Lylie_blanche
Red lips, a sinister tongue , It's my obsession, possession began
Captive, brûlée à vif, troublée sous cette respiration saccadée et douloureuse, le regard reste fixe, attentif, lascif alors qu'elle semble attendre la suite. L'esprit commence peu à peu à se roder, à se discipliner, parce quelle le veut, en a fait la demande, assume. Elle ne fait plus attention à l'image qu'elle peut renvoyer, à ce corps indécemment offert. Seul importe, l'idée d'être Sienne, de vivre, de ressentir chaque maux infligés, de les provoquer par quelques soubresauts d'usures pour mieux se sentir exister, vivre.
Doucement, les doigts s'animent au cur de cet autel et quelques plaintes s'échappent avec douceur de ses lippes. Brûlée, brûlante, Soumise l'est. Après les maux, vient la douceur qui se perd à ses reins pour mieux les échauffer et les panser. Yeux clos, elle savoure ce qui se perd à ses reins, cet outrage qui en flattant une face en fait frémir une autre.
Sans qu'un mot ou un ordre ne soit prononcé, l'ouïe se porte à ce bruit de métal que l'on pose au sol. Sous l'appréhension, la respiration se coupe, curieuse, anxieuse alors que le corps quant à lui se raidit d'angoisse pour mieux s'apaiser sous le contact d'une main ferme. Le galbe est pressé pour en avouer un fruit meurtri dont finalement, il vient à se repaître. Aussitôt, sous le contact de ses lippes aux siennes, de cette douleur à sa chair marquée à vif, le corps se tend. Douleur se meurt lentement au profit de ces distractions portée à son mont et à ses cuisses. Contraste est entêtant, enivrant..Soumise s'en gorge, s'en repaît. Offerte, le corps réagit, se fait plus moite, se dodeline pour mieux sentir sur ses poignets et à sa gorge, à son sein et à ses flanc le poids de son choix. Soupirs néanmoins se font plus pressants, plus marqués alors qu'il joue de sa langue jusqu'à éprouver cette vague et en frapper l'amorce. Grenade pourtant, même dégoupillée s'interdit. Éprouvée alors qu'en dehors des coups, c'est ce plaisir qui désormais se fait souffrance, torture délicieuse. Elle ne peut jouir, n'en a pas le droit. Elle le sait et c'est avec une ferveur certaine qu'elle s'applique pour ressentir d'avantage la douleur plutôt que ce plaisir offert qui pourrait avoir raison de sa parole, de son dévouement.
Vil et efficace, il se joue de ses doigts qui tiennent pour captif cette grenade dégoupillée et c'est le poing serré, les phalanges crispées et blanches malgré un corps chancelant qu'elle s'interdit ce lâché prise, cette jouissance qu'il ne cesse de provoquer, de titiller.
Brusquement, le jeu s'interrompt. Souffle est retrouvé alors que tempes échauffées et brouillées cherchent à apaiser ce braiser qui la consomme sans toutefois la consumer. Liens sont retirés et si Maître peut aisément se détourner d'Elle pour prendre ses aises et lui avouer un renflement flatteur dont elle s'estime encore indigne, ses mains elles, restent encore encrés à ce pilori.
La proposition lui avait été suggérée et c'était désormais à elle de lui prouver. Si elle souhaitait que ses propres lippes et son séant soient la seule source de sa jouissance mâle, encore fallait-il qu'elle en vaille la peine, qu'elle soit à la hauteur de cette offense, de cette interdiction qu'elle souhaite suggérer. Audacieuse, vulgaire, elle l'avait été et c'est à cet instant précis qu'elle comprend mieux l'affront.
Doucement, difficilement, l'échine se relève alors que le minois abandonne quelques grimaces. Sous l'étirement, sous ces muscles qui peu à peu reprennent leur fonction pour mieux la soutenir, la douleur se ravive. D'un regard, elle observe son corps, ce tracé carmin qui émanant de son sein coule et s'échoue à son nombril, les sillons imprimés à sa chair par le pilori et ceux, plus libérateurs qui avaient été marqués par le cuir. Ces blessures, ces marques sont Siennes et c'est ainsi qu'elle accepte, se contraint à faire un pas devant l'autre, affichant Ses parures, se délectant de la douleur qu'elles évoquent à son derme.
Lentement, Soumise s'avance jusqu'à la couche pour venir retrouver Son empreinte, son sillage. Regard interdit, l'évite alors qu'elle vient s'agenouiller à ses côtés, portant une main aux braies pour apporter plus de mou au tissu. Le geste se fait lent, marqué par un respect qui lui échappe. Blanche n'est plus, même à travers ce geste fait maintes fois. La putain n'a plus sa place. Hésitante, appliquée, elle joue de cette pièce nichée entre ses lippes pour mieux la coincer à ses molaires alors qu'elle n'avait pas reçu l'ordre de s'en séparer. Sans un mot, sans un soupir saccadé par les blessures qui se réveillent, sournoises en fonction de ses gestes, elle finit par libérer le renflement et par approcher son visage. Respiration se meurt à la chair alors que doucement, les lippes viennent à épouser la chair. Contact chaud d'un écrin qui n'a pour seul attrait, importance, différence, la présence docile et soumise d'une pièce au fond de bouche. Yeux clos, elle se fait douce alors que les lippes se serrent, que l'étau se fait plus envieux et que les phalanges autrefois blanchit d'avoir été trop serrées viennent à se faire fourreau, ferme et fluide. Il n'y a dans ses gestes aucune précipitation, tant la peur de mal faire et de le décevoir est inscrit, tant à ses tempes qu'à son derme. Elle découvre le poids d'un met que l'on se sait indigne d'avoir et que l'on déguste d'avantage, que l'on se doit de satisfaire avec dévotion pour ne pas que ce dernier nous soit de nouveau refusé, interdit. Langue se fait sournoise, jouant tant de cette pièce intrusive que de cette chair qu'elle se doit de flatter alors que visage imprime une gestuelle plus lascive, faisant luire malgré elle, les traits carmins de son échine.
