux esprits les plus aiguisés.

Nouveau soupir, coup de pied dans une pierre. Quelques petits cris aigües ponctuèrent le geste, les jeunes filles ayant aperçu la silhouette masculine en haut de son promontoire. Il s’éloigna, traînant le pas. La journée était bien entamée il continuerait demain vers Angoulême, demain seulement. Et peut-être qu’à l’aube renaissante quelques vœux se rappelleraient à lui.

Un coup d’œil vers ses fontes lui remémora ses obligations. Il devait retourner à Angoulême, même si ça impliquait de les recroiser. Il le devait, et cette chose faite il serait pleinement aux services de son duché.

S’enroulant dans sa cape, là niché dans un creux de rocher, à l’abri des vents qui battaient ce coin de falaise, le jeune homme s’endormit sans rêve.
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---fromFR*jerome*

jerome prit la direction du vilage pour avoir de l'aide, il se mit a courir trés vite. Il arriva au village peu de temps aprés, en arrivant tout ésouflé, il reprit son soufle et se mit a hurlé :

AU SECOUR , A L'AIDE

plusieur villageois se mir autour de jerome et lui demanda qu'est qui vous arrive ?

j'aurai bessoin de votre aide, il me faudrai quelque chose pour transporté une persone inanimé

tout le monde parti en courant chercher de quoi faire un brancar, peu de temps aprés les revoilois arrivé avec deux morceau de bois et du tissu

aussitot il se met a courir le plus vite possible en direction de la plage

un fois arrivé il se met a construire un brancar et dit a chandler regarde j'ai construit un brabcar comme sa on pourra la ramené chez elle et comme sa c'est amis pouront allez la voir .

Colhomban

Il se réveilla en un sursaut, entandant des cris, des piétinements et des appels sourds. Se levant avec peine, son côté gauche tout endolori, il passa la tête par dessus la falaise, regardant en contre bas ce qui se passait.

Une étrange scène lui fit froncer les sourcils. Deux hommes montaient un brancard de fortune auprès d'une dame étendue à même le sable. Il plissa les yeux.

De toute façon de là où il était, avec son bras estropié, il ne pouvait pas être d'une grande aide. Le lieutenant se surprit tout de même à vouloir savoir ce qu'il en retournait, la curiosité le piquant souvent dans ce genre de situation. Il rabattit sa cape autour de lui, et chargea à nouveau ses fontes sur son étalon. Prenant appui sur un rocher haut il put se mettre en selle sans trop souffrir.

La douleur lancinante semblait se répandre en lui, au final il ni fit plus cas et donna du talon vers le village.
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Xavix

La journée avait été longue... Consultation des dossiers, tri des archives, lectures des lois et coutumes locales... Xavix était épuisé après cette première journée passée à La Rochelle. La ville était étrangement calme, la bière ne coulait pas à flot dans les tavernes, il régnait dans les rues du village un silence pesant.

La chaleur orageuse de la journée n'arrangeait rien a cela, ses jambes se faisaient lourdes après cette nuit de marche et cette première journée au poste de La Rochelle.

Xavix se rendit sur la plage, quitta ses chausses et marcha dans le sable le long des flots... Puis il arriva vers ce petit coins tranquille, ce rocher la bas près de la dune... Ces souvenirs lui revinrent a l'esprit. Xavix s'assit dans le sable face au rocher... il rêvassa... la lune brillait de tout son éclat et les son reflet sur l'eau. Puis Xavix aperçu une silouète près du rocher, un visage dans l'ombre... des cheveux voltigeant au vents ! Puis le visage s'illumina comme par magie ! Xavix cru reconnaître cet Dame, cette beauté et cette femme pleine de vie qu'il avait appris a connaître sur ici même il y a des mois de cela ! Il couru vers l'ombre en criant :

C'est moi Xavix ! je suis la ! attend moi !

Puis arrivé vers le rocher Xavix n'y trouva qu'un bout de chiffon accroché aux herbes... Xavix tomba a genoux dans le sable et baissa la tête.

Il se dit
Mais tu deviens fou ou quoi ! tu le sais bien... elle n'est plus de se monde ! elle ne reviendra pas ! et puis... pense à cette vie si heureuse et pleine de bonheur la-bas chez toi a Saintes ! Au diable les souvenirs ! Penses à l'avenir !

Puis il quitta sa veste et l'étala sur le sable comme il l'avait fait il y a maintenant si longtemps, il alluma un petit feu de brindilles, puis s'allongea sur la veste regardant les étoiles briller...

Puis il se mit a siffloter quelques airs mélancoliques... les heures passèrent et il s'endormit, la près de ce rocher qui restera gravé a tout jamais dans sa mémoire...

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---fromFRChandler80

Chandler s'approcha (enfin!) de Form, en compagnie de jerôme. Ils posèrent le brancard à côté d'elle.
Puis, ils prirent délicatement le corps inanimé de Form pour le déposer sur le brancard.

" Aller, on y vas jérôme, on va la ramener chez elle où elle sera plus tranquille pour se reposer".

Ils traversèrent la plage, puis la ville déserte par cete après-midi caniculaire ou tout le monde était resté feutré chez soi.

Arrivés à la petite bicoque de Form, que Chandler connaissait très bien pour y avoir été si souvent passé des moments il y a quelques temps, ils déposèrent Form sur son lit.
Elle dormait à poings fermés.

" Je tiens à te remercier Jérôme pour ton aide si précieuse, tu peux repartir à présent il faut laisser Form se reposer et récupérer..."

Après avoir serré chaleureusement la main de Jérôme d., ce dernier sortit de la maison.

Chandler demeura un moment statique à côté du lit de Form, perdu dans ses pensées, et la regardant dormir avec son visage angélique...
On pouvait deviner une larme au coin de l'oeil...

Puis, dans un réflexe, il se dirigea vers la table placée au milieu de la pièce principale, et où étaient restés posés une feuille de papier et une plume.
Il pris la plume et commenca à rédiger à mot à l'attention de Marie:

" Ma douce Form, je n'ai pas pu m'empêcher de prendre cette plume car je tenais à te laisser ce petit mot. Je tiens à m'excuser pour le mal et tout le tord que je t'ai causé.... Quel gâchi! Je n'ai pas toujours été très correct avec toi... Tu m'as toujours apporté toute ton aide et ton soutien, sache que je t'en suis très reconnaissant. J'espère que tu vas bien te rétablir et que tu seras vite de retour parmi nous. Tu as beaucoup d'amis ici, et beaucoup apprécie ta sympathie, que de bons moments passés en taverne!!! Sache que je serai toujours à tes côtés et que tu pourras toujours compter sur mon soutien! En attendant, repose toi bien et reviens nous en pleine forme!!!
PS: Je te laisse une miche de pain sur la table si jamais tu as faim, comme cela tu pourras reprendre des forces...
Affectueux baisers
Chandler"

Chandler reposa la plume et sortit de sa poche la miche de pain qui lui restait. Il la déposa sur la table, à côté de la lettre, puis il se leva.

Tout en fermant, la porte de la maison de Form, il ressentit un sentiment de bien être, le coeur léger, comme si il avait un poids en moins.
Dans un élan de joie, il repartir chez lui en ayant eu le sentiment du devoir accompli...
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pnj

Formarie se réveilla bien plus tard. Le froid l'avait réveillée. Elle se leva, fit le tour de sa maison mais le silence était oppressant, les souvenirs trop présents. Elle decida donc d'aller faire un tour à la taverne, mais celle-ci était déserte également. Allant au marché, elle y vit une houppelande. L'un de ses nombreux souvenirs revint. La tristesse l'envahit à nouveau. Haussant les épaules, elle l'acheta et la mit. Quittant la ville, elle ne decida d'y revenir que quand elle aurait panser ses blessures.

Xavix

Xavix rentra bien tard de sa journée de pêche au grand large. Le grand air lui avait fait le plus grand bien ! Le soleil, l'air marin, le cri des mouettes... tout ce qu'il y a de meilleur pour retrouver une grande forme ! Une grande forme oui... mais pas pour ce soir, la pêche avait été longue a démarrer, le poisson avait certainement fait la grâce matinée... mais armé de patience, la fin de journée avait été très fructueuse, et c'est la barque remplie de poissons que Xavix arriva sur la plage !

Epuisé par cette longue journée, Xavix tira la barque hors de l'eau et se posa sur le sable encore tiède pour souffler un peu... La plage était d'un calme ! le vent avait cessé de souffler, les vagues ne faisaient plus que de tout petits clapotis... quelques oiseaux chantaient encore quelques berceuses avant de s'endormir...

Puis il se secoua la tête pour retrouver ses esprits !

Et bien ! C'est bien beau tout ca, mais une journée au grand large, ca creuse !

Il chercha quelques brindilles et menus branchages et alluma un petit feu, y posa deux beaux poissons à griller et les dégusta lentement.

Puis Xavix se mit a rire, voyant revenir au loin un autre pêcheur !

Ah et bien je ne suis pas le dernier !

Xavix posa sa veste sur le sable et s'allongea, admirant ce ciel étoilé... et s'endormit peu a peu avec la fraîcheur qui commençait a arriver.
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Xavix

Xavix étant tombé sous les tonneaux de bière renversé par cet étrange sorcier la_rose_noire, ne pu prendre la route pour rentrer enfin retrouver les siens a Saintes...

A son grand désespoir, il n'avait même plus la force de suivre messire Rorkh et ces charmantes dames qui l'accompagnaient !

Alors il retourna sur sa plage favorite... près du rocher qu'il aimait tant... et étendit sa veste, s'allongea sous les étoiles toujours aussi belles... et ne tarda pas a s'endormir vu son état de fatigue plus qu'avancé !
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Nessty

Dans la nuit, Nessty et ses compagnons de route quittèrent La Rochelle pour prendre la route, au sud de la ville.

Nessty se remémorait déjà les souvenirs qui resteraient attachés à cette ville. Douceurs, colères, amitiés, dérision, rires, insultes...

Les mots de son ami Kundera lui revinrent à l'esprit : Celui qui veut se souvenir ne doit pas rester au même endroit et attendre que les souvenirs viennent tout seuls jusqu'à lui ! Les souvenirs se sont dispersés dans le vaste monde et il faut voyager pour les retrouver et les faire sortir de leur abri !

Alors qu'ils longeaient la plage en silence, Nessty chercha du regard une silhouette. La pénombre enveloppait sable et océan. Son regard se perdit sur les quelques étincellements de l'écume.

Je ne vois point sieur Xavix comme convenu ! Je crois que la boulasse a fini par avoir raison de lui...

Nous le saluerons donc à Saintes à notre retour.
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Mangez des Carambars au lieu de vous prendre le chou à chercher ce qui n'est ni dit ni pensé.

pnj

condor arriva sur la plage et n'y vit pas grand monde a part deux ou trois habitués. une si belle plage, quazi déserte et pourtant tant de monde a la rochelle....... que se passe-t-il?

il quitta ses chausses et marcha sur le sable chaud. il s'approcha de l'océan , y trempa ses pieds. l'eau est si bonne..... il pris la décision de rameuter du monde sur cette si belle plage......

il quitta le haut et se baigna un moment dans l'océan, tant l'eau était bonne........................

---fromFRPhyladelphia

Phyladelphia arriva à la plage au triple galop laissant Len et David loin derière...
La Rochelle...
A croire qu'ici tout ce passe...

Aujourd'hui et un grand jour, une nouvelle vie qui commence et des pages qui ce tourne, des souvenirs à ranger dans un petit coin de son esprit pour laisser la place a d'autres histoires...

Elle adorait cette plage, c'est là qu'elle a gagner Goliath a un pari ridicule avec un poivreau
Mais par la suite elle c'est bien doutée que le poivreau était content de s'en débarasser... parce que ce cheval n'écoutait personne et ne fait que ce qui lui chante... Donc dur dur pour une personne qui voulait le faire plier... Phyla n'avait meme pas essayé... la preuve, elle le montait toujours a cru !

Elle ce laissa glisser le long du cheval et sauta sur le sable
Goliath hennisa, ce secoua et huma l'air...
A croire qu'il reconnaissait l'endroit aussi

Elle ce dehabilla et entra dans l'eau... la fraicheur matinal la fit frissonner... mais elle plongea tout de meme !
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Petite, malicieuse et rebelle portant à son front la marque de ces origines "Avalon"
http://lamaisondulac.forumchti.com/index.htm

Lenanceendu25

Il arrivait péniblement sur le sable qu'il voyait au loin Phyla. se débarrasser de ses habits et avec précaution celle-ci entrait dans l'eau.
C'est pas possible se dit'il, elle plongerait dans une flaque d'eau...Sur le rivage, il s'assit en ne la lâchant pas des yeux,elle semblait si heureuse...

Soudainement il fut envahi de sentiment des plus contradictoires, cette fichue guerre était loin, tout ce que l'on retenait c'est qu'Angoulême est à deux jours maintenant...qu'allait il y trouver, reconnaitrait 'il sa ville ? Serait 'il autant passif face à certaines critiques, aussi discret face à certains... ?

Il broyait ces idées noires, comme il savait bien que celle-ci finiraient par le rattraper, mais là il n'était plus seul et en avait trop souffert pour laisser quiconque s'immisciés dans leur vie. Il jetais tantôt un regard au large et voyait celle-ci se débattre avec les vagues et souriait et se dit qu'il devrait en faire de même.

Se leva, retira Bottes, braie et sa chemise et il prit soin de recouvrir ses armes de ses vêtements et rejoignit phyla. mille piqûres le tranperça.Il plongea à son tour dans cette eau glaciale ..

---fromFRdavid36

il arrivé enfin sur cette belle plage qui illuminer le paysage si pesible !

sauta de sont cheval , au loin il vis deux amoureux qui s'amuser dans cette eau claire .

avança et sinstalla sur le sable chaud en s'emmerveillant de voir son amie phyla si joyeuse au pres de sont homme lenancenn .

ne voulant pas les deranger il sombra dans un sommeil profond

---fromFRPhyladelphia

Phyla vit son aimé entré dans l'eau
Elle riait de le voir aussi hésitant lui qui courrait habituellement vers l'enemis en première ligne
Elle alla à sa rencontre
Il resta ou il avait pieds et là pris dans ces bras...

Mmmm quel plaisir je n'attendait que toi !
J'aime quant on ce retrouve ainsi... et l'eau et deux fois meilleur parce que tu es là !

Phyla sourit...
Ils nagèrent un moment cote à cote et retournèrent vers le rivage

Sa doit pas être evident pour toi le retour de campagne...
Pareil pour moi si j'allait à Sarlat...
Je suis contente de rester à Angou tout conte fait...

Phyla ce blotis dans ces bras...

Allé sechons nous... nous avons de la route encore

Elle posa sa main sur le coeur de Len et lui fit un baiser a la naissance du cou

Je t'aime mon Len

Héééé David !!!

Phyla couru vers lui et lui sauta dessus pour le réveillé...

Pourquoi tu viens pas te baigner avec nous hein ?

Len les rejoinis ils s'assirent ensemble et parlèrent de cette drole de journée...
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Lenanceendu25

Hors de l'eau Len. était certain que l'on pouvait entendre ses dents claquer à cent lieus à la ronde. Il prit Phyla. dans ses bras pour tenté de se réchauffer...

Tu as bien raison David reste sec et tu n'auras pas froid !...J'ai fini par faire la connaissance de ce Cyrano, rencontre fort désagréable mais je ne peux lui en vouloir j'aurais eu cette même réaction et après tout ce qui lui importait le plus c'est que Phyla. soit heureuse.

Il ponctua cette phrase en attirant Phyla. à lui et en l'embrassant longuement.

Je ne sais pas ..je suis partagé cela fait tout de même trois mois que je suis partit d'Angoulême. j'y ai mes repères mais ce ne sera plus jamais pareil. Il faudra de nouveau nous y faire une place mais je pense que ce sera faisable, tous ne sont pas égocentrique et sournois.

mais soit rassurée mon coeur tu n'auras à subir aucuns griefs d'une ex.

Il se laissa tombé en arrière, les bras derrière la tête il observait les nuages menaçant qui s'amoncelaient dans le ciel. Oui,il était temps de quitter Larochelle...

---fromFRPhyladelphia

Je n'ai pas peur mon Len, et il est vrais que je pensais pas que sa ce passerait ainsi avec Cyrano...

Elle ce retourna vers lui et mit sa tete au creu de son bras

Rassure toi aussi... il y aura plus d'ex non plus...
Goliath et Zeus s'approchèrent d'eux et commencait à taper du sabot...

Comme tu dit Len, il est temps de quitter La Rochelle...

Elle l'embrasse et ce lève...
Len tendit la main à David pour l'aidé à ce bouger...
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pnj

Formarie se promenait sur la plage. Ca lui avait manqué de se promener ainsi les pieds nus dans le sable et de marcher au bord de l'eau.

Elle regarda les vagues venir mourir à ses pieds pour renaitre plus fortes plus loin.

Elle se deshabilla, posa ses affaires plus haut sur le sable et se jeta à l'eau.
Elle nagea, c'est fou ce que cela lui faisait du bien aprés toutes ces heures à cheval. Aprés un moment , elle se mit sur le dos et laissa les vagues l'emporter tout en regardant le ciel .
Enfin, detendue, elle se remit à nager lentement vers le bord. Cette activitée lui avait manquée. Si un jour elle devait demenager, il lui faudrait la mer, cela elle en était sure. Comment les gens pouvaient -ils vivre sans ça?

Elle reprit pied et marcha lentement jusqu'à ses affaires. Elle sortit une couveture de sa besace et s'allongea. Plus tard, elle se rhabillerai et rejoindrais la taverne. Plus tard.....

---fromFRNéférouré

Néfé et Api arrivèrent sur la plage .... ils avaient erré dans les rues une bonne partie de la journée .... pas un chat .... ni même un pouilleux pour tailler une bavette ... rien à croire que la ville était deserte.... pourtant elle avait vu quelques énergumènes en taverne .... mais elle avait fui .... peur d'être contaminée par leur folie .... la plage était vide comme la ville .... elle posa Api qui s'empressa de courrir sur le sable....

"Au moins lui profite de la balade ! " Elle laissa son esprit vagabonder ... repensa à ces derniers jours ... bien des questions se bousculaient dans sa p'tite tête de blonde .... ce qu'elle ressentait était nouveau pour elle .... elle se demandait si c'était partagé ou juste un jeu pour lui !

Que faire ? Revenir en arrière ? Renier ce qu'ils avaient partagés ? Elle soupira .... Son regard se posa sur son furet il se trouvait prés de l'eau ... elle sourit ... enleva ses braies tous neufs ... et courut jusqu'à l'eau éclaboussant la bestiole au passage ..... Pas content l'furet ... crognait et crachait ... "Bin mon vieux, tu m'ressemble de plus en plus ! "

Elle se sécha et s'rhabilla ... puis prenant la bestiole sur son épaule r'pris le ch'min d'la ville .... P'te qu'avec le soir y aurait plus de monde ... pis p'te plus bavard surtout ... à croire qu'ils économisaient leur salive ici !
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Sarynaya

Appuyé sur le rebord de la fenêtre Sarynaya s'ennuyait ferme, elle regardait la mer au bout du chemin, elle soupira le coeur lourd.

Elle decida qu'elle en avait assez et sortit prendre une marche. Elle suivi le chemin de la plage la lune éclarait la route d'une lueur fantomatique. Elle ferma les yeux quelques secondes pour sentir l'air salée et frais de la nuit. Elle déboucha enfn sur la plage et sourit en voyant le magnifique spectacle qui s'offrait a elle, la lune presque plein se refletait sur la mer qui semblait se perdre dans le ciel. Elle retira ses chausses pour gouter au plaisir de sentir le sable, encore tiède de son exposition au soleil, entre ses orteils. Elle s'approcha du bord et les vagues vinrent lui lécher les chevilles puis elle recula et s'assoya ses jambes contre elle, la tête sur les genoux. Elle regarda le paysage sans vraiment le voir, le regard rêveur et la tête dans les nuages.

Elle resta ainsi pendant près de deux heures puis elle se leva les joues humides de larmes mi-triste mi-joyeuse et rentra chez elle le coeur plus léger et la tête vide.

Nessty

Dans la nuit, Nessty et ses compagnons de route quittèrent une nouvelle fois La Rochelle pour prendre la route, mais celle au nord-'est de la ville cette fois. Cela faisait plus de 10 jours qu'ils respiraient la poussière des chemins sans cesse. Il leur tardait de rentrer chez eux. Même la plus mièvre des tavernes leur paraitrait appréciable chez eux en comparaison de celles qu'ils laissaient maintenant derrière eux.

Nessty se remémorait tous les souvenirs qui resteraient attachés à cette ville. La douceur des bras de Rorkh, son regard océan, ces amitiés trouvées ou retrouvées, les rires du Viking, les longues conversations avec César, Krorkh et Caro_Line puis ces insultes... Oui ces insultes qui ont fusées entre des prétendus habitués qui avaient finies par susciter colère chez elle et Néférouré. Toutes les 2 n'avaient déjà pas supporté l'impolitesse des habitants qui entraient en taverne sans répondre à leurs saluts ou à leur présentation. Mais alors là... Si la Pluch avait été là, il aurait usé de ses battoires plus d'une fois.

Par Aristote, ce qu'elles pouvaient être à cheval sur ce genre de choses ! Tout cela devait venir de leur éducation. Quant à dire que nombres de personnes rencontrées en manquaient, il n'y avait pas grand chemin. Mais Nessty savait pertinemment que tous ces bougres et toutes ces bougresses auraient une vie bien courte, elles même lassées par leur ignardise finiraient par rendre leur âme à ce royaume. Elle eut une pensée par le Cap'taine des abords de sa région natale. Elle lui parlera de cette ville. Il se délectera probablement.

Nessty flatta l'encolure de son cheval pendant qu'elle observait l'écume se briser sur le sable et l'éperonna pour annoncer le départ de la petite troupe.

Elle n'était pas rester au même endroit à attendre que les souvenirs viennent tout seuls jusqu'à elle. Aujourd'hui elle rentrait la tête pleine de nouvelles images et de nouveaux souvenirs dispersés dans le vaste monde. Elle avait fait ce voyage à bon escient, pour les glaner et les pourchasser depuis leur abri. Les voilà pris au piège dans sa petite caboche.

Ils longèrent une dernière fois la plage en silence, laissant la bafouillante La Rochelle derrière eux. Mais pour bien peu de temps.
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Mangez des Carambars au lieu de vous prendre le chou à chercher ce qui n'est ni dit ni pensé.

Xavix

Xavix arriva sur la plage et marcha longuement, profitant du grand air et de la fraîcheur... puis comme a son habitude il s'arrêta vers ce rocher qu'il connaissait si bien.

Il chercha quelques brindilles, et quelques branches mortes... puis alluma un feu. Une fois le feu bien pris, il commença a y faire dorer quelques poissons, puis chercha du regard tristement... Puis il vit une ombre au loin s'approcher... La silhouette se faisait plus précises et continuait d’avancer les cheveux voltigeant aux vents marins.
Quand elle fut suffisamment près du feu, Xavix retrouva le sourire et bondit attraper sa bien aimée !

J’ai failli penser un instant que tu m’avais oublié ! lui dit il

Puis il la pris dans ses bras, la porta jusque près du feu et la posa sur sa veste qu’il avait préalablement étendue sur le sable… Puis il la couvrit de délicats baisers !

Tu m’as tellement manqué ! J’ai bien cru que les nonnes allaient te garder et te convertir !

Xavix se mit à rire

Tiens tu arrives à point ! Les poissons sont cuits juste comme je les aime ! J’espère que ce petit repas te remettra d’aplomb après ce voyage, tu dois être bien épuisée !

Les deux amants dégustèrent ce petit repas bien local en se racontant leurs aventures de ces dernières semaines qu’ils avaient passé si éloignés l’un de l’autre…

Pour une fois, la nuit à La Rochelle ne semblerait pas interminable, la tristesse et la nostalgie ne seraient pas de mise !

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pnj

condor se promenais seul, sur la plage, triste d'avoir encore louper son ange d'amour. elle venait juste de partir.

il avanca doucement, ferma les yeux pour mieux aprécier la tranquilité, bercé par la douce bise du soir et le bruit des vagues.....

il s'aasit alors au bord de l'eau, quitta ses chausse et s'allongea sur le sable, refermant a nouveau les yeux. il pensait a son ange, qui lui manquait terriblement......................................

pnj

Formarie arriva à la plage. Elle s'en mit plein les yeux de cette plage qu'elle aimait tant. Comment pouvait-on vivre loin d 'elle ?
Elle inspira à fond l'air marin et laissa la brise jouer avec ses cheveux, libres comme l'air qui les traversait.
Elle enleva ses chausses, et joua un moment avec les sable qui s'écoulait sur ses pieds.Lentement, elle avança un pied puis l'autre et continua son chemin. L a tete droite, le regard au loin, elle se laissa envahir par le bien etre que lui procurait la plage.
Elle était désertée à cette heure -ci.
Comme à son habitude, Formarie marcha, solitaire, jusqu'à son emplacement preferé. Là, elle s'assit et porta ses yeux sur l'étendu bleu. Elle laissa ses pensées s'envoler au gré du vent et s'abimer dans l'océan. Des heures s'écoulerent sans meme qu'elle s'en rende compte.
Une bourrasque plus forte la fit emerger . Du regard, elle inspecta
les alentours. Sa vision était flou, ses joues humides, s'en meme s'en etre aperçue avant. Elle tendit son visage au vent, puis se leva et regagna la taverne.
Sans un sourire, sans un mot, sans un soupir. Juste solitaire pour toujours ou pour un jour....

pnj

condor se reveilla brusquement. ouvrit les yeux encore tout "enfariner" de son sommeil. qu'il était bon de sentir la carresse du vent au réveil avec pour seul bruit les vagues et les mouettes qui tournyaient au dessus de la plage. il en vit une qui plongea net dans l'océan et en ressorti avec un poisson en son bec. il sourit. ha si seulement la vie était aussi simple que ces oiseaux qui volaient librement dans le ciel, sans aucuns soucis que de se nourrir............... il se releva, s'étirra de tout son long et retournant sur ses pas, il apercu au loin formarie qui s'éloignait. il sourit et continua son chemin pour s'en retourner au village

pnj

Cesar alla à la plage.

Puis il vu quelque amis.

Avé!ca va?

Après il marcha et entendu les dire de marie.

Alors il s'éloigna un peu pour ne pas la déranger.

Cesar enleva ses chausses et ses bas pour Homme et s'installa sur le sable.

Hummm ca fait du bien!

Xavix

L'heure tournait... bien trop vite ! Xavix n'avait pas pris de travail aujourd'hui, mais il était encore plus occupé que d'habitude ! Il fallait rassemblait tout ses bagages pour pouvoir reprendre la route ce soir... et ce n'était pas une mince affaire, il ne savait même plus ou il les avait laissés. Enfin d'ici ce soir il aurait certainement tout retrouvé, et s'il oubliait quelque chose, ce serait pour le bonheur des voyageurs qui le trouverait !

Le soleil était à son zénith, midi avait du largement sonner au clocher de l'église... et Xavix ne s'était pas encore mis au fourneau... Qu'allaient donc penser ces dames qui allaient certainement mourir de faim s'il ne s'affolait pas un peu !

Alors Xavix couru jusqu'à la plage ramassant quelques branchages sur son chemin, manquant de trébucher quelques fois, il n'était pas si simple de ramasser ces morceaux de bois en courant !

Une fois arrivé vers son rocher favoris, il s'empressa de ranger le bazar qu'ils avaient laissé en plan au réveil, cacha le tout derrière le rocher, et s'attela a allumer le feu.

Une fois la braise bien rouge, il sortit 4 poissons, les embrocha et les mit a dorer. Une fois ceux ci biens cuits, il sortit discrètement une petite fiole de sa besace et versa quelques goutes de sa fiole sur chacun d'eux, sauf bien entendu sur celui de Carmena ! Puis il s'allongea attendant que ses amis arrivent enfin pour déguster ce bien maigre repas.

Carmena arriva la première, toujours avec son grand sourire au visage et ses cheveux voltigeant dans le vent. Elle s'assit près de lui, Xavix en profita pour lui glisser quelques baisers coquins dans le cou avant que les autres n'arrivent.

Puis se fut au tour de Nessty d'arriver accompagnée de son garde du corps qui comme a son habitude ne la quittait pas des yeux !

Soyez les bienvenus ! leur dit il

Je vous présente la plus sympathique des boulangères du royaume ! celle qui m'a fait craquer il y a quelques mois de cela et que je ne quitte plus depuis !
Carmena, je te présente damoiselle Nessty, une Niortaise fort sympathique et amoureuse des voyages comme nous... qui a réussi a embobiner ce grand homme que tu connais bien, messire Rorkh pour qu'il l'escorte pas seulement une journée mais tout les jours ! Tu te souviens de Rorkh ? regarde le, toujours armé jusqu'aux dents !

Xavix rit en faisant les présentations

Puis il invita ses amis a s'assoir pas trop près du feu, le soleil chauffait bien suffisamment aujourd'hui. Et leur proposa a chacun un bon poisson bien grillé en essayant de ne pas se tromper pour celui de Carmena.
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Nessty

Au coin d'un rocher, apparue une jeune fille. Ses pieds nus flottaient doucement sur la plage de La Rochelle en ce jour d'août.
Les goélands et les mouettes volaient au vent en chantant, en virevoltant au dessus des bateaux en retour de la pêche. Cette fille de Niort ne s'en préoccupait point car la mer qui ondulait au loin la replongeait dans ses rêves du matin, ici même sur ce rivage, à son arrivée à l'aurore, dans les bras de Rorkh... Les vagues venaient mourir sur les pierres qui avaient à peine le temps de sécher. Un sourire vint éclairer le visage de Nessty, elle l'amoureuse, au bras de son compagnon, si heureuse.

Ah ce bain matinal...

Il avait fallu plus d'une minute à Nessty pour atteindre l'eau et se laisser bercer par l'écume et la brise.

Nessty vit Xavix et une ravissante dame qu'elle ne connaissait point encore. Rorkh lui murmura quelques mots à l'oreille ponctués par un baiser rassurant sur la joue. En quelques pas encore, ils détachèrent leur regard de la mer et se trouvèrent devant un feu crépitant sous des poissons au doux fumet.

Enchantée dame. Je suis ravie de faire la connaissance de celle qui a le devoir d'assagir ce policier si aguerrit à la chopine.

Nessty éclata de rire à son tour et s'installa auprès des convives, tendant la main à Rorkh pour qu'il ne s'éloigne point d'elle. Dos au soleil pour profiter de cette douce chaleur qui ne pouvait rivaliser avec celle de la main de son tendre, Nessty laissa ses pupilles une nouvelle fois vagabonder sur l'océan à la danse si apaisante avant de sortir de sa besace quelques fruits du verger de Niort et, oh grand bien sur, une de ces bouteilles dont elle avait le secret.

Vous ne refuserez point un godet de ce 'tit blanc sec pour agrémenter ce déjeuner ?

A la première bouchée, Nessty découvrit les saveurs insoupçonnées du poisson de ces grandes eaux. Elle n'avait jusqu'alors que taquiner des goujons ou des tanches dans les eaux troubles de certains lacs...

Excellent ! Vous m'en donnerez votre secret afin que je rajoute cela à la recette de marinade de morues que j'ai laissé à Niort.

Nessty sourit à ce souvenir.
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Mangez des Carambars au lieu de vous prendre le chou à chercher ce qui n'est ni dit ni pensé.

Luckylolotte

Les yeux perdus dans l'infini de l'Océan ...
Lucky regardait au loin, si loin, terriblement loin !
Les mains posées sur son ventre, elle pleurait de bonheur.
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pnj

condor arriva sur la plage apres l'avoir chercher partout et la vis, asise sur le sable....

mais mon ange.... quelles sont ses larmes qui coulent sur ton si doux visage?

il s'assois a ses coté, la prend tendrement dans ses bras et lui murmure de doux mots d'Amour

pnj

Formarie se promenait le long de l'eau. Elle regarda les mouettes au loin .
Celles ci volaient haut.
La brise la rafraichissait. Il avait fait lourd et chaud toute la journée. Malgré sa baignade de toute à l'heure, elle avait encore chaud.
Arrivée au bout de la plage, elle fit demi tour et marcha lentement toujours les pieds dans l'eau. Heureusement qu'elle ne portait pas sa houpellande elle serait tombée depuis longtemp avec cette chaleur.
Formarie prit la direction des tavernes pour se desaltérer.

Caro_line

Caroline arriva sur la plage avec le sourire. Elle n'avait mis que des vêtements légers pour pouvoir nager un peu dans la mer. Elle retira ses chausses et avança doucement vers l'eau. Le premier contact à l'eau la fit frissonner, car il faisait tellement chaud que l'eau lui paraissait glacée. Elle avança peu à peu dans l'eau jusqu'à ce qu'elle ne touche plus le fond. Elle battait des pieds et luttait contre le courant des vagues. Elle se laissa ensuite partir dans une grosse vague qui la fit retourner sur le bord. Puis elle s'étendit sur le sable et plongea dans ses pensées.

Luckylolotte

Une légère brume nappait l'Océan quand Lucky arriva sur la plage.
L'air marin, iodé lui titilla les narines et elle respira à pleins poumons comme si elle ne pouvait jamais s'en rassasier.
Des mouettes virevoltaient au dessus des rochers, à la recherche de quelques crabes ou autres poissons à se mettre sous la dent.
Un peu plus haut, elle vit tournoyer Ynis, sa petite fauconne et sourit.

Elle placa ses doigts dans sa bouche et siffla un grand coup, tendit son bras droit à l'horizontale et quelques secondes plus tard, Ynis vint s'y poser.
Elle caressa le bras de sa maîtresse de son bec, puis s'affaira à happer à la hâte, les petits morceaux de viande que l'autre main lui proposait.
Une fois le ventre plein, elle sautilla jusqu'à son épaule et s'y cala confortablement.

Lucky progressa sur la plage et vint s'assoir sur un rocher.
Elle jeta un oeil en haut de la plage et s'assura que son vieux cochon, Eugène était bien resté tranquille, tout là haut. Elle le vit se rouler dans les aiguilles de pin et déambuler à l'orée du petit bois de mélèzes, qui avec le soleil matinal, avaient revêtu une splendide couleur bleutée.

Elle caressa doucement Ynis et vint poser ses mains sur son ventre qu'elle caressa aussi longuement.
Puis comme si elle parlait à l'animal, ou plutôt à elle-même, elle murmura :

Tu te souviens ... Rappelles toi de tout ! Les joies, les peines, les trahisons et puis le bonheur retrouvé.

Elle se remémora chaque instant de sa vie, de son enfance "sucrée" à Lyon au milieu des filles de rien à sa rencontre un jour d'un bel inconnu à Mimizan. Du premier baiser échangé avec lui au bord d'un bassin à l'annonce qu'elle lui avait faite deux jours plus tôt : il allait être papa.

Lucky sourit à l'Océan, sourit au bonheur, sourit à la vie !
Elle n'avait plus aucun doute, elle goutait enfin et pour toujours, l'espérait-elle, au bonheur complet.
Elle se redressa et se leva doucement.

Voles Ynis, voles ma chérie ...

La fauconne décolla aussitôt et partit rejoindre Eugène, qui attendait patiemment là haut.
Lucky se remit à marcher lentement en direction de ses deux amis, et mit plusieurs minutes à les rejoindre.
Le cochon se frotta contre ses braies, Ynis rejoignit son épaule et ils partirent tous les trois en direction du village.

Allez les enfants, je dois encore passer par l'Eglise, y prier La Vierge Marie, Sainte Mère de Dieu, et puis aller ouvrir la Taverne.
C'est un bien beau dimanche que nous allons vivre là, j'en suis sûre.

Les trois ombres disparurent progressivement derrière une dune de sable encore froid, mais bientôt réchauffé par ce soleil, qui allait taper fort encore aujourd'hui.
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Kahhlan

Kah et Oba arrivèrent main dans la main sur la plage …
Enfin elle pouvait humer ce doux air vivifiant à souhait… entendre le bruit des mouettes et
laisser le soleil lui caresser doucement chaque parcelle de sa peau …
Sans demander avis à Oba …elle retira ses bottes, ses braies et se retrouvant en simple chemise de corps, les pieds nus au contact de la chaleur et douceur du sable fin …
Elle regardait Oba qui visiblement ne savait pas s’il devait en faire autant, d’un air malicieux …
Elle lui murmura quelques douceurs à l’oreille et se mit à courir jusqu’à l’eau en riant …

Allez mon ange ! tu ne vas pas me laisser gouter mon premier bain toute seule !!!

Elle n’attendit pas la réponse et s’en craindre la différence de température seulement en criant un grand …

Whaouuuuu !!!!!

Elle plongea à l’invitation de cette eau claire agitée de quelques vagues pour parfaire son plaisir…
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Kahhlan

kah' après une nuit plutôt agitée par sa conversation avec Oba à l'auberge s'était levée tôt ...
Elle marchait sans but précis et ses pas la reconduire sur cette plage ..
Elle se déchaussa et marchait le long le l'eau, un petit vent frais caressant son visage et les embruns en cachaient les larmes ...
elle scrutait l'horizon ...
Ses certitudes ...tout partait à la dérive comme cette petite embarcation qu'elle distinguait au loin sans personne pour la mener...
Elle ne savait plus où se diriger ni comment revenir en arrière...
Ses pas la menèrent jusqu'à un rocher où elle se cala les bras croisés sur ses genoux et la tête posée dessus ....
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Obakhan

Oba cherchait Kah et c'est naturellement qu'il se dirigea vers la plage. Il crut d'abord s'être trompé d'endroit, ne la voyant pas... Il marcha encore un peu et aperçut une silhouette recroquevillée, il reconnut la femme de sa vie.
Il s'approcha lentement d'elle, s'assit à ses côtés et l'enlaça tendrement, lui murmurant des mots qui, il l'espérait, la rassurerait...

Kahhlan

Elle regardait Oba, un peu surprise de le trouver à ses côtés ...
Levant les yeux vers lui, interrogatifs et l'écoutant lui murmurer ces mots de réconfort ..elle lui sourit et l'enlaça à son tour ...
elle se souvient de ses prières en l'église de Castillon juste avant leur son départ ... et nan Aristote ne l'écoutait que trop peu en ces instants ...elle qui voulait éviter de faire souffrir ses proches c'était râpé ... elle s'en voulait tant d'avoir parlé ...
Elle se leva ...prît la main de Oba ...

Tu veux marcher un peu ...parler un peu ?
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Obakhan

Il contemplait le regard humide Kah', se maudissant intérieurement. Sans doute avons-nous parfois besoin, d'une certaine manière, d'être remis à notre place. Sans doute Oba avait-il été prétentieux, se croyant... autre que ce qu'il était réellement. Il réalisait son erreur. Il comprenait dans les larmes de celle qu'il aimait qu'il avait mérité une bonne gifle. Il n'avait pas été juste.
Il porta sa main à la joue de Kahhlan et lui caressa.

Je veux bien marcher, parler... plonger dans l'eau tout habillé !

Oba glissa un bras sous les jambes de Kah' et la souleva du sol, la portant dans ses bras, puis prit d'une soudaine envie de s'amuser, il la fit tourner, mimant une valse folle sur le sable...

Kahhlan

Kah’ surprise d’une telle réaction le regardait un peu abasourdie…décidément la nature humaine l’étonnerait toujours et celle de Oba la surprenait d’agréable manière …

Elle se laissa entrainer dans celle danse ou pour toute musique ne résonnait que leurs rires, le cris des mouettes et le souffle du vent …

Ils continuèrent à rire encore et s’élancèrent vers l’eau ..
Sans réfléchir à ce qu’ils été vêtus …ensemble ils se jetèrent dans le courant…
S’ensuivirent des instants délicieux .. partage de leur émois respectifs… ils étaient seul au monde pour une fois …

Ils n’avaient pas vu le temps passer et la luminosité leur indiqua que l’heure du déjeuner était largement passé …

Euuu …Oba ? si on allait manger ?

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Obakhan

Oba lui sourit. Effectivement son estomac criait famine.

Oui, allons manger !

Il prit Kah' par la main et ils se dirigèrent vers l'auberge.

pnj

les tavernes étant fermée, condor arriva sur la plage. il chercha un coin tranquille , isolé. il s'allongea sur le sable et contempla les étoiles. il pensait a tous ses amis : form, kiriell, lelie, lise, bill, jenn, baptiste et bien d'autre....
il fini par fermer les yeux et s'endormir, laissant couler une larme qu'il ne pouvais contenir.....................................................

Luckylolotte

Lucky arriva sur la plage essouflée, elle avait cherché son homme dans toute la ville et avait finalement pensé à venir ici.
Elle mit un certain temps à le découvrir, allongé non loin de l'eau, il semblait dormir.
Elle s'approcha doucement et s'agenouilla à ses côtés : il dormait bel et bien.
Elle avanca sa main doucement, et lui essuya une larme coulant de son oeil d'un geste tendre et amoureux.
Elle s'assit à ses côtés, lui souleva doucement la tête et vint la poser sur son ventre, se pencha un peu plus et vint déposer de nombreux petits baisers sur ses lèvres.

Elle resta longuement ainsi, serrant contre son ventre, l'homme et la personne qu'elle aimait le plus au monde ; contre ce ventre même qui faisait grandir le fruit de leur amour profond.
Elle se pencha à nouveau et lui murmura à l'oreille :

Pardon mon doux ange, oublies cette journée affreuse et dis toi que je suis là, moi, tout près de toi, tout contre toi et que l'amour que je te porte est infini. Oublies ces vieux démons comme j'oublie peu à peu les miens, et ne crains plus la vie ou l'avenir, je suis à tes côtés et mon coeur ne cessera jamais de battre pour toi, pour notre bébé et pour nous trois réunis.

Elle le serra fort contre son ventre et leva les yeux au ciel. Toutes les étoiles s'étaient données rendez vous au dessus de leur lit de fortune ... et au milieu des étoiles, Ynis et Quetzal, inséparables comme leurs maîtres respectifs, semblaient danser un ballet d'amour.

Lucky, rassurée et heureuse, s'endormit tout contre son ange.
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pnj

les premiers rayons de soleil commancaient a carresser doucement le visage de condor qui se réveilla. il ouvrit les yeux et se releva. il s'étire.....

"rolala.... que s'est-il passer?? j'ai un de ces mal de crane moi ce matin......"

il regarda a droite et a gauche, ne vit personne. il se déshabilla alors et fit trmpete dans l'océan encore un peu froid de la nuit. il nagea tranquillement, puis se mit sur le dos, se laissant porter par l'eau.............

pnj

apres s'etre baigner un moment, il sorti de l'eau, se secha un moment au soleil, s'habilla et parti en direction de la ville

pnj

Formarie se rendit à la plage pour une balade en attendant l'arrivé de son amour. Elle était impatiente alors cette promenade lui ferait du bien. Ensuite elle retournerait en taverne l'attendre.

Sophied27

Sophie venait de sortir de la taverne des deux Tours au bras de Kiriell. Celui ci lui avait fort aimablement proposé de la raccompagner. Sophie avait accepté de bonne grâce, elle n'aimait pas se promener seule dans les rues la nuit venue.
En chemin, Kiriell proposa à Sophie de faire un détour par la plage. Il faisait bon et Sophie fut enchantée par cette idée, cela faisait longtemps qu'elle n'etait pas allée à la plage.
Ils marcherent un bon moment sur le sable encore tiède...
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Bléicultrice de La rochelle
Soeur de Formarie

pnj

Floep et Jhamie étaient arrivé à l'aube à la rochelle.Elle était très fatiguée par cette marche sous la pluie, mais elle était trop curieuse pour aller se reposer.Depuis le temps que jhamie lui parlait de cette eau toute bleu et parait il immense.
Perdue dans ses pensées elle fut surprise par son ami qui lui prit la main et l'entraina en courant vers cette Mer.
c'est essouflé tout les deux qu'ils arrivèrent devant ce spectacle si surprenant au yeux de Floep.
Elle resta ainsi figée ,à regarder cette eau aller et venir inlassablement, comme si elle cherchait toujours a vouloir aller plus loin.
Ses yeux étaient grand ouvert, sa fatigue était oublié,elle respirait ce bon air iodée, souriait en regardant ses pieds qui étaient ensevelit par le sable.
Elle ne pensait vraiment pas que ce moment aurait put être aussi fantastique.elle se laissa tomber à genou sur le sable,restant un bon moment à toucher ce sable si fin ,admirant cette eau magique .

Jhamie

Jhamie avait passé la soirée avec Flo, dans une taverne, au milieu des chuchotis, des bières, des amoureux... à repenser à leur après midi près de l'océan.

A la fin de la soirée, il emmena Flo sur son dos, à la plage.
Ils se dénichèrent un coin agréable, près d'une dune pour être à l'abris du vent et firent un grand feu pour avoir bien chaud, mais aussi éloigner les crabes.
Ils s'intallèrent confortablement sous les peaux de Flo... face à l'océan... avec en fond le bruit des vagues... et en regardant la lune.

Ils s'endormirent jusqu'au petit matin en rêvant de crabes et de poissons pour Flo et de bateaux immenses pour de grands voyages pour Jhamie.

Sagaiii

Saga avait marché jusqu'à une petite crique tranquille, il avait besoin de se retrouver un peu seul, en tête à tête avec la mer, et le bruit apaisant de ses vagues. Il laissa son esprit vagabonder au rythme du rouli marin. Il avait promis qu'il ne la suivrait pas, il ne la suivra pas... mais il ne rentrera pas non plus, la maison, le lit... sa vie, tout parait si froid et vide quand Espe n'est pas là... Ses pensés l'emmenèrent jusqu'aux dernières soirées passées avec elle... Il avait été bien loin du compagnon idéale. Pourquoi alors qu'il n'aspire qu'à passer un moment de pure tendresse avec elle dés son abscence, n'arrive-t-il plus qu'à l'embêter quand elle est là ? Serait-ce ça l'amour ? Ou alors, aurait-il trop longtemps vécu en cachant ses sentiments aux autres pour qu'il arrive à agir comme il voudrait avec Espe ? Il repensa à leur dernière soirée, il avait été particlièrement lamentable... même si elle non plus n'avait pas agit aussi bien qu'elle aurait put... c'était peut-être aussi ça l'amour, être mauvais ensemble, et être merveilleux ensemble ? ... pour le meilleur et pour le pire... ces mots prenaient tout leur sens à présent. Son regard se posa sur le reflet de la lune dans l'eau, peu à peu un vérité, évidente, lui apparaissait, et s'installait dans son esprit, malgrés tous ses efforts pour l'en chasser. Ils ne seraient probablement jamais totalement heureux tous les deux ensemble... Pourtant il ne pouvait se résoudre à mettre fin à leur relation.
Il était si bien avec elle, quand elle était là, qu'elle lui faisait confiance, au début... Il soupira. Il était prêt à tout pour retrouver ces moments. Il jeta un galet dans l'eau. Plus sûrement ça devait être ça l'amour, cette espèce de force qui l'empêchait simplement de songer à partir, qui le faisait se sentir idiot ces derniers soirs, qui lui faisait se dire que seul le bonheur de Blanche comptait. Mais alors dans ce cas là, pourquoi les dernières soirées se sont-elles déroulées ainsi ? Il se disait jusque là que c'était la faute de la guerre, que c'était l'éloignement qui avait fait qu'ils ne se comprenaient plus vraiment... Un chose était sûre, un lien important entre eux s'était brisé, et pourtant l'idée de tout terminer ici lui paraissait encore absurde, le révoltait même. Ils n'étaient pas encore arrivé au bout de leur chemin en commun, "nous" n'était pas mort... pas encore... Il voulait tout réparer, tout recommencer comme avant, mais se souvint des derniers soirs avec Esperenza, et compris que ce serait trés dur, voir impossible... La fin était peut-être proche finalement pour "nous"... Mais il voulait continuer à espèrer. Sa main se porta au foulard d'Espe noué à son bras... Il lui rappelait comme il pouvait tenir à elle, s'il avait écouté ce sentiment, il aurait enfermé Espe dans un coffre surprotégé, afin qu'il ne lui arrive rien... Il sourit devant l'absurdité ridicule de cette pensé... enfermer Espe, ça serait un peu comme la tuer... juste inimaginable... Ce combat entre la volonté de la protéger, de la surprotéger, et la raison qui dit de la laisser libre... l'amour ?... Il sourit un peu, les yeux malgrés tout embués... Leur futur s'annonçait sombre, mais peut-être moins qu'il ne le pensait... Il l'aimait encore, et... ça devait être pareil pour elle, l'essentiel était là. Il se redressa, un peu rassuré, il s'inquiétait toujours des blessures qu'elle pourrait recevoir... Il sourit en se souvenant de "je suis grande !". Elle avait raison, mais ne pas s'inquiéter pour elle, c'était... inconcevable. Il se souvint d'autres choses qu'elle avait dites... elle avait raison encore, il devrait peut-être l'écouter plus, tout irait sûrement mieu après.
Encore absorbé dans ces pensés, il s'en retourna au monastère, attendant des nouvelles...

pnj

Flo se réveilla avec la douce musique des vagues.Elle s'étira et toucha Jhamie qui dormait encore.
Se redressant sur un coude , elle le regarda dormir un petit moment , puis un sourire malicieux s'afficha sur son visage.
Elle se rappelait du réveil qu'elle devait lui faire,c'est vrai quoi il le lui avait demandé après tout.
Il avait l'air de sourire aux anges dans son sommeil, Floep hésitait quand même a le faire.Pffffff, mais la Flo elle se ramolit la non!!!!
Elle se mit sur le ventre pour regarder la mer et se perdit dans ses pensées .....

Jhamie

Rhoooooo Floooooooo... arrêttttteuuuuuuuuu... j'vais mettre des plombes à me recoiffer maintenant !!!
Et pis voualàààà chui grognon... là... En plus, j'avais postulé sur un emploi... ils ont même pas voulu de mouaaaa "pas assez costaud qu'ils ont dit" ...

Ben du coup... on part dès ce souarrr... dès que je me serai recoiffé hein ^^ j'peux pas arriver dans un nouveau village déguisé en hérisson hihi

Et toi... t'as bien dormi on dirait... t'aurai pas fait de beaux rêves par hazard ??? Met avis que tu n'as pas pensé aux gros poissons c'te nuitée ^^ ... Mais plutôt à des trucs plus... agréables... hihi... t'aurai pas rêvé d'un prince charmant... madame qui veut pas se marier... LA célibataire endurcie ???

Allez viens... lève toi... viens tremper tes petits petons avant de partir... sinon... on part pas... on reste ici pendant une semaine"

*Trouve la bouteille d'eau de vie sous les peaux de Flo... la lui vole et part en courant vers l'océan*

pnj

Flo sort de ses pensées bien agréables ,assez brutalement,elle sentit qu'une de ses bouteilles de son eau précieuse était chipée par quelqu'un qui se trouvait juste à coté.Elle se mit en un rien de temps sur ses gambettes et se mit à courir derrière jhamie .

- Jhamiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie, rends moi ça tout de suite.

Elle arriva a sa hauteur et ne se rendit même pas compte qu'elle se trouvait les pieds dans l'eau et qu'en plus une vague assez important arrivait sur eux.Elle eut juste le temps d'arracher la bouteille des mains de jhamie en faisant un saut assez magique,( car il faut dire que jhamie n'est pas si petit que Flo veut faire croire à tout le monde;))
La vague les enroula tout les deux dans sa furie et ils se retrouvèrent comme deus beudats, trempés jusqu'au os.

Nessty

Nessty se promenait sur la plage en retour de sa soirée taverne. La rouquine n'était pas dans son auberge, le ciel était vide de nuages, une chaude brise de fin d'été venait se perdre dans ses cheveux. Elle tourna la tête pour scruter autour d'elle.

Personne ? Allez zou !

Le laçage de son corsage fut défait en un tour de main, la chemise glissa sur ses épaules, le reste de ses haillons tomba dans un déhanchement. Enjamber le tas de frusques, marcher nue sous la lune, se diriger vers l'océan et sentir l'eau vive l'entourer de sa fraicheur, ouvrir les bras pour chasser les flots devant elle, se laisser porter dans le bercement, oublier la rive, se retourner pour ne voir qu'une mer d'étincelles devant elle, nager pour laisser milles douceurs parcourir sa peau....

Quel bonheur....

Depuis le temps qu'elle rêvait de se baigner ainsi
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Mangez des Carambars au lieu de vous prendre le chou à chercher ce qui n'est ni dit ni pensé.

Mac_hyavel

Mac Hyavel n'arrivait pas à digérer son repas du soir, aussi il se décida de se promener sur la plage. Voyant la mer, sa beauté, il décida d'aller faire un plouf.
Aussi, il enleva son bandana rouge, dénoua sa corde rouge afin de mieux retirer sa chemise rouge . Une fois délesté de ses chausses rouges, il put enlever ses bas et ses braies rouges.
Il posa son bâton, puis, vetu en tenue d'adam, courut vers la mer comme un fou.
La mer était agitée, et des vagues de 5 cm déferlaient à l'allure folle de 2cm/h.
Il piqua une tête, puis se décida de nager quelque peu.
Alors il vit qu'une autre personne profitait du beau temps pour se baigner.
Il allait passer devant elle lorsqu'il la reconnue.

Ness??

S'exclama t'il.
Aussitot, son honneur de gentleman le fit concentrer sur sa tete.

Nessty

Le clapotis de l'eau à peine perturbé par ses gestes lents, le reflet argenté de la lune ondulant sur les flots, le........

Une voix familière qui l'interpelait, juste là, à quelques mètres.

Nessty, sous l'effet de surprise, en oublia ses rudiments de nage. Elle, habillée simplement par l'océan, les joues cramoisies, à penser à sa pudeur, bouche ouverte, tenta de se débattre pour retourner vers la plage. Même pas le temps de se demander comme elle fera une fois hors de l'eau, qu'elle commençait déjà à couler. Fouettant l'eau pour rester à sa surface, prise de panique.

Mac ? Mac !

Mais le fuir au plus vite ! Il la connaissait, il l'avait déjà vu dans une situation peu avantageuse pour une damoiselle. Pas lui, par pitié, pas Mac ! Nessty cherchait des pieds un sol pour y prendre appui. Sa tête disparue sous l'eau, elle continuait à se débattre.
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Mac_hyavel

Mac Hyavel, voyait que nessty le remarquant, pour une raison inconnue prit peur. Evidemment, comme toutes les personnes qui prennent peur, elle commencait à se noyer.
Là le dilemne.
Perdre son honneur?
Perdre un être cher?
Il ne fallait pas hésiter longtemps, puis alors il se décida à aller sauver Nessty. Tache d'autant plus ardue qu'il lui fallait à tout pris éviter tout contact qui était contre la pudeur.

Mais à peine la tête sortait elle de l'eau que les vaguelettes menacaient de noyer la jolie femme. Mac Hyavel devait lutter contre le poids pour pouvoir la sauver. Il se devait de lui laisser la tête hors de l'eau, mais il ne devait pas l'étrangler, et par dessus tout, la panique ne devait pas s'approcher de lui.
Apres moults péripéties, il arriva sur le bord de la plage, il la laissa s'étendre par terre. Il l'observa, mais que son visage. Dieu qu'elle était belle...

Nessty

Nessty ne savait plus contre quoi elle se débattait. Ne maîtrisant plus aucun de ses gestes, ne maîtrisant plus son souffle, elle essayait de happer de l'air par tous les moyens. Nager pour chasser milles douleurs qui emplissaient ses poumons, se retourner pour s'éloigner de cette étendue infinie sous elle, se débattre dans ce harcèlement de flots, rechercher à tout prix la rive, refermer ses bras pour s'accrocher à cet ami, sentir l'eau relâcher son emprise, sortir de l'océan soutenue par son sauveteur et se laisser tomber sur la plage, nus sous la lune.

Quel horreur....

Depuis le temps où elle avait rêvé de se baigner ainsi, vlà qu'elle avait manqué de se noyer. On lui avait pourtant dit qu'elle n'était qu'un marin d'eau douce. La vlà maintenant en train de cracher toute l'eau salée inhalée, cherchant encore à retrouver son souffle.

Le ciel était toujours vide de nuages, la brise de fin d'été s'était rafraichit et venait la faire frissonner sous ses cheveux trempés. Elle tourna la tête pour voir que Mac la scrutait, fort discrètement certes et toujours avec son habituelle distinction de gentil homme, mais quand même...

Nessty oscillait entre l'envie de fuir au nom de l'affront à sa pudeur de donzelle promise, celle de rire d'avoir été elle une vulgaire greluche surprise de la sorte et celle de pleurer pour exhorter la peur de la noyade qu'elle venait d'éviter de justesse. Elle n'eut le temps de choisir quel ressentiment l'envahirait en premier que déjà une couverture, sortie d'on ne sait où mais l'on savait Mac plus que galant, lui recouvrait les épaules.

Merci Mac.

Puis lâchant un petit sourire mi-gêné mi-moqueur :

Me faire flancher le coeur de la sorte et en mer... Y avait pas meilleur moyen de te débarrasser de moi l'ami !
Mais que fais tu ici ? A cette heure ci ?
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Mac_hyavel

A peine Nessty se réveillait elle que sa curiosité féminine revenait. Cependant, ses premieres remarques étaient troublantes.

Ainsi je suis capable de faire flancher le coeur d'une fille? Voilà qui est surprenant, dit Mac avec un léger rictus. D'autant plus surprenant que c'est le tien que j'ai fait flancher.

Puis Mac Hyavel s'étendit à côté d'elle sur le sable, regardant la lune et les étoiles. Il soupira un long coup. De temps à autres, son âme de romantique remontait à la surface, et c'était un de ces moments...
Soudain il se ressaisit.

Si je voulais me débarasser de toi, je pense qu'il serait plus simple d'envoyer une lettre calomnieuse à Rorkh : au moins tu te suiciderai.

Pour cette phrase il leva les sourcils, fit un léger sourire, pas méchant pour un sou puis il se tourna vers Ness.

Quand à tes questions je pense que mes réponses sont équivalente à ce que seraient les tiennes si je devais te poser la question.

Il lui sourit en la regardant.
Il se remit sur le dos et poussa un long, tres long soupire. Quelque chose en lui était brisé depuis longtemps et ne pourrait jamais se refaire.

Nessty

Nessty écoutait Mac. Elle avait encore du mal a retrouver la régularité de sa respiration et restait allongée là sur la plage, sous une couverture qui la démangeait plus qu'elle ne la réchauffait.

Pendant que Mac rebondissait sur ses mots en oubliant soigneusement de lui répondre, le coeur de Nessty continuait à s'emballer malgré l'issue heureuse de cette brève baignade. Les doigts de la donzelle emprisonnèrent quelques brisures de roche, érodées probablement par des années de vas et viens aux fond de l'océan. Elle les faisait glisser du bout des doigts jusque dans sa paume, en perdit quelques uns dans la toux qui la saisissait encore ci et là.

Roooooo Mac ! Tout ça pour t'entendre dire que tu es bel homme ? un mignon qui sait se montrer prévenant avec les damoiselles ? un...

Nessty laissa ses yeux parcourir en toute liberté Mac et jeta malicieusement quelques grains de sable sur son torse que la lueur bleutée de la lune était loin de désavantager.

Mmmmm en plus pas mal à ce que je peux voir. Sais tu que t'es nu...

Nessty sentit la confusion l'envahir et le rouge lui monter aux joues. Que venait elle de dire ? Que venait elle de faire ? Elle enfuit sa tête dans ses bras en toussotant stupidement pour faire diversion, pour expier son indiscrétion, pour dissimuler un quelconque trouble. Un trou dans le sable pour y mettre la tête eu été le bienvenu mais voilà que déjà l'évocation du nom de son tendre la fit sursauter. Horrifiée, apeurée, paniquée, acculée ? Naaan, rien de tout cela. De son regard innocent, elle balaya la plage dans l'espoir d'apercevoir Rorkh.

Bah, pas envie de me noyer, cela ne me plait guère après ce que j'ai pu en goûter. La lame me parait être plus radicale et plus rapide... Tu la gouteras bien avant moi si tu ne te couvres pas un peu et qu'il te découvre ainsi...

Nessty se laissa aller à sourire dans la demie pénombre, enfin apaisée par une présence salvatrice à ses côtés, et déposa ses lèvres sur le visage qui se tendait vers elle, n'osant rire de peur d'attirer l'attention d'un promeneur nocturne, n'osant qu'effleurer furtivement le front de Mac pour éviter toute fausse interprétation.

Au fait, merci de tout coeur de m'avoir ramenée sur la plage.

Quant à mes réponses, j'espère que mes questions n'étaient point ambivalentes comme pourraient l'être les tiennes et je m'en fais le devoir de t'apporter une réponse franche.

Tu sais que mon coeur est pris, tu sais que ma vie à lui est unie, tu sais qu'à lui seul je me suis promise, tu sais que sans ses attentions je ne tiens guère en place, tu sais que sans ses bras l'insomnie me poursuit...

Nessty posa sa tête sur son avant bras pour écouter Mac soupirer, un frisson lui parcourant le dos des épaules aux reins. Satanée couverture qui lui piquait la peau mais ne lui apportait pas chaleur.

Je suis venue ici dans l'espoir d'écourter mon attente sous les caresses des flots et de devancer son arrivée matinale en sacrifiant mon repos.
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pnj

Kaliia qui les avait discrètement aperçu, s'approcha tout en restant discrète, et se cacha dérrière un buisson pour les entendre un peu plus. Sa curiosité était plus forte qu'elle, elle resta un moment à les écouter et soupçonna quelque chose.. Mac et Ness nue mais une simple couverture la recouvre. Mais qu'avait t'il fait tous les deux ?
Elle resta dans sa cachette et regarda dans le vide. Elle avait un air triste, et n'avait plus l'envie de sourire. Peut-être était-ce juste parce que son amour se trouvait loin d'elle .. Elle n'en savait rien, mais une douleur commença à la prendre au ventre. Elle essaye de ne pas crier, de peur de se faire découvrir par Ness et Mac. Elle resta quand même derrière le buisson, souffrant en silence, par terre .. En chuchotant un simple :
Aïe

Elle posa sa main sur le ventre qui l'a faisait tant souffrir. Et regarda le ciel étoilé en pensant. Elle aurait tant voulu qu'il soit là à ses côtés, mais maintenant c'est impossible. Elle était devenue si triste depuis qu'elle n'était plus avec lui. Elle tituba à moitié pour se relever, et se rendit compte que Ness s'était peut-être retournée au même instant, elle se rassit aussi vite qu'elle le put, et elle se mit à quatre patte pour ne plus qu'on la voie..

Sagaiii

deux jours plus tôt.

Comme chaque fois qu'il était désorienté, Saga se dirigeait vers la mer, mais cette fois il courait vers le bord des falaises. Il pleuvait mais l'humidité de ses joues n'était pas due qu'à la pluie. Ses pieds s'enfonçaient dans la boue, mais la lourdeur de ses pas n'était pas du qu'à la terre qu'il soulevait. Il pleurait, et avait l'impression de porter un poids écrasant sur ses épaules. Elle voulait tout arrêter, partir loin, sans lui. Elle voulait qu'il l'oublie, qu'il aille avec une autre, alors qu'il ne pensait plus qu'à elle, qu'il ne voulait que le refuge de ses bras. Il avait essayé d'oublier, de se dire que ce n'était qu'un mauvais rêve, qu'il se réveillerait à ses côtés comme tant de fois. Mais aucun néant n'était venu apaiser son esprit, aucun réveil n'avait fait fuir au loin le cauchemar, les mots étaient toujours là, noirs sur blanc. Il l'aimait, était-ce si dur à comprendre ? Ou bien était-ce lui qui n'avait pas su lui faire comprendre ? Il se souvint "Pas que mes sentiments ne soient plus là..."... Alors pourquoi ? pourquoi ? pourquoi ? Cette question tournait dans sa tête, se heurtant à son crâne, lui faisait mal. Il s'arrêta de courir, plus de dix mètres au dessus de la mer déchainnée. Elle était verte et agitée, mais ce n'était rien par rapport à ce qu'il ressentait. Il avait l'impression d'avoir le coeur explosé en dizaine de milliers de morceaux, qui se seraient transformés en lame d'acier tout en continuant de battre dans sa poitrine. Mais le pire c'était encore qu'on avait du lui déchiré et lui arraché un bout de son âme, et qu'on s'amuser à pétrire ce qui en restait avec un sadisme diabolique. Alors qu'il fermait les yeux douloureusement pour essayer d'étouffer la douleur, ce qui avait pour effet de lui faire voir son sourire, c'est dans son épaule gauche que la douleur se déchainait, et celle là était bien plus réelle bien que moins intense. Un sourire, cette question qui tournait, et tournait encore, la douleur dans son épaule qui augmentait peu à peu, des lames battantes dans sa poitrine, il voulait crier, hurler à en perdre la voix, mais quoi ? et surtout serait-ce vraiment utile ? La douleur dans son épaule l'obligea à tomber à genou, les poignards de son coeur s'en donnèrent alors à coeur joie... pour la première fois, il regrettait d'avoir rencontré Esperenza... Blanche... Il sanglotait, et articula tant bien que mal:
S'il te plait... ne me laisses pas... pas déjà... pas comme ça... pas sans toi...
Il respira comme il put.
pas sans toi ... profonde inspiration, PAS SANS TOI !!!!
Il se laissa aller à pleurer franchement... Il ne comprenait pas, ne voulait pas comprendre, ne voulait pas qu'elle parte. La douleur se faisait de plus en plus intense, de plus en plus elle l'isolait du monde extérieur. Il finit enfin par ne plus rien voir, ne plus rien sentir, ne plus rien entendre, ni la mer, ni la pluie, ni le vent, seulement cette douleur dans sa poitrine. Et puis plus rien, même pas son souffle. Etait-il mort ici et comme ça ? déjà ? et sans toi ?

