Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 22, 23, 24, ..., 36, 37, 38   >   >>

[RP] La plage

Divination
Main dans la main Divine et Vespuci traversèrent la ville accompagné de Pompon.

Pompon était le chiot d'Armanté un ami.

Ils en avaient la garde jusqu'à ce que son maître soit prêt pour le recevoir.

C'est un chiot espiègle qui adore vandaliser la cuisine des tavernes.




C'est un St Hubert, idéal pour la chasse aux sangliers.

Pompon courrait au devant d'eux heureux et sautillant.

Vespuci accompagna Divine jusqu'à la plage.

Le soleil se couchait, c'était une vision des plus romantiques qui s'offrait à eux.




Pompon courrait sur la plage.

Vespuci et Divine lové l'un contre l'autre, assis sur le sable, contemplaient le paysage merveilleux du soleil couchant sur la mer.


Dieu, que c'est beau !

dit elle

Soudain elle eu une idée, elle dessina lentement un coeur sur le sable, à l'intention de son bien aimé.



Elle le regarda en souriant.

Ils restèrent là, un bon moment, s'embrassant et se câlinant, transi d'amour.


Qu'est ce que tu dirais d'un bain mon ange ??

Le regard de Vespuci suffit à lui répondre.

La plage était déserte.

Ils se déshabillèrent et main dans la main allèrent vers la mer........


Lionreg
Lion d'un coup repris ces esprits

"Allons sur les rocs la bas nous allons peu être pouvoir trouver a manger "

Il la pris par la main et ils descendirent la plage pour arriver prés de rochers qui ce découvraient petit a petit avec la marée .
Lion s'approcha d'une petite mare ,des crevettes batifolaient prés d'une anémone , un crabe la sous une algue se cachait de notre regard
et ici dans le sable deux petit trous ,l'un a cote de l'autre .

"regarde ... ce doit être une palourde ."

il chercha de quoi creuser

"cette coquille d'huitre fera très bien l'affaire"

il creusa délicatement le sable et un petit bivalve apparue

"C'en est une "

il pris son couteaux inséra la lame entre les deux coquilles et d'un geste sur l'ouvrit en deux, il racla le fond du coquillage pour présenter a sa douce une boucher bien appétissante .

"goute tu m'en diras des nouvelles et si tu aimes j'en ramasserai d'autres"

Veg gobât l'animal d'un trait ,grimaça un peu.
Puis son visage s' éclaircie, comme pour lui montrer son approbation ,Lion répondit par un sourire.

" un peu salé n'est ce pas mais tellement bon "
"si tu veux,je peux en ramasser d'autres "

n'attendant pas la réponse de sa belle ,il releva sa braie jusqu'au genou
avançant courbé, le nez au ras du sable, pour mieux repérer les petites trouées.Ici une autre et la, aussi, bientôt il en avait plein les mains .
Jouant a l'équilibriste sur des rochers glissants d'algues humides il s'amusait d'avoir pu mettre en œuvre les récits du coin du feu qu'avait bien voulu lui conter son grand père.
Quand tout a coup croyant avoir affaire a une palourde inoffensive ,Lion se retrouva le doigt pris entre les pinces d'un crabe enfoui sous le sable et qui lui ne l'entendait pas de la même oreille .
Il avait beau secouer sa main, bouger le bras, la vil bête ne lâchait pas prise .Sautant ,courant ,hurlant aussi un peu Lion glissa et tomba dans une des petites mares qu'il avait fréquenté quelques minutes auparavant .Trempé qu'il était ,les palourdes envolées dans la bagarre ,et le crabe volatilisé !!!!!!
Veg qui n'avait pas loupé une seconde de la scène n'en finissait plus de rire
Lion lui penaud restait le derrière dans l'onde le doigt gonflé et le ventre creux .

"Nous allons devoir acheter nos provisions "

Veg était assise sur le sable ,continuait de rire ,ne pouvait plus s'arrêter.
Lion regagna le sable sec ,enleva sa braie pour l'étreindre et la posa sur le sable chaud en espérant que le soleil soit généreux
il contemplait son index qu'il aurait pu appeler pouce maintenant .
Puis s'allongea un moment pour se remettre de ces émotions.
Vegaz
Rien ne pourrait en cet instant interrompre ce moment, pas une pensée, pas un bruit, rien ils étaient seuls là au milieu de nulle part, plus rien ne comptait. Se laissant envahir par se bien être.

