Bakhtan
Non, non et encore non !
Inutile de tendre loreille dans la pièce, si une mouche se trouve dans le bureau, elle ne peut que se faire entendre tant le silence qui suit les paroles dElle est lourd, pesant et total.
Le duc dAunou se fige. Ses traits se crispent. Comment la rumeur peut-elle déjà être arrivée aux oreilles des courtisans. Lui qui hésite encore à donner du crédit aux courriers reçus. Des paroles mi réconfortantes et angoissantes raisonnant encore dans sa tête, sur la marche à suivre. Qui ne font aucunement écho à celle de Germaine, qui elle, se plonge pour lui dans les démarches dusages.
Il ne veut, il ne ladmet pas. Cest plus quun échec pour lui de navoir pas réussi à la défendre, à la protéger.
Il y a ce « non » qui tourne en boucle dans sa tête, une voix familière quon lui arrache.
Il fulmine intérieurement, il boue le Duc, il est prêt à sen prendre à la terre entière. Il en veut à la terre entière !
Lencrier en marbre, avec les flacons en argent frappé du A de lAphrodite sera le premier à en ferre les frais, il est saisi dans une main et balancer par la fenêtre en direction de la rue, les petits disques en verre se brisent leurs fracas est amorti par le tapis du bureau tandis que dans la rue le marbre se brise à son tour et fait hurler une douairière passant par là en quête de son mari qui la échapper belle. A quelques centimètres près, elle aurai eu le crâne fracasser, on ne la reprendra plus à chercher son époux de ce côté de Paris.
La dame qui entend le duc crier sur Elle, préfère fuir encore un peu plus vite, craignant que le ciel ne continue de sabattre sur elle. Le courroux de Justin est tel, que les murs de lAphrodite vont probablement raisonner longtemps de son éclat de voix.
Vous ne devriez pas donner du crédit aux rumeurs, cest idiot, les gens disent nimportent quoi. Les gens sont tous débiles en ce bas monde, vile, et mesquin.
Se levant de son fauteuil, son poing se brise dans un miroir à deux pas du bureau, ensanglanté, il ne réagit pas à la douleur, il se retourne vers Elle, les bras le long du corps, on peut voir dans sa chair des morceaux de verres.
Sur un ton presque monocorde. Après ses éclats de voix et sa rage quil a extériorisé en saccageant le bureau.
Mais pour une fois, la rumeur est exacte. Aller donc colporter que la duchesse a été plus que probablement sauvagement assassinée.
Livide et se sentant idiot, il reste pantelant, ne sachant quel direction prendre. Pour la première fois, il réalise ce qu'il vient de dire .
_________________
Inutile de tendre loreille dans la pièce, si une mouche se trouve dans le bureau, elle ne peut que se faire entendre tant le silence qui suit les paroles dElle est lourd, pesant et total.
Le duc dAunou se fige. Ses traits se crispent. Comment la rumeur peut-elle déjà être arrivée aux oreilles des courtisans. Lui qui hésite encore à donner du crédit aux courriers reçus. Des paroles mi réconfortantes et angoissantes raisonnant encore dans sa tête, sur la marche à suivre. Qui ne font aucunement écho à celle de Germaine, qui elle, se plonge pour lui dans les démarches dusages.
Il ne veut, il ne ladmet pas. Cest plus quun échec pour lui de navoir pas réussi à la défendre, à la protéger.
Il y a ce « non » qui tourne en boucle dans sa tête, une voix familière quon lui arrache.
Il fulmine intérieurement, il boue le Duc, il est prêt à sen prendre à la terre entière. Il en veut à la terre entière !
Lencrier en marbre, avec les flacons en argent frappé du A de lAphrodite sera le premier à en ferre les frais, il est saisi dans une main et balancer par la fenêtre en direction de la rue, les petits disques en verre se brisent leurs fracas est amorti par le tapis du bureau tandis que dans la rue le marbre se brise à son tour et fait hurler une douairière passant par là en quête de son mari qui la échapper belle. A quelques centimètres près, elle aurai eu le crâne fracasser, on ne la reprendra plus à chercher son époux de ce côté de Paris.
La dame qui entend le duc crier sur Elle, préfère fuir encore un peu plus vite, craignant que le ciel ne continue de sabattre sur elle. Le courroux de Justin est tel, que les murs de lAphrodite vont probablement raisonner longtemps de son éclat de voix.
Vous ne devriez pas donner du crédit aux rumeurs, cest idiot, les gens disent nimportent quoi. Les gens sont tous débiles en ce bas monde, vile, et mesquin.
Se levant de son fauteuil, son poing se brise dans un miroir à deux pas du bureau, ensanglanté, il ne réagit pas à la douleur, il se retourne vers Elle, les bras le long du corps, on peut voir dans sa chair des morceaux de verres.
Sur un ton presque monocorde. Après ses éclats de voix et sa rage quil a extériorisé en saccageant le bureau.
Mais pour une fois, la rumeur est exacte. Aller donc colporter que la duchesse a été plus que probablement sauvagement assassinée.
Livide et se sentant idiot, il reste pantelant, ne sachant quel direction prendre. Pour la première fois, il réalise ce qu'il vient de dire .
_________________