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[RP] La plage

Mimidu973
C'était surement la dernière fois que Mimi viendrait sur la plage...Sa allait lui manquer beaucoup...Elle était assise,là, sur le sable doré par la lune, regardant la mer et son horizon obscur.Elle était assise, là, elle pensait à la nouvelle vie qui l'attendait tout en regrettant déjà l'ancienne...
Elle commença à verser des larmes pour ses amis de la Rochelle: Coralie, elle l'aimait tant et elle allait vraiment lui manquer, Bici, ta cocotte ne t'oubliera jamais c'est promis, je reviendrais vous voir!Tutia, ooh tutia tu vas tellement me manquer, et nos nuits nocturnes a deux en tavernes...
Tyty tu vas me manque beaucoup toi aussi, un très gentil ami, appart le coup de l'abreuvoir...
mais tous ces souvenirs seront gravés à jamais en ma mémoire...A présent une nouvelle vie l'attendait...
Mimi observait la lune d'un air réfléchit...Puis elle reposa son regard sur l'orizon...avec un air angoissé, malheureux, heureux...Mais qu'étais ce sentiment?
Elle partait bientôt, vendredi, ce vendredi.Elle n'avait pas encore vu Coralie et elle angoissait affreusement.Il fallait qu'elle voit aussi Tutia,Bici....pour les serrer fort contre elle une dernière fois avant son départ...
Mimi ne savait plus quoi penser plus quoi faire...Elle s'allongea sur le sable en contemplant le ciel...en contemplant les étoiles...Malgré qu'elle voyait flouà cause de ses larmes abondantes, elle afficha un sourir perspicasse...
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Sandy
C'est le coeur léger et bondissant que Sandy regarda au loin l'horizon...
Elle le voyait... Lui qui l'avait appelé depuis si longtemps..
L'océan...
Elle avançait tout doucement comme si elle allait rejoindre son amant pour la 1ère fois en cachette..
Quand elle vit cette immensité, ses yeux s'écarquillèrent admirant la beauté de l'endroit...
Elle enleva ses semelles et mit les pieds dans le sable fin..
Un instant de bonheur envahir son corps, le coeur de l'océan lui donnant son énergie.. Elle ferma les yeux quelques instant puis les rouvrit en regardant l'océan..
Elle sourit et courut à toute vitesse en direction de l'océan..
Ce n'était pas dans ses habitudes de prendre des coups de folie comme celui-ci mais à ce moment même elle n'avait aucune honte à le faire...
Elle courut aussi vite qu'elle le pouvait et se donna à l'océan entièrement...
Elle remonta à la surface et rit aux éclats..
Elle l'avait fait... elle était dans cet eau divine.. cette immensité.. jamais elle ne verrait un aussi beau spectacle que celui du soleil se couchant sur l'océan..

Caressant l'eau de ses paumes de main, elle fit un sourire rêveur se sentant dans son élément... comme si elle était chez elle...
Quelle drole d'impression... Elle se sentait.. une autre Sandy...
Sans peur... sans crainte... sans soucis.. Juste le sourire d'être ici... Juste le bonheur de vivre et de croire en l'avenir..

Elle rit sans savoir pourquoi... elle aimait être ici... elle aimait sentir l'eau la caresser et le vent s'enfouir dans ses cheveux mouillés..
Elle alla au bord de l'eau juste assez proche de l'océan pour que les vagues puisse se glisser sous elle..
Elle s'allongea et ferma les yeux, le sourire aux lèvres..
Elle respira la bonheur et le plaisir d'être ici.. Elle va surement y restes des heures..

"Je ne serai plus jamais la même.." pensa-t-elle

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Helrad
Ces vagues, c’était toute son enfance. Assis sur une dune à quelques mètres de l’eau, Halred scrutait l’océan. L’immensité d’un territoire qu’il n’avait que trop peu connu. Un territoire qui, alors qu’il n’était qu’un enfant, l’avait accueilli sans jamais le rejeter une seule fois. Il y avait des tempêtes, il y avait des marées. Mais l’océan restait le même, immense et puissant. Continuant à regarder à loin, le jeune homme repensait aux quelques années qu’il avait eu la chance de vivre et ce malgré toutes ses tristes péripéties. La vie des bas-fonds de La Rochelle. Il n’en gardait aucune tristesse, aucune séquelle grave. Il y avait fait ses armes et était devenu l’homme qu’il était grâce à ces quartiers délabrés.

Le poitevin n’enviait pas les riches, il ne l’avait jamais fait d’ailleurs. Comme tout un chacun, il se demandait parfois pourquoi le destin avait-il voulu que la galle attaque sa mère plutôt que celle d’un autre. Mais toutes les questions n’avaient pas de réponses, ou alors des réponses qu’il ne voulait pas attendre. Le hasard, la faute à pas-de-chance comme on dit… C’était sûrement la seule explication, de toute manière. Sa mère était morte de la galle et lui avait dû se débrouiller en mendiant, volant, jusqu’à ce qu’un marin suffisamment culotté le prenne sous son aile avant de mourir à son tour pendant une tempête. Un homme à la mer, qu’ils disaient… On l’a jamais retrouvé.