Luckylolotte

Après avoir effectué son travail au bureau de Tribun, Lucky partit en direction de la plage, avec sa fille dans les bras.

L'automne était bien là certes, mais l'air était encore chaud et propice pour une belle balade sur le sable fin.
Elle déambula donc, dans les rues de La Rochelle, en direction de l'Océan. En chemin, elle croisa un jeune sieur égaré, cherchant une chemise, elle lui indiqua une boutique mais se décida finalement à l'accompagner, pour être plus sûre qu'il arrive à destination.

Une fois là bas, elle constata que la boutique était fermée, mais rassura le Sieur Guillaume, en lui conseillant de laisser un petit mot que normalement un tisserand du village, s'occuperait de le contacter.
Elle le quitta, non sans lui avoir fait juré de lui donner des nouvelles ou même de passer la voir à son office.

Puis elle reprit le chemin de la plage. Elle y arriva peu de temps après.
Le soleil était toujours haut dans le ciel et malgré la légère brise marine, une douce sensation de chaleur l'étourdit un peu.

Sa petite Eve, qui avait dormi tout du long, se réveilla en sursant, sans doute par le bruit du ressac sur la plage, ou par les cris stridents des mouettes, perchées sur les rochers.
Lucky lui sourit et Eve, hésitant d'une moue adorable, se résolut visiblement à sourire à sa mère.

Lucky la serra fort dans ses bras et se rendit vers son endroit préféré, un beau carré de sable fin, non loin de l'eau mais toujours abrité par les branches colossales d'un pin parasol bleuté.

Elle déposa une petite couverture et s'y installa du mieux possible.
Se couchant sur le dos, elle prit Eve contre elle, tout contre son ventre et lui caressa doucement les joues. Elle lui murmura :

Et voilà ma toute douce merveille, ta première visite à l'Océan ! Tu sens comme ça sent bon, tu entends ces bruits qui te bercent lentement. C'est ça l'Océan, mon ange !

Eve sourit à sa mère, et sa petite mèche brune se mit à virevolter, ce qui ravit Lucky et la fit éclater de rire.
Elle venait de se dire à elle-même : si tu avais les cheveux de ton papa, ce genre de problèmes n'arriverait pas. Oh, mais quelle teigne je suis, moi qui suis si bien avec lui.

Elle reprit son sérieux et recoiffa doucement mais hélas vainement l'épi rebelle de sa progéniture.
Elle ferma les yeux et ses pensées partirent à la dérive.

Ses songes embarquèrent à Lyon avec le souvenir douloureux de Lulu, sa mère adoptive, agonisant devant ses yeux, victime malgré elle d'une maladie honteuse ..
Ils accostèrent ensuite à Tulle, Xam, son petit frère de coeur, était là devant elle, elle pouvait lui sourire, le toucher, lui dire qu'il comptait tant pour elle. Elle se souvint que son amour des rapaces en général et des faucons en particulier, elle le tenait de lui.
Ils prirent ensuite le cap pour le sud, Labrit et Mimizan ... un feu de camp, Lise et Lélie, ses amies si loin aujourd'hui, faisant la farandole alors que Condor, qu'elle avait rencontré le matin même en taverne, hantait déjà son esprit et se trouvait non loin, seul sur la plage, n'osant s'approcher d'elle.
Ils échouèrent enfin à La Rochelle, chez elle désormais. Muze et Cyra la regardaient et lui souriaient, heureux de s'être retrouvés. Kiriell, aux portes de la Mairie, lui faisait un signe de la main, scellant ainsi leur douce amitié, elle y répondait d'un sourire sincère et dévoué. Et puis Vesperia, Loulouu son meilleur ami sans doute, et tant d'autres, des Rochelais purs ou simple visiteurs de passage, Isalyne et Appollon, Kahhlan et Obakhan, ils étaient bien tous là dans sa nouvelle vie.

Elle sortit doucement de sa torpeur, quand la petite main d'Eve vint se poser sur sa joue. Elle lui sourit.

Mon petit ange .. Maman est là .. Je serai toujours là ma puce, et je ferai de toi une belle personne, comme ton papa peut l'être, comme je le suis sans doute à ma façon. Et un jour, quand tu seras plus grande, quand tu auras écumé La Rochelle de fond en comble, quand tout simplement tu auras grandi, je me raconterai à toi .. tu seras tout, absolument tout.

Eve gazouillait de plus belle, légère et insousciante comme tout nouveau né qui se respecte.
Lucky la berca doucement et lui chantonna une comptine secrète, celle que Lulu et ses autres mamans lui chantaient le soir, tandis qu'elle se lovait au fin fond de son grand lit, dans sa chambre minuscule mais ravissante au dernier étage du bordel lyonnais le plus courru :

Ma poupée chérie
Ne veut pas dormir
Ferme tes doux yeux
Tes yeux de saphir
Petit ange d'or
Tu me fais souffrir
Dors poupée, dors, dors
Où je vais mourir
- Il faudrait, je crois
Pour te rendre sage
Un manteau de soie
De jolis corsages
Tu voudrais des roses
À ton clair béguin
Des bijoux d'or fin
Et mille autres choses ...

Eve s'endormit, Lucky essuya une larme du revers de la main. Elle se leva prudemment, ramassa la petite couverture, et s'en retourna.

Elle rejoignit la ville lentement, laissant ses rêves et ses souvenirs reprendre posséssion de son âme, se réinstaller tout au fond de son ventre. C'était leur place et c'était pour eux, par eux, grâce à eux qu'elle avait à tout jamais cette force de vivre et se battre pour être heureuse.
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Luckylolotte

Flanquée d'Eugène dans les jambes et d'Eve dans les bras, Lucky arriva au bord de l'Océan.
Son mal de tête du matin même était un peu passé et elle s'était dit qu'un grand bon bol d'air marin, finirait de la remettre en forme.

Elle avait peu vu son conjoint aujourd'hui, tantôt en formation pour rentrer dans la police, tantôt en affaires. Il lui manquait comme à chaque fois qu'elle se sentait un peu délaissée mais par habitude, elle savait aussi qu'on ne gardait pas un homme indéfiniment sans un peu de concéssion.
Alors elle ravala sa peine et son amertume et s'avanca sur la plage en direction de son endroit fétiche.

Elle s'y installa bien confortablement, après avoir déposé Eve, endormie sur une serviette à l'ombre, non loin d'elle.
Eugène vint s'installer tout contre elle, lui offrant son ventre comme oreiller pour sa tête encore fragile.

Elle sourit et s'éxécuta, après une séance de gratouilles intensives !

Elle pensa à son travail de Tribun, elle était ravie car cela lui plaisait vraiment et puis depuis deux jours, les résultats commençaient à venir : pas moins de 4 filleuls cherchant des parrains ! Formidable ... le pari était à moitié gagné, mais surtout ne pas s'arrêter là, il fallait poursuivre ses efforts.

Et puis elle envisagea l'avenir. Elle songea à ses projets un peu plus sérieusement que d'habitude, prit le temps de tout analyser et en arriva à la conclusion que : pourquoi pas elle ?

Oui !! Effectivement pourquoi pas toi ? Pourquoi pas toi Lucky ?
Tu te sens inférieure ? Tu ne l'es pas et tu le sais ...
Tu te sens novice ? Et alors, tu n'es pas seule et on t'aidera ...
Tu doutes de tes capacités ? N'importe quoi ... Rappelles toi bien de ton passé, ne l'oublies jamais surtout et regardes le chemin parcouru.

Elle sourit car sa petite voix intérieure, venait une fois de plus, de lui river son clou.

Elle se laissa aller aux bruits de l'Océan, ferma les yeux et s'endormit pleine d'espoirs pour l'avenir.
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Cyrano_de_bergerac

Cyra se promenais sur la plage en attendant le retour de son amour, il vit de loin Lucky allongée sur la plage, il pressa le pas et vu qu'elle dormais. il posa une couverture sur elle et pris Eve dans ses bras pour la bercer un peu.

Eugene releva la tête mais reconnu en Cyrano un ami et ne grogna pas.

Luckylolotte

Lucky se réveilla peu après et sursauta en voyant Cyra près d'elle.

Ohhh Cyra, pardon ! Tu m'as fait peur.

Elle le regarda un moment bercer Eve et lui sourit.

Tu seras un papa formidable Cyra.
Brrrr il commence à faire frais, tu me raccompagnes au village ?

Elle ramassa ses affaires, et partit avec Cyra, tenant toujours la petite fille dans ses bras.
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pnj

condor arriva sur la plage et marcha tout du long, les pieds dans l'eau. la tete basse, le regard vague. il marchait sans but précis. arrivé au pieds des falaise, il posa ses affaire, s'assit et resta ainsi, les yeux fixés a l'horizon.............. ce soir, le sable allait etre son lit

Sophied27

Sophie était peinée de voir les choses se dérouler ainsi à La Rochelle. Tous ses amis allaient partir non pas pour découvrir le monde mais car ils ne se sentaient pas bien à La Rochelle.
Elle fit quelques pas dans le sable en se disant qu'elle aussi fuyait cette ville.

Aller parcourir le monde...Quelle belle opportunité, je vais apprendre plein de choses. Et puis, je suis si bien accompagnée...

Sophie continuait de marcher dans ce sable si fin, elle aimait sentir l'eau fraîche lui recouvrir les pieds.

Elle attendait, peut être en vain, que le beau voyageur qui l'avait escorté depuis Saintes vienne la rejoindre, mais arriverait-il à la trouver?

Sophie s'assit dans le sable, regarda l'océan et se mit a rever de voyage.
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Bléicultrice de La rochelle
Soeur de Formarie

Gadlu

Après une journée de travail épuisante, Gadlu se décida à aller voir cette plage que Dame Sophie lui avait tant et tant vantée lors de son voyage vers La Rochelle.

Arrivé à l'entrée de la plage, au loin, il distingue la mince et svelte silhouette d'une personne... Est-ce bien elle, se dit-il.

Il s'approche, son coeur bat de plus en plus vite, oui, c'est elle !

Citation:

Bonjour Dame Sophie,
Comment allez-vous ? Je constate avec émerveillement que vous ne n'avez point menti. Cette plage est une véritable merveille... mais mon jugement est quelque peu biaisé !

Gadlu laisse passer quelques secondes de silence avant de poursuivre.

Citation:

En effet, je suis trahi par mes sens. Je crois admirer la plage mais si je réfléchis bien que serait-elle, cette plage, sans votre présence qui en rehausse encore le degré de beauté !

Puis-je m'installer à vos côtés ? Si ce n'est point trop indiscret, expliquez-moi donc pourquoi vous semblez si mélancolique.

Sophied27

Sophie vit arriver au loin la silhouette du beau voyageur qui l'avait accompagné depuis Saintes, son cœur se mit à battre un peu plus vite.
Enfin il arrivait, elle avait l'impression de l'avoir attendu des heures.

Elle se leva pour accueillir le bel homme et lorsqu'il la salua, elle crut chanceler.Sa voix l'émerveillait, elle aurait pu l'écouter pendant des heures!

Bonsoir Mon Cher Messire, avez vous passé une bonne journée?

Puis-je m'installer à vos côtés ? Si ce n'est point trop indiscret, expliquez-moi donc pourquoi vous semblez si mélancolique.

Ils se rassirent ensemble sur le sable encore tiède.

Messire, je suis juste peinée de voir partir ma soeur bien loin de La Rochelle. Elle est ma seule famille.

Sophie se tut un moment et regarda l'horizon.

Elle était heureuse d'avoir trouvé un compagnon de voyage. Celui-ci la troublait au plus profond d'elle même.
Elle tourna la tête vers Gadlu, le regarda longuement.
Le sourire revint sur son visage.

Messire, vous ne savez pas à quel point je suis heureuse de voyager avec vous.

Sophie regarda l'océan et se dit que cette belle plage allait tout de même lui manquer. Elle aurait bien l'occasion d'y revenir et pourquoi pas d'en découvrir bien d'autres accompagnée de Messire Gadlu.

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Bléicultrice de La rochelle
Soeur de Formarie

pnj

nul

Luckylolotte

Après être passée soutenir son maire préféré, Lucky avait eu envie de venir à la plage, pour profiter de cette belle journée d'automne où le soleil brillait encore.

Elle y arriva, paisible et heureuse, se rendit à son endroit fétiche et s'y installa confortablement.
Après s'être délassée de la sorte, elle décida qu'un dernier bain avant l'hiver lui ferait le plus grand bien.

Elle regarda aux alentours, et ne voyant personne, se déshabilla.

Dans une nudité totale et parfaite, elle avança en direction de l'eau.
Son corps se raidit quand elle y pénétra car en cette saison, la température restait bien fraîche.
Elle nagea un peu loin pour se réchauffer et se détendre.

Puis au bout de quelques temps, elle se décida à sortir de l'eau et à rejoindre ses affaires.
Elle resta un long moment là, nue et fière, heureuse de se sentir seule et belle.

Elle s'allongea au soleil, laissant peu à peu ses rayons la réchauffer.
Elle ferma les yeux, et laissa ses mains parcourir son corps, pour sans doute, se débarasser du sable qui collait à sa peau blanche.

Tout en haut dans le ciel, le soleil ne brillait que pour elle, elle en était sûre et elle s'abandonna, gémissante et tremblante, aux assauts brûlants de son amant astral.
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pnj

condor arriva sur la plage, trouva un coin tranquil et commenca a s'entrainer au maniemant de l'épée.

Muzelinne

Muze était partie faire un tour sur la plage pour profiter du dernier
soleil

car le temps si beau n allais surement durée,

elle enleva ces botte et essais de tremper ces pieds

oups elle ressort vite l eau est devenue bien trop froide,

elle marche dans le sable qui lui est plus chaud

puis au loin elle voit quelqu un qui gesticulait sur la plage,

elle se demande qui cest sa

puis en continuant elle se dit mais heu c est condor

bas sa alors, le voila il fait comme don quichotte il se bas contre des moulins

puis elle eclate de rire,

hou hou condor tu fais quoi la !!!
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MUZELINNE maman du petit Toine
TRIBUN DE LA ROCHELLE
boulangère

pnj

il entend tout d'un coup qu'on l'interpelle. lachant son épée allant se planter dans le sable, il se retourne et vois muze

muuuuuuuuuuuuuzeee ^^ bin comme tu vois, je m'entraine un peu. voila des mois que j'ai une épée, jamais je ne m'y susi essayer lol j'aurais l'air fin si je me fais attaquer^^

il l'invita a le rejoindre et a s'assoir un peu aupres de lui.

Muzelinne

muze s assoie sur le sable a coté de condor et lui dit :

alors comme sa tu t entraine a l épée !!

tu as raison car si ta une epée et ne sais pas t en servir tu aurais bonne mine si tu était attaquer par des bandits

et elle se met a rire,

et bien moi je faisait un tour sur la plage avec ce beau et dernier soleil sa ma fait envie, mais bon j ai voulue me trempé les pieds mais l eau est devenue trop froide vraiment..

puis elle essuie le sable de ces pieds et remet ces bottes .
bon et bien voila , puis elle devien silencieuse, et regarde au loin le soleil a lhorison .,
elle frisonne et dit , bon et bien condor je vais te laisser continuer a
t entrainer, elle lui souris , aller courage tu vas y arrivé..
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MUZELINNE maman du petit Toine
TRIBUN DE LA ROCHELLE
boulangère

Sandrae

Depuis deux jours qu'elle était arrivée à La Rochelle, Dra n'avait pas même pris le temps de venir se délasser sur cette fameuse plage. Ce soir était une occasion rêvée : nuit dégagée, pas encore trop fraiche, de belles étoiles et peu de vent.
La barque remontée sur le sable offrait un abris tout à fait décent. Un petit feu, griller le poisson frais, puis du fenouil sauvage. Tiens il reste même encore un peu de liqueur d'absinthe.

Elle prit donc une chaude laine, et s'allongea sur le sable, écoutant le murmure de la mer.

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Tant va la cruche à l'eau,
Qu'à la fin elle se brise.

Muzelinne

Muze cétait levée trés tot ce matin elle avait mal dormie ,
alors avant d aller a la taverne et a sa boulange est venue faire un tour sur la plage,
elle regarde la mer qui était calme, pas comme son coeur lui il lui faisait mal, elle avait l impresion que son amour lui echapait,
se dit que l amour est toujour beau au debut et que tout doucement son amour a lui s en vas doucement
elle ne savait plus que faire, que penser,
elle continue a marcher le long de la plage regarde le soleil qui se lève a
l horison..
puis arrive près des rochers,
alors elle s assoie et se met a réflechir !!
pense pourquoi arrive t elle a aider les autres et pas elle ??
puis ferme les yeux et ecoute la mer qui comme des claques tapent sur les rochers
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MUZELINNE maman du petit Toine
TRIBUN DE LA ROCHELLE
boulangère

Cyrano_de_bergerac

Cyra marchais tranquillement sur la plage quand il aperçu son amour assise sur les rochers.

Il la rejoignis et l'embrassa tendrement.

Je t'aime mon Ticoeur, même si je ne sais pas toujours te le faire voir, je suis fou amoureux de toi.

Il s'agenouilla a ses pieds et lui pris les mains.

Muzelinne

Muze d un seul coup sursaute , elle voit une ombre devant elle,

bruquement elle relève la tete et vois Cyra
elle le regarde et lui dit merci beaucoup de ce que tu viens de me dire
mon coeur, je t aime aussi tu sais
elle lui sourit,
mais releve toi cyra ne te met pas a genoux devant moi, l aide a se remetre debout ,
et l embrasse tendrement a son tour lui prend la main et lui dit vient marchons mon coeur ...
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MUZELINNE maman du petit Toine
TRIBUN DE LA ROCHELLE
boulangère

Caro_line

Caroline marchait sur la plage, respirant l’air pur de la mer et regardant les vagues danser sur le sable. Le ciel était couvert de nuages, et le temps était assez froid. La jeune femme avait décidé d’aller sur la plage, dire au revoir à la mer... Des souvenirs lui venaient à la tête. La pêche, les fesses dans l’eau, ou bien les tas de baisers que Fred lui avait donné sur le sable, entre amoureux, ou aussi Émilie qui riait les pieds dans l’eau, se tenant à peine debout, encore un bébé. Elle sourit à la pensée de ces souvenirs. Puis le sourire s’effaça de son visage quand elle vit l’endroit où elle avait tenté de se tuer puis arrêta un peu de marcher… Quelques minutes après elle se remit à marcher...

Elle avait mit une bonne laine à Émilie, avant de venir sur la rive, pour ne pas qu’elle attrape froid. La petite la suivait de derrière, trainant du pied. Caroline marchait quand même doucement, respirant l’air à pleins poumons. Elle aimait aussi sentir le vent dans ses cheveux... L’hiver approchait de plus en plus. Elle allait voyager, essayant d’oublier ses tristesses, et elle avait bien l’intention de s’amuser. Et puis, elle se disait qu’il valait mieux s’amuser que déprimer chez elle...

Elle sourit et attendit sa fille qui était loin derrière. Elle la prit dans ses bras, la serra fort et l’embrassa sur le front. Puis elle se remit à marcher la petite dans les bras.
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pnj

voulant visité la plage, lechevalier alla y faire un tour. elle éait imense, et l'océan encore plus. il s'allongea sur e sable, face a l'océan et s'y étand un peu

pnj

Lorsque Miss arriva en ville, elle savait qu'elle ne resterai pas ici.. Cette ville où rarement elle met le nez en taverne et lorsqu'elle le fait ce n'est que pour le voir.. ce gentil homme aux doigts de fée.
C'est en ressassant tout cela que Miss se rendit sur la plage, n'arrivant pas à cesser de penser..

Elle se déchaussa et s'amusa a enfoncer ses pieds dans le sable afin de sentir les grains de celui ci caresser le peaux de ses pieds fins.
Miss n'avait jamais vu la mer... et encore moins l'océan. Elle s'approcha timidement faisant des longues trainées dans le sables et regarda tout ce bleu..

Elle aurai pu s'y noyer rien qu'a le regarder tant il était imense... On aurai dit le bout du monde, étions nous entouré d'eau partout? prisonniers? Elle ne le savait guère mais était en admiration totale devant ce phénomène naturel qu'est l'océan.

En une seconde toutes les questions qui lui tracassait la tête s'envolèrent, comme libérée de ses maux elle se sentit légère.. et à la fois si insignifiante devant cette nature imposante aux allures de paradisiaques.
En cette époque de l'année le sable était plutot frais mais pas humide pour un sous il glissait entre ses mains lorsqu'elle entreprit d'en contenir un peu en leurs creux. Ecartant les doigts afin de le laisser filer à la lenteur d'un sablier elle était totalement dépaysée..

Elle resta une bonne demi heure a s'émerveiller ainsi, devant cette si curieuse mais néanmoins douce chose qu'est le sable, tout en perdant son regard à l'horizon lointain.
Elle respira profondément cette odeur si particulière qui lui ravivait les poumons. Bien qu'elle ne fume pas, elle n'avait jamais sentit autant de pureté dans un lieu naturel.

Après s'être roulée dans le sable et d'en avoir jusque dans les cheveux, elle se décida a aller mettre un pied dans l'eau. Elle avança un peu prise par la peur trempant le bout de ses orteilles dans l'eau fraîche. Elle resta comme ça une minute jusqu'à ce qu'une vague vienne se terminer à ses pieds et n'ayant pas l'habitude d'en voir elle recula brusquement tombant sur les fesses. Elle bloqua un instant puis se mis a rire en pensant qu'elle n'était qu'une grosse froussarde. Se sentant bête d'avoir réagit ainsi, elle retourna à la charge mettant les deux pieds dans l'eau.

Immobile tel un arbre prenant racine, scruptant toujours au loin de ses yeux bleus, elle aimait ressentir le niveau de l'eau varier tantot au niveau de ses chevilles, tantot au niveau de ses mollets lorsque la vague qui venait finir son voyage était un peu plus dense que la moyenne.

Un vent marin veint faire virevolter ses cheveux qui pour certains venaient cacher ce gracieux visage. Celui ci lui donna la chaire de poule alors de peur d'attraper froid elle sortit de l'eau séchant ses pieds avec ses bas en verifiant dabord que personne ne l'observait. Elle les renfila et là, remettant ses bottes elle eut un flash de celui qui lui avait créé si consentieusement tous ces magnifiques vêtements. Cette pensée engendra une pensée pour son fiancé qui se trouvait au moment présent bien loin de ses yeux et e plus en plus loin de son coeur..
En une fraction de seconde elle passa d'un état d'insouscience et de liberté à un état de doute et de peine.
Elle s'allongea à terre telle une masse, étendant ses bras dans le sable tel un ange et cherchant des reponses dans le ciel..

Ciel bleu, océan bleu.. cela la changeait beaucoup de sa campagne de Mayenne avec sa foret dans des tons beaucoup plus sombres où le feuillage des peupliers et la hauteur des pins cachaient ce ciel bleu azur.
Elle ferma les yeux afin de tout oublier, de ce laisser porter par ce moment de revitalisation naturelle et d'appaisement . Cet environnement lui donna même envie de se remettre à sa plume pour écrire des vers mais la contradiction de sa peine et de cette beauté autour d'elle aurai été confus sur papier. Deplus elle n'avait qu'une envie pour le moment: s'assoupir sous les rayons du soleil de midi et passer la journée a se reposer.. ce qu'elle fit.

pnj

Après avoir quelque peu dormi, Miss était allé voir en taverne pour tacher de s'integrer un peu..

Seulement a peine avait elle ouvert la bouche qu'on lui dit qu'elle faisait fuir les gens et apparement elle aurai du le prendre avec le sourire car l'ayant quelque peu mal pris, vexée, on lui dit qu'elle dépassait les bornes alors qu'elle avait a peine ouvert la bouche (en plus ma remarque été hrp! donc muze dire que miss a fait fuir le nouveau c'est faux il a cas au moins faire correctement semblant d'etre nouveau).

Le coeur meurtrit, se sentant mal aimée, elle retourna a la plage en solitaire là où au moins personne ne la jugeait ou ne la critiquait.
Un prince qui habitait là que depuis quelques jours avait osé me crier dessus alors qu'il n'est pas chez lui enfin pas encore a mon gout et c'est pas en traitant les villageois comme ça qu'il va se faire aimer.. voilà ce que pensait Miss. Seulement faire le poids face à un prince.. enfin vous imaginez bien que jeune fille menuette qu'elle était.. pas beaucoup de chance.. puis Miss n'aimait pas les affronts et préfera sortir que s'énerver bien qu'elle en fut d'autant plus affectée.

Décidément rester dans cette ville était pour elle vraiment difficile.. il n'y a qu'avec lui qu'elle se sentait bien et pas menacée.. Seulement voila il allait pas etre la pour elle sans arret puis il a surment bien mieux a faire donc deux solutions s'offrait à elle:
Partir retrouver Del en pensant a Lui et en ayant toujours le regret de ne pas etre restée ou rester et oublier Del sachant que Del lui ne l'a laisserai jamais tombée alors que Lui elle ne le connaissait que peu.

Elle s'affala dans le sable retenant ses larmes.. elle avait vécu pire sensation de tristesse, cela ne ferai que la renforcer pis c'est tout

Thl9395

Après avoir ramené sa douce à l'auberge, Théo ressortit et se dirigea vers la plage. Il faisait déjà très noir, mais le bruit des vagues était perceptible de loin. Il arriva dans le sable et ôta ses chausses pour fouler le sable frais.
La mer lui apportait force et sérénité ... et pourtant il s'était senti tellement inutile et incapable. Vivi passait un moment difficile et il ne savait que faire pour l'aider. La date de la naissance approchait doucement, et une appréhension grandissait en lui. Le voyage avait fatigué Vivi, mais le plus difficile restait à venir. Aurait-elle la force de rentrer encore à Angou ? Fallait-il quitter cette ville si calme et trouver un endroit plus animé ? Ou au contraire fallait-il s'investir un peu plus ici, en espérant que bientôt d'autres habitants se manifesteraient et animeraient un peu la ville et les tavernes.
Les habitants de La Rochelle semblaient frileux et peu enclins à rencontrer de nouveaux venus.... Pourtant, Théo espérait encore ....

Il s'assit sur un gros rocher plat et regarda vers la mer, tentant d'apercevoir l'une ou l'autre vague. Il inspira profondément à plusieurs reprises. La fraîcheur emplissait ses poumons et il se sentait fortifié à chaque inspiration.

Il resta sur la plage une bonne partie de la nuit ....

pnj

C’était décidé aujourd’hui zézé conduirait sa fille au bord de l’eau
Le soleil brillait enfin ! Cela faisait plusieurs jour que la pluie tombait sans interruption au grand désarrois de l’enfant qui faisait la vie a sa mère et a colle pour enfin aller voir l’océan

Tout 3 se dirigèrent vers la plage dans un joyeux brouaha
Mel ne lâchait pas la main de colle et zézé sourit en la voyant le bader et le saouler de paroles
La jeune mère avançait un peu pensive laissant l’enfant faire son eternel monologue …
De temps en temps elle croisait le regard de colle et tout deux souriaient amusé …

Puis tout a coup la plage apparue derrière une dune..
Le marrai était basse et on pouvait voir un band de sable humide sur toute la longueur jusqu'à perte de l’horizon

Zézélique sourit en se disant qu’il y aurait surement des trésor marin pour faire un bon repas pour ce soir, peut être trouverons des crabe ou des palourde
Elle partit un peu en avant en admirant le paysage qui s’étirait, decidément elle pourrai venir et revenir le spectacle serai toujours aussi beau et surement encore plus quand son bonheur était entier
Ici accompagner par les deux seuls amours de sa vie elle était comblée

Elle avança et tout a coup ses pieds s’enfonçérent dans le sable
Elle allait continuer quand une idée lui vint
Elle s’approcha de sa fille et lui dit en s’accroupissant devant elle

Mel retire tes chausse tu va voir comme c’est doux le sable

Et en disant ses mots zézé retira les siennes et laissa avec plaisir le sable envahir la tempe de ses petit pieds ….

pnj

Mel bablater avec son tonton coll qui semblait allé beaucoup mieux lorsque tout à coup elle vit le sable mouillé.

Sa mere lui conseilla d'enlever ses chaussures ce qu'elle fit.

Mel sentit le sable lui carréssé les pieds elle regarda sa mere en souriant

hihihi c'est bizard mamannnn

Mel n'avait jamais vu la mere c'etait sa premiere fois.

Elle vit l'eau et tout a coup elle se mit a courir vers le bord de l'eau en tirant sur coll.

Arrive au bords Mel glissa ses petits pied dans l'eau et se mit a sauter dans tout les coins.

HIHIII hahahaha

Elle eclata de rire et se mit a eclabousse zézélique et collemund.

Bien entendu Mel ne sachant pas nager rester au bord par crainte et sa mere la surveiller de tres prêt pour ne pas qu'elle se noye.

pnj

Zezelique regarda partir sa fille en courant dans le sable et la suivi a son tour en courant relevant sa robe pour ne pas trébucher
Puis sa fille se mit a courir dans l’eau et les éclaboussa riant au éclat, zézé se mit aussi a l’arroser
L’eau était froide mais le soleil cogner assez pour les réchauffer un peu
Zézé et Mel s’unir dans une bataille d’eau contre colle, le pauvre se retrouva trempé en moins de temps qu’il faut pour le dire
La mère et la fille partir en courant pour éviter les foudres de la victime de la solidarité féminine
Leurs rires envahissaient la plage déserte, profitant de chaque instant de cette instant de bonheur, la mère et la fille riaient de leur rire cristalin

pnj

Colle aime cette descente, cette petite pente douce jusqu'à l'océan il se laisse mener par Mélanie qui hâte le pas, une chance pour quatre pas il n'en as a faire qu'un seul.

Zézélique les suit de près, pensive, la petite fille ne cesse de babiller , cella l'amuse. Voyant que toutes se déchaussent, Colle fait de même. Il fait doux, il avance doucement dans l'eau jusqu'à mi mollet.

D'un coup une sensation de froid soudaine transperce son dos, il se crispe, entend Mélanie rire au éclats puis voit Zézé s'apprétant a l'arroser a son tour, sa main ne sera qu'un bouclier bien illusoire, le voilà trempé.

Déjà les deux coquine déguerpissent, colle les regarde en souriant, ...

Vous ne perdez rien pour attendre...

il entame la chasse, ses blessures le rend moins rapide mais sa taille lui permet d'être moins entravé par l'eau que ses agresseurs, surtout Mélanie, arrivé à sa hauteur il se laisse tomber de tout son long a coté d'elle sa masse levant une vague éclaboussant la petite.

Attrapant une algue la dépose sur sa tête toute surprise, pourchasse alors zézé ...

Celle-ci zebulone de gauche a droite, moins vif il ne l'attrapera pas ainsi, au moment opportun il s'élance pour réalisé un plaquage, la saisie par la taille et l'entraine dans sa chute...

pnj

Alors que les Arendaises étaient en train d'inonder coll celui-ci se retourna et fonca sur Mel qui fut tremper jusqu'au os. Puis il lui mit une algue sur la tete. Mel étoné resta imobile sur le moment et regarda coll plaquer sa mere. Elle s'appréta a riposter lorsque tut a coup elle sentit quelque chose dans sa petite culotte qui lui servait de maillot.

Mel grimaca jusqu'en en louche dit

haaaaa jai quelque chose dans ma culloooootttteeer.

Elle sortit la chose précipitament mais cela fut difficile car il giguoté dans tout les sens. Mais avec une tenacité Mel parvint a le sortir et découvra un poisson. Elle regarde le poisson et coll et eu soudain l 'idee de le lui balance dans la tete pour qu'il lache sa mere.

Elle l'interpella donc en disant

etttt tonton collll
youuuuu

Puis au moment ou coll se retourna elle lui envoya le poisson en plein village. Coll se recut donc le petit poisson en pleine face

pnj

Zézélique se retrouva plaquait au sol elle allait riposter quand elle vit un poisson voler dans les airs et s’écraser sur le visage de colle qui resta tout étonnait et zézé éclata de rire
Elle profita de cette occasion pour le plaquer au sol et le chevaucher pour le maintenir fermement part les bras

Mel … viens on va l’enterrer sous le sable !!

Elle fit un grand sourire mi moqueur mi tendre à colle et regarda si Melanie sans sortait pour l’ensevelissement des jambes de colle
Elle osa lâcher une de ses mains pour recouvrir sons torse tout sourire
Bientôt l’homme serait recouvert jusqu’au cou

Et les deux Arendaise le regardèrent amusé …

pnj

Elle avait traversé des duchés,des comtés,visité des villes chaleureuses,d'autres remplies de tristesse.Mais elle avait un vide à combler,la mer et son baluchon sur le dos elle reprit la route vers La Rochelle.
Elle s'assit,les pieds plantés dans le sable humide,les yeux rivés sur l'horizon,elle était enfin revenue sur cette plage qui l'avait un jour accueillit.
Qu'allait elle devenir maintenant?
Le jour déclinait elle resta ainsi pensive.

pnj

La jeune femme avait enfin décidé de sortir de chez elle. Il y avait des mois qu'elle résidait ici mais même la beauté de la ville et du paysage n'était pas arrivé à la sortir de sa torpeur.
Elle se réveillait enfin, après de longues errances et souffrances.

La jeune femme s'était naturellement dirigée vers la plage, voir l'océan c'était revivifiant.

Leylanaa regardait au loin, le large. Il était temps qu'elle s'occupe de sa maison, au 6 rue des Jarres.

Elle continua sa promenade matinale.

Extraelle

Extraelle était bien ennuyée. Son curieux nouvel ami, De_Mesdeuzes, qu'elle surnommait affectueusement Dems, n'avait rien trouvé de mieux à faire que de lui coller dans les pattes sa petite nièce, qui sortait du couvent qui plus est. Enfin, plutôt, il lui avait demandé d'avoir une conversation avec elle et de faire son éducation. La thouarsaise se demandait depuis ce qu'il avait bien voulu dire par là. Et surtout, pourquoi il avait eu l'idée saugrenue de s'adresser à elle, qui n'avait jamais eu de parents, qui avait été élevée par un esprit libre et peu conventionnel, bref, qui ne savait guère ce que les gens plaçaient exactement derrière ce mot. On lui reprochait souvent de ne pas en avoir, justement, alors...

Elle avait proposé à la jeune fille une balade sur la plage, profitant d'une brise légère qui avait chassé les nuages, et rendu cette journée d'automne presque agréable malgré l'air un peu frisquet, en se disant qu'elle pouvait toujours commencer par faire connaissance. Ça ne mangeait pas de pain. La donzelle était en outre de charmante compagnie, esprit vif, jeune beauté qui se révélait, croquante et craquante à souhait. Pas vraiment le genre de pensionnaire habituelle du couvent d'ailleurs... Rassurée déjà sur ce point - elle ne goûtait guère la compagnie des nonnes, ni de tout ce qui était un peu trop proche du Très Haut et en oubliait ses appétits terrestres - elle n'en était pas moins perplexe sur la tournure à donner à la conversation, et tout en marchant gaiement avec Malvina, panier de victuailles au bras, se demandait silencieusement ce que Dems attendait au juste d'elle. Plus qu'inquiète, elle repensait avec consternation à la mauvaise influence qu'elle avait eue sur sa jeune et brillante protégée, Eligen, devenue une petite pécore insolente qui n'en faisait qu'à sa tête, et qui, à son grand dam, se jetait sur le premier venu, si possible pleurnichard et dépourvu du moindre soupçon d'intelligence.

Elle soupira tout en reportant son attention sur Malvina. Raaa, l'amour, une drôle de chose qui rendait n'importe quelle femme, aussi forte, intelligente et indépendante soit-elle, plus stupide qu'un escargot décérébré. Elle-même, d'ailleurs, en ce moment...

Grâce au ciel - ou à une pure coïncidence, le lecteur choisira - une apparition soudaine vint chasser l'éclair de lucidité qui aurait pu plonger la pauvre Extraelle dans une analyse introspective pour le moins douloureuse, ou dans une séance d'auto dérision qui n'aurait pas manqué de se terminer par une violente noyade dans l'alcool.
Elles venaient de gravir une dune parsemée de quelques graminées, et l'immensité de l'océan se déroulait sous leurs pieds. Envolées ses pensées affligeantes, la thouarsaise n'était plus que mirettes dorées écarquillées, narines frémissantes et enivrées d'embruns, horizon bleu et sans limites.
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Malvina.

Malvina, depuis que son oncle était revenu de voyage, n'avait de cesse que de lui parler d'Extraelle. Il en dit tellement de bien, sans vraiment dire pourquoi, que Malvina avait hâte de la découvrir même si elle se demandait aussi s'il n'avait pas trouvé là un moyen pour la surveiller et de l'empêcher de voguer librement dans les rues de la Rochelle en quête de quelques heureuses rencontres.

Il insista pour qu'elles se rencontrent rapidement . Il lui avait dit qu'il lui fallait parfaire à son éducation. Mais Malvina ne voyait pas ce dont il pouvait parler. Malvina s'était enfuie du couvent, ce n'était certes pas pour se retrouver contrainte et forcée à suivre des cours de bonne tenue. Et puis, pour ce qu'elle en avait vu du comportement de son oncle en taverne, elle se demandait bien si ce n'est pas lui qui en aurait besoin.

Lorsqu'elle rencontra Extraelle pour la première fois, elle fut totalement rassurée. Cette jeune femme était d'un contact très agréable et elle pensait finalement que plutôt qu'une gouvernante, elles deviendraient sans doute amies. Alors lorsqu'elle lui proposa de se promener à la plage, Malvina accepta sans hésiter.

La plage ... Malvina ne l'avait observée qu'à son arrivée dans cette ville. Depuis elle ne s'y était rendue. Le ronflement des vagues, la ramena quelques jours en arrière lorsqu'elle venait de quitter le couvent, arrivant dans cette ville, perdue, ne connaissant personne ... Que de chemin parcouru en si peu de jours ...

Le chemin qui les mena à la plage fut très silencieux. Malvina, encore bien jeune d'esprit, observait tout ce qui l'entourait d'un regard presqu'enfantin : une herbe folle qui s'agitait dans le vent, un oiseau posé sur un pin prenant son envol et cette étendue de sable qui s'offrait à elle. Elle ne put s'empêcher de courir sur la plage, pieds nus, cheveux au vent, laissant le souffle de l'air lui caresser le corps. Cette sensation nouvelle lui donne un avant goût de liberté. Elle s'arrêta net et se retourna vers Extraelle

Extra. Tu viens ?

Extraelle

Hmm. L'océan. On lui en avait parlé, bien sûr, mais elle ne l'avait encore jamais vu. Et n'y avait jusque là pas attaché une grande importance. C'était juste une grande flaque, quoi, et des lacs, elle en avait vu des centaines dans ses pérégrinations... Sauf que là, devant cette immensité mouvante, étendant à perte de vue ses flots lascifs et gémissants, elle ressent comme un choc, ou une révélation. Un peu comme pour sa première cuite... non , c'est plus fort que ça. Son premier homme alors ? Même pas, il avait pas été si terrible que ça, le bougre. Mais c'est bien la même ivresse sans retenue, le même plaisir des sens sollicités en même temps, dans un tourbillon joyeux et euphorisant.

Extra. Tu viens ?

Tirée de cette union fusionnelle avec ce paysage sans limites et aux multiples possibles, par ce petit appel joyeux lancé par la jeune fille qui court en contrebas, pieds nus et cheveux au vent. Extraelle sourit et commence à descendre la déclinaison sableuse prudemment, manque de chuter, sent le sable rentrer dans ses bottes lacées, finit par s'asseoir et les retire, ainsi que ses bas. Puis se met à courir derrière Malvina.

Quelques instants plus tard, elles ont posé les paniers et leurs chausses sur la plage, à l'abri d'un rocher, et marchent au bord de l'eau glacée comme deux enfants, s'aspergeant en riant. La Thouarsaise, prise d'une impulsion subite, se penche sur l'eau miroitante, cueille quelques gouttes au creux de sa main, et les verse dans sa bouche, pour mieux goûter l'instant.
La sensation est acre et terriblement forte, l'eau lui brûle la gorge et les entrailles, et elle rit de sa propre bêtise en toussant et s'étouffant à moitié, ravie de sentir en elle l'empreinte de cet amant liquide.

Elles finissent par retourner à leurs affaires, et s'enroulent dans une couverture en se jetant des regards complices. Extraelle ne pense plus du tout à la mission confiée par Dems, elle se sent juste proche de cette inconnue qui vient de partager avec elle un moment magique, et soupire de bien être malgré la froidure de la brise qui vient lécher leurs vêtements mouillés. Elle jette un regard curieux à sa voisine.

Dis moi, Malvina... Que comptes-tu faire maintenant que tu n'es plus au couvent ? Te voilà libre de décider de ta vie, et de faire tes propres choix... Quels sont tes rêves ?
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Mac_hyavel

[Ponton]

Assis, collant son dos sur une des poutres dépassant le ponton, Mac Hyavel regardait la mer. Il n'aimait pas l'océan, il en avait peur. Et puis il n'aimait pas particulierement cette ville, où les habitants vous disent quoi faire "ne chuchottez pas", alors qu'eux même ne sont que rarement disponibles. Des rochellais, seul Kiriell, de par sa politesse et son enthousiasme, lui avait inspiré du respect. En trois jours ou presque, il n'avait croisé que quatres habitants de cette ville : Malvina, niece de De Mesdeuzes; il ne savait pas trop comment la situer, elle semblait gentille, mais elle n'était guere bavarde en sa présence, peut être ses cicatrices la troublaient elle? Un douaniers qui en plus de repprocher au couple des chuchottements n'avait pas de menottes, au grand damne de Kissiou l'amie d'Extraelle. Un jeune candide dont il avait déja oublié le nom, rentrant dans la taverne et se permettant de draguer sa compagne comme si de rien n'était.

Puis une dame. Comment s'apellait elle? Lovan? Bah, un nom sans importance apres tout, il savait que d'ici quelques jours il l'aurait totalement oublié.

Etait ce une personne? Une briseuse de couple? Une donneuse de rumeur fausse? Un disque rayé ne connaissant que deux phrases, à savoir "il vous faut assumer." et "moi pour ce que j'en dis..."?

Qu'elle importance? Aparemment Extraelle n'avait pas cru (heureusement) les affabulations de la dame, et même semblait s'être rapprochée (si c'était possible) encore plus de lui. Peut être fallait il même qu'il la remercie.

L'air marin vint lui titiller le nez, la douce odeur de la brume envahit ses narines, et il ne put le supporter, aussi il décida de rentrer.

Malvina.

Malvina s'arrêta au beau milieu de la plage. L'immensité et l'uniformité de l'espace qui s'ouvrait à elle avait un goût de liberté. Elle respira à grandes bouffées l'air marin et s'en imprégna.

Elle se retourna vers Extraelle. Elle se rapprochait à grands pas, s'était déchaussée et se mettait à courir vers elle. Elles allèrent ainsi toutes deux au bord de l'eau. Moment de complicité ... elles n'hésitèrent pas à se mouiller malgré la froidure ambiante. Leur jeu était vivifiant et les rapprochèrent l'une de l'autre.

Lorsqu'elles retournèrent auprès de leurs affaires, Malvina ne pensait plus à rien. Seul l'instant présent comptait et cette sensation de liberté, de pouvoir aller là où elle le désirait sans avoir de comptes à rendre à personne. Alors lorsque qu'Extraelle lui demanda

Dis moi, Malvina... Que comptes-tu faire maintenant que tu n'es plus au couvent ? Te voilà libre de décider de ta vie, et de faire tes propres choix... Quels sont tes rêves ?

Malvina regardait alors le ciel, les nuages qui filaient avec le vent, qui changeaient de forme à chaque instant ou presque et qui quelques fois déssinaient une forme particulière à laquelle on donnait un sens. Les paroles d'Extraelle la sortirent de ses rêves, elle se tourna vers elle et lui sourit

Tu vois ces nuages ? Mes rêves leur ressemblent, ils sont changeants et pour autant vont toujours dans la même direction. Je rêve d'être libre comme l'air, comme le vent ... Mais riche aussi, riche d'une richesse intérieure, celle du coeur ... Etre entourée d'amis, voire d'un mari, mais ne dépendre ni d'eux ni de personne d'autres. N'avoir de comptes à rendre à personne et que personne ne m'en doive. Voilà mes aspirations profondes, sans doute ce rêve est-il inaccessible. Mais c'est un rêve ...

Elle s'allongea sur le dos, regarda le ciel et laissa voguer ses pensées accrochées aux nuages ...

Extraelle

Extraelle écouta bouche bée les propos de cette gamine de quinze ans qui aurait pu en remontrer à la plupart des adultes qu'elle connaissait, puis éclata de rire. Elle allait pouvoir rassurer Dems, sa nièce n'avait vraiment pas besoin d'un guide spirituel, elle avait déjà tout compris.
Elle s'allongea aux côtés de la jeune fille dans la même position, et partit elle-aussi dans ses rêveries tout en contemplant le ciel.

Ces dernières semaines l'avaient profondément changée, il lui semblait avoir vieilli d'un seul coup de plusieurs années. Elle se remémora sa vie à Thouars, son attitude exubérante, ses multiples débordements qui ne manquaient pas d'attirer du monde en taverne ou sur la Halle pour la voir faire le pitre. Puis sa lassitude avant son départ, cette sensation d'être enfermée dans un rôle et de sentir reposer sur ses épaules le poids d'une ville toute entière. Était-ce pour cela qu'elle avait envie de partir à Niort ? Vivre à nouveau comme elle l'entendait et se fondre dans le décor ?
Que fallait-il faire ? Retourner là-bas, prendre les rênes, s'atteler et s'épuiser à la tâche pour faire sortir cette ville de l'ornière ? Mac avait promis de l'aider, mais n'allait-il pas vite se lasser, n'allaient-ils pas se retrouver un peu seuls, enfermés dans une relation fusionnelle et destructrice ?

Beaucoup de questions auxquelles elle n'avait pas encore de réponse. Elle se redressa en soupirant, elle-aussi aurait voulu être libre comme l'air et ne devoir rendre de compte à personne, mais la vie en décidait parfois autrement. Elle sortit quelques victuailles du panier, ce qui attira l'attention de la rochelloise, et les deux jeunes femmes se mirent à deviser gaiement tout en partageant un repas sommaire. Les nuages venant s'amonceler devant le soleil, l'air iodé se fit plus frais, et elles ne tardèrent pas à rentrer. Sur le chemin du retour, la thouarsaise regardait en coin Malvina, se disant que bientôt elle aurait le même choix qu'elle à faire: rester insuffler de la vie dans cette ville avec les quelques personnes qui l'avaient accueillie à bras ouverts, et à qui elle ne manquerait pas de s'attacher, ou partir vers d'autres horizons, suivre son destin personnel. Puis, comme à son habitude, dès qu'elle avait un peu trop fait travaillé ses neurones, elle fit appel au remède miracle:

Allez Malvina, allons donc dépenser mes écus dans cette bonne vieille taverne municipale, tout ceci m'a donné soif ! Après toute cette eau, il me faut une belle rangée de chopines pour me rincer l'oeil.

Rire franc et insouciant, questions remises à plus tard, et volupté du moment présent.
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Malvina.

Elles restèrent toutes deux ainsi allongées sur le dos, plongées dans leurs pensées.

Malvina pensait à ceux qui l'avaient si bien accueillie, à ceux là uniquement. Oui, quelques rencontres qui à n'en pas douter, allaient marquer sa vie future. Sans doute, resterait-elle encore quelques temps ici, le temps de leur rendre quelques services de pouvoir leur prouver sa reconnaissance à leur égard, mais elle rêvait de voyages, de prendre la route. Kiriell la comprendrait-il le moment venu ? Accepterait-il de la voir quitter sa demeure, de ne l'avoir égayée que quelques semaines tout au plus ? Elle ne pourrait pas rester dans cette ville, d'ailleurs pourra-t-elle se fixer ? Elle l'ignorait.

Extraelle à ses côtés était tout autant silencieuse et songeuse. Malvina s'interrogea. A quoi pouvait-elle penser ? Ce serait magique que de pouvoir lire les pensées des personnes qui nous entourent! Et puis Extra se redressa et sortit du panier de quoi manger. Malvina se redressa à son tour, s'appuya sur l'un de ses coudes en se tournant vers Extraelle, un peu sur le côté.

Malvina retrouva la parole, parla de son oncle, de leur rencontre et puis du domaine de la Rose Noire. Elle sourit, rosit un peu en repensant à cette soirée partagée avec Kiriell et Sire Sinople. Elle les aimait bien eux aussi ...

Elles repartirent ensembles vers le village, silencieuses. Malvina réalisait que la liberté, sa liberté aurait un coût. Et elle ne voulait n'avoir de comptes à rendre à personne mais elle en aurait toujours à rendre à sa conscience. Elle soupira en découvrant que tout était possible mais qu'aucun choix n'était facile.

Allez Malvina, allons donc dépenser mes écus dans cette bonne vieille taverne municipale, tout ceci m'a donné soif ! Après toute cette eau, il me faut une belle rangée de chopines pour me rincer l'oeil.

Malvina sourit en pensant au plaisir qu'elle aurait de revoir son cher oncle, qui n'oublierait sans doute pas de lui demander si la ballade avec Extraelle avait tenu toutes ses promesses.

Caro_line

[Dans la charrette, aux portes de La Rochelle…]

C’était une belle journée de soleil et de vent, une de ces traditionnelle journée d’automne. Le ciel était d’un bleu poudre magnifique. La jeune rouquine s’éveilla avec des fourmis dans les jambes, dans la charrette de sa lance. Émilie n’était plus avec elle, elle était probablement partie jouer dans les champs… Après s’être levée, avoir refait son chignon et enfilé cols et bustier, Caroline observa autour d’elle. Le paysage lui disait quelque chose, ce n’était certainement pas la première fois qu’elle le voyait. Après avoir fait un 360° sur elle même, elle constata qu’en fait, elle était toujours à La Rochelle. Elle n’avait plus vraiment le souvenir de la veillée précédente, à part Demes qui l’avait mené jusqu’à la charrette. Après, elle avait dû s’endormir et son groupe avait probablement raté le départ…

Caroline voulut donc profiter de la journée, dans son village, et aller sur cette petite montagne qu’elle connaissait plutôt bien. Celle-ci n’était pas très loin de chez elle, et la jeune femme adorait s’y réfugier. Elle avait besoin de bouger, de voir un peu du pays…

De là, elle vit défiler les vagues sur la plage, les unes après les autres. Caroline adorait ce panorama. Le souffle court, le cœur battant, elle dévora ce paysage. Lorsqu’elle fut un peu rassasiée, elle ferma les yeux pour mieux profiter de l’ivresse du moment. Elle inspira profondément, goûtant avec joie l’air vif de cette journée d’automne. Après avoir profité pleinement de ce moment avec la nature, elle redescendit d’une traite ce petit bout de terre, la gorge sèche et les oreilles bourdonnantes.

Puis, elle longea un sentier jusqu’à la plage. Depuis, le temps s’était couvert. Des nuages poudreux flottaient au dessus de la mer. Soudain, le soleil disparut, laissant le vent frisquet s’étendre sur la rive. Caroline frissonna, enfouissant le bas de son visage dans son cols. Elle marcha d’un pas sûr, comme à son habitude, sur cette grande plage…

Cette promenade l’avait mise de bonne humeur. Le sourire gravé sur son visage, ses cheveux roux au vent, Caroline avança d’un pas énergique vers le village...
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Sarynaya

Enfin sorti de sa retraite, comment faire autrement que d'aller savourer l'air marin. Mais d'abord sary devait aller faire un tour chez elle pour faire un peu de ménage...oh et puis ça attendras, le sable l'apel. Elle marche lentement, se remémorant toutes les fois ou elle avait parcourut ce chemin, le jour et même la nuit. Elle déboucha enfin sur la plage et s'assoya tut près des vagues. Elle pensa à sa soeur, elle ne l'avais pas vu depuis des mois.
Est-elle toujours à la Rochelle au moin?

Elle soupira puis pris une garnde inspiration pour savourer l'odeur salé de la mer. Ce village lui a manqué, cette plage qui lui a apporté tant de bonheur mais de peine aussi. Elle restas ainsi un très long moment puis se leva lentement et retourna chez elle. Elle essaira de trouver quelque personnes qu'elle connais demain, ce soir elle doit se concentrer sur la maison.

Esperenza

La rumeur courrait que la Rochelle était morte, que les habitants ne sortait que très peu et quand ils osaient le faire il glisser dans l'ombre des murs si bien qu'on ne les voyait pas.

La Rochelle était morte, c'était certain depuis ce matin qu'elle était arrivé elle n'avait pas vu âme qui vive. Cela lui trottait dans la tête depuis son histoire avec Playersan, quitter la Rochelle, voyager et quitter le Poitou.
Pourtant elle n'avait jamais réussi aujourd'hui quand tout son passé s'envoler en morceau l'envie la prenait de plus belle, elle avait commençait à ranger sa boulangerie, vendant tout, pour recommencer une nouvelle vie.

Avant de repartir elle décida d'aller voir cette étendu d'eau qu'elle gardait dans ses lointains souvenir, comme des pensées joyeuses, des baignades pleine de rire...
Un peu comme un adieu... elle se promena de longue minutes sur le bord de la plage. Elle finit par enlever ses chausses trempant le bout de ses pieds dans l'eau glacé, brr, un frisson lui parcourut le corps de la tête au pied.

Les derniers jours qu'elle passait dans cette ville qu'elle avait tant aimé, des derniers jours vide et froid.
Tout en repensant à son arrivée aux gens qu'elle avait rencontré, ceux qui était partit, même parfois mort... ceux qu'elle avait aimé, ceux qu'elle avait déteste...
Ce travail qu'elle avait tant aimer, être tribun jusqu'à qu'elle en soit dégouter par une femme aussi mauvaise que les vielles herbes noire qui peuplait maintenant son jardin. Elle avait détesté le maire, et maintenant elle reconnaissait ce bon travail.
Parfois elle avait même hais les vagabonds.

Rappel de premiers baiser... c'est ici qu'elle avait vécu avec les hommes qu'elle avait le plus aimée.... Elle avait écrit à Saga ce jour la, elle attendait une réponse doutant quand même du contenu.

Survivre plus que vivre ici, l'air se faisait absent, quelques larme coulèrent sur sa joue spectatrice de ce qui passait dans sa tête. Elle s'assit les bras entourant ses genoux la tête posé sur l'un de tout en regardant le ciel et le vagues partir et revenir, attendant je ne sais quoi... le cœur en poussière à cause d'elle même.

Silverstaff

Une main douce mais ferme se posa sur l'épaule tremblotante d'Esperenza

Sans un mot, celui qui depuis des heures, sans un mouvement, observait l'étendue sableuse qui s'étendait entre la mer et le riches terres de La Rochelle ...

Jamais ne mourra cette ville qui m'a vu naître,
Jamais ne pourrais lui permettre de disparaître,
Dame Esperenza ... je vous ai très peu connu certes,
Si vous nous quittez réellement ce serait une grosse perte ...

Pourquoi, en votre âme, tant de tristesse ?
Pourquoi de votre cœur je descelle cette détresse ?
Êtes-vous si lasse de vous investir pour notre ville ?
Vous sentez-vous vraiment en son sein inutile ?

Silverstaff s'assit aux côtés d'Esperenza, une expression impassible sur le visage, les yeux cependant emplis d'une infinie et indéfinissable tristesse ...

Esperenza

Les yeux perdu dans les vagues, les pensées toujours à son passé trop douloureux qu'elle laisserait enfin en quittant cette ville, cette fichu ville.
Une main sur son épaule... elle passa sa main sous ses yeux avant de se retourner voyant un visage lui rappelant bien quelques choses. Elle écouta à la fois les paroles, à la fois le bruit des galets, réfléchissant en même tant qui était il... il était dur de réfléchir tellement étourdie qu'elle était par ce calme trop silencieux.

Elle n'eut pas le cœur de répondre, reposant sa tête sur ses genoux mais cette fois ci le visage tournée vers l'homme.
Nostalgie, nostalgie... quand tu nous tiens...
Si elle était lasse… oh oui, fatigué peut être même plus que ca épuisé... il semblait même qu'elle tombait petit à petit malade.

Heureusement qu'elle tenait trop à la vie sinon elle se serait bien laissé couler dans cette eau froide qui venait parfois lui chatouiller les pieds.
Mais elle espérait un avenir meilleur, elle se demanda soudainement pourquoi était elle ainsi... juste une mauvaise passe, elle qui avait habituellement joie de vivre, elle releva la tête et sourit regardant le ciel encore une fois puis le visage de Silverstaff

Silverstaff

Couvre Esperenza de sa cape

Allons demoiselle Esperenza,
Vous allez attraper la mort ainsi,
La vie vaut bien plus que cela,
N'avez vous que malheur ici ?

Son sourire s'efface, faisant place à une tristesse sans âges ...

Pardonnez moi si je vous ai dérangé,
Je ne pensais pas le moins du monde à mal,
Je vous voyais triste et le teint pal,
J'ai pensé vous tenir compagnie et changer vos idées ...

Sourit faiblement à Esperenza ...
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Gunelle

Gunelle à peine arrivée s'était précipité sur la plage. Elle avait couru comme une enfant qu'elle n'était plus depuis longtemps.

Voilà elle y était.
L'océan a perte de vue, immensité rejoignant l'horizon pour ne faire plus qu'un.
Elle s'assoit là sur le sable glacé et humide, le vent froid de décembre emmêle ses cheveux dénoués, ses prunelles émeraudes se perdent un long moment dans le roulis des vagues.
Paysage tourmenté balayé par les vents, en prise aux éléments, aux forces de la nature.

Comme elle depuis lui...
Elle s'efforçait de ne rien montrer en présence de ses amis, mais depuis lui rien ne serait jamais plus pareil.
Ses pensées en étaient emplies, son coeur ballotté par le vague a l'âme comme l'esquif trop fragile qui prend la mer et qui finit par se briser sur les rochers.
Comme elle aurait aimé ne jamais le rencontrer, comme elle regrettait sa peau contre la sienne.
Tant de paradoxes et de questions laissées en suspend, ils n'étaient pas faits l'un pour l'autre mais, avaient tant de mal à vivre l'un sans l'autre.

Elle s'était resolue a le laisser en proie à ses démons puisqu'elle ne pouvait rien en croyant qu'il lui serait facile de l'oublier.

Peut être le temps ferait son affaire peut être que le sable et le vent glacé allait apaiser le feu de son âme.
Peut être...

Sarynaya

Sarynaya eu un grand sourire satisfait en regardant sa maison maintenant débarassé de toute trace de poussière. Elle se secoua les mains et décida d'aller faire un tour sur la plage, elle en avais envie ce matin mais avais changer d'idée en voyant la neige. Elle s'habilla chaudement et sorti. L'air froid lui rosit immédiatement les joues et elle frissona.

Elle marcha en admirant le magnifique spectacle qui s'offrait à son regarde vert et or. Les arbres, leurs branches alourdit par la neige formaient une voûte au dessus de sa tête et tout était d'un blanc éclatant.

Elle déboucha enfin sur la plage, le sable était recouvert de neige et l'eau bien qu'elle ne soit pas gelé, scintillait doucement. L'étendue salée se perdait dans l'immensité du ciel gris pâle. Elle resta là, malgré le froid, éblouit par ce qu'elle voyait. Comme elle aimait l'hiver, ces étendus blanche, son vent qui inclinait légèrement la cime des arbres, sa féerie.

L'hiver annoncait toujours quelque chose de bien pour elle, la joie, les souvenirs d'enfance. Les soirées au coin du feu, le rire des enfants courant dans la neige. Elle se revoyait lancer des boules de neige à ses amis, faire des bonhommes de neige, ah la joie innocente de l'enfance.

Elle ne voulais plus partir malgré ses doigts légèrement engourdis et ses oreilles rougit par le froid. Elle sourit, le regard plongé dans les petite vagues qui venait se briser à ses pieds.

pnj

Ebelle venait de tuer son premier mouton. Ell était un peu triste ces petites bêtes étaient attachantes. Elle se lava et décica d'aller faire un tour à la plage pour se débarrasser de l'odeur de l'abattage qui lui avait donné mal au coeur.
D'un pas vif elle arriva à la plage. Les couleurs pastels la ravirent. la neige blanche, le jaune du sable et le gris clair de la mer. Non loin elle vit une jeune femme du village qui contemplait l'horizon.
D'humeur espiègle elle s'approcha à pas de loup, ramassa une boule de neige et la lança dans le dos de la jeune femme en riant.

Axe37

Axe37, furieux, traversa la dernière dune avant la plage...
Brandissant son épée, il courut briser les vagues.

"Par Aristote!
Point de culs bénis dans cette ville!
L'église se meurt! A-t'elle seulement vécu naguère?"

Après moult vagues brisées, l'eau arrivant à son nombril,
Axe37, protégé par son bouclier, frappa de nouveau l'océan...

"Qu'Aristote me soit témoin!
Le Seigneur m'a envoyé au bout du monde?
Nul âme à châtier durant mon voyage!
Sommes-nous ici en terre du renouveau?"

A force de se battre contre la mer indomptable,
Axe37 commençait à peiner, et se replia sur la plage.
Plantant son épée en signe de croix, les mains sur le manche,
Il commença une prière...

"Vous m'avez fait venir ici Seigneur,
Vous connaissez mon intégrité et mes faiblesses.
Avez-vous abandonné cette ville?
Certes non, sinon je ne serai point ici.
L'océan me calme, mais jusqu'à quand?
Aidez cette ville! Chérissez cette ville Seigneur!
Ma main gauche pour protéger...
Ma main droite pour punir..."

Axe37 resta prostré...
En pleine méditation...

Sarynaya

Sary était toujours dans la contemplation de la mer lorsqu'elle reçu une boule de neige dans le dos. Elle entendit un rire féminin et se retourna.

-Ebelle! tu vas voir !

Elle se pencha, ramassa de la neige et lui lança en riant. Une bataille de boule de neige s'en suivi, les deux jeunes femmes riant aux éclats. Cela faisait longtemps que Sary ne s'était pas amusé comme ça, comme une gamine, sans pensé à tout le reste.

-pff j'en peux plus moi, on arrête ^^

{Catwoman}

LJD Sarynaya, je vous ai envoyé un MP (le 13/12) car votre signature est trop grande.

Elle doit faire, texte inclus, 600 px de long sur 200px de haut pour 200 Ko max.

veuillez-vous mettre en conformité.

Merci.
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Chef Censeur du Poitou

Réclamations par MP et uniquement par MP

pnj

Ebelle , riant aux éclats s'allongea sur la neige. Je n'en peux plus hihihi Ah que ça fait du bien de rire! Elle se rassoit, Ouh c'est froid
Regardez, il y a un homme dans l 'eau qui frappe les vagues de son épée...[/i
Eberluée elle designa du doigt cet homme étrange.

Un mélange de fascination , de peur et de pitié l'envahit. Elle regarda Sarynaya.

Sarynaya

Sary suivi le regard d'Ebelle
-oh il pri maintenant...ne le dérangeons pas il semble avoir besoin d'être seul... Bon je t'invite chez moi boire un bon hydromel chaud chaud ça te dit?

Votre signature n'est pas aux normes.
Je vous ai envoyé un MP.
Merci de vous mettre en ordre le plus rapidement.

{Catwoman}

pnj

Ebelle jeta un dernier regard à l'homme. Il avait les jambes dans l'eau, il semblait insensible à tout mais à son monde intérieur. Ebelle se sentait intriguée et apitoyée.
Elle sourit à Sarynaria. C'est point de refus , un bon hydromel bien chaud nous rechauffr'a le corps et le coeur. Allez faisons la course.
Ebelle partit en courant en riant, les cheveux au vent, vers le village.

Kiliana

Kiliana déposa les besaces dans la chambre de l'auberge et sauta au cou de son fiancé, fatigué par leur périple poitevin.

- Allez Theud, viens! L'océan nous attend!"

Kil piaffait d'impatience...

Les deux tourtereaux se laissèrent guider par les brouhahas de la criée rochelloise et par les cris stridents des sternes et des goélands. Kil aperçut la grève où des pêcheurs rafistolaient des filets. Elle lâcha la main de Theudrik et courut vers la plage.

Elle Le vit! Dans son immensité bleu-de-gris, dans son étendue profonde et violente, dans son infinité ondulante et houleuse, dans sa force atlantique et herculéenne. Monstre puissant et indomptable, qui recrachait de sa gueule écumeuse goémons et varech, mangeait les séides de Poséidon téméraires.

Ebahie, ébaubie, Kiliana s'ébaudit. Le spectacle était grandiose, elle applaudit!

Elle embrassa du regard l'horizon. La marée montait. Les rayons du pâle soleil d'hiver faisaient danser sur la surface saline des zébrures gris argent. Des rochers écorchés se dressaient vers le ciel comme s'ils imploraient les dieux de les sauver de la noyade.

Kiliana offrit son visage lilial au vent et aux embruns, emplit ses poumons d'air iodé. Theudrik rejoignit la jouvencelle admirative, passa ses bras autour de sa taille, et contempla avec elle l'étendue outrecuidante.

Leur silence en disait long sur leur bonheur...

