Dragon_noir
Je vais vous lire aujourd'hui un extrait de l'Hagiographie de Polin de Langres, dit le Persévérant, Saint patron des Défenseurs de la Foy..
LÉvêque laissa quelques minutes de silence avant de reprendre.
Prions tous pour notre père pour éternité, Le Créateur de toute chose.
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Citation:
II/ Les années noires
Après dix années passées à étudier au sein du monastère, à prêcher la bonne parole en Champagne et à défendre toujours avec succès la Vraie Foy contre ses détracteurs, Polin décida de quitter sa terre natale pour amener la lumière aux peuples égarés et répandre l'Amour de Dieu et la Sagesse d'Aristote sur les terres païennes. Il décida de partir vers le sud, jusqu'à la mer. Durant tout son périple il continua avec cette même persévérance et cette volonté de défendre partout où il passait la Foy et la religion contre ses détracteurs, ramenant dans le droit chemin quiconque l'écoutait.
En effet sa persuasion et sa Foy étaient telles qu'il parvenait à convaincre et persuader toute personne se perdant, et il la ramenait sur le droit chemin, le chemin de la Sagesse, celui de la Foy aristotélicienne.
Un jour qu'il approchait de la fin de son périple vers la mer, il rencontra sur un chemin un homme venu dOrient qui prêchait sa religion aux voyageurs passant devant lui.
Il s'approcha du petit groupe qui écoutait son prêche, écouta lui-même un moment, puis il interpella lhomme et dans un long monologue lui démontra la toute-puissance de Dieu et de la Foy aristotélicienne, qui elle seule méritait d'être pratiquée, prêchée et répandue. Quand l'homme voulu répliquer, aucun son ne sortit de sa bouche car il ne savait pas quoi répondre ; Polin l'avait rendu muet par la force de sa Foy.
Les témoins de la scène propagèrent la nouvelle du miracle dans toute la région, et Polin fut donc acclamé partout où il passait. Mais toujours avec humilité et ferveur il répondait: «C'est mon devoir que de répandre la bonne parole et de Défendre la Foy».
Il arriva enfin au bord de la mer, dans un petit port du nord de l'Italie, après deux années de voyage et de prêche. Il s'y reposa un temps puis prit la mer et la traversa jusqu'aux terres du Moyen-Orient. Là il trouva des populations pratiquant une religion différente de l'aristotélisme. Il s'installa dans un village où il fit connaître à la population la religion aristotélicienne. Comme par le passé, il réussit à convertir les habitants, faisant de ce village un bastion aristotélicien en terres païennes. On bâtit une église au centre du village et le culte aristotélicien essaima petit à petit aux alentours. Les nombreuses personnes qui venaient curieuses d'en apprendre plus sur ce village converti à une religion étrangère, repartaient toutes converties elles aussi et prêtes à diffuser la Foy aristotélicienne.
Un jour un homme arriva, encore plus foncé de peau que les habitants de la région ; le plus noir, tel le charbon, que Polin ait vu de sa vie. Il était accompagné d'une petite armée et était l'équivalent de nos prêtres auprès de son peuple. Informé de l'importance que prenait le culte venu d'ailleurs, il était venu dans l'intention de tuer son instigateur, Polin. Il assiégea alors l'église où la population s'était réfugiée. Après deux jours la nourriture commença à manquer, et Polin décida de sortir de l'église, recommandant aux villageois de prier Dieu pour leur salut.
Les soldats, impressionnés par tant de hardiesse et de courage, jetèrent leurs armes à terre mais le prêtre se précipita sur Polin, couteau tiré, pour le poignarder, quand à quelques mètres de Polin, le caillou du lance-pierres dun de ses soldats fit voler la lame en éclats.
Le prêtre, impressionné par ce signe, reconnut alors la toute-puissance de Dieu et de la Foy aristotélicienne. Il resta avec son armée plusieurs mois au village, où Polin lui enseigna les préceptes dAristote et Christos, pour qu'il répandît la bonne parole à son retour chez lui.
Une dizaine d'années plus tard, l'aristotélisme avait gagné tout le nord des terres noires, et Polin, jugeant sa mission accomplie, décida de partir répandre la Foy aristotélicienne en d'autres contrées. Il prit le chemin de la Judée et de la Terre Sainte, où il souhaitait marcher sur les traces de Christos.
