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[RP] Et la Semois vit à nouveau naître des Corbeaux.

Gnia
[20 mai 1465 - A l'aube, au bord de la Semois]


Il s'était passé près d'un an depuis la dernière fois où la Semois qui s'enroulait paresseusement autour de la citadelle de Bouillon n'avait pas vu sa Duchesse la contempler au lever du soleil.
La Saint Just n'était pas une matinale, mais cette journée s'annonçait particulière et les choses se devaient de débuter à l'instant où le ciel blanchissait.

Cela dit, le ciel était finalement plutôt gris et le soleil était une boule floue derrière les nuages.

L'on avait déjà amené l'écritoire pour le héraut. Une table était dressée et ce qui était disposé dessus était pour l'heure masqué par un drap blanc.
Non loin, un brasero côtoyait un vaste coffre qui contenait quantité de linges immaculés.

Et aux côtés de la Duchesse se tenait Siméon. Sans même quitter la Semois du regard, elle lui lança, visiblement amusée.


La seule chose qui me fait plaisir avec le temps de merde qu'on se coltine en permanence, c'est que même en plein mois de mai, ils vont vraiment se cailler les miches.

Elle se tourna enfin vers la forteresse. La Sauterelle déboulerait bientôt, suivie du reste des membres de l'Ordre. Et peut être les invités dont la curiosité prendrait le pas sur le désagréable d'un réveil aux aurores.
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Agnès de Saint Just ~ Ne pouvant se corriger de sa Folie elle lui donnait l'apparence de la raison.
Calico
Pipi du matin: Check
Otâge du caca dans les yeux: Check
Habillage: Check
Fragrance, car elle le valait bien: Check

Bien évidemment pas de froufrou chichi pompon mais une toilette de chevalier, braies, chemise, épée, avec son collier de Banneret autour du cou pour l'occasion. Etre un Bouillon était un sacerdose, c'était comme rentrer dans les ordres le sexe en plus....Enfin pas trop pour elle mais ça c'était une autre histoire.

Elle rejoint sa Suzeraine Agnès et Siméon, les deux déjà installés. Son cheval trotta. Pour une fois elle n'était pas en retard. Un petit bond, la fit atterir sur le sol moelleux Ô combien humide du bord de la rivière.


Et bonjour vous deux.

Tout semblait prêt.

Vous êtes tombés du lit? J'y serai bien rester encore quatre ou cinq heures, mais bon, c'est plus amusant quand ils se gèlent.

La sadique se marra. Elle savait de quoi elle parlait, elle y était passée aussi et avait copieusement pissé dans l'eau, lors de son passage. Si ses souvenirs étaient bons, ce fut Vairon qui sentit l'eau soudain chaude qui fit les frais de bain.


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Simeon.charles
[20 mai 1465 - A l'aube, au bord de la Semois]


Il s'était levé tôt, un mal de cheveux bien carabiné et un nez qui lui faisait l'effet d'une patate. Il avait bien senti, durant la nuit, ce petit courant d'air passer sur son visage et s'engouffrer dans ses naseaux. Il avait trouvé cela plutôt agréable avant de s'endormir. Ensuite il avait eu froid, pour finir avec une crève carabinée.

Il s'était extirpé comme il avait pu afin de s'emmitoufler dans des vêtements un peu plus chauds que la normale. Après "la tasse de vin qui éloigne le médecin" il avait pris la direction de la chambre de sa nièce afin de la retrouver pour fignoler les préparatifs au bord de la Sémois.

C'est là, près de la rivière, qu'elle, le regard dans l'eau, lui avait adressé un :

" La seule chose qui me fait plaisir avec le temps de merde qu'on se coltine en permanence, c'est que même en plein mois de mai, ils vont vraiment se cailler les miches. "

Ah ça.... ça pique toujours un peu.

Son sourire s'étira sur son visage, car oui, bordel que c'était froid. Il tourna a tête alors vers la Sauterelle qui venait de les rejoindre.