Sandrae

Un cheval galopait sur la grève, depuis Saintes déjà, pieds dans l'eau. Sa cavalière passablement endormie finit par choir. L'eau glacée réveilla immédiatement la damoiselle, qui séant dans l'onde jurait, une fois de plus, tous les dieux qu'elle connaissait. Hadol, docile, finit par arrêter sa course et revenir sur ses pas, hennissant, allégé de son fardeau.
Dra se releva, s'ébroua, retira quelques vêtements trempés, et claquant des dents entreprit de gagner la ville, que l'on percevait à peine plus loin. Respirant à plein poumons l'air du large, un sourire vint naitre sur ses lèvres, elle était enfin arrivée. La Rochelle. Dernière étape.
Tandis qu'elle longeait la côte, elle aperçut deux silhouette enlacées. Une chemise rouge. Se tordant le cou, elle tentait de se décider. Une chemise comme celle-là, il ne devait y en avoir qu'une dans tout le Poitou. Elle s'avança donc vers le couple, et bien vite son intuition fut justifiée.

Kil !! Theud !! Arf, vous ici !! Vous y êtes donc enfin, à votre grande virée dans tout le pays !!

Elle leur sauta au cou, les bisa bien vivement, trop heureuse de retrouver ses amis pictaves.
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Tant va la cruche à l'eau,
Qu'à la fin elle se brise.

Kiliana

Kiliana et Theudrik contemplaient amoureusement l'océan quand ils entendirent crier leur nom parmi les ressacs. Kiliana sursauta, parce que nul ne les connaissait à La Rochelle...

-Theud, à Poitiers les arbres parlent, ici, ce sont les mouettes!!

Intriguée, Kil se tourna. Une silhouette encore imprécise courait vers eux, bras en l'air. On aurait dit quelqu'un qui essayait d'apprendre à voler!
Quelques sauts de chausses plus tard, la silhouette se précisa. Kil reconnut l'allure chaloupée. C'était elle, celle avec qui elle avait été attachée par la cheville des heures durant, lors du Concours de la Gueule de Bois... euh de la Jambe de Bois, à Poitiers! Celle avec qui elle avait vidé chopine sur chopine! Celle avec qui elle avait nagé lors du concours de la Poule Mouillée! Celle avec qui elle avait partagé des moments inoubliables de complicité et de franches rigolades!

- Draaaaaaa!!!!

Kiliana et Theudrik accueillirent dans leurs bras leur amie pictave et l'embrassèrent chaleureusement. Kil versa une p'tite larme, comme s'il n'y avait pas assez d'eau aux alentours...

- Oh Sandrae, comme je suis heureuse de te voir ici!! Mais que fais-tu par là??

Kil prit les mains de Sandrae et se recula.

- Les voyages te vont à ravir, tu es resplendissante! Allez ma belle, raconte-nous tout avant que nous ne partions pour Saintes!

Sandrae

Elle ne s'attendait pas à retrouver si tôt visages connus, et l'émotion, plus forte que les nerfs, l'envahit soudain. Lame de fond submergeant son sang-froid, elle aussi versa des larmes, trop heureuse de ces retrouvailles inattendues.
Elle attrapa sur la selle d'Hadol la chaude couverture de Birdy, et sortit une bouteille d'un petit vin de pays rapporté de Bergerac. Ça réchaufferait toujours, les tavernes, nous n'y étions pas encore.

Tenez, asseyons-nous donc un instant, à l'abri du vent, je vais vous faire goûter une boisson légère, mais bien gouleyante, comme nous les aimons. Ils ont là-bas des vignes à en faire pâlir les plus avertis, et en tirent des extraits fort appréciables.

Sans chopine sous la main, elle offrit sa bouteille aux fiancés. Leur réputation ne saurait être usurpée, il semblait qu'ils trouvaient plaisant ce vin-là. Dra ne se lassait de les regarder, comme voulant graver leur image souriante et avenante dans sa cervelle de piaf. Le plus beau couple de Poitiers, qui avait enfin abandonner ses responsabilités pour vivre son amour au grand air.
Tête brûlée, Dra souriait aux anges.

Et bien, tout dire... Enfin, bon, je passe sur le massacre de La Trémouille et de Limoges... continué ma route, plus au sud... arrivée en Périgord... Rififi, le Phénix, nous avons volé à dos de Dragons !! Imagines-tu cela possible, ma belle ? Voir le monde comme Aristote le contemple, et revenir parmi les hommes. Inoubliable autant qu'indicible, mais j'ai goûté à une liberté que je n'imaginais pas.
Frontière fermée dans le Rouergue, je n'ai jamais eu de laisser passer pour l'Auvergne, puis je me suis perdue en voulant contourner par le Nord, enfin, suis arrivée à Angoulême, mais sous loi martiale, n'ai pas eu droit de séjourner. Je suis donc revenue voir la mer... La mer...

Les Moires avaient donc décidé seules du destin de la donzelle, retour au pays. De toutes façons, le voyage n'avait pas tenu ses promesses, la vie de nomade ne seyant guère à l'herboriste. Sans doute, elle aurait encore l'occasion de partir découvrir le vaste monde, mais plus jamais n'envisagerait de quitter le Poitou sans espoir de retour. Enfin, elle n'avait pas l'intention de retourner vivre à Poitiers, il y avait tant à faire, entre La Rochelle et Niort.
Niort. Une autre raison de son retour.

Mais, et vous donc ? Heureux sur les routes ? La chaleur Pictave ne vous manque pas trop ? D'ailleurs, comment ça va, au pays ? Nos amis ? Les festivités de la nativité ? La forêt, toujours aussi fréquentée ? Un candidat à la mairie ? L'Hôtel-Dieu, elle s'en sort, Merv' ? Pau me racontait tous les couples, la vile s'agrandit ! Et Syl, toujours la poitrine étreinte ? Une nouvelle armée en ville ? King et Bu vont se marier, et Thom et Irris aussi, parait-il ! Enfin, à vous, dites-moi tout, ce que je ne sais et ce que je devine...
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Tant va la cruche à l'eau,
Qu'à la fin elle se brise.

Kiliana

Kiliana et Theudrik écoutaient attentivement l'épopée du Dragon pétulant, tout en partageant avec plaisir le vin de Bergerac que la voyageuse leur avait offert.

- Hé bien ma Dra, ton périple n'est pas de tout repos!! Je constate avec plaisir que, malgré les distances, tu n'as pas rompu les liens avec Poitiers! En effet, là-bas la vie suit son cours, des couples se forment, vont se marier!

Kiliana regarda Theud...

- Euh, pas nous... Nous voulons d'abord voyager!! Ah lala, si tu savais comme je prends goût à la découverte de nouveaux villages, à la rencontre de nouvelles personnes!

La bouteille se vidait doucement mais sûrement au fur et à mesure des commérages des trois Pictaves... Kiliana sortit de la besace de Theudrik une bouteille de Boisson rouge.

- Dra, un p'tit souvenir de Poitiers?? Tu te rappelles, c'est la boisson inventée par Merv!!! Elle en a crée une autre d'ailleurs, elle s'appelle la Boisson raide! Un vrai tord-boyaux!Ton hôtel-dieu est devenu un gigantesque alambic! On soigne désormais les maux de l'intérieur, arf!

Kil continua ses babillages: Syl qui était malade, King et Buffy qui allaient se marier et qui avaient ouvert leur échoppe, la comtesse Icie qui était cloîtrée dans le château de Salbart après l'attaque contre Levan, Zizou qui était toujours aussi adorable, Paupau qui assumait fort bien son rôle de tribun, la comtesse Lady qui n'allait pas renouveler son mandat municipal...

Les deux "chopines" étaient de vrais moulins à paroles, et qui riait, et qui buvait, et qui tapait dans le dos de l'autre... Kiliana savourait ces retrouvailles!

Elle regarda soudain Dra dans les yeux.

- Dis ma chopine... Où est Teclo?

Elmichele

Ils avaient établi leur campement à l'abri du vent,des regards aussi,au creux d'une dune.....et là sous la toile ils entendaient.....leurs oreilles ne reconnaissaient pas ces bruits stridents d'oiseaux etranges,ce grondement
ce roulement....des l'aube ils se precipitérent,maladroits dans ce sol mouvant et granuleux ils glissaient et riaient.
et là essoufflés au sommet de la dune ils virent....et restérent cois,main dans la main,eblouis....
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Sandrae

Dra soutint un instant le regard de son amie, puis contempla longuement l'océan. La houle semblait forcir, le vent se faisait plus froid, déjà la couverture ne suffisait plus. Tandis que quelques mouettes riaient au nez d'Eole, que des cormorans piaillaient, Hadol broutait quiètement les herbes rases des dunes, inconscient des mots que Kil venait de prononcer. Dra refaisait le parcours cérébral de leur histoire, et ses doigts dessinait sur le sable d'étranges courbes, peut-être des runes, peut-être de l'eflique, peut-être rien.

Où est Teclo... Teclo... Et bien, il est par là-bas... Enfin, aux dernières nouvelles, je crois qu'il a quitté la ville, Montluçon ne lui valait rien... Il est reparti vers le sud, retrouver un ancien ami, je crois, continuer sa route... Enfin...

Voilà, tout était dit, Dra ne rajouterait pas un mot sur cette question. Leur séparation avait été douloureuse, mais sa décision était sans appel : elle resterait en Poitou. Ironie du sort, leur premier baiser avait été échangé à La Rochelle. Et c'est là qu'elle attendrait quelques jours encore. Un autre qui tardait à arriver.
Les bords de mer avaient un effet lénifiant sur l'herboriste, qui depuis Bergerac allait un peu plus calmement. Elle se saisit de la bouteille de Kil. Boisson Rouge, déjà deux semaines qu'elle n'en avait plus. Elle avait pourtant prié Thom de lui en envoyer, mais jamais la cigogne ne lui était revenue. Sans doute l'animalier pictave avait-il bu la commission. Breuvage un peu fort, mais moins amer que l'absinthe, et puis, tout était bon pour lutter contre le froid.
En bu une généreuse rasade, et murmura

Et bien, je crois que je vais aller en ville, avant de geler sur pied. Venez-vous aussi ? Ou nous pouvons nous retrouvez plus tard, en taverne, si vous le souhaitez...
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Tant va la cruche à l'eau,
Qu'à la fin elle se brise.

Kiliana

Kil mesura en rougissant son indiscrétion... Elle prit la main de Sandrae en silence, lui fit une grosse bise. Elle regarda pensivement l'horizon, coupé par la ligne écumeuse des vagues. Les oiseaux de mer tournoyaient en une danse mélancolique... Leurs cris stridents ressemblaient à des plaintes...

- Tu as raison Dra, allons nous réchauffer en taverne, refaisons le monde, allons de l'avant, droit devant! Nous partons ce soir Theud et moi, pour Saintes, profitons pleinement de notre rencontre la belle!!

Sandrae et Theudrik ne se firent pas prier, et tous les trois, bras dessus, bras dessous, se dirigèrent vers les tavernes rochelloises. Comme l'air iodé donnait soif!^^

Kil se retourna une dernière fois vers l'immensité bleu-de-gris, et se promit de revenir le plus tôt possible...

Theudrik

Theudrik avait senti la gêne de Dra, en avait un peu de chagrin pour elle et Teclo qui formaient aussi un autre très beau couple de Poitiers. Mais il se dit qu'il fallait passer à autre chose. Il se mit à raconter quelques histoires croustillantes sur les "fous des tavernes" pour faire rire Dra.
Puis les tavernes furent enfin proches : on n'avait que l'embarras du choix mais ils choisirent la première qu'ils virent, tellement leur soif était grande !
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Theudrik

On reconnaît le bonheur au bruit qu'il fait quand il s'en va !

Theudrik

Ce matin-là, après avoir un peu arrosé la soirée de la veille avec Kiliana et Sandrae, Theudrik se promenait sur la plage, errant sans but et trouvant l'océan bien triste. Il était seul : il avait décidé de changer de groupe et suivre trois sympathiques étrangers au Comté pour que la route leur paraisse moins longue à tous les deux, mais apparemment, rien n'avait pu le réveiller et, du coup, sa fiancée était partie sans lui à Saintes avec ce groupe.
Du coup, tout ce qu'il trouvait attrayant la veille ne lui parlait plus de la même manière : il lui semblait que le grondement de l'Océan lui faisait des reproches, que les mouettes criaient désespérément : "Kil, Kil". La pêche ne l'attirait plus, le poisson aurait eu un goût amer de toute façon.
Le temps était gris pour ne rien arranger, le vent était froid et humide. Il frissonna, autant de solitude que de froid.
"A cœur glacé, rien de possible", disait un des moines qu'il avait cotoyé dans son enfance. Que c'était vrai !
Pestant contre le sort, il finit par se secouer, décida de reprendre la route, jeta un dernier regard noir vers l'océan qui n'y pouvait rien, maudit les mouettes rieuses et fila à l'auberge préparer ses affaires.

Haut les cœurs ! Saintes m'attend ... ainsi que les bras et les lèvres de Kil !
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Theudrik

On reconnaît le bonheur au bruit qu'il fait quand il s'en va !

Fanfant

Fanfant arriva sur la plage...
Elle c'était fait embaucher à la mairie pour Garder la ville ce soir
Elle avait donc la journé pour revé sur la plage
Elle defit ces affaires, sortit une bonne couverture et s'enroula dedant...
Le regard vers le Lage et s'envola au dessus des vagues
L'océan elle l'avait revé, il était là maintenant, devant elle...

Fanfant

Fanfant marchait sur la route qui mène à sa nouvelle demeure...
Elle était petit et merveilleuse... droit pour elle...
Elle avait une vue imprenable sur l'Océan et pourra profité du vent du large dés son réveille...

Sandrae

Revenant sur la plage deux jours plus tard, Dra tirait derrière elle sa petite barque de pêche. Elle salua en passant la charmante Fanfant, qui s'empressait devant sa nouvelle demeure, fort belle de fait, et tout aussi bien orientée.
Dans la poussière du chemin, derrière elle, Iron avançait, le nez dans un livre particulièrement volumineux, l'air captivé par ce qu'il y trouvait. Les chemins de la connaissance semblaient égarer ses pas un peu n'importe où, car à plusieurs reprises, il s'en fallut de peu qu'il ne chût dans le fossé. Ricanant devant ce touchant spectacle, l'herboriste n'est pestait pas moins, tant sa charge pesait à son bras.

Dites-moi, Messire Iron, m'aiderez-vous donc à franchir cette dernière côte ? L'océan nous attend juste derrière la dune. Oh, je vous prie, allons... Mais posez donc votre incunable, qu'est-ce à lire en un pareil lieu ?

Râlant encore devant son inertie, Dra escalada le mur de sable, s'enfonçant à chaque pas davantage dans le sol meuble. Mais lorsqu'elle parvint au sommet, elle en resta, souffle coupé, bouche bée. L'océan, qui lui faisait cet effet-là toujours, s'étendait à perte de vue, bien au delà de ce que ces forces lui permettraient jamais d'atteindre. Elle planta là barque et lecteur, et vive comme le vent, courut vers l'eau.
Bientôt Iron l'eut rejointe, ils mirent l'embarcation au mouillage, et dressèrent leurs lignes dans la mer. Le ciel était splendide, l'horizon sans tâche, une journée prometteuse.
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Tant va la cruche à l'eau,
Qu'à la fin elle se brise.

Kiriell

Kiriell qui se rendait chez lui comme à son habitude en longeant la plage par le sable encore tiède des timides rayons de soleil de la journée, regardait les dames aux pieds et jambes dénudés jusqu'aux genoux avec un sourire malicieux.
Il aperçu ainsi drae qui revenait de la pêche avec ironflo.
La scène était plutôt comique et il ne pu s'empêcher de ricaner.
la dame qui tirait sa barque difficilement pendant le sieur lisait tranquillement sans même se soucier des efforts qu'elle pouvait fournir.

sur la colline le long de la route, la nouvelle demeure de la belle fanfant qu'il allait pouvoir admirer secrètement depuis son jardin.

l'océan était plutôt agité en cette époque et ramenait des embruns chargés de sel.

d'où vient donc ce sel ?
est-ce vrai qu'un navire faisant du sel a sombré et continue d'en produire ?
l'heure était propice à ces pensées étranges toujours sans réponse !
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Fanfant

Au matin du nouveau jour Fanfant ouvrit ces volets sur l'océan
Le vent du large lui fouetta le visage elle fut surprise pas le froid... mais ria, n'etait-ce pas ce qu'elle voulait ? elle devait pas ce plaindre...
Au loin elle vit du monde sur la plage...
Résister au vent devait être bien amusant...
Elle ce promis de descendre un moment...

Ironflo

Citation:

Dites-moi, Messire Iron, m'aiderez-vous donc à franchir cette dernière côte ? L'océan nous attend juste derrière la dune. Oh, je vous prie, allons... Mais posez donc votre incunable, qu'est-ce à lire en un pareil lieu ?

Iron sorti le nez de l'ouvrage, d'un ennui terrible, seules les gravures l'amusaient, il se rendit bien vite compte que Dra peinait avec sa barque, il en fût presque honteux.
Il referma son livre et d'un pas rapide rejoignit l'embarcation dans laquelle il jeta ce foutu recueil d'information soit disant historique et poussa sur la poupe de celle-ci avec une telle force que la dame s'en sentit soulagée et abandonna le bout qu'elle tenait pour aller courrir dans l'eau.
- Eh bien, n'est-elle pas un peu fraiche? il demandait en souriant.
Il finit par mouiller l'embarcation puis avec trois pas d'élan, sauta dans celle-ci, saisit les avirons et la stabilisa face aux lames pour permettre à Dra d'embarquer sereinement.
- Allons ma Mie, montrez-moi votre nage tandis que je fini mon livre.
Il lui souriait à pleine dents, savourant le bonheur d'avoir retrouvé cette ravissante dame qu'une rencontre trop brève n'avait permis de connaitre plus intensément.
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Sandrae

Et la Mie montra sa nage, bien maladroite, la coquille de noix godillant, hésitant inlassablement entre tribord et bâbord.. Mais le courant aidant, l'embarcation avançait placidement, dans le bon sens. Un vent de mer annonçait un retour plus aisé, chance que la donzelle n'avait nullement mesurée. Elle tendit ses gaules en pleine mer, et sortit de sa besace une légère collation. Une petite bouteille, la dernière déjà, de ses vins de Bergerac, un peu de charcuterie du même pays, et quelques poissons séchés. Le tout agrémenté de miches bien fraiches et fort appétissantes, achetées le matin même au marché local, toujours délicieusement achalandé.
Elle aurait été tentée, avant de croquer à belles dents, d'aller plonger et nager parmi les nymphes et autres Marie-Morgan, mais d'avoir simplement trempé ses pieds dans l'eau l'avait déjà passablement refroidie. Si bien qu'elle n'en fit rien, se drapa davantage dans son éternelle couverture, et souriant, offrit en partage à Iron sa pitance.

Allons, racontez-moi ce livre qui vous fascine, mon cher. Je vois bien à votre air goguenard qu'il doit être parfaitement plaisant, mais encore, dites-m'en plus.

Car la jeune herboriste connaissait les talents de conteur du sieur, lequel ne manquait jamais d'une bonne histoire à narrer. Et le plein air ouvrant l'esprit, elle espérait qu'il saurait lui composer un conte de fées.

Le temps passant, Dra releva ses gaules, oh miracle, elle avait pris ce jour-là un petit bar et un congre. Parfait, la soupe du soir serait goûtue, comme cela. Elle rangea son matériel au fond de la chaloupe, et offrit son visage au soleil. Elle souriait, trop heureuse de cet instant de toute quiétude. Prit une profonde inspiration, allongea ses jambes, effleurant le tisserand au passage. Il sortit le nez de son ouvrage, et lui rendit son sourire.

Et bien, Messire Iron, voulez-vous bien me relayer ? Vous prendrez les avirons, s'il vous plait, et nous ramènerez à bon port. Car il commence à être tard, je ne voudrai pas que nous nous égarions en pleine mer de nuit, ce pourrait être bien dommageable...
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Tant va la cruche à l'eau,
Qu'à la fin elle se brise.

Ironflo

Ce fut avec un réel plaisir qu'il saisit les avirons, la journée terminée ils pourront enfin discuter sur la terre ferme. La belle trop attentive à sa pêche et lui-même trop absorbé par l'histoire de la 3 éme génération des habitants de la Normanvence...
ll regarda Dra dans les yeux et lui sourit:
- Eh bien voyez-vous trés chère, tout est un éternel recommencement, je me rends compte que la fameuse Taupardine dont je vous ai entretenue a fait l'objet de grands combats entre les mêmes protagonistes...
Il continua à narrer l'histoire tout en donnant une erre suffisante au frèle esquif tant et si bien qu'un accoup l'interrompit lorsqu'ils s'échouèrent.
- Je crois que nous sommes arrivés à bon port!
Il sauta sur la plage et tendit sa main à Sandrae l'aidant à débarquer, puis il saisit le bout fixé à la proue pour sortir la barque de l'eau.
Fixant l'ouest il ajouta:
- Juste à temps pour voir l'astre du jour disparaitre à l'horizon...
Profitant du moment, il saisit la belle à la taille et l'embrassa tendrement.
- Allons-y, un long chemin nous attend.
Ils quittèrent la plage pour rejoindre les chevaux qui paissaient tranquillement.
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Kiliana

De retour à La Rochelle pour deux jours, Kiliana voulut se promener sur la plage. Elle espérait que le vent chassât le vague à l'âme qui la rendait mélancolique...

Elle s'assit sur une dune qui surplombait la plage. L'horizon était aussi sombre que son coeur était meurtri. Sa vue se brouilla...

- Syl...

Kil ramena ses genoux sous son coude, croisa ses bras, et laissa enfin couler le flot de larmes qu'elle contenait depuis la mort de son amie Sylmeria...

Han__solo

Han arriva dans sa nouvelle demeure.
Elle se situait à côté de la plage et offrait une vue magnifique sur la mer.
Là il pourrait être au calme et réfléchir à tout ce qu'il avait vécu, tout ce qu'il n'avait pas encore fait et qu'il souhaitait faire.

Il s'assit sur une chaise et écouta le son des vagues.

Il pensa au jour précédent, il venait de se séparer de son épouse.
Il songeait à ce mariage qu'il avait raté par sa faute, par son manque de présence.

Il avait aussi causé de la peine à une autre personne, il le savait.

Finalement, Han prit sa décision, pour ne pas leur faire plus de peine, il allait quitter pour quelques jours La Rochelle et visiter le Poitou, ainsi il espérait que ça irait mieux en revenant, que le fait de ne pas le voir atténuerait cette peine.

Han fit donc ses bagages et partit en direction de Niort, la première étape de son voyage.

Fanfant

Fanfant eu l'envie aujourd'hui de descendre sur la plage en coupant dans les champs elle avait reperer depuis chez elle par ou descendre. Mais elle ne pouvait évité la propriété de la Rose Noir...
Elle espèrait ne pas trop deranger son propriétaire
Elle s'arrangerait pour rester à couvert pour ne pas ce faire reperer...
Elle remonterait par la route...
Elle s'habilla chaudement et sortit de chez elle...

Ilayna

Ilay descendit le sentier jusqu'à la plage, clopinant à moitié, une bouteille de bière empruntée dans la main. Elle sautillait, les pieds nus dans un sable froid, le regard obnubilé par la mer.
La dernière fois qu'elle s'était hasardée par ici en soirée, elle espérait que ce fusse la dernière. Ce soir, elle avait besoin de s'isoler avec sa bouteille et de savourer ensemble leurs rares moments de solitude.
Elle s'assit au bord de l'eau, laissant l'écume lui chatouiller les orteils et lui glacer le sang.. réveillant l'esprit. Et c'est ainsi que trinquant avec la lune, elle réfléchissait à un avenir incertain avant de retomber dans le sable, sa bouteille dans les bras, rappelée par Morphée.

Lambert25

Le sol était froid sous ses pieds, pourtant il ne put s'en empecher.
Enlevant ses chausses pour les déposer dans sa besace, Lambert se mit à pied nu sur le sable fin de la plage.
Cette sensation lui manquait, et il comptait bien revivre tout les bons moments qu'il avait déjà passés ici!

Les gens étaient si accueillants!

L'heure tournant, pressé de retourner en taverne, il renfila ses godillons, en s'en fut vers la place, sa canne s'enfoncant dans le sable.
La Rochelle était vraiment une très belle ville!
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Il n'y a de vie et de solide esprit que celui qui prend sa source dans le coeur. Vauvenarges

Sarynaya

Sarynaya fixait l'horizon, la mer argent se perdait dans le ciel presque blanc. Une fine neige tombait doucement, aterrissait dans son cou, sur sa peau mais elle ne la sentait pas. Le froid n'était rien, ni même le sol dur sous elle, elle ne sentait rien, que cette douleur lancinante dans le coeur. Une larmes solitaire coula lentement sur sa joue et tomba sur le sol suivis bientôt par des dizaines identiques qui coulaient inconsciement. Elle s'efforcait de ne penser à rien mais en vain, toujours elle revenait cette pensée, ce souvenir, lui.

Kar1

La Rochelle

Grande première pour la blonde, première fois qu'elle voyait l'océan. Pas faute d'avoir essayé pourtant à plusieurs reprises. Karine s'y était dirigé à deux fois ces dernières années. Mais les choses ont finalement fait qu'elle n'avait pas pu toucher au sable fin de la côte Atlantique.

Le Liam a encore disparu on ne sait où, peut être à la charrette, prêt à repartir, ou encore près d'un arbre à regarder si la hauteur de ce dernier lui convient pour être suffisament perché. Ca tombe bien ou presque, l'est pas sure de vouloir y aller en compagnie, même très agréable. Se retrouver seule, l'avait pu le faire tout le temps ou elle avait été dans l'Poitou. Mais elle ne s'était jamais, ou n'avait encore jamais voulu se retrouver seule face à elle même. Un bilan, faire un bilan de ce qui s'était passé ces dernières semaines.

Karine longe les murs de la ville, passe de ruelle en ruelle espérant la trouver cette fichue étendue d'eau salée. Pas un panneau sur la route, juste le vent qui lui souffle des indices en plus du sel qu'il colle sur les joues.
La blonde tourne à droite, puis à gauche puis tout droit. La voilà..

Petite précision peut être, il fait nuit noire, la mer n'est éclairée que par un filet blanc provenant de la lune. Propice à la nostalgie.. Propice à beaucoup de choses. Suppositions..
Les mains dans les poches de ses braies, le col remonté, c'est encore l'hiver, elle s'y dirige à pas lents le vent de face. Une plage.
Volontairement en retrait, Blondine s'installe sur le muret qui borde la plage. Les yeux au loin, un léger retour en arrière..

L'a pensé trop vite.. Ses bras lui manque, ou est-il le Sombre..
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Karine de Pommières.

Gaudali

Le jour se levait, enlacés le regard perdu vers le large, les amants sentaient la brise légère leur caresser le visage.

Le son du ressac sur le sable, le cri d’une sterne passant au dessus d’eux et cette immensité qui leur faisait face, porteuse d’espoir, peut être de mémoire…

Tenant son aimée par la taille, le regard de GauDali se portait maintenant sur elle. Ses yeux perdus dans l’horizon cherchaient un point au loin, un vaisseau ou un phare invisible pour lui…

Il la regardait profondément épris. Malgré la concentration avec laquelle elle scrutait l’horizon, son visage était étonnamment reposé et dégageait une impression de sérénité qu’il partageait avec elle.

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"Je ne puis regarder une feuille d'arbre sans être écrasé par l'univers."

Gaudali

Malgré la légère fraicheur matinale, il enleva ses bottes et s'avança dans l'eau pour sentir les vagues lui caresser les orteils...

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"Je ne puis regarder une feuille d'arbre sans être écrasé par l'univers."

Nabeille

Ses rêves les plus fous ne l'avaient pas préparée à cet instant... Nabeille était comme subjuguée par la vue de cette immensité qui s'étalait devant elle pour la première fois. Une impression pourtant vaguement familière se dégageait de ce spectacle. La présence fidèle et rassurante de son bien aimé aiguisait la pérennité et l'ampleur de ce lever du jour dans son âme. L'océan, enfin... cette étendue insondable et mystérieuse qui hantait ses songes depuis tant de mois.

Perdue dans sa contemplation, elle sentit plutôt qu'elle ne le vit, GauDali s'éloigner d'elle... Son mouvement attira cependant son attention et elle l'observa en souriant ôter ses bottes pour se diriger vers l'eau.

Elle l'imita à son tour et se rapprocha de lui pour lui prendre la main... D'une voix à peine audible, elle lui souffla, son regard lapis-lazuli toujours tendu vers le lointain :

Ces miroitements qui se réveillent et dansent, ces ondulations... on dirait une peau sous l'éclat satiné de la chaleur d'un feu... Une peau que l'on pourrait soulever pour dévoiler une forêt dense et inconnue...
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*rastakouette*

L'air marin l'avait guidé jusque là.
Il faut dire, que depuis Breizh, elle n'était plus retournée en bord de mer, s'enfonçant dans les terres mainoises.
Elle avait couru les derniers mètres, laissant son colocataire derrière elle.
La jeune fille avait abandonné ses chausses pour fouler le sable de ses pieds nus.
Cette sensation qu'elle n'avait plus connut depuis longtemps et cette odeur lui tournaient la tête, la forçant à s'assoir.
Une fois remise de ses émotions, Rastakouette se releva et trempa ses pieds dans l'eau froide à cette époque de l'année.
Ravie de la vue qui se présentait à ses yeux, elle sortit une bouteille de Chouchen de sa besace et après l'avoir débouché, entreprit de la vider.
Et Beren qui prenait son temps !
Il arriverait bien, guidé par l'odeur de l'alcool breton.
Rasta se rassit, se demandant ce qu'allait être leur "exil"...

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Beren

beren se trainait avec lassitude, il faut dire que Rastakouette l'avait charger comme une mule de toutes les denrées qu'ils transportaient. Ses pieds se dérobèrent lorsqu'il foula le sable, il posa un genou à terre. La vue du sable le remit d'aplomb. Il sourit et tendit sa main pour en attraper une poignée. Il laissa les grains filer entre ses doigts . Cette sensation il ne l'avait pas ressenti depuis longtemps et pourtant elle lui parut si familière. En un instant le Saint Brieuc de son enfance avait refait surface.
Il défit la charge qu'il portait sur le dos et se mit à courir vers les flots, abandonnant tout se bric à brac.
Il fit quelques pas dans l'eau et s'approcha de sa colocataire. Tout heureux, il la prit dans ses bras et la fit tournoyer.

C'est la mer Rasta, la mer !

Il aperçut la bouteille de chouchen dans les mains de la Bretonne.

He ! Je vois que tu ne perd pas de temps, tu fêtes déjà ça !

*rastakouette*

Rastakouette faillit lâcher la bouteille lorsque Beren la fit tournoyer, mais elle se reprit heureusement et s'agrippa au précieux nectar.
Une fois à terre, la bouteille disparut de ses mains, comme par magie et elle ne put s'empêcher d'éclater de rire.
Fallait pas que des autochtones passent dans le coin et se forgent une mauvaise opinion d'eux.
D'accord, ils avaient choisi de rester des gueux, mais il fallait qu'ils apprennent à se tenir !
Son colocataire semblait vraiment heureux, les pieds dans l'eau avec la bouteille de Chouchen presque vide.
Presque vide !?
Le sang de la jeune bretonne ne fit qu'un tour.
Déjà, c'était sa bouteille à elle, et en plus il la vidait !?
Cela ne pouvait se passer comme ça !
Elle prit son élan et poussa Beren dans l'eau, puis se recula vivement.

- Fallait pas boire tout le Chouchen !

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Beren

La bouteille encore dans la bouche, beren fut projeter avec une dextérité certaine. Il éclata de rire. L'explication que Rastakouette lui faisait pour se justifier de son geste impulsif était digne d'une écolière prise en faute. Avait-elle peur de représailles ?^^ Il se releva trempé jusqu'à la plume de son chapeau. Il regarda autour de lui et remarqua d'autres gens un peu plus loin sur la plage.

C'est malin, tu vas encore nous faire remarquer.

Il sortit de sa poche le pauvre Fripouille qui ressemblait plus à une serpillère après usage qu'à un chat, fut-il de poche. Il commençerent tous deux à greloter. C'est qu'il ne faisait pas chaud en cette saison. Sans donner le moindre signe de volonté de se venger, il repartit sur la plage en direction des bagages pour en extraire de quoi se sécher lui et son chat.

*rastakouette*

Pendant que Beren partait avec Fripouille en direction des valises, Rastakouette siffla sa monture.
Génialement Pratique et plein de Sens, plus communément appelé GPS, pour des raisons pratiques, arriva en galopant vers la jeune fille.
Celle-ci, lui flatta l'encolure et se mit à lui caresser le nez.
Brave bête, rapide et efficace bien qu'ayant une consommation de Chouchen effroyable, le cheval buvait presqu'autant que son colocataire et elle !
Un hennissement la tira de ses pensées, l'animal avait soif.
Rasta se dirigea à son tour vers les bagages et fit rouler sur le sable un tonneau, jusque vers sa monture et à l'aide de son crucifix en or, qu'elle ne quittait plus et qu'elle gardait comme souvenir de sa période Abbesse ou pour se protéger de ses ennemis, enfin bref, à l'aide de son crucifix donc, elle perça le tonneau et laissa s'abreuver son cheval assoiffé et alcoolique, comme tout cheval breton qui se respecte.
Un pigeon se posa soudain sur le garrot du cheval, un message dans la patte.
Rastakouette sortit quelques graines de maïs d'une petite bourse et les disposa dans sa main pour que le volatile savoure sa récompense et lui détacha le message en même temps.
C'était une lettre du Maine, elle le savait, ayant envoyé quelques courriers vers Montmirail en chemin.
Une fois la lettre décachetée, elle se mit à la parcourir.

Bonjour toi

Je suis contente d'avoir des nouvelles.
J'ai en effet remarqué, à ma sortie de couvent, que Beren et toi étiez partis. Je m'y attendais, tu m'avais prévenue, mais ça fait quelque chose...
Je suis contente que vous fassiez bon voyage et profitez un peu de la plage pour moi aussi. Et les poissons, qui sait si MM n'en aura pas besoin...
En ce moment ce n'est pas le paradis ici... Le maire a déserté son poste depuis au moins 2 jours, n'a pas payé les impôts et ne répond pas aux courriers. Il est fort à craindre qu'il soit parti avec la caisse... Une tentative de révolte a eu lieu hier soir mais n'a pas réussi (nous étions 6). Une nouvelle tentative aura lieu ce soir. Nous devrions être au moins 9. Je te donnerai le résultat demain...

Profites de ton voyage, amusez-vous, prenez beaucoup de soleil et de chouchen.
Grosse bise à vous deux.

Lys

La lecture de la lettre, la fit sourire. Elle quittait Montmirail et les problèmes revenaient s'y installer...
Une révolte, cela faisait des années, qu'il n'y en avait pas là bas.
Décidément...
Profiter de la plage pour son amie, ça, elle pouvait le faire !
La bretonne se mit alors à écrire "Lysesl" dans la sable, de la pointe de son pied, elle en aurait bien fait une gravure, mais le dessin n'était pas vraiment son fort.
Tant pis, elle enverrait quelques grains de sable dans la lettre qu'elle lui adresserait en retour.
Elle se tourna vers son colocataire, qui avait l'air d'avoir prit son bain mensuel, enveloppé, comme il l'était dans sa serviette.
Elle se retint de pouffer et lui tendit la lettre.

- Des nouvelles de Lys et de Montmirail. Tu veux lire ?

Encore une fois, elle avait parlé sans réfléchir.
Beren avait toujours eu quelques difficultés à l'école, et Rasta ne se souvenait plus si Adelmine avait réussi à lui apprendre à lire...

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Gaudali

Cette nuit ne trouvant pas le sommeil tant les questions lui tambourinaient le crâne, il marchait sur le sable grossier des roches pilées et broyées amenées par les marées immémoriales.
Ses pensées dans le même état, il traversait une de ses périodes de doutes… Il ne comprenait rien au monde autour de lui se sentant étranger même auprès de ceux qu’il aimait le plus.
C'était physique, ses tempes résonnaient du bruissement de son sang circulant en jouant du tambour. Le vent qu'il attendait bienfaisant, ne faisait que remplir ses poumons l'asphyxiant de son sel et de sa froidure.

En remontant vers les dunes il trouva une niche de sable dans laquelle il se blottit. Il y passa la nuit recroquevillé en regardant la lune y voyant une femme déchirée et hurlante pendant qu'une fillette arrachée à ses bras pleurait et gémissait.

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"Je ne puis regarder une feuille d'arbre sans être écrasé par l'univers."

Nabeille

L'aube n'allait plus tarder à poindre... Nabeille errait sur la plage... Il lui avait pourtant dit qu'il irait se promener là bas... Mais aussi qu'il se sentait préoccupé... Qu'il n'arrivait pas à dormir... Rien de plus...

Elle même, inquiète de ne pas sentir sa chaude présence tout contre elle alors que les heures s'égrenaient avait fini par se lever pour tenter de le retrouver. Le sommeil la fuyait, malgré le confort de leur chambre d'auberge. Tout en marchant d'un pas vif d'un bout à l'autre de la plage, elle tentait de se remémorer les derniers jours, leur dernière conversation... La lune presque ronde apportait une légère lumière sur l'environnement et elle scrutait autour d'elle dans l'espoir d'apercevoir une ombre familière... Et se mit à entamer un long monologue intérieur

Décidément, elle ne pressentait jamais rien...ne comprenait pas ou alors toujours après coup... Qu'avait-il dit déjà ? Ah oui, quelqu' chose du genre « chacun a ses soucis » ou alors « à chacun ses soucis »... Ben oui, mais ça c'était juste avant de partir pour sa promenade solitaire... Peut-être que si elle avait entendu cette petite phrase hier, le déclic se s'rait fait dans sa minuscule cervelle. Mais là ben juste avant d'ouvrir la porte, c'était bien trop tard pour qu'elle ne tombe pas des nues encore une fois... Mais bon sang comment se débrouillait-elle pour ne jamais rien voir ? Il faut dire qu'il ne l'aidait pas beaucoup...jamais de mouvements nerveux du style se ronger les ongles ou de tressaillement involontaire d'un muscle du visage... toujours un aspect lisse, une maitrise parfaite de ses expressions, rien qui ne pouvait traduire un doute intérieur... enfin pas toujours mais là il s'agirait plutôt euh... d'une formulation du euh... bien être ...
Humm ben, t'es pas devineresse ma fille ou alors ça se saurait !

Faut dire aussi que ça n'avait rien à voir avec ses manières à elle. Elle serait plutôt du genre à discuter tout de suite de la petite égratignure avant qu'elle ne se transforme en abcès, comme ça on ne peut pas dire qu'on ne savait rien... Oh, et puis les hommes ils veulent rien dire ! A cause de leur coté protecteur ? A moins que cela ne vienne du fait que les femmes quand ça cause c'est pour se soulager, pas pour forcément demander une solution, alors que les hommes ben eux, c'est la solution qui les intéressent, alors évidemment ça crée comme une légère différence dans les conversations... Enfin à c'qui paraît ! A force de regarder les autres autour j'finis par avoir ce genres d'idées … Mais bon, sûr que y'en a plein qui ne s'raient pas d'accord....

M'enfin c'est pas tout ça mais je ne le vois nulle part...

Elle resta là les bras ballants debout au milieu de la plage, à tourner sur elle même regardant dans toutes les directions, sans trop savoir quoi faire : rentrer à l'auberge ? Faire un tour sur le port ? Ou à l'opposé dans les terres et la forêt voisine ?
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Nabeille

Nabeille se répétait inlassablement en son for intérieur :

Pas de panique tout va bien ma fille... ce n'est rien... après tout chacun et toi la première, a besoin de se retrouver seul... il y a des questions pour lesquelles les réponses ne se trouvent nulle part qu'en soi même...

Autour, une lumière grisâtre et pâle commençait à devenir omniprésente, révélant des nuances de plus en plus claires dans la masse pesante des nuées apportées des terres par la marée descendante... Mais Nabeille, submergée par une sensation soudaine de petitesse et de vulnérabilité ne vit qu'une chose : toutes les images de ces derniers mois surgirent et se bousculèrent en désordre dans son esprit... Son arrivée à Castillon, le défilement des visages amis ou juste croisés, ceux qui étaient partis pour ne plus revenir, ses peurs, ses doutes, la mairie, les nouveaux et les conseils patiemment répétés, les pigeons porteurs d'espoirs ou d'insultes, les marches dans la neige, Bergerac, les groupes d'hommes en armes, les inquiétudes chaque nuit, sa rencontre avec GauDali, l'inanité de ses actions et surtout la vacuité de tout ce qui était... l'avant.

Ébranlée par ce flux d'émotions, ses jambes fléchirent et elle se retrouva à genoux dans le sable, les mains sur le visage... Alors les larmes jaillirent, sans raison extérieure... les premières depuis qu'elle avait poussé une porte de taverne à Castillon, il y a déjà si longtemps. Ni tristesse, ni désespoir ne teintait ce débordement impromptu que rien ne semblait pouvoir endiguer. Les pleurs et les sanglots se voulaient doux, caressants même, apaisants, libérateurs, emplis de quiétude et de bien être . C'était comme plonger dans une eau fraîche et revivifiante, comme certains réveils un matin de bivouac où l'eau de la source voisine invite à céder au plaisir de sentir s'effacer toutes les poussières des chemins pour retrouver une peau nouvelle.

Petit à petit, ses yeux se tarirent, un sourire neuf éclaira son visage et comme une coïncidence, les nuages s'écartèrent un instant au dessus du vaste océan au moment même où elle levait les yeux...

Elle se releva alors, secoua ses braies humides tant des larmes versées que de l'eau imbibant le sable :

Sapristi de sable ! Tu te faufiles partout coquin ! J'suis bonne pour rentrer me changer...

Les yeux rougis, elle prit la direction du chemin par lequel elle était arrivée.
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Axe37

Axe37, droit comme un "i" apparaissait...
Neptune l'avait appelé ?
NOooooooooooooooooooon!
Aphrodite plutôt... Ou bien les deux...

"La Mer! La marrée...

Vous! A coté de moi...
L'Océan peut m'emporter que je ne risque rien!

Ma belle, ma protégée...
Mon arme est à vous, autant que ma dévotion!

Jetons nos happaras, nos chemises ou autres babioles!
Nous sommes sans habit, libre en face des vagues...

Rejoignez-moi, on se fout en cette nuit des interdits...
Reculez si vous le voulez, mais jamais ne le regrettez..."
_________________
Si vous avez vouloir de faire bien,
C'est le vouloir de Dieu,car le seul vôtre
Est vouloir mal,quand rien n'y a de bien.
Vous avez beau dire le Paternostre...

pnj

Axe37

pnj

Kiliana

Edhel

Dusmas ir slikts padomdevējs ... Bet ko tas relaksējoša !
La colère est mauvaise conseillère... Mais qu'est ce que ça défoule !!

Kiliana

pnj

Kiliana

pnj

Kiliana

pnj

Kiliana

Feyrak

pnj

Myssie avait passé une belle soirée en compagnie de ses amis Ilayna, Kiliana & Theudrik...
Kili & Theud... quel amour pur...
Ayant essayé de régler leur problème de couple, Myssie était heureuse que tout ce soit arrangé.
Mais... sur cette plage seule, un peu ivre, elle repensa à elle-même
Voilà comment elle faisait pour moins penser qu'elle était seule dans sa vie, en essayant de régler les problèmes de coeur des autres et tout faire pour que ça marche...

Mais... sur cette plage, elle se sentait seule et le coeur triste...
Elle regardait les vagues s'échouer sur le sable... C'était aussi sur le sable que s'échouait ses larmes..
Elle était complètement perdue...

"Les hommes sont tous des beaux parleur... Des séducteurs à la noix qui ne méritent en aucun cas mon regard sur eux..." Pensa-t-elle

Déçue et prise d'une colère soudaine, elle prit ses chausses qu'elle avait enlevé en arrivant, et les jeta plus loin, comme pour essayer d'enlever cette rage qu'elle avait en elle...
Elle regarda le ciel, les larmes coulaient sur son visage, doucement...
Il y avait des étoiles... que c'était beau..
Elle se dit que les étoiles ne lui portaient pas chance ce soir..
Elle reposa son regard sur cette mer magnifique et contina à pleurer... en silence..
Elle s'endormit sur la plage les larmes coulant sur son visage, roulé en boule... et ne voulant plus se réveiller tellement elle se sentait bien sur cette plage...

Axe37

Axe37 venait se changer les idées sur la plage qui lui rappelait tant de bons souvenirs.
Il marchait sur le sable humide, nu pied, laissant l'eau aller et venir rafraichir ses jambes.

Il était content d'avoir revu certaines personnes la veille, mais sa fatigue l'avait empêché de rester tardivement en taverne, bien malgré lui.

Toine et ses parents avaient l'air heureux, Ilayna louchait un peu et Myssie avait l'air discrète...
C'est au moment où il pensait à la charmante Myssie qu'il tomba sur une paire de chausse rouge.
Il les prit et les reconnues de suite...

Signe du destin ou coïncidence?

Seul moyen d'en être sûr... Retrouver au plus vite la Dame, il ne faudrait pas qu'elle s'abîme les pieds...
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Si vous avez vouloir de faire bien,
C'est le vouloir de Dieu,car le seul vôtre
Est vouloir mal,quand rien n'y a de bien.
Vous avez beau dire le Paternostre...

pnj

Myssie se réveilla, le coeur lourd et surtout avec un gros mal de tête...

"Mazette, ma tête... Il faut que j'arrête de boire moi..."

Elle eut des frissons dans le corps..C'est là qu'elle se rendit compte qu'elle n'était pas dans son lit mais sur la plage

"Décidément, tu es bien la seule qui veuille de moi" dit-elle

Elle ria de sa bêtise... Que ça faisait du bien de rire..
Elle se rappela que la veille aussi elle avait bien rigolé avec ses amis Ilay, Kili & Theud. Avec un coup dans le nez mais ça compte quand même !
Puis, voyant ses pieds nus, elle se demanda où est-ce qu'avait bien pu atterir ses chausses ?...

"Arf.. Ca m'apprendra à jeter tout ce qui me sert n'importe où"

Désespérée d'elle-même, elle se leva, le sourire aux lèvres...
Elle si disait que cette journée ne pouvait pas être pire que la veille..
Elle commenca à marcher au bord de la plage et à chercher ses chausses toutes neuves...

"J'espère que je ne les ai pas jeté dans la mer..."

Pensant à ça, elle se maudirait elle même si elle ne les retrouvait pas... Donc elle chercha minutieusement ses belles chausses rouges...

Kiliana

Kiliana décida de se balader sur la plage. Elle avait besoin de prendre le frais du large, pour recouvrer ses esprits après la soirée endiablée de la veille... Les démons de la bière frappaient encore dans son crâne endolori, et lui tiraient les cheveux à l'intérieur de sa cervelle de piaf...

Elle vit soudain une silhouette qui scrutait le sable et les petits rocs épars. Elle s'approcha, et reconnut Myssie, qu'elle salua. En voyant les cernes de son amie, les cheveux en bataille, les vêtements froissés, Kiliana n'osait imaginer sa propre tête et croiser un maudit miroir!

- Bonjour Myssie!! Vi, vi, ne me regardez pas comme ça, j'ai la tête des lendemains terribles! Theudrik ne m'a pas laissé dormir! Dites-moi, que cherchez-vous ainsi?? Des crabes? Des salicoques? Des moules?

Myssie lui expliqua sa nuit passée sur la plage, et la disparition de ses chausses rouges... Kil se tourna, parce qu'elle avait croisé un homme qui tenait en ses mains les fameuses chausses. Elle tendit un index accusateur...

- Rhoooo, mais c'est le sieur là-bas qui a vos chausses!!! J'ai l'impression qu'il cherche leur propriétaire!! Vite, récupérez-les avant qu'il ne soit minuit!^^

pnj

Myssie allait passé sa deuxième nuit sur la plage en pensant toujours à la même personne, toujours aussi perdue...
Elle aurait aimé qu'il la rejoigne sur cette plage juste pour la prendre dans ses bras et la rassurée...
Elle avait encore trop bu ce soir et elle se sentait minable...
Les yeux pleins de larmes, elle s'endormit sur le sable pour la deuxième fois rêvant à son beau chevalier servant...

Kiliana

Kiliana faisait sa balade quotidienne sur la plage... Les embruns de l'océan lui donnait une énergie incommensurable, elle marchait d'un pas déterminé sur le sable. Elle voulait faire fondre quelques "Kilos", pour rester la sirène de la police! Pas facile d'être la fiancée d'un lieutenant!

Elle laissait des traces dans le sable, le nez en l'air, pour observer le ballet des goélands. Elle craignait aussi qu'ils ne laissassent une signature sur sa belle chemise rouge. A trop se frotter à Theudrik, elle devait sentir le poisson, puisqu'il avait décidé de pêcher!

Et soudain, son pied crocha quelque chose!! Des battements de bras et une belle gamelle plus tard, elle se retrouva le nez dans le sable, "les yeux dans l'eau, son rêve était trop beau..."

- Fichtre, un marsouin s'est échoué et je ne l'ai pas vu?

La donzelle se releva, enleva le sable humide de sa chemise et de ses braies, et se retourna.

- Myssie!!! C'est vous? Mais fichtre, ne restez pas là, vous allez attraper la mort!!!

Kil secoua sa jeune amie, et lui sourit...

- Ouh, ça n'a pas l'air d'aller! Venez avec moi, on va chercher un lieu pour inventer la boisson dont nous avons parlé! On va passer au marché, acheter les ingrédients nécessaires, et s'amuser! Ca vous fera le plus grand bien, je crois!

Kil, la sauveteuse en chemise rouge et à la poitrine généreuse^^ passa un bras autour de l'épaule de Myssie, pour l'accompagner au village. Elle était bien décidée à lui sortir la tête de l'eau, et à la divertir des pensées chagrines dans lesquelles elle sombrait...

pnj

Myssie sentit une secousse dans son sommeil...

"Fichtre, un marsouin s'est échoué et je ne l'ai pas vu?"

Myssie gémit, se réveillant doucement la moitié de la tête pleine de sable..
Elle releva la tête et vit son amie Kil se tenir debout devant elle, l'air inquiète elle s'accroupit et lui dit :

"Myssie!!! C'est vous? Mais fichtre, ne restez pas là, vous allez attraper la mort!!!"

Kil la secoua et lui sourit

"Ouh, ça n'a pas l'air d'aller! Venez avec moi, on va chercher un lieu pour inventer la boisson dont nous avons parlé! On va passer au marché, acheter les ingrédients nécessaires, et s'amuser! Ca vous fera le plus grand bien, je crois! "

La tête dans le sac, Myssie sourit à son amie...

"Décidément, tu es toujours là pour me sauver ma chère amie..."

Elle la regarda son amie tendrement

"Merci Kil..."

Tout en l'aidan à se relever elle partit sur le marché pour ce fameux vin
Myssie se sentait bien aux côtés de Kiliana...

Han__solo

Han revenait de la ville accompagné de Cyle.

Il lui avait parlé de la plage, d'aller la voir avec elle, mais aussi il lui avait parlé d'un petit déjeuner qu'il allait lui préparer.

Cyle le tenait par le bras et tous les deux se dirigeaient vers sa demeure.

La plage est belle ce matin, ne trouvez-vous pas ?

Puis il lui montra une demeure un peu plus haut

C'est là haut que j'habite, souhaitez vous faire un petit tour sur cette plage ou bien préférez vous prendre un petit déjeuner maintenant ?

Cyleblue

Tout en marchant le long de la plage au bras de Han, elle admirait l'horizon....c'était sa première visite sur le lieu....et accompagné du Maire elle était ravie de cette balade.

Il lui racontait des tas d'histoires, lui expliquait des tas de choses....il était très agréable et intéréssant de l'entre parler.

Cyle soulevait d'une main jupon et cape pour ne pas se prendre les pieds dedans....et finir la tête dans le sable...elle aurait eu l'air très fine devant le messire....étant si maladroite tout pouvait arriver....rien que d'y penser elle en avait honte a l'avance !

Le Maire s'arrêta un moment et la rapprocha de lui...comme s'il avait deviner ses pensées....il lui dit :

Citation:

C'est là haut que j'habite, souhaitez vous faire un petit tour sur cette plage ou bien préférez vous prendre un petit déjeuner maintenant ?

Relevant la tête vers l'endroit indiqué....elle sourit et répondit....

Oh et bien je n'est pas encore faim....un défroquer a oser me réveiller tôt ce matin ! En donnant des coups de poêle sous ma fenêtre Pffff !!! L'aurais écarteler moi !

Elle se reprit, toussota et poursuivit...

Donc j'ai pris une petite collation tôt....mais c'est gentil de me proposer Han....alors marchont un peu d'abord, ensuite je serrais ravie de visiter votre demeure cela me permettra de me faire une idée de la mienne....

Lui souriant ils continuèrent leur balade en discutant de bien des choses sur leur vies respectives de l'un et l'autre....

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Han__solo

Cyle et Han avaient fait une longue marche sur cette plage. La première pour lui depuis déjà longtemps.

Ils s'étaient racontés beaucoup de choses sur eux. Ils avaient plaisanté, rit ensembles lors de cette balade.

Elle partagea aussi quelques anecdotes sur son voyage ... c'était très agréable d'être à ses côtés et de l'écouter.

A un moment de la conversation, Han avait réussi à ne pas avoir de fou rire, il s'était retenu, mais de peu ... heureusement Cyle n'avait pas été plus loin que l'écartèlement, sinon il n'aurait pu se retenir plus longtemps.

Ils se baladèrent encore pendant un certain temps, plusieurs minutes, des heures peut être, le temps n'avait aucune importance.

Toutefois ce fût son estomac qui lui rappela certaines convenances.

Cela vous dirait-il d'aller déjeuner finalement ? Pour le petit déjeuner de toute façon c'est raté

Han lui sourit alors qu'il la regardait ... son visage n'était que douceur, sa voix n'était que poésie ... il aimait bien cette femme

Cyleblue

A voir le regard amusé de Han quand telle lui fit part du batteur de poêle sous les fenêtres.....elle eu comme un soupçon....quelque chose lui disait qu'il avait pas l'air si innocent que ça le Maire....mais lorsqu'il l'invita et lui suggéra le déjeuner cela la sortit de ses pensées et lui répondit :

Oh oui dites ! Il est tard, je n'est pas vu le temps passé ! Allons donc manger....vous savez cuisiner Messire le maire ? Ou.....elle le regarda l'œil vif.....juste battre de la poêle...le piège ! Selon sa réaction elle saurait si oui ou non ses soupçons était juste.

Cyle l'observa mais il avait l'air serein...juste un petit sourire apparut au coin de ces lèvres....sont estomac gargouilla et se sentit toute bête, gênée elle dit :

J'ai faim...hum...très faim ! Elle se courba vers l'avant secoua des mains le bas de son jupon ou le sable avait élu domicile et se redressant....

Je vous suit messire, faîtes moi voir votre demeure....je suis sure qu'elle doit être très chaleureuse a en juger par votre accueil, je suis sure qu'elle l'est, comme les habitants de ce village d'ailleurs...tous très accueillant ! Elle lui sourit et le devança de quelques pas.....

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pnj

Myssie faisait son petit tour sur la plage comme pratiquement tous les soirs..
Qu'elle était heureuse...
Elle marchait le long de la plage avec le sourire qui ne la quittait pas..
Comment son coeur pouvait-il ressentir autant d'amour, de passion, de désir pour un seul homme..
Cet homme la rendait folle... folle d'amour, folle de passion, folle de désir... folle de lui...
Elle sourit en repensant à la nuit dernière, nuit magique avec lui
Jamais elle n'avait espéré autant...
Ses joues devenaient de plus en plus rouges en pensant à lui, à son corps, à son âme..

En relevant la tête, elle sourit... Elle se trouvait exactemet au même endroit... l'endroit aux délices tendres et parfumé d'amour et de plaisir...
Là où tout avait commencé... Là où son coeur avait commencé à battre..
Elle s'asseoit à cet endroit précis scrutant la mer, plus heureuse que jamais..

Doudounnette

par ce midi ensoleillé mais frisquet doudou se balada sur la plage
dommage que cesar ne puisse s y promener avec moi
mais je vais l avoir quand pour moi toute seule saperlipopette
doudou se coucha sur le sable visage au soleil
un peu de couleur pour le mariaage ne ferrais pas dee mal
les clipotis des vagues et la douceur du soleil berca doucement doudou qui s endormis quelque heures
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Doudounnette

apres se longue siste doudou se reveille enfin elle toucha son visage

hum c est chaud sa un coup de soleil en mars!!!!!!!!!!!!
doudou se releva et alla faire un tour dans le village
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Kiliana

Kiliana prenait l'air du large sur la plage. Un petit souffle marin faisait virevolter les mèches qui s'échappaient de son chignon. Des petits enfants s'amusaient à courir après les mouettes qui se reposaient sur le sable humide... Des chiens faméliques creusaient le sol, en quête d'improbables reliefs de poissons... Des pêcheurs proposaient à la criée des poissons fraîchement pris dans leurs filets...

Kil respira à pleins poumons, heureuse comme un poisson dans l'eau!^^

- J'adore cette plage, cette immensité, cette beauté grandiose!!

Kil poursuivit sa promenade, et reconnut Doudou, allongée sur le sable... Elle faisait une sieste réparatrice. Elle sourit, et passa son chemin pour ne pas déranger la Trémolo...

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Anggy

anggy sortit de la taverne et se dirigea vers la mer
une ballade au clair de lune avant d aller se coucher rien de tel pour bien dormir pensa t elle
mais personne a l horizon pas un charmant jeune homme a la derive pour le sauve rien qu a cette idee anggy se mit a sourire a elle meme
mais tu es bien trop jeune se dit elle
si sa continue on va me prendre pour une folle a parler avec moi meme
mais on moins je ne me dispute pas

Enelram

Enel sortie de la taverne un peu étourdie d'avoir encore une fois bu trop rapidement. Elle se dirigea vers la plage en plaçant ses pieds l'uns en avant de l'autre en oubliant jamais de se diriger vers la gauche. Elle marcha lentement et pensa aux propositions qu'elle avait eu tout à l'heure...

Axe37

Axe37 avait fini de préparer ses affaires pour la route.
Il partit donc vers la plage, histoire de prendre un peu d'air marin.

Il pensait à Myssie, au trajet qu'ils allaient faire ensemble...
Plongé dans ses pensées, il n'entendit pas que quelqu'un s'approchait...
Des mains se mirent sur ses hanches...
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Si vous avez vouloir de faire bien,
C'est le vouloir de Dieu,car le seul vôtre
Est vouloir mal,quand rien n'y a de bien.
Vous avez beau dire le Paternostre...

pnj

Myssie ayant fini de préparer ses dernières affaires pour son voyage avec son amoureux, elle voulu faire un dernier tour sur cette plage..
Elle marcha laissant le vent lui caresser les cheveux.
Puis un peu plus loin elle vit une silhouette qu'elle reconnu bien...
Son beau chevalier blond

Elle s'approcha tout doucement et resta derrière lui en lui mettant les mains sur les hanches
Elle lui chuchota

"J'espère que tu penses à moi bel inconu.."

Elle se mit face à lui, lui sourit, et l'embrassa passionnément..
Cette plage resterait l'endroit de leur rencontre, là où elle a commencé à être heureuse avec son beau chevalier
Elle le regarda et se dit que c'est l'homme qu'elle a toujours voulu, et que ça valait le coup d'attendre cet être si doux et attentionné..
Elle se blottit contre lui embrassant son torse qui était un peu découvert dû à sa chemise entrouverte..

Axe37

Les pensées de Axe37 rejoignirent la réalité...
Sa belle était devant lui, commençant à faire monter sa température.

"J'espère que tu penses à moi bel inconu.."

"A qui d'autres sinon?
Tu as pris en otage toutes mes pensées..."

Le départ attendra, s'arrêter là était au dessus des capacités de Axe37...
Il enlaça son amour, ils commencèrent à tourner, le ciel étoilé comme témoin.

Ils s'allongèrent, prenant forme avec la dune.
La nuit risquait d'être courte pour les deux amants...
Mais ces instants étaient si forts qu'il ne viendrait à l'esprit d'aucun d'eux d'interrompre leur fusion...
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Si vous avez vouloir de faire bien,
C'est le vouloir de Dieu,car le seul vôtre
Est vouloir mal,quand rien n'y a de bien.
Vous avez beau dire le Paternostre...

pnj

Myssie sentait la température montait en elle tout comme elle le sentait pour son bel et tendre amour..

Ils s'allongèrent sur cette plage leur rappelant leur 1ère nuit d'amour...
Myssie sentait son désir et celui de son beau chevalier blond monter en flèche..
C'est une nuit qui s'annoncait douce et torride à la fois
Heureuse, elle se laissa porter par l'amour qu'elle éprouvait pour lui laissant place a une imagination débordante qui allait les mener tout droit au 7ème ciel...

Kiliana

Le lendemain...

Kiliana se promenait sur la plage, pour profiter encore de l'antre de Poséidon, avant le départ... Elle regardait l'immensité bleu-de-gris, fixait un point invisible vers l'horizon. Elle clignait des yeux, et mit ses mains en visière... Quelque chose de puissant l'appelait ici! Une odeur, une atmosphère, un cri sourd, une bouche écumante, un infini serein et violent à la fois...

Elle s'assit et croisa ses bras autour de ses genoux. Elle soupira...

- J'aimerais tant que Theud me rejoigne pour contempler ce spectacle grandiose!

pnj

La 1ère chose que fit Myssie en rentrant à La Rochelle, c'est de venir sur cette plage...
Cette plage qui lui rappelle tant de souvenirs...

Ses ébats avec son beau chevalier blond
Ses fous rires avec Kiliana
Ses soirées à penser, à réfléchir...
Ses nuits passées sur le sable, ivre...

Elle respira l'air marin, fermant ses yeux, profitant de cet instant de bonheur...
Elle sourit, a la fois heureuse d'être ici, et triste d'y être seule

Elle regarda autour d'elle...
Elle espérait voir arriver Kil... Mais non...
C'est vrai qu'elle était partie...
Myssie soupira..

"J'espère que je ne regretterais pas d'être revenue ici..."

Elle resta assise sur la plage, fourrant ses pieds dans le sable...
Elle se sentait un peu seule mais espérait que ça n'allait pas durer..

Cyleblue

Cyle avait décidé de sortir prendre l'air...elle en avait bien besoin, ayant passé la moitié de la journée la demeure....elle décida même d'emmener Limace...la chèvre a Fey.

Bien entendu elle ne manqua pas de lui mettre une corde au cou, la dernière fois dame la chèvre sans corde avait profiter pour s'enfuir...Cyle avait passer toute une journée a la chercher dans tout le village, alors que la bête avait élu domicile dans un enclos de vaches ou elle se prélassait....donc une fois lui avait suffit....la corde et sans discussion possible !

Après avoir traversé la place, contournèrent les champs et se dirigèrent a la plage.....elles avançaient toutes les deux, Cyle admirait l'horizon....au loin on pouvait voir des pêcheurs dans leur barques....et les dunes, les belles dunes de La Rochelle....cet endroit était vraiment idyllique pour les balades seuls ou accompagnés.

Limace avançait difficilement....certainement le contact du sable fin avec ses pattes...Cyle devait s'arrêter de temps a autres pour la faire avancé....mais qu'elle idée elle avait eu d'offrir une t-elle bornée de chèvre a son amie...

Après une bonne et longue balade elle stoppa sa marche d'un coup...quelques chose c'était glissé dans sa botte et la molestait....regardant Limace qui faisait mine d'être épuisée, la langue pendante les yeux exorbités....lui dit...

Mais tu es quoi pour une chèvre toi ?! A part manger tout te fatigue hein....Cyle soupira et passa la corde entre ses genoux qu'elle coinça en les resserrant...elle se pencha pour enlever sa botte, ne faisant aucun attention a Limace qui tournait autour d’elle reniflant le bord de l’eau...a se demander si elle était mi-chèvre, mi-âne et mi-chien....Cyle secouait sa botte pleine de sable, dû surement a la montée et descente des dunes....et puis....au moment de se cambrer vers l’avant....elle eu le temps de voir la corde autour de ses mollets et de crier.....LIMACEEEEEEEEE NONNNNNNNN !!!!!!

Bien ! Alors elle eu droit à se retrouver au sol....mais amortissant la chute de ses mains face contre terre....elle dégusta l’eau salée en plein visage s’éclaboussant avec force....

Cyle se retourna sur le dos...resta quelques secondes sans réagir ....sa coiffure défaite et trempée des cheveux a la poitrine....elle jeta un regard noir a l’animal qui s’en foutait pas mal de son état....elle lui hurla....

Oh mais toi ! Mais alors toi ! Je vais te grrrrr !!!! Sale bête a tête sans cornes ! Elle tira sur la corde d’un coup sec....Je vais te vendre au premier boucher venu !!!! Tu vas voir INSOLENTE ! Il va te découper et faire du saucisson !

Se relevant tant bien que mal, secoua son jupon le releva un peu pour s’essuyer le visage.....et continua à pester vers la bête....celle ci la regardait sans bouger.....Finalement Cyle ajouta....Ben on rentre ! Fini la balade....Regarde de quoi j’ai l’air hein ! Un goujon trempé ! Pffff.....c’est ma journée !

Tirant a nouveau de la corde reparti dans l’autre sens....non sans continuer a parler a Limace la menaçant de mille sévices...que bien sur ne ferrait pas.....
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Philorca

Phil arriva à La Rochelle et n'y trouva pas celui qu'elle venait y voir.

Elle était au courant que son ami n'était pas présent et elle s'ennuyait un peu.
La jeune dame était fatiguée d'avoir tant marché, mais continua un peu dans sa lancé afin de visiter la ville.