Une étreinte passionnelle avait envahi deux être, impossible de lutter contre un plaisir partagé.

Les corps qui ce mélange, le temps qui s'arrête, plus rien n'existe, ils sont deux unis à la nature mais ils ne font plus qu'un.

Leurs lèvres s'unissent, leurs corps s'animent dans une danse maléfique, ensemble ils atteindront le passage les menant à l'extase, ensemble ils resteront longuement là, dans les bras l'un de l'autre, sans un mot.
Fransdunord
Frans etait arrivé le matin meme acocmpagné par pas mal de monde et surtout, il était resté proche de Resca durant le voyage, pour qu'ils se protegent mutuellement.

Apres manger, ils allerent tout deux vers la plage et marchérent sur le sable. Ils rirent quand ils virent un couple nu marcher dans l'eau... Cela lui donna des idées...


Tu te souviens, que tu voulais m'emmener la bas

Il montrait a Resca un point loin dans la mer

DOmmage que l'on n'ait pas de barque... on se serait isolés de tout

Il l'embrassa en souriant et ils continuérent leur chemin
_________________
Rescator
après une nuit dans la campagne et a la belle étoile, Resca accompagna Frans pour une longue promenade sur la très belle plage Rochelaise.

Même, si leur séjour n'était pas lié aux vacances, il savouraient de se retrouver seul sur le rivage.....
La main dans la main, il courraient dans les petites vagues qui s'échouaient....
Il y avait le ciel, le soleil et leur amour...


" On pourrait revenir pour un bain de minuit"....
_________________
Bikko
Sortant de la taverne les deux amoureux allait prendre une marche
main dans la main sur le bord de la mer," silencieux" , écoutant le son
des vague arrivé sur la plage tout les deux se sentais bien mais bien
silencieux, puis ils s arretèrent se regardand dans les yeux et entrèrent
dans leau puis...



Anggy
Muze,Toine et Anggy arriverent a la plage
elles installerent Toine sur la plage et se mirent assises pres de lui
Anggy s amusa avec toine
-tu sais muze je seraiis heureuse quand ma ptite graine seras la parceque avec les chaleurs qui vont commence je vais souffir
mais j ai une angoise de ne pas savoir m en n occupe comme il faut
anggy se coucha dans le sable et ecouta muze
mais elle s endormit bien vite au soleil
Hoffmann
Hoffmann arriva a La Rochelle est vit cette belle plage, il s'installa dans le sable noirci pas la nuit et se mit a réfléchir, de tout et de n'importe quoi, il s'endormis... Il se réveilla brusquement sur le cauchemar vécu a Saumur lors de la guerre... Il ne pouvait plus dormir et se mis donc a nouveau en marche...
Jerlac
La plage...Jerlac en rêvait depuis son déménagement pour Saintes. Bien qu'elle aimât profondément la forêt, la mer avait le pouvoir de l'hypnotiser..

Pourtant l'endroit ne recèlait pas que des bons souvenirs, loin s'en fallait..Mais la fascination qu'exerçaient sur elle les vagues s'échouant sur le rivage était tant indéfinissable qu'inexplicable..

Elle marcha donc de longues minutes sur l'estran, s'amusant à dessiner de la pointe des pieds des arabesques qui n'étaient pas sans rappeler les dessins tracés sur le corps de Verne..

Elle était bien..seule, elle pensait à tout ce que la vie lui avait offert depuis son arrivée à Saintes. Son installation à la Rochelle, lorsque pleine d'enthousiasme et de projets elle était venue s'y installer pour... Non, ces souvenirs appartenaient au passé et les fantômes n'aimaient pas être dérangés..

Des aboiements joyeux vinrent à point nommé la tirer de ses tristes souvenirs.. Weillin! il fonçait sur elle, oreilles au vent.. Jerlac ne peut s'empêcher de rire..


Weillin attention! tu vas me faire....


Trop tard! Jerlac était allongée dans le sable mouillé , Weillin, toujours aussi joueur l'empêchant de se relever.. Elle riait à présent de bon coeur.. qu'attendait-elle donc d'autre de la vie? le bonheur était là, à portée de main, et elle s'obstinait à ne pas le voir.. Il portait pour noms Verne et Weillin...