Calico. C'était un salut tout à fait valable puisque validé par la guilde des gentilhommes des bois. Oui, je serai également resté un peu plus longtemps au chaud, mais le devoir est le devoir, surtout quand ce sont les autres qui subissent.
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Lenu
[20 mai 1465- Quelque part dans Bouillon et ses alentours]

La nuit fut courte mais réparatrice, un léger sourire est accroché à ses lèvres alors qu'elle vient à peine de rejoindre à nouveau la cellule qui lui a été attribuée. Non pas qu'elle n'a su trouver le sommeil, habituée au couchage spartiate du couvent, ou celui humide et moelleux d'un tapis de mousse ou de feuilles dans les bois quand ses voyages la laisse loin d'une taverne. Il lui a fallu un bon moment pour trouver son chemin le long des couloirs labyrinthiques, demoiselle avide de respirer l'air frais et d'apprécier le silence lorsque d'autres puisent l'énergie dans leur sommeil, elle a su retrouver la sienne auprès de la nature et cueillir quelques simples alors que l'heure bleue était plutôt grise. Au moins, il ne pleuvait pas.

A peine a t-elle le temps de déposer sa précieuse récolte dans un coffret de bois tapis de mousse humide qu'une missive lui est délivrée. L'oeil averti reconnaît l'écriture, la pupille se teinte d'une légère surprise à la lecture et la réponse est envoyée dans la foulée. Le temps de se vêtir à nouveau d'un mantel chaud, il lui reste la délicate mission de trouver à nouveau son chemin -différent celui-ci- ou une personne dans la capacité de lui indiquer le lieu du rendez-vous.

Bref, un moment plus tard, la jeune Bretonne pointe le bout de son museau légèrement rougit par sa promenade de fin de nuit et s'étonne qu'aucun compagnon de route ne soit déjà sur les lieux. La tête s'incline respectueusement afin de les saluer, les orbes sombres glissent sur la Sémois puis reviennent sur eux tandis que l'échine tressaille sous la morsure d'un frisson.


Que ce jour soit bon. Je vous remercie de l'invitation à venir assister à vos adoubements.

Plutôt observatrice que loquace, le regard capte la table recouverte d'un drap immaculé et l'écritoire qui trône non loin. Elle se garde de poser quelques questions malgré qu'elle soit piquée par la curiosité, préférant découvrir cela le moment venu.
Ishtara
~ 20 mai 1465 - A l'aube, au bord de la Semois ~



Pourquoi si tot ? Pourquoi etre obligée de quitter le lit ? Non mais sérieusement, son lit elle ne voulait pas le quitter, elle voulait bouder le monde, en boule sous une couverture chaude, les pensées aux souvenirs pour ne pas oublier, ou simplement à ne penser à rien. Mais voila, on ne fait pas toujours selon ses désirs.

Une fois arrivée à destination elle aperçu le trio de choc, et une des visiteuses qui était venue avec Iohannes.


Bonjour tout le monde, la prochaine fois on pourrait faire ca quant le soleil est au plus haut dans le ciel ? Non car bon... fait pas tres chaud.


Oui, elle râle un peu pour changer, mais elle le fait avec le sourire avant de venir bizouter la sauterelle, se retenant de justesse pour ne pas le faire à Simeon après avoir vu sa grosse patate.

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Castelreng
20 mai 1465 - A l'aube, au bord de la Semois

Il n'aurait raté ça pour rien, se rappelait que trop bien son propre bain. Alors à la convocation, il fut là lui aussi. Discret comme toujours, jamais loin mine de rien, mais présent.

A son arrivée il salua Agnès et Simeon, Calico et Ishtara ....


Lo Bonjorn à tous

...pour finir par la femme qu'il ne connaissait pas et à qui il se présenta.

Castelreng du Cougain, Ecuyer de Son Altesse..

Puis regardant Agnès avec amusement ajouta.

N'est-ce pas un petit vent du nord qui est à se lever aussi ?
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Alexandra.darwin
Une invitation et la solaire...Hé bien la solaire a bien froid! Emmitouflée dans sa cape de velours bordée de fourrure, elle se présente au lieu indiqué. Elle doit donc assister aux adoubements. Ben dis donc, pourquoi faut-il toujours qu'elle se débrouille comme une grande pour tout comprendre? ENFIN BREF... Elle a répondu présente et se ploie en une prompte révérence pour saluer les présents.

