Spawnounours
[Laval, le 2 août 1466 sur le coup de midi]
*Il était un peu déboussolé par la surprise. Les idées se multipliaient dans sa tête. Wina le résonna avec ses mots et il sapaisa.*
Dabord il faudrait mettre en état le moulin. Ainsi tu pourrais exercer ton futur métier. Une partie de létage donc avec lentrée du blé derrière la maison et la salle de la trémie. Juste en dessous au niveau de la roue, une pièce avec les engrenages entrainés par la roue pour moudre le blé et pour le stockage de la farine avec sa grande sortie juste en dessous de la terrasse. Le bâtiment est large, il reste de la place au sous-sol et à létage.
*Tout en parlant il faisait des signes avec ses mains vers les murs en ruine et différents trous tout autour du bâtiment ainsi que la nature qui avait commencé à prendre sa place dans ce lieu. Il sarrêta un instant et regarda son amour droit dans les yeux*
Je pense que je pourrais mettre mon atelier sur toute lautre longueur au même niveau que la roue si tu le veux bien. Ainsi nous pourrions travailler une bonne partie de la journée ensemble, sauf quand nous sommes dans les champs.
*Il posa ses deux mains sur ses joues toujours ses yeux droits dans les siens.*
A létage avec la terrasse, il faudrait mettre des cheminées pour chauffer les pièces et ainsi faire une grande surface de vie pour y loger au moins un couple et une ou deux autres chambres. Et comme les toits dans le Maine sont hauts nous pourrions y envisager, dans un plus loin avenir, une ou deux pièces supplémentaires. Voilà ce que jen pense, je suis prêt à entendre les tiennes pour que nous puissions nous mettre daccord sur notre avenir. Si tu veux toujours de moi dans ta vie, dans ce lieu en loccurrence.
*Il déposa un doux baiser sur ses lèvres.*
*Il était un peu déboussolé par la surprise. Les idées se multipliaient dans sa tête. Wina le résonna avec ses mots et il sapaisa.*
Dabord il faudrait mettre en état le moulin. Ainsi tu pourrais exercer ton futur métier. Une partie de létage donc avec lentrée du blé derrière la maison et la salle de la trémie. Juste en dessous au niveau de la roue, une pièce avec les engrenages entrainés par la roue pour moudre le blé et pour le stockage de la farine avec sa grande sortie juste en dessous de la terrasse. Le bâtiment est large, il reste de la place au sous-sol et à létage.
*Tout en parlant il faisait des signes avec ses mains vers les murs en ruine et différents trous tout autour du bâtiment ainsi que la nature qui avait commencé à prendre sa place dans ce lieu. Il sarrêta un instant et regarda son amour droit dans les yeux*
Je pense que je pourrais mettre mon atelier sur toute lautre longueur au même niveau que la roue si tu le veux bien. Ainsi nous pourrions travailler une bonne partie de la journée ensemble, sauf quand nous sommes dans les champs.
*Il posa ses deux mains sur ses joues toujours ses yeux droits dans les siens.*
A létage avec la terrasse, il faudrait mettre des cheminées pour chauffer les pièces et ainsi faire une grande surface de vie pour y loger au moins un couple et une ou deux autres chambres. Et comme les toits dans le Maine sont hauts nous pourrions y envisager, dans un plus loin avenir, une ou deux pièces supplémentaires. Voilà ce que jen pense, je suis prêt à entendre les tiennes pour que nous puissions nous mettre daccord sur notre avenir. Si tu veux toujours de moi dans ta vie, dans ce lieu en loccurrence.
*Il déposa un doux baiser sur ses lèvres.*