Elle marcha encore et encore et fini par arriver à la plage.
Elle s'assit sur un rocher et fixa l'océan pendant un long moment.

L'horizon à perte de vue, elle se noya dans ses pensées...

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Clea...

Mon esprit vagabonde et roule sur la plage en ondulant sur les vagues lascives.
Je laisse la place aux souvenirs et aux images chahutés le long de cette grève.

Improbable et instinctive réaction qui me fait m’allonger face à la marée pour goûter les moindres sensations des vagues qui viennent sur mes pieds..
Toute cette eau comme une caresse, une esquisse à peine ébauchée,qui contre mon corps se presse fait remonter les souvenirs échevelés de nos corps emportés par la passion sublimant l’amour jusqu’à la fusion....

J'ouvre les yeux et reconnait la plage où jadis, nous nous étions déjà aimés...
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Sandrae

Arrivée matinale à La Rochelle. Toujours le même émerveillement, devant l'infini de l'océan... comme tant avant elle, comme tant après elle sans doute aussi. Sautant à bas d'Hadol, Dra fit quelques pas sur le sable. Tête lourde, esprit gourd, tourna en rond. Bon Dieu, mais quelle affaire ! Quelle histoire, tout de même !
Partie la veille en catastrophe de Niort, violente dispute. Elle l'avait laissé là-bas, et seule maintenant elle arpentait la plage.
Tout passe. Ainsi en est-il de l'ivresse. Ne lui restait que les brumes cérébrales.
Ainsi en est-il de la colère. Trois mots auraient suffit, elle serait encore aux côtés d'Iron.

Et puis, avec la bise venue de l'ouest, en chemise de corps, Dieu qu'il faisait froid. A en claquer des dents. Bon, devait bien y avoir une taverne d'ouverte, à cette heure-ci, un feu crépitant, accueillant... Souffle chaud sur sa peau meurtrie par la longue chevauchée. Trouver une cape, une couverture, un bout de tissu pour poursuivre sa route. Impossible de repartir dans cet état.
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Tant va la cruche à l'eau,
Qu'à la fin elle se brise.

Cibeline

Cibeline qui s'était endormis en taverne n'avait pas vu Fayom la quitter. Elle s'était reveillé et phil lui avait dit qu'il reviendrait.
Mais elle voulait le voir pour se promener un peu avec lui sur la plage.
Elle était sortie un peu chancelante de la taverne et marchait lentement.
Ses pas l'amenérent sur la plage.
Ses yeux regardaient cette grande étendue bleu, un sourire de ravissement se peignant sur son visage.
Son regard caressant les vagues, elle ferma les yeux humant l'air iodé.
Elle regarda la plage et apperçut au loin Fayom assis qui faisait comme elle, admirant l'océan.
Elle s'approcha doucement de lui et se positionnant à côté de lui lui murmura :

"Merci mon amour, de m'avoir conduit ici, c'est si beau."

Elle tourna son visage vers lui et lui sourit, son bonheur se lisant sur son visage.

Fayom

Fayom avait quitté la taverne, laissant Cibeline s'y reposer. Ses pas à travers la ville finit pas l'amener sur la plage. Il y marcha un peu puis se posa sur le sable. Le ciel était dégagé et le soleil assez bas sur l'horizon; mais un vent assez fort lui glaçait les os. Il regardait le va et vient des vagues tout en pensant à sa dispute avec sa marraine. Cela l'attristait vraiment mais il voulait pas passer outre. A ce moment là, Cibeline arrivait, s'assit près de lui en disant :

"Merci mon amour, de m'avoir conduit ici, c'est si beau."

Il lui sourit et passa son bras sur ses épaules pour pas qu'elle est trop froid. Puis il lui dit :

Oui mon coeur, mais attends le soleil va se coucher, c'est encore mieux.

Cibeline

Cibeline se serra contre lui, elle frissonnait un peu.
Ses yeux regardaient les vagues et les oiseaux qui plongeaient dedans.
Elle se disait que l'océan était magnifique, et qu'elle resterait des heures là à comtempler cette immensité dans les bras de Fayom.
Elle souriait se disant qu'elle avait enfin vu ce dont on lui avait vanter la beauté, et elle trouvait que les mots employés ne lui avaient pas fait ressentir ce qu'elle ressentait là maintenant.
Elle se serrait contre Fayom et regardait le soleil plonger dans la mer.
Elle était surprise et se demandait comment il allait revenir.

Philorca

Phil sortit de taverne, le coeur lourd.
Elle vint sur la plage dans l'espoir d'oublier, oublier tout ce qui c'était passé.

Découvrir qu'il était passé et ne pas avoir donné signe de vie, pas un pigeon, ni même un coup de vent en taverne, elle avait du mal à le supporter.

Pensait il vraiment à elle? Ressentait il vraiment ce qu'il lui avait dit?

Tout un tas de questions se chamboulait à l'orée de son cerveau.

Avait elle fait le bon choix?

Elle était sure d'une chose: ses sentiments à elle.

Elle se balada, les pied dans le sable frais et humide de la nuit.
Elle erra pendant des heures, la fatigue la prenait.

Elle se posa quelque instants, puis le sommeil étant de plus en plus insistant, elle finit par s'allonger sur la sable, le regard humide courant vers l'horizon d'un bleu noirâtre.

Ses paupières se fermèrent sur cette ultime pensée: l'avait il oublié?

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pnj

Comme à son habitude, Myssie marchait sur sa plage, les pieds dansle sable et les cheveux au vent..
Elle était bien sur cette plage..
Elle repensait à sa soirée d'hier
Elle était contente que ce soit arrangé avec certaines personnes et déçue d'avoir appris le mensonge et l'hypocrisie de certains...

Myssie soupira, puis, au loin, elle vit une fine silhouette au cheveux dorés
Elle sourit, elle l'avait reconnue et s'approcha doucement
Puis sans la brusquer elle lui dit

" Bonjour Phil.. Vous m'avez l'air triste ? Encore à cause d'un méchant blond ?"

Myssie lui sourit amicalement et reprit

"Ca vous dite de vous balader avec moi sur la plage ? On pourra parler si vous voulez ?"

Elle la regarda...

Philorca

Phil entendit quelqu'un parler près d'elle, elle ouvrit les yeux et aperçue Myssie.
Elle se redressa et se frotta les yeux.
Non! elle s'était endormie là, sur la plage ...

B'jour Myssie...
Non ça va je te remercie... Le méchant blond comme tu dis... pas signe de vie...

Elle la regarda puis lui sourit.
Elle se releva et désensabla ses vêtements.

C'est avec plaisir que je ferais quelques pas avec toi, la plage est magnifique...
Je ne connaissait que celle de Dunkerque mais hier au couché du soleil, je me suis rendu compte que ça n'avait rien a voir... Comme quoi l'eau n'est pas la même partout...

Elles commencèrent à faire quelques pas ensemble, la brise matinale caressant leurs minois.

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Cibeline

La nuit avait été fantastique a resté près de cet océan si beau, les étoiles se reflétant, les vagues venant mourrir sur le sable.
Cibeline avait écouté le son de ces vagues et était resté contre Fayom admirant cela.
La journée avait été longue, ils étaient repartis à la pêche avec leur barque et lors de leur retour, Fayom était parti se reposer et il préparait le repas. Cibeline avait besoin de se dégourdir les jambes et marchait lentement sur le sable, elle ramassait des coquillages en pensant à Angéle se disant que cela lui plairait surement et qu'elles feraient des colliers de coquillage toutes les deux.
Elle marchait pensant à Fayom et regardait la mer.

Elle s'apperçut que le soleil se couchait et s'assit sur le sable profitant de cette magnifique vue, se disant qu'il faudrait qu'ils reviennent ici tous ensemble.

Fayom

La journée fut poissoneuse, Fayom commençait à avoir un bonne technique, qu'il perfectionnait à chacun de ses voyage ici. Une fois qu'ils avaient pris une quantité suffisante de poissons, ils revinrent au port. Là leur chemin se séparèrent, Fayom retournant à l'auberge pour vider les poissons pendant que Cibeline allait flâner.
Plus tard, les poissons vidés et mijotant dans la marmite, Fayom partit à la recherche de sa douce. Il mit pas trop de temps à la retrouver, il savait qu'elle serait sûr la plage. Elle était fascinée par la mer et le couché du soleil hier l'avait émerveillée. Il la vit un peu plus loin assise, les yeux fixés sur le va et vient des vagues. Il la rejoignit et s'assit à côté d'elle. Elle lui sourit et vint se blottir dans ses bras. Fayom adorait l'avoir contre lui, et touvait que les quelques jours les séparant de leur mariage, interminables. Il lui déposa un doux baiser sur sa tête et regarda avec elle la mer.

Philorca

Phil tout fraichement réveillée avait regardé un instant l'homme à ces cotés puis après lui avoir fait un baiser, elle était sortie se dégourdir les jambe et respirer le bon air frais de la plage.

Elle marcha un petit moment puis s'assied dans le sable et regarda l'horizon.
Elle repensait à cette longue semaine d'attente, où chaque minutes lui paraissait être des heures...
Elle repensa à son entrée hier soir en taverne, où elel n'avait su dire mot alors que lui s'excusait...

Mais qu'esse tu peux ête cruche ma pov'fille!

Des jours, des heures, des minutes, des secondes passées à l'attendre, a s'inquiéter, à se poser des tas de question et à finir par douter...
Tout cela était le passé, elle devait à présent l'oublier et penser à l'avenir...

L'avenir.. ahhh l'avenir... que lui réservait il?
Elle avait une sainte peur de l'avenir, tant de déceptions vécues, tant de promesses qui lui avaient ét faites...
Elle respira un bon coup et se jura de tout faire pour réussir cet avenir qui s'ouvrait à elle.

Elle eu également une pensée pour Myssie, cette plage qu'elle aimait tant...
Une idée vint lui traverser l'esprit et elle se dit qu'il faudrait qu'elle en parle à Cyle et au Maire à l'occasion...

Elle resta là, à fixer ce bleu océan, la mer était calme aujourd'hui, le soleil printanier faisait son apparition, tout était présent pour que se soit une belle journée...

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Anggy

anggy s approcha de phil par derriere elle l a poussa dans l eau
anngy se mis a rire de bon coeur
alors ma phil t es idees sont remise en place ou tu veux enore un bain de tete
parceque je suis prete a te faire changer d avis ma belle
Phil regarda Anggy et lui fessait non de la tete qu elle n avais pas changer d avis
Anggy pris les cheveux de Phil et replongea sa tete dans l eau
Anggy le regarda un moment t en veux encore!!!????

Philorca

Héééééééééééééééééééééééé !!!!!!!!

Mais ca va pôôôôôôôô !!!!

Pouarfff ..

Phil recrache toute l'eau.
Puis se retourne vers Anggy:

mais ça va pô la tête? tu veux me noyer ou quoi?
Je peux pas Anggy, je dois finir ce que j'ai commencé, je te jure que je reviendrais, je vous l'ai promis et je n'ai qu'une promesse...

Elle s'échappa des mains d'Anggy et se releva en essorant ces cheveux et sa chemise:

C'est malin.. maintenant suis bonne à tordre! Pffffff

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Anggy

Anggy se trouva seule les tavernes etaient fermées alla sur la plage faire un ptit tour pour se changer les idees

Carmena

Carmena en cette belle après-midi ne savait quoi faire...

Je n'ai pas ma boulangerie, ni mes champs, ni le marché....

Elle regarda calixte, le prit sur ses épaules!

Allez! on va faire des patés...

Ils s'installèrent à l'ombre de peur que Calixte n'attrappe un coup de soleil... Carmena envoya des pigeons à droite à gauche et Calixte s'amusait paisiblement. Carmena regarda autour d'elle...

On va bien croiser du monde et ton père va bien finir à arriver... lui qui adore les promenades en barque!

Xavix

Xavix avait profité de la belle journée pour faire le tour du village qu'il n'avait pas visité depuis quelques mois. Après avoir rempli ses obligation il se décida a rejoindre Carmena et Calixte sur la plage et les retrouva à l'ombre d'un arbre affairés a construire un château de sable...

il s'approcha discrètement de sa princesse et du p'tit et arrivé a leur hauteur se jeta sur Carmena et la roula dans le sable la couvrant de baisers. Mais Calixte un peu jaloux qu'on lui vole sa maman, ne mit pas longtemps a écraser le beau chateau de sable de colère !

Carmena et Xavix se mirent a rire en le voyant faire.

allez hop ! changement de programme ! Venez je vous emmène dans mon grand bateau ! on va attaquer les pirates !

Xavix détacha sa vieille barque de son amarre et la mit a l'eau, attrapa le petit Calixte et l'assis soigneusement dans la barque puis attrapa Carmena a son tour et la porta jusque dans la barque, ne manquant pas de trébuché volontairement pour lui faire prendre un bon bain au passage ! Calixte rigolait de voir sa mère toute trempée et la belle équipe s'éloigna de la plage en chantant et lançant quelques hameçons au large avec l'espoir qu'un gentil poisson viendrait y mordre histoire de se faire une bonne grillade ce soir comme dans leurs bons souvenirs...
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Carmena

Après avoir survécu au roulage dans le sable, et à la trempette dans l'eau, Carmena ne ressemblait plus à rien du tout!!! Mais bon elle était bien heureuse de profiter de ces petits moments de détente et de bonheur en famille! Elle voyait son fils qui ne pouvait s'arreter de rire...

Non mais dis donc Calixte on ne se moque pas de sa maman... mais de son papa si!!!!!!

Elle attrappa xavix et TENTA de couler mais bon Xavix est un peu plus costaud qu'elle! Ainsi ils partirent tous les trois au large afin de montrer leur talent de pêche à leur fils qu'ils aiment tant!

Sarlete

Après s'être reposée du voyage, Sarlete alla tourner dans le village, elle aperçu non loin la plage et decida d'y faire un tour

belle plage...il va falloir que je tire Tsu pour profiter de cette belle plage, sans doute à trvailler dans un champ, ce sera pour plus tard alors

Sarlete otât ses chaussures et marcha dans le sable mouillé, profitant de ce beau soleil qui rayonnait cet après midi

pnj

La première chose que fit Myssie en revenant à La Rochelle c'est de venir sur la plage...
Elle revenait aux sources...
L'endroit qu'elle aimait tant et qui lui valut ce petit sourire qu'elle faisait toujours quand elle se trouvait dans cette endroit

Elle n'hésita pas une seconde...
Elle enleva ses chausses et courut très vite dans l'océan, plongeant la tête la 1ère, tout habillée..

Elle remonta à la surface, et éclata de rire !
Elle regarda son ventre et dit :

"Alors, bébé, aimes tu l'océan ??"

Myssie rit de plus belle, heureuse de retrouver ses repères..
Puis, toute contente, elle cria :

"BONJOUR LA ROCHELLLEEEEE !!!"

Tsuky

Tsuky, de passage a La Rochelle, prit le temps de se balader sur la plage.
Assit dans le sable, les yeux rivés sur cette grande étendue d'eau, le vent dans les cheveux, Tsuky pensait a son aimée et au futur bébé... garçon? fille? puis serra-t-il a la hauteur??? réussira-t-il à trouver le juste milieux entre la liberté et le confinement de l'enfant???.

Sarlete

Sarlete s'ennuyant toute seule, partit marcher un peu sur la plage.Elle vit son epoux assis dans le sable, l'esprit bien loin.Elle arriva derrière lui sans faire de bruit puis lui ferma les yeux avec ses mains.Voyant son tendre sursauter, elle lui chuchota à l'oreille
Quoi?tu te permets de regarder les étoiles sans ton aimée?Déjà fatigué de moi et ton futur bébé?

Sarlete vint s'asseoir auprès de son tendre à contempler cette eau bleu et toutes ses étoiles dans le ciel.Elle se leva soudain et entraina son tendre dans le sable mouillé, laissant l'eau froide leur passer sur les pieds.
Au fait as tu eu le temps de prendre un bain ce soir?sinon en voilà un bien froid....je pourrai te rechauffer plus tard si tu en as besoin

tout en eclatant de rire,Sarl prit l'eau dans ses petites mains et commença à mouiller son tendre .celà l'amusait bien, voyant Tsu prendre l'eau dans ses mains,Sarlete essaya de s'eloigner mais trop tard,elle etait à moitié trempée
Ehhh tu vas me le payer toi, gaffe à toi si je t'attrape

Elle courut après lui puis le fit tomber dans le sable.Emportée dans la chute avec son Tsu, Sarl retrouva son corps contre celui de son tendre et se mit à l'embrasser tendrement

Tsuky

En milieux d'après-midi, Tsuky et Sarlete arrivèrent à la plage pour se baigner un peu, histoire de profiter. Mains dans la mains, voila que leurs pieds nue se posât l'un après l'autre sur le sable fin et propre de cette plage.

C'est vrais que le jour ce n'est pas comme la nuit a la plage... ca a un tout autre charme tu ne trouve pas mon ange?

Sarlete

Sarlete profita de ce beau soleil avec son epoux.Ils allèrent ensemble se baigner, vêtue de leur haillon, il se dirigèrent main dans la main dans l'eau
Oui, la nuit à la plage est beaucoup plus agréable, sentir la brise sur ton corps le vent dans les cheveux....c'est tout autre chose la journée.La journée on plonge dans l'eau

Sur ces mots, Sarlete lacha la main de Tsu et courut faire un plongeon tel un poisson.Elle ressortit la tête quelques secondes plus tard et cria à son tendre
tu viens nous rejoindre?ton bébé demande son père

Tsuky

Tsuky rit un moment puis la suivit en courant. il plongea, nagea jusqu'à coté de son aimée et sortit la tête de l'eau
C'est vrais qu'une fois qu'on y est elle n'est pas si froide que ça

Puis Tsuky enlaça son aimée et l'embrassa tendrement avant de retourner nager un peu

Sarlete

je te l'avais dis, puis si on a froid, on se rechauffera de façon reciproque...tu vois ce que je veux dire non?enfin, si tu veux bien

Sarlete eclata de rire et s'approcha pour l'embrasser puis se remit à nager un peu avant de se retirer sur le sable
Elle etala une couverture dans le sable puis s'allongea, elle posa ses mains sur son ventre qui deja commençait à grossir et contempla les reflets du soleil sur l'eau
Tsu sortit plus tard de l'eau et vint s'allonger près d'elle.Sarl admirait le futur père à ses côtés

fille ou garçon, j'espère qu'il te ressemblera,toujours rayonnant de joie et travailleur

puis elle lui sourit

Philorca

Après avoir erré un long moment dans les rues du village à repenser à sa vie passée en Flandres, son voyage puis son arrivée à La Rochelle, à toutes ces phases qui furent plus ou moins faciles, la tristesse coulait sur ses joues.

Phil arriva sur la plage, regardant l'horizon fixement pendant quelques instants, elle pensa à Math... Celui qu'elle aimait, mais qui lui manquait à point... Son coeur se mourrait de ne pas être à ses cotés... Son absence lui pesait tellement qu'elle n'osait plus aborder le sujet et gardait tout cela pour elle. Mais ce soir... ce soir, c'était trop, elle craquait, elle se sentait seule abandonnée, ses amis avaient beau être la, ils ne remplaçaient pas son amour...

Sans se rendre compte de son geste, elle avança doucement vers l'océan.
Une voix lui murmurait:

Viens... viens avec moi... je suis là pour toi... tu ne seras plus seule... approches....

Sans pouvoir réfléchir, lasse de cette solitude, lasse de souffrir et de faire souffrir ceux qu'elle aimait, elle entra dans l'eau et suivi la voix qui l'emmenait de plus en plus loin...

Les seuls mots qui sortirent de sa bouche furent pour son amour:

Math, je t'aime...

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Cyrano_de_bergerac

Cyra se précipita sur la plage après avoir eu connaissance du courrier de Phil.

Il l'aperçu, avançant dans l'eau, les genoux déjà mouillés.

PHILLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL

Cyra couru vers elle.

PHILLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL

Philorca

Phil entendit vaguement une voix familière l'appeler.
Elle n'eut pas le temps de se retourner pour voir de qui il s'agissait:

Mathhhh...

Déjà bien au large, son corps sombra petit à petit dans l'eau froide de cette soirée.
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Cyrano_de_bergerac

Cyra plongea dans l'eau glacé et nagea contre le courant.

PHYLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLl

Philorca

Phil reprit conscience de ce qu'elle était entrain de faire.
Elle réagit du mal qu'elle était entrain de faire à ceux qu'elle aimait.
Elle tenta de garder la tête hors de l'eau mais le courant était trop fort, ses forces l'avaient peu à peu abandonné.
Elle avait beau se débattre, son corps était attiré par la profondeur...

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Cyrano_de_bergerac

Cyra la rattrapa enfin et la pris par les épaules.

Phyl aide moi ou on vas y rester tout les deux ! ! !

Il nagea du mieux qu'il pu vers la plage.

Philorca

Phil sentit une présence l'attraper et revit la clarté de la surface. Elle était à moitié consciente et ne comprenait pas ce qui se passait, elle ne reconnu pas celui qui la tenait hors de l'eau.
Ces seules paroles étaient le nom de son bienaimé. Elle répétait en boucle son nom.

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Cyrano_de_bergerac

Cyra nageais, il avais l'impression de parcourir des kilomètres, mais au moins elle ne se débattais pas et il progressais doucement.

Allez Phil, tiens le coup

Philorca

Phil repris un peu ses esprit et vit que cette personne qui se démenait pour la sauver était Cyrano.
Ses force l'avaient abandonné, elle ne sentait plus son corps. Le froid le remplissait, comme un immense vide.

pardon Cyra.. pardon...

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Cyrano_de_bergerac

Cyra voyais enfin la plage dans la lueur faible de la lune. Ses forces l'abandonnais mais il donna un dernier effort et senti le sable sous lui comme un cadeau pour son énergie.

Il hissa Phil sur la plage et alluma un feu près d'une barque renversée.

il laissa la chaleur les envahir.

Philorca

Phil frissonnait en sentant une faible chaleur parcourir son corps endolori.
Elle entrouvrit les yeux et vit Cyra à ses cotés.
Elle tourna la tete et aperçu un feu.

Cyra... pourquoi? pourquoi ai-je fait ça?

Des larmes coulaient le long de ses joues. Son coeur était lourd quand elle se rendit compte de son acte.

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Cyrano_de_bergerac

Cyra ne pouvais pas répondre a sa question.

il l'as laissa pleurer doucement

Philorca

Phil se calma petit à petit.
Le feu la réchauffait, ses larmes cessèrent de couler, elle reprit ses esprits...
Cyra lui proposa de l'accompagner en taverne afin de boire une tisane bien chaude après cette frayeur.
Elle accepta et se leva, encore un peu fragile sur ses jambe en le regardant:

Merci Cyra d'avoir été là...

Cyra lui tendit son bras et ils partirent tous les deux en direction du village.

[HRP: un grand merci à LJD Cyrano qui m'a suivi dans ce rp improvisé

En espérant qu'il y en ai d'autres qui suivent la prochaine fois ]
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Sarynaya

Sarynaya comme bien souvent auparavant suivait le chemin sinueux qui la menerait à la plage. La plage, comme elle lui manquait, elle savait bien qu'elle était souvent distraite et absente mais c'était comme ça. Depuis que l'homme qu'elle aime l'a quitté elle à du mal à vivre et pourtant elle devrait car au fond en valait-il vraiment la peine.

Elle prit une grande inspiration, l'air marin chatouille ses nariens et elle frissona, comme elle aimait le doux parfum de la mer. Le vent se fit plus froid et elle bifurqua enfin pour arriver à son but.

Ses yeux se délectèrent de la vue et elle sourit, elle était forte, elle savait qu'elle pouvait tout surmonter. Si jeune et déjà tant de peine mais qu'importe elle y arriverait.

Elle ferma les yeux et pensant, à sa soeur si loin, aux deux hommes qu'elle avait aimé, qui l'avait trahi. Ses chers amis qui malgré ses longues absence lui restaient fidèles. Tant de personne parti, tant de nouveaux visages mais au fond rien de change, même si tout autour est différent.

Elle avanca et s'assoya sur le sable, laissant errer son regard vert sur le bleu azur du ciel et le gris ardoise de la mer.

Malvina.

Après de longs mois d'absence, Malvina était revenue, dans le Poitou, à la Rochelle sa ville natale. Il en était passé de l'eau sous les ponts, ou plus exactement moultes vagues étaient venues se fracasser sur les rochers. En arrivant à la Rochelle elle rechercha en vain les différents lieux qu'elle avait pu fréquenter alors. Ils étaient fort peu nombreux, mais elle eut la déception immense de découvrir que le domaine de la Rose Noire avait été détruit, sans doute trop longtemps abandonné. Ce grand domaine était bien trop grand à entretenir pour un homme seul. Elle se rappela aussi, sa ballade sur la plage, le chemin était peu entretenu désormais pour s'y rendre, les personnes qu'elle croisa n'y restaient que fort peu de temps, des bonnes gens pressées sans doute ...

Elle déambula lentement sur la grève, retrouva le rocher sur lequel elle avait pris quelque repos, leva la tête vers le ciel et observa les étoiles. De grands changements étaient intervenus durant son voyage, mais tout cela était-ce de bonne augure ? Ses souvenirs défilèrent au rythme des nuages ...

Le départ, le grand départ en compagnie de mon oncle et de l'escorte royale ... et déjà ... l'envie de voler de mes propres ailes ... l'attaque de Roy lorsque nous sommes rendus à Poitiers ... ma fugue jusqu'à la Trémouille et me voilà contrainte à attendre une escorte ... fin du premier voyage ... Aurillac ... le mariage d'une amie ... une rencontre ... fabuleuse ... Jabel ... celui qui hante mon coeur à tout jamais ... nouveau voyage en sa compagnie ... Saint Bertrand de Comminges ... sa ville, ses amis, ses repères ... période magique, surnaturelle ... amour partagé, amour pour toujours ... et ...

Malvina grimaça alors de douleur, sa vie d'avant s'est arrêtée net ce jour là alors qu'ils partageaient de jours heureux. Elle fut contrainte à fuir, à le fuir, à l'abandonner et il en mourut. Malvina marcha pendant des jours seule, jusqu'à l'épuisement. Elle fut recueillie en chemin par un groupe de voyageurs et séjourna quelques semaines avec eux dans une demeure au combien délabrée.

Jusqu'au jour où, la providence frappa à nouveau à sa porte. Benrus, l'ami de Jabel, le seul qu'elle n'avait jamais rencontré et qu'il lui semblait connaître pourtant, entra en taverne et lui avoua que depuis l'annonce de la mort de Jabel, il était parti sur les chemins à sa rencontre. Ils partagent désormais le souvenir d'un ami et continuent à le faire vivre en évoquant les moments passés en sa compagnie.

Benrus ... j'ai perdu de ma jeunesse ... de mon inocence ... la mort de Jabel m'a transformée ... je me sens femme désormais.

Malvina s'extirpa de ses rêveries et longea la plage. La froidure de la nuit la saisit, il aurait été raisonnable qu'elle rentra chez elle pour se réchauffer et trouver le repos enfin. Mais Malvina était encore bien trop fougueuse, ses souvenirs la hantaient de trop désormais pour que la sérénité, l'apaisement et le sommeil puissent laisser son esprit en paix. Alors elle marcha ainsi jusqu'au bout de la nuit, espérant que Benrus aurait l'idée de venir à sa rencontre ...
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pnj

Myssie était encore de retour dans sa chère ville...
L'appel de la plage était le plus fort...et ça lui manquait de ne plus voir cette immense étendue d'eau et son sable chaud..

Elle marcha au bord de l'eau, pensive..
Elle repensait à tout ce qui lui arrivait en ce moment...
Elle regarda son ventre et posa sa main dessus...

Sans le vouloir, ses larmes coula...
Elle se sentait si seule... Elle ne savait pas pourquoi mais son coeur était vide et avait mal...

Elle s'arrêta et regarda l'océan au loin, ses larmes se rajoutant a ce magnifique paysage..
Jusqu'où irait-elle ? Est-ce que ses larmes atteindront d'autres pieds à l'autre bout ?

"Pfff... Tu dis vraiment n'importe quoi ma pauvre..."

Elle s'assit au bord de l'eau, les vagues caressant ses pieds allant jusqu'au bas du dos..
Elle était habillé mais ça n'avait aucune importance..
De toute façon elle était déjà inondée à l'intérieur de son coeur...

Elle resta seule sur sa plage.. comme d'habitude... hypnotiser par cette magnifique vue brouillées par les larmes..

Malvina.

Malvina marcha ainsi longuement ... Elle réalisa qu'il se faisait tard alors que le soleil était couché depuis fort longtemps. La plage était déserte. Même les oiseaux étaient endormis. Ben n'était pas venu ... Sans doute la cherchait-il au village, ne se doutant point que l'appel de la plage avait été bien trop fort pour elle ? Elle se promit de revenir avec lui, lui faire découvrir ce lieu magique qui réveille les sens. Il était temps qu'elle rentra, avant qu'il ne s'inquiéta trop de son absence. Alors elle reprit le chemin du village et laissa derrière ce lieu qui lui tenait tant à coeur pour aller rejoindre celui qui savait tant la combler de bonheur.
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Philorca

Phil avait profité de la marée basse pour installer l'endroit.
Depuis un petit bout, elle parlait d'organiser un repas sur la plage.
Son ami Cyle, n'étant pas là, elle hésita longtemps avant de se décider à le faire quand même.
Elle partit de bonne heure faire son marché et pris ce dont elle avait besoin pour le repas.
Manquait plus que les desserts. Il était prévu que ce soit Anggy qui s'en occupe.
Phil arriva donc sur la plage, avec une charrette, le tout n'étant pas transportable a bout de bras.

Une fois sur le sable, elle vida entièrement son aide du moment et installa les couvertures au sol, puis sortit les paniers.

Elle vida un a un les paniers qui étaient composés de différents fruits comme des pommes, des poires, des bananes, des cerises...
mais aussi de légumes, comme des courges, des carottes, des champignons...

Une fois tout déchargé, elle se mis face à l'océan et partit à rêver.
Cette vaste étendue renfermait tant de choses, tant de trésors, de confessions, personne ne pouvait résister à son silence.
Quoi qu'on lui confie, jamais elle ne trahirait ce secret.
Le calme et la sérénité que l'on pouvait trouver ici n'avait aucun prix, rien ne pouvait remplacer cela...

Après un bon moment dans ces songe, elle s'installa sur le sable et attendit les rochelais en espérant qu'ils soient nombreux...

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Akashia

Akashia et Sylphide se baladaient sur la plage en se tenant par la taille.
Ils ne disaient pas grand chose car la présence de l'un et l'autre dans ce magnifique panorama leur suffisaient amplement.
Ils souriaient tout simplement heureux d'être ensemble et d'être arrive enfin a destination en un seul morceau.

Akashia était néanmoins nerveux. Quelque chose le tracassait et ne savait comment le dire a son amour.
Il s'arrêta et la prit dans ses bras en regardant l'horizon puis en plongeant son regard dans le sien.

Mon Amour ... Il perdit ses mots et préféra l'embrasser avant de se trouver en fâcheuse posture.

Puis ils reprirent leur ballade.
Le soleil commençait sa descente et le ciel prenait des teintes comme le meilleur artiste n'arriverait a reproduire ni sur sa palette, ni sur sa toile.
La Nature était toujours la meilleur et la plus belle dans se genre de situation.
Akashia était serein ... et pourtant ne trouvait pas ses mots ...
Il savait que c'est ce qu'il voulait depuis quelques temps maintenant mais ne parvenait pas a l'exprimer ...
Ils continuèrent leur balade...
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A vaincre sans peril ... On triomphe sans gloire ...

Oderint Dum Metuant

Anggy

Anggy arriva avec ce qu elle avais promis

je vous souhaite une bonne soiree

Philorca

Phil vit Anggy arriver:

Hummmmmmmmm !!! ANGGYYYYYYYYYYYYYYYYYY

Ohhhh ma belle... hummm... t'es une reine!
Viens on va boire un coup pour fêter ça! et pis c=ça fera peut etre venir les autres!

Elle sourit a son ami, lui fit un gros bisou et l'emmena boire une tisane devant l'horizon...

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Anggy

BEEEEEEEEEEEEEEEERRRRRRRRRRRKKKKKK
encore de la tisane pffffffffffff commence a n avoir marre
oui asseyons nous et regardons l horizon avec une bonne biere heuhh je veux dire tisane

Muzelinne

Muse avais été invité par phil qui avais fait un pic nic, sur la plage et vue le beau soleil de printemps elle c était dit que c était une bonne idée

elle avait demander a cyra qui lui était tout a fait d accord

elle avait preparé un panier garnit ,..

et cyra devais arrivé bientot avec Toine
salut Phil bonne idée que ta eu ma belle ,

ouops je pose se panier qui est un peut lourd

et bien voila elle s asoie auprès de phil,
et ote ces chausses

oups le sable est un peut froid
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MUZELINNE maman du petit Toine
TRIBUN DE LA ROCHELLE
boulangère

Cyrano_de_bergerac

Cyra arriva juste après son amour, il c'était dit qu'un peu de mousse devrai plaire a ses assoiffés d'amis. . . . .

Salut tout l'monde, j'amène du ravitaillement.

Cyra redressa le tonneau qu'il avait emporté.

Xedar

Xedar arriva sur la plage,il vit plus loin sur sa droite le monde commençant à se rassemble pour pic niquer.
Il avait ramener de la viande pour la faire griller sur un feux,ainsi que bien entendu du boix pour allumer le dit feux.

Il posa ses affaires,salua les personnes présentes puis il s'assis à cotés de philorca.

Il lui prit la main puis y posa un baiser.

Comment vous portez vous?

Je doit avouer que votre idée de pic nic est exellente cela faisait très longtemp que je n'avait pas mis les pieds sur la plage.

Puis il laissa tomber sa tete sur le sable en comptempmant l'horizon.
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Philorca

Phil accueillit Muze puis Cyra qui suivait tout juste:

venez vous assoir, tu as raison Muze, pose ça là et viens près de nous...

Quand elle vit les fûts, Phil fit un grand sourire au bienfaiteur...

Hummmm Cyraaaaaaaaaa qu'elle bonne idée, je n'avais que de la tisane!

Elle rit puis en se retournant, vit arriver le lieutenant. Elle se stoppa net, de étoile brillèrent soudain dans ses yeux et son coeur se mit à battre la chamade...

Elle le regarda s'avancer vers elle, puis s'assoir à ces cotés. Elle n'en revenait pas qu'il soit passé si tôt.

Contente de vous revoir lieutenant...

Aux caresses de ses lèvres sur sa main, elle frémit et se mit à rosir. C'était la première fois qu'il lui montrait une preuve d'affection devant autant de personnes.

Quand il se fut allongé, Phil le regarda un instant, n'osant faire aucun geste, puis finit par poser sa main délicatement sur son front et exerça de douces caresses en le regardant tendrement.

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Sylphide

Découvrir la magnificence de l’Océan en compagnie de son tendre amant, Sylphide n’aurait put imaginer mieux. Le bruit presque assourdissant du ressac, les vagues venant mourir doucement sur la plage pour mieux revivre au large, la falaise surplombant le tous comme un écrin…

Que de merveilles, que de sensations nouvelles…pensa t elle en humant avec ravissement l’air salin.

Marchant côte à côte, hanche contre hanche, appréciant se moment de calme et de sérénité, profitant simplement de la présence de l’autre. Sylphide sentait encore bien sur une certaine nervosité chez son compagnon mais mettant ça sur le compte de ses nouvelles responsabilités qui lui incombait, elle ne posait pas de question après tous la journée était si belle…Parfaite même…

Akashia s’arrêta et la pris dans ses bras…

‘’Mon amour…’’

Levant les yeux sur lui elle le regarda intrigué par son ton. Jamais son aimé n’avait eu cette intonation hésitante avec elle…Comme s’il se retenait de dire une chose…Pourtant ils ne se cachaient rien d’habitude…Il plongea alors son regard dans le sien, l’embrassa et comme toujours la magie agissant elle en oublia ses inquiétude du moment, le temps du baiser tous du moins…

Répondant à son étreinte avec passion, toujours aussi amoureuse de se forestier si cher à son cœur, l’œil vague, elle le suivit lorsqu’il se remit à marcher sur le sable doux de la plage l’esprit un peu embrumé. Reprenant doucement contact avec la réalité après ce moment d’égarement la curiosité de la Louve reprenant le dessus, l’inquiétude aussi, elle s’interrogea sur les hésitations quelle avait perçut dans la voix de son amour.

S’arrêtant et se plaçant devant lui le regard plongé dans le sien elle dit simplement…

‘’Mon amour… tu es inquiet... Tu sais que tu peux toujours compter sur mon soutien. Dis moi…Si je peux t’aider je le ferai…’’
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Akashia

L'océan venait leur lécher les orteils et certaines vagues plus fortes que d'autres montaient l'eau jusqu'aux genoux puis repartaient emmenant du sable autour d'eau.
Leurs pieds s'enfonçant de plus en plus. Cette sensation l'amusait a chaque fois tandis que ses pieds disparaissaient ...

Akashia prit une grande inspiration il regarda un instant au dessus de l'épaule de son Coeur et regarda le soleil rougeoyant et y puisa tout le courage dont il avait besoin

Mon amour, cela fait maintenant plusieurs mois que nous sommes ensemble.
Nous avons déjà vécu beaucoup d'expériences ensembles.
Grace a toi je suis devenu chef de notre Meute.
Tu fais de moi le plus heureux des hommes ...
Je suis heureux a tes cotès et triste des que je te sens loin de moi.
Tu es mon rayon de soleil qui chasse les ténèbres.
Tu es ma lune qui éclaire mon chemin la nuit.
Tu es le vent qui chasse les nuages.

Il rougit en se disant que ce qu'il disait devait paraitre bien fleur bleue ...

Enfin la ou je veux en venir c'est que je voudrais que tu partage ma vie.

Il tomba a genoux et lui prit ses mains. Le bruit des vagues leur faisait la musique tandis que le couchait de soleil finissait le tableau idyllique. Il est la ou il voulait avec qui il voulait ... Il attendait ce moment depuis longtemps ... Même s'il doit dire qu'il appréhendais la réponse ... il redressa la tête et la regarda droit dans les yeux

Ma Louve, Mon Amour ... Veux tu m'épouser ?!?!?!
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A vaincre sans peril ... On triomphe sans gloire ...

Oderint Dum Metuant

Sylphide

Sylphide un peu nerveuse le regarda prendre son souffle, éviter son regard comme s’il puisait dans l’horizon la force de parler…Enfin il parla, les mots sortaient de sa bouche comme un flot continu de douces caresses pour son cœur…
Rougissant, il hésita soudain, Sylphide sourit tendrement. Gaia! Comme elle aimait cet homme!…

Enfin la ou je veux en venir c'est que je voudrais que tu partage ma vie.

Surprise par ses paroles autant que de le voir tomber à genoux devant elle lui tenant les mains le regard fervent plongé dans le sien. N’habitaient ils pas déjà ensemble partageant tous même, la meute…

Ma Louve, Mon Amour ... Veux tu m'épouser ?!?!?!

Médusé, Sylphide en resta sans voix…le souffle suspendue et le cœur manquant un battement le temps que de bien comprendre les paroles de son aimé…Rompant un instant le contact visuel pour plonger son regard loin au dessus de sa tête elle inspira à fond…

Veux tu m’épouser?…

Répétant doucement les paroles de son amour comme pour en apprécier les intonations, douce musique à son oreille, sourit tendrement et revint à son regard s’y plongea, éperdument amoureuse de ce merveilleux homme. Lui retirant l’une de ses mains la posa avec amour sur sa joue.

Mon amour, mon cœur et ma vie t’appartienne déjà…Bien sûr que je le veux, plus que tous même…
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Akashia

ELLE A DIT OUIIIIIIIIIIIIIII
ELLE A DIT OUIIIIIIIIIIIIIII
ELLE A DIT OUIIIIIIIIIIIIIII
ELLE A DIT OUIIIIIIIIIIIIIII

Akashia sautait partout ... courait dans les vagues ... puis revenais sur la plage ...

Akashia prit Sylphide dans ses bras et ils tournoyèrent tout les 2 et il l'embrassa avec tout son amour.

Il ne voulait plus la lacher ... Ni maintenant ... ni plus jamais !
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A vaincre sans peril ... On triomphe sans gloire ...

Oderint Dum Metuant

Philorca

Phil interloquée par des cris, tourna la tête et aperçu deux silouettes au loin.
Elle se retourna vers Cyra:

Dis Cyra, tu ne voudrais pas allez voir qui est ce et les ramener avec nous stp? Plus on est de fous plus on rit...

Elle sourit , mais ne bougea pas d'un poil.
Être aussi près de lui, pouvoir le toucher, lui donner de la tendresse, elle n'aurait voulu pour rien au monde que cela s'arrête...

Cyra stp...

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Sylphide

Le voyant courir, rire et patauger dans les vagues comme un gamin heureux, Sylphide sourit heureuse de se bonheur partager. Le voyant revenir vers elle en courant elle rit de se voir soulevé tournoyer dans ses bras. Éclatant de rire comme une gamine à son tour et ouvrant en grand les bras pour mieux faire connaitre son bonheur à la terre entière elle hurla à tous rompre…

JE T’AIME ! JE T’AIME ! JE T’AIME!!!!!!!!!!!!!!!!

Puis reprenant son souffle et posant les mains tendrement de chaque cotés de son visage, plongea son regard dans le sien, se laissant glisser contre lui lorsqu’il la ramena à ses lèvres pour l’embrasse avec amour…Répondant à son étreinte elle lui offrit tous son amour dans un échange des plus ardent…Jetant ses bras autour de son cou, couvrant son visage de miles baiser, une larme de bonheur roulant sur sa joue, elle soupira enfin. Se blottissant contre son Aimé...Posant l’oreille sur sa poitrine, écouta son cœur battre en total accord avec les éléments les entourant…

Murmura doucement.

Amor mio, mi corazone…mi Espozo…………..

Sourit avec tendresse en prononçant les derniers mots…
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Xedar

Xedar était assis à comptempler l'océan lorsqu'il sentit un main se poser sur son front.Il souriat puis il se redressa pour poser un baiser sur les lévres de philorca.

Qu'il est bon d'être ici.
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Philorca

Phil fut agréablement surprise par ce baiser...
Elle regarda le lieutenant avec tendresse et lui sourit, des étoiles plein les yeux

Oui très bon, on devrait venir plus souvent...

Elle se tourna vers l'océan, elle hésita un instant puis se rapprocha vint poser sa tête sur l'épaule du poitevin

C'est tellement apaisant ...

Elle glissa sa main jusque sur la sienne et effleura sa peau de ses doigts dans une délicate caresse.

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Forcehung

Un tour à la plage... avant le départ...

La mer, le sable fin et cette brise du printemps... quelle fraîcheur.
C'est la première fois que force vit la mer et profita de ses biens faits...

La mer attend son large, cherche ses eaux, désire le bleu, crache et crie, s'accroche et défaille, quand son écorce et sa coquille se brisent, et la fragile ardoise de ses clochers, et tous les verres qu'elle a vidés puis jetés derrière les taillis.
Son coeur est un abîme qui recommence jour après nuit la même journée obscure, qui chante de la même voix brouillée le désordre et le bruit, qui va, lavant sa plaie, toujours poussant pour rien son eau pauvre en amour.

Ahhh l'amour ..... les amoureux sur la plage ....
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Vice Ambassadeur du Poitou au Lyonnais - Dauphiné - Ex- 7 mandats de Maire de La Trémouille

pnj

Myssie arriva à la plage, le sourire aux lèvres...

"Tu est encore plus beau qu'avant, mon ami l'océan..."

Elle posa la main sur son petit bedon qui commençait a se faire voir et laisse le vent lui caresser la peau..

"Quelles nouvelles aventures as tu a me raconter hin ? ^^"

Elle parlait à sa plage..
Surement qu'on la trouverait ridicule si on la prenait sur le fait mais tant pis, ça l'apaisait
Sa plage lui avait manqué...
Elle enleva ses chausses, regarda son attel, toujours bien serrée et alla s'asseoir au bord de l'eau
Les vagues lui caressaient les fesses
Elle sourit... le coeur apaisait

"Que tu m'as manqué..."

Elle repensa à tous ses souvenirs ici et ailleurs
Un mélange de nostalgie et de tristesse se lisait dans ses yeux

"Pardonnez moi La Rochelle"

Elle laissa ses larmes couler, et regarda l'horizon pendant des heures....

Thomaslatapie

Thomas approcha de la plage d'un pas chancelant. En arrivant dans le sable, il s'écroula de tous sont poids. Faute au chope trop vite consommé et du sable qui avait glissé sous sa chausse. Il releva la tête et bougonna des mot incompréhensible. C'était la première fois qu'il foulait le sable chauffé par le soleil. C'était sa première fois qu'il voyait autant d'eau. C'était le première fois qu'il voyait l'océan. Un peu plus loin il vit Myssie qui parlait a quelqu'un. Il la regarda intrigué. Puis il plaqua sa tête contre le sable pour en humé l'odeur mais aussi pour ne pas etre vu par sa sœur.

- Erf damned si elle me voit dans cette état je vais prendre une ronflante moi...

Il resta ainsi malgré la soif présente qui monta en lui. De plus il avait une grande étendu d'eau devants lui qui l'appeler.
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pnj

Myssie continuait de regarder l'horizon quand elle entendit un bruit supect...
Elle se retourna vivemen et vit un espèce d'animal la tête dans le sable
Elle regarda mieux et écarquilla les yeux

"Mais... c'est Thom... Qu'est-ce qu'il fabrique" dit-elle

Elle se releva tant bien que mal et s'approcha un peu
Elle ria doucement

"Hey grand dadet jté trouvé !!!! ^^"

Il hésita un instant, puis retira sa tête du sable
Il était dans un sale état
Il avait bu ?

"Bah dis donc si tu voyais ta tête... C'est en taverne que t'as bu comme ça ???"

C'était la 1ère fois qu'elle le voyait dans cet état
Elle voulait le fair culpabiliser..
Elle mit les points sur les hanches pour montrer qu'elle était en colère se retenant de rire..

Thomaslatapie

Thomas c'etait fait griller !!! Battre en retraite ??? Non trop saoule. Chargé ??? Sa sœur non mais qu'elle idée... Il se releva et tentant de gardez sont équilibre et sont sérieux. Il mit un doigt sur son nez ... enfin il pesait c'etait le quart de son nez et le trio quart de sa joue. Il lui fit un sourire. Il espéré que son foie, déjà jaune fluo, enlève l'alcool, pour le permettre d'être sobre. D'un coup il eu très soif. Sans crié gare il couru vers l'eau manquant de tombé par trois fois, se jeta dans l'eau et bu une grande gorgé.

- AAAh! .... Bafre breuk korf korf Ben vi Thomas savait pas que l'eau de l'océan était salé Elle a quoi cette eau ??? Il y ont mis quoi dedans ???

Il regarda sa sœur avec toute son incrédulité. Il avait récupéré une bonne partie de ses réflexe.
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pnj

Myssie ria quand elle le vit courir dans l'océan et failli tribucher 3 fois
Elle le regarda plonger et boire un grosse gorgée
Elle écarquilla les yeux...

"AAAh! .... Bafre breuk korf korf. Elle a quoi cette eau ??? Il y ont mis quoi dedans ???"

Myssie éclata de rire et s'écroula sur la plage ne pouvant presque plus respirer
elle dit entre 2 hoquetement

"C'est de l'eau salé gros bêta !!! L'océan c'est salé mon frèrot d'amour ^^"

Thom était un homme très mature et c'est pour ça que Myssie adorait quand il faisait l'enfant
Elle le regarda tendrement et lui dit

"Sors de la si tu veux un gros calin de ta soeurette ^^"

Thomaslatapie

Thomas sourit, elle savait trouvé les mots pour le faire réagir. Il lui fit un calin humide, normal il est mouillé. Il regarda l'océan. Il ne savait absolument pas que l'océan était salé ... Première nouvelle. Il regarda sa sœur et lui dit sincèrement.

- Pourquoi ils salent l'eau les Rochellais ???

Il ajouta tous bas

- Sont fous ses rochelais ...
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pnj

Thom accourut vers sa soeur pour lui faire un calin

"Pouahhhh t'es tout mouillééééé"

Myssie ria

"Pourquoi ils salent l'eau les Rochellais ??? "

Myssie le regarda...

"Euh... je ne pense pas que ce soit eux.. je pense que l'océan était là bien avant les rochellais
Par contre les hommes singe... je suis sure que c'est eux les saligots
Quand ils étaient en voie de disparition ils se sont dit personne d'autre que nous ne boira notre eau niark niark niark" et là bah voilà on peut plus la boire ils ont fait de la sorcellerie et on rendu l'eau pas bonne voilààà XD"

Elle éclata de rire en voyant la tete de son frère
Même elle avait du mal a se convaincre
Est-ce que luii la croyait ? XD

Elle embrassa son frère tendrement ^^

Thomaslatapie

Thomas regarda sa sœur. Il ne pouvait que la croire. Bien qu'il pensa que se "homme singe" n'était pas gentil du tout du tout. Il fit un sourire a Myssie. Elle riait c'etait l'important peu importe qui avait salé l'eau. Il ne put s'empêcher de dire.

- Sont fous ses homme singe ...

D'un coup une idée germa en lui. Il vida vite fait sa gourde et la remplit d'eau salé. Il ouvrit son sac et y mit du sable dedans. Sous le regard interloqué de sa sœur il lui sourit et lui expliqua.

- C'est pour faire profité mes aventure à mes amis Pictaves ^^ Avec de la chance ils boiront aussi de l'eau salé.

Le regard emplit de malice il se mit au coté de Myssie. Il réfléchissait a une façon de faire une face a ses amis. Sont visage rayonnais de moquerie. Il sentais qu'il allait bien rire. Et ils partirent ensemble, en rigolant, en se marrant dans la ville de la Rochelle
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Anggy

par cette belle soiree anggy se promena sur la plage
-et ces tavernes fermées pfffff la galere mais pas tant que sa on peux profiter du soleil
puis se coucha sur la sable et regarda le ciel avec ses nuages blanc qui prennais des formes bizares par moment
une vache un cheval une fleur un coeur une barque
anggy resta la un bon moment au calme l air marin lui fais tellment de bien

Cyleblue

La plage....endroit ou le vent vient caresser les visages, ou la tranquillité est bercée par le bruit de vagues....ou le jour et la nuit l'on peu croisé des couples, mais aussi des personnes seules, besoin de réfléchir ou simplement besoin de calme....la plage endroit ou pensées et rêves se mélangent....

Cyle adorait y venir de temps à autre....mais n'y restait jamais bien longtemps....surtout quand l'obscurité apparaissait, malgré la beauté de l'endroit elle ne s'y sentait pas en sécurité seule...

Mais pour une fois, il ne faisait pas encore nuit et elle s'assit dans un coin....le dos appuyer a un rocher...elle s'amusait avec ses doigts dans le sable....dessinait, écrivait des mots sans sens...elle méditait presque...puis doucement releva la tête appuyée sur ses genoux et regarda vers l'horizon...

Tout étais si calme...et pourtant Cyle...avait tant de mal a calmer ses pensées, son esprit ou tout se mélangeait....elle poussa un long soupir et se laissa glissé doucement sur le coter, regardant vers le ciel resta étendue a réfléchir...toujours réfléchir....
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Anggy

Anggy arriva sur la plage avec toine(le fils de muze et cyra) elle avais envie de pouponner aujourd hui
elle le pris dans ses bras et s asseya avec lui dans le sable, la ou le soleil avec passé quelques rayons pour ne pas que toine ai les fesses trop froide
-elle le mis entre ses jambes son dos bien calé contre son ventre pour le tenir droit
Anggy pris du sable entre ses doigts et le fessais coulé entre ses doigts sur les jambes de toine qui riait aux eclats
Anggy riais aussi quoi de plus beaux qu un rire de bébé

Auria

Enfin ...enfin ...après cette longue route depuis les Flandres .....l'océan était là devant elle.

Ses larmes avaient séché ....ses rêves s'étaient évanouis ...les cailloux qu'il semait devant elle et qu'elle ramassait un à un pour ne pas le perdre ....c'est elle qui avait cessé de les ramasser quand ils commencèrent à être plus clairsemés sur le chemin. Il n'était plus devant elle .....mais loin ....loin derrière elle depuis longtemps ....sa présence s'était faite fantôme et elle n'avait pu le supporter plus longtemps.

Il lui avait dit qu'il l'aimait ...qu'elle lui manquerait ....qu'il ne l'oublierait jamais . Mais il était envahi par des doutes ...des incertitudes qui l'empêchaient de s'engager plus avant. Il la trouvait sûrement trop ardente ....et son amour passionné lui faisait peur. Alors elle l'avait fui ....avait voulu le rejoindre ....mais lui ne voulait plus. Elle avait continué son chemin ...son envie de voir l'Océan ....et enfin elle était arrivée.

A Thouars, elle avait fait la connaissance d'un Messire qui l'avait accompagné jusqu'à La Rochelle où il se rendait aussi, la route lui avait semblé moins longue, et son sourire était revenu timidement.

Elle regardait enfin l'horizon ....sentait le vent balayer ses cheveux qui volaient en tous sens ....le visage ruisselant des embruns qui la réconfortaient. Le sourire revint sur ses lèvres ...et se promit qu'elle ne pleurerait plus ....que son rire reviendrait ....non qu'elle oublierait Ripa mais qu'elle puisse prononcer son nom sans plus de douleur.

Un battement d'ailes au dessus d'elle et elle leva la tête pour voir Apollon jouer dans le vent. Elle l'avait oublié un moment le zozio mais lui se rappelait à son souvenir en venant la frôler de ses pattes.

Viens mon zozio .....allons courir sur cette plage pour laquelle nous avons fait un si long chemin .....viens mon bel oiseau ....mon compagnon ....

Elle se mit à courir ...... une joie débordante l'envahit soudain ....et elle contempla cet horizon où la brume enfin s'effilochait.
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Philorca

Avant de partir de ce village qui avait su l'accueillir il y a quelques semaines, La flamande arriva instinctivement sur le sable humide du printemps...

Elle enleva ses chausses et longea l'océan, perdue dans ses pensées.

Le soleil était couché depuis déjà quelques heures, elle avait aperçu des personnes en passant devant la taverne de Cyra mais n'avait pas osé rentrer.
Son amie Cyle comprendrait sa non venue.

Elle avait préparé son baluchon et s'apprêtait à prendre la route, pour Niort dans un premier temps puis où le vent la mènerait...

Durant ses au revoir à l'océan, elle songea au déjeuner qui avait eu lieu il y a de cela une quinzaine de jour et repensa au premier geste de tendresse que le lieutenant avait eu pour elle en public.
Elle s'assied sur le sable en scrutant l'horizon en pensant à son amour qu'elle laissait ici...
La jeune flamande dessina un coeur de son doigt et inscrivit le nom de Xedar puis le sien à l'intérieur de cette forme qui représentait l'amour qu'elle lui portait.
Le laisser seul ici lui brisait le coeur, mais elle ne pouvait faire autrement.
Le mal être qu'elle ressentait l'empêchait d'être totalement heureuse.
Elle n'osait plus aller dans n'importe quelle taverne et évitait certaines personnes dont elle savait que sa présence dérangeait.
Elle avait tenu le plus qu'elle pu mais il ne lui était plus possible de vivre ainsi.
Elle embrassa sa main et la posa sur le nom de son bienaimé en murmurant:

Je vous aime mon amour, merci de me laisser partir... Vous restez dans mon coeur quelque soit la distance qui nous sépare...

Elle se releva et rentra chez son ami prendre son baluchon pour se mettre en route...
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Thrall72

Thrall avais passé quelque jour en ville, sans avoir passé par la place depuis son arrivé.
Il marché le long de la place en écoutent les vague s'écraser sur le sable.
Il cherchais ou pouvoir dormir sur cette jolie plage, puis trouva un jolie coin a l'abri du vent.
il prépara sont petit coin pour pouvoir dormir ... puis s'allongea.

Esterazie

Voilà quelques jours que le nouveau venu avait posé bagages sur la paisible ville de La Rochelle. Aujourd'hui il travaillait pour l'Eglise. En l'espace d'une matinée, les vitraux, les statues annexes et le bénitier fut nettoyé, récuré et lavé. En constatant ces efforts, la personne responsable de l'endroit lui accorda une pause.

Esterazie en profita pour se rendre sur la plage, près de l'endroit par lequel il était arrivé il y a peu. Il transportait avec lui sa miche de pain fourré aux amendes. Arrivant à proximité, il retira ses chausses qui n'en étaient plus et se précipita dans le sable, cheveux au vent.

Il vit des enfants jouer non loin de lui et plus loin dans la mer des pêcheurs travaillant. Il s'assit et mordit quelques bouchées dans sa miche, prenant soin de ne pas en laisser tomber une miette.

Lorsqu'il eut finit, il s'allongea sur le dos profita du maigre rayon de soleil qui pointait tout en respirant l'air si différent de celui d'Angleterre.

Chiquette

Arrivée le matin méme ,Chiquette avait passé sa journée à la peche .
En fin d'aprés midi;elle décida d'aller se promener du coté de la plage,le soleil brillait,elle enleva ses bottes et marcha sur le sable chaud.
Aprés quelques pas,elle décida de s'assoir et d'admirer ce magnifique paysage

Eragon.

Youhouuuu Era sautillait de joie pendant tout le trajet de Niort à La Rochelle.. la mer il l'avait déjà vue.. mais justement.. son bain datait de la dernière fois ou il l'avait vu.. et ça commençait à faire un bout de temps..
Il fonça donc direction la plage après avoir demandé sa route à quelques Rochelait (Pas sûr^^) ..
Il jeta ses bottes sur les côtés, sa chemise et tout l'tralala sans s'arrêter de courir.. il essayait de courir plus vite que sa propre odeur.. dur dur la lutte..
Ses pieds sur le sable.. sec puis plus loin mouillé.. l'eau venait lui chatouiller les doigts .. il entra avec fracas et éclaboussures dans l'eau fraîche de La Rochelle..

Brrrrrrrrr mais c'est froid.. Z'ont d'la chance que j'ai plus envie d'sentir moi...

Il continua à grommeler en ce passant de l'eau sur son corps dénudé.. de la plage on devait pouvoir distinguer son popotin tout blanc qui ressortait du bleu de la mer.. Il se passa de l'eau sur le visage et grommela de plus belle

Rahh pis cette cochonnerie est salée en plus.. POUAH

Après quelques minutes (ben faut pas que ça soit trop long non plus hein) il ressortir de l'eau .. il aperçut une silhouette sur le rivage.. OOoops.. il couru géné vers ses braies qu'il enfila.. il laissa les autres affaires en tas et s'approcha de la silhouette ..
Quelques pas..

Mais.. Chichi?

il s'approcha encore.. s'assurant que c'était bien elle il déposa un bisous mouillé dans son cou et s'assit dans le sable passant ses bras autour de sa taille..

C'beau la mer hein..
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Chiquette

Ses pensées flottaient sur l'océan,son regard rivé vers l'eau,ses doigts caressaient le sable lorsqu'elle sentit "son" souffle sur son cou suivit d'un baiser mouillé

C'beau la mer hein
A ces mots ,elle se retourna vers lui ,l'embrassa et lui répondit

Magnifique...j'adore!!Mais dis donc? tu t'es déjà baigné? t'aurais pu m'attendre quand meme!

Elle se leva ,enleva sa chemise , courru dans l'eau et plongea

pnj

Myssie arriva doucement mais surement à l'endroit dont elle rêvait souvent et qui lui manquait tant

Sa plage...

Elle la vit, toujours aussi magnifique et calme en ces beaux jours de printemps.
Elle sourit et regarda aux alentours et à l'horizon
Elle était bien vide...
Peu importait, Myssie était là maintenant

Elle enleva ses chausses et rentra ses pieds dans le sable comme pour ne faire qu'un avec elle..
Elle respira l'air frais, le vent léger lui caressait doucement le visage
Elle se sentait bien ici

Les mains posés sur son ventre, elle s'avança un peu plus pour se mettre juste au bord de l'eau pour laisser les vagues venir lui chatouiller les pieds
Elle sourit de plus belle

"Tu nous a manqué à Nora et moi" dit-elle tout bas..

Un peu fatiguée du voyage et de la grossesse, elle s'asseya un petit peu plus loin des vagues puis s'allongea pour sentir toute l'énergie que son amie de toujours lui communiquait pour lui donner courage et force...

pnj

Filac était comme fou! Enfin il quittait Niort mais en plus il pourrait voir l'océan! On lui en avait tant parlé! Quelques lieues déjà avant d'arriver à La Rochelle, il avait pu voir l'horizon se partager. Dans son innoncence gasconne, les Pyrénées aussi, démarquaient le paysage au loin. Pourtant cette fois, c'était vraiment différent.

Il voyait l'horizon se couper en deux en deux barres bleues bien distinctes. Au dessus le ciel et en dessous ... ce ne pouvait être que la mer! enfin l'océan plutôt.

Il sait dès lors que pour accomplir son rêve il n'a plus qu'à marcher droit devant lui! Ayant traversé La Rochelle et s'étant présenté chez le tribun, son obsession après retrouver Myssie, c'est voir des vagues.

Arrivé sur une plage, il écarquille les yeux et n'en revient pas.

Boudu, mais c'est comme çà, con? Mais que c'est beau, cornadiou!

Il regarde droit devant lui et ne voit plus de limites, plus de frontières, ni de noeuds. Un sentiment incontrôlable de liberté l'envahit!

Il retire ses chausses presque neuves (qui remarque t'il, d'ailleurs, semblent ne pas avoir trop souffert du voyage), ses braies et se met à courir pour aller dans l'eau.

MILLADIOU! C'EST L'OCEAN, CON!

Il rit tant et tant de bonheur qu'une vague un peu plus puissante le renverse et le submerge!

Arf! Myssie avait raison! Elle salée comme les jambons du père Castignac!

Il repense à elle puis se demande si ... il regarde autour de lui. La description semble correspondre. Il ferme les yeux et finti par sentir vaguement une présence familière. Plus qu'une présence, une atmosphère.

Il sourit et pense à elle.

pnj

Myssie comme pratiquement chaque jour alla sur sa plage.
Réfléchir, marcher, sentir le sable sous ses pieds, sentir les vagues lui caresser les orteils.. Seul l'océan pouvait lui procurer des sensations uniques..
Ce jour là, elle pensait à Filac... Son nouveau et tendre compagnon qui l'avait suivit jusqu'ici..
Elle pensait à son avenir... quel serait-il ? Est-ce que Filac etait enfin le bon ? Est-ce que ça sera lui le père de sa fille ?
Elle regarda son bedon qui grossissait de jour en jour... Aujourd'hui elle ne pouvait plus cacher qu'elle était enceinte..
Nora gigotait... Myssie sourit en posant les mains sur son ventre

"Toi aussi tu es contente de retrouver notre plage hin ma chérie"

Elle marcha, et marcha encore puis elle vit au loin la silhouette d'un homme qu'elle reconnut bien pour l'avoir fréquenté pas mal de fois.
Son doux Filac qui découvrait les joies des vagues et de l'eau salée..
Elle sourit attendrie et s'approcha au bord de l'océan, juste en face de lui
Il sautait dans l'eau, content de découvrir une des merveille de cette ville

"Fais gaffe de pas te faire mal mon aimé.."

Il sursauta, ne l'ayant pas vu surement à cause de son excitation...
Elle sourit et le regarda trempée des pieds à la tête

"Ne me dis pas que tu vas plus aimer l'océan que moi quand même ?"

Elle éclata de rire à ses dires ridicules et continua à regarder son Filac, attendrie par son comportement... Il regardait l'océan avec des yeux d'enfant... Comme c'était touchant..

Feyrak

Ahhhhh !!! Enfin !!! Depuis qu’elle était arrivée, elle n’avait pu se rendre sur la plage. Elle avait laissé Laia chez Cyle, quitté son bien aimé en lui disant qu’elle courait trouver une sorte « d’amant ». Il avait sourcillé, elle avait rit et s’était sauvée.

Comme à son habitude, instinctivement, elle respira à pleins poumons cet air revigorant, qui la pénétrait pour mieux la faire revivre.

Elle posa les yeux sur l’eau agitée de soubresauts sous la caresse du vent. Elle sourit, les yeux brillants de joie.

Elle entama sa marche sur le sable mouillé. Depuis qu’elle était partie d’ici, mille choses étaient advenues. Son voyage jusqu’en Bretagne, sa décision de s’installer à St Pol. Sa rencontre avec Joachim. Certains souvenirs effacèrent son sourire un instant, mais elle avait décidé de ne plus penser à tout ça. Trahison et jalousie étaient loin derrière elle. En cet instant, elle n’avait qu’une envie : penser à Lui.

Cet homme était le seul à pouvoir la mettre dans des colères noires. La rendre folle de jalousie. D’ailleurs de son côté, elle ne se gênait pas pour le provoquer aussi. L’union de deux tempêtes ne peut donner qu’ouragan par qui ils étaient souvent emportés.

Elle regarda la mer, ses yeux fixèrent le lointain : un rocher, leur rocher. Elle sourit. Ils y construisaient, petit à petit leurs propres souvenirs. Elle l’adorait pour avoir trouver leur nid.

Elle l’admirait et l’aimait chaque jour un peu plus. Ils ne s’étaient pas juré amour toujours, ils ne s’étaient rien promis, nul besoin de promesses pour cet amour là. Il allait de soi. Tendre complicité, disputes sans fin, douceur partagée, tout se mêlaient pour faire leur amour aussi solide que leur rocher. Elle savait pouvoir trouver ses bras pour s’y reposer, son épaule où poser sa tête et se confier. Elle lui avait dit tant de fois qu’il était son maître. Hem !!! Et il adorait ça ! Elle faillit rire, mais se retint en voyant deux silhouettes au loin. Inutile qu’ici aussi ils sachent qu’elle était atteinte de folie.

