Archibald_ravier
Jörgen, en tant que page avait été missionné par l'évêque pour arroser les plantes chaque jours. Avec de l'eau. Alors, fier, petit page il prenait à cur sa mission, venant arroser chaque soir les plantes; et en ce dimanche de messe, avec les températures qui avaient baissés, il avait décidé de venir les arroser au matin, avant la messe dominicale.
Mais un adolescent, à peine réveillé et encore tout engourdit, ça a des envies. Ainsi, après s'être acquitté de sa tâche, il alla se promener un peu au palais et s'engagea dans une chambre. Braies baissées, chemise enlevée, adolescent installé, il se laissa aller à ses envies, adepte de l'onanisme matinal.
Archibald était encore tout engourdi de sommeil lorsque Jörgen l'avait quitté. Il avait donné rendez vous au palais épiscopal, direction qu'il avait prise une demie heure plus tard, débarbouillé et vêtu de ses habits du dimanche. C'est qu'un page d'évêque fraichement baptisé et un futur sacristain, ça se doit d'aller à la messe tous les dimanches !
En arrivant au palais, un domestique pressé lui indiqua une vague direction où trouver Jörgen, et s'empressa de rejoindre le reste des employés en route pour la messe. Impressionné par la taille de le demeure, Archibald entreprit d'ouvrir les portes, les unes après les autres. Déserts, les lieux étaient encore plus impressionnants.
Enfin, tout le monde n'était pas aussi impressionné que lui par la démesure, comme il ne tarde pas à le constater en poussant la porte d'une chambre.
- Et ben, tu me fais un serviteur drôlement dévoué, dis donc, poussin... T'as l'intention de repeindre ce mur là aussi avec ton pinceau à projections ?
L'animal, en pleine action sur le lit se laissait aller, grondant, les yeux fermés. Jusqu'à... Jusqu'à ce que son amant ouvre la porte de la pièce où il se trouvait et le surprenne en pleine action. Les joues de l'adolescent, ne tardent pas à se colorer d'un rouge vif, alors qu'il bondit presque, lance fièrement dressée sous les yeux d'Archibald. Il le regarde, manche en main et d'une voix qui se veut assurée mais qui est tout sauf ça.
- J'ai l'intention de te repeindre toi ! et de souffler, moins fort, couinant presque. Ouvre la bouche !
Surpris ? Oui. Amusé ? Mais tellement !
Archibald sourit, de toutes ses dents.
- Hors de question, vil félon !
Et d'envoyer valser sa chemise quelque part sur le parquet, braies ouvertes et main au paquet, pour rattraper son retard.
- je parie que la mienne est plus solide qu'la tienne !
Jörgen le regarde, étonné mais joyeux, avant de s'avancer, la main toujours arrimée, un air de défi sur visage
- Mais la mienne est plus longue ! Approche si tu en as le courage !
- Tu n'me fais pas peur, Ptit Poulet !
Braies et chausses bazardées sur le plancher, il bondit, brandissant son arme, prêt à passer à l'attaque.
- Viens là si tu l'oses, et tu verras !
Torse bombé, menton en l'air, arme tendue, Jörgen s'approche, défiant l'amant du regard.
- Tu m'dis de passer à l'attaque parce que t'as pas les noix d'le faire ?
Sourire moqueur étire les lippes, alors qu'il s'élance, criant.
A l'attaaaaaaaaaaaaa-queue !
Archibald bondit à son tour, sabre au clair, prêt à pourfendre son assaillant, onyx plissés de rire.
- Aha ! Suce à l'ennemiiiiiiiiiiii !
Un coup d'estoc (ou de taille ?) donné sur le chibre adverse, et le voilà qui recule d'un pas, vers la porte de la chambre.
L'adolescent grimace sous le coup, plie un genoux.
- Soldat à terre ! J'suis touché !
Il porte la main à son cur, riant avant de se redresser, rejoignant l'ennemi, prêt à en répondre.
- Attention à tes arrières ! Vil faquin !