C’était la vie. La sienne.

Il soupira, sans aucune tristesse. C’était simplement un soupir d’aise et de mélancolie. L’époque où il se trouvait sur ce bateau et durant laquelle on lui avait brièvement appris à se repérer par rapport aux astres. Apprentissage infructueux. Les étoiles étaient toutes les mêmes, et leurs positions n’avaient jamais été suffisamment différentes les unes des autres pour qu’Halred puisse s’en souvenir. On lui avait appris à lire, aussi, c’était rare chez les marins mais les lettres, elles, étaient faciles à retenir. Les sons aussi, même si ça restait toujours difficile pour lui de lire à haute voix par crainte de se tromper. Des complexes d’enfant timide, voilà tout.

Du haut de ses vingt et un an, pourtant, les choses ne changeaient pas. La vie était la même. Il était toujours aussi pauvre, toujours aussi mélancolique d’une époque révolue, toujours aussi peu impliqué dans son village. Toujours aussi libre. Pour rien au monde il ne sacrifierait cette liberté contre un nom quelconque. L’océan ne changeait pas, il ne changerait jamais. Sa vie, sûrement, resterait aussi identique que l’immensité face à lui. Il y avait des vagues, il y avait des tempêtes et des accalmies. Mais ça resterait toujours la même chose. Ca resterait toujours ce qu’il avait toujours connu.

Et c’était bien comme ça… Les choses qui changeaient trop vite, qui passaient du coq à l’âne, ça n’était pas pour lui. Sûrement car il était trop nonchalant pour comprendre. Sûrement car il n’en avait pas l’envie, aussi.

Continuant à regarder l’océan, le soleil commençait doucement à se coucher. Le vent se levait et un grain de sable lui vint dans l’œil. De l’index, il l’enleva et garda l’œil fermé quelques instants. Si quelqu’un arrivait à ce moment là, on aurait presque pu le croire borgne. Un vrai pirate, qu’ils disaient sur le bateau…
Sons
Ce matin là pour moi, n'est pas le même que tous les autres, puisque je vais découvrir une pêche nouvelle.. celle des grands poissons du large.. Les façades de toutes ces maisons est tournée vers la mer, les rameaux qui vont porter la vie et la circulation dans le corps de la ville. Aussi quel luxe d'écriteaux et d'enseignes.!.. Des lettres de toutes couleurs et de toutes dimensions chamarrent les édifices de haut en bas.. Votre oeil s'arrête sur l'acrotère d'une maison bizarrement découpée à jour.. vous cherchez à quel ordre d'architecture appartient ce genre d'ornement.. En vous approchant vous découvrez que ce sont des lettres de cuivre doré.. indiquant une échoppe quelconque.. et qui servent à la fois d'enseigne et de balustrade.. se n'est pas s'en peur que je pousse pour la première fois mon embarcation a l'eau.. m'étant renseigner en veille sur les heures les plus propice a cela.. une large traîner de feu scintiller sur la surface de l'eau.. le soleil dans un vent froid fleurter comme une libellule sur le courant d'un ruisseau.. Jamais je n'oublierai le magnifique spectacle qui s'offrit à mes yeux.. enfin bien installer dans ma barque.. je pris les rames et je m'éloignais au large.. l'océan me portait comme on danser.. sur un air frais mais léger.. croisant de çi de la au loin d'autres embarcation.. arriver en un lieu choisi au plus grand des hasards.. un léger repas s'imposer avant son oeuvre.. enfin j'essayais de péché en haute mer..
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au fil de l eau,ou le courant le mene
Eleanora_
Ses long cheveux bruns détachés, flottant au vent, Elea avait le regard perdu vers l'horizon.
La mer, si calme, l'apaisait.
Pourquoi? se dit-elle.
Elle ne cessait de penser à lui, à la lettre qu'elle lui avait écrite, à sa mort si soudaine...
Que puis-je y faire? C'est sa décision, pas la mienne, ça ne me regarde plus pensa t-elle.

Elle s'assit sur le sable doux et sortit sa vielle, pour y jouer une douce mélodie...