Elle en était certaine à présent.. son avenir était auprès d'eux...

D'un bond, elle fut sur pieds. Elle courut vers la plage sans que Weillin ne comprenne raiment la raison d'un tel empressement.. Mais, il fallait qu'elle voit Verne, là, tout de suite..Elle lui avait fait de la peine, avait manqué de le perdre.. Il lui fallait réparer pendant qu'il était encore temps.. Vite, vite...elle n'avait plus de temps à perdre...

_________________
Vernevaux
Jerlac, Verne et Weillin passèrent à nouveau la nuit sur la plage, la nuit était douce, et la lune claire, ce qui était propice à une baignade nocturne.
Jerlac en avait vraiment envie, aussi , bien que Verne n’aimât pas trop la mer qu’il trouvait inquiétante, il accepta tout de même de se baigner, mais pas trop longtemps car il ne fallait tout de même pas tenter le diable, plus la baignade se prolongerait, plus ils risqueraient de se faire happer par on ne sait quelle créature marine…

Verne ne manqua pas de regarder Jerlac déposer avec grâce ses vêtements sur le sable ; ce spectacle le mettait en joie car la lumière blafarde de la lune ne laissait deviner guère plus que sa silhouette, soulignant les courbes élégantes de son corps mises en valeur par le ciel uniforme et le sol lisse et plat ; elle lui faisait penser à une statue magnifique issue d’une ville engloutie, déposée là par la mer, et qui aurait pris vie dans un rayon lunaire argenté.


Que ma douce amie est belle ! pensa t il…

En cet instant il se sentit consumé par l’amour qu’il lui portait.
Lorsqu’elle lui tendit la main, il s’approcha et ils se dirigèrent ensemble vers les flots.

Ils ne s’éloignèrent guère, Verne préférant sentir ses pieds au contact du sol, cependant ils jouèrent en compagnie de Weillin, rirent, et s’enlacèrent tendrement, serrés l’un contre l’autre leurs regards plongeant l’un dans l’autre, écoutant le doux bruit des vagues.
Puis ils revinrent sur le sable, profitant de cette nuit splendide pour oublier les tumultes de la veille, parlant longuement, imaginant toutes sortes de créatures dans les ombres et les étoiles, puis s’offrant l’un à l’autre dans une vague de bonheur…
L’amour qu’ils avaient l’un pour l’autre était pur et sans limites.

_________________
Jerlac
Jerlac avait retrouvé Verne et avait enfin laissé parler son coeur..

A présent ils étaient là, tous les deux et elle ne pouvait détacher sonregard de l'homme endormi près d'elle. Les mots d'amour prononcés par son mari résonnaient encore dans sa tête, l'empêchant de trouver le sommeil...


Il venait de lui faire la plus merveilleuse des demandes...

Elle se leva, se dirigea vers l'océan, là où les vagues viennent mourir pour renaître de plus belle. Cette métaphore la fit sourire.. son coeur , transporté d'allégresse, battait plus fort que jamais..

Elle fit quelques pas ..tout était calme, serein.. la lune éclairait de son halo blafard la surface de l'eau. Elle leva la tête en direction des étoiles , témoins muets de son bonheur..

Elle retourna enfin auprès de Verne, dont le visage apaisé la combla.
Il souriait en dormant.. S'allongeant contre lui, elle se sentit protégée.
Il saurait veiller sur elle et cette douce pensée lui permit de se laisser glisser dans les arcanes du sommeil...

_________________
Vanupied
Après plusieurs escales, Vanupied et Kris étaient enfin arrivés à La Rochelle. Kris dormait encore à poings fermés.

Vanupied ne tenait plus, elle avait trop envie d’admirer la mer au petit matin.
Elle arrive sur cette plage magnifique, enlève ses chausses et savoure la texture du sable sous ses pieds, fait quelques pas et s’assoit.

Les yeux rivés vers l’infini, ses mains jouent avec le sable encore frais.
Quel bonheur de se retrouver ici.

Vanupied est impatiente de partager ses instants avec son Prince, il va sans doute la rejoindre.

Tranquillement elle enlève ses vêtements, et va se baigner.

Bon sang ! elle est froide !

