Kalawina_yrwina
Laval, le 19 juillet 1466 à l'aube
*La jeune femme avec la chevelure corbeau s'était levée à l'aube, le sourire aux lèvres et les joues roses. Elle avait bien envie de rester encore couchée à rêvasser à sa soirée de la veille et à son arrivée dans ce village mais un aller à la rivière commençait à devenir véritablement urgent pour sa chemise couverte de poussière de la mine, de chlorophylle et de jus de fruits de sa cueillette et, elle en avait bien peur, elle ne devait pas sentir la fleur des champs probablement.
Elle renifla sa chemise en grimaçant et l'enfila malgré tout pour cacher un tantinet sa nudité et elle sortit du taudis pour prendre le chemin de la rivière qui traversait la ville. Elle aurait probablement pu trouver un petit ruisseau qui lui laisserait un accès plus facile pour nettoyer sa blouse, mais elle avait bien envie de plonger elle-même dans l'eau.
Chantonnant à mi-voix, elle prit donc la route vers le sud, passant la taverne et la demeure du maire pour aller se baigner près des champs de maïs non loin. L'aube venant à peine de se lever, les routes étaient relativement désertes et elle put sans rougir se défaire de sa chemise après avoir trouvé une belle pierre plate et s'accroupir au bord de l'eau pour commencer à frotter le vêtement et lui rendre un peu de fraîcheur.
Une fois son oeuvre faite avec un succès à peu près correct, elle accrocha la chemise à un arbre pour la faire sécher et plongea la tête la première dans l'eau encore fraîche du petit matin.*
*La jeune femme avec la chevelure corbeau s'était levée à l'aube, le sourire aux lèvres et les joues roses. Elle avait bien envie de rester encore couchée à rêvasser à sa soirée de la veille et à son arrivée dans ce village mais un aller à la rivière commençait à devenir véritablement urgent pour sa chemise couverte de poussière de la mine, de chlorophylle et de jus de fruits de sa cueillette et, elle en avait bien peur, elle ne devait pas sentir la fleur des champs probablement.
Elle renifla sa chemise en grimaçant et l'enfila malgré tout pour cacher un tantinet sa nudité et elle sortit du taudis pour prendre le chemin de la rivière qui traversait la ville. Elle aurait probablement pu trouver un petit ruisseau qui lui laisserait un accès plus facile pour nettoyer sa blouse, mais elle avait bien envie de plonger elle-même dans l'eau.
Chantonnant à mi-voix, elle prit donc la route vers le sud, passant la taverne et la demeure du maire pour aller se baigner près des champs de maïs non loin. L'aube venant à peine de se lever, les routes étaient relativement désertes et elle put sans rougir se défaire de sa chemise après avoir trouvé une belle pierre plate et s'accroupir au bord de l'eau pour commencer à frotter le vêtement et lui rendre un peu de fraîcheur.
Une fois son oeuvre faite avec un succès à peu près correct, elle accrocha la chemise à un arbre pour la faire sécher et plongea la tête la première dans l'eau encore fraîche du petit matin.*