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Muzelinne
Muze arrive en courent les cheveux au vent le visage en larme
marche comme une somnambule sur le sable elle n en peut plus elle croyais tans que son amour était vrais il lui avait promis, il l aimais pour la vie qu il faillais qu elle lui face confiance et elle lui avais fait confiance c était donner a lui corps et ame et voila pour une pecadille il lui dit qu il la laisse,
il lui a même pas dit un mot gentil juste un adieu pour lui faire des reproches ...
elle s avance vers la mer qui clapote a ces pieds les vague arrive par accoue
s arrête les pied dans l eau ,
puis entre doucement dans la mer
elle frissonne, mais elle ne s en rend même pas conte , les yeux hagard elle continue doucement a avancé, mon dieu j arrive je ne veut plus vivre , j en est assé, la vie est trop moche rien ne me vas je suis toujours abandonné,

un grand frisson la parcours et elle s écroule ...
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MUZELINNE maman du petit Toine
TRIBUN DE LA ROCHELLE
boulangère
Bici
Bici arriva sur la plage, vit au loin une forme couler dans la mer..Il croit que c'est muze

Il se précipe à sa rencontre, et remonte effectivement Muze à la surface ..

Il la prend dans ses bras et l'emporte chez elle à la boulangerie......

Fait un feu dans la cheminée et l'installe tout prêt de ce dernier pour qu'elle se rechauffe, lui pose une couverture sur ses épaules, lui fait un thé brulant, qu'elle boit en s'etouffant presque...

Muze le fusille du regard, "Pourquoi m'as tu sauvé, tu me tue puis tu me sauve, tu es comme tous les autres tu es même pire dans la méchancété que les autres".

Bici écoute calme et distant les reproches, ces mêmes reproches dispenser par les moralistes des tavernes.

Muze se calma mais entre deux sanglots, lui demanda encore la même chose....

Bici lui repondit que non cela n'était plus possible, et tu sais pourquoi alors stop.

On ne refait pas l'histoire, c'est du passé...........

Il prit les mains de Muze et le regarda droit dans les yeux.......


Maintenant écoute moi bien.

Ce que tu viens de faire est inadmissible, tu ne penses qu'à toi dans cette affaire.

Ce que j'ai fais je l'ai fais aussi pour Toine, mais non d'une pipe en bois quels drôles de parents vous faites, vous pensez à vous avant de penser à lui.....

Soit mature maintenant, arrêtes les bétises...........

Il continue à vivre lui le petit Toinou.

Alors tu arrêtes et tu repars du bon pied.

La dessus Bici reparti en songeant à petit Toine qui dormait tranquillement.


Bici
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Muzelinne
Muze reprennait ces esprit elle se demandait ou elle était ,
puis vois au dessus d elle Bici , son coeur se remit a battr fort,

mais , mais je suis ou, passe la main sur son front au mon dieu oui la plage , puis boit un goute de thé que bici lui tend,
ho mon dieu oui je suis devenue folle,
elle ecoute bici lui parler mais elle sais que c'est pas pour lui dire qu il reste auprès d elle ,

oui je sais Bici Toine mais la je ne svais pas ce que je faisais j avais tellement mal de ton depart, une sorte de follie ma prise , je voulais plus souffrir de ton depart
elle se redresse et lui dit encore une fois je n ai jamais parler a cyra , mais d après toi pas de rancune c était pour anggy et j avais pas compris sa moi , pour cyra je n avais pas de rancune puisque pour moi il n était qu un étranger , je comprend que cela té fait mal , que tu m en veuille que tu me dispute mais pas que tu m abandonne pour sa, je cromprend que tu a eu peur mais je té expliquer que je t aimais toi et que si j avais compris que tu ne veuille pas que je lui vende du pain je ne l aurais jamais fait , mais j ai pas compris la haine que tu avais contre cyra , voila

maintenant des amis je te l ai dit j en est plus cest fini a chaque fois j ai été eu on ma roulé , comme l amour d ailleur c est toi qui ma fait comprendre qu il fallais pas s attacher, autrement on souffre de trop, alors je serais pour mon petit mais je ne serais plus qu un corp sans ame,

se tais car bici est parti ....

elel lui fait un signe de la main mais il ne se retourne meme pas , elel pense adieu mon amour...

elle s éssuit les yeux et se leve aller il faut faire du pain....
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MUZELINNE maman du petit Toine
TRIBUN DE LA ROCHELLE
boulangère
Eleanora_
Assise sur le sable doux, Elea jouait une douce mélodie avec sa vielle, et commençait à chanter d'une belle voix cristalline.
Tout était calme, juste sa voix brisait ce silence un peu oppressant.
Elle regardait la mer, tout en chantant, et pensa qu'elle avait eu de la chance d'arriver à La Rochelle entière.
Soudain, elle s'arrêta de chanter, elle avait cru entendre un bruit inquiétant. Pas rassurée pour un sou, elle s'approcha de la mer et trempa les pieds dans l'eau glacée. Elle frissonna et s'enfonça un peu plus dans la mer.
Ses longs cheveux mouillés lui fouettaient le visage mais elle s'en fichait, elle regarda les vagues qui lui léchaient la taille et soupira.
Elle sentit une main qui se posait sur son épaule et sursauta.