Tiens le rocher de la dernière fois, elle s’y dirigea et s’y assit. Laia venait de naître quand elle y était venue la première fois. De sombres pensées l’agitaient à ce moment là. Et aujourd’hui, son coeur était en liesse, sa Cyle heureuse. Que demander de plus à la vie ? Ah si, un enfant de lui. Elle le voulait et lui aussi. Ils avaient le temps, la vie devant eux.

Ahhh !! Cet Homme !! Il n’engendrait pas l’ennui, c’est le moins que l’on puisse dire. Les jours passaient et ne se ressemblaient jamais. Une tornade à lui tout seul.

Elle regarda au loin et s’aperçut qu’une île avait disparue de son horizon à elle, emportée par des tourbillons maléfiques.

Mais qu’importait, seul le présent comptait. Le temps passé avec lui, celui passé loin de lui à compter les heures qui les séparaient. Elle adorait la vie avec lui, une fête perpétuelle. Une vie intense, sans temps mort, emplie de joie ou de peine, de rire ou de pleurs, mais toujours trépidante.

Elle se demandait souvent s’ils se calmeraient un jour, mais en son for intérieur, elle savait que non, qu’elle et lui ne voulaient pas leur vie autrement.

En souriant elle murmura : « Pour la mille et unième fois je t’aime amour de.... »

Elle préféra profiter encore de la vue de la mer, sa grande confidente.

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pnj

Filac est ennivré par le bonheur! Il découvre l'océan et voit sa nouvelle vie qui s'approche de lui en souriant.

Myssie arrive, son ventre la précédant (^^), , il court vers elle mais fais bien attention quand même à rester un peu dans l'eau pour s'amuser des éclaboussures.

Regarde, con, je suis tout mouillé!. Il rit et s'en amuse.

Il la prend dans ses bras, salue Nora en caressant son ventre puis l'embrasse.

Filac soupire. Que penser de sa vie? Il réfléchit un instant et puis finit vraiment par ne plus savoir. Lui qui avait toujours eu besoin d'amour et avait toujours voulu s'occuper d'enfants, a le sentiment qu'il va enfin doublement combler sa vie.

Cette jolie et jeune Myssie qui est si amoureuse de lui, le rend heureux. Il se revoit lors de ses premiers émois. Il retrouve les mêmes sensations.

Il lui sourit de toutes ses dents puis se penche vers elle et lui murmure :

Tu peux pas savoir ce que çà me fait, d'être là avec toi, boudu!

pnj

Filac vint à la rencontre de Myssie
Heureux de découvrir de nouvelles choses, de nouvelles sensations uniques que seul cette plage pouvait nous procurer
Trempé, il s'approcha de Myssie et lui fit un tendre baiser en guise de bonjour
Myssie savoure cet instant en le prolongeant longuement

Elle était heureuse de le voir si bien
Il y a quelques temps jamais elle n'aurait pensé qu'il puisse s'en sortir et qu'il allait vraiment l'abandonner...
Elle sourit à son aimé quand il lui dit en murmurant

"Tu peux pas savoir ce que çà me fait, d'être là avec toi, boudu!"

Elle entendit ses mots qui lui fit du bien et ils s'échappèrent au vent comme si ils étaient trop précieux pour qu'elle puisse les garder avec elle
Elle l'embrass sur le bout des lèvres et lui dit

"Non je ne le sais pas mon tendre mais j'aimerai bien le savoir... Qu'est-ce que ça te fait ?"

Elle lui sourit, attendant impatiemment ce qu'il allait répondre.

Myssie depuis son premier chagrin d'amour, avait du mal avec les hommes.. toujours en train de douter, toujours méfiante qui lui valait quelques fois la perte de personnes chères..
Myssie avait toujours besoin d'être rassurée et c'est vrai qu'au début de la relation elle en demandait beaucoup de peur de se casser la figure.. une nouvelle fois..

pnj

Roooooooo, joli petit coeur! Boudu, mais ce que je ressens je peux pas le décrire tellement c'est fort, con, et tellement c'est à l'intérieur! Je suis heureux, cornadiou!

Regare moi, j'ai pas l'air? Je suis avec une très jolie jeune femme qui m'aimes, je suis à l'océan, con! C'est magique! J'avais jamais cru que je pourrai vivre çà, un jour dans ma vie!

Filac lui prend la main et marche un peu avec elle. Ils se promènent en longeant la mer et ils profitent ensemble du soleil qui commence à tomber.

On reste encore un peu tu veux bien? J'aimerai bien voir un coucher de soleil avec toi, çà me ferait tellement de plaisir, con.

pnj

Les mots de Filac touchaient au plus haut point Myssie
C'est les larmes aux yeux qu'elle embrassa son tendre pour le remercier de ses mots qui la réconfortaient..

Ils marchèrent tous les deux sur la plage regardant dans la même direction le soleil qui commençait doucement à se coucher..

"On reste encore un peu tu veux bien? J'aimerai bien voir un coucher de soleil avec toi, çà me ferait tellement de plaisir, con."

Myssie sourit...
Elle, qui avait souvent regardé le coucher de soleil seule sur cette plage et s'y était endormi à de nombreuses reprises, elle allait ce soir le regarder se coucher avec l'homme qu'elle aime
Elle sourit de plus belle à son amoureux

"Bien sur mon aimé que je veux le regarder avec toi... Je vais t'emmener dans un endroit où on sera tranquille pour le contempler toi & moi"

Elle serra un peu plus fort sa main et l'entraina dans son coin où personne ne pourrait les déranger..

Bodasen

Bodasen n'avait pas trés bien dormis cette nuit, des tourmants lui ramenant sans cesse de mauvais souvenirs...
Le sommeil ne vennant pas, il se leva au petit matin et sortit de sa petite maison et se dirigea vers son nouveau champs. C'était un bon emplacement. Le maïs y avait été récolté la veille, les sacs de maïs attendaient dans la grange d'être amenés au marché.

Ensuite il alla vers la plage qui n'était pas loin. Le soleil n'était pas encore levé, on ne voyait pas jusqu'ou la mer venait sur le sable fin. Les éternelles vagues s'écroulant au rythme de la vie.

Au travail, bodasen ce n'est pas le moment de s'extasier devant la beauté du paysage mumura-t'il

Il se détourna de la grande bleu et pris la direction de sa grange. Il falait amener tout les sacs au marché et commencer la vente tôt si il voulait tout vendre.

En se dirigeant vers sa grange, il eut une vue imprenable sur son village. Des personnes sortaient lentement de chez elles, une nouvelle journée commençait...

Bonour La Rochelle, que la journée te sois douce

pnj

Filac voit Myssie pleurer et sent qu'elle lui serre la main bien plus fort qu'avant.

Il sent qu'elle l'aime vraiment. Il la regarde, lui sourit et la suit sur une autre petite plage plus isolée et déserte.

Le soleil est "tombé dans la mer" pour moitié. Il prend alors une couleur rouge qui se reflète de mille éclats sur l'océan.

Filac sent son coeur battre, regarde Myssie :

Je t'aime moi aussi, tu sais joli petit coeur.

Ils restent ainsi quelques instants à contempler le soleil se coucher et ne se parlent pas. Nul besoin, savoir la présence de l'autre à ses côtés est d'un tel réconfort pour chacun d'eux, qu'ils n'ont pas besoin de mots en cet instant.

Filac la regarde et l'embrasse tendrement. Il passe sa main sur son ventre arrondi et lui sourit.

J'ai une envie bien coquine, boudu! Si on allait se baigner, ce soir?

A son regard pétillant, Filac devine que Myssie en a envie elle aussi. Il l'embrasse et se déshabille, puis il aide Myssie à se déshabiller. Il contemple sa nudité. Son ventre et ses seins gonflés par la petite Nora lui font perdre tous ses moyens. Il se trouble et commence à rougir.

Il la prend dans ses bras et la porte jusqu'à l'eau en l'embrassant. Lorsqu'il a de l'eau jusqu'au ventre il la pose et Myssie en nageant se sent bien. Elle retrouve une certaine aisance et légèreté, perdues depuis quelques temps à cause de la grossesse. Elle se sent bien et sourit, ce qui rend Filac d'autant plus heureux et amoureux.

Il nage vers elle et la prend dans ses bras, la caresse et commence à l'aimer.

pnj

Le barque a demi dans l'eau, Lola son éventail a la main posa son pied sur le sable chaud. Donna quelques écus au vieux pêcheur qui souriait a moitié édenté.

Son baluchon sous le bras elle s'avançait d'un pas tranquille en découvrant l'immensité de l'endroit, on lui avait parler de cette ville et de sa belle plage, mais elle n'en croyait pas ses yeux la Lola, c'était un lieu très romanesque et très chaud, d'ailleurs elle s'arrêta et dit le regard vers ses pieds

Dios ! Qué chalor hé, sa passé à travers mis chausses la chalor dou sablé !

La Lola était d'une contrée lointaine, elle avait le sang chaud la demoiselle, une hispanique pure sang. Elle avait échappé a son Pédro de La Rosa, qui voulait non seulement l'épouser mais la garder enfermée dans une cage dorée rien que pour lui, mais la señorita n'aimait pas ce genre de comportement et préféra s'enfuir là ou on la trouverait pas enfin presque pas.

Malgré tout elle était éperdument amoureuse de son Pédro, et s'il l'aimait il viendrait a sa recherche car elle avait quand même prit soins de laisser quelque traces pour qu'il la trouve sans trop de mal.

Lola posa son baluchon au sol, pensant qu'il fallait trouvé un lieu ou s'installer, une auberge, ou un habitant sympathique. Songeuse se rappelant le dernier baiser donner par son homme elle se mit a agiter son éventail vers son visage, quand des voix attirèrent son attention.

Ses yeux parcoururent les environs et aperçu un peu plus loin dans l'eau un couple batifolant, même pas surprise resta a observer et se dit à elle même

Oh la la, ma yé suis pas la sola à avoir cho' ici ! Ma ils sé font du bien les coquins ! Lola tou va pas lés déranché quand même, no tu attends qu'ils termine dé sé faire du bien !

Lola prit place sur un petit rocher face à eux et attendit sans perdre une miette du spectacle, cela lui rappelait son Pédro toujours affriolant de lui soulever le jupon. A un moment elle laissa sortir de ses lèvres

Olééé qué choli spectaculo Lola !

Cette femme avait toujours quelque chose a dire, et aimait rencontrer et se pavané dans les villes, surtout la ou fleurissait des beaux messires, elle n'était pas de toute beauté la demoiselle, mais savait se dandiner a souhait se qui rendais Pédro fou de jalousie, d'ou vouloir la mettre en cage.

Auria

Allez hop zozio ...on se réveille et tu viens avec moi ...tu vas voir, tu vas adorer !!

Levée de bonne heure ...et pleine d'entrain ce matin ..Auria avait regardé par la fenêtre ...le soleil se levait derrière une légère brume qui s'effilochait. Prise d'une envie soudaine ...elle se prépara aussi vite qu'elle put ...et laissa ses cheveux libres ....pas la peine de te faire une coiffure compliquée Auria ...murmura t-elle.

Et puis elle aimait tellement le vent qui faisait danser ses cheveux en tous sens. Elle sortit précipitamment ...dégringola les marches et partit en courant vers elle ......la mer ....les vagues ....tout ce qu'elle aimait.

Arrivée sur la plage, son regard la parcourut en tous sens .....vide ...personne ...elle avait bien pensé que ....elle ne ferait pas cette promenade seule.

Elle fit quelques pas, enleva ses chausses et laissa le sable la chatouiller entre les orteils ...ce qui la fit rire. Elle s'assit là le dos tourné au sentier, contemplant la mer ....les vagues et l'horizon. Elle humait à pleins poumons cette odeur qui à chaque fois la réconfortait et lui redonnait toute son énergie.
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Bodasen

Bodasen courait le long du sentier, Auria lui avait dit qu'elle viendrai a la plage ce matin. Et lui étaient en train de dormir en taverne quand il s'en aperçut

Il arriva enfin a la plage et apercut Auria qui trempait les pieds

Ouf, tu es là ! Il s'écroule fatigué de sa course
Je suis désolé, d'habitude je viens plus tôt.

Il enleva ses chausses tout comme elle et mit ses pieds dans l'eau
Alors tu as bien dormis Auria ? Moi pour une fois ma nuit fut agréable et remplit de rêves.

Il la regarda tout sourire, les vagues elles n'avaient pas oublier Auria, elles chantaient pour elle pour l'enmener vers un autre horizon

Auria

Auria , les cheveux dans les yeux ...entendit une voix et repoussa ses mèches ...pour apercevoir Boda arriver en courant. Ils avaient longuement parlé la veille en taverne et leur parcours dans la vie se ressemblait un peu. Du bonheur d'abord, puis du chagrin qui leur avait semblé insurmontable.

Ils avaient aussi parlé de leur amour de la mer ...et s'étaient donné rendez vous pour une balade ce matin même.

J'ai magnifiquement bien dormi Boda ....et là j'ai envie de courir dans l'eau ...allez allez ....on se bouge ....faisons la cette balade ....

Elle se mit à donner des coups de pied dans l'eau pour l'asperger ....et s'échappa en courant les bras tendus en avant à vouloir attrapper Apollon qui volait au dessus de sa tête.

Puis elle s'assit dans le sable et invita Boda à s'asseoir à côté d'elle ....une amitié était née là sur ce bord de mer. Elle tendit le bras en souriant vers l'horizon....tu vois Boda comme l'horizon s'éclaircit ...il suffit parfois de parler avec quelqu'un pour que tout se dégage, pour que l'on ne garde pas en nous nos rancoeurs et nos déceptions ...puis le regardant ....nous reviendrons si tu veux bien la revoir le matin cette mer qui nous donne tant ...
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Bodasen

AAH je suis tout mouillé maintenant, je vais devoir passer encore plus de temps a me doré au soleil (merci pas envie de travaillé)

Aprés avoir enfin réussis a attrapé Apollon, il s'asirent

"tu vois Boda comme l'horizon s'éclaircit ...il suffit parfois de parler avec quelqu'un pour que tout se dégage, pour que l'on ne garde pas en nous nos rancoeurs et nos déceptions ...puis le regardant ....nous reviendrons si tu veux bien la revoir le matin cette mer qui nous donne tant ..."

Les vagues sont des méssageres. Elles arive jusqu'au rivage et s'emparent de nos doutes , nos angoisses et nos peurs. Puis elle reviene de l'horizon charger de bonheur et comble le vide qu'elle nous avez laissé.
Elles chantent et dancent sans cesse allégant le bonheur des Hommes.

Sort une miche de pain d'un petit sac
Tient mange donc un bout je suis sur que tu n'a pas déjeuner ce matin

Lui tends avec plaisir le pain

Feyrak

Elle avait assez rêvassé, il était temps pour elle de rentrer et rejoindre l’homme de ses rêves les plus fous. Elle se leva et fit le chemin à l’envers, les yeux caressant les vagues qui miroitaient sous le soleil.

Elle s’arrêta net en voyant un couple dans l’eau qui… Hem !!

Roooooo !!!! J’y crois pas !!! Roooo !! En plein jour devant tout le monde !!! Roo !!

Elle tourna la tête vers la plage, ne sachant plus où se mettre, tant elle était gênée et offusquée à la fois.

Elle vit une femme à l’allure quelque peu originale, assise sur un rocher qui semblait apprécier le spectacle. Elle s’approcha d’elle, la salua.

Bonjour ma dame, je me présente Feyrak de Merteuillis. Dites-moi ? Me permettez-vous de m’asseoir près de vous. Je dois dire que la vue de la mer aujourd’hui est surprenante.

En tournant la tête elle vit Auria au loin, galamment accompagnée.

La coquine ! Elle me cache des choses on dirait. Tu vas voir ma belle tu va parler.

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Bodasen

Boda était en train de manger tranquillement avec Auria quand il aperçut deux autres personnes dérrière eux.

Il se leva et parcourut rapidement la distance qu'il les séparait. Il s'incilna devant les deux dames présentes
Bonjour mesdames, qu'il me soit permis de vous souhaitez la bonne journée.
Désirez vous rompre le pain avec moi et dame Auria ?
La mer est belle, le ciel est clair autant en profiter.

L'une des deux femme le regardait bizarrement, il se sentais troublé et ne savais pas comment prendre ce regard

pnj

Lola se ventilait de plus en plus au fur et à mesure que le couple se débattait dans l'eau, elle se demanda même s'ils arriveraient a en sortir entier. La chaleur lui faisait agiter l'éventail a vive allure quand

Citation:

Bonjour ma dame, je me présente Feyrak de Merteuillis. Dites-moi ? Me permettez-vous de m’asseoir près de vous. Je dois dire que la vue de la mer aujourd’hui est surprenante.

L'hispanique cessa tout mouvements gracieux de la main et la détailla, belle brune se dit la Lola. Offrant un sourire à la Olé elle se présenta a son tour

Enchanté señora Feytak de Muertelis, yé suis Lola yo arrivé dé loin très loin...* Lola regarda vers le bord de mer et * Si si yé vous fait dé la place dama ! Madre mia señora les couplés sé font plaisir à la plache ici !

Lola amusée par les ébats dans l'eau se demandait comment ils n'avaient pas peur d'être mordu par un énorme poisson, parce qu'au pays chez elle, elles étaient énormes les anguilles. Un sourire d'inquiétude a la bouche tourna la tête et

Dama ? Lé messiré l'a pas peur dé sé faire mordu l'ameçon ? Un hombre couracheux ça ! Comé mon Pédro lui là pas peur dé los torros ! No il lés prend par los cornos !

Proposant d'un geste son éventail à la belle brune sourit...

Auria

En levant les yeux vers Boda qui lui tendait un morceau de pain, Auria vit arriver Fey au loin et regarder un point dans l'eau.
Tournant la tête elle vit un couple qu'elle n'avait pas remarqué et qui ....qui ...à en voir leurs corps très très rapprochés, faisaient ..... faisaient .....
Rouge pivoine elle baissa la tête avant de regarder Boda le temps que le rouge aux joues disparaisse un peu et se sentit soulagée lorsqu'il se leva pour rejoindre Fey et une Dame un peu étrange .

Coucou Fey ....Dame ....puis voyant le regard de la Dame plongeant dans l'eau ...on se serait même demandé si elle ne voyait pas en dessous d'ailleurs ...que de visites étranges ce matin

Auria avait envie de rire en voyant l'accoutrement on ne peut plus original de la Dame , et qui agitait devant elle un éventail comme si l'on était au plus profond de la chaleur de l'été. De plus elle parlait avec un tel accent qu'Auria ne comprenait piètre mot de son discours.

Bonjour Dame ...je me nomme Auria et voici mon ami Boda ....Boda je te présente mon amie Feyrak et Dame ....Dame ....

Auria se concentrait sur le morceau de pain qu'elle mangeait ....se demandant comment les ...baigneurs allaient pouvoir sortir de l'eau en leur présence.
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pnj

Lola vit s'approcher encore un couple, surprise mais souriante pensa qu'eux aussi venaient s'amuser, pour un peu elle saurait cru au marché del Campo dans son village. La bas c'était pas a la mer que les amoureux allaient, mais plutot du coter des marchés sous l'ombre des arbres.

La femme se présenta en n'insistant sur sa personne...Lola la détailla comme elle le faisait avec tout un chacun et répondit

Bonchour Dama, si yé mé présento, Lola ! *Elle jeta un regard rougissant vers l'homme et* Anchenté méssiré, Lola perd vous servir !

Le couple arrivé lui cachait un peu la vue du batifolage un peu plus loin, se décalant sur le coter

Ma préné la place a nos coter Dama et méssiré, yo hé la Dama Feytak on régardé lés amourosos dans l'eau !

Montrant le bout de place restant près d'elles, continuant à observer la corrida non pas dans une arène mais dans l'eau, Lola pensa qu'a son retour chez elle une chose était sur...elle en lancerait la mode avec son Pédro de la Rosa.

Bodasen

La dame qui portait l'éventail se présentais lui semblait'il
Il croisa un instant le regard d'Auria et se comprirent tout les deux, ils ne comprenaient un traitre mot de ce qu'elle racontais
Mais restant poli, il ne dit rien

Quand il comprit enfin que la dame à l'eventail s'extasiais de regarder le couple dans l'eau, il se sentit un peu honteux d'être en sa présence
Aprés tout il font ce que bon leur semble, la plage appartient a tout le monde

Boda sentait l'embarrassement des deux autres dames

Et bien voila qui n'est pas coutûmes, mater un joyeux couple, nous ferions mieux de retourner a nos occupations.
Que diriez vous de nous éloignez un peu pour continuer notre pique-nique et laissez ces deux là tranquille ?

Le visage d'Auria rougissait a vue d'oeil, il lui sourit pour éssayer de la détendre

pnj

L'homme ne semblait pas vouloir rester sur place, mais Lola elle toute fois un peu gênée ne voulait tout de même pas en perdre une miette, ils faisaient ce qu'ils voulaient le messire avait raison, mais il ne tenait qu'a lui de partir s'il le souhaitait.

Lola elle comptait bien félicité les deux amoureux une fois sortis de l'eau, vieille coutume de chez elle, mais a la qu'elle celle-ci tenait, voyant le pressé de s'en aller se sentir mal à l'aise, souriante elle ferma son éventail et

Méssiré yé né vous attaché pas au rocher, faites sé qué bon vous semblé, Lola elle reste là, yé matte pas yé m'instruit ! Mon Pédro quand il va vénir yo veux qu'il mé fasse la mêma chose, alors choli bonbon tu pars si tu veux hé moi yé reste, et vous mis damas ? Dama Feytak vous resté ? Dios vous parlé pas beaucoup mi dama !

Lola réouvrit son éventail aux milles couleurs et sourit au messire présent, bien entendu elle ne perdait pas d'œil de le batifolage plus loin.

Feyrak

Feyrak regardait le couple dans l'eau sans le voir. Ce qui l’avait choquée et amusée en même temps un instant, lui était à présent sorti de l’esprit. Elle ne voyait que l’eau qui miroitait, au gré des flots, n'écoutait que ses pensées qui s'agitaient au gré d'un cheminement qu'elle ne comprenait pas toujours.

Elle salua Auria et son ami. Les laissa parler, sans rien entendre, la tête ailleurs.

Dama Feytak vous resté ? Dios vous parlé pas beaucoup mi dama !
Elle sourit à Lola.

Excusez-moi j’ai l’esprit ailleurs. Non, je ne vais pas rester, je dois rentrer, on m’attend…du moins je crois.

Elle se leva, dit au revoir à tout le monde et partit vers ce que lui réservait son destin.

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Bodasen

Hé bien je vais vaquer a mes occupations moi aussi. Il faut bien gagner sa vie.
Je vous souhaite une bonne journée mesdames

Il fit une légère courbette et se dirigea vers le village

Feyrak

Elle adorait traîner sur la plage les jours de pluie. Par exception, elle avait mis des braies et rentrées celles-ci dans ses bottes. Elle avait horreur des braies, ne supportant que les jolies robes, bien tournées. Mais aujourd’hui, il aurait été dommage de salir l’une de celles-ci sur le sable mouillé. Laia était aux prises avec les câlins de Cyle qui ne voulait plus la lâcher. Il lui fallait batailler pour pouvoir embrasser sa fille avant que celle-ci ne soit couchée. C’était criailleries et fausses chamailleries entre elle et sa douce. Elle sourit à cette évocation. Malheureusement, sa chère filleule lui serait bientôt enlevée, le retour au bercail se profilait. En y pensant, elle perdit son sourire. Laisser son amie ici, alors qu’elle savait qu’elle avait besoin d’elle la rendait malade. Mais elle n’avait pas le choix, il lui fallait suivre son époux.

Elle se mit face à la mer et regarda l’eau marteler les vagues qui semblaient se rebeller en se soulevant et retombant. Elle respira cet air qui lui rendait la vie. En fermant les yeux, elle se retrouva sur une autre plage, un autre temps, d’autres lieux. Bertincourt. Leur maison biscornue à elle et sa soeur, près de la plage. Tous les matins, elle allait s’y promener, c’était son exutoire quotidien. Elle y avait rencontré Life, fier Calaisien. Elle sourit au souvenir de leur rencontre. Leur rocher sur cette plage. Seigneur, il recelait tant de leurs rires. Life !! C’était le temps des rires et de l’insouciance, ils étaient si jeunes, amoureux, fougueux. Ils aimaient la vie tous les deux et elle le leur rendait bien, jusqu’à..... Elle soupira, il n’était plus aujourd’hui mais son souvenir était impérissable en sa mémoire. Bertincourt ! Que d’amis elle s’étaient fait là-bas, quelle vie riche en émotions.

Elle reprit sa promenade offrant son visage à cette eau tombée du ciel. Aujourd’hui, qui l’eut cru il y a si peu de temps, elle avait un enfant, était marié à l’homme qu’elle chérissait plus que tout. Où était Feyrak la folle, toujours en mouvement, à rire aux éclats à chaque instant. Certes, il y avait eu des temps morts, mais si courts qu’elle ne s’en souvenait même plus. Seule la perte de Life l’avait marquée à jamais. A présent, sa vie était plus calme, mais elle regrettait ce temps béni où elle courait après le temps, les journées étaient toujours trop courtes pour faire tout ce qu’elle voulait.

Ses pas martelant chaque souvenir, elle continua de déambuler la mer qui grondait en bruit de fond.
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Einigriv

Elle avait laisser Droguedad à un forgeron qui ferrait aussi les chevaux.
Elle prit un petit chemin, ne sachant vraiment s'il la ménerait en bord de mer où non... Suivant son instinct et l'odeur de l'iode, elle était été par le sol, très différent de ce qu'elle avait pu connaître auparavant.
Doux et meuble, lourd et crissant.

Elle passa dans un sous bois où les racines des pins semaient le chemin d'embuche. Les longues aiguilles des arbres nappaient le sol et une odeur de sève se dégageait fortement.
Puis, plus rien, le désert...

Une étendu beige ornée de quelques touffes, une colline qu'elle grimpe. Ses pieds s'enfoncent dans le sol lourdement.
Elle retire ses bottes et apprécie la sensation du sol glissant entre ses orteils.
Elle chauffe, le soleil cognant sur son crane comme on cogne sur un métal pour l'anoblir.
Elle grimpe et grimpe encore puis soudainement, le vent s'engouffre dans ses cheveux, carressant ses joues avec douceur.

Au loin une immensité bleu aux reflets argentés.
Elle fut émerveillée, comment une telle chose pouvait exister sans qu'on ne s'y attarde plus souvent.
Inspirant profondément, elle voulait emplir ses poumons de cet air frais et salé pour gardé en elle quelque chose de cet instant.
L'instant où elle avait découvert une nouvelle beauté de cette terre.

Elle avança le sable lui massant lentement la plante des pieds, tenant sa jupe par la main.

Elle voulait gouter à cette eau en colère qui allait et venait dans un grondement perpétuel.

Les pieds dans l'eau, la jupe toujours légèrement relevée, elle regardait l'horizon infini où le ciel rejoignait la terre dans une et même couleur.
Perdu dans sa contemplation elle fut surprise par une vague plus forte, qui la trempa jusqu'à la taille.

Décidemment, cette mer était une vrai chipie, elle profitait du moindre instant d'inattention, pour vous surprendre et vous laisser ébété en fronton.

Elle recula légèrement s'assit sur le sable mouillé et reprit sa contemplation et déjà l'eau mousseuse lui léchait les pieds.
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Allydou

Bien que fatiguée par la nuit de cheval, Ally décide de faire un tour en fin de journée, pour visiter un peu ce village dont elle a entendu parler depuis si longtemps.

Rêveuse, elle ne se rend pas compte que ses pas l’ont emmené en dehors des rues animées.
Elle avance maintenant sur un terrain plus souple, plus doux, glissant sous ses bottes.

Une odeur nouvelle pour elle, flotte dans les airs, apportée par le vent qui lui souffle dans les cheveux. Une nature inconnue s’offre à ses yeux, grands ouverts devant la beauté du spectacle devant elle.

La mer ! ….. Enfin, elle la voyait. Enfin, elle était la ou elle avait envie d’être depuis le début de ses vacances, devant cette étendue infinie, cette invitation aux voyages, aux rêves …

Ne résistant pas plus longtemps à l’envie de laisser ses pieds découvrir la texture du sable, elle s’assoit un instant, pour retirer ses bottes et ses bas.

Sensation de douceur, de tiédeur, première découverte pour elle.

Elle joue un moment à laisser les grains de sable filer entre ses doigts, les yeux perdus vers l’horizon, perdue dans ses pensées, dirigées vers son Amour et leur enfant à venir.

Machinalement, elle se relève, et soulevant à peine le bas de sa robe, s’approche jusqu’à avoir de l’eau au dessus de ses chevilles.

Brrrr … froide la première fois, mais on s’habitue peut être …

Ne voulant pas risquer de tomber malade, elle s’en retourne vers ses affaires restées plus haut sur la plage. Une fois sèche, elle se chausse à nouveau et après un dernier regard vers les vagues qui viennent indéfiniment lécher le rivage, elle repart vers le village, se promettant de revenir très vite profiter de la quiétude de ce lieu.

Passant sa langue sur ses lèvres, elle leur découvre un goût de sel … deuxième découverte …

Combien aurait-elle le temps d’en faire encore ici ?
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Allydou

Même chemin devant elle que la veille, mêmes aiguilles tombées des pins qui bordent la route sinueuse, même odeur entêtante de la sève qui lui arrive aux narines …

C’est d’un pas lent et léger qu’ Ally se dirige vers la plage ce soir encore, bien décidée à profiter le plus possible du petit coin de paradis qu’elle avait trouvé la veille.

Une fois passée la dune, elle s’arrête, découvrant et admirant un spectacle différent encore.

Les derniers reflets du soleil disparaissent déjà sur l’eau, elle aurait pu en accélérant le pas, arriver juste quelques minutes plus tôt et le voir se coucher à l’horizon.

Mais pour ce soir, elle devra se contenter de la lueur de la lune, donnant à cette plage, un charme plus envoutant encore.

La dune, les pins, tout se dessine en ombres, offrant un refuge ou venir se reposer.

Se reposer, voila bien ce dont elle a besoin en ce moment.

Prenant conscience de la fatigue, accumulée depuis le début de son voyage, elle s’allonge à même le sable, peu soucieuse de l’apparence de sa tenue quand elle se relèverait plus tard. Les bras glissés sous sa tête elle contemple l’astre de la nuit.

Aidée par la quiétude et le silence, à peine troublé par le bruit des vagues infatigables, elle laisse encore une fois ses pensées l’envahir.

Un soupir à fendre l’âme s’échappe de ses lèvres, en pensant à ses amis qui commencent à lui manquer et dont elle n’a que peu de nouvelles depuis son départ.

Fermant les yeux juste un instant, pense t’elle, elle s’endort la, sur cette plage …
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pnj

En début d'après midi sarah se rendit a la plage, il fallait qu'elle la voit, cela faisait plus une semaine qu'elle était a La Rochelle et elle n'avait pas pris le temp d'aller fouler le sable de ses pieds nus! Elle s'y rendait donc munie d'un pioche quelle idée que pouvait on faire d'une pioche sur la plage??? déloger une huitre??? peut etre un peu gros comme materiel non?? cette pioche lui pesait d'ailleur elle l'avait mis sur l'épaule comme le font les mineurs elle lui paraissait moin lourde comme ci... !

Lorsqu'elle arriva elle pris une respiration profonde et s'impreigna de l'air marrain, quel bonheur!!! elle posa sa pioche, se laissa tomber et s'allongea sur le sable chaud, bras en crois!! une marque rouge apparaissait sur son épaule!

Au bout d'un moment elle reprit ses esprit, s'assit et attendit... Sarah été venu pour s'exercer a la pioche, dans le sable, afin de pouvoir enfin aller a la mine, c'était le Sire Esterazie qui lui avait confié que c'était nécéssaire!! il lui avait même proposé de l'aider... en fait la jeune femme esperait qu'il vienne, car arrivée là, la plage l'incitait a se reposer plutot qu'a s'entrainer!!

Elle regardait paisiblement le va et viens incessant des vagues

Cybella

Cybella tire par le bras Von, elle veut voir de plus près cette belle plage et voir encore l'océan qui l'attire tant. Elle lui lache le bras et court devant, cheveux au vent en riant comme une enfant. Elle se rétourne et l'attend les bras ouvert...

Allez viens, quelle belle après-midi on va passer içi!!! Regarde comme l'océan a une belle couleur içi!!! hummm, et cette odeur d'iode...

Elle attend qui se rapproche d'elle, lui reprend le bras et marche de concert vers l'eau. Ses petits pieds nus touche la première vagulette...

son regard s'arrête sur des petites tâches brunes, ocres et beiges sous l'écume. Elle se penche et ramasse de jolis petit coquillage qu'elle récolte dans ses mains.

Oh!! ça me donne une idée mon amour!!!

Elle les place sur le sable d'un geste sur...

Cela m'inspire tu sais, tout les jours j'ai envie de créer de petites choses pour te dire à quel point je t'aime!!

Le regarde avec son plus beau sourire...

Voila!!! fini!!! Je t'offre ce joli coeur de coquillage que l'océan viendra chercher ce soir, et il sera à jamais garder par les flots, comme dans un écrin.

Cybella se blotit dans ses bras et lui murmure :

Tout a commencé quand nos regards se sont croisés,
Tu a renversé mon coeur, tu l'a fait chaviré.
Un vent d'amour m'a fait perdre la tête
Notre histoire est née pour ne pas qu'elle s'arrête.
Notre amour grandit de jour en jour
Je te laisse entrer et ferme mon coeur à double tour.

Tout deviens beau et merveilleux
Quand je vais me noyer au large de tes yeux.
Des sentiments encore ignorés se sont crées
Il faut les conserver et ne jamais les briser.
Dans tes bras je pars m'envoler
Dans un monde doux et sucré.

La flamme de mes yeux s'est allumée
Le soir ou nos lèvres se sont touchées.
Aujourd'hui le destin nous appartient
A nous seul de savoir prendre le même chemin.
Mon amour pour toi est le plus grand
Je n'ai aucun doute sur mes sentiments.

Je t'aime avec la plus grande sincérité
Montre moi juste que tout ça est partagé.
Et vu que tu me la montrer
Ma vie sais emmerveiller

Je t'aime.

Vonneuman

Von regarde avec émotion le cadeau que sa belle lui offre. Décidément Cybella lui réserve tout le temps de magnifiques surprises. Puis il eut une idée, il prit un coquillage et gravât "Cyb", le reposa, puis un deuxième ou il
inscrivit "Von", puis un dernier avec ces mots:
" Amour éternel ".

Il prit Cybella dans ses bras.
Qu'en penses tu mon amour?
Ils regardaient ensemble ce symbole éphémère qui bientôt disparaitra dans l'océan.

mais une chose est sure, leur amour sera éternel...

Lionreg

Lion emmena Veg sur la plage .
" c'est la première fois que je vois la mer " Dit lion en stoppant son élan a la dernière dune .
IL restait la subjugue ,sans pouvoir bouger ,les embruns , lui caressaient le visage, le vent s'engouffrait dans ces narines inondant son cerveau d'une odeur iodé et soulevait sa crinière par touffe ,assourdie, envouter par le bruit du ressac Lion se laissa tomber ,assis sur le sable le visage face a la mer ,il ne bougeait plus ....

Divination

Main dans la main Divine et Vespuci traversèrent la ville accompagné de Pompon.

Pompon était le chiot d'Armanté un ami.

Ils en avaient la garde jusqu'à ce que son maître soit prêt pour le recevoir.

C'est un chiot espiègle qui adore vandaliser la cuisine des tavernes.

C'est un St Hubert, idéal pour la chasse aux sangliers.

Pompon courrait au devant d'eux heureux et sautillant.

Vespuci accompagna Divine jusqu'à la plage.

Le soleil se couchait, c'était une vision des plus romantiques qui s'offrait à eux.

Pompon courrait sur la plage.

Vespuci et Divine lové l'un contre l'autre, assis sur le sable, contemplaient le paysage merveilleux du soleil couchant sur la mer.

Dieu, que c'est beau !

dit elle

Soudain elle eu une idée, elle dessina lentement un coeur sur le sable, à l'intention de son bien aimé.

Elle le regarda en souriant.

Ils restèrent là, un bon moment, s'embrassant et se câlinant, transi d'amour.

Qu'est ce que tu dirais d'un bain mon ange ??

Le regard de Vespuci suffit à lui répondre.

La plage était déserte.

Ils se déshabillèrent et main dans la main allèrent vers la mer........

Lionreg

Lion d'un coup repris ces esprits

"Allons sur les rocs la bas nous allons peu être pouvoir trouver a manger "

Il la pris par la main et ils descendirent la plage pour arriver prés de rochers qui ce découvraient petit a petit avec la marée .
Lion s'approcha d'une petite mare ,des crevettes batifolaient prés d'une anémone , un crabe la sous une algue se cachait de notre regard
et ici dans le sable deux petit trous ,l'un a cote de l'autre .

"regarde ... ce doit être une palourde ."

il chercha de quoi creuser

"cette coquille d'huitre fera très bien l'affaire"

il creusa délicatement le sable et un petit bivalve apparue

"C'en est une "

il pris son couteaux inséra la lame entre les deux coquilles et d'un geste sur l'ouvrit en deux, il racla le fond du coquillage pour présenter a sa douce une boucher bien appétissante .

"goute tu m'en diras des nouvelles et si tu aimes j'en ramasserai d'autres"

Veg gobât l'animal d'un trait ,grimaça un peu.
Puis son visage s' éclaircie, comme pour lui montrer son approbation ,Lion répondit par un sourire.

" un peu salé n'est ce pas mais tellement bon "
"si tu veux,je peux en ramasser d'autres "

n'attendant pas la réponse de sa belle ,il releva sa braie jusqu'au genou
avançant courbé, le nez au ras du sable, pour mieux repérer les petites trouées.Ici une autre et la, aussi, bientôt il en avait plein les mains .
Jouant a l'équilibriste sur des rochers glissants d'algues humides il s'amusait d'avoir pu mettre en œuvre les récits du coin du feu qu'avait bien voulu lui conter son grand père.
Quand tout a coup croyant avoir affaire a une palourde inoffensive ,Lion se retrouva le doigt pris entre les pinces d'un crabe enfoui sous le sable et qui lui ne l'entendait pas de la même oreille .
Il avait beau secouer sa main, bouger le bras, la vil bête ne lâchait pas prise .Sautant ,courant ,hurlant aussi un peu Lion glissa et tomba dans une des petites mares qu'il avait fréquenté quelques minutes auparavant .Trempé qu'il était ,les palourdes envolées dans la bagarre ,et le crabe volatilisé !!!!!!
Veg qui n'avait pas loupé une seconde de la scène n'en finissait plus de rire
Lion lui penaud restait le derrière dans l'onde le doigt gonflé et le ventre creux .

"Nous allons devoir acheter nos provisions "

Veg était assise sur le sable ,continuait de rire ,ne pouvait plus s'arrêter.
Lion regagna le sable sec ,enleva sa braie pour l'étreindre et la posa sur le sable chaud en espérant que le soleil soit généreux
il contemplait son index qu'il aurait pu appeler pouce maintenant .
Puis s'allongea un moment pour se remettre de ces émotions.

Vegaz

Rien ne pourrait en cet instant interrompre ce moment, pas une pensée, pas un bruit, rien ils étaient seuls là au milieu de nulle part, plus rien ne comptait. Se laissant envahir par se bien être.

Une étreinte passionnelle avait envahi deux être, impossible de lutter contre un plaisir partagé.

Les corps qui ce mélange, le temps qui s'arrête, plus rien n'existe, ils sont deux unis à la nature mais ils ne font plus qu'un.

Leurs lèvres s'unissent, leurs corps s'animent dans une danse maléfique, ensemble ils atteindront le passage les menant à l'extase, ensemble ils resteront longuement là, dans les bras l'un de l'autre, sans un mot.

Fransdunord

Frans etait arrivé le matin meme acocmpagné par pas mal de monde et surtout, il était resté proche de Resca durant le voyage, pour qu'ils se protegent mutuellement.

Apres manger, ils allerent tout deux vers la plage et marchérent sur le sable. Ils rirent quand ils virent un couple nu marcher dans l'eau... Cela lui donna des idées...

Tu te souviens, que tu voulais m'emmener la bas

Il montrait a Resca un point loin dans la mer

DOmmage que l'on n'ait pas de barque... on se serait isolés de tout

Il l'embrassa en souriant et ils continuérent leur chemin
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Rescator

après une nuit dans la campagne et a la belle étoile, Resca accompagna Frans pour une longue promenade sur la très belle plage Rochelaise.

Même, si leur séjour n'était pas lié aux vacances, il savouraient de se retrouver seul sur le rivage.....
La main dans la main, il courraient dans les petites vagues qui s'échouaient....
Il y avait le ciel, le soleil et leur amour...

" On pourrait revenir pour un bain de minuit"....
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Bikko

Sortant de la taverne les deux amoureux allait prendre une marche
main dans la main sur le bord de la mer," silencieux" , écoutant le son
des vague arrivé sur la plage tout les deux se sentais bien mais bien
silencieux, puis ils s arretèrent se regardand dans les yeux et entrèrent
dans leau puis...

Anggy

Muze,Toine et Anggy arriverent a la plage
elles installerent Toine sur la plage et se mirent assises pres de lui
Anggy s amusa avec toine
-tu sais muze je seraiis heureuse quand ma ptite graine seras la parceque avec les chaleurs qui vont commence je vais souffir
mais j ai une angoise de ne pas savoir m en n occupe comme il faut
anggy se coucha dans le sable et ecouta muze
mais elle s endormit bien vite au soleil

Hoffmann

Hoffmann arriva a La Rochelle est vit cette belle plage, il s'installa dans le sable noirci pas la nuit et se mit a réfléchir, de tout et de n'importe quoi, il s'endormis... Il se réveilla brusquement sur le cauchemar vécu a Saumur lors de la guerre... Il ne pouvait plus dormir et se mis donc a nouveau en marche...

Jerlac

La plage...Jerlac en rêvait depuis son déménagement pour Saintes. Bien qu'elle aimât profondément la forêt, la mer avait le pouvoir de l'hypnotiser..

Pourtant l'endroit ne recèlait pas que des bons souvenirs, loin s'en fallait..Mais la fascination qu'exerçaient sur elle les vagues s'échouant sur le rivage était tant indéfinissable qu'inexplicable..

Elle marcha donc de longues minutes sur l'estran, s'amusant à dessiner de la pointe des pieds des arabesques qui n'étaient pas sans rappeler les dessins tracés sur le corps de Verne..

Elle était bien..seule, elle pensait à tout ce que la vie lui avait offert depuis son arrivée à Saintes. Son installation à la Rochelle, lorsque pleine d'enthousiasme et de projets elle était venue s'y installer pour... Non, ces souvenirs appartenaient au passé et les fantômes n'aimaient pas être dérangés..

Des aboiements joyeux vinrent à point nommé la tirer de ses tristes souvenirs.. Weillin! il fonçait sur elle, oreilles au vent.. Jerlac ne peut s'empêcher de rire..

Weillin attention! tu vas me faire....

Trop tard! Jerlac était allongée dans le sable mouillé , Weillin, toujours aussi joueur l'empêchant de se relever.. Elle riait à présent de bon coeur.. qu'attendait-elle donc d'autre de la vie? le bonheur était là, à portée de main, et elle s'obstinait à ne pas le voir.. Il portait pour noms Verne et Weillin...

Elle en était certaine à présent.. son avenir était auprès d'eux...

D'un bond, elle fut sur pieds. Elle courut vers la plage sans que Weillin ne comprenne raiment la raison d'un tel empressement.. Mais, il fallait qu'elle voit Verne, là, tout de suite..Elle lui avait fait de la peine, avait manqué de le perdre.. Il lui fallait réparer pendant qu'il était encore temps.. Vite, vite...elle n'avait plus de temps à perdre...
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Vernevaux

Jerlac, Verne et Weillin passèrent à nouveau la nuit sur la plage, la nuit était douce, et la lune claire, ce qui était propice à une baignade nocturne.
Jerlac en avait vraiment envie, aussi , bien que Verne n’aimât pas trop la mer qu’il trouvait inquiétante, il accepta tout de même de se baigner, mais pas trop longtemps car il ne fallait tout de même pas tenter le diable, plus la baignade se prolongerait, plus ils risqueraient de se faire happer par on ne sait quelle créature marine…

Verne ne manqua pas de regarder Jerlac déposer avec grâce ses vêtements sur le sable ; ce spectacle le mettait en joie car la lumière blafarde de la lune ne laissait deviner guère plus que sa silhouette, soulignant les courbes élégantes de son corps mises en valeur par le ciel uniforme et le sol lisse et plat ; elle lui faisait penser à une statue magnifique issue d’une ville engloutie, déposée là par la mer, et qui aurait pris vie dans un rayon lunaire argenté.

Que ma douce amie est belle ! pensa t il…

En cet instant il se sentit consumé par l’amour qu’il lui portait.
Lorsqu’elle lui tendit la main, il s’approcha et ils se dirigèrent ensemble vers les flots.

Ils ne s’éloignèrent guère, Verne préférant sentir ses pieds au contact du sol, cependant ils jouèrent en compagnie de Weillin, rirent, et s’enlacèrent tendrement, serrés l’un contre l’autre leurs regards plongeant l’un dans l’autre, écoutant le doux bruit des vagues.
Puis ils revinrent sur le sable, profitant de cette nuit splendide pour oublier les tumultes de la veille, parlant longuement, imaginant toutes sortes de créatures dans les ombres et les étoiles, puis s’offrant l’un à l’autre dans une vague de bonheur…
L’amour qu’ils avaient l’un pour l’autre était pur et sans limites.
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Jerlac

Jerlac avait retrouvé Verne et avait enfin laissé parler son coeur..

A présent ils étaient là, tous les deux et elle ne pouvait détacher sonregard de l'homme endormi près d'elle. Les mots d'amour prononcés par son mari résonnaient encore dans sa tête, l'empêchant de trouver le sommeil...

Il venait de lui faire la plus merveilleuse des demandes...

Elle se leva, se dirigea vers l'océan, là où les vagues viennent mourir pour renaître de plus belle. Cette métaphore la fit sourire.. son coeur , transporté d'allégresse, battait plus fort que jamais..

Elle fit quelques pas ..tout était calme, serein.. la lune éclairait de son halo blafard la surface de l'eau. Elle leva la tête en direction des étoiles , témoins muets de son bonheur..

Elle retourna enfin auprès de Verne, dont le visage apaisé la combla.
Il souriait en dormant.. S'allongeant contre lui, elle se sentit protégée.
Il saurait veiller sur elle et cette douce pensée lui permit de se laisser glisser dans les arcanes du sommeil...
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Vanupied

Après plusieurs escales, Vanupied et Kris étaient enfin arrivés à La Rochelle. Kris dormait encore à poings fermés.

Vanupied ne tenait plus, elle avait trop envie d’admirer la mer au petit matin.
Elle arrive sur cette plage magnifique, enlève ses chausses et savoure la texture du sable sous ses pieds, fait quelques pas et s’assoit.

Les yeux rivés vers l’infini, ses mains jouent avec le sable encore frais.
Quel bonheur de se retrouver ici.

Vanupied est impatiente de partager ses instants avec son Prince, il va sans doute la rejoindre.

Tranquillement elle enlève ses vêtements, et va se baigner.

Bon sang ! elle est froide !

Mais irrésistiblement Vanupied se jette dans l’eau et nage paisiblement profitant de cette immensité pour elle seule.
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Princekris

En se réveillant, Kris trouve le mot de Vanu.
Il sourit.
Kris part en direction de la plage.
Une large bande de sable, personne à part une dame en train de nager.
Kris remarque les affaires de Vanu , s assoit à côté et regarde sa naïade profiter de l océan.

Sacha

[Un autre coin que les voisins du dessus

]

L'océan... comment faire un passage à La Rochelle sans aller voir la mer ? Quand ce n'était pas les habitants qui vous conseillaient d'aller la voir, d'ailleurs il semblait à les entendre que c'était le seul lieu digne d'intérêt, elle se rappelait d'elle même à l'odeur iodé qui envahissait la ville par moment, le bruit des vagues qui éclatait dans un silence qu'on guettait, le sable qui se répandait au gré du vent dans les rues proches de la plage.

Allons donc voir ces eaux mouvantes avait donc fini par décider la jeune fille, ce n'était pas la première fois qu'elle y allait mais bon, de toutes façons pour le moment, elle n'avait pas grand chose de mieux à faire. Toujous pas la moindre nouvelle de son très cher père. Elle en aurait fini par croire qu'il était mort si une pareille nouvelle n'était pas du genre à créer un grand fracas reconnaissable de loin dans tout le comté. Et puis elle l'avait elle-même aperçue pendant les élections. Elles devaient être prenantes à un point formidable ces élections pour qu'il n'ait pas même trouvé le temps d'envoyer son valeureux secrétaire affronter les foudres de sa fille. "Pourquoi grand dieu, mais pourquoi suis-je venue ?" se demanda-t-elle pour le millionième fois en se laissant tomber sur le sable.

Les genoux ramenés vers elle, les bras passés autour de ses jambes, le regard perdu dans les vagues. La mer... oui, c'était joli. Dire qu'elle avait vu le jour ici, quelque part en La Rochelle. Dire qu'elle sentait autant de lien avec cette ville qui l'avait vu naitre qu'un poisson n'en aurait avec une forêt. Trop de temps, trop d'attente, tourner en rond, se demander comment s'en sortait Naud, si les autres avaient réussi à passer dans le Nord, s'inquiéter pour toutes ces personnes auxquelles il ne fallait pas s'attacher, pas trop du moins, le moins possible. Un lion en cage dont les barreaux invisibles prenaient la forme de courriers non envoyés. S'entrainer, manger, dormir, trainer en taverne, et recommencer le tout.

Agacée, Sacha se laissa tomber en arrière pour s'allonger sur le sable. Avec un soupire, elle croisa les bras sous sa tête en fermant les yeux. La seule bonne chose était ce baptème qui allait pouvoir se faire, enfin. Un léger froncement de sourcils, une question, une incompréhension. Cela faisait longtemps maintenant qu'elle imaginait cet évênement, elle s'y était toujours vu seule, idée qui était loin de lui déplaire, peut-être même la rassurait, une affaire entre elle et le Très-Haut. Alors pourquoi lui avoir demandé ? Le prètre avait bien rappelé que ce n'était pas une nécessité absolue et pourtant, une inspiration subite, même trop rapide pour que sa tête n'ait le temps d'analyser ce qu'elle était entrain de dire, et elle lui avait demander. Il n'était même pas certain que la chose se fasse de toutes façons. L'idée pour être déconcertante n'en était pas pour autant déplaisante mais... pourquoi ? Les rayons du soleil continuaient à caresser son visage tandis que la jeune fille partait à la recherche d'une explication qui pourrait éventuellement légitimer ce brusque et surprenant revirement dans ses habitudes.
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Divination

Divination avait rencontré Messir Cloviz dans une taverne.

Elle l'avait tout de suite trouvée sympathique.

D'une grande élégance, une infinie gentillesse dans le regard.

Alors qu'elle prenait sa tisane, il lui proposa une balade à cheval sur la plage.

Ne se tenant plus de joie, elle accepta l'invitation.

Ayant une affaire à régler avant, elle vint le rejoindre.

Il l'attendait, sur son cheval d'un blanc immaculé.

Un rêve, ils étaient magnifiques l'un comme l'autre.

Elle s'approcha timidement de Cloviz

Excusez moi de vous avoir fait attendre !!

Callima

Callima venait d'arriver à La Rochelle. Depuis qu'elle rêvait de voir la mer. Son voeu était enfin exaucé.

Elle partit tout au bord de l'eau, avança doucement pour que les vagues viennent lui lécher les pieds.
Elle trouva l'eau un peu froide. Elle avait quitté ses bas, et elle avançait un peu dans l'eau.

On lui avait dit que c'était magique....
Le bruit des vagues la saoulait un peu, c'était .... magique! le mot était juste.
Elle entendait des cris d'oiseaux inconnus.
C'était vraiment un autre monde.

Que c'est beau... le ciel et l'eau mêlés... je n'avais jamais vu pareille chose.

Elle se demandait qi elle n'allait pas rester quelques jours ici.

Elle s'éloigna un peu du bord de l'eau et s'assit pour contempler ce magnifique tableau.

Cloviz

Messir Cloviz arriva sur son beau cheval blanc et sont vieux loup sans dents.
Il se stoppa et reguarda a l horizon.
Il vit une silouhaite qu il lui étais familiere.
Elle lui fit un signe de la main.

Gaelis

Ce matin Gaelis s'était réveillé, toujours hanté par ses démons. Il s'était rendu vers la plage pour se purifier le corps et l'âme. Il n'aimait pas sentir cette torpeur et cette rage en lui.

Il s'assit dans le sable et prit une poignée de sable qu'il laissa voler au vent.

Ma vie ne sera donc que guerre et sang? Pas de repos pour le guerrier... pas d'amour non plus.

Il regarda l'océan, pensant à une autre mer, pensant à Jérusalem, l'odeur des épices, la douceur des étoffes.

Peut-être qu'il avait eu tord de revenir, peut-être qu'il aurait du rester là-bas et y mourir? Mais la mort n'avait même pas voulu de lui.

Ni mort, ni femme... et j'aime une femme qui en aime un autre...

Ses yeux se remplirent de larmes.

Mère, m'avez vous maudit en mourant, de ne pas vous avoir soutenu, de ne pas vous avoir protégé vous et mon Père...

Gaelis se leva et enleva ses bottes et ses braies. Il s'avança vers l'eau et sentit la froideur de l'eau raidir son corps et le caresser avec volupté. Il frissonna et plongea, nageant pour se vider l'esprit.

Il sortit de l'eau ayant retrouvé sa vigueur et sa bonne humeur, puis il reprit ses affaires et repartit vers le logis de Vespuci et de Divine.

Anggy

Apres la journee a la mine anggy se mis a se ballader sur la plage a profiter du coucher de soleil qu elle regarda la premier fois avec son fils
elle s assied sur le sable encore chaud
berca tendremennt Driss lui donna plein de bisou partout
l horizon avais des couleurs chaude et douce
Anggy installa une couverture sur le dos de Driss et se coucha
le bruiiit des vagues les endorment tres vite
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Zouk59

il faisait beau , personne sur la plage , zouk allait en profiter pour ce reposer sur le sable chaud .

il s'allongea , et le bruit étêtant des vagues le fit sommeiller.
bien triste manque de vigilance , il devint rouge écrevisse , et pour apaiser le feu du coup de soleil il ne lui restait plus qu'a frotter une tomate coupée en deux !!!!!
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Gaelis

Il était tard, très tard et il faisait nuit noire. La lune éclairait faiblement si bien qu'on ne voyait guère à plus de un mètre devant soi.

Gaelis sortait de taverne, il avait passé une délicieuse soirée en compagnie de Tyboune, Tutia et Divine. Il avait juste bu suffisamment pour être gai sans être saoul et avait le coeur heureux.
Il enleva ses bottes et sa chemise pour sentir la fraîcheur du sable glisser entre ses pieds mais aussi l'air marin vivifiant.

Divination

Divine avait besoin d'air après le tumulte de la journée.

Elle ne voyait rien du tout et s'accrocha au bras de Gaelis.

Excusez moi de vous tenir de cette façon mais je ne vois pas à dix pas.

Elle avait besoin de se moment calme et vivifiant.

Comme lui, elle retira ses chausses pour sentir le sable courir entre ses orteils.

Elle respira profondément, l'air marin, et se laissa guider par son ami.

Pompon lui courrait dans tous les sens heureux de vagabonder.

Gaelis

Gaelis sentit tout à coup le bras de Divine s'accrocher au sien.

Excusez moi de vous tenir de cette façon mais je ne vois pas à dix pas.

Il la regarda et lui sourit. Dieu qu'elle était belle. La lumière de la lune mêlée aux ténèbres de la nuit la rendait plus désirable encore et plus mystérieuse.

Gaelis serra son bras contre lui et s'adressa à elle:

Désirez-vous prendre un bain ou redoutez vous le froid de l'eau à cette heure? Je vous guiderai n'ayez crainte!

Il entendit Pompon qui jappait et qui courait un peu partout et sortit de la contemplation de sa divine voisine.

Allons Pompon, profites-en! Tu peux courir tout ton saoul!

Divination

Divine prit un peu peur.

Euh, je ne sais pas nager et je n'ai jamais prit de bain à cette heure ci

Elle le regarda un peu inquiète.

Puis elle se dit que si elle pouvait faire confiance en quelqu'un c'était bien à lui

Bon, pourquoi pas si vous y tenez mais on ira pas loin, promis ??

Elle s'approcha un peu plus de la mer et enleva ses vêtements.

Elle garda ses braies et sa chemise.

J'espère qu'elle ne sera pas trop froide tout de même !

Gaelis

Divine le regarda et il lut un peu de peur dans le fond de ses yeux, mais elle prit sur elle car elle lui dit:

Bon, pourquoi pas si vous y tenez mais on ira pas loin, promis ??

Gaelis lui sourit:

N'ayez crainte, je ne vous lâcherai pas une seconde.

Gaelis la regarda se dévêtir, il préfèrait, tout comme elle, garder ses braies, et ce afin de rester décent.

Lorsqu'elle eut finit, il lui sourit et lui tendit sa main.

Allons-y Divine?

Il sentit sa main dans la sienne et la serra fort, puis il l'entraîna en courant vers les flots noirs.

Ils arrivèrent ainsi au bord de l'eau. Gaelis ralentit et pénétra dans l'eau le premier en prenant l'autre main de Divine pour qu'elle se sente bien en sécurité. L'eau était froide mais il ne le craignait pas, il la laissa pénétrer tout doucement dans l'eau pour qu'elle s'habitue à la température.

Dites-moi si ça ne va pas?

Il lui fit un sourire pour l'encourager. L'eau lui arrivait à la taille et un peu en dessous de la poitrine de Divine. Il était près à la rattraper si elle devait déraper afin qu'elle ne boive pas la tasse.
L'eau caressait et revivifiait leurs corps. Il la regarda et vit qu'elle avait froid.

Pour ne pas avoir froid vous devez toujours rester en mouvement Ma Dame avec vos bras pour l'instant et avec vos jambes un peu plus loin.

Il continuait à avancer et sentait qu'elle commençait à avoir peur.

N'ayez crainte je suis là, je ne vous quitte pas.

Il passa son bras autour de sa taille et l'entraîna vers lui.

Détendez-vous, vous n'avez rien à craindre.

Gaelis plissa le front pour se concentrer sur l'eau autour d'eux et sur le soin qu'il devait mettre à prendre soin d'elle et à veiller que tout se passe pour le mieux, mais il ne put s'empêcher de tressaillir lorsque leur corps furent l'un contre l'autre.

Au loin sur la plage, Pompon jappait toujours et courait à perdre haleine.

Divination

Elle le suivit à l'eau

brrrrrrrrr, ouhhhhhh, elle est froide !

Petit à petit elle s'enfonça dans l'eau, dépassé la taille, la peur l'envahie.

Elle le serra.

J'ai peur, je sais pas nager !

La peur, la faisait trembler

Et si nous remettions ça à plus tard, s'il vous plait !

Vous voulez bien m'apprendre, un de ces jours ?

Gaelis

Gaelis sourit.

Mais bien sûr, je vous apprendrai! et vous verrez ça viendra tout seul! Après quelques tasses bien sûr!

Il l'a pris dans ses bras pour l'aider à sortir et une fois hors de l'eau, ils se mirent à courir jusqu'à leurs vêtements.

Ceux de Divine étaient trempés et il l'enroula dans sa cape pour qu'elle n'ait pas froid.

Rentrons maintenant, il ne faut pas que vous attrapiez mal.

Il se mirent en route pour la maison. Le corps fatigué et le coeur heureux d'un si bon moment passé ensemble.

Divination

Comment résister à un homme aussi attentionné, doux, prévenant.

Divine luttait de toutes ses forces pour ne pas succomber à son charme.

Ce bain même bref fut un plaisir, le fait d'être là avec lui, suffisait à se sentir bien.

Il la recouvra de sa cape, ce geste la toucha.

Merci, rentrons, voulez vous ?

Ils prirent la direction de la maison........

Vespuci

Amérigo Vespuci soucieux fit les cents pas dans sa demeure. Il le savait, ses absences répétées nuiraient à son couple. Vespuci savait que le peux de temps de présence devait être donné à sa compagne. Il proposa a sa compagne une sortie à la plage.

Vespuci sortit de sa demeure en compagnie de divination en direction de la plage.

Le soleil était haut mais le vent faible se qui inauguré une trés belle sortie

Divination

Cela faisait bien longtemps qu'aucune sortie n'avait pu être envisagée.

Divine en fut ravie et accepta l'invitation immédiatement.

Au côté de Ves, et toujours suivit de son fidèle compagnon ils arrivèrent tous trois à la plage.

Une plage magnifique au sable fin.

Que c'est agréable de pouvoir se balader, enfin ensemble !

Cà me manquait tellement.....

Vespuci

Vespuci en compagnie de divination s'aventura sur le sable. Cette plage lui manquée depuis longtemps.

Vespudi tendit la main à div

Tu viens de baigner avec moi?

Divination

Elle le regarda et lui dit

Tu sais bien que je ne sais pas nager, on ira pas loin, n'est ce pas ?

Elle enleva ses vêtements et garda sa chemise et ses braies, elle ne put s'empêcher de repenser au même moment qu'elle avait passé avec Gaelis, c'était troublant.

Je suis prête quand tu veux.

Pompon lui courait tantôt dans l'eau, tantôt sur le sable, il était heureux de vivre.

Vespuci

Vespuci enleva ses chausses et sa chemise et garda sa braie.

Rassura div:

Non juste au bord.

Tendit la main à divination.

Divination

Elle lui tendit sa main, et tous deux avancèrent tranquillement dans l'eau.

Brrrrrrrrrrrrrrrr, elle est toujours aussi froide, même à cette heure ci !

Se rendant compte qu'elle avait encore parlé trop vite elle changea de sujet.

C'est beau n'est ce pas, et quel calme !

Vespuci

Un air ettoné regarde divination à ses dires

A cette heure-ci? tu es allé a la plage reccement?

Divination

Rouge de confusion elle bafouilla

Je........euh.......comment dire.......euh oui hier soir........je ......euh j'étais pas très bien avec toutes ces histoires alors Gaelis m'a proposé une promenade à la mer.

On s'est....euh baigné et on est rentré à la maison, puis on a bu une infusion, avant d'aller se coucher.

Vespuci

Avançant à quelques mètres du rivage Ne voulant pas aborder le sujet plus en détail continua à avancer.

Avança jusqu'à avoir l'eau au niveau des genoux

Div vient je ne sais nager aussi on va s'entraider.

Divination

Elle lui faisait confiance, et avança prudemment dans l'eau.

Elle le serra de peur de tomber à l'eau.

Je ne suis pas très rassurée, l'eau me fait peur.

Lorsque je saurais nager, je me sentirais sûrement bien mieux.

Vespuci

Lui tient la main fermement et cherchant à la rassurée.

Avance doucement.

Je vais t'aider.

On va apprendre ensemble à nager. Je sais barbotter et rester à la surface.

Divination

Non je suis désolée, il n'est pas question que tu m'apprennes tu ne sais pas nager.

J'ai déjà peur, alors pas la peine d'en rajouter.

Elle essaya d'entraîner Vespuci vers la plage.

Sortons s'il te plait.

Restons un moment sur le sable si tu veux

Vespuci

Comprend, cache sa déception et sort de l'eau avec divination.

restons sur la plage si tu veux.

Sort de l'eau.

Fait quelques mètres en remontant sur la plage et s'assois en compagnie d e divination.

Doudounnette

Doudou avanca sur le sable pied nus l eau lui lechais les pieds
petit a petit doudou s eloigna de la plage et se retrouva avec de l eau jusqu'a a la taille

elle continua a avancer sans plus pensé a rien et a personne sentant l eau lui monter de plus en plus haut elle pris peur

Doudou savais nager mais prise de panique elle bu la tasse plusieurs fois

-AU SECOURS.......... au sec.............. ours..............au sec

la tete de doudou disparu dans la mer de la rochelle
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Gaelis

Gaelis aimait décidément cette plage, et il l'en aimait encore plus depuis la veille. Un peu désoeuvré, il décida de s'y rendre à nouveau pour pouvoir méditer et penser en toute tranquilité.

Il enleva ses bottes et sa chemise pour plus de commodité. Il s'avança donc le sourire au lèvre. Tout à coup sortit de nulle part, Pompon se jeta sur lui.

Tiens te voilà toi!

Il lui fit une caresse et se mit à jouer avec lui, pensant qu'ELLE ne devait pas être loin.

Tout à coup un cri, lointain mais qu'il devinait puissant. Une voix de femme, en détresse visiblement. Le sang de Gaelis ne fit qu'un tour. Divine, mon Dieu, Divine se noyait. Mais comment pouvait-ce être possible, elle n'était pas du genre imprudente et elle savait qu'elle ne pouvait pas nager.

Il délaissa le chien et se mit à courir, aussi vite que possible, ses pieds touchaient à peine le sable. Il se jeta dans l'eau, nageant de toute ses forces. Il contractait ses muscles et se mit à prier:

Dieu tout puissant, Aristote, tous les Saints, je vous en prie, sauvez là...

