Cleophee_laborde
Que le temps passe, défile vite, cela fait plusieurs semaines déjà qu'elle arpente les rues de Périgueux, jusqu'à présent, elle s'y sentait bien, elle était chez elle puis quelque chose s'est cassé, un malaise qu'elle ressent, une envie qui n'est plus là, un manque, un regard qui se perd sur une carte, sur un chemin, des reproches qu'elle n'a pas vus venir...
Mais elle a pris le courage il y a peu de partir voir Bergerac, plusieurs raisons pour cela, mais une seule tout au fond de son cur étaient importantes. Voir le village qu'Adélaïde lui avait tant raconté, marcher dans ses ruelles qu'elle avait foulées, voir l'église où elle s'était mariée, ou elle avait baptisée Mathilde.Elle pense à cette mère qu'elle n'a pas connue, cette mère dont elle sait avoir les traits, le sourire.
Puis il y a Caled qui a tenu à l'accompagner, est-ce le voyage en tout cas, ils se sont rapprochés osant laisser leurs sentiments se dévoiler.
Puis cette décision de partir pour elle, à peine rentrée à Perigueux elle filait mettre une annonce pour vendre son champ, elle écrivait au prévôt pour aller là où on aurait besoin d'elle. Espérant trouver cet endroit où on ne lui dirait pas " plus tard, après, trop tôt " quand elle proposait de faire des choses.
Voilà elle arrive devant son arbre, si elle s'écoutait, elle graverait au couteau son nom, car c'est son arbre ... Son endroit, son défouloir, son refuge. Assise sur sa cape le menton posé sur ses genoux face à la rivière comme chaque fois, elle remonte le temps, pas loin dans le passé, Juste à quelques jours, juste au jour de la veille de son départ pour Bergerac quand le comte lui a demandé de faire partie du conseil pour animer, pour aider ...
Puis il y a aussi celui qui va devenir son parrain, une idée qu'elle avait de faire partie de la grande famille Aristotélicienne, mais pour ça elle voulait quelqu'un en qui elle est confiance et qu'elle respecte et cela ne pouvait être que lui ...Le comte Pertacus mais surtout celui qui lui a souvent dit de tourner sa langue avant de parler , de sortir son joker sans hésitation....
Mais elle a pris le courage il y a peu de partir voir Bergerac, plusieurs raisons pour cela, mais une seule tout au fond de son cur étaient importantes. Voir le village qu'Adélaïde lui avait tant raconté, marcher dans ses ruelles qu'elle avait foulées, voir l'église où elle s'était mariée, ou elle avait baptisée Mathilde.Elle pense à cette mère qu'elle n'a pas connue, cette mère dont elle sait avoir les traits, le sourire.
Puis il y a Caled qui a tenu à l'accompagner, est-ce le voyage en tout cas, ils se sont rapprochés osant laisser leurs sentiments se dévoiler.
Puis cette décision de partir pour elle, à peine rentrée à Perigueux elle filait mettre une annonce pour vendre son champ, elle écrivait au prévôt pour aller là où on aurait besoin d'elle. Espérant trouver cet endroit où on ne lui dirait pas " plus tard, après, trop tôt " quand elle proposait de faire des choses.
Voilà elle arrive devant son arbre, si elle s'écoutait, elle graverait au couteau son nom, car c'est son arbre ... Son endroit, son défouloir, son refuge. Assise sur sa cape le menton posé sur ses genoux face à la rivière comme chaque fois, elle remonte le temps, pas loin dans le passé, Juste à quelques jours, juste au jour de la veille de son départ pour Bergerac quand le comte lui a demandé de faire partie du conseil pour animer, pour aider ...
Puis il y a aussi celui qui va devenir son parrain, une idée qu'elle avait de faire partie de la grande famille Aristotélicienne, mais pour ça elle voulait quelqu'un en qui elle est confiance et qu'elle respecte et cela ne pouvait être que lui ...Le comte Pertacus mais surtout celui qui lui a souvent dit de tourner sa langue avant de parler , de sortir son joker sans hésitation....