Après dix années passées à étudier au sein du monastère, à prêcher la bonne parole en Champagne et à défendre toujours avec succès la Vraie Foy contre ses détracteurs, Polin décida de quitter sa terre natale pour amener la lumière aux peuples égarés et répandre l'Amour de Dieu et la Sagesse d'Aristote sur les terres païennes. Il décida de partir vers le sud, jusqu'à la mer. Durant tout son périple il continua avec cette même persévérance et cette volonté de défendre partout où il passait la Foy et la religion contre ses détracteurs, ramenant dans le droit chemin quiconque l'écoutait.
En effet sa persuasion et sa Foy étaient telles qu'il parvenait à convaincre et persuader toute personne se perdant, et il la ramenait sur le droit chemin, le chemin de la Sagesse, celui de la Foy aristotélicienne.
Un jour qu'il approchait de la fin de son périple vers la mer, il rencontra sur un chemin un homme venu dOrient qui prêchait sa religion aux voyageurs passant devant lui.
Il s'approcha du petit groupe qui écoutait son prêche, écouta lui-même un moment, puis il interpella lhomme et dans un long monologue lui démontra la toute-puissance de Dieu et de la Foy aristotélicienne, qui elle seule méritait d'être pratiquée, prêchée et répandue. Quand l'homme voulu répliquer, aucun son ne sortit de sa bouche car il ne savait pas quoi répondre ; Polin l'avait rendu muet par la force de sa Foy.
Les témoins de la scène propagèrent la nouvelle du miracle dans toute la région, et Polin fut donc acclamé partout où il passait. Mais toujours avec humilité et ferveur il répondait: «C'est mon devoir que de répandre la bonne parole et de Défendre la Foy».
Il arriva enfin au bord de la mer, dans un petit port du nord de l'Italie, après deux années de voyage et de prêche. Il s'y reposa un temps puis prit la mer et la traversa jusqu'aux terres du Moyen-Orient. Là il trouva des populations pratiquant une religion différente de l'aristotélisme. Il s'installa dans un village où il fit connaître à la population la religion aristotélicienne. Comme par le passé, il réussit à convertir les habitants, faisant de ce village un bastion aristotélicien en terres païennes. On bâtit une église au centre du village et le culte aristotélicien essaima petit à petit aux alentours. Les nombreuses personnes qui venaient curieuses d'en apprendre plus sur ce village converti à une religion étrangère, repartaient toutes converties elles aussi et prêtes à diffuser la Foy aristotélicienne.
Un jour un homme arriva, encore plus foncé de peau que les habitants de la région ; le plus noir, tel le charbon, que Polin ait vu de sa vie. Il était accompagné d'une petite armée et était l'équivalent de nos prêtres auprès de son peuple. Informé de l'importance que prenait le culte venu d'ailleurs, il était venu dans l'intention de tuer son instigateur, Polin. Il assiégea alors l'église où la population s'était réfugiée. Après deux jours la nourriture commença à manquer, et Polin décida de sortir de l'église, recommandant aux villageois de prier Dieu pour leur salut.
Les soldats, impressionnés par tant de hardiesse et de courage, jetèrent leurs armes à terre mais le prêtre se précipita sur Polin, couteau tiré, pour le poignarder, quand à quelques mètres de Polin, le caillou du lance-pierres dun de ses soldats fit voler la lame en éclats.
Le prêtre, impressionné par ce signe, reconnut alors la toute-puissance de Dieu et de la Foy aristotélicienne. Il resta avec son armée plusieurs mois au village, où Polin lui enseigna les préceptes dAristote et Christos, pour qu'il répandît la bonne parole à son retour chez lui.
Une dizaine d'années plus tard, l'aristotélisme avait gagné tout le nord des terres noires, et Polin, jugeant sa mission accomplie, décida de partir répandre la Foy aristotélicienne en d'autres contrées. Il prit le chemin de la Judée et de la Terre Sainte, où il souhaitait marcher sur les traces de Christos.
LÉvêque laissa quelques minutes de silence avant de reprendre.
Prions tous pour notre père pour éternité, Le Créateur de toute chose.
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