Il sentait les larmes lui monter aux yeux mais dans l'action il n'avait pas le temps de s'en inquiéter, il fendait l'eau, sentant les sel envahir sa bouche. Rapidement il fut à hauteur de la Dame, cela lui avait semblé une éternité et elle était en train de sombrer. Il plongea pour la rattraper, prit son bras et la serra contre lui.

Il ressortit la tête de l'eau et nagea avec calme jusqu'au rivage en prenant soin qu'elle garde la tête hors de l'eau.

Il l'allongea doucement sur le sable et quelle ne fut pas sa surprise de voir que ce n'était pas Divine. Il restait inquiet néanmoins, il avait vu tant de mort par noyade et il savait comme ce pouvait être horrible. Il fallait qu'elle crache l'eau qu'elle avait bue. Il attendit un peu... Pas de réaction.
Il la pencha alors sur le côté et elle se mit à régurgiter l'eau de mer.

Elle était sauve.

Soyez tranquille Dame, vous ne craignez plus rien.

Il attrapa sa cape et l'enroula dedans, comme il l'avait fait pour Divine la veille au soir, et attendit qu'elle soit un peu remise pour qu'elle puisse s'exprimer.

Doudounnette

elle se senti partir dans l autre monde
une chaleur agreable se fesais sentir sur elle
petit a petit elle repris ses esprits
mais... quue c est t il passe? que m est t il arrivé?
heuh je ne sais comment vous remercier
je marchais tranquillement et..... plus rien je comprend pas
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Gaelis

Dame vous avez failli vous noyer, mais calmez-vous! Vous êtes hors de danger.

Je suis Gaelis. J'aurai besoin que vous donniez des renseignements vous concernant pour pouvoir vous ramener chez vous.
Quel est votre nom? et où habitez-vous?

Gaelis regarda la Dame.

Doudounnette

heuh!!!!!! ou j habite?......
laissez moi reflechir???
ho mince je sais plus ou j habite
doudou commenca a s ennerve de ne plus savoir elle pleura
attendez..... quand je me presente je dit
........................
je dit que je sais plus comment je me presente
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Gaelis

Gaelis était inquiet pour cette Dame qui semblait ne plus savoir qui elle était, ni même d'où elle venait. Il décida de l'emmener au dispensaire.

Pouvez-vous marcher Dame?

Elle semblait ailleurs...

Il l'aida à se relever mais comme elle vacillait, il la prit dans ses bras pour la porter jusqu'au dispensaire.

Doudounnette

oui je crois que sa va aller donnez moi votre bras et sa iras
doudou vacilla
hum!!! je tient plus sur mes jambes!!!!!
elle se sentie soulevée comme par magie elle se tenais fermement a son sauveur
ou vas t on?
son sauveur lui repondit
-au dispensaire vous devez vous faire soigné
doudou le regarda
-vous me faites pensé end-fin votre ressemblance est troublante avec mon.... mon fiancé enfin defunt fiance
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Divination

Divine avait rendez vous avec Gaelis à la plage pour une leçon de natation.

Malgré sa grande confiance en lui, elle n'était pas rassurée face à cette immensité bleue verte.

Gaelis n'était pas encore là, elle s'assit sur le sable, Pompon couché à ses côtés.

Perdue dans ses pensées, elle faisait couler le sable entre ses doigts.

Elle songeait aux paroles d'Aurora :

Gaelis est un prêtre assassin...

On a fait l'amour sur une table dans une taverne....

Qu'est ce qui la gênait le plus, qu'il soit prêtre et assassin ou qu'ils aient eu une relation ensemble.

Elle secoua sa tête sans s'en rendre compte.

Et puis qu'est ce que ça pouvait bien lui faire, elle était amoureuse de Ves, et elle devait l'épouser, donc.......

Elle caressa Pompon, les yeux rivés vers la mer, elle se sentait d'une tristesse infinie.

Tutia90

Tutia décida d'aller se promener sur la plage, elle avait besoin de s'aérer

l'esprit. Elle ne cessait de se remémorer le comportement d'Aurora envers

elle et les critiques qu'elle avait faites contre ses amis. Au fur et à mesure

qu'elle y pensait, elle sentait la colère montée en elle. Elle aperçut Divine

au loin, mais voyant que cette dernière était perdue dans ses pensées

attendant sûrement quelqu'un elle continua son chemin. Voyant que

cette promenade n'agissait en rien, elle décida de se baigner dans la mer.

Elle enleva son chemisier et ses chausses, gardant ses braies, ses bas et ses

haillons et plongea dans la mer. Le froid vivifiant de la mer la calma un

peu, elle nagea pendant un long moment puis une fois qu'elle se sentit

détendue, elle se rhabilla et s'en retourna au village.
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Gaelis

Gaelis avançait sur la plage, l'air marin lui faisait du bien et dissipait un peu son mal être. Il s'avança pour retrouver Divine, ressentant encore le pincement de la veille lorsqu'il était arrivé en courant dans la taverne pour la saluer mais qu'elle était déjà partie.

Il marchait lentement et vit Pompon venir vers lui.

Bonjour Pompon! alors tu as semé ta maîtresse?

Il chatouilla les oreilles du petit chien et continua à avancer. Il aperçut Divine qui l'attendait et lui fit un signe de la main.

Bonjour Ma Dame, quelle joie de vous revoir! Pardonnez-moi pour hier soir! mais lorsque je suis arrivé en taverne vous veniez d'en partir... et j'ai du rentrer le coeur lourd à votre demeure.

Gaelis

Désirez-vous commencer notre cours?

Gaelis tout en parlant enleva sa chemise et se déchaussa.

Il tendit sa main à Divine.

Divination

Divine se leva et le salua

Oui je suis partie, j'étais fatiguée et je ne voulais pas vous déranger.

Vous êtiez en si agréable compagnie !

Elle enleva ses chausses et garda sa chemise blanche et sa braie noire.

Elle respira à fond

Bon, je suis prête pour ma première leçon de natation.

Interdiction de me couler.

Gaelis

Oui je suis partie, j'étais fatiguée et je ne voulais pas vous déranger.
Vous étiez en si agréable compagnie !

Gaelis sourit à Divine en l'entendant.

Voyons, Ma Dame vous devriez savoir que pour moi rien ne surpasse votre compagnie!

Il lui tendit la main et l'entraîna vers la mer.

N'ayez crainte je ne vous coulerai pas! Mais sachez que plus vous me ferez confiance et plus vous apprendrez vite.

Il entrèrent dans l'eau et lorsqu'elle arriva à la taille de Divine, Gaelis l'arrêta.

Bien ici ça ira, vous voyez vous avez pied donc rien à craindre!
Vous allez vous mettre sur le dos et moi je poserai ma main sous votre dos, vous la sentirez. Puis vous prendrez une grande inspiration et je la retirerai. Ainsi vous constaterez que votre corps flotte sur l'eau.
Vous ne devez pas bouger, soyez détendu et laissez vous aller.

Gaelis regarda Divine dans les yeux et lui sourit pour lui donner confiance.

Allons-y.

Divination

Divine s'excuta.

Elle sentit la main dans son dos mais n'arrivait pas à se décontracter et s'accrocha à lui

Non ! Je vais me noyer !

Je n'arrive pas ! Me lâchez pas ! J'ai peur

La panique s'empara d'elle

Elle resta collée à lui regardant la mer faire des va et vient sur le rivage.

Gaelis

Gaelis la voyant paniquer la rattrapa et la sentit se coller contre lui.
Il lui dit d'une voix douce:

Allons Divine, n'ayez pas peur, il faut vous détendre sinon vous n'y arriverez pas! Dites vous que l'eau n'est pas une ennemie et qu'il vous faut vous fondre en elle, devenir une avec elle? Vous voyez?

Il l'enserra de ses bras un instant pour qu'elle n'ait plus peur et passa sa main sur ses cheveux. Son souffle se fit plus court. Il se dégagea doucement d'elle sans la lâcher.

Allez! Essayez à nouveau. Videz votre esprit et concentrez-vous. Il n'y a que vous et l'eau et vous devez vous mouler sur elle. Allongez-vous et laissez vous porter.

Divination

Elle ferma les yeux et se laissa porter.

Au début ce fut difficile, mais la voix de Gaelis la rassura et elle se détendit au fur et à mesure.

Elle se laissa porter par les flots.

Sa respiration se faisait plus apaisante.

L'eau pénétra dans ses oreilles et les sons raisonnaient sourds.

Elle sentait son corps flotter, à la surface de l'eau.

Gaelis

Gaelis la regarda flotter, il avait gardé sa main toute proche du dos de la jeune femme au cas ou elle s'enfoncerait dans l'eau mais elle s'en sortait à merveille. Il la regarda les yeux fermés, les lèvres un peu crispées, il aurait voulu encrer dans sa tête chaque détail de son visage, ses joues qu'il savait si douce les quelques fois qu'il les avait frôlées.

Maintenant bougez un peu vos jambes comme une cisaille et moi je tiens vos épaules.

Gaelis se plaça derrière elle et posa ses mains sous ses épaules attendant qu'elle fasse un battement de pieds.

Soyez tranquille je suis là et je vous tiens.

Divination

Toujours les yeux fermés pour essayer de sentir chaque sensation de toucher et de l'eau sur sa peau.

Elle adorait ça, elle serait restée des heures flottant sur la mer, telle une algue à la dérive.

Elle essaya de faire les mouvements avec les pieds, ses mouvements sont mals assurés mais elle faisait de son mieux.

Elle ouvre les yeux et regarde Gaelis au dessus de sa tête.

C'est bien comme ça, ça va ??

Gaelis

Gaelis l'observait, elle se débrouillait fort bien.

Oui Divine, c'est très bien, continuez ainsi.

Il la prit par la taille et doucement la fit se mouvoir dans l'eau.

Vous voyez, c'est ça nager, ne faire qu'un avec l'eau et être maître de ses mouvements.

Il lui sourit et remarqua sa beauté encore plus poignante, elle était jeune et il se dit qu'avec l'âge elle serait comme une rose qui s'épanouit, de plus en plus belle. Il pensa à Vespuci, à l'enfant qu'elle portait et il se dit qu'ils avaient vraiment tout pour être heureux. Alors que venait-il faire là, lui, pauvre petit chevalier errant, à la recherche de son passé...

Gaelis soupira et regarda Divine avec tristesse.

Bien vous avez compris la première leçon, nous passerons à la suivante demain matin si vous le voulez bien.

Divination

Divine avec l'aide de Gaelis ressorti de l'eau.

Merci c'est gentil, vraiment.

Lorsqu'elle ressortit de l'eau elle ne se rendit pas compte que sa chemise blanche lui collait à la peau et qu'elle était transparente.

C'était vraiment très agréable

Vivement demain que j'y retourne.

Elle le regarda en souriant en se dirigeant vers la maison.

Gaelis

Gaelis la regarda sortir de l'eau, telle une sirène qui aurait pris apparence humaine. Ses seins moulés par sa tunique ne la rendait que plus désirable encore et plus inatteignable aussi. Il se sentit envahir par le plaisir qu'il réfréna en en se concentrant sur la fraîcheur de l'eau et sur le sable qui caressait ses pieds.

Bien Dame, je vous laisse ici alors, je vais aller nager un peu et nous nous retrouverons pour le cours demain matin.

Il lui sourit fit volte face et disparu dans l'onde.

Gaelis

(Assez tôt dans la matinée)

Gaelis arriva sur la plage frais et dispos. Il s'était bien reposé à l'Epée Rouillée et Toilleb avait dormi tout son saoul. Il espérait que le soldat récupérerait vite des forces, il savait qu'ils pourraient jouter ensemble et son épée le titillait régulièrement.

Il se déshabilla intégralement et partit se baigner avant que Divine n'arrive pour son cours.

Il pénétra dans l'eau froide et ne put réprimer un frisson. Il humidifia sa nuque et se frotta le torse et la bras avec l'eau froide. Puis il plongea lestement et se mit à nager. Il perdit la notion du temps tellement il se sentait bien dans l'eau. L'Océan était lissé par le vent. L'onde caressait le corps de Gaelis qui nageait avec ardeur, ses muscles saillants.

Il jettait quelques brefs coups d'oeil sur la plage pour vérifier qu'elle n'était pas encore là et redoutant d'être surpris.

Divination

Divine suivit de son compagnon à quatre pattes, hâtèrent le pas vers la plage.

Deux raisons à son empressement, la première le plaisir de prendre un autre cours de natation avec Gaelis et la deuxième le remercier pour ses fleurs.

Elle scruta l'horizon et aperçut au loin Gaelis, le chiot ne tarda pas à le rejoindre.

Pendant ce temps, elle se déshabilla, laissa ses effets sur la plage, gardant sa chemise bleue et sa braie blanche.

Elle ne fit pas attention aux vêtements posés sur le sable.

Elle s'avanca vers la mer, elle y trempa les pieds la fraîcheur la fit frissonner.

Elle se mouilla petit à petit, en attendant l'arrivée près du rivage de Gaelis.

Gaelis

Gaelis avait perdu la notion du temps... Ses furtifs regards sur la plage s'étaient espacés, grisé qu'il était par le plaisir de nager. Il la vit alors, si resplendissante, les cheveux au vent.

Il s'approcha du rivage. Depuis combien de temps l'attendait-elle? Il n'en avait aucune idée. Il sortit de l'eau pour aller la saluer et se rappela alors...
Dieu du ciel il était nu. Il resta ainsi, sans plus oser avancer, l'eau lui arrivant juste au dessus de la ceinture.

Il se sentait extrêmement gêné. Sans doute n'avait-elle rien vu... mais si elle se baignait et se rapprochait de lui. Il était fort probable qu'elle s'en apercevrait! Il réfléchit rapidement chassant le pourpre qui lui était monté au visage: Il ne devait pas sortir de l'eau et être le plus naturel qui soit. S'il faisait attention, pas de raison qu'elle s'en rende compte.

Avec naturel, il lui fit un geste de la main et lui sourit:

Bonjour Ma Dame, vous êtes prête? Avancez donc jusqu'à moi pour cette deuxième leçon.

Divination

Divine lui fit un signe, et s'approcha prudemment.

Elle continua à avancer, jusqu'aux mollets, aux genoux, aux cuisses......

Lorsqu'elle arriva à la taille son pied glissa sur un caillou et la fit perdre l'équilibre.

Elle se retrouva submergée, paniquée, elle se débattit comme une diablesse, avalant la tasse en essayant d'appeler.

Gae.............gloup...........au seco.........gloup........!

Rien de plus terrible que se débattre pour sa survit, elle aperçut vaguement Gaelis nager pour la rejoindre.

Gaelis

Gaelis attendait patiemment Divine, certain qu'elle arriverait sans souci jusqu'à lui, elle avançait prestement, le sourire aux lèvres.

Puis tout à coup, il l'a vit disparaître, happée par les flots.

Le sang de Gaelis ne fit qu'un tour, il plongea pour la rattraper, l'attrapa par la taille et la serra très fort pour la faire sortir de l'eau! Il se retrouvèrent l'un contre l'autre, Divine un peu sonnée et ayant bu la tasse et lui inquiet de son état.

Divine, je t'en prie, ça va? tu n'as pas trop bu la tasse?

Gaelis se mordit la langue se rendant compte qu'il l'avait tutoyée, chose qu'il évitait de faire en règle général pour garder une certaine distance entre eux.

Il la regarde l'air navré et avec inquiétude. Il se souvint alors de sa nudité et sentant Divine tout contre lui, le désir l'enflamma.

Sa honte était terrible, comment osait-il, lui, convoiter la femme d'un autre! Entre désir et dégoût, Gaelis avait le coeur au bord des lèvres et il était là à soutenir Divine et ne pouvant rien faire.

Divination

Elle s'agrippa à lui tant elle avait eu peur.

Merci Gaelis, mon dieu que j'ai eu peur !

Elle toussotta et recracha un peu d'eau

Ca va aller !

Heureusement que vous étiez là sinon...........

Elle s'arrêta nette, se rendant compte que quelques chose clochait.

Son torse était nu, un corps magnifique se présentait à elle.

Machinalement elle regarda à travers l'eau claire, et le vit dans son plus simple appareil, voyant sa virilité, elle se mit à rougir fortement.

Oh ciel ! Vous êtes nu !

Elle se détacha vivement de lui, elle mit ses deux mains devant ses yeux.

Je vous en prie allez vous habillez je ne bouge pas !

Revenez me chercher quand vous serez décent.

Gaelis

Gaelis avait honte, terriblement honte, il ne put sortir un son de sa bouche, lâcha la jeune femme et partit en courant pour se vêtir.

Il enfila ses braies et revint aussi vite qu'il put pour tenter de réparer ce qui c'était passé. Il pénétra dans l'eau et racla un peu sa gorge pour la dénouer.

Pardonnez-moi... je vous en prie... j'ai perdu toute notion du temps et je ne savais pas que vous arriveriez sans que j'ai eu le temps de me vêtir! Pardonnez-moi ma Dame... Je... je...

Gaelis se sentait confus, perdu et terriblement déçu de lui-même. Il baissa les yeux et se tut, comprenant qu'en parlant il s'enfonçait plus qu'il ne se justifiait. Il regardait l'eau onduler calmement et se dit à cet instant précis qu'il aurait préféré être un poison ou n'importe quel crustacé plutôt que de se retrouver là, pantois et nu, devant la femme qu'il aimait...

Le silence s'installa, pesant et lourd, un silence tel qu'il n'en avait jamais existé entre eux.

Divination

L'entendant courir dans l'eau elle le regarda, il était tel un adonis.

Elle attendit qu'il arrive à sa hauteur, son air gêné la rassura

Ne vous en faites pas ce n'est rien !

Ne soyez pas gêné

C'est moi qui aurait dû faire attention

Vous m'avez secouru et je vous en remercie.

Elle n'eut pas la force de prendre sa leçon de natation.

Elle regagna la plage, soutenue par Gaelis et se laissa tomber de tout son long sur le sable.

Ciel, que j'ai eu peur !

Gaelis

Gaelis l'aida à se relever et la serra contre lui.

Tout va bien, sois sans crainte, tu es saine est sauve.

Il savoura cette étreinte comme aucune autre. Puis la laissa partir en la regardant s'éloigner.

Gaelis

Gaelis arriva sur la plage le coeur battant.

Où était-elle? La douleur de son amour interdit ne surpassait en rien celle qui le taraudait à l'instant. Elle ne pouvait pas partir, elle ne devait pas partir. Une femme enceinte reste auprès de l'homme qu'elle aime!

Il devait la ramener coûte que coûte à Vespuci et disparaître telle une ombre. Les choses devaient rentrer dans l'ordre.

Mais où était-elle!

DIVIIIIIINE, DIVIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINE.

pnj

toute la nuit j ai cherché apres cette bonne odeur
je suis assis sur une plage le vent souffle fort mes oreilles se balancent au gres du vent la mer est demontée
je pousse un cris
wouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuhhhhh wouuuuuuuuuuuuhhh
est ce le vent qui m ennerve qui agite mes oreilles ou bien un mauvais pressentiment!!!!
l eau devenait de plus en plus mechantes les vague deferlaient sur la plage
héééééééééé mais c est mouillé cette chose brrrrrrr
je regardais partout pour voir si je ne voyais personne personne a l horizon
bon continuons on va la retouvé cette odeur et j espere etre recompensé par un enorme os que je pourrais venir enfouir dans se sable ou bien dans le jardin de mes maitres

Gaelis

Gaelis sentait la peur et l'angoisse monter en lui. Pourquoi le chien revenait-il sur la plage. Il y était déjà allé. Mais si elle n'était pas sur la plage! Peut-être alors était-elle...
Gaelis se mit à courir comme un fou vers la mer en appelant de toutes ses forces. Il scrutait l'eau pour essayer de l'apercevoir: une forme, une ombre, n'importe quoi... Il se mit à prier.

Mon Dieu, gardez-la en vie, elle ne doit pas mourir, ça ne peut pas être ce que vous voulez!

DIVIIIIINE, DIVIIIIIIIIIIIIIIIINE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Tutia90

Tutia se rendit un peu en avance à la plage, où elle avait rendez-vous avec Sudoken en tant qu'amie. Elle le chercha des yeux au cas où ce dernier serait arrivé plus tôt. Ne le voyant pas elle se mit en quête d'un coin tranquille. Une fois qu'elle l'eut trouvé elle installa une grande nappe à carreaux et déposa les victuailles qu'elle avait pris soin d'emporter.

Tutia étala deux gros morceaux de pain et de fromage qu'elle avait acheté au marché en milieu d'après-midi, laissant à l'abri dans le panier le gros jambonneau qu'elle était parvenue à dénicher. Puis elle installa deux bouteilles de lait et deux boutielles de bierre. Elle plaça ensuite dans une corbeilles quelques fruits frais et juteux qui clôtureraient le repas. Elle égaya par la suite le nappe en plaçant un petit bouquets de fleurs des champs qu'elle plaça au centre.

Ceci fait elle s'installa confortablement en attendant Sudoken, observant la mer et les vagues dont le doux bruit la berçait.
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Tutia90

Tutia s'était assoupie. Elle se réveilla en sursaut, la nuit était déjà tombée, elle se demanda ce qu'elle faisait là, puis elle se souvient. Elle devait pique niquer en toute amitié avec sudoken, ce dernier ne s'étant pas montré et vu l'heure tardive elle en conclut qu'il ne viendrait pas. Elle remit toutes les victuailles dans son panier et s'en alla vers sa maison, afin de finir sa nuit.
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Cedric39

Cedric arriva devant la plage.....Le sable etait un peu humide et l'océan
semblait calme.....

"Bien..je vais attendre ici qu'elle arrive..."

Il attendait son amie Yasmin pour savoir si elle arriverait a le mettre a l'eau

Son regard se perdis dans ses pensées;scrutant l'horizon.....

pnj

Dès potron - minet, yasmine et Cedric décidèrent de se promener le long de la plage. Il fallait le gagner ce pari ! Enfin, chacun pensait bien réussir!!!!!!
Le soleil commençait à poindre ses rayons mordorés sur cette belle et blanche plage, et les vagues remontaient doucement.
Les pieds dans l'eau, les deux amis discutaient, l'air innocent, en attendant de pouvoir piéger l'autre..........

Cedric39

Tout en parlant avec Yasmin,Cedric reflechissait comment la mettre a l'eau..

"T'as vu..c'est beau l'horizon..."

Au moment ou elle tourna la tete pour admiré le paysage,il l'a portat
d'un coup sur son épaule puis avanca dans l'eau avec elle....
Une fois a bonne hauteur,il la "jetta dans dans l'eau".....
"ha ha ha ha!..Alors tu vois...qui a gagné???"

Melyssandre

Melyssandre ressentie le besoin d'être un peu seule,elle arriva sur la plage sans même s'en apercevoir, celle ci était déserte, elle s'assied et se mit à réfléchir...

Que devait elle faire, continuer la route avec ses amis ou rentrer...?, que deviendrait elle une fois qu'ils seront tous arrivés à bon port...? Surement rentrer seule...

Mely n'arrivait pas à prendre de décision, elle regarda l'océan dans l'espoir de trouver une réponse.... Elle soupira et décida de rester un petit moment ici...

Cedric39

Cedric cherchais son amie Melyssandre et decida d'aller voir a la plage..
Une fois arriver,il appercus au loin une dame...

"ah..c'est elle...."

Il s'approcha d'elle sans faire de bruit...

"Coucou!! je te cherchais ..que fais tu seule ici...?

Melyssandre

Mely sursauta quand elle entendit une voix lui étant familère, completement absorbé dans ses pensées elle ne n'avait pas entendue son ami arriver...

"Coucou!! je te cherchais ..que fais tu seule ici...?

elle leva la tête, lui sourit.

Je ne fais rien de special comme tu peux le voir, juste une envie de me retrouver seule et de réflechir...

Il commence à se faire tard, nous devrions rentrer qu'en penses tu??

Mely se releva et regarda l'océan une derniére fois...

Sagaiii

Saga s'avança sur la plage, probablement pour la dernière fois. Tant de souvenirs, tant d'évènement importants semblaient s'éveiller dans la poussière que soulevait ses pas: le mariage, l'arbre pétrifié, Blanche, la rupture, les regrets... Tout ce qu'il avait fait ici, ce qu'il n'avait pas fait aussi... Alors comme un coup de poing reçu de plein fouet il se souvint, des caresses, des baisers, tout ce qu'il avait trop de mal à retrouver. C'était peut-être de ça qu'il avait besoin, un coup de poing, un choc, pour se réveiller d'un cauchemar. Il s'assit sachant pertinament qu'il aurait du mal à se relever. La mer, toujours elle l'avait aidé, toujours elle l'avait apaisé. Il laissa ses yeux parcourir l'eau calme et scintillante, chaque caresse lui revenant agissant comme un coup de poignard. Des larmes glissèrent bientôt sur son menton... Le temps des adieux était venu, il allait commencer une nouvelle vie, avec elle, ne pas répéter les erreurs du passé. Il se redressa péniblement, retira ses bottes et ses bas et s'avança dans la mer. Nouvelles caresses, chatouilles même, il se surpris à sourire. L'air était différent ici, plus chargé de joie, d'innocence et d'insouciance, tout ce qui lui manquait à Poitiers. La seule idée de Poitiers amena un regret, qu'elle ne soit pas là, ne pas subir avec plaisir les caresses de la mer avec elle. Si seulement il pouvait ramener un peu d'insouciance avec lui, si seulement il pouvait revenir en arrière quand ils étaient jeunes, riaient en taverne, buvaient et s'aimaient, avant les guerres, avant les douleurs, avant les responsabilités. Il se sépara de la mer à regret, ne gardant que ses souvenirs, et ses bas et bottes, puis reparti pour la taverne tant pis pour les conseils du médecin, son côté nostalgico-romantique était de retour plus fort que jamais.
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L'amour est le prélude de souffrances infinies,
L'amour précède une tragédie,
L'amour est une prison pour l'âme,
L'amour est un cercueil pour notre eprit.

Cellia

C'était un soir d'été , la plage avec son horison ensoleillé.Cellia se baigna dans la mer et profite de se moment.Une heure plus tard , elle rentra chez elle.

Striife

En ce beau début de matinée, Striife attendait son tendre amour avec impatience, et oui, tout ce long voyage c'était pas pour rien.Il s'assied sur le sable fin, défit ses bottes et l'attendit patiemment.

Dzerva

Dzerva apperçut son petit ane sur le sable. Enfin la plage ^^

elle s'assit dans ses bras en lui murmurant des tonnes de "je t'aime"

Striife

Striife était en train de rêver quand son petit amour se glissa dans ses bras, il la couvre de baisers et ne peut s'empêcher de la câliner tellement il est heureux d'être ici avec la femme qui lui a dérobé son coeur au premier regard

Cybella

Cybella arriva sur la plage, enfin elle revoyait l'océan après tant de mois d'absence, elle se sentait revivre. Elle marcha pieds nus le long de l'eau, les yeux dans le vague ne pensant à rien ou presque....
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Farra

Farra se promenait dans le village, et arriva sur la plage de sable fin. Elle sortit ses chausses, et marcha sur le sable chaud, les vagues venant lui lécher les pieds. Elle alla s'assoir à l'ombre d'un chène, et elle observa l'horizon se confondre avec l'océan. Bercée par le bruit des vagues, elle finit par s'endormir.

Bikko

Bikko et Stelliem arrivèrent tout les deux a La Rochelle enfin.
Se rappelant de son dernier voyage, du chemin de la plage, les deux amoureux se dirigèrent la ou le son de la mer que les vagues fesait en se brisant sur le bord.
Fatigué mais heureux d etre arriver, Bikko et Stell marchait pied nu
dans l eau,main dans la main respirant l air salin de la mer en cherchant un endrois bien tranquil pour s y installer pour le reste de la nuit.
Stell voit deux petite dunes de sable une a côté de l autre.
Ils vont s installer entre les deux, à l abrit du vent, Bikko déroule sa paillasse et l étend, il regarde Stelliem puis la mer, lui sourit, il se déshabille et rejoint son amour en se mettant devant elle qui la fait deviner ou il veux en venir Il l embrasser, et la déshabille pour
l emmener se baigner et s aimer tendremnt

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Stelliem

Stell, est heureuse d'etre enfin arrivée à la Rochelle et surtout d'être devant l'océan, le but de son voyage avec Jade se souvient elle en souriant.

Marchant lentement pieds nus dans l'eau en compagnie de son amour, Stell repéra deux petites dunes de sable et les montra a Bikko qui intalla leurs affaire.

Puis souriante, elle le vit se déshabiller et venir vers elle. Devinant ses intentions, elle rit doucement puis se laisse déshabiller et entrainer vers l'océan. Ils avancèrent dans l'eau la main dans la main et passèrent un bon moment a se baigner et aussi a s'aimer.

Serrée dans ses bras, l'eau jusqu'aux épaules, Stell frissonnait lègerement, et de fatigue et aussi un peu de froid, mais elle n'en tint aucun compte.

Je t'aime lui dit elle les yeux dans les yeux. Elle l'embrassa tendrement.

Elle vit soudain, les tout premiers rayons de soleil, et sourit heureuse.

Bikko vient, retournons sur la plage et regardons le soleil se lever, elle lui sourit, puis ensuite nous pourrons dormir un peu..
Ils retournèrent s'asseoir sur la paillasse et s'enroulèrent dans la couverture, puis ils regardèrent le soleil se levé, majestueux sur l'océan... Enfin Stell, trop fatiguée, s'endormi sur l'épaule de Bikko, le sourire aux lèvres.

Jademance

Une autre nuit à trimbaler la barque .... ce qu'elle devenait un fardeau ! L'idée que c'était le dernier relais avant la mer, donnait la motivation à Jade de continuer. En chemin le groupe s'était scindé, le poids ralentissant la démarche de Jade et l'envie des amoureux d'être seuls en étant la principale raison. Jade les regardait en souriant prendre l'avance. Marchand et réfléchissant, elle ne vit pas le temps passer et fut étonnée lorsque'elle senti la texture du sable sous ses pas. Elle déposa l'embarcation enleva ses bottes et courru sur la plage. Le soleil poitait à l'horizon. Les bras dans les airs, course folle, yeux fermé, visage tourné vers le haut elle s'écria :

Hooooooo playa formidable, dessous mes pieds enfin le sable !

Sitôt les pieds léchés par le clapotis de l'eau, elle s'agenouilla et de ses mains prit de l'eau et s'en aspergea le visage. La sensation était apaisante. Du coup le fardeau de la barque n'était plus. Elle retira, non sans difficulté mainteant qu'elle était mouillée, sa houppelande et la jeta plus loin. Elle se releva et après quelques pas, plongea tête première dans l'eau. Elle apréciait cette sensation et se goût salé sur ses lèvres. Elle pataugea un long moment, ce qui la ré-énergisa grandement. Après quoi elle sortie de l'eau et enfila sa robe qui se plaqua sur sa peau. Elle apporta sa barque sur le bord de la berge, puis déambula sans but.

Au bout d'un moment elle aperçut au loin les silhouettes de ses amis. Elle alla les rejoindre. Ils se préparaient à manger.

Bonjour vous deux. Vous avez fait bonne route ? J'aii quelques miches de pain et des fruits, on partage ?

Stelliem

Quelques heures plus tard, Stelliem, endormi dans les bras de Bikko, senti quelque chose la chatouiller sur le bras. D'un mouvement brusque elle donna un tape sans ouvrir les yeux et entendit un petit rire.. Fronçant les sourcils elle ouvrit un oeil, puis sourit face a son amour qui avec sa main s'amusait a dessiner des arabesques sur son bras.

Bonjour mon amour, je t'aime ! puis elle l'embrasse longuement.

Se roulant sur le dos elle s'étire puis se redresse et regarde l'océan. Que c'est beau ! je ne m'en lasse jamais...
Aidé de Bikko elle se releva et remis sa chemise, puis le sourire en coin elle se tourne vers lui en train de s'habiller.

Ne m'avais tu pas promis un petit déjeuner de fruits de mer mon cher amour ? Puis elle rit et l'embrasse fougueusement. Je commence a avoir faim ... tout en disant cela son estomac fit des gargouillis et tout les deux explosent de rire.

Pendant que Bikko s'occupait de trouver leur nourriture, elle commença a sortir le maïs pour accompagner, et a ranger leur affaires quand elle entend dire :

Bonjour vous deux. Vous avez fait bonne route ? J'aii quelques miches de pain et des fruits, on partage ?

Relevant la tête, elle sourit et se leva pour embrasser son amie.

Bien sur ma belle ! Bonjour a toi Jade ! pose tout là ! Et viens t'asseoir avec nous !

Bikko

En mettant sa chemise, Stell lui dit:
Ne m'avais tu pas promis un petit déjeuner de fruits de mer mon cher amour ?
Leve la tête se souvenant de se qu il avait dit, elle rit de voir la tête qu il fait, elle le prend par la tête et l embrasse tendrement.
Je commence a avoir faim ... lui dit elle quand le ventre de Stelliem se fit entendre et tout les deux riaient.
Il enleva sa chemise et profité de la marrée basse pour aller pêcher les moules et palourde et espere trouver les couteaux de mer.
Marchant pied nu dans l' eau à chercher les petit trous la ou se cachait les
mollusques.
Il entend au loin les voix des deux jeunes femmes et leur fait signe de la main et revien avec son chapeau remplide moules et quelques couteaux de mer et palourdes.

Maintenant il ne reste plus qu à les faire bouillir dans leau de la mer^^
je vais aller chercher un peu de bois,bonjour jade comment va tu,^^ pas trop mal aux pieds j espere^^

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Stelliem

Stelliem, tout en discutant a baton rompu avec Jade, regarde Bikko revenir avec son chapeau rempli de moules, quelques couteaux de mer et palourdes qu'il pose a coté d'elles.

Maintenant il ne reste plus qu à les faire bouillir dans leau de la mer^^
je vais aller chercher un peu de bois,bonjour jade comment va tu,^^ pas trop mal aux pieds j espere

Pendant que Jade répond aux questions, Stell se penche sur le chapeau, perplexe. Elle fait une petite moue l'air de dire ça se mange vraiment ça ? Elle prend un coquillage entre les doigts, l'examine, puis se tournant vers Jade, assise a coté d'elle, et Bikko en train de ramasser du petits bois :

Heu ... vous êtes sur que cela se mange ??? c'est dur et ...
Elle lève les yeux faisant une petite grimace, puis devant leurs tetes hilares, elle hausse les épaules en souriant puis dit :

D'accord d'accord je vous fait confiance... mais quand meme c'est un peu bizarre..

Bikko

Toute en ramassant le bois Bikko vois Stell grimacée en voyant les mollusques.
Bikko en la voyant se mit a rire et lui dit:

Bien sur que tu va aimée ma Stell, tu aime la mer,et ceux qui aime la mer ils aimeront se qu elle leur offrira de ses fond

Il revient avec une bonne brasserde bois et le mit dans un trous peu profond et l allume.
Il fouille dans son sac et en sort une gamelle la remplie d eau de la mer et vida son chapeau de ces coquillages.

Les mollusque bien cuit, Bikko sort son couteau pour les netoyer et enlever le sable et les séparrait dans des bol différant.

Voila dans se bol ci ce sont les palourde et celui du centre les moule
et celui lames préfere des couteaux de mer..^^ alors y aurait il une bravequi veux essayer

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Stelliem

Stell en souriant ecoute les explications de Bikko puis au défi se mit a rire

alors y aurait il une brave qui veux essayer ?

Elle regarde Bikko et l'embrasse puis se tourne vers Jade en souriant :

on y goutte ? Stell prend une palourde, et regarde son amie faire, puis se lance, elle met le mollusque dans sa bouche, et ......Elle sourit :

Pas mauvais du tout ! Etonnée, elle en prend une autre.
Et ça en montrant les moules ? c'est aussi bon ? Sans attendre la réponse elle se sert et l'avale, le sourire encore plus grand.
hummm oui, j'aime beaucoup !!

Elle regarde Bikko qui la regarde gouter amusé, puis lui fait un sourire malicieux. Bon tu remarque que j'ai gardé tes préférés pour la fin... alors voyons cela ... Stell prend un couteau des mers et le met dans sa bouche. hum hum !

Elle le regarde, puis dit avec un grand sourire : impossible de choisir ... J'aime tout !

Puis Stell se resserre et en regardant ses amis les yeux brillants de gourmandise et le sourire aux lèvres : Bon appetit vous deux !!!

Bikko

Sortant de la taverne, Stelliem dans les bras de Bikko car il voulait la
porter jusquà la plage, il adorait ça.^^
Arrivant a la plage,il la dépose sur le sable et ses yeux tombèrent sur des
jolies fleurs. Il s'en approche et discretement les cueilles puis se retourne,
main au dos et s approche d elle puis lui offre les belles petite fleurs et
s'en garde quelques une pour lui mettre dans les cheveux.Il la prend par
la taille et l embrasse tendrement et prennent leur petite marche en amoureux, main dans la main marchant pied dans l eau, et contemplent la couleur de l horizon

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Stelliem

Stell, emportée par Bikko, les bras autour de son cou, elle laisse poser sa tête sur son épaule, fatiguée et comblée...Il se dirige vers la plage puis la repose sur le sable. Elle l'embrasse pour le remercier puis retire ses bottes et ses bas qu'elle jette dans sa besace.
Se redressant, elle voit Bikko lui offrir de jolies fleurs : Hoo merci …qu'elles sont belles ! elle sourit et sent la légère senteur qui s'en dégage. Humm ... elles sentent bon. Puis elle rit doucement quand il lui en met dans les cheveux.
Enlacés, ils continuent leur promenade le long de l'eau et contemplent le magnifique coucher de soleil. Quand il eut disparut complètement derrière la ligne d’horizon, Stell, les yeux brillant de plaisir et de tendresse, se tourne vers Bikko, puis l’embrasse lentement.
Viens mon amour, laisse moi dormir dans tes bras… Ils retournent vers l’endroit où ils dorment chaque nuit depuis leur arrivé, se déshabillent et se couchent l’un contre l’autre, Stell l'embrasse et ferme les yeux en soupirant de bien être…

Bikko

Au cris des goéland Bikko se révellaquand à Stelliem dormait elle paisiblement.
Profitant de se monent il la bise doucement sur les lèvres et se leve sans la réveiller, il s habille et se rend au marché pour acheter lait pain saucisse et oeuf.(meme si y en as pas)^^
En arrivant a la plage Stelliem dormait toujours aussi paisiblement.
il se dépêcha de rammasser tout le bois qu il lui fallait avant que sa belle se réveille, le mit en un tas pour l allumer et commence a faire cuire les
saucisses et les oeufs. Il regarde Stelliem en souriant et lui dit:

Alors mon amour... tu va passer la journée a dormirs comme un bébé

j espere que tu a faim car la y a un bon petit déjeuner qui va etre pret dans quelque second, aller aller leve toi. hmhmhm

lui donne une ptite tapotte sur la fesse en souriant

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Stelliem

Stell, dans son demi sommeil.. sent et entend Bikko brasser près d'elle, mais rassurée par sa présence, se replonge dans ses rêves. Puis doucement elle fronce le nez, et sourit, une odeur de saucisses et d'oeufs commençant a la sortir de son sommeil..

Puis elle entend Bikko lui dire en riant :

Alors mon amour... tu va passer la journée a dormirs comme un bébé j espere que tu a faim car la y a un bon petit déjeuner qui va etre pret dans quelque second, aller aller leve toi. hmhmhm

Ouvrant les yeux, stell va pour se mettre sur le dos quand elle sent une petite claque sur la fesse.

hooo ! aïeeeee ! Stell se retourne d'un coup emportant la couverture avec elle ! Puis elle regarde Bikko faussement en colère, se retenant de rire, quel méchant tu fait mon amour de me réveiller par une claque !! alors qu'un baiser aurait été le bienvenu ... tu vas devoir te faire pardonner ... Elle se redresse, enroulée dans la couverture et va vers lui puis l'enlace d'un bras... (l'autre retenant la couverture glissante !) et lui sourit :

Bonjour mon aimé !

Puis faisant le geste de l'embrasser, lui frole les lèvres et se détourne rapidement en riant doucement et s'approche du feu : hummmm que cela sent bon... Elle le regarde et eclate de rire devant son visage déçu tout en piquant une saucisse chaude puis elle en croque un bout malicieuse !

Bikko

Pour leur derniere journée, Bikko et Stell avaient décidé de rester sur la plage et profité de regarder une derniere fois la beauté de cette vue angélique de la mer et du ciel coloré qui se joignent.
Se tenant par la main les deux amoureux marche traquillement, les pied dans l eau, à contempler et à écouter le son des vagues se défesant sur le bord et qui allaient toucher leurs pieds.
En revenant sur leurs pas, ils retournèrent la ou ils ont laissé leur sac et voir a se qu ils noublient rien. Ils finissent par bien tout ramassé,
s' enlaçent et s embrasse longuement

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Talys

Talys était émerveillée par tant de beauté, biensûr venant de Brest elle connaissait la mer, mais chaque endroit était différent.

Elle foula le sable de ses pieds nus, en apprécia la fraîcheur du matin.

La mer se faisait entendre, elle passa un moment merveilleux à se promener à ses côtés.

Morpion79

Morpy et Yousseph venaient d'arriver de Bretagne et ils s'arretèrent à la Rochelle.
Ils rentraient sur Bayonne et la mer commençait à leur manquer.

Ils se promenèrent sur la plage, main dans la main, et puis ils se baignèrent.

Le soleil venant à se coucher, ils s'assirent dans la dune et s'enlacèrent pour regarder cet astre magnifique se coucher;

Morpy frissonna et Youss passa ses mains sur ses bras pour la réchauffer. Elle s'abandonna à cette caresse et lui donna un baiser chaleureux et tendre.
Que de bonheur elle vivait depuis qu'ils s'étaient découverts des points communs et aussi des sentiments si fort l'un pour l'autre..
Elle n'avait pas imaginer un instant que l'amour frapperait à sa porte si près d'elle, et pourtant......

Le désir et la tendresse les emporta dans une etreinte charnelle que rien ne pouvait déranger, pas même les mouettes qui les survolaient.

Luckylachance

Lucky venait d'arriver, il y a quelques jours, à La Rochelle. Elle avait pu voir la mer de loin. Elle huma l'air, celui-ci était salé, l'océan était très proche. Elle avait déposé ses affaires à l'auberge, et après un jour de repos, avait décidé d'aller voir cette fameuse mer et sa douce plage.

Elle prit la direction de la plage en sautillant, elle affichait un superbe sourire, heureuse d'être en cette ville. Elle arriva alors à la plage. Sa robe blanche voltigeait avec le vent ainsi que ses longs cheveux. Elle retira ses chausses qu'elle cacha derrière un rocher.

Lucky commença alors à s'avancer, d'un pas léger, le regard brillant. Elle avait devant elle l'océan, vaste étendue sombre d'un bleu foncé. Plus elle se rapprochait de l'eau, plus ses pieds s’enfonçaient et laissaient des traces dans le sable. Elle avança jusqu’à ce que les vagues viennent touché ses pieds et les couvrirent d'eau. Elle resta là, a observer la vaste étendue sombre.

Elle se mit alors à rêver. Le vent faisait voler ses cheveux et sa robe, mais bientôt cette brise disparu, tant elle s'évadait dans un monde de rêves et de songes à la vue de cette superbe étendue. Elle se mit alors à chanter doucement, un lai sur des batailles d'antan.
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Vers l'infini et l'eau delà !

Toinon

La bohémienne fraichement arrivée à La Rochelle se décida et se mit en route vers la plage. Le vent la poussait doucement vers les vagues quivenaient s'échouer sur le sable. Elle remonta ses jupons et avança tranquillement sur le bord de l'eau, le sable lui chatouillant la plante des pieds. Que cela était bon...... Elle huma l'air vivifiant, les mouettes semblaient la saluer en passant au dessus d'elle en poussant de drôles de cris.....

Elle s'arrêta, posa ses fesses sur le sol et s'allongea, regardant les nuages.... Elle se mit à réfléchir... Il fallait qu'elle le voit..... Le grand amour de sa mère... Etait-il son père ou non..... Lui ressemblait elle ? Et lui... à quoi ressemblait il ? Elle resta là plongée dans ses pensées pendant un bon moment.

Elle du s'endormir, car le soleil se couchait quand elle rouvrit les yeux. Elle se releva, l'humidité collait à ses jupes. Elle se dirgea d'un pas rapide vers les tavernes dans l'espoir de le rencontrer.
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Morvandiau

Morvandiau était sorti de la barque ce matin là, sans réveiller Labell, qui dormait toujours. Ce matin, ils partaient pêcher. Cependant, Morvandiau voulait se promener avec elle avant de partir. Aussi, dès l'aube, il partit en ville lui chercher une miche de pain et un fruit, pour aider son réveil. Il revint à la barque, et attendit sagement que Labell se lève.

La nuit avait été fraîche, et Morvandiau n'avait pas oublié qu'ils s'étaient longuement enlacés pour se réchauffer.

Il observait le jeu des goélands sur la plage, qui eux aussi, pêchaient. Leur façon de jouer avec le vent l'impressionnait. Il rêvait de pouvoir voler ainsi, jouant avec les autres goélands, tous planant, décrochant, virevoltant au rythme du vent et de leur instinct...
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Labell10z

Le bruit du ressac se faisait de plus en plus perceptible au fur et à mesure que Labell s'éveillait. Il se mêlait au son que des goelands faisaient en jouant sur la plage. L'odeur d'un pain chaud arrivait à titiller l'estomac de la brunette encore allongée dans la barque partagée cette nuit avec son bien aimé.

Lentement, elle ouvrit les yeux sur le visage rayonnant de son blondinet qu'elle aimait tant.

Bonjour mon doux ! C'est quoi cette bonne odeur que tu m'apporte ?

Elle se releva un peu, pour découvrir le spectacle qu'offrait la plage et ses habitants. Elle se sentait heureuse, oubliant le souvenir d'avoir perdu son âne la veille. Elle respirait toutes ces odeurs riches de sensations et fermait les yeux pour s'en imprégner totalement. Elle posa doucement sa main sur celle de son blondinet recherchant ce contact auquel elle avait été habitué durant la nuit.

Elle se remémora doucement les projets qu'ils avaient pour la journée tous les deux, une pêche en plein mer. Elle était à La rochelle pour ça ! Pour partager des moments complices avec son blondinet, des instants qui feraient leurs souvenirs communs d'une vie à deux qui commençait. Elle le trouvait tellement beau !

Morvandiau

Bonjour mon doux ! C'est quoi cette bonne odeur que tu m'apporte ?

Morvandiau sentait qu'il avait frappé juste. Il coupa une tranche de la miche de pain et la tendit à sa bien-aimée. Il la trouvait rayonnante ce matin, plus encore que la veille.

Tiens ma douce, c'est du bon pain de La Rochelle! Pour aller pêcher, il nous faut de l'énergie. Mange donc, et nous irons faire un tour sur la plage ensuite

Morvandiau commença à manger avec délectation. Cette matinée s'annonçait fort belle. Il mangea donc jusqu'à remplir son estomac de ce bon pain, pendant que Labell10z fît de même.

Après quoi, il prit sa bien aimée par la main et ils partirent tous les deux marcher le long de la plage...
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Labell10z

Labell toujours au bord de la déconcentration que son blondinet provoquait en elle, l'écoutait lui proposer de partager le pain pour le petit déjeuner.

Tiens ma douce, c'est du bon pain de La Rochelle! Pour aller pêcher, il nous faut de l'énergie. Mange donc, et nous irons faire un tour sur la plage ensuite

Oh merci mon doux, t'es un amour. J'ai une faim de loup ce matin.

Elle mangea autant qu'elle pu le pain ainsi proposé, et se délecta de ce délicieux partage. Le vent venait caresser les cheveux parfaits de son blondinet qui entamait ainsi un balet magnifique où les reflets brillaient dans les yeux de la brunette.

Je suis tellement bien avec toi !

Elle se laissa ensuite entrainer par la main de son blondinet qui la guida vers la plage pour une balade. Elle découvrait le calme et la tranquilité aux côtés de son tendre, il lui apportait l'amour et la tendresse qu'elle cherchait tant chez un homme. Elle l'écoutait lui expliquer les endroits où le poisson était le plus gros, les manières de lancer l'appât ou encore la façon d'affaiblir doucement le poisson qui avait mordu, pour ainsi le cueillir plus facilement. Elle se sent heureuse la brunette !

Après une bonne heure de marche, elle l'invita à retourner à la barque. Il était largement temps d'aller pêcher maintenant !

Tu sais visiblement pêcher, montre moi que tu sais courrir aussi ! lui avait-elle lancée avec l'once de défi qu'elle lançait du regard !

Elle se mit à courrir le laissant sur place, le temps qu'il comprenne qu'il prenait du retard !

Malisende

Malisende grimpa la dune doucement. Elle tenait ses chausses à la main et regardait ses pieds s'enfoncer dans le sable à chacun de ses pas en souriant. Elle aimait sentir la chaleur du sable qui lui chauffait doucement les pieds.

Enfin elle arriva en haut de la dune. Et là elle fut stupéfaite. L'océan. De l'eau à perte de vue. Elle ne pouvait voir où cela s'arrêtait. On pouvait même confondre le ciel et l'eau tout au fond. Elle avait beau regarder à droite et à gauche du sable et de l'eau partout. C'était magnifique.

20 jours qu'elle marchait pour voir ce paysage. Enfin elle y était!!! Elle n'était pas déçue, loin de là. Elle descendit doucement d'abord et soudain elle ne bouda plus son plaisir elle se mit à courir comme une folle en riant aux éclats.

Arrivée au bas de la dune et se rapprochant de l'eau elle envoya valdinguer sa chemise par dessus sa tête. Elle dû s'arrêter quelques instants pour enlever ses braies. Mais repris sa course de plus belle. Enfin elle entra dans l'eau.

Plus précisément elle entra en contact avec l'eau. Elle reçu une vague en pleine figure et se retrouva sur les fesses riant à en pleurer. Elle se releva et plongea dans la vague suivante. Depuis combien de temps rêvait-elle de cela?

Elle en profita longuement, ne sortant de l'eau qu'une fois sa peau toute frippée. Elle s'allongea un peu dans le sable, le temps de se sécher. Mais dû finalement se décider à se rhabiller et à aller pêcher. Elle somnolera sur sa barque pour se remettre de tout cela!!

Morvandiau

Morvandiau, durant la ballade, avait expliqué à Labell les rudiments de la pêche que lui avait transmis Vladius, un charmant ami charpentier Niortais qui venait souvent à La Rochelle pour pêcher et vendre ses produits. Il n'en était pas moins heureux de vivre ce moment avec Labell, leur première ballade sur la plage. Il gravait ces instants dans son coeur avec la même fermeté que lorsqu'il avait gravé Labell à l'intérieur. Soudain, Labell dit :

Tu sais visiblement pêcher, montre moi que tu sais courir aussi !

Et se mit à courir. Le temps que Morvan ne comprenne, il était déjà trop tard, et avec ses gros pieds de forgeron, il n'avait aucune chance. Il arriva à la barque avec une trentaine de secondes trop tard. Aussi, il dit à Labell :

Jolie course! Bravo! Tu pensais que les forgerons savaient courir? Et tu t'es trompée! Ils ont tous dans les bras! On va pêcher?

Il retourna la barque avec précaution et prépara le matériel. Ils étaient fins prêts !
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Labell10z

Labell avait courru autant qu'elle le pouvait, s'enfonçant à plusieurs reprises dans le sable qui finit par entrer dans ses bottes. Arrivée à la barque, elle riait et voir son blondinet s'essayer à la course. Il n'avait pas l'air aussi doué à la course qu'à la pêche ! Elle l'accueillit d'un tendre baiser et le laissa reprendre son souffle. Elle se mit à oter le sable qui alourdissait ses bottes et écoutait son blondinet trouver l'excuse de sa défaite à la course.

Jolie course! Bravo! Tu pensais que les forgerons savaient courir? Et tu t'es trompée! Ils ont tous dans les bras! On va pêcher?

Amusée, elle approuva son idée et l'aida à retourner la barque. Elle observait les gestes de son blondinet qui préparait chaque instrument methodiquement et silencieusement. Elle le trouvait beau et une fois de plus laissa son imagination partir vers des lieux secrets où son envie de calins serait assouvie.

Quelques instants suffirent à son blondinet pour qu'ils soient prêts à partir. Elle souriait, ravie d'être avec lui. Elle se mit à pousser la barque jusqu'à ce qu'elle flotte et déposa les préparatifs à l'interieur. Elle entra à son tour et se mit assise au milieu.

Tu devrais prendre les rames mon doux, puisque tu me dis que les forgerons ont tous dans les bras... on ira probablement plus vite !

Elle lui adressa ce sourire taquin qu'il commençait à connaitre et s'amusait de voir la réaction qu'il avait. Lentement, la barque s'éloigna de la plage vers une destination où parait-il le poisson est le plus gros et le plus gouteux des environs. Elle se laissa pourtant distraire par la beauté des lieux et surtout par la force déployée par son tendre pour faire avancer l'embarcation. Et ses pensées partirent à l'aventure...

Yliade

Yliade n'avait jamais vu la mer. Du moins, pas qu'elle s'en souvenait. Par contre, elle savait une chose, elle avait eu toujours terriblement peur de l'eau. Toujours ? Depuis mon enfance en tout cas, se dit-elle. Du coup, elle évitait rivières, lacs, & compagnie. Mais la mer, on lui en avait dit tellement de bien ! Paraissait qu'on ne voyait même pas terre à l'horizon. Il falait quand même qu'elle voit cela. Elle prit donc son fils (ben oui obligée, elle allait pas le laisser tout seul !), et s'en alla se promener sur la plage. Elle aimait beaucoup marcher pieds nus en général, mais voila qu'elle adora la sensation du sable sur ses pieds. Elle resta émerveillée un bon moment devant l'immense étendue d'eau bleue. Elle se balada un bon moment, son enfant dans ses bras.
- Moi, j'ai déjà vu la mer maman.
Yliade ne fut pas surprise, son fils n'était pas son fils de sang. Il avait surement voyagé avant qu'Yliade le receuille.
- Vraiment ? Et tu as aimé ?
Le petit ne répondit pas, se suffisant de faire un oui de la tête. Elle ne s'approcha pas une seule fois de l'eau, mais laissa son enfant y aller. Elle marcha encore un peu, et finit par s'assoir, esperant croiser du monde.
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La mort ne peut être ni lâche, ni belle, c'est simplement la mort. Seule sa raison peut avoir une signification.

Kiliana

Kiliana s'était levée avant laudes... Sans faire un bruit, elle avait quitté l'hostellerie sur la pointe des pieds, sa besace en main.

Elle se dirigea vers l'océan, dont elle entendit le grondement sourd et régulier avant même de le voir. Elle connaissait les venelles de La Rochelle, pour y être venue plusieurs fois, mais elle se repérait au bruissement des vagues qui léchaient la terre et érodaient les rochers saillants, à l'odeur des embruns salés.

Elle gravit quelques dunes basses, et devina l'étendue gigantesque, effrayante et fascinante à la fois... Déjà des zébrures or et rubicondes annonçaient le lever du soleil, et dansaient sur les flots calmes. Les pêcheurs n'allaient pas tarder à prendre leur embarcation pour prendre au piège les poissons de l'antre de Poséidon.

La Pictave avança vers le bord de l'eau d'un pas déterminé. Avant que l'océan n'encercle ses chevilles, elle ôta ses bottes et ses bas, sortit des objets de sa besace, qu'elle laissa choir sur le sable.

Malgré la fraîcheur, elle s'engouffra dans l'eau jusqu'à mi-corps, en levant un tantinet les bras. Bien que ses lèvres tremblaient un peu, elle sourit. Venir à La Rochelle... Ce n'était pas qu'un voyage... Mais un pèlerinage, un hommage...

Zeze, ma Zeze... Repose en paix ma chopine! Nous ne t'avons pas oubliée... et tu nous manques! Là où tu es, fais rire les dieux de la guerre et de la discorde! Fais leur voir ta culotte du mardi! Apprends-leur la Pictonik! Syl et toi devez bien leur faire tourner l'esprit! Trinquez la blonde et la brune! Et vous voyez, je n'ai pas oublié: à Poitiers, solidarité, tous bourrés et tous mouillés!!

Kiliana laissa flotter la couronne de fleurs qu'elle avait tressées, le petit morceau de chêne qu'elle avait arraché, et une bouteille de Boisson Rouge...

Le soleil se levait, une nouvelle aube... Des sternes saluèrent le flamboiement de l'astre en un cri strident, qui rappela à la donzelle les fous rires en taverne...

Elle revint sur le sable, et s'assit en tailleur, pour admirer le paysage maritime qu'elle aimait tant... Elle respira à pleins poumons l'air iodé... Ne pas pleurer, surtout ne pas pleurer... Pour la belle Zeze...
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Sha

Sha voulait revoir la mer. Il y avait trop longtemps qu'il n'avait senti ce parfum ennivrant de l'océan, lui qui avait tant bravé les flots, au royaume d'Asgard autrefois...
Aussi se leva t il de bonne heure afin de profiter de la grande Bleue.

En arrivant sur la plage, il vit son amie Kiliana. S'approchant il entendit, bien malgré lui, les paroles dites en l'honneur de dame Zézé. Il ne l'avait jamais rencontré mais Kil lui ayant tellement parlé d'elle qu'il avait l'impression de la connaitre.
Il s'approcha de Kil, la regarda, puis se tournant vers le large

" Que le corbeau Munin rapporte au Valholl que toi, Zézé, étais ici, et que ton nom soit perpétué.
Que Njörd, le dieu vane de la mer prenne soin de toi en attendant que Freyja t'accueille pour le grand Banquet des braves. "

Sur ces quelques paroles, il s'agenouilla à coté de Kil. Elle ne pleurait pas. Elle restait là, digne et forte.

Sha pensait " Toi aussi Kil tu es une brave. C'est un honneur de te connaitre. "

Et il regarda l'immensité devant lui...
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N°3 de l'équipe de Soule Les Pique-Tav de Poitiers __________ THOR AÏE

Kiliana

Kiliana était perdue dans ses pensées, loin, très loin vers l'horizon. La marée baissait encore, tandis que le soleil s'élevait dans les cieux flamboyants.

Elle reconnut le pas de son ami Sha, le Northman qui avait accepté de l'accompagner à La Rochelle pour empêcher Zezelique de commettre l'irréparable, en vain. Elle le regarda, les yeux secs, et lui sourit. Elle l'écouta formuler ses prières avec ferveur.

Il s'agenouilla à ses côtés. Kil lui prit la main, en silence, et regarda dans la même direction que lui. Sa présence amicale réconforta la donzelle.

Après quelques minutes de recueillement, elle mit fin à son mutisme.

-Tu l'aurais beaucoup aimée Sha... Ce qu'elle a pu nous faire rire avec sa danse du ventre!

Kil laissa sa crinière noire voleter au souffle d'une brise fugace qui soufflait.

-Euh... Hum... As-tu fini la bouteille de calva ou t'en reste-t-il encore? J'en prendrais bien une lampée, là... Et après, on pourrait aller pêcher? Tu vois, derrière les rochers, là-bas?

Kil tendit son index.

-Ce serait amusant de faire un concours avec Theud et King! Deux barques, deux équipes!

Kil lui fit un clin d'oeil malicieux. Elle était une fille de la mer, elle avait le pied marin, et la houle ne l'effrayait pas...
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Darkking56

King s'était levé tôt afin d'emmener sa fille Sedryn voir l'océan. Elle ne l'avait jamais vu, lui non plus d'ailleurs. Le soleil venait juste de se lever, des mouettes se regroupait au milieu de la mer comme si quelque chose les attirait.

Tu vois ma puce, Mamy Kil avait raison, c'est magnifique!

Alors qu'ils marchaient main dans la main, King vit un tronc d'arbre couché et décida de l'emmener s'assoir dessus. Il lui montra du doigt les quelques barques de pêcheurs au large.
Il respirait l'air de la mer, avec plein de pensées dans la tête mais sa fille comptait plus que tout.
Il se tourna vers elle et lui dit :

Tu vois j'ai une amie qui a vécu ces dernières heures ici, une dame qui t'aurait surement plu et inversement. C'est en partie grâce à elle que ton père a fait plein de choses. Alors si tu veux bien je vais te prendre la main et nous allons prier silencieusement ensemble. Pour Zeze...
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--Sedryn

Son père l'avait levé tôt aujourd'hui et elle bouda un peu car elle voulait dormir. Elle ne savait pas pourquoi mais son père avait envie de faire quelque chose. Après s'être préparée, elle le suivi jusqu'à la mer pas loin. Elle avait les yeux ébahis, heureuse de voir "la mer mais en plus grand, beaucoup plus grand!!" comme disait sa Mamy Kil.
Puis elle le suivi sans un mot jusqu'à un tronc ou elle se posa.

Tu vois j'ai une amie qui a vécu ces dernières heures ici, une dame qui t'aurait surement plu et inversement. C'est en partie grâce à elle que ton père a fait plein de choses. Alors si tu veux bien je vais te prendre la main et nous allons prier silencieusement ensemble. Pour Zeze...

Sedryn pris donc la main de son père et scruta l'horizon en pensant à une dame qu'elle n'a pas connu. D'un coup elle vit deux silhouettes assises sur la plage puis regarda son père :

On dirait Tonton et Mamy!

Elle se leva et tira son père pour qu'il le suive...

Kiliana

Kiliana et Sha contemplaient le lever du soleil... D'un coup, la donzelle eut la vue cachée par deux petites mains posées sur ses yeux.

-Qui c'est?

Kil sourit.

-Alors... C'est une petite fille malicieuse, qui, je parie une chope, est ravie de voir l'océan, les goélands et les mouettes! Je suis même certaine qu'elle adore les oublies, ces bonnes pâtisseries! Hum... Elle doit avoir six ans... C'est Sedryn!!!

-T'as gagné!!

Kil s'esclaffa et embrassa la fille de King. Elle la prit sur ses jambes toujours croisées en tailleur, l'enlaça et tendit son index.

-Regarde Sedryn! Contemple cette merveille de la nature!

Kil étendit son bras en un large demi-cercle.

-Tu vois toute cette eau? C'est l'Océan! Il est magnifique! Il s'étend à perte de vue! On ignore ce qu'il y a au bout! Il est à la fois notre ami et notre ennemi! Il donne beaucoup, et peut prendre beaucoup! Il nous nourrit, et peut aussi ôter la vie! A un frère, à un mari, à un père, à un ami!

Sedryn regardait l'océan et Kili, qui semblait galvanisée par la mer. L'océan inspirait en elle des émotions et sensations exacerbées qui impressionnaient la petite. Le regard de Kil était devenu brillant, sa respiration, plus intense. Elle vivait avec l'océan dans sa chair et dans son esprit.

-Tu vois le ballet des oiseaux marins là-bas? Ils tournoient au-dessus des barques! Ca veut dire que les pêcheurs ont fait bonne pêche! La mer a été généreuse aujourd'hui! Ils vont vendre leurs poissons à la criée! Tu sais, être marin, c'est pas un métier de feignants! Faut être brave!

Kil était intarissable! Elle voulait transmettre à sa petite-fille d'adoption sa passion de la mer, toutes les histoires qu'elle avait entendues durant son enfance, et ses propres expériences.

- Et vois toutes ces algues échouées sur le rivage! Ca s'appelle le varech! Sha peut te dire qu'en Normandie, on appelle ça le goémon! Et si Merv était là, elle pourrait t'expliquer toutes les vertus de ces plantes marines!

Kil releva la frimousse de Sedryn, et lui indiqua les falaises.

-Tout à l'heure, je t'emmènerai admirer tout ce paysage de là-haut! C'est puissant! Le vent souffle, on entend les vagues se briser sur les rochers! Quand on respire à pleins poumons toute cette force, on se sent fort! On voit d'en haut toute notre petitesse... et pourtant, l'air iodé nous insuffle toute sa puissance! Les chagrins s'éloignent, on retrouve une énergie qui nous pousse de l'avant! Pas de tribord, pas de bâbord, droit devant pour surmonter les épreuves de la vie!

Kil sourit à King qui s'était avancé...
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Luckylachance

Lucky passait sa dernière soirée à La Rochelle. Pour cette dernière soirée elle avait décidé de venir un peu sur la plage, admirer une dernière fois ce que les hommes appelaient Océan. Alors qu'elle allait partir son fils, Clovis, l'avait retenu et avait insisté à venir avec elle, pour voir une dernière fois "le grand lac" lui avait-il dit.

Elle avait alors emmené avec elle. En apercevant la plage il se mit à courir en direction de celle-ci. Lucky avait alors dû lui courir après et l'avait rattraper sans difficultés. Ils arrivèrent alors à la plage. Lucky observa un instant cette dernière et vit que pas mal de gens étaient déjà là. Elle marcha alors vers un bout désert de la plage, non loin de quelques rochers.

Elle retira alors ses chausses et fit de même pour son fils. Elle lui prit la main et ils allèrent se tremper un peu les pieds. Clovis profita de l'eau, pataugea de bon cœur. Lucky rit avec son fils, heureuse de pouvoir passer du temps avec lui. Elle lui donnait enfin une vie simple.

Clovis revient alors sur la plage et s'assit puis commença à jouer avec le sable mouillé. Lucky le laissa faire et s'assit à côté de lui. Elle leva les yeux et les posa sur l'Océan et le soleil qui était en train de se coucher. Elle se mit alors à penser. Sa vie étaient maintenant stable, un compagnon qu'elle aimait d'un amour sincère, un voyage pour découvrir le royaume, et son fils, sa joie de vivre. Elle prit alors son fils contre elle et se mit à lui chanter une chanson, en observant le couché de soleil.