    «Mes Hommages. Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis Hanael Darwin de la Duranxie. Mais je préfère Alexandra.»


Après le bla bla habituel des salutations, elle se met dans un coin et patiente. Elle regarde autour d'elle. Que cherche-t-elle pardi?
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LAISSEZ-MOI TRANQUILLE MERDE!!!!!
Elwin_von_frayner
[20 mai 1465 - A l'aube, au bord de la Semois]

Si La Brindille n'était pas frileuse, il est une chose qu'elle détestait plus que Namay, Jeroen et la dinde réunis, c'était se lever tôt. Et si elle avait appris à contenir son humeur lorsqu'elle apercevait l'un du trio, il n'en fut pas de même lorsque le messager se fit annoncer au premier chant du coq.
La peste soit de l'importun, ça pouvait pas attendre ?

Première invitation à Bouillon... Non ça pouvait pas attendre ! En maugréant elle se prépara. Ce n'était pas la première fois qu'elle assistait à un adoubement. Déjà chez les Blanches jamais elle n'aurait manqué pareille cérémonie, que ce soit pour honorer ses sœurs que pour l'émotion qu'elle ressentait alors.

Simple, comme à son habitude, elle choisit de laisser libres ses longues boucles brunes aussi sauvageonnes qu'elle et jeta sa cape de voyage sur ses épaules. Pas frileuse, certes, mais on aurait dit qu'ils étaient en retard sur le climat ici !

La cérémonie la conduisit auprès d'une rivière qu'elle adopta d'emblée. On le sait, la brunette entretenait un rapport particulier avec l'eau et, bien que la Sémois n'ait rien à voir avec la fougueuse Garonne, ses méandres auraient pu entrainer l'imagination de la jeune fille pour peu que l'attroupement ne la tire de sa contemplation.

- Bonjour à vous tous. Et d'ajouter pour ceux qui ne la connaissaient pas où qui aurait déjà oublié la discrète : Je suis Elwin, arrivée avec la troupe du Capitaine.

Un coup de vent souleva sa cape et la fit frissonner. Elle lança un regard à Ishtara et lui glissa : Vous croyez que c'est ça le printemps par ici ?
Pas question de se montrer discourtoise, mais entre les lever au milieu de la nuit (si... si..) et ce vent sournois, pas étonnant que seuls les corbeaux aient résisté !
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A.rose
[ 20 Mai 1465 - Au bord de la sémoise ]

En tant qu'écuyère de Bouillon et nouvelle qui plus est, elle ne pouvait pas rater de telles cérémonies. Elle s'habilla simplement mais élégamment pour leur faire honneur se présenta sur les lieux, avec un sourire chaleureux.

L'ambiance lui sembla calme et détendue, plutot silencieuse, le temps que tout le monde arrive. Tous les présents lui semblaient frigorifiés. D'ailleurs, elle s'aperçut en effet qu'il ne faisait pas très haut. Le temps que le soleil se lève, sans doute ...

Elle salua tout le monde


Bonjour à tous, Amiah Rose De Blod, Ecuyère de Bouillon et Dame de Massencome. Je ne connais pas encore bien tout le monde ...


Elle sourit de nouveau, chaleureuse puis se dirigea instinctivement vers Alexandra, seule personne qu'elle connaissait. Elle patienta à ses côtés en silence.
Loyse.
[Près des écuries, adossée contre une stalle ...]

Après un passage dans sa chambre et la découverte d'une missive, la brunette n'avait pas réussi à dormir. Elle était en pleine réflexion depuis quelques semaines et ses nuits étaient souvent entrecoupées d'insomnies. Elle était du matin ça tombait plutôt bien. De toutes façons la fin de la nuit s'était passée aux écuries, à se ballader, penser, s'apaiser dans un silence somme toute assez relatif.
Adossée contre le bois froid de l'écurie, elle attendait patiemment que la luminosité du jour fasse doucement son apparition pour rejoindre la troupe au bord de la Sémois.
Elle enfila alors son mantel qu'elle avait laissé pendre sur un crochet surement habituellement utilisé pour tenir les filets. Vétue sobrement de noir, chemise, braies et bottes, sa chevelure brune relevée négligemment, elle s'engagea sur le chemin menant au lieu de rassemblement.
Elle n'avait pas peiné à trouver, contrairement à une certaine crainte lors de l'ouverture du pli.