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Sandy
Sandy souriait, le yeux face à l'océan, regardant au loin en pensant à tout ce qu'elle avait vécu dans ce petit coin de paradis...
Cet endroit lui avait changé la vie et elle était sur que l'air marin et cette immensité devant elle y était pour quelque chose... Ils l'avaient aidé...
La petite Sandy, frêle, fragile, timide, ennuyeuse avait changé du tout au tout...
Elle sourit en repensant aux deux être qui avaient changé complètement sa vie...
Linéa... sa soeur jumelle enfin retrouvée depuis tant d'année à la chercher.. Grâce à cette retrouvaille, elle avait retrouvée une partie d'elle même, sa moitié, sa vie.. Oui... Elle était la vraie Sandy...
Bici.. Son tendre et doux Bici... Mon dieu qu'elle l'aimait.. Qui aurait cru que ça pourrait être aussi fort... Ses mots, ses gestes, sa tendresse, son amour... Elle ne pouvait espérer mieux.. Et tant pis si beaucoup disent que ça sera éphémère... Et tant pis si d'autres jugent leur amour.. Tant pis.. Elle l'aime c'est ainsi..

Tourné face à l'océan, elle s'assit au bord de celui ci pour caresser ses vagues comme pour lui dire merci...
Elle enfouit ses pieds dans le sable pour entrer en contact avec lui et savourer ses derniers instant avec son nouvel ami l'océan avant de reprendre la route...

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Mimidu973
Mimi était choquée.Ce soirr la elle entra dans l'eau froide et s'y laissa bercer par les vagues...Coco était partie!Mais c'était impossible...comment...Mimi entra la tete dans l'eau.
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Eleanora_
Elea se tourna vers un homme sombre. Une grimace étira son visage.
Que me voulait-vous? demandait-elle.
L'homme ne répondit pas et s'en alla.
Il a du me prendre pour quelqu'un d'autre songea t-elle.
Elle soupira et marcha le long de la plage. L'océan était si calme que c'en était bizarre. Elle voyait au loin un beau bateau.
Soudain, elle vit Dame Mimi qui plongeait dans l'eau mais qui ne remontait pas.
Elle courut dans sa direction et plongea à son tour.
Elle chercha et enfin, trouva Dame Mimi. Elle rassembla ses forces et remonta la Dame à la surface. Elea l'emmena sur la plage et essaya de la réanimer.
Dame Mimi? Réveillez-vous! cria t-elle.
Heureusement, Dame Mimi commençait à bouger. Elea soupira de soulagement.

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Mimidu973
Mimi était allongée sur la plage, quand elle vu soudainement un visage flou devant, elle, une femme quelle pouvait mal distinguer.Elle entendit une voix qui criait:

Dame Mimi? Réveillez-vous!

Elle avait l'impression que toute sa vie vener de se jouer et que la mer n'a pas voulu d'elle.Soudain elle eu un haut le coeur et toussa tout ce qu'elle put:

-HUHUHUMMMMMMMMM!

Elle ouvra d'un coup les yeux et vit Eleanora devant elle d'un air des plus inquiets, tempée de la tête aux pieds.Eleanora poussa à ce moment un gros soupir et dit à Mimi:

-Dame Mimi!Vous allez bien?

Mimi eut la force de répondre et lui dit:

-Non ça ne va pas, Eleanora, elle est partie!

Des larmes commencèrent à couler sur les joues de Mimi.

-Si elle était partie, je voulais partir aussi, mais je reconnais que je n'ai pas de conscience, je me disait l'autre jour en pensant à Muzze que la folie ne mène à rien, pourtant je l'ai fait moi même, mais... elle est partie Eleanora!

Mimi ne la voyait presque plus tellement ces yeux étaient noyés de larmes.

-Eleanora....

Puis Mimi se laissa retomber au sol, elle ne savait point faire autre chose.

-Je...m'escuse....
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Eleanora_
Quand Mimi toussa, Elea poussa un grand soupir de soulagement.

Dame Mimi! Vous allez bien? demanda t-elle.

Elle vit Mimi tout expliquer en fondant en larmes.
Elea s'approcha d'elle et essaya de la consoler.

Mimi, pleure pas et ne t'excuse pas, cela arrive.
Elea soupira et reprit:
Au fait, j'aimerais pas être indiscrète, mais qui? Qui est partie?
Sa doit être quelqu'un de très important pour toi si tu veux... Mettre fin à tes jours.
Elea soupira une nouvelle fois.
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Mimidu973
Mimi la regarda et lui dit en baissant le tête:

-Coralie....elle est partie....Mais tu sais quoi Elea?Laisse-moi y retourner, j'ai honte de ma personne...de mon comportement....


Mimi essaya de se débattre avec le peu de force qu'elle avait en pleurant mais ne réusi point car Elea l'en empecha.
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