Clovis lui prit alors la main et l'écouta chanter.
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Vers l'infini et l'eau delà !

Theudrik

Theudrik se réveilla sur une plage, comme après avoir été assommé. Près de lui gisaient quelques restes de poissons, mangés crus apparemment et quelques bouteilles de "raide" bien vides. Le soleil déjà haut cuisait la peau du visage bien hâlée de l'ancien prévôt et un mal lancinant lui vrillait le cerveau.
Il ne comprenait pas bien ce qu'il faisait là, hagard, perdu dans cette petite crique. Il se sentait sale : sa barbe naissante empestait l'alcool et la marée ; ses cheveux poisseux, collés par les embruns, le sel marin et la crasse lui tombaient sur le visage en mèches sales : il devait ressembler aux représentations des méduses qu'il avait vues dans certaines églises et dont le crâne s'ornait de serpents. Il resta un instant assis, hébété, pantois, ne sachant ce qu'il avait fait ces derniers jours.

La mémoire lui revint, déchirant son être comme un éclair dans un ciel noir : une dispute avec Kiliana, la dernière, sans doute ! Les yeux humides, frissonnant, il chercha de quoi étancher sa soif. Peine perdue, tout était bu ou avait coulé sur le sable.
Eperdu, il regarda l'Océan qui, par le murmure incessant du ressac, semblait se moquer de lui : Pfff ! Pffff ! Pfff !
Comme égaré dans un cauchemar ou plutôt dans son délire éthylique, il se leva et cria son désespoir à l'immensité liquide :

Quoi , l'Océan ? Tu te moques, toi ? Mais que sais-tu de moi, hein ? Toi, tu roules tes vagues, c'est tout ce que tu sais faire ! Pas de problèmes pour avancer, tu t'infiltres partout à marée haute ! Mais à marée basse, hein ? Tu fais quoi ? Tu recules, mon vieux... Comme moi ! Le doute t'assaille, tu te laisses refouler. Alors, tes humeurs, on s'en fiche. Tu ne vaux pas mieux que moi. ...

Le lieutenant s'enfonçait toujours plus loin dans les vagues, continuant son monologue, au paroxysme de l'hallucination, maudissant les dieux des Océans et les autres, les hommes et toute la Création. Rien ne semblait devoir l'arrêter. Allait-il boire l'Océan ou celui-ci allait-il l'engloutir à jamais, peu importait : il fallait qu'il avance.
Mais on ne brave sans doute pas Aegyr envain. Le vieux Dieu nordique de la mer déclencha une vague plus forte qui submergea et roula le pictave en tous sens. Dans le rouleau, Theudrik vit la Mort s'approcher, masque hideux au rictus abominable, ses deux machoires ouvertes, prêtes à avaler son âme. Suffoquant, les poumons emplis d'eau, Theudrik faillit céder à la terreur et se laisser emporter vers le repos des damnés. Quelque chose heurta sa bouche : la petite statuette de Lug, qu'il portait suspendue à son cou par une petite chaînette d'argent. ... Kiliana ! ... C'était Kiliana qui lui avait offert ! ... Et par Lug, ils s'étaient jurés fidélité et amour éternel.

NON !

Le cri fut intérieur, puisque l'eau emplissait la bouche du policier de Poitiers, mais fit reculer la Camarde.

Je veux ... vivre ! Je vais ... me battre ! Je ... vais ... me ... battre !

Une petite goulée d'air frais lui parvint, il ouvrit la bouche et respira, la tête miraculeusement hors de l'eau. Presque aussitôt, la vague salutaire le laissa épuisé sur la grève, tel un pantin désarticulé, mais avec la rage de vivre et d'aimer au plus profond de lui-même. Il prit la statuette, la baisa dévotement en remerciant Lug, et sombra dans l'inconscience avec, dans son esprit, l'image d'une dame blanche penchée sur lui dont les doux traits étaient ceux de Kiliana ... L'Océan couvrit un dernier murmure.

Kil ! ... Je ...
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Theudrik

On reconnaît le bonheur au bruit qu'il fait quand il s'en va !

Kiliana

Kiliana, après avoir aidé Sha à briquer le sol de l'hostellerie, voulut prendre le frais au bord de l'océan.

Une échappatoire, une consolation, un refuge...
Se saouler pour oublier n'avait rien arrangé. La réalité cognait dans son esprit avec davantage de cruauté...

C'était fini... Le mot résonnait sans qu'il prît sens dans la béance de son coeur. Ce coeur qui avait apprivoisé la solitude dont elle souffrait depuis plusieurs semaines. Des nuits à attendre en vain, une présence fantomatique à ses côtés, des querelles, des promesses bafouées, et une patience mise à mal...
Plus de mots d'amour, pas de réponses aux missives... La conversation vite détournée dès qu'il s'agissait des enfants qu'elle souhaitait avoir...

La lassitude l'avait vaincue, et elle ne voulait plus se battre pour quémander un geste d'affection.

Rompre avec Theudrik fut son dernier témoignage d'amour: il était libéré du caractère irascible et capricieux de la donzelle.

Les rayons du soleil scintillaient sur l'eau. L'écume des vagues laissait sur le sable des petites bulles qui éclataient en une sorte de baiser avorté.

Kiliana sourit avec amertume... Réalité cynique des destins brisés... Illusion ironique du bonheur...

Elle se tourna vers les falaises. Gravir les sentiers escarpés, prendre de la hauteur, boire une bouteille, et se gausser des vicissitudes de la vie, des turpitudes des hommes...

Sha

Après avoir passé une bonne nuit dans l'escalier de l'hostellerie, à cuver, et après avoir réparé ses bêtises, Sha se décida à aller pêcher.

Il sifflota joyeusement. Quel plaisir de se retrouver en bordure de mer, sentir les vagues sur les cuisses en scrutant sa ligne pour attraper cette douce et bonne pitence...

Comme lorsqu'il n'était encore qu'un enfant sur les bords des fjords.
Il pêchait alors le "Saint", le poisson du Dieu sage et bienveillant Balder, le Dieu Blanc.

Arrivant sur le sable, il préparait son matériel, quand ...

" c'est quoi ça la bas ? "

On aurait dit que l'océan recrachait quelque chose. Un quelque chose avec une drôle de forme !

Sha posa ses affaires, et regardait avec empressement cette "chose". La forme ressemblait étrangement à une forme humaine, et en plus elle bougeait.
Sans plus attendre, il se précipita vers elle.

Stupeur en arrivant dessus. Un homme venait de s'effondrer tenant quelque chose dans sa main..

" Mais, .. mais, .. THEUD ??? que se passe t il mon ami ? qu'est ce que tu as ? "

Sha venait de comprendre que c'était son ami Theudrik qui gisait sur le sable inconscient, tenant son pendentif à la main. Il se jetta au sol et retourna doucement le corps inerte. Il le souleva et l'emporta plus loin sur le sable sec. Prenant le plus délicatement possible la tête de son ami dans ses mains, il essaya de le faire réagir.

" Réveilles toi mon ami, Theud ? c'est moi Sha ! "

Il tira sa gourde de sa ceinture où il gardait toujours un peu de sa potion magique.

" Tiens bois Theud, c'est du calva, cela te fera du bien. "

Il porta délicatement la gourde à la bouche de son ami pour lui faire reprendre connaissance ...

Il fllait absolument qu'il fasse prévenir Kil...
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N°3 de l'équipe de Soule Les Pique-Tav de Poitiers __________ THOR AÏE

--Sedryn

Sedryn s'était levée à l'aurore aujourd'hui. Son envie de découverte la travaillait, elle sortie donc de l'hôtellerie en silence. Ses pas ne faisaient pas un bruit, afin de ne pas réveiller son père qui dormait paisiblement, bien mieux que les dernières nuits.
Elle parcouru les rues toute seule mais ne croisa que quelques pêcheurs. Arrivé sur la plage, elle scruta l'horizon, essayant de savoir ce qui se cachait derrière cette ligne. Mais maligne comme elle est, elle eut l'idée de prendre de la hauteur.
Sedryn se tourna donc vers les falaises et se dit qu'il fallait grimper.
Enfin arrivée, après quelques mètres de souffrance pour ses petites jambes, elle se mis sur le bord de la falaise et lança son regard au loin mais sans plus de succès. Elle tourna donc ses talons puis vit sa Mamy arrivée en haut de la falaise.
Elle se mit à courir pour sauter dans ses bras...

Kiliana

Kiliana parvint enfin au sommet des falaises écorchées, gueules béantes qui avalaient l'eau bleu-vert. L' effort physique l'avait divertie de son chagrin et de son amertume...

Quelle ne fut pas sa surprise de voir Sedryn se jeter dans ses bras!!

- M'enfin!!! Par Lug!! Qu'est-ce que tu fais là??

La Pictave fit pivoter sa tête à droite, à gauche: pas âme qui vive!

-Mais tu es toute seule!!! Rhoooooo Sedryn! Ce n'est pas prudent ce que tu viens de faire! Tu aurais pu te faire enlever contre forte rançon! Tu aurais pu tomber de la falaise!

Kiliana fit les gros yeux à Sedryn, qui à son tour fit la lippe. Elle lui prit sa petite main d'enfant inconsciente du danger, et s'approcha avec elle vers le bord de la falaise escarpée.

- Voilà, on n'avance pas davantage! Les rochers peuvent s'ébouler! Ce serait un sacré plongeon! Maintenant, fais comme moi! Respire fortement!

Pour l'exemple, Kil fit bomber sa poitrine et aspira tout l'air que pouvaient engouffrer ses poumons. Par mimétisme, Sedryn gonfla aussi sa gorge, et ouvrit grand la bouche pour respirer.

- Ca fait du bien, hein?

La vue de Kil se brouilla. Elle serra les mâchoires pour retenir ses larmes, enfonça ses ongles dans sa paume libre. Elle tourna la tête.

- Qu'est-ce que tu as Kili?

- Rien! rien du tout! J'ai avalé trop d'air d'un coup! Je n'avais plus l'habitude!

La donzelle esquissa un sourire...

-Viens, on va redescendre, tu vas avoir froid ici! On va récolter des algues pour Merveille? Je suis certaine qu'elle saura en faire bon usage à l'hôtel-dieu!

--Sedryn

Sedryn sauta dans les bras de sa Mamy surprise.
Elle se fit quelque peu grondée mais cela était normale elle était seule.
Mais après un joli sourire innocent, Kil lui prit la main et s'approcha avec elle des bords des falaises.
L'air y était pur. Elle imitait sa Mamy, qui était un peu comme sa mère, sur qui elle prenait exemple.
Elle bomba alors son petit torse afin de remplir ses poumons de cet air océanique puis elle vit Kil qui faisait de drôles de grimaces pas à son habitude :

- Qu'est-ce que tu as Kili?

- Rien! rien du tout! J'ai avalé trop d'air d'un coup! Je n'avais plus l'habitude!

Sedryn pensa aux soirées en taverne où elle avait vu sa Mamy avalé beaucoup de boissons interdites pour elle.

-Viens, on va redescendre, tu vas avoir froid ici! On va récolter des algues pour Merveille? Je suis certaine qu'elle saura en faire bon usage à l'hôtel-dieu!

- Moi z'ai zamais froid! Ze suis fort comme mon papa qu'il m'a dit. Et c'est qui Merveille? Une autre copine à papa?

Theudrik

Brûlures ! Le corps de Theudrik n'était que brûlures ! Mais brûlures liquides, curieusement. Son esprit flottait encore dans les limbes, mais il commençait à ressentir la chaleur de l'Enfer qui dévorait son organisme.

Je suis finalement mort, pensa-t-il tristement.

Sa peau brûlait, ses poumons brûlaient, son cœur et son esprit brûlaient, sa gorge brûlait ... mais avec un arrière-goût de pomme ???
A cette évocation, le cerveau du policier déclencha l'alerte : ses sens engourdis reconnurent le calva, la boisson d'homme des Normands !
Pas possible ! Quelque chose cloche !
Il déglutit et le liquide enflammé envahit son appareil digestif. Du calva ? C'était trop fort pour lui à ce moment. Il toussa, cracha : le mélange eau salée et calva lui donna la nausée. Il toussa encore abondamment tout en ouvrant les yeux. Un visage inquiet était penché vers lui : Sha.

Ah, mon ami, merci ! Je me croyais mort ... Mais ... il aurait mieux valu !

Le désespoir et l'épuisement le conduisirent à faire ce qu'il s'interdisait toujours de faire en public : pleurer. Les larmes ruisselaient sur ses joues, il ne pouvait retenir ses sanglots et il s'effondra dans les bras amicaux de Sha.
Cela dura quelques minutes et puis, Theudrik se calma peu à peu.

Pardon, mon ami ! Désolé pour cet instant de faiblesse. Par pitié ... conduis-moi au lavoir. J'ai besoin de voir clair et ... de sentir bon ! Et, par amitié, pas un mot de ça ... à personne !

Il fit un pâle sourire à Sha en s'appuyant sur lui pour se redresser.
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Theudrik

On reconnaît le bonheur au bruit qu'il fait quand il s'en va !

Sha

Pardon, mon ami ! Désolé pour cet instant de faiblesse. Par pitié ... conduis-moi au lavoir. J'ai besoin de voir clair et ... de sentir bon ! Et, par amitié, pas un mot de ça ... à personne !

Il fit un pâle sourire à Sha en s'appuyant sur lui pour se redresser.

Sha ne voulait pas savoir les raisons qui avait poussé Theud à se retrouver dans cette position, il s'en doutait. Peu importe, une parole est une parole.

" Sur mon honneur, mon ami, cela restera entre nous."

Ils partirent tous deux en direction du lavoir le plus rapidemment possible afin de ne pas être vus...
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N°3 de l'équipe de Soule Les Pique-Tav de Poitiers __________ THOR AÏE

Kiliana

Sedryn et Kiliana revinrent sur la plage pour récolter des algues. Le goémon séchait sous le feu brûlant du soleil au zénith.

-Mais c'est sale, Kilia, et ça sent pas bon! Z'ai peur! Je suis sûre que c'est plein de bêtes qui vont me croquer les doigts!

-Rhoooooo, mais non! Certes, l'odeur peut paraître incommodante pour qui n'a pas l'habitude! Mais c'est pas pire que le poisson pourri, ou le crottin des chevaux! Et puis, Merv en a besoin! Avec un peu de chances, on va lui rapporter aussi des puces de sable! Tu sais, Merv est une alchimiste! Des ignorants diraient une sorcière! Elle sait transformer quelque chose de peu ragoûtant en une boisson exquise!

Pour l'exemple, la Pictave s'enfonça à mi-genoux dans l'eau, après avoir ôté ses bottes et ses bas. Elle se pencha pour ramasser le varech qu'elle voyait flotter sur les vaguelettes.

-Sedryn, apporte-moi ma besace, s'il te plaît!

La petite s' exécuta, impressionnée par la donzelle... Elle n'avait même pas peur des gros poissons qui mangeaient les marins! Pour sûr, elle n'aurait pas mis un peton dans l'eau, car sous l'eau, on voit pas toujours ce qu'il y a...

Kiliana ramassait tout le varech que sa besace pouvait contenir. Satisfaite de sa cueillette, elle sourit à Sedryn.

-T'as vu? Y a pas de quoi fouetter un Sha!

Kiliana grimaça en songeant à son ami qui venait de prendre retraite. Sedryn et King allaient aussi partir... Et Theudrik...
Son coeur se serra... Elle ne partait pas, elle, la maudite douleur...

-Il faut rentrer à l'hostellerie ma petite Sedryn... Ton papa doit t'attendre! Vous nous quittez bientôt...

Kil s'agenouilla devant l'enfant, et se fit violence pour ne pas montrer son émotion. Elle caressa sa joue, persuadée qu'elle ne la reverrait pas avant longtemps... La verrait-elle même grandir?
Kiliana échouait, s'échouait sur la rive Chagrin Mortel... Ballotée par Tristesse et Amertume, elle ne luttait plus pour sortir la tête de l'eau... Larguer les amarres... Ne plus écoper... Prendre le large... Sombrer...

Gerscorp

Gers était venu sur la plage, cette plage où il avait retrouvé sa femme il y ' a deja quelques mois.
Il s'avança, le sourire aux levres se remémorant cette journée et cette soirée qu'il avait passé en compagnie de sa bien aimée, ses premiers pas dans cette grande étendue d'eau, ses premieres tasses....

Il avança paisiblement sur cette plage, les cheveux portaient la brise océanique qui venait s'échouer sur son visage.
Il s'arreta pour regarder l'horizon, il plongea son regard dans cette immense étendue d'eau se laissant border par la mélodie de l'eau venant se mourir a ses pieds.

Une voix parvint aux oreilles de Gers, le faisant tourner la tete dans sa direction.
Il put voir une femme accompagné d'un enfant, il les regardé un moment puis se replongea dans ses pensées.

Le vent apporta aux oreilles du Sergent le prenom de Sedryn.
Gers tourna tout à coup la tete en direction des deux protagonistes.
Il emboita le pas dan leur direction esperant ne pas s'etre trompé, il marchait lentement, ne les lachants pas du regard.
En avançant il put reconnaitre le visage de son ami Kiliana et de sa nièce Sedryn.
Un sourire se dessina sur son visage.........Arrivé a leur hauteur, Gers salua Kilina de la tete et lui dit :

Bonjour Kilana, quelle bonne et heureuse surprise de te voir comment vas tu depuis le temps?

Gers posa son regard sur la petite fille.

Je vois que tu n'est pas venu seul......Comment vas tu Sedryn?

Il s'accroupit pour etre a sa hauteur.

Tu te souviens de moi? Je suis le frere de ta mere .

Gers lui offrit un beau sourire.
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Kiliana

Kiliana vit Gers s'approcher... Elle ignorait sa venue à La Rochelle...

Bien qu'elle fût ravie de sa venue, elle empoigna Sedryn pour l'approcher d'elle. Telle une tigresse, farouche et sur la défensive, elle plaqua l'enfant sur elle, et sortit son épée de son fourreau

-Gers... Que nous vaut l'honneur de ta présence?

La Pictave sourit avec force grimaces... Elle était prête à en découdre avec qui ne montrerait pas patte blanche pour sa petite-fille d'adoption!
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Gerscorp

Gers fut surprit de voir Kilana sortir son épée de son fourreau, il se tint droit devant la femme qui menaçait le frere de la mere de sa petite fille adoptive.
Il la regardait dans les yeux et lui dit :

Kiliana! Range ton épée, je viens voir ma nièce

Il la regarda encore et encore, puis posa son regard sur la petit Sedryn.
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Kiliana

Kiliana rangea son épée dans le fourreau... Elle connaissait Gerscorp, mais avait en méfiance toute personne qui approchait Sedryn.

L'oncle et la nièce discutèrent... Après avoir reçu un pigeon de son fils adoptif, Kiliana se détendit et sourit.

-Je vous laisse à vos retrouvailles familiales! Je te la confie, Gers, je te fais confiance!

Kil embrassa la petite Sedryn, puis s'éloigna...

Marcher... Marcher loin...

Gerscorp

Gers regarda Kil ranger son épée et lui dire :

-Je vous laisse à vos retrouvailles familiales! Je te la confie, Gers, je te fais confiance!

Il la salua de la tete puis lui dit :

Merci Kil je prendrai soin d'elle fait moi confiance.

Il regarda la petite Sedryn se mit a sa hauteur et lui dit :

Tu me reconnais Sedryn? je suis ton Oncle, on s'est vu dans le parc de Poitier.

Gers lui sourit et lui tendit la main.
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--Sedryn

Sedryn avait observer longuement sa Mamy pendant cette journée et commença à comprendre que quelque chose n'allait pas mais n'arrivait pas à savoir quoi, ce sont des histoires de grands incompréhensibles pour elle.
A plusieurs reprise elle pris la main de sa Mamy et lui serra fort pensant lui faire du bien au moment ou un homme s'approcha.
Cette fois ci c'est Kil qui la serra fort la collant contre elle par signe de protection. Mais elle reconnu de suite son oncle rencontré à Poitiers.

Tu te souviens de moi? Je suis le frère de ta mère

Oui ze me souviens! tu es zentil toi!

Sedryn vois alors un pigeon parmi les mouettes s'approcher de Mamy et lui donner une lettre. Elle l'a vit alors les laisser seuls. Gers lui sourit et lui tendit la main. Sedryn en fait de même et lui sourit.

Gerscorp

Gers lui prit la main et commença a marcher sur le sable accompagné de sa nièce.
La douce brise de l'ocean caressait leur visage.
Gers regarda Sedryn et lui dit :

Tu as grandis depuis la derniere fois que je t'ai vu, tu commence a devenir une grande fille.
Ca te fait quel age ?

Ils continuaient de marcher, le sable chaud sous leur pied :

Plus sa va et plus tu ressemble a Silvia et je crois meme que tu as hérité de son carractère.

Gers ria en coin, quand il vit la petite Sedryn baillait, il lui sourit et lui dit.

Tu m'a l'air bien fatigué, aller viens je te porte sur les épaule accroche toi.

Gers passa deriere Sedryn la prit par la taille et la souleva passant ses jambres autour de son cou, en la tenant par les molets.

Je vais te ramener a l'hotellerie tu m'a l'air épuisé, sa fatigue de marché dans le sable hein ?^^

C'est donc en direction de l'hostellerie que Gers marchait avec Sedryn sur les épaules.
Ils arrivèrent en ville, Gers leva légrement la tete et dit a Sedryn :

La Rochelle est une belle ville, tu es deja venu a Thouars toi? tu sais la ville ou j'habite ?

Apres quelques minutes ils arrivèrent devant l'hostellerie, King se trouvait devant la porte.

Tiens, ton papa, dis lui bonjour de la main, je suis sur qu'il devait etre inquiet on va le retrouver et tu va faire un gros dodo.

Gers devant King, il le salua d'un mouvement de tete et descendit Sedryn de ses épaules :

Salut King, je te ramenne ta fille, elle est mignone comme tout.
Je te remercie mon ami, ce fut une belle apres midi passée en ça compagnie.
Elle est un peu fatigué, je crois que marcher dans le sable ne lui a pas reussi ^^

Gers sourit a King et a Sedryn, puis se pencha pour parler a sa nièce.

Je vais devoir partir, j'espere te revoir tres vite fait un bon dodo^^

Gers lui pinça gentiment le nez puis se redressa et serra la main de King.

Bon retour mon ami et prenez soin de vous, les routes ne sont pas tres sur en ce moment.

Apres un dernier sourire, Gers partit en direction du campement, il se retourna une derniere fois, saluant King et sa fille de la main, puis reprit sa route.
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Theudrik

Theudrik remercia Sha de l'avoir emmené jusqu'au lavoir où il se lava à grande eau. Puis il passa à l'auberge prendre des vêtements propres et se rasa consciencieusement.
Il avait réfléchi : l'eau, finalement salutaire, lui avait rendu les idées claires et l'avait aidé à prendre des décisions importantes !
Il demanda à Sha où se trouvait Kiliana. Celui-ci lui décrivit une petite crique, non loin de là où il l'avait trouvé sur le rivage.
Theudrik prit le chemin indiqué et repéra Kiliana au loin. Elle était avec la petite Sedryn ainsi qu'un homme qui semblait lui faire peur puisqu'il la vit tirer son épée. Inquiet, il courut, certain d'arriver trop tard, mais se calma quand il vit Kiliana ranger son épée et même confier la petite fille à l'homme.
Le policier, interloqué, s'arrêta un moment. Il ne comprenait pas. Il vit l'homme prendre la fillette sur ses épaules en remontant la plage. Il marcha alors à leur rencontre et reconnut Gerscorp, l'oncle de Sedryn. Il serra la main de Gers et fit une grosse bise à la fillette. Theudrik sentit qu'elle allait lui poser une question et lui dit chut, en mettant un doigt sur ses lèvres en souriant. Finalement, ce qu'il avait à dire à Kiliana n'avait besoin d'autre témoin que l'Océan et le ciel et le fait que le Thouarsais prenne l'enfant l'arrangeait bien.
Il attendit donc qu'ils s'éloignent un peu, enleva ses bottes et courut prestement rejoindre Kiliana. Elle paraissait plongée dans une rêverie mélancolique et il hésita un court instant. Il vérifia aux alentours qu'ils étaient seuls et osa enfin la rattraper et la prendre par le bras pour interrompre ses pensées.

Bonjour Kiliana ! Ne dis rien, il faut que je te parle ... sérieusement. Tu veux bien ? ... D'abord, on va s'asseoir.

Theudrik invita la belle brune de son cœur sur un petit coin de sable sec et se râcla la gorge, anxieux.

Bon, j'ai beaucoup réfléchi et ... euh .. voilà ...
D'abord, je vais adopter officiellement Darkking comme mon fils. Je me suis rapproché de lui, ces derniers temps, et je ne veux plus me heurter avec lui. Mais ce n'est pas que de ça que je suis venu te parler ... Chut ! Laisse-moi finir ou je n'y arriverai pas ! Enfin, si, ça a un rapport, malgré tout. Parce que je crois que la famille est très importante, qu'elle nous rend forts, soudés, dans l'adversité et dans la peine comme dans la joie ...
Kiliana, avec mes absences de ces deux derniers mois, je sais qu'on a perdu du temps, beaucoup de temps et qu'on s'est un peu perdus nous-mêmes, mais ... je t'aime toujours ! Plus que jamais même ! Je souffre de notre séparation et j'ai l'impression que toi aussi. Alors, j'ai une demande à te faire.

Theudrik se mit à genoux devant Kiliana, prit ses mains dans les siennes, ainsi que son inspiration, la regarda droit dans les yeux et dit d'une voix que l'émotion qui s'emparait de lui rendait moins affermie qu'il ne le souhaitait.

Kiliana ... je veux t'épouser ! Devant le Dieu, ou les dieux que tu veux, mais surtout devant les hommes. Veux-tu encore de moi ? Attends ... Ne réponds pas tout de suite, ce n'est pas tout ! Je veux aussi des enfants de toi ! Je veux que cette union, que ces enfants à naître renforcent notre amour, pour que tout ce qui s'est passé entre nous ne soit pas qu'un tendre souvenir ... Je ne peux vivre sans toi, mon ange, ma reine ! Je le sais à présent. Et je sais aussi que le destin, auquel je crois, ne nous a pas réunis par hasard, en nous accordant un seul cerveau et un seul cœur pour deux.

Theudrik baissa la tête, hors d'haleine et brisé par l'émotion. Son cœur battait la chamade, plein d'espoir et de crainte mêlés. La réponse allait le tuer, il en était certain ! Restait à savoir si ce serait de bonheur ou de chagrin ....
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Theudrik

On reconnaît le bonheur au bruit qu'il fait quand il s'en va !

Kiliana

Kiliana regarda Gers et Sedryn s'éloigner... Aussi ne vit-elle pas Theudrik approcher. Elle sursauta quand celui-ci la prit par le bras et l'invita à s'asseoir.

Son coeur battait la chamade en entendant Theudrik. Elle le regardait intensément, se demandant si elle rêvait ou pas. Chaque mot résonnait dans sa poitrine palpitante: mariage... enfants... destins croisés... un seul coeur...

Elle s'agenouilla à son tour. Ses jambes et ses lèvres tremblaient, ses yeux retenaient difficilement ses larmes. Elle embrassa les mains de son fiancé, qu'elle baigna de ses pleurs.

-Nous marier? Avoir des enfants? Par Lug!!!

Kil ne réalisa pas tout de suite la portée de ces mots... et elle n'avait aucune envie d'en mesurer les implications. Son coeur lui hurlait de dire "Oui!". Elle aimait Theudrik, elle voulait passer sa vie à ses côtés, lui donner les enfants qu'ils désiraient. Deux jours qu'ils se fuyaient, qu'ils étaient fâchés. C'était un supplice pour eux deux!

C'est sans hésitation qu'elle répondit:

- Oui!

Elle passa ses bras autour des épaules de Theudrik, et l'embrassa langoureusement pour sceller leur engagement...
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Theudrik

Theudrik vit Kiliana s'agenouiller, pleurer en embrassant ses mains et l'entendit dire :

-Nous marier? Avoir des enfants? Par Lug!!!

Son cœur marqua un temps d'arrêt, son esprit était suspendu à la réponse, qui vint plus vite qu'il ne l'espérait :

- Oui !

Pleurant et riant à la fois, Kiliana et lui s'embrassèrent langoureusement, longtemps, longtemps.
Le soir tombait. La lune pâle eut le bon goût de se voiler de légers nuages ; les premières étoiles complices leur faisaient des clins d'œil, le sable leur procurait un lit, les vaguelettes de la marée montante leur caressait les pieds. Les deux amants ne purent résister : les deux corps allongés enfin réunis roulèrent sur la grève et de la suite, seuls le ciel et l'océan en furent témoins.
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Theudrik

On reconnaît le bonheur au bruit qu'il fait quand il s'en va !

Pat88

Arrivée ce matin à La Rochelle, Pat se dirigea vers la plage en fin d'après midi.
A peine arrivée, elle fut de nouveau subjuguée par la beauté de l'endroit, le sable fin, le ressac des vagues, la lumière si particulière à cette heure de la journée étaient vraiment d'une beauté à couper le souffle.

Pat s'avança vers la plage, n'y croisant personne, elle s'installa assez haut, enleva ses chausses et posa ses affaires non loin. Les pieds dans le sable, elle regarda le soleil, qui commençait doucement sa descente vers l'horizon, bientôt, sa lumière chatoyante caresserait l'eau, faisant apparaitre des myriades de reflets aux couleurs irisées.

Ce soir elle avait envie de grillades, espérant croiser Guy revenant de la pêche, elle avait tout prévu, du petit bois pour le feu, quelques fruits, du pain...

Ne manquait plus que le poisson...

J'espère qu'il en aura pêché et qu'il passera par là, sinon je suis bonne pour tout remballer sans avoir manger moi ! pensa-t-elle

Après avoir préparé le bois pour le feu, Pat se rassit, face à l'océan, bercée par le ressac des vagues, elle se perdit dans ses pensées en souriant...

Guyhom91

Guyhom avait loué une barque à un vieux pêcheur...pas très chère vu qu'il allait le payer en nature...toute la journée il resta en mer, laissant son filet dériver...Quand vers la fin de l'après midi, un pigeon se posa sur sa barque...il reconnut la bague sertie aux pattes de celui ci..un message y était accroché...Guyhom le prit et le lut...son visage s'assombrit....un rictus se dessina sur ses lèvres et un mot sortit:

Assassins!

Ainsi, l'armée de brigands du Languedoc avait tué sa soeur...elle même vivant en Languedoc...un meurtre, voilà ce que c'était! Une jeune fille sans défense contre une armée de soudards. De rage, il écrivit une lettre et renvoya le pigeon...puis il se mit à ramer de toutes ses forces pour évacuer son chagrin et sa colère...si cela le calmait un peu, le filet ne se remplissait pas moins: des lieus et des merlus étaient pris au piège.
Guyhom ramena le filet dans la barque, et se mit à ramer vers le rivage d'une plage...au loin il aperçut son chien et son amie pat qui avait vraisemblablement préparé un feu...pour des grillades de poisson...Guyhom sourit tristement...

Il s'échoua sur la plage, prit les poissons, et se dirigea vers pat...
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Pat88

Pat, toujours perdue dans ses pensées, apercu PPK qui s'approchait en remuant la queue. Elle l'appela et lui fit une caresse.

Son regard fut attiré par une barque qui venait de s'echouer sur la plage non loin d'elle, elle reconnu de suite son ami Guy, qui s'affairait à ramasser son poisson.
Pat se leva en souriant, heureuse de voir son ami.

Plus il approchait, moins elle souriait, visiblement il était arrivé quelquechose de grave, Guy n'allait pas bien, la tristesse et la colère se lisaient sur son visage.
Inquiète, elle alla à sa rencontre, PPK arriva avant elle auprès de son maitre, il le carressa à peine, se qui conforta Pat dans son idée que quelque chose n'allait pas.

Guy ? ca na vas pas ? que s'est-il passé ? lui demanda-elle

Elle écouta en silence la réponse de Guy, la colère montant en elle, posant sa main sur le bras de son ami, elle le regarda avec tristesse.

Je suis désolée pour ta soeur Guy... sincèrement, si je peux faire quoi que se soit pour toi, n'hésites pas surtout...

Je sais bien que le moment n'est pas propice à la fête, mais si tu veux nous pouvons faire griller quelques poissons, cela te changeras peut-être les idées qu'en dis tu ?

Attendant la réponse de son ami, elle le regarda, puis lui sourit...

Guyhom91

Je suis désolée pour ta soeur Guy... sincèrement, si je peux faire quoi que se soit pour toi, n'hésites pas surtout...

Je sais bien que le moment n'est pas propice à la fête, mais si tu veux nous pouvons faire griller quelques poissons, cela te changeras peut-être les idées qu'en dis tu ?

Guyhom sourit tristement, quelques larmes coulaient le long de ses joues...

Merci pat. Enfin, j'espère que son corps ne sera pas profané. N'en parlons plus. Je n'en ai pas envie.

Mais pour les grillades oui. je vais m'occuper de vider les poissons...ça me défoulera...Guyhom rit...c'est peut être des poissons du languedoc...

Guyhom prit son couteau, ouvrit prestement et habilement les ventres des poissons, puis les écailla, coupa la tête et la queue, les nageoires et les embrocha avec une branche afin de les suspendre au dessus du feu que pat avait allumé...une odeur de friture s'élevait...de poisson grillé...un délice...Guyhom sortit de sa musette de la viande séchée pour son chien, du pain, du fromage et une gourde de vin qu'il avait acheté à bordeaux.
Il l'ouvrit et but une rasade ...puis il la passa à pat et surveilla la cuisson des poissons.
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Pat88

Pat, regarda Guy et lui sourit, à peine rassurée, les larmes qu'elle avait vu lui avait fait un pincement au coeur...
Ne laissant rien paraitre, comme a son habitude, elle répondit

D'accord allons y pour les grillades !

Elle observa Guy en train de vider les poissons, quelques instants, puis sorti de sa besace quelques fruit et du pain. En se retournant elle vit Guy faire de même

Elle prit la bouteille qu'il lui tendait et en bu une rasade

Merci ca fait du bien ! Eh bien nous n'allons manquer de rien a se que je vois ! dit-elle en montrant les provisions étalées devant eux

Elle se mit a rire et s'installa non loin du feu, en attendant que les poissons soient cuits...

Gerscorp

Ce soir là, Gers se rendit sur la plage accompagné de sa bien aimée Feodorowka, c'est donc bras dessus, bras dessous, qu'il marchèrent sur le sable froid sous un ciel étoilé.
Leur amour brillaient comme la pleine lune de ce soir dans leur yeux, la douce brise océanique caressait leur visage faisant flotter leur cheveux.

Quelle belle nuit n'est ce pas ma douce?
Elle est d'autant plus belle que la lune nous honore de sa présence, illuminant ton beau visage.

Gers lui offrit un doux sourire et il continuèrent de marcher sur cette longue plage.
Quelques pas plus loin, Gers s'arrêta remonta la plage pour y ramasser du bois que l'océan avait emmené cette après midi.
Il revint vers sa douce et le déposa a ses cotés.

Dis moi ma douce, peux tu me passer ta pierre a feu je te prie? j'en ai besoin pour allumer un feu de camp .

Feodorowka lui tendit sa pierre et Gers la gratta sur ses bottes, puis alluma le bois qu'il avait mélangé a des brindilles.
Le feu s'allumait, Gers regardait Feo avec un sourie en coin.
Il prit son arc qu'il avait dans son dos, puis deux flèches qui plongea dans le feu pour y allumer le bout.
Il posa son regard sur sa bien aimée et lui dit en souriant :

Ça faisait longtemps que les flèches n'avaient pas déchirées le ciel non?

Gers plaça les deux flèches a son arc, pointa le ciel avec, et tira.
De suite après il reprit deux flèches qu'il alluma et qu'il tira en l'air.

Elles déchiraient le ciel de leur lumière et de leur douce mélodie, Gers prit son arc dans sa main gauche et posa sa main droite sur la hanche de sa femme.
Tous deux regardaient les flèches disparaître dans ce beau ciel étoilé.
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Feodorowka

La nuit prometait d'être encore magique... au bras de son homme , ils se dirigeaient sur cette plage qui lui était si chère à son coeur.
Le pas se faisait lourd sur le sable, une légère brise soulevait leur cheveux...
Féodorowka souriait à son homme

Citation:

Quelle belle nuit n'est ce pas ma douce?
Elle est d'autant plus belle que la lune nous honore de sa présence, illuminant ton beau visage.

Féo piqua un fards que la lune ne dissimula pas.
Elle adorait ces moment privilégiés, passé avec lui...
Son homme se dirigea plus près du bord préparant un tas de bois, elle l'aida du mieux qu'elle put

Citation:

Dis moi ma douce, peux tu me passer ta pierre a feu je te prie? j'en ai besoin pour allumer un feu de camp .

Féo la sortit de sa poche et lui tendit
Tient mon Sergent d'amour.... rit... je veux dire amour de ma vie!

Elle s'agenouya près du feu de camp improvisé ... vit son homme qui cherchait dans son dos, les flêches qui nichaient dans son carquois et eu un sourire en coin...
Le souvenirs des flêches enflammées qui lui envoyait du haut des remparts, juste pour lui rappeler sa présence... la reconfortait lorsqu'elle était seule à la maison.
Il s'appretait à lui refaire vivre la magie de ces instant passé à Thouars.

Citation:

Ça faisait longtemps que les flèches n'avaient pas déchirées le ciel non?

Oui tellement longtemps!!!
Son homme avait le don de lui accrocher le sourire aux lèvres
Il tira, et le fottement des flêches dans l'air , enchantaient les bruit de la nuits et eccompagnaient le clapotis des vague.
Ce moment était que pur bonheur!
Blottit contre Gers, Féo contenpla le spectacle et suivait du regard la fin de course de ses étoile filantes.

Je t'aime tant mon amour...
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Bouchère, Tavernière et petite jardinière...

Cerrydwenn

La petite troupe était arrivée aux premieres lueurs de l'aurore , le carosse apres avoir fait un detour à cause Bikko qui avait parlé à Cerise et que le cocher écoutait leur conversation et bien paf !! trompé de route !! Quoi comment bien sur c'est toujours la faute des hommes ^^bah oui c'est comme c'est une forme de galanterie ..
Enfin bref passons La damoiselle de Levignac descendit avec Eirenya contre son sein et Ludi en main puis Stelle et Bikko sortirent à leur tour ...
Tous regardèrent la mer avec des yeux emmerveillés ne se lassant pas du spectacle ..
Cet étendue d'eau si paisible qui s'etendait à perte de vue et qui laissait en proie à d'éternels songes et autres rêveries.
Ludi sa petite puce de cinq ans s'agitait dejà ...

" Moman j'veux aller dans l'eau et ramasser des coquillages ..allezzzz allezzzz !!!!"

Comment resister à sa mini tornade? Impossible ..Clin d'oeil à Stell et Bikko et les voilà tous à courir sur le sable ...

"Ouiiiii allonssssss yyyyyyyyyyy " ...

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Stelliem

Arrivée aux aurores, Stell suivit tout le monde, et descendit du carosse et soupira d'aise.Aprés deux jours de voyage les voilà enfin arrivée !! Elle sourit a Bikko heureuse et soudain elle entend Ludi :

" Moman j'veux aller dans l'eau et ramasser des coquillages ..allezzzz allezzzz !!!!"

Grand sourire de tous et regards de connivence et d'un bel ensemble ils se mirent a courir sur le sable en riant après que Cerise ait répondu :

"Ouiiiii allonssssss yyyyyyyyyyy "

Stell se sentait revivre ! Pouvoir courir et rire et sauter de joie !! Elle distança tout le monde appréciant de pouvoir se défouler un peu et arriva vers l'eau et moitié sautillant moitié trébuchant elle ota ses bottes et ses bas les lâchant au fur et a mesure qu'elle les enlève et fonçe dans l'eau fraiche jusqu'au mollet !

ha ha !! elle se retourne et voit arriver les autres en riant ... Première dans l'eau !! Elle eclate de rire les mains sur les hanches et attend en souriant que Bikko, Ludi et Cerise avec la petite Eirenya dans les bras la rejoigne.

Ludi59

Ludi était heureuse, elle allait rejoindre son père à Eauze et fit le voyage avec sa mère, stell et bikko, des personnes qu'elle appréciait énormement, tout à coup la petite regarda sa mère et lui dit :

"Moman ze veux aller dans l'eau et ramassez des coquillages.... allez, allez"

Sa mère lui rétorqua :

"Ouiiiii allonssssss yyyyyyyyyyy "

Elles se mirent à courrir sur le sable en riant, puis arrivait devant l'eau, la petite s'arreta nette, se rappelant de ce qui c'était passé au banquet du mariage de son papy et sa mamie, elle regarda sa mère avec ses yeux remplies de peur :

"Hummm... non moman ze peux pas aller dans l'eau en faite, z'ai peur..."

Elle sentait les larmes qui monter mais essaya de les retenir.

Cerrydwenn

Première dans l'eau !!

Cerise eclate de rire à la mine triomphante de Stell et arreta sa course pour marcher plus tranquillement .
Ludi courrait joyeusement puis s'arreta nette à son tour .. se tourna vers sa mère et lui dit :

"Hummm... non moman ze peux pas aller dans l'eau en faite, z'ai peur..."

Cerise vint alors tout pret de sa fille et d'un sourire des plus rassurant lui prit la main ...

" Vient ma puce n'est pas peur je suis là et regarde Stell a de l'eau jusqu'à mi mollet ...puis la vilaine dinde du Banquet n'est pas là .."

Eirenya s'eveillait doucement contre le sein de la jeune femme et la brise marine vint se jouer d'eux avec douceur ...Les cheveux au vent elles avancerent pour rejoindre Stell..

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Stelliem

Stell qui sourit les pieds bien campés dans le sable et les vagues lui léchant les mollets voit Cerise ralentir l'allure en riant puis Ludi stopper d'un coup et paraitre affolée. Quand elle l'entend dire avoir peur les larmes aux yeux, puis la réponse rassurante de Cerise, Stell la regarde tendrement et lui dit gentiment :

Ludi ?? regarde moi, elle se met a genoux faisant fi de mouiller ses braies et lui tend les bras. Vient ma belle, ici tu ne risque rien. je ne laisserai personne te faire peur. Vient sentir sous tes pieds le sable mouillé et l'eau te chatouiller les jambes...

Elle attend patiemment que la petite pas rassurée,vienne jusqu'a elle guidée par sa mère puis la serre contre elle un instant et l'assoit sur un de ses genoux, la tenant fermement mais doucement. Elle lui sourit joyeusement plonge sa main dans l'eau semble farfouiller un peu puis la ressort avec un petit coquillage tout propre.

Regarde il est beau hein ?? Je te l'offre ... Parce que tu es courageuse et que tu ne laisse pas ta peur t'empecher de t'amuser ...Tu vois ici, même si tu t'assoie dans l'eau c'est comme si tu prenais un bain.. sauf que l'eau est salée ...et qu'il ya des vagues. Elle sourit, et comme ta maman, Bikko et moi sommes avec toi tu ne risque rien.

Elle regarde Ludi qui l'écoute un peu rassérenée et avec un petit sourire en coin elle lui chuchote a l'oreille : Alors jeune damoiselle, allons nous jouer dans cette baignoire d'eau salée ou en sortir ? Puis les yeux rieurs, elle attend la reponse de Ludi.

Kiliana

Des jours plus tard...

Kiliana se promenait sur la plage, et respirait pleinement l'air iodé. Elle observait les pêcheurs qui rapportaient la pitance pour les Rochelais. Les épouses se préparaient pour la criée, les enfants ramassaient les petits galets pour édifier des châteaux forts fragiles... Les manants réclamaient l'aumône... Kiliana donna quelques écus...

Elle avançait, crinière jais au vent léger. Elle souriait... La plage de La Rochelle... Là où son fiancé l'avait demandée en mariage... La donzelle ne réalisait toujours pas les implications de son "Oui!".

Elle refoula dans un grand mouvement de tête toutes ses interrogations, et brandit une épuisette... A la chasse aux puces des sables!
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Yliade

Yliade vint seule sur la plage. Son fils était resté en taverne, elle l'avait rassuré, lui disant qu'elle allait bientôt revenir, qu'il ne falait pas qu'il s'inquiète. Pourquoi était-elle sortie ? Elle ne le savait pas vraiment elle même. Elle vagabonda d'une rue à l'autre, traînant les pieds dans la poussière. Il ne faisait pas bien froid, même chaud pour une fin de soirée, se dit elle. Elle ne voulut pas pleurer, non, elle ne pleurerait pas. Yliade se diriga alors vers la plage, le bord de mer. J'ai horreur de l'eau, qu'est-ce que je vais faire là-bas ? Une question sans réponse. Elle allait machinalement jusqu'à la mer. Une fois là bas, elle se laissa tomber sur le sable. Elle était inquiète, et surtout épuisée. Depuis combien de temps ne l'avait-elle pas revu ? Un, deux mois, environ, elle ne se souvenait plus. Elle se demanda alors où il pouvait être, à l'hostellerie, peut-être. Son envie de pleurer passa, à présent elle avait plutôt envie de voyager. Voyager ? Oui, cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas repris les routes. Elle regarda la mer un moment, une mer plutôt calme pour le moment, et prenant son courage à deux mains, s'avanca vers elle. Jamais elle n'y avait mis les pieds, ou ne s'y était baignée. Mais elle recula d'un coup, non elle n'en n'avait pas le courage, pas ce soir, pas maintenant. Le petit va s'inquiéter, je dois y aller. C'est ce qu'elle trouva comme excuse. Elle pris alors le chemin du retour, en jettant un dernier regard à la plage, et elle se jura qu'elle y metrait les jambes avant son départ.
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La mort ne peut être ni lâche, ni belle, c'est simplement la mort. Seule sa raison peut avoir une signification.

Yliade

Ca y est, elle allait partir. Quitter La Rochelle. Du moins, si elle recevait un pigeon de Sylve dans la soirée. Cela faisait maitenant un mois qu'elle s'y trouvait. C'était donc avec un pincement au coeur qu'elle s'en allait, quittant Anggy, Tyboune, Mimi, Ilayna, Cyrano & d'autres. Elle esperait avoir été une bonne amie pour eux. C'est donc pour sa dernière soirée qu'elle décida d'aller se baigner. Prenant son courage à deux mains, laissant sa peur de côté, et en suppliant son fils de la guider dans l'eau, c'est ainsi qu'elle se baigna pour la première fois dans la mer. Une étrange sensation vous dira-t-elle. Elle y resta plus longtemps qu'elle ne l'avait imaginé, mais ne se fit pas prier pour sortir tout de même. Elle sécha assez vite, et marqua à l'aide de son index sur le sable :
'Habitants de LR, prenez soin de vous' .
Elle l'écrivit à l'abris de la mer et du vent, espérant que le message resterait jusqu'au lendemain, au moins. Et c'est avec le sourire qu'elle s'en alla. Sans dernier regard pour la mer.
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La mort ne peut être ni lâche, ni belle, c'est simplement la mort. Seule sa raison peut avoir une signification.

Angele_b

C'est en cette fin d'après midi qu'Angèle regagna son campement. Elle devait y faire quelques petits rangement mais regardant l'eau, décida que le rangement ce ferait un peu plus tard.
Elle prit alors une grande bouffée d'air et partie près de l'eau.... Quelle merveille que d'être ici, un endroit si calme et si reposant.
Arrivé près du bord, elle retira ses chausses qu'elle jeta derrière elle et entra dans l'eau.... C'est sourire aux lèvres qu'elle marcha un peu puis s'arrêta pour regarder l'horizon.... le soleil commençait tout doucement sa descente pour aller ce coucher....
Elle jeta alors un coup d'oeil aux alentours et ne voyant personne décida qu'elle piquerait bien une petite tête....
Elle sortie alors de l'eau.... retira ses braies et rentra de nouveau dans l'eau.
Elle s'y avança lentement.... prenant la précaution de se mouiller nuque et épaules et plongea. Elle fit quelques brasses pour s'éloigner du bord.... se mit sur le dos et se laissa flotter au grès des vagues.
Après un petit laps de temps, elle regagna la plage, s'allongea sur le sable et ferma les yeux, laissant son esprit vagabonder et s'endormit sans s'en rendre compte.
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Franncessco

franco arriva sur la plage de la Rochelle,il enleva ses bottes,et marcha pieds nu,il regarda au loin la mer...en réfléchissant,il se coucha dans le sable,avec son chien,puis après un sieste improvisée il se mit en haillons et courra avec son chien dans l'eau assez fraiche de la Rochelle ,avec cette chaleur rien de mieux que la mer,il pataugea pendant une dizaine de minutes,puis il alla un peu plus loin,et il nagea,il nagea pendant une heure entière,puis il sorti de l'eau,et se coucha sur un drap,il fit une petite bronzette histoire de sécher,et de prendre des couleurs..il joua avec son chien,puis il se rhabilla et partit...

Danseurdenuage

Danseur De nuage était sur la plage, il marchait cherchant une femme des yeux. Cette femme, c'était Angèle, depuis qu'il la connaissait son coeur c'était rempli de bonheur. Chaque seconde avec elle n'était que joie. IL la vit au loin couché sur le sable tel une sirène. Qu'elle était belle.
Il l'apella:

Angèle !
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Jalila

Ce rire la suivant dans tout les coins de cette ville, triste trop triste à son gout, rempli de préjugé et de gens qui se parlent entre eux, elle n'a eu droit qu'a quelques personnes qu'elle voyait plus ou moins normaux...
la journée fut longue entre aller à la maréchaussée y déposer ses économies et revenir de taverne en taverne pour trouver un peu de repos, Elle a depuis trés longtemps appris à ignorer tout ce qui ne lui plait pas, toujours son foulard en guise de sac dans la main contenant tout ce qu'elle possedait, elle avança vers la plage pour y voyager, cette décision qu'elle a prise, elle voulai à tout pris trouver des gens de son passé, quelqu'un qui lui rappelera d'ou elle viens, son sirwal toucha l'eau, elle avanca comme meme sentant cet eau mouillé sa cheville, cette sensation la rempli de liberté, la douceur de l'eau la calma
elle se dirigea vers le sable s'instala et sorti de sa besace quelques fruits, les mangea en regardant l'horizon, son sourire angelique ne quittant jamais son visage, comme pour dire aux evenements je suis capable de vous vaincre, je suis celui qui décide

Rosely

Quand Rosely arrive sur la plage elle se sentit si petite devant cette étendue d'eau et de sable , elle enlève ses bottes et marcha pieds nus , le sable était chaud a cette heure de la journée,un vent léger jouait avec ses cheveux .
Rosely marchais devant elle sans but précis , elle était inquiète n'ayant pas de nouvelle de son amour
comment il va ? il fait quoi ? il est où?
Toute à ses pensées elle ne vit pas qu'elle allait tout droit dans l'eau , elle sentit le froid de l'eau sur ses pieds ,elle eu un mouvement de recul mais revient dans l'eau et marcha un moment ça faisait du bien .
Mais elle était ailleurs ................Elle ne profita pas de la beauté qui etait là devant elle ,elle s'arrêta un instant et regarda aussi loin que son regard pouvait voir ses yeux se remplirent de larmes .
-Gadej....... dit- elle dans un souffle
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Mimidu973

un bon pti moment a la plage pour me relaxer tiens

Rosely

suite

Assise sur le sable Rosely attend , les bras autour de ses jambes nues , les larmes coulent sur son visage , que de tristesse aujourd'hui , déçues elle essuie d'un revers de main ses larmes ,elle ne veut pas pleurer, elles coulent toutes seules elle ne peut les arrêter .
Elle se sent si mal ce soir , mal au ventre et au coeur , elle se couche en boule , peut être s'endormira t 'elle sur la plage ..............
- et demain ? dit t'elle tout bas je serais seule et les larmes se mirent a couler de plus belle
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Jalila

l'heure du depart fut proche, sa besace toujours pendu à son bras, la séparation ne la rendit jamais triste, mais des fois elle regrette des choses des gens
elle marcha pour la dernière fois sur le sable pieds nu, encore à moitié mouillé depuis son passage en taverne, un sourire se dessinat sur ses levres a ce souvenir, elle ignora un moment pui reprit le chemin inverse, pour rejoindre son compagnon de voyage direction la première ville de son voyage, son sirwal commenca a secher , le foulad volant a l'aire, elle marcha sourire toujours illuminant son visage tete fiere, sans rien en tête
sauf...

Kiliana

Avant de reprendre la route, Kiliana fit un détour par la plage. Elle voulait respirer encore une fois l'air iodé, sentir le guano et le varech, écouter le cri des mouettes et l'écume des vagues qui s'écrasaient contre les rochers.

Elle embrassa du regard la vaste étendue irisée, sur laquelle scintillaient les rayons du soleil. Elle admira cette force tranquille, cette surface plane où seuls quelques clapotis indiquaient que l'Océan était en vie...

Elle sourit, ressourcée, comme si la mer lui avait insufflé son énergie... Gaillarde et volontaire, la Pictave quitta l'endroit, tandis que les femmes des pêcheurs ameutaient tout le village pour la vente à la criée...
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Mimidu973

Mimi voulu aller en taverne,mais il n'y avait personne.

-Bizar pour un après-midi à la Rochelle!

Elle décida donc d'aller faire un tour à la plage plutot que de rester à ne rien faire!

Mais elle n'avait pas tellement envie de se baigner,elle péféra tremper la pointe de ses pieds dans l'eau azure et fraiche de la mer, puis s'asseya sur le sable et resta là, à contempler la mer, seule.
Elle pensait à sa vie, elle pensait a Jaila qui était partie brusquement et qui, sans doute ne reviendrai pas, ça lui fesait un peu de peine.
En regardant la mer, elle pensait au mot: voyage, elle se disait qu'un jour, elle partirait faire le tour du Royaume,avec son amour de toujours...

Elle était la, sur la plage,au soleil...
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Anggy

Anggy arriva sur la plage avec des buches et de quoi allume un grand feu,sa besace pleine de bonne bouteille et de quoi manger,elle deposa tout sur le sable encore brulant du soleil de la journée

Les barques des pecheurs revenaient petits a petits

Anggy installa les buches et alluma le feu

et commenca a crié haut et fort
ROCHELLAISE ,ROCHALLAIS,VOYAGEUSE,VOYAGEUSES,

ICI J ALLUME UN GRAND FEU,VOUS POUVEZ JETTEZ CE QUE VOUS VOULEZ POUR OUBLIER VOS MALHEURS,VOTRE PASSE,

Anggy s installa sur le sable a attendre
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Mimidu973

Mimi arriva à la plage. Anggy lui avait parler du feu de camp qu'elle ferait la nuit tombée, et, pour rien au monde elle n'allait le rater!

Elle s'installa donc autour du feu avec sa chère amie Anggy.

Elle sortit un tambour qu'elle avait soigneusement caché pour faire la surprise a Anggy.

Mimi commença alors à chanter, les pieds dans le sable, avec son petit tambour concé entre ses genoux.

La brise du vent frais balayait ses cheveux sur son visage.
Elle pensait qu'en metant de l'ambiance,cela attirerait foule!

Mimi continua a chanter et jouer du tambour en attendant que foule vienne s'asseoir autour du bon feu...
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Bellatrix_lestrange

Bella venait de franchir les portes de la ville , elle avait hâté volontairement le pas cela valait mieux, mais cela la privait de la compagnie de son Choub , son aimé et tentait de s'en accommoder car cela risquait de durer jusqu'à destination.
Après être passer au marché pour se restaurer elle partie se balader dans les petites ruelles où elle était sûre de croiser personne,et arriva sur une plage ,la voilà enfin ,la mer .
Cela faisait longtemps qu'elle ne l'avait vu ,Calaisienne d'origine elle avait l'habitude de se promener de longues heures sur la plage ,cela lui avait manquer après son déménagement dans le Maine .
Elle arpenta le bord de mer ,marchant pieds nus dans le sable ,humant l'air marin charger d'iode lui rappelant son enfance.
Elle chercha un coin tranquille à l'écart souhaitant ne déranger personne que pour s'isoler,elle s'asseya dans le sable son regard se perdit les vagues en pensant à son compagnon avec qui elle aurait dût être en se moment ,elle aurait aimer se promener sur cette plage avec lui mais il en était autrement .

Jean_choubard

Choubard arrivait sur le soir sur la plage, il s'était donné rendez-vous avec Bella .

Il s'approcha du feu, rencontra quelques habitants de la Rochelle.

Bonsoir, j'attends Bella, on s'est donné rendez vous ici? ça vous gêne pas?

ET vous faites brulez quoi au fait?

Bellatrix_lestrange

Bella avait passer le journée isoler dans caverne découverte non loin de la plage pour se laisser aller à ses pensées et avait fini par s'endormir ,lorsqu'elle se reveilla ,la nuit était tombée ,elle devait retrouver Choub sur la plage et se rendit donc au lieu de rendez vous.

B'soir tous l'monde , b'soir mon Choub ...Ben me voilà ..

Bella salua tous le monde d'un signe de main et s'installa près de Choub après l'avoir embrasser tendrement.

Mimidu973

Quand mimi les vu arriver elle se leva pour aler les embrasser:

-Bonsoir, Jean, bonsoir Bella, heureuse que vous ayez pu venir!

-Faites comme chez vous, installez vous!

Mimi leur fit un grand sourir et se rasseya.Elle commença a jouer de son tambour, ensorcelant l'air d'une mélodie ravissante...
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Altovis

En cette douce nuit de septembre, Altovis passait sa derniere soiree a La Rochelle.

Comme lors de son depart de Brest, il ne put s empecher de passer la nuit sur la plage...

Apres etre passe a la taverne municipale des Deux Tours ou il avait pu une nouvelle fois demontrer son esprit lent dans une chamaillerie memorable... et apres avoir lever quelques fois le coude, Alto se dirigea vers la plage.

Lieu d introspection et de calme, mais aussi parfois d orages et de tumultes, c est endroit etait pour lui une source d inspiration et lui permettait souvent de faire le point sur sa vie afin de lui en donner une nouvelle teinte.

Malgre avoir tente de persuader maintes fois les gens qu il avait pu rencontrer pour qu ils se joignent a lui, une fois de plus. il se retrouvait seul...

Il creusa un trou et y deposa les branches et brindilles qu il avait ramasse sur la route puis alluma le feu. Il s assit, contemplant la vaste etendue noiratre qui ne faisait maintenant qu un avec l horizon. Il laissa ses pensees se deroulees sans essayer de les contenir, de les reflechier, de les structurer...

Le feu commencait a s affaiblir et il decida donc d aller chercher de nouveau du bois. Quand il se retourna il put distinguer une ombre s avancant vers lui...
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Tutia90

Tutia avait décidé d'aller faire un tour à la plage afin de prendre un bain de minuit, surtout après la soirée mémorable qu'elle avait passé. Elle se tourna face à la mer, regarda si personne ne se trouvait aux alentours puis enleva sa chemise et ses braies, ne gardant que ses dessous et plongea dans la mer encore assez chaude en cette nuit de septembre, elle nagea pendant plusieurs minutes puis se laissa flotter sur le dos admirant le ciel étoilé. Puis commençant à avoir un peu froid, elle nagea vers la rive et sortit de l'eau. Elle s'essuya, se rhabilla et s'enveloppa dans sa serviette afin de ne pas attraper froid, ses cheveux mouillés pendant sur ses épaules, puis elle continua sa promenade. Elle s'avança chantonnant doucement en regardant les étoiles :

- Douce nuit Sainte nuit
Tout est calme et sans bruit
Dans une pauvre étable
Dors l'enfant adorable
D'un Céleste repos
D'un Céleste repos !

Douce nuit, Sainte nuit
Les berges ont suivi
De l'étoile la douce clarté
Mille voix dans la nuit ont chanté [...]

Elle en était là de sa chanson lorqu'elle aperçut au loin une ombre qui s'affairait à ramasser du petits bois. Etonné de trouver quelqu'un à cette heure elle s'avança afin de voir qui cela pouvait être. La lune éclairait la plage et elle s'aperçut bien vite que la personne qui s'affairait n'était autre que Alto, elle aurait du s'en douter, il semblait vouloir s'installer sur la plage. Elle se dirigea vers lui et l'apostropha :

- Re bonsoir Alto, désolé pour ma tenue je viens de prendre un bain de minuit dit elle en riant, mais passons, ne me dit pas que tu as l'intention de dormir ici ce soir, si ??
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Altovis

- Re bonsoir Alto, désolé pour ma tenue je viens de prendre un bain de minuit dit elle en riant, mais passons, ne me dit pas que tu as l'intention de dormir ici ce soir, si ??

- Pourquoi pas !? Je me sens bien ici et puis je risque de ne plus voir la mer pendant un petit moment donc je compte bien en profiter.

Altovis observa Tutia legerement grelotante et sortit un pull en laine de son sac pour le lui donner.

- Tiens, tu vas prendre froid ! Attends moi pres du feu la bas, je reviens...

Alto regarda Tutia s eloigner puis partit ramasser du bois...
Apres quelques instants il revint et ranima le feu. Tutia etait assise sagement a cote du feu, enmitouflee dans le pull.

- Ca va mieux ? Alto s alongea sur le sable, le regard rive sur vers etoiles... Son passage a La Rochelle touchait a sa fin.
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Tutia90

Tutia accepta volontiers le pull en laine que lui présenta Alto, elle le remercia puis l'enfila bien vite, il lui dit alors :

- Attends moi pres du feu la bas, je reviens...

Tutia se ne se fit pas prier et se dirigea vers le feu un peu plus loin. Elle s'y asseya sagement à côté tout en se frictionnant les bras pour se réchauffer. Puis elle regarda Alto revenir avec du petits bois et raviver le feu. Les flammes jetaient des reflets dorées sur leur peau respective et diffusaient une douce chaleur que Tutia savoura. Alto lui demanda alors :
- Ca va mieux ?
Elle lui répondit alors en souriant :
- Oui ça va un peu mieux, merci Alto.

Ce dernier s'allongea par la suite sur le sable et se mit à contempler les étoiles. Tutia regarda alors son ami et ressentit un petit pincement au coeur. En effet avec qui s'amuserait elle en taverne quand il serait reparti, certes Flora et Bossdur devaient revenir le lendemain, Fraise et Prince courant octobre, mais elle savait que ce ne serait pas pareil... Tutia soupira tristement. Elle se leva et installa sa serviette sur le sable à côté de son ami. Elle s'allongea sur sa serviette et se mit à contempler elle aussi les étoiles, la tête contre celle d'Alto, essayant de ne pas penser à son départ prochain et le risque qu'il ne revienne peut-être jamais ..., ou alors dans très longtemps.
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Altovis

Altovis regardait les etoiles et profitait de cette derniere nuit au bord de l ocean. Il vit Tutia rapprocher sa serviette et poser sa tete contre la sienne.
Il etait heureux d avoir pu faire la connaissance d une si gentille personne, mais egalement triste de devoir la quitter si vite.
Puis il repensa a Angers et se demandait comment allait se passer son retour, mais qu importe, il avait tout le voyage pour y penser...
Altovis fit une bise sur la joue de Tutia, puis il se mit de nouveau a regarder les etoiles pour finalement se laisser gagner par le sommeil...
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Tutia90

Tutia regarda le ciel étoilé quand Alto lui fit une bise sur la joue ce qui la fit sourire. Puis elle vit Alto s'enfoncer doucement dans le sommeil. Elle le regarda un instant endormi. Puis ses paupières se faisant lourdes elle se releva un peu et fit un léger bisou sur le coin de la lèvre d'Alto puis elle s'endormit la tête sur son épaule.
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Bici

Le jour était levé depuis bien longtemps, lorsque Muze Toine et Bici arrivèrent sur lcette plage, rechauffée par un doux soleil.

Le petit Toine jouait avec l'eau qui venait mourir juste à ses pieds, Muze le couvrait du regard , toujours inquiète du moindre mal qui pourrait lui arriver.

Muze et Bici s'avouraient leur première promenade ensemble

Un doux vent sêchait leurs dernières larmes de chagrin.

Les épaves mortes du passé, s'enfonçaient dans l'océan de leur souvenir.

La vie leur souriait à nouveau, sous un ciel bleu azur sans aucun nuage pour troubler ce moment de bonheur.

Ils respiraient cet air nouveau qui naissait pour eux trois, loin des rumeurs des tavernes.

Encore tout emmerveillé et fatigué par sa trop courte nuit de sommeil

Bici s'avourait ce moment, sa Muze serrée contre lui....

Il lui soufflait legèrement sur les cils...............

Merci pour tant d'amour mon ange.