[A l'aube, au bord de la Sémois...]

Elle fit une arrivée discrète, regardant les présents et les saluant d'un simple,

      Bonjour.


Le visage toujours un peu fermé, elle ne savait pas trop encore vers qui aller, elle était néanmoins contente d'être ici et observa la scène qui se jouait autour d'elle.
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Maxine..
~Entre le 19 et le 20 mai, Forteresse de Bouillon~

La soirée s'était prolongée tardivement et la nuit était bien entamée quand la Blondissime regagna son alcove. Elle ne mit pas long à s'endormir et eut l'impression qu'elle venait de fermer les yeux quand on la réveilla avec la convocation de Son Altesse. La Sémois...rappel d'une nuit à prier à genoux dans une chapelle, d'un bain dans l'eau froide de la rivière en chemise...son entrée dans l'ordre.
Instinctivement elle caresse la Miséricorde posée près de l'oreiller, au cas où...


~Le 20 Mai au bord de la Sémois~

Maxine avait rejoint Son Altesse, ses camarades et futurs camarades au point de rendez-vous. Vêtue simplement mais recouverte d'un manteau en fourrure d'ours...pas très glam, mais bien chaud...elle fit révérence devant ceux qu'elle souhaitait saluer.

"Le Bon Jour Vous va! C'est....une belle journée pour un bain...non?"

Maxine alla biser Calico et Tara, jetant un oeil suspicieux à Son Chevalier, celui dont elle est écuyère...elle lui glisse tout bas :
"Vous devriez peut être voir la jeune apothicaire qui est arrivée hier Monseigneur..."
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Axelle
Il fait beau, il fait chaud, et on va pas travailler.

Ah la bonne blague ! Pour sûr, Bouillon n'avait rien d'une colonie de vacances. Levée avec les poules, non levée avant les poules, une heure et cinquante-quatre minutes avant les poules même – oui, la manouche possédait une connaissance aiguisée des gallinacées, pour les emprunter à droite à gauche quand l'envie lui en prenait- ramena fraise vers les eaux grises de la Semois, reniflant la goutte qu'elle avait au nez et engoncée dans la fourrure de son col. Bain. C'était bien « bain » qu'elle avait lu sur l'invitation reçue quelques heures plus tôt. Bain. Un long frisson glissa dans le dos de la manouche. Ah, pour sûr, elle avait annoncé apprécier le rustre de l'Ordre, mais là, c'était peut-être un chouilla trop ruste quand même. En fait, ce n'était même plus rustre, c'était... Meurtrier. Oui, oui, tout à fait. Purée, ils n'avaient tout de même pas y plonger quelqu'un!

Arrachant ses mirettes agrandies de l'onde peu accueillante, elle glissa son regard noir sur les présents et, d'une voix pas si assurée qu'elle l'aurait souhaité.


Salutations à tous. Je suis Axelle Casas, arrivée avec Clichy et, je crois venir de le comprendre, aspire à mourir de froid...

Ou noyée. Car si la manouche avait grandi sur les côtes camarguaises, jamais elle n'avait réussi à apprendre à nager, craignant sans cesse que des poissons ne lui grignotent les pieds. M'enfin, ce qu'il y avait de rassurant dans l'histoire, était qu'au moins, dans l'eau, il n'y avait pas d’araignées. Enfin, une légende rodait bien sur l’existence d'araignées de mer gigantesques, mais, ce que la manouche ne pouvait qu'imaginer comme monstrueux, vivait justement dans la mer. Et ici, c'était pas la mer. Mais... Et s’il existait des araignées de rivière ? La Casas blêmit à cette simple idée et, comme mue par un réflexe de survie, recula vers Tara et Elwin et murmura plus pour elle-même que pour les deux femmes. Ça à l'air profond non ? Avant de remonter le museau vers la Duchesse et ses bannerets pour, d'une voix entrecoupée par le claquement de ses dents.