- Hiiiiiiii laisse mes arrières tranquilles ! couine Archibald, avant d'ouvrir la porte à la volée pour s'enfuir dans le salon, bondissant sur un siège, chibre à la main toujours.[/i]
- AHAAAA ! Ouvre la bouche, félon ! Que ma lance t'empale !
- Reviens ici ! Tu vas tâter d'mon gourdin !
Le Poulet rit encore, poursuivant l'amant non sans reluquer son derrière. Avant de le regarder debout sur le siège, réfléchissant à une attaque.
- A toutes les unités ! Sortez les canons ! Cette infâme canaille doit répondre de ses actes !
Et à cet instant, le gamin pousse, laissant échapper, des pets, un spectacle en son et lumière. Peut-être en son et jets d'eaux ?
*Bruit de pets* bis bis.
- Aleeeeeerte ! Aleeeeeerte ! L'ennemi nous bombarde !
Archibald bondit de siège en siège, fuyant l'odeur.
- Levez vos boucliers ! Attention, l'ennemi se fait aider par un alchimiste, il nous bombarde avec du souffre !
Respirant au creux de son coude, et réunissant tout son courage, Archibald cavale le long d'un couloir, fuyant l'odeur nauséabonde qui a envahi le petit salon.Puis, il se met en embuscade derrière une porte, sans trop regarder dans quelle pièce il est entré. Un bureau ? Qu'importe, il se prépare à bondir sur le gamin.
- L'ennemi fuit ! Avançons soldats ! La victoire n'en sera que plus belle !
Il se marre et poursuit Archibald en courant, traversant le couloir.
Ne le voyant plus, l'adolescent s'arrête, pousse la première porte, et imite Dark Vador version Moyen-Age, main sur la bouche.
- Aucun ennemi en vue... pssshhh.... Le territoire est dégagé ! Je répète. pssshh... Le territoire est dégagé !
Archibald bondit sur Jörgen.
- Montjoie ! Saint Bynaar ! Qu'Aristote me foudroie si ma queue débandoie !
Dans un cri peu viril, l'adolescent recule, tombant sur les fesses, surprit.
- HIIIIIIIIII
Et de reprendre.
- On nous attaaaaaaaaaaaaaaaque !
Archibald tombe avec, et se dépatouille de l'enchevêtrement de bras et de jambes, chevauchant l'amant, queue brandie au dessus de son visage.
- VICTOIREEEEE ! Suce moi, ennemi !
Il ricane.
- Si tu me sers bien, je te ferais chevalier de la queue flétrie !
Jorgen, outré ouvre la bouche avant de la refermer, il tente de faire basculer, l'Archichiant, tentant de se retrouver au dessus, et voulant le déconcentrer, l'adolescent, claque le fessier de l'amoureux.
- Je n'en ai pas fini avec toi vil ourson ! Tu vas goûter d'ma lance !
Archibald glapit sous la claque sèche, lâchant son arme sur la tronche de son adversaire.
- Mécréant ! Tu oses remettre en doute ma domination ?
L'adolescent rit, mangeant du gourdin en pleine tête.
- Tend ton fessier ennemi ! J'en fais ma possession !
- Ahaaaaaaa, même pas en rêve ! Tu ne l'attraperas jamaaaaais !
Archibald serre les fesses, et récupère son arme. La tenant bien en main, il tapote la joue de l'adolescent, puis la dirige vers la bouche.
- Allez, abdique !
Le poulet secoue la tête et pince les lèvres, il en a envie oui, mais cette fois, il ne veut pas être celui qui perdra.Alors il lâche son gourdin et pose les deux mains sur le fessier masculin, souriant.
- Aaaaaaah !
Archibald bondit sur ses pieds, cul serré, et contourne le bureau, érigeant un rempart entre lui et son assaillant.
- Ploie le genoux devant moi et je te ferais seigneur de la Molle !
L'adolescent se redresse, époussette son derrière et reprenant son bâton en main, court après Archibald.
Archibald, lui, ancre les deux pieds dans le sol, façon joueur de soule allant au contact, et se prépare à recevoir l'assaillant de plein fouet.
- J'vais t'montrer si elle est molle, YAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !
Il se rue sur lui, beuglant, bras ouvert et mât en avant.
- A L'ATTAAAAAAAAQUE !
Archibald ceinture le garçon, et avec un "HAN" sonore, l'enlève sur son épaule, lui claquant le cul au passage.
- Je te tieeeeeeeeeeeens !
Surprit, Jörgen crie et gesticule sur l'épaule, couinant sous la claque.
- Je suis une princeeeeesse ! Avant de tendre les bras pour atteindre le fessier Archibaldien.
- Et ben tu vas goûter d'mon gros dragon, Princesse !
Et de larguer son paquet sur le bureau, le toisant de toute sa hauteur, avant de se coucher sur lui, l'embrassant au coin des lèvres.
- Alors, Princesse, tu t'rends ?
- L'est pas gros ton dragon !
Jörgen le regarde et sourit, c'est qu'il est beau l'animal.
J'peux pas... C'est à toi de te rendre.
- Non, vil Jean Foutre ! Archibald le Grand a une semi molle s'il le faut, mais il ne se rend pas !
Et de se relever, hilare, chibre à la main, pour contourner le bureau et tendre à nouveau sa queue au visage de l'amant. Il en assène un coup à l'épaule droite, puis un à l'épaule gauche.
- Par Saint Brynaar et Sainte Illinda je te fais grand chevalier de l'ordre de la Bite ! Relève toi, chevalier ! Et suce moi !
Jörgen ouvre la bouche, rougissant, avant de la refermer et l'ouvrir à nouveau, tel un poisson hors de l'eau.
- Mais tu triches !
Il descend du bureau, tout aussi rouge et s'agenouille devant l'Archigland.
Archigland qui rougit, brusquement. C'est qu'il ne pensait pas se voir obéi si promptement, voyez vous. Aussi alors que l'amant officie avec la célérité de ceux qui jouent encore à se découvrir, il se concentre, ferme les yeux, et une main vient se perdre dans les boucles brunes, juste pour pouvoir se crisper sur quelque chose alors que le plaisir enfle, enfle, comme sa b... Enfin, voilà. Un espèce de réflexe pudique le pousse à se retirer juste avant la jouissance, qui se répand, là.
Désolé pour votre courrier, Monseigneur.
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Mais un adolescent, à peine réveillé et encore tout engourdit, ça a des envies. Ainsi, après s'être acquitté de sa tâche, il alla se promener un peu au palais et s'engagea dans une chambre. Braies baissées, chemise enlevée, adolescent installé, il se laissa aller à ses envies, adepte de l'onanisme matinal.
Archibald était encore tout engourdi de sommeil lorsque Jörgen l'avait quitté. Il avait donné rendez vous au palais épiscopal, direction qu'il avait prise une demie heure plus tard, débarbouillé et vêtu de ses habits du dimanche. C'est qu'un page d'évêque fraichement baptisé et un futur sacristain, ça se doit d'aller à la messe tous les dimanches !
En arrivant au palais, un domestique pressé lui indiqua une vague direction où trouver Jörgen, et s'empressa de rejoindre le reste des employés en route pour la messe. Impressionné par la taille de le demeure, Archibald entreprit d'ouvrir les portes, les unes après les autres. Déserts, les lieux étaient encore plus impressionnants.
Enfin, tout le monde n'était pas aussi impressionné que lui par la démesure, comme il ne tarde pas à le constater en poussant la porte d'une chambre.
- Et ben, tu me fais un serviteur drôlement dévoué, dis donc, poussin... T'as l'intention de repeindre ce mur là aussi avec ton pinceau à projections ?
L'animal, en pleine action sur le lit se laissait aller, grondant, les yeux fermés. Jusqu'à... Jusqu'à ce que son amant ouvre la porte de la pièce où il se trouvait et le surprenne en pleine action. Les joues de l'adolescent, ne tardent pas à se colorer d'un rouge vif, alors qu'il bondit presque, lance fièrement dressée sous les yeux d'Archibald. Il le regarde, manche en main et d'une voix qui se veut assurée mais qui est tout sauf ça.