Bici

Muzelinne

[code]Le jour était levé depuis bien longtemps, lorsque Muze Toine et Bici arrivèrent sur lcette plage, rechauffée par un doux soleil. [/code

Muze était heureuse elle regardait toine marcher au bord de la mer mais n était pas trés rassuré,
elle sourit en le regardant elle l aime son petit garçon,

attention mon cheri ne te mouille pas trop !!
toine rit aux éclats et reviens pres de sa maman

toine gasouille quelques mots mama dada gad et lui tend une coquille ,

c est bien mon cheri elle est belle..
le petit retourne vers le bord

muze se tourne vers bici, qui regarde toine et lui sourit elle est contente car bici adore toine et elle est soulagée , car si bici n avais pas accepter son bébé elle ne l aurais jamais revue, mais la se n est pas le ca, rien
n assonbrit cette belle journée ..

serre la main de bici , et lui sourit, se hausse sur la pointe des pieds et lui fait une bise sur la joue..

elle se sent si bien avec lui et elle lui fait une confiance absolue.
puis ils partent tous les trois vers la ville , après cette belle journée heureux d etre ensemble ...
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MUZELINNE maman du petit Toine
TRIBUN DE LA ROCHELLE
boulangère

Luaine

Sortie de taverne comme tous les soirs depuis son départ. Luaine voulait connaitre du pays et voir des nouvelles personnes. L'ambiance confinée des tavernes, ce soir là, lui pesa. L'air iodé envahissait les rues de la ville côtière. Cette odeur flottait pour la première fois dans les narines de la jeune lyonnaise. Luaine n'avait jamais quitté son Dauphiné natale et ce voyage n'était que source de découvertes chaque jour.
L'odeur entêtante, ne l'était peut être plus pour un habitué de l'endroit mais pour la jeune femme c'était un parfum délicieux qui laisser trainer essence de mer et de crustacés.
Goutant les joies de la ville océanique, elle s'était empiffré de poissons et de crabes. Elle avait vu la marée dans le port. Cette scène restera gravée dans sa mémoire quand avec stupéfaction, elle avait vu les bateaux sur leur quille à même le sable.
La mer partait et revenait, quelle spectacle étourdissant. La ville était pleine de surprise et de nouveautés pour elle.

Les quelques pas sur les pavés en direction de la grève, se firent les mains dans les poches dans le silence des alcôves. Les rares personnes debout étaient soit chez elle, soit en taverne. Peu de silhouette de part les ruelles.
L'astre sélène guida ses pas. La lueur blafarde de la lune ronde et douce dans le ciel étoilé, lui montra le chemin presque aussi bien qu'en plein jour.
Luaine marcha jusqu'à la plage, la mer y était haute, très haute. cela contrastait depuis la dernière fois que Luaine avait vu la mer et les bateau couchés sur leur flanc.
Elle ôta ses chausses et se drapa dans sa cape, qu'elle monta sur son cou et sa gorge.
L'air était vivifiant malgré la douceur.
Le contact du sable avec ses pieds la fit sourire. La finesse de l'arène blanche, la fit passer entre ses orteils. Cette douce caresse la fit presque frissonner.
La jeune lyonnaise s'assit dans le sable, posa ses chausses à côté d'elle et ramena ses jambes sur son buste. Elle enlaça ses jambes et posa son menton sur ses genoux.
Le flux et le reflux des vagues sur la grève était une mélopée à ses oreilles, un doux froissement, une berceuse.
Luaine se remplit les narines et gonfla sa poitrine.
Les embruns rafraichirent son visage et la douce brise faisait onduler ses cheveux.

Cette première rencontre avec la mer, lui fit prendre conscience que ses origines armoricaines ressortaient ce soir là, par tous les pores de sa peau. Qu'elle aimait la mer.
Un fin sourire se dessina sur ses lèvres. Bientôt son voyage touchait à son but ultime, la rencontre d'avec son père.
La lune tissait ses rayons argentés jusque sur les flots. Mille diamants étincellaient à la lueur presque spectrale. Luaine était bien et sereine. Un bien être l'envahit. La mer et ses mystères avaient conquis le coeur de la jeune femme.
La course de l'astre nocturne ne s'arrêtait pas et il fallait bientôt qu'elle rentre à l'auberge pour y dormir quelques heures avant de prendre une autre destination. La fraicheur la força à rentrer. Ses pieds devinrent glacés et sa cape ne retint plus le froid de la nuit. Luaine rentra en grelotant de froid mais tellement bien. Elle se glisserait quelques heures, à l'abri douillet de sa couche, enroulée dans une couverture jusqu'au première lueur de l'aube.
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Mimidu973

C'était surement la dernière fois que Mimi viendrait sur la plage...Sa allait lui manquer beaucoup...Elle était assise,là, sur le sable doré par la lune, regardant la mer et son horizon obscur.Elle était assise, là, elle pensait à la nouvelle vie qui l'attendait tout en regrettant déjà l'ancienne...
Elle commença à verser des larmes pour ses amis de la Rochelle: Coralie, elle l'aimait tant et elle allait vraiment lui manquer, Bici, ta cocotte ne t'oubliera jamais c'est promis, je reviendrais vous voir!Tutia, ooh tutia tu vas tellement me manquer, et nos nuits nocturnes a deux en tavernes...

Tyty tu vas me manque beaucoup toi aussi, un très gentil ami, appart le coup de l'abreuvoir...
mais tous ces souvenirs seront gravés à jamais en ma mémoire...A présent une nouvelle vie l'attendait...
Mimi observait la lune d'un air réfléchit...Puis elle reposa son regard sur l'orizon...avec un air angoissé, malheureux, heureux...Mais qu'étais ce sentiment?
Elle partait bientôt, vendredi, ce vendredi.Elle n'avait pas encore vu Coralie et elle angoissait affreusement.Il fallait qu'elle voit aussi Tutia,Bici....pour les serrer fort contre elle une dernière fois avant son départ...
Mimi ne savait plus quoi penser plus quoi faire...Elle s'allongea sur le sable en contemplant le ciel...en contemplant les étoiles...Malgré qu'elle voyait flouà cause de ses larmes abondantes, elle afficha un sourir perspicasse...
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Sandy

C'est le coeur léger et bondissant que Sandy regarda au loin l'horizon...
Elle le voyait... Lui qui l'avait appelé depuis si longtemps..
L'océan...
Elle avançait tout doucement comme si elle allait rejoindre son amant pour la 1ère fois en cachette..
Quand elle vit cette immensité, ses yeux s'écarquillèrent admirant la beauté de l'endroit...
Elle enleva ses semelles et mit les pieds dans le sable fin..
Un instant de bonheur envahir son corps, le coeur de l'océan lui donnant son énergie.. Elle ferma les yeux quelques instant puis les rouvrit en regardant l'océan..
Elle sourit et courut à toute vitesse en direction de l'océan..
Ce n'était pas dans ses habitudes de prendre des coups de folie comme celui-ci mais à ce moment même elle n'avait aucune honte à le faire...
Elle courut aussi vite qu'elle le pouvait et se donna à l'océan entièrement...
Elle remonta à la surface et rit aux éclats..
Elle l'avait fait... elle était dans cet eau divine.. cette immensité.. jamais elle ne verrait un aussi beau spectacle que celui du soleil se couchant sur l'océan..

Caressant l'eau de ses paumes de main, elle fit un sourire rêveur se sentant dans son élément... comme si elle était chez elle...
Quelle drole d'impression... Elle se sentait.. une autre Sandy...
Sans peur... sans crainte... sans soucis.. Juste le sourire d'être ici... Juste le bonheur de vivre et de croire en l'avenir..

Elle rit sans savoir pourquoi... elle aimait être ici... elle aimait sentir l'eau la caresser et le vent s'enfouir dans ses cheveux mouillés..
Elle alla au bord de l'eau juste assez proche de l'océan pour que les vagues puisse se glisser sous elle..
Elle s'allongea et ferma les yeux, le sourire aux lèvres..
Elle respira la bonheur et le plaisir d'être ici.. Elle va surement y restes des heures..

"Je ne serai plus jamais la même.." pensa-t-elle
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Helrad

Ces vagues, c’était toute son enfance. Assis sur une dune à quelques mètres de l’eau, Halred scrutait l’océan. L’immensité d’un territoire qu’il n’avait que trop peu connu. Un territoire qui, alors qu’il n’était qu’un enfant, l’avait accueilli sans jamais le rejeter une seule fois. Il y avait des tempêtes, il y avait des marées. Mais l’océan restait le même, immense et puissant. Continuant à regarder à loin, le jeune homme repensait aux quelques années qu’il avait eu la chance de vivre et ce malgré toutes ses tristes péripéties. La vie des bas-fonds de La Rochelle. Il n’en gardait aucune tristesse, aucune séquelle grave. Il y avait fait ses armes et était devenu l’homme qu’il était grâce à ces quartiers délabrés.

Le poitevin n’enviait pas les riches, il ne l’avait jamais fait d’ailleurs. Comme tout un chacun, il se demandait parfois pourquoi le destin avait-il voulu que la galle attaque sa mère plutôt que celle d’un autre. Mais toutes les questions n’avaient pas de réponses, ou alors des réponses qu’il ne voulait pas attendre. Le hasard, la faute à pas-de-chance comme on dit… C’était sûrement la seule explication, de toute manière. Sa mère était morte de la galle et lui avait dû se débrouiller en mendiant, volant, jusqu’à ce qu’un marin suffisamment culotté le prenne sous son aile avant de mourir à son tour pendant une tempête. Un homme à la mer, qu’ils disaient… On l’a jamais retrouvé.

C’était la vie. La sienne.

Il soupira, sans aucune tristesse. C’était simplement un soupir d’aise et de mélancolie. L’époque où il se trouvait sur ce bateau et durant laquelle on lui avait brièvement appris à se repérer par rapport aux astres. Apprentissage infructueux. Les étoiles étaient toutes les mêmes, et leurs positions n’avaient jamais été suffisamment différentes les unes des autres pour qu’Halred puisse s’en souvenir. On lui avait appris à lire, aussi, c’était rare chez les marins mais les lettres, elles, étaient faciles à retenir. Les sons aussi, même si ça restait toujours difficile pour lui de lire à haute voix par crainte de se tromper. Des complexes d’enfant timide, voilà tout.

Du haut de ses vingt et un an, pourtant, les choses ne changeaient pas. La vie était la même. Il était toujours aussi pauvre, toujours aussi mélancolique d’une époque révolue, toujours aussi peu impliqué dans son village. Toujours aussi libre. Pour rien au monde il ne sacrifierait cette liberté contre un nom quelconque. L’océan ne changeait pas, il ne changerait jamais. Sa vie, sûrement, resterait aussi identique que l’immensité face à lui. Il y avait des vagues, il y avait des tempêtes et des accalmies. Mais ça resterait toujours la même chose. Ca resterait toujours ce qu’il avait toujours connu.

Et c’était bien comme ça… Les choses qui changeaient trop vite, qui passaient du coq à l’âne, ça n’était pas pour lui. Sûrement car il était trop nonchalant pour comprendre. Sûrement car il n’en avait pas l’envie, aussi.

Continuant à regarder l’océan, le soleil commençait doucement à se coucher. Le vent se levait et un grain de sable lui vint dans l’œil. De l’index, il l’enleva et garda l’œil fermé quelques instants. Si quelqu’un arrivait à ce moment là, on aurait presque pu le croire borgne. Un vrai pirate, qu’ils disaient sur le bateau…

Sons

Ce matin là pour moi, n'est pas le même que tous les autres, puisque je vais découvrir une pêche nouvelle.. celle des grands poissons du large.. Les façades de toutes ces maisons est tournée vers la mer, les rameaux qui vont porter la vie et la circulation dans le corps de la ville. Aussi quel luxe d'écriteaux et d'enseignes.!.. Des lettres de toutes couleurs et de toutes dimensions chamarrent les édifices de haut en bas.. Votre oeil s'arrête sur l'acrotère d'une maison bizarrement découpée à jour.. vous cherchez à quel ordre d'architecture appartient ce genre d'ornement.. En vous approchant vous découvrez que ce sont des lettres de cuivre doré.. indiquant une échoppe quelconque.. et qui servent à la fois d'enseigne et de balustrade.. se n'est pas s'en peur que je pousse pour la première fois mon embarcation a l'eau.. m'étant renseigner en veille sur les heures les plus propice a cela.. une large traîner de feu scintiller sur la surface de l'eau.. le soleil dans un vent froid fleurter comme une libellule sur le courant d'un ruisseau.. Jamais je n'oublierai le magnifique spectacle qui s'offrit à mes yeux.. enfin bien installer dans ma barque.. je pris les rames et je m'éloignais au large.. l'océan me portait comme on danser.. sur un air frais mais léger.. croisant de çi de la au loin d'autres embarcation.. arriver en un lieu choisi au plus grand des hasards.. un léger repas s'imposer avant son oeuvre.. enfin j'essayais de péché en haute mer..
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au fil de l eau,ou le courant le mene

Eleanora_

Ses long cheveux bruns détachés, flottant au vent, Elea avait le regard perdu vers l'horizon.
La mer, si calme, l'apaisait.
Pourquoi? se dit-elle.
Elle ne cessait de penser à lui, à la lettre qu'elle lui avait écrite, à sa mort si soudaine...
Que puis-je y faire? C'est sa décision, pas la mienne, ça ne me regarde plus pensa t-elle.

Elle s'assit sur le sable doux et sortit sa vielle, pour y jouer une douce mélodie...
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Muzelinne

Muze arrive en courent les cheveux au vent le visage en larme
marche comme une somnambule sur le sable elle n en peut plus elle croyais tans que son amour était vrais il lui avait promis, il l aimais pour la vie qu il faillais qu elle lui face confiance et elle lui avais fait confiance c était donner a lui corps et ame et voila pour une pecadille il lui dit qu il la laisse,
il lui a même pas dit un mot gentil juste un adieu pour lui faire des reproches ...
elle s avance vers la mer qui clapote a ces pieds les vague arrive par accoue
s arrête les pied dans l eau ,
puis entre doucement dans la mer
elle frissonne, mais elle ne s en rend même pas conte , les yeux hagard elle continue doucement a avancé, mon dieu j arrive je ne veut plus vivre , j en est assé, la vie est trop moche rien ne me vas je suis toujours abandonné,

un grand frisson la parcours et elle s écroule ...
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MUZELINNE maman du petit Toine
TRIBUN DE LA ROCHELLE
boulangère

Bici

Bici arriva sur la plage, vit au loin une forme couler dans la mer..Il croit que c'est muze

Il se précipe à sa rencontre, et remonte effectivement Muze à la surface ..

Il la prend dans ses bras et l'emporte chez elle à la boulangerie......

Fait un feu dans la cheminée et l'installe tout prêt de ce dernier pour qu'elle se rechauffe, lui pose une couverture sur ses épaules, lui fait un thé brulant, qu'elle boit en s'etouffant presque...

Muze le fusille du regard, "Pourquoi m'as tu sauvé, tu me tue puis tu me sauve, tu es comme tous les autres tu es même pire dans la méchancété que les autres".

Bici écoute calme et distant les reproches, ces mêmes reproches dispenser par les moralistes des tavernes.

Muze se calma mais entre deux sanglots, lui demanda encore la même chose....

Bici lui repondit que non cela n'était plus possible, et tu sais pourquoi alors stop.

On ne refait pas l'histoire, c'est du passé...........

Il prit les mains de Muze et le regarda droit dans les yeux.......

Maintenant écoute moi bien.

Ce que tu viens de faire est inadmissible, tu ne penses qu'à toi dans cette affaire.

Ce que j'ai fais je l'ai fais aussi pour Toine, mais non d'une pipe en bois quels drôles de parents vous faites, vous pensez à vous avant de penser à lui.....

Soit mature maintenant, arrêtes les bétises...........

Il continue à vivre lui le petit Toinou.

Alors tu arrêtes et tu repars du bon pied.

La dessus Bici reparti en songeant à petit Toine qui dormait tranquillement.

Bici
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Muzelinne

Muze reprennait ces esprit elle se demandait ou elle était ,
puis vois au dessus d elle Bici , son coeur se remit a battr fort,

mais , mais je suis ou, passe la main sur son front au mon dieu oui la plage , puis boit un goute de thé que bici lui tend,
ho mon dieu oui je suis devenue folle,
elle ecoute bici lui parler mais elle sais que c'est pas pour lui dire qu il reste auprès d elle ,

oui je sais Bici Toine mais la je ne svais pas ce que je faisais j avais tellement mal de ton depart, une sorte de follie ma prise , je voulais plus souffrir de ton depart
elle se redresse et lui dit encore une fois je n ai jamais parler a cyra , mais d après toi pas de rancune c était pour anggy et j avais pas compris sa moi , pour cyra je n avais pas de rancune puisque pour moi il n était qu un étranger , je comprend que cela té fait mal , que tu m en veuille que tu me dispute mais pas que tu m abandonne pour sa, je cromprend que tu a eu peur mais je té expliquer que je t aimais toi et que si j avais compris que tu ne veuille pas que je lui vende du pain je ne l aurais jamais fait , mais j ai pas compris la haine que tu avais contre cyra , voila

maintenant des amis je te l ai dit j en est plus cest fini a chaque fois j ai été eu on ma roulé , comme l amour d ailleur c est toi qui ma fait comprendre qu il fallais pas s attacher, autrement on souffre de trop, alors je serais pour mon petit mais je ne serais plus qu un corp sans ame,

se tais car bici est parti ....

elel lui fait un signe de la main mais il ne se retourne meme pas , elel pense adieu mon amour...

elle s éssuit les yeux et se leve aller il faut faire du pain....
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MUZELINNE maman du petit Toine
TRIBUN DE LA ROCHELLE
boulangère

Eleanora_

Assise sur le sable doux, Elea jouait une douce mélodie avec sa vielle, et commençait à chanter d'une belle voix cristalline.
Tout était calme, juste sa voix brisait ce silence un peu oppressant.
Elle regardait la mer, tout en chantant, et pensa qu'elle avait eu de la chance d'arriver à La Rochelle entière.
Soudain, elle s'arrêta de chanter, elle avait cru entendre un bruit inquiétant. Pas rassurée pour un sou, elle s'approcha de la mer et trempa les pieds dans l'eau glacée. Elle frissonna et s'enfonça un peu plus dans la mer.
Ses longs cheveux mouillés lui fouettaient le visage mais elle s'en fichait, elle regarda les vagues qui lui léchaient la taille et soupira.
Elle sentit une main qui se posait sur son épaule et sursauta.
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Sandy

Sandy souriait, le yeux face à l'océan, regardant au loin en pensant à tout ce qu'elle avait vécu dans ce petit coin de paradis...
Cet endroit lui avait changé la vie et elle était sur que l'air marin et cette immensité devant elle y était pour quelque chose... Ils l'avaient aidé...
La petite Sandy, frêle, fragile, timide, ennuyeuse avait changé du tout au tout...
Elle sourit en repensant aux deux être qui avaient changé complètement sa vie...
Linéa... sa soeur jumelle enfin retrouvée depuis tant d'année à la chercher.. Grâce à cette retrouvaille, elle avait retrouvée une partie d'elle même, sa moitié, sa vie.. Oui... Elle était la vraie Sandy...
Bici.. Son tendre et doux Bici... Mon dieu qu'elle l'aimait.. Qui aurait cru que ça pourrait être aussi fort... Ses mots, ses gestes, sa tendresse, son amour... Elle ne pouvait espérer mieux.. Et tant pis si beaucoup disent que ça sera éphémère... Et tant pis si d'autres jugent leur amour.. Tant pis.. Elle l'aime c'est ainsi..

Tourné face à l'océan, elle s'assit au bord de celui ci pour caresser ses vagues comme pour lui dire merci...
Elle enfouit ses pieds dans le sable pour entrer en contact avec lui et savourer ses derniers instant avec son nouvel ami l'océan avant de reprendre la route...
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Mimidu973

Mimi était choquée.Ce soirr la elle entra dans l'eau froide et s'y laissa bercer par les vagues...Coco était partie!Mais c'était impossible...comment...Mimi entra la tete dans l'eau.
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Eleanora_

Elea se tourna vers un homme sombre. Une grimace étira son visage.
Que me voulait-vous? demandait-elle.
L'homme ne répondit pas et s'en alla.
Il a du me prendre pour quelqu'un d'autre songea t-elle.
Elle soupira et marcha le long de la plage. L'océan était si calme que c'en était bizarre. Elle voyait au loin un beau bateau.
Soudain, elle vit Dame Mimi qui plongeait dans l'eau mais qui ne remontait pas.
Elle courut dans sa direction et plongea à son tour.
Elle chercha et enfin, trouva Dame Mimi. Elle rassembla ses forces et remonta la Dame à la surface. Elea l'emmena sur la plage et essaya de la réanimer.
Dame Mimi? Réveillez-vous! cria t-elle.
Heureusement, Dame Mimi commençait à bouger. Elea soupira de soulagement.
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Mimidu973

Mimi était allongée sur la plage, quand elle vu soudainement un visage flou devant, elle, une femme quelle pouvait mal distinguer.Elle entendit une voix qui criait:

Dame Mimi? Réveillez-vous!

Elle avait l'impression que toute sa vie vener de se jouer et que la mer n'a pas voulu d'elle.Soudain elle eu un haut le coeur et toussa tout ce qu'elle put:

-HUHUHUMMMMMMMMM!

Elle ouvra d'un coup les yeux et vit Eleanora devant elle d'un air des plus inquiets, tempée de la tête aux pieds.Eleanora poussa à ce moment un gros soupir et dit à Mimi:

-Dame Mimi!Vous allez bien?

Mimi eut la force de répondre et lui dit:

-Non ça ne va pas, Eleanora, elle est partie!

Des larmes commencèrent à couler sur les joues de Mimi.

-Si elle était partie, je voulais partir aussi, mais je reconnais que je n'ai pas de conscience, je me disait l'autre jour en pensant à Muzze que la folie ne mène à rien, pourtant je l'ai fait moi même, mais... elle est partie Eleanora!

Mimi ne la voyait presque plus tellement ces yeux étaient noyés de larmes.

-Eleanora....

Puis Mimi se laissa retomber au sol, elle ne savait point faire autre chose.

-Je...m'escuse....
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Eleanora_

Quand Mimi toussa, Elea poussa un grand soupir de soulagement.

Dame Mimi! Vous allez bien? demanda t-elle.

Elle vit Mimi tout expliquer en fondant en larmes.
Elea s'approcha d'elle et essaya de la consoler.

Mimi, pleure pas et ne t'excuse pas, cela arrive.
Elea soupira et reprit:
Au fait, j'aimerais pas être indiscrète, mais qui? Qui est partie?
Sa doit être quelqu'un de très important pour toi si tu veux... Mettre fin à tes jours.
Elea soupira une nouvelle fois.
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Mimidu973

Mimi la regarda et lui dit en baissant le tête:

-Coralie....elle est partie....Mais tu sais quoi Elea?Laisse-moi y retourner, j'ai honte de ma personne...de mon comportement....

Mimi essaya de se débattre avec le peu de force qu'elle avait en pleurant mais ne réusi point car Elea l'en empecha.
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Eleanora_

Dame Coralie? Je ne pense pas l'avoir croisée... Une bonne amie pour toi, n'est ce pas? Elea sourit à Mimi.

Tu sais, moi aussi, un jour, j'ai voulus mourir. Pense à Era, à Jj, à Spleen, à Bill, à Cendri, à tant d'autres...
Elea laisse une larme couler sur sa joue, mais se reprend.

La vie est dure, mais il faut survivre. Alors, non, il ne fallait pas que je te laisse.

Mimi essaie de se débattre mais Elea l'en empêche.
Une fois de plus, elle pense à ses amis, ses amis qu'elle a perdue et des larmes recommencent à couler sur sa joue, mais elle ne peut pas les arrêter, ne peut plus...
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Laly..

Laly et son tendre Marletbob était a la Rochelle pour quelques jours
décidait d'aller a la plage afin d'y passer le temps du repas
Laly avait tout prévu pour que ce moment soit magnifique
elle installe le pique-nique

puis s'allonge sur la couverture en attendant son bien aimé elle se mit a rêvassé
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Marletbob

arrive tout propre car il a prit le temp de se laver se qui explique sont retard
desoler mon coeur de t'avoir fait attendre
l'embrasse tendrement

quel festain tu nous a preparé,tu est un amour
et la vue ici et splandide ,que s'est beau l'ocean

s'enlasse un momment en regardant au loin et en penssant a leurs avenir a deux
bonne appetit ma douce

apres avoir manger ,on passa l'aprés midi enlassse a se caliné sur la plage , superbe journée
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Laly..

Laly sourit a son tendre ils avaient finit le repas
ils s'enlacent en regardant l'océan la journée se terminait
laly et son tendre après avoir passer une magnifique journée ramassait leur affaire et partir en direction de la ville main dans la main
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Flavien

[A la nuit tombante]

A la lueur des derniers rayons de soleil, suivant la direction que lui indiquaient les passants, Flavien arrive à destination. Le vent sur son visage est frais et transporte l'odeur du sel. Il prend une grande inspiration et monte la dune qui cache le but de son voyage, voir la mer.
Au sommet de ce monticule de sable il reste un long moment figé, contemplatif devant le tableau qui se dresse devant lui. Un soleil rouge ocre coupé en deux par de l'eau à perte de vue. Flavien en a le souffle coupé. Le vent se renforce et il doit maintenant lutter pour ne pas tomber.
Sans quitter la mer des yeux, doucement il s'assoit. Il tiens ses chevilles et pose son menton sur ses genoux. Quel spectacle! Mesurent ils la chance qu'ils ont?
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Vulnerant omnes, ultima necat.

Eleanora_

L'air était doux. C'était agréable. Elea se plaça face au vent et soupira, respirant l'odeur salée de la mer.
Soudain, le vent se fit plus fort et elle bascula en arrière.
Elle tomba sur le sable, et s'allongea. Elea ferma les yeux et s'endormit.

Quelques heures plus tard...

Elea se réveilla en sursaut et se releva tant bien que mal.
Oh mince, j'me suis endormie... dit-elle en clignant des yeux.
Elle observa l'horizon et vit au loin un homme assis devant la mer.
Elle courut et trébucha pas loin de l'homme.
Rahh oups...
Elea se releva et va s'assoir à côté de l'homme.
Bonsoir... Je suis Eleanora, enchantée... dit-elle en souriant.
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Flavien

Il fixait longuement l'horizon, ces yeux se perdaient dans l'immensité bleu de l'océan. Aucune pensée, aucun mouvement, le plaisir simple résumé à contempler l'incomparable. Il ramasse une brindille et la porte à la bouche.

Un bruit sourd vient troubler la quiétude de ce moment. Flavien jette un œil et aperçoit une jeune femme se relever non loin de lui. Il esquisse un geste en sa direction, un réflexe pour lui venir en aide, mais la dame déjà debout vient le rejoindre pour s'assoir à ces côtés.

En voilà une arrivé pour le moins remarqué, Flavien lui sourit, pour ma part on me nomme Flavien, voyageur originaire de Sainte. Je suis également enchantée de vous rencontrer Eleanora.
Je pensais ne rencontrer personne à cette heure sur la plage, mais je suppose qu'un tel paysage ne manque pas d'attirer les foules. Il reprends une grande et profonde inspiration. Sentez vous? je ne crois pas avoir déjà rencontré pareille sensation de paix. La Rochelle peut s'enorgueillir de vivre au bord d'une telle immensité bleue. Flavien regarde Eleanora et lui sourit, compagnons de fortune, j'ai étais heureux de partager ce moment avec vous. ne vous lassez-vous jamais de ce lieu?

Flavien se lève et s'incline, j'aurais aimé passer le restant de mes jours à m'éblouir de ce spectacle mais je me dois de regagner un lieu magnifique, celui de mes racines. Même si Saintes n'a pas la mer, ça forêt n'a rien à envier au niveau enchantement, je vous y invite dame Eleanora. Venez à Saintes et vous pourrez constater toute la beauté verdoyante de ce petit coin de paradis.
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Vulnerant omnes, ultima necat.

Jerlac

La tour de la Lanterne... Cet endroit était comme imprimé dans le coeur de Jerlac..

Il lui avait été autrefois indiqué par Frisky, lorsqu'elle frâichement débarquée de Saintes, elle cherchait un lieu où dormir. Abrité des vents, le lieu était connu des amoureux, mais , pour être arrivée en octobre 1455, elle n'en avait guère croisés à cette saison.. C'était cependant là que Frisky lui avait donné rendez-vous comme point de départ de son premier grand périple à travers le royaume..

C'était là encore qu'elle venait, lorsqu'elle était en visite à la Rochelle . Elle aimait se ressourcer en marchant de longues heures au bord de l'eau, l'esprit vide, avec pour seul plaisir le bruit fracassant des vagues qui venaient s'écraser sur les rochers ou celui plus discret de celles qui venaient mourir au bord du rivage .

Elle contemplait alors l'horizon, et le reflux incessant de l'océan lui donnait cette impression d'éternité qui la ramenaient toujours à ses origines celtes, lorsque,enfant, son grand-père avait cherché à lui en expliquer les mystères..

Elle goûtait alors ces instants de bonheur avec une indicible sérénité, qu'elle aurait voulu prolonger encore et encore..

Mais il lui fallait partir. Ce soir, elle regagnerait Saintes, sa ville chérie. C'est sûr, elle irait en forêt et s'assierait au pied d'un chêne, trait d'union entre le Ciel et la terre.. Elle n'aimait rien tant que cette communion avec la nature, que ce fût avec l'océan ou la forêt. Elle en avait besoin et espérait y trouver les réponses à ses questions. C'est donc rassérénée, qu'elle regagna la ville...
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Eleanora_

Flavien? Et donc vous vivez à Saintes...

Elea lui sourit et dit:

La mer est si merveilleuse... Paisible et colérique à la fois.
*soupire, puis sourit à Flavien* Il doit y avoir une magnifique forêt à Saintes... Je ne manquerais pas d'y faire un tour un jour... Moi qui suis si habituée à l'océan...

Messire Flavien se lève et s'incline. Elea fait de même et lui demande:

Messire Flavien, vous ne restez pas longtemps à La Rochelle?

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Flavien

Paisible et colérique, vous avez raison. C'est la première fois que je voyais la mer et j'avoue ne pas m'être attendu à cela. Le sentiment de n'être pas grand chose après tout, cette mer vous apprends l'humilité. Je connais bon nombre de gens qui auraient bien besoin de faire communion avec elle, Flavien sourit.

Effectivement je ne peux que vous engager à venir faire un tour à Saintes. Je ne serais pas objectif si je vous disais qu'elle est merveilleuse et accueillante. Mais ça vous ne le saurez qu'en venant nous rejoindre Eleanora de La Rochelle.

Flavien regarde au loin sur la plage et reconnait aussitôt une silhouette bien familière partir en direction de la ville.

Si je ne restes pas longtemps? Et bien je répondrais en disant que le temps est bien relatif. Nous sommes, mes amies et moi, ici depuis près de sept jours et je dois avouer que ma ville et ma forêt me manquent. Nous partons ce soir avec le plaisir d'avoir visiter votre ville.

Eleanora, je ne doute pas que nous nous reverrons bientôt et avec plaisir à Saintes. l'homme sylvestre que je suis vous salue madame. Flavien s'éloigne en souriant.
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Vulnerant omnes, ultima necat.

Kiliana

Elle n'eut pas besoin de boussole pour retrouver le chemin qui menait à la plage, le lieu de prédilection qui guidait toujours ses pas.
Ses narines reconnaissaient l'odeur du varech, de l'écume, de l'iode. Ses pores absorbaient l'humidité des embruns.

Kiliana dévala prestement quelques rochers qui sortaient du sable détrempé. La marée était en train de baisser.
Une traînée de nuages gris clair dérivait dans le ciel, des oiseaux marins en quête de nourriture tourbillonnaient en l'air.

Et il s'étalait là, devant elle, immense, houleux, capricieux, dangereux, mais fascinant! L'amour de l'océan était viscéral chez Kiliana, une bouée de sauvetage, un horizon, un chant délicat et harmonieux, un appel de l'Autre Monde!
Le gigantisme des falaises la fascinait et la terrorisait à la fois. Elle les avait toujours comparées à des monstres prêts à l'engloutir, à l'écraser! Elle, si petite devant la grandeur et la noblesse de la nature!

La donzelle s'assit, jambes en tailleur, pour profiter du spectacle de l'océan qui léchait la grève, le sable, les roches. L'écume ressemblait à une étoffe blanche précieuse toute froissée. La Pictave sortit ses provisions de sa besace, découpa une tranche de pain, qu'elle mastiqua en contemplant la force inouïe de l'eau.

La quiétude de la plage la rasséréna... Quelle leçon d'humilité pour l'orgueil de l'homme!
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Dany06

Dany était allée de suite sur la plage en arrivant, laissant ses compagnons s’occuper des chevaux. C’est elle qui avait rêver de ce voyage et ils avaient accepté de le faire, heureux de lui faire plaisir, enfin elle le pensait.

Elle savait qu’elle vivait des moments des plus agréables entre celui qui faisait battre son cœur et avait réveillé des tas de sensations qu’elle croyait ne plus vouloir connaître et celui qui était un ami formidable qui l’écoutait et la faisait rire.

La jeune femme enleva bottes et bas avant de marcher sur le sable qu’elle trouva assez froid.
La marée était haute et l’eau pas trop loin. Elle avança juste pour se mouiller le bout des orteils, reculant quand les vagues avançaient, s’amusant à ne pas se faire rattraper.
Elle aimait cette senteur et respira à pleins poumons, heureuse tout simplement.
Elle se mit à courir sur le sable puis s’arrêta brusquement en riant.

Oui la vie était belle et elle s’assit en songeant que pour un bain de minuit, il faisait pas assez chaud mais………les thermes………..Elle s’imagina allongée sur le bord d’un bassin et lui qui la massait avec son huile qui sentait si bon le jasmin et………..elle ferma les yeux, ressentant déjà le plaisir de ses mains.
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Maellynne

Maëll était à peine arrivée à La Rochelle qu'elle s'ennuyait déjà..les tavernes étaient pratiquement toujours vide...et ce du matin au soir,hier elle y était rester deux heures sans que personnes ne franchissent la porte...il en fallait pas moin pour que le moral baisse.;elle qui aimait rire et papoter à tous va..la le coup était rude...

Elle avait décidée en se levant qu'il fallait se changer les idées sinon elle mourait d'ennuie en moin de temps qu'il le faut pour le dire.

Le temps n'etait pas merveilleux mais el fallait qu'elle prenne l'air et qu'elle aille découvrir ce lieu que l'on appelé l'océan.

Elle ne sut décrire ce qu'elle ressentit en le voyant..elle resta immobile quelques instant tellement la beauté du paysage était indescriptible.

Quelques personnes déambulés sur la plage..Maell se trouva un endroit calme ou elle pourrait contempler ce que le lieu lui offrait.. de toute façon elle ne connaissait personne
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Libirou

Libirou posa Raphael sur le sable, un peu lasse de l'avoir porté depuis l'auberge..10mois ça commence à faire pas mal de kilos d'amour et de chair à fossettes.
Le gosse avait adoré la plage les jours précédents, et il en avait profité totalement malgré le froid, complètement subjugué par le bruit de l'océan et les mouettes. Il avait fait des patés de sable, et même poussé par le désir invincible de caresser un chien qui trainait là fait quelques pas chancelants- ses tous premiers- sur le sable . Libi sourit en y repensant, fière de son petit homme.
Elle le laissa jouer près d'elle et fixa l'immensité de l'océan, aspirant l'air marin à pleines narines. Quelle merveille, ces vagues, ce ciel bleu gris, sans limites..Comme une parcelle d'infini et d'éternité, autour d'eux.
Libi se sentait jubiler, et en même emps, elle ne regrettait pas de rentrer ce soir même à Saintes... Sa ville chérie lui manquait dès qu'elle s'éloignait un peu, ses amis, sa forêt profonde, pleine de mystères.
Elle ferma les yeux et se laissa emporter par le bruit du ressac, songeuse.

Boumer

Boumer, pour une fois avait du temps à passer avec ça douce libirou, il profita de ce dernier jour pour aller se balader avec son amour et la voyant admiratif devant son fils et l’océan, resta en retrait pour ne pas lui gâcher ce moment privilégié. Puis il regarda l’océan à son tour et se laissait aller au bruit du ressac.
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Libirou

Libi se retourna , vit Boum assis juste derrière elle et qui restait immobile et calme pour la laisser profiter de ce lieu paradisiaque (sous un soleil assez doux pour un mois de novembre). Elle sourit et prit sa main, le tirant vers elle:
Viens près de moi, mon coeur, je ne t'ai pas beaucoup vu ces jours ci, il est temps de rattraper ça , pour notre dernière après midi ici...

Quand il fut assis près d'elle, elle se mit tout contre lui pour l'embrasser, et - ayant vérifié que Raph jouait tranquillement tout près- posa sa tête sur l'épaule de son amour, heureuse.

Boumer

Boumer la pris dans ses bras, tout en lui caressent les bras, puis lui dépose des tendres bisous dans le cou, tout en profitent de l’océan.

Oui, c’est vrais ça fait un moment que je ne t’es pas vue, tu ma manquer ma puce.
Lui murmure : Je t’aime.
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Cerdanne

Après les plateaux du Rouergue et un passage inodore dans le duché voisin, Cerdanne attendait avec impatience sa rencontre avec la mer...

Pas celle de ses souvenirs brumeux qu'elle enfouissait rageusement au fin fond de sa besace....
Ceux-là….
Douleurs et douceurs...
Couleurs bleutés et argentés se devaient de rester cachés et silencieux…

Non !!
Elle était ici pour la tempête et la rage...
Pour vaincre…
Pour la force des vagues verdâtres aux reflets noirs…
Pour les rochers hérissés….Pour la victoire….

Elle évita soigneusement les amoureux transis ,collés l’un contre l’autre. Ses yeux plissés, scrutaient attentivement l’espace qui s’ouvrait devant elle…
Elle grommela encore et encore, ses pieds frappant rageusement le sable ….
La mer était basse et elle n’était pas ce jour là d’humeur à ramasser les crabes et autres crustacés….

Elle voulait les coques de bois et les voiles qui claquent…..
Elle voulait l’horizon ouvert…….
Elle voulait le vent….

Son regard, vide, ses lèvres étirées par un sourire ironique, elle regardait l’étendue grisâtre et hurla sa déception……
A grandes foulées rageuses, elle parcourut la nappe sableuse et humide et finit par se rendre à l’évidence.
Encore et encore elle se devait d’être patiente …
Encore et encore elle se devait d’attendre…….

Par la force des choses, parce que rien au fond ne la ferait changer d’avis, elle finit par escalader un rocher gardien de la grande bleue.

Quelques caresses du vent plus tard elle retrouvait le sourire et appuyée négligemment contre les roches saillantes, elle se posa en vigile… attendant la marée….
Scrutant l’horizon, la plage désertée….doucement somnolente…

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--Zok

Il avait vadrouillé de ci de là depuis qu'il avait pris de l'avance.
Et tout ça, seul, son le propriétaire de la bête de la sans nom. Depuis, Zok, car c'était bien lui, avait baptisé l'animal.......Inferno. Ben oui quoi, noir comme l'enfer, un caractère pour ainsi dire infernal, le nom c'était imposé de lui même. Bien sûr, le jeune garçon se disait que ça ne plairait pas à l'autre. Mais bon, les absents avaient et ont toujours tort avait il songé.
De plus, l'étalon ne répondait qu'une fois sur deux à ce nom. Il réagissait sans doute à la voix, et faisait à tous les coups en fonction de son humeur.
Toujours était il, que Zok, après son tour en Limousin, avait décidé de faire un détour en Poitou. Avec de la chance ou de la malchance, le drôle de propriétaire d'Inferno serait là.
Dire qu'il pensait voyagé avec lui, et qu'en fin de compte, il s'était retrouvé avec le cheval.
Satané animal ! Satané compagnon de voyage ! Il en avait marre des deux tout en tenant à rester avec eux !

Enfin.....Ce jour, le jeune garçon se retrouvait une fois de plus à la Rochelle. Non qu'il eut envie de découvrir particulièrement ce village. Il se disait que le blafard au nom qui l'amusait tant devait s'y terrer ou admirer la mer. A moins qu'il n'ait fini par se noyer ?! Nan. Impossible que ce dernier finisse de la sorte. Par contre, il y avait de grandes chances qu'il le trouve perdu dans la contemplation de la grande bleue. Aussi cheval et jeune marcheur, se dirigeaient ils d'un bon pas vers cette dernière.

Arrivés à destination, l'animal hennit. Le jeune garçon bailla. Mer calme et ciel......bah ciel juste ciel hein.
Sur le sable quelques silhouettes.......
Il reporta son attention sur la mer et se perdit dans sa contemplation. Pourquoi cette dernière fascinait elle autant ?

Inferno bouscula Zok, naseaux frémissant et oreilles pivotantes, puis piqua un petit galop. Non loin des rochers, il s'arrêta puis lança un bref hennissement. Un appel.....en reconnaissance d'une odeur vaguement familière.....Pas celle de son maître.....
Regard chevalin posé sur la gardienne solitaire.
Pensée chevaline pour son jeune compagnon humain qui se posait des questions métaphysiques sur la mer et sa fascination !

Cerdanne

Elle avait finit par céder à la tentation de la douce chaleur.
Abritée par les rochers, doucement elle s’était enfoncée dans les profondeurs de ses rêves…
Peut-être un des rares moments où son visage s’éclairait d’un vrai sourire ….
Surgissait les temps sucrés et heureux ….les couleurs qui caracolaient ….Les plumes légères, le doux nuage du bonheur.
Le chat qu’elle était, ronronnait sous les rayons caressants.
Elle s’étira dans son sommeil….
Les pointes noires acérées de son lit improvisé lui arrachèrent une grimace…

Immédiatement, elle se redressa, évitant soigneusement un contact trop rugueux sur la paume de ses mains.
Chat toujours…Mains précautionneuses, mains agiles…
Bien évidemment, le regard qui suivit le réveil de la dormeuse fut exempt de douceur bleuté….juste attentif.
Elle soupira après ses rêves envolés et bailla devant l’étendue scintillante.

Les mains volèrent jusqu’à la crinière épaisse que le vent bousculait et elle les enferma rageusement entre ses mains les torsadant nerveusement…

La mer toujours aussi calme continuait sa descente vers d’autres rivages et les diamants que le soleil accrochait sur son dos semblaient la narguer.
Ses yeux bien plus bleus, bien plus clairs qu’elle ne le soupçonnait volèrent de l’écume légère au sable fin, effleurant les silhouettes éparses qui tachetaient de noir l’or posé à ses pieds…
Tignasse enfin dompté contre son épaule, ses mains effleurèrent sa besace au cuir racorni.

Son nez se plissa….Grimaces révélatrices…
Sa besace orpheline appelait son objet fétiche….manquant à l’appel …volé un jour brumeux.
Cerdanne laissa échapper un soupir rageur et ses doigts étreignirent plus fort l’amie de toujours.
Souplement, elle étira sa carcasse, évitant les pièges saillants et bailla à nouveau.
Trop de nuits à battre la campagne, trop de nuits sans sommeil…
Son visage tout à coup se figea, et elle tourna violemment sa tête.

Balayé la natte improvisée…
Bâillement pour d’autres siestes réparatrices …
Le regard agrandit, elle contemplait l’étalon noir comme l’enfer qui doucement l’invitait à dire bonjour…….

Heyyyyyy !!!...

Un sourire spontané illumina son visage, les étoiles s’accrochèrent au bleu du regard….
D’un bond, elle rejoignit le tapis doré et bras tendus, mains ouvertes, caressantes, elle s’avança vers le bel animal…
Tout seul mon ami ???

Plus elle approchait et plus un sentiment de malaise s’emparait d’elle…
Elle le connaissait…ce bel orgueilleux qui se tenait devant elle…
elle l’avait déjà croisé….
Cerdanne ralentit sa marche, tandis que son esprit tentait de comprendre, de trouver….
D’où tu sors toi ???....
Sa voix assourdie lui sembla résonner comme un écho sur toute la plage. Elle stoppa ses pas, toisant l’étalon…..
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Cornelia

Cornélia avait besoin de respirer un peu d'air frais après l'air suffoquant des tavernes, par conséquent, elle se dirigea vers la plage où le vent marin était fort et vivifiant.
Elle retira ses bottes et se mit à marcher pieds nus sur ce sable qui l'étonnait tant tellement il était fin… Elle n'avait jamais rien vu de tel auparavant. À Niort, il n'y avait pas de sable…
Elle profita des vaguelettes fraiches qui faisaient frémir la peau de ses jambes et finalement trouva l'eau tellement agréable qu'elle s'y baigna complètement nue, au clair d'une lune pleine.
Elle ressortit de l'eau, apaisée et revigorée, emplie d'une assurance nouvelle.
Demain, elle repartirait, le cœur plus léger et la volonté plus affutée encore, pleine d'espoir.
Elle se rhabilla rapidement à l'abri des regards et repris la direction de la taverne.

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Cornelia

Levée de bon matin, Cornélia n'était pas très réveillée. Après avoir fait un tour aux crevettes, elle se dirigea vers la plage pour y prendre son bain qui, l'espérait-elle, la réveillerait.
Elle se cacha dans une petite crique à l'abri des regards, se déshabilla et s'immergea dans l'eau froide de l'océan. Le vent était fort et les vagues également, c'est pourquoi elle ne resta pas longtemps.
Elle entreprit de ressortir de l'eau avec le plus de discrétion possible, essora ses longs cheveux de jais et se rhabilla rapidement pour rejoindre ses mais en taverne.

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--Zok

Le bel animal vit la demoiselle au parfum vaguement familier offrir un large sourire. Eut il été humain qu'il en aurait été charmé. Las ou heureusement pour lui, ce n'était qu'un équidé.

Et heureusement fut bel et bien le terme approprié car, cette dernière changeait déjà d'expression.....
La méfiance se lisait sur son beau visage et l'animal renâcla. Les humains et leurs histoires !!!! Ses naseaux frémirent de façon......ironique. Comme quoi tout était possible en ce bas monde !

Pour couronner le tout, voilà qu'elle le questionnait tout en le toisant. Il frappa le sable, et d'autorité nicha sa tête contre la méfiante jeune dame. Il n'y était pour rien lui, si cette dernière ne débordait pas de passion pour son étrange jeune maître. D'ailleurs lui même n'éprouvait que de la sympathie pour ce dernier et pour le jeune Zok.......une affection quasi fraternelle. Du genre de celle qu'un aîné éprouvait pour un petit frère particulièrement agaçant....
Bref maître Inferno était bien au dessus des histoires des hommes.

Il contourna la jeune dame probablement surprise par ses avances, il aimait bien charmer la gente féminine, puis, délicatement, comme il l'eut peut être fait avec un enfant malade, il la poussa dans la direction du jeune Zok. C'est qu'il avait décidé qu'il était temps de former une petite troupe !!!
En conséquence de quoi, sire étalon prenait les choses......en mains ou naseaux. Nous dirons en mains !

Zok pour sa part, emplissait d'air salé ses poumons. Inspiration profonde, puis expiration tout aussi profonde. Bras qui s'élevaient vers le toit de la terre, le ciel, puis qui redescendaient vers le sol......Et ainsi de suite pendant quelques minutes.....
Aération intensive de son être.
Puis, comme s'il était dans son jardin, il se tourna lentement, ses yeux à la recherche de son compère, Inferno. Statufication et non pétrification du jeune garçon. L'étalon, qui devenait une saleté de canasson, poussait dans sa direction une silhouette étrangement familière. La Palôtine de l'épouvantail. Un soupir échappa à Zok.
Il n'avait pas les compétences requises pour tenir un salon de thé, à la différence du propriétaire de la bête sans nom.

Ses poumons, relâchèrent bruyamment l'air qu'ils contenaient....
Les yeux de Zok, jusque là écarquillés reprirent leur apparence normale. Seule leur expression trahissait sa surprise et.....une certaine interrogation. La chasse à l'épouvantail était elle ouverte ?!
Oubliée la grande bleue qui par à coups, venait lui chatouiller les bottes.....
Oublié le sol sur lequel il marchait.
Il n'y avait que la raison de la présence de la dame blanche de son étrange comparse qui l'intéressait. Saurait elle le réveiller ? Le secouer ? Ou au contraire, l'enverrait elle dans les limbes ?

A chaque pas qu'il faisait, Zok s'interrogeait, et c'est un regard tout naturellement interrogateur et curieux qu'il posa sur la jeune femme.
Il se tenait maintenant droit comme un I devant elle, les mains ouvertes, quelque chose d'enfantin dans son attitude, incapable ne pas la dévisager.

Inferno arrêta de diriger la jeune dame, et, de façon on ne peut plus naturel, mit sa tête chevaline entre eux, les regardant à tour de rôle et soufflant allègrement sur les figures.
Zok marmonna un juron, avant d'adresser un regard d'excuse à la dame blanche. Et là, il se reprit. Cette fois, se fut un regard bravache qu'il lui adressa.
Et Inferno de souffler de plus belle. Ces humains......!

Azzarin

Azzarin arrive avec akuya sur la plage et va vers Abbou Doun Corsaire turc grand fort et au regard tres inteligent Abbou duom salut vite son ami en retard

-alors delany en retard dormez tu

Les desux homme rient au millieu du campso qui se dressent les tentes s'elevent les brasseros s'alumment Azzarin salue la plus pars des hommes et femmes presents car ils les connaient tou assez bien

-alors ton voyage Abbou Doun une croisiere?

Abbou doun repondit
-pense tu j'avais posseidon et Eole contre moi heurement je ne me nomme pas Ulysse

Azzarint dit; - Ni Azzarin

les deux hommes rient puis Azzarint donne a Abou doun trois boite de grand papillons de cuivre en echange de bois precieux detoffe d'epice et de manuscrit

Azzarin dit -Merci mais qui va m'aider a transporter tout cela -touil rit a ses propre mot et voit Vladimir et une douzaine d'homme s'avancer Azzarin salut Vladimir son ami marin et mucisien

Vladimir dit alors jours avec akuya

Azzarin reponds
-oui toujours

Azzarint voit Vlad remplir sa bourse en disant -paris gagné!

vladimir demanda
- est elle toujours de si mauvais caractere ta féline

Azzarin voit akuya griffer le sol...

-oui toujours

Les deux hommes rient ensemble Azzarin donne la clef de son atrlier en leur disant a toous que si il sont veloces il restera peu etre du rhum et les regardent partir en accelerant le pas

Abbou doun est Azzarin se dirige la ou la fete bat sont plein les danse les chant et les tour inconnu de se pays s'enchaine et biensur le rhum s'evapore....

puis Abbou Doun donne a Azzarin une pierre precieuse connu sous le nom d'Esuelite celle si semble renfermer une lumiere rouge douce elegeant et tiede

Azzarin regarde l'homme avec des yeux ebahi

-pour moi mais tu sais ce que cela represente c'est la fortune pour tout homme en posedeant une

Abbou doun rit et dit
-l'argent et la gloire nous l'avons tout deux mon ami

Azzarin dit
-on a du rhum aussi

Les deux homme rient et Abbou doum dit
-offre la a celle que tu as choisie

Azzarin ne dit rien penseant a une femme au yeux vert.... la fete se poursuivit longtemps il chanta et rit beacoup avant de quitter ces amis pour travaillier la pierre

Arylis

Arylis n'était charpentier que depuis un temps fort court et ses mains ne s'étaient pas encore habituées à la callosité du bois et aux échardes même si elles appréciaient le contact doux du coeur sous l'écorce. C'était comme lorsque l'on décortique une personne, si la forme est peu avenante, le fond vaut souvent le coup. Bien sûr il y avait les morceaux pourris mais le bois qu'ils leur distribuaient sur le chantier du port était de première qualité et c'était un plaisir de le travailler même si la jeune fille était heureuse que sa journée soit finie.

D'ailleur, une fois libre elle n'avait pu résister à l'envie de voir la mer. Belle mer, jolie eau, grise, bleue ou noire, généreuse ou avare mais jamais stérile, calme ou agitée, joyeuse ou rageuse. Autant d'humeur que l'Homme pouvait avoir, mais tellement plus noble sous ce manteau d'écume au voile de lune. La brunette était donc arrivée devant l'étendue sableuse et était restée plantée là pendant un petit moment. On avait du la prendre pour une simplette tant son air joyeusement hagard devait paraître saugrenue à des habitués de cette belle étendue marine. Mais que croyaient-ils ? Tout le monde ne vivait pas aux abords d'une telle maîtresse. Arylis comprit soudain pourquoi les femmes de marins jalousaient cette drôlesse. Comment résister à ses ondulations, à ses courbes, à ses langoureuses caresses et surtout à son mystère, indéchiffrable, inquiétant, fascinant ...

La jeune fille secoua la tête. Il fallait qu'elle se reprenne sinon elle serait bientôt embarquée sur un bateau quelconque afin de pouvoir défier plus aisément cette puissante concurrente. Faren sur son épaule elle descendit sur la plage et enfonça ses pieds déchaussée dans le sable avec un gloussement de joie.

Tu devrais essayer mon mignon, c'est amusant !

L'écureuil la regarda avec cet air qui semblait dire : "Je suis un écureuil moi ... Ce genre de choses ne me regarde pas !" Elle lui sourit, frotta son nez contre le sien et l'animal accepta la caresse avec un plaisir évident. Puis la brunette reprit son exploration. Laissant glisser le sable entre ses orteils, ramassant le moindre coquillage, elle finit par arriver au bord de l'eau. Après l'avoir observer un moment la jeune fille décida qu'elle pouvait s'y risquer, tant pis pour le rhume !

L'eau se mit à gicler autour d'Arylis lorsqu'elle se mit à courir sur la langue des vagues. Elle riait à plein poumons, faisant le plein à la fois de bon air et de légèreté, de solitude et d'isolement. Ses soucis s'envolaient ainsi que les récentes déconvenues, les inquiétudes du futur et les tracas quotidiens. Ne restaient qu'une joie enfantine et délicieuse, le plaisir d'un souvenir d'enfant qui renaît ...
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Mademoiselle

Ça faisait une bonne quinzaine que la demoiselle était arrivée à La Rochelle. Pas une fois elle ne s'était aventurée sur la plage, et c'était pour ce soir. La nuit faisait comme résonner le bruit des vagues, ce son enivrant lui fit poser fesses à terre. Le sable était glacé, qu'importe, la magie de l'instant la plongeait irrésistiblement dans ses pensées, elle n'en pouvait plus se relever.

Recroquevillée sur elle même, Léna manqua basculer en attrapant sa petite bouteille de Cognac qu'elle cachait quelque part sous ses jupes. Elle jeta un coup d'œil alentour, elle ne voulait pas passer pour une soiffarde et discrètement s'en envoya une lichette, pour se réchauffer...

Santé à moi *hips*...

Elle était venue pour aider à la construction du fameux port, elle avait trouvé la ville terriblement ennuyeuse, passant de longs moments en taverne, seule, à compter les bulles qui remontaient du fond de ses choppes... 1... 24... 122... puis, c'est arrivé... des rencontres, de drôles de rencontres... et sans savoir comment ni pourquoi, elle n'avait plus envie de rentrer.
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Cornelia

Cornélia profita de cette courte journée à La Rochelle pour aller faire un petit tour à la plage.
Elle savait qu'elle ne reverrai pas la mer avant un long moment et se dit que ce serait l'occasion ou jamais pour profiter une dernière fois d'un petit bain revigorant.
Elle essaya de trouver un coin tranquille où elle ne serait pas dérangée, regarda autour d'elle et comme elle ne vit personne, se déshabilla et entra dans l'eau.
Comme l'eau était froide, elle s'immergea complètement, en une seule fois, pour ne pas se laisser le temps de souffrir de la morsure de la fraîcheur de l'eau.
Elle ne resta pas longtemps, car malgré ce temps improbable, il y avait tout de même du monde aux alentours.
Elle sortit rapidement de l'eau, se rhabilla prestement sans attendre d'avoir séché et retourna vers la ville, espérant trouver en taverne, le confort d'un bon feu et d'une bonne bière.

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Enguerranddevaisneau

En ce mois de décembre qui venait juste de commencer, le soleil se couchait tôt et l'air était frais et venteux. Enguerrand avait traîné son seau derrière lui depuis la taverne où il était venu à l'origine pour surveiller sa soeur. Son outil était lourd mais ce n'était rien à côté de ce qui l'attendait pour le chemin du retour.

Le jeune Vaisneau avait refermé son veston pour se proteger du froid et traversa les rues en courant. Peut être avait il bousculé quelques personnes au passage, mais parfois il n'était pas de ceux qui faisait attention aux autres. Il arriva rapidement sur la plage, avec toute l'energie de son jeune âge.

Enguerrand alla se mettre en plein milieu de la plage et se laissa tomber lourdement sur les fesses. Il aimait bien la plage, le sable était fin et agréable au toucher, et le son de la mer le berçait dans ses rêveries. Lentement, le jeune homme s'affaira à sa tache et de ses deux mains commença à remplir son seau.

Au passage, Enguerrand filtrait les coquillages qui passaient entre ses mains, séléctionnant les plus beaux et jetant les autres au loin. Sur le moment, il se demandait comment il ferait pour amener la mer, parce que la plage sans la mer ce n'est pas la plage.
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Est-ce un fléau ?! Est-ce un démon ?! Non, c'est Enguerrand !

Kiliana

Son refuge... Son pèlerinage... Désir de communier avec les forces du cosmos... Besoin de ressentir sa force! L'océan, à perte de vue, s'étendait devant elle.

L'horizon était sombre: on aurait dit que le ciel se noyait dans l'eau aux reflets grisâtres, ou que l'eau étirait ses lèvres écumeuses pour embrasser la voûte céleste.

Kiliana respira profondément pour absorber toute l'énergie iodée que l'océan partageait généreusement. Elle offrit son visage aux embruns salés, laissa ses cheveux danser avec le vent qui soufflait. Elle ferma les yeux, pour profiter pleinement de ce moment intense où elle se régénérait, où la sérénité cohabitait avec la pugnacité.

Elle ouvrit de nouveau les yeux pour regarder la digue qui avait été construite, plus loin. Une sorte de tentacule géant qui voulait saisir les bateaux qui allaient accoster. Songeuse, elle se rappelait ce que lui avait dit son ami Sha, quelques mois auparavant... Et s'il y avait un autre monde, là-bas, derrière la ligne d'horizon? Qui aurait l'audace d'aller savoir?

Kil sourit... Un gamin s'amusait à ramasser des coquillages... Des oiseaux marins laissaient les empreintes de leurs pattes palmées sur le sable humide.
Elle frictionna ses bras, l'air était frisquet... Mais elle s'assit pour profiter du spectacle océanique. Et elle avait avec elle sa meilleure amie... Sa chopine de bière...
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Mimidu973

Elle était là, trainant sur la plage. Il était plus d'1 heure du matin.Elle devait se rendre ici, pour se ressourcer, comme pour y reprendre force et courage.Elle s'approcha de la mer agitée, elle avait l'impression qu'elle aurait même pût l'avaler.Pourtant elle s'approcha, puis y trempa la pointe de son pied.Elle était froide et douce.Mimi s'asseya au bord de la mer.Elle la contemplait venir frapper ses jambes et glisser pour s'en éloigner.Mimi pencha alors le montant vers le ciel.En un soir d'hiver, il était d'une splendeur!
Puis elle s'y coucha completement.La mer l'aspirait peut a peut.Mais elle voulait contempler les étoiles, comment...mieux que ça...
Elle resta 5 minutes jusqu'à ce qu'elle reprit ses esprits et vu qu'elle s'éloignait de la rive.Elle sortit de l'eau, s'assied sur le sable sur la rive cette fois-ci, et continua à regarde cette mer, ce vide profond, loin, absorbant...
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Darkking56

King et Sedryn bravaient le froid qui les caressait. La première direction à prendre était la plage. Ils s'installèrent tranquillement, King prenant Sedryn sur ses genoux.

Tu te rappelle ma fille, quand nous étions venu. Observe l'horizon, imagine ce qu'il peut y avoir l'autre coté de cette ligne qui se dessine entre la mer et le ciel.
Imagine qu'on autre monde nous attend peut-être, une nouvelle vie nous ouvre ses bras. Observe ces oiseaux, qui volent et s'amusent dans le ciel.

King ne put s'empêcher de repenser à son amie qui a vécue ses derniers jours ici puis resta silencieux.
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--Sedryn

Elle le suivait, ne voulant pas le lâcher une seule seconde. Elle voulait le retrouver, retrouver celui qui avait fait chaviré le cœur de sa mère, celui qui faisait rigoler tout le monde en taverne, celui qui était apprécié par toutes les classes sociales que ça soit le simple gueux ou le Noble-Comte.
Mais ce n'était pas chose facile. Elle le tenait donc fermement dans la main et le suivi jusqu'à la plage. Elle avait apprécié cet endroit lors de sa première visite. Mais elle était encore plus émerveillé de revoir cette mer à perte de vue.

Elle s'installa sur les genoux de son père, sur la plage et l'écouta attentivement. Elle sentit une certaine émotion dans sa voix à la fin puis se retourna et le serra dans ses bras.
Mais en se retournant, elle aperçu une silhouette pas étrangère.

Papa, c'est...MAMY!!!

Elle se leva en vitesse et couru dans le sable en direction de celle qui remplaçait sa mère...

Kiliana

Kiliana appréciait la quiétude qui l'entourait. Quelques pêcheurs, au loin, tiraient les derniers filets.
Elle s'était assise et avait ramené ses genoux sous son menton.

Papa, c'est...MAMY!!!

La donzelle mit ses mains en visière, plissa ses yeux, et chercha partout du regard une femme sénile, ridée comme une fleur fanée, pliée vers le sable, marchand avec un bâton... Point de vieille dame à l'horizon...

Elle entendit une course folle derrière elle... Kil comprit... Cela ne pouvait être que Sedryn. Elle se redressa promptement, et accueillit la fillette dans ses bras, en la faisant tournoyer. Elle l'embrassa sur les joues rosies par l'air frais, ébouriffa sa chevelure blonde.
Elle releva les yeux, et fit un signe à son fils pour qu'il approchât.
Tandis que King marchait vers elles, la Pictave regarda Sedryn d'un air faussement en colère.

- Rhoooooo Sedryn!! Ne m'appelle pas mamy s'il te plaît! Tu sais bien que les grand-mères sont de très vieilles dames! Regarde-moi! J'suis toute jeune! Bah vi, ça conserve bien la bière...

Kil fit un clin d'oeil à la petite, et lui prit la main.
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Darkking56

King était surpris du départ brutale de sa fille. Mais quand il vit sa mère assise quelques mètres plus loin, il comprit l'enthousiaste de sa petite.
Cela faisait un moment qu'elles se cherchaient, ses deux femmes de sa vie. Il se leva donc et les rejoignit tranquillement laissant les deux princesses se retrouver.
C'est pour cela qu'il appréciait ce genre de voyage. Voir le bonheur refléter dans les yeux des personnes qu'il aimait.

Puis alors que sa mère avait l'air de gronder gentiment sa fille, il entendit la fin de sa phrase :

...Bah vi, ça conserve bien la bière...

King eu un sourire et rétorqua à sa mère :

Oui je confirme! Et si la bière conserve bien alors tu sera conservée très très longtemps!

King pris sa mère dans les bras, la serrant très fort attendant ce moment depuis longtemps. Cela ne faisait que quelques jours qu'ils étaient séparés mais pour lui, ça faisait une éternité.
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--Sedryn

Sedryn sauta dans les bras de sa mamy, se fit embrasser et embrassa à son tour. C'est qu'elle aimait les gestes tendre de Kiliana. Mais Kil la regarda un instant et sortit une phrase avec un air colérique :

- Rhoooooo Sedryn!! Ne m'appelle pas mamy s'il te plaît! Tu sais bien que les grand-mères sont de très vieilles dames! Regarde-moi! J'suis toute jeune! Bah vi, ça conserve bien la bière...

- M'en fou moi des autres dames. Toi tu es ma mamy et c'est tout! Les zens peuvent dire ce qu'ils veulent ça ne changera rien!

Elle lui sourit et vit son père arriver, et le laissa profiter de sa mère. Elle était tellement heureuse de le sourire, cela était tellement rare. Elle se faufila donc entre eux deux afin de profiter de cette chaleur...

Tutia90

Tutia sortait de la taverne pour retourner dans sa petite maison lorsqu'elle décida de se rendre sur la plage. La nuit était fraîche mais le ciel rempli d'étoiles elle marcha un long moment le long de la mer sur la plage écoutant les vagues et les chants des oiseaux de la nuit, offrant son visage à la douce brise. Puis elle s'arrêta, fit un feu comme lui avait appris Alto, le dernier soir qu'il avait passé à La Rochelle. Elle ramassa du petits bois puis creusa un trou dans le sable et y alluma son feu. S'asseyant tout près elle offrit ses mains à la douce chaleur qui en émanait. Puis elle chantonna une berceuse :

Douce étoile d'été, pourquoi es tu rouge
Mes nuits, sont remplies, de rêves nostalgiques,
Belle étoile qu'as tu fait de la vie ?
Moi je suis triste, et je pleure ...

S'appuyant ensuite sur une butte de sable elle mit une couverture sur elle et s'endormit la tête tournée vers les étoiles.
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Kiliana

Kiliana serra aussi tendrement son fils adoptif dans ses bras, le seul homme qu'elle ne quitterait jamais. Un amour indicible, aussi fort que l'océan, liait ses deux êtres au tempérament pourtant fougueux. Irascibles et entêtés comme des mules, ils s'étaient trouvés, appréciés, disputés, réconciliés, amusés, cuités. Ils avaient ri, pleuré, crié, joué, défié, chanté ensemble. Un destin main dans la main.

Un fils, une mère, des malheurs, des bonheurs, mais un même coeur pour affronter l'adversité. Et tous les deux étaient venus à La Rochelle pour retrouver une communion originelle avec l'énergie qu'insufflait l'océan, la pugnacité qui défiait les frontières, les sensations qui transportaient l'âme.

Kiliana caressait la nuque de son fils quand tous deux sentirent le petit corps de Sedryn se lotir entre eux. La Pictave sourit, et s'accroupit.

- Ma p'tite fillote! Je sais que tu es heureuse de nous voir réunis tous les trois, et de courir sur la plage! Mais regarde! Les étoiles brillent dans le ciel! Cela veut dire que Lug est parti se coucher! Ce que nous allons faire, petite fille!

Sedryn fit la moue...

- Et demain, promis, nous allons pêcher sur le lac!!
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[RP] La plage