J'aurai encore une petite question en fait. Une petite question de rien du tout. Les bains, ils se prennent aussi en hiver ? Non, parce que sans rire, chauffer toute cette flotte, ce serait difficile quand même.
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Sancte
On avait même pas commencé que ça lui courait déjà sur le haricot. Quoi qu'il en soit, oui, donc, avec un petit sanglot tout de même, il s'était forcé à venir au rendez-vous de l'eau glacée. Aucune inquiétude, car il n'est pas très frileux et il ne s'agit rien de plus pour lui que d'un exercice élémentaire, mais il s'inquiète pour Axelle car il croit se souvenir qu'elle ne sait pas nager et que contrairement à beaucoup de Bouillonnantes, elle n'est pas dotée de gros flotteurs.

« Les hivers sont longs ici, non ? On est loin du chant des Seagal. »

En hommage à Steven.
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Elwin_von_frayner
Profond ? Mum... L'eau avait pris la couleur grise du ciel et il était difficile d'évaluer la profondeur. Par expérience, elle savait que le fleuve Garonne pouvait monter à hauteur de chevilles ou dépasser les 7 pieds par endroits et surtout par moment. Férue d'Histoire, elle avait négligé sa géographie et s'en voulut d'être infoutue de dire si des crues en provenance de fonte neigeuse alimentait la Sémois mais, sachant qu'on se gelait ici à la fin mai, elle supposa que l'eau devait encore recevoir l'eau nivale des hauteurs ardennaises.
Rarement elle avait vu Axelle reculer. Mue par un réflexe, elle avança d'un pas. Profond, je ne sais pas Axelle, mais cette eau ne me dit rien qui vaille pour un bain ! S'ils sont assez malades pour nous baptiser "Bouillon" dans cette rivière, veille à rester près de la berge. Le courant n'a pas l'air très fort.

Ils étaient sérieux là ? Ou était-ce juste le passage obligé pour les futurs adoubés ?
Elle repassa le message dans sa tête. Le texte sibyllin ne l'éclaira guère. A première lecture, elle avait cru comprendre que certains Corbeaux allaient être adoubés Chevaliers.... mais se pouvait-il que chaque Corbillat ait droit à un bain ? Une façon comme une autre pour faciliter la sélection naturelle et ne garder que les plus résistants.
Elle posa ses azurs interrogatifs sur les anciens.

Était-ce son esprit imaginatif ? Elle eut l'impression qu'ils jubilaient.

La question de son père lui arracha un sourire.

- Longs ? A moins qu'ils commencent tardivement ?....
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Belisaire
La nuit fut courte. Un voyage, une présentation en bonne et du forme. Une cellule a apprivoisée en vain. Ce qui devait donc être un sommeil réparateur se transforma en une sieste non, une micro sieste.

Quand il sortit à l'invitation reçut, il rentra aussitôt. Le deuxième essai se ferait avec une tenue plus adaptée à un automne bouillonnesque. Le froid eu cet avantage tout de même de sortir Bélisaire de sa léthargie. Les stigmates de l'insomnie ne disparaissaient pas pour autant.

Il s'approcha donc avec petits yeux tout rouge et quelques valises sous les yeux.


Bonjour ... Bonjour .... Bonjour... Mes hommages, je me présente Bélisaire .... La bonne journée .... Bonjour

Chaque personne présente eut son petit bonjour avec au fur et à mesure de l'exercice un sourire qui se voulait de plus en plus chaleureux. Et c'est bien réveillé qui stoppa sa route tout en regardant l'eau. A qui l'entendrai ...

Quelle idée de se faire adouber par un temps pareil ! En plein hiver aurait été préférable non ?

Dit-il avec un petit sourire en coin et tout en regardant qui allait avoir droit à une douche glacée, voulant somme toute lui souhaiter bonne courage tout de même.
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