- J'ai l'intention de te repeindre toi ! et de souffler, moins fort, couinant presque. Ouvre la bouche !
Surpris ? Oui. Amusé ? Mais tellement !
Archibald sourit, de toutes ses dents.
- Hors de question, vil félon !
Et d'envoyer valser sa chemise quelque part sur le parquet, braies ouvertes et main au paquet, pour rattraper son retard.
- je parie que la mienne est plus solide qu'la tienne !
Jörgen le regarde, étonné mais joyeux, avant de s'avancer, la main toujours arrimée, un air de défi sur visage
- Mais la mienne est plus longue ! Approche si tu en as le courage !
- Tu n'me fais pas peur, Ptit Poulet !
Braies et chausses bazardées sur le plancher, il bondit, brandissant son arme, prêt à passer à l'attaque.
- Viens là si tu l'oses, et tu verras !
Torse bombé, menton en l'air, arme tendue, Jörgen s'approche, défiant l'amant du regard.
- Tu m'dis de passer à l'attaque parce que t'as pas les noix d'le faire ?
Sourire moqueur étire les lippes, alors qu'il s'élance, criant.
A l'attaaaaaaaaaaaaa-queue !
Archibald bondit à son tour, sabre au clair, prêt à pourfendre son assaillant, onyx plissés de rire.
- Aha ! Suce à l'ennemiiiiiiiiiiii !
Un coup d'estoc (ou de taille ?) donné sur le chibre adverse, et le voilà qui recule d'un pas, vers la porte de la chambre.
L'adolescent grimace sous le coup, plie un genoux.
- Soldat à terre ! J'suis touché !
Il porte la main à son cur, riant avant de se redresser, rejoignant l'ennemi, prêt à en répondre.
- Attention à tes arrières ! Vil faquin !
- Hiiiiiiii laisse mes arrières tranquilles ! couine Archibald, avant d'ouvrir la porte à la volée pour s'enfuir dans le salon, bondissant sur un siège, chibre à la main toujours.[/i]
- AHAAAA ! Ouvre la bouche, félon ! Que ma lance t'empale !
- Reviens ici ! Tu vas tâter d'mon gourdin !
Le Poulet rit encore, poursuivant l'amant non sans reluquer son derrière. Avant de le regarder debout sur le siège, réfléchissant à une attaque.
- A toutes les unités ! Sortez les canons ! Cette infâme canaille doit répondre de ses actes !
Et à cet instant, le gamin pousse, laissant échapper, des pets, un spectacle en son et lumière. Peut-être en son et jets d'eaux ?
*Bruit de pets* bis bis.
- Aleeeeeerte ! Aleeeeeerte ! L'ennemi nous bombarde !
Archibald bondit de siège en siège, fuyant l'odeur.
- Levez vos boucliers ! Attention, l'ennemi se fait aider par un alchimiste, il nous bombarde avec du souffre !
Respirant au creux de son coude, et réunissant tout son courage, Archibald cavale le long d'un couloir, fuyant l'odeur nauséabonde qui a envahi le petit salon.Puis, il se met en embuscade derrière une porte, sans trop regarder dans quelle pièce il est entré. Un bureau ? Qu'importe, il se prépare à bondir sur le gamin.
- L'ennemi fuit ! Avançons soldats ! La victoire n'en sera que plus belle !
Il se marre et poursuit Archibald en courant, traversant le couloir.
Ne le voyant plus, l'adolescent s'arrête, pousse la première porte, et imite Dark Vador version Moyen-Age, main sur la bouche.
- Aucun ennemi en vue... pssshhh.... Le territoire est dégagé ! Je répète. pssshh... Le territoire est dégagé !
Archibald bondit sur Jörgen.
- Montjoie ! Saint Bynaar ! Qu'Aristote me foudroie si ma queue débandoie !
Dans un cri peu viril, l'adolescent recule, tombant sur les fesses, surprit.
- HIIIIIIIIII
Et de reprendre.
- On nous attaaaaaaaaaaaaaaaque !
Archibald tombe avec, et se dépatouille de l'enchevêtrement de bras et de jambes, chevauchant l'amant, queue brandie au dessus de son visage.