Mais irrésistiblement Vanupied se jette dans l’eau et nage paisiblement profitant de cette immensité pour elle seule.
_________________
Princekris
En se réveillant, Kris trouve le mot de Vanu.
Il sourit.
Kris part en direction de la plage.
Une large bande de sable, personne à part une dame en train de nager.
Kris remarque les affaires de Vanu , s assoit à côté et regarde sa naïade profiter de l océan.
Sacha
[Un autre coin que les voisins du dessus ]

L'océan... comment faire un passage à La Rochelle sans aller voir la mer ? Quand ce n'était pas les habitants qui vous conseillaient d'aller la voir, d'ailleurs il semblait à les entendre que c'était le seul lieu digne d'intérêt, elle se rappelait d'elle même à l'odeur iodé qui envahissait la ville par moment, le bruit des vagues qui éclatait dans un silence qu'on guettait, le sable qui se répandait au gré du vent dans les rues proches de la plage.

Allons donc voir ces eaux mouvantes avait donc fini par décider la jeune fille, ce n'était pas la première fois qu'elle y allait mais bon, de toutes façons pour le moment, elle n'avait pas grand chose de mieux à faire. Toujous pas la moindre nouvelle de son très cher père. Elle en aurait fini par croire qu'il était mort si une pareille nouvelle n'était pas du genre à créer un grand fracas reconnaissable de loin dans tout le comté. Et puis elle l'avait elle-même aperçue pendant les élections. Elles devaient être prenantes à un point formidable ces élections pour qu'il n'ait pas même trouvé le temps d'envoyer son valeureux secrétaire affronter les foudres de sa fille. "Pourquoi grand dieu, mais pourquoi suis-je venue ?" se demanda-t-elle pour le millionième fois en se laissant tomber sur le sable.

Les genoux ramenés vers elle, les bras passés autour de ses jambes, le regard perdu dans les vagues. La mer... oui, c'était joli. Dire qu'elle avait vu le jour ici, quelque part en La Rochelle. Dire qu'elle sentait autant de lien avec cette ville qui l'avait vu naitre qu'un poisson n'en aurait avec une forêt. Trop de temps, trop d'attente, tourner en rond, se demander comment s'en sortait Naud, si les autres avaient réussi à passer dans le Nord, s'inquiéter pour toutes ces personnes auxquelles il ne fallait pas s'attacher, pas trop du moins, le moins possible. Un lion en cage dont les barreaux invisibles prenaient la forme de courriers non envoyés. S'entrainer, manger, dormir, trainer en taverne, et recommencer le tout.

Agacée, Sacha se laissa tomber en arrière pour s'allonger sur le sable. Avec un soupire, elle croisa les bras sous sa tête en fermant les yeux. La seule bonne chose était ce baptème qui allait pouvoir se faire, enfin. Un léger froncement de sourcils, une question, une incompréhension. Cela faisait longtemps maintenant qu'elle imaginait cet évênement, elle s'y était toujours vu seule, idée qui était loin de lui déplaire, peut-être même la rassurait, une affaire entre elle et le Très-Haut. Alors pourquoi lui avoir demandé ? Le prètre avait bien rappelé que ce n'était pas une nécessité absolue et pourtant, une inspiration subite, même trop rapide pour que sa tête n'ait le temps d'analyser ce qu'elle était entrain de dire, et elle lui avait demander. Il n'était même pas certain que la chose se fasse de toutes façons. L'idée pour être déconcertante n'en était pas pour autant déplaisante mais... pourquoi ? Les rayons du soleil continuaient à caresser son visage tandis que la jeune fille partait à la recherche d'une explication qui pourrait éventuellement légitimer ce brusque et surprenant revirement dans ses habitudes.

_________________
Divination
Divination avait rencontré Messir Cloviz dans une taverne.

Elle l'avait tout de suite trouvée sympathique.

D'une grande élégance, une infinie gentillesse dans le regard.

Alors qu'elle prenait sa tisane, il lui proposa une balade à cheval sur la plage.

Ne se tenant plus de joie, elle accepta l'invitation.

Ayant une affaire à régler avant, elle vint le rejoindre.

Il l'attendait, sur son cheval d'un blanc immaculé.

Un rêve, ils étaient magnifiques l'un comme l'autre.

Elle s'approcha timidement de Cloviz


Excusez moi de vous avoir fait attendre !!
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 22, 23, 24, ..., 36, 37, 38   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)