- VICTOIREEEEE ! Suce moi, ennemi !
Il ricane.
- Si tu me sers bien, je te ferais chevalier de la queue flétrie !
Jorgen, outré ouvre la bouche avant de la refermer, il tente de faire basculer, l'Archichiant, tentant de se retrouver au dessus, et voulant le déconcentrer, l'adolescent, claque le fessier de l'amoureux.
- Je n'en ai pas fini avec toi vil ourson ! Tu vas goûter d'ma lance !
Archibald glapit sous la claque sèche, lâchant son arme sur la tronche de son adversaire.
- Mécréant ! Tu oses remettre en doute ma domination ?
L'adolescent rit, mangeant du gourdin en pleine tête.
- Tend ton fessier ennemi ! J'en fais ma possession !
- Ahaaaaaaa, même pas en rêve ! Tu ne l'attraperas jamaaaaais !
Archibald serre les fesses, et récupère son arme. La tenant bien en main, il tapote la joue de l'adolescent, puis la dirige vers la bouche.
- Allez, abdique !
Le poulet secoue la tête et pince les lèvres, il en a envie oui, mais cette fois, il ne veut pas être celui qui perdra.Alors il lâche son gourdin et pose les deux mains sur le fessier masculin, souriant.
- Aaaaaaah !
Archibald bondit sur ses pieds, cul serré, et contourne le bureau, érigeant un rempart entre lui et son assaillant.
- Ploie le genoux devant moi et je te ferais seigneur de la Molle !
L'adolescent se redresse, époussette son derrière et reprenant son bâton en main, court après Archibald.
Archibald, lui, ancre les deux pieds dans le sol, façon joueur de soule allant au contact, et se prépare à recevoir l'assaillant de plein fouet.
- J'vais t'montrer si elle est molle, YAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !
Il se rue sur lui, beuglant, bras ouvert et mât en avant.
- A L'ATTAAAAAAAAQUE !
Archibald ceinture le garçon, et avec un "HAN" sonore, l'enlève sur son épaule, lui claquant le cul au passage.
- Je te tieeeeeeeeeeeens !
Surprit, Jörgen crie et gesticule sur l'épaule, couinant sous la claque.
- Je suis une princeeeeesse ! Avant de tendre les bras pour atteindre le fessier Archibaldien.
- Et ben tu vas goûter d'mon gros dragon, Princesse !
Et de larguer son paquet sur le bureau, le toisant de toute sa hauteur, avant de se coucher sur lui, l'embrassant au coin des lèvres.
- Alors, Princesse, tu t'rends ?
- L'est pas gros ton dragon !
Jörgen le regarde et sourit, c'est qu'il est beau l'animal.
J'peux pas... C'est à toi de te rendre.
- Non, vil Jean Foutre ! Archibald le Grand a une semi molle s'il le faut, mais il ne se rend pas !
Et de se relever, hilare, chibre à la main, pour contourner le bureau et tendre à nouveau sa queue au visage de l'amant. Il en assène un coup à l'épaule droite, puis un à l'épaule gauche.
- Par Saint Brynaar et Sainte Illinda je te fais grand chevalier de l'ordre de la Bite ! Relève toi, chevalier ! Et suce moi !
Jörgen ouvre la bouche, rougissant, avant de la refermer et l'ouvrir à nouveau, tel un poisson hors de l'eau.
- Mais tu triches !
Il descend du bureau, tout aussi rouge et s'agenouille devant l'Archigland.
Archigland qui rougit, brusquement. C'est qu'il ne pensait pas se voir obéi si promptement, voyez vous. Aussi alors que l'amant officie avec la célérité de ceux qui jouent encore à se découvrir, il se concentre, ferme les yeux, et une main vient se perdre dans les boucles brunes, juste pour pouvoir se crisper sur quelque chose alors que le plaisir enfle, enfle, comme sa b... Enfin, voilà. Un espèce de réflexe pudique le pousse à se retirer juste avant la jouissance, qui se répand, là.
Désolé pour votre courrier, Monseigneur.
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