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Captive, brûlée à vif, troublée sous cette respiration saccadée et douloureuse, le regard reste fixe, attentif, lascif alors qu'elle semble attendre la suite. L'esprit commence peu à peu à se roder, à se discipliner, parce quelle le veut, en a fait la demande, assume. Elle ne fait plus attention à l'image qu'elle peut renvoyer, à ce corps indécemment offert. Seul importe, l'idée d'être Sienne, de vivre, de ressentir chaque maux infligés, de les provoquer par quelques soubresauts d'usures pour mieux se sentir exister, vivre.
Doucement, les doigts s'animent au cur de cet autel et quelques plaintes s'échappent avec douceur de ses lippes. Brûlée, brûlante, Soumise l'est. Après les maux, vient la douceur qui se perd à ses reins pour mieux les échauffer et les panser. Yeux clos, elle savoure ce qui se perd à ses reins, cet outrage qui en flattant une face en fait frémir une autre.
Encore.
Sans qu'un mot ou un ordre ne soit prononcé, l'ouïe se porte à ce bruit de métal que l'on pose au sol. Sous l'appréhension, la respiration se coupe, curieuse, anxieuse alors que le corps quant à lui se raidit d'angoisse pour mieux s'apaiser sous le contact d'une main ferme. Le galbe est pressé pour en avouer un fruit meurtri dont finalement, il vient à se repaître. Aussitôt, sous le contact de ses lippes aux siennes, de cette douleur à sa chair marquée à vif, le corps se tend. Douleur se meurt lentement au profit de ces distractions portée à son mont et à ses cuisses. Contraste est entêtant, enivrant..Soumise s'en gorge, s'en repaît. Offerte, le corps réagit, se fait plus moite, se dodeline pour mieux sentir sur ses poignets et à sa gorge, à son sein et à ses flanc le poids de son choix. Soupirs néanmoins se font plus pressants, plus marqués alors qu'il joue de sa langue jusqu'à éprouver cette vague et en frapper l'amorce. Grenade pourtant, même dégoupillée s'interdit. Éprouvée alors qu'en dehors des coups, c'est ce plaisir qui désormais se fait souffrance, torture délicieuse. Elle ne peut jouir, n'en a pas le droit. Elle le sait et c'est avec une ferveur certaine qu'elle s'applique pour ressentir d'avantage la douleur plutôt que ce plaisir offert qui pourrait avoir raison de sa parole, de son dévouement.
Je n'en ai pas le droit.
Vil et efficace, il se joue de ses doigts qui tiennent pour captif cette grenade dégoupillée et c'est le poing serré, les phalanges crispées et blanches malgré un corps chancelant qu'elle s'interdit ce lâché prise, cette jouissance qu'il ne cesse de provoquer, de titiller.
Brusquement, le jeu s'interrompt. Souffle est retrouvé alors que tempes échauffées et brouillées cherchent à apaiser ce braiser qui la consomme sans toutefois la consumer. Liens sont retirés et si Maître peut aisément se détourner d'Elle pour prendre ses aises et lui avouer un renflement flatteur dont elle s'estime encore indigne, ses mains elles, restent encore encrés à ce pilori.
La proposition lui avait été suggérée et c'était désormais à elle de lui prouver. Si elle souhaitait que ses propres lippes et son séant soient la seule source de sa jouissance mâle, encore fallait-il qu'elle en vaille la peine, qu'elle soit à la hauteur de cette offense, de cette interdiction qu'elle souhaite suggérer. Audacieuse, vulgaire, elle l'avait été et c'est à cet instant précis qu'elle comprend mieux l'affront.
Doucement, difficilement, l'échine se relève alors que le minois abandonne quelques grimaces. Sous l'étirement, sous ces muscles qui peu à peu reprennent leur fonction pour mieux la soutenir, la douleur se ravive. D'un regard, elle observe son corps, ce tracé carmin qui émanant de son sein coule et s'échoue à son nombril, les sillons imprimés à sa chair par le pilori et ceux, plus libérateurs qui avaient été marqués par le cuir. Ces blessures, ces marques sont Siennes et c'est ainsi qu'elle accepte, se contraint à faire un pas devant l'autre, affichant Ses parures, se délectant de la douleur qu'elles évoquent à son derme.
Laissez-moi être Votre..
Lentement, Soumise s'avance jusqu'à la couche pour venir retrouver Son empreinte, son sillage. Regard interdit, l'évite alors qu'elle vient s'agenouiller à ses côtés, portant une main aux braies pour apporter plus de mou au tissu. Le geste se fait lent, marqué par un respect qui lui échappe. Blanche n'est plus, même à travers ce geste fait maintes fois. La putain n'a plus sa place. Hésitante, appliquée, elle joue de cette pièce nichée entre ses lippes pour mieux la coincer à ses molaires alors qu'elle n'avait pas reçu l'ordre de s'en séparer. Sans un mot, sans un soupir saccadé par les blessures qui se réveillent, sournoises en fonction de ses gestes, elle finit par libérer le renflement et par approcher son visage. Respiration se meurt à la chair alors que doucement, les lippes viennent à épouser la chair. Contact chaud d'un écrin qui n'a pour seul attrait, importance, différence, la présence docile et soumise d'une pièce au fond de bouche. Yeux clos, elle se fait douce alors que les lippes se serrent, que l'étau se fait plus envieux et que les phalanges autrefois blanchit d'avoir été trop serrées viennent à se faire fourreau, ferme et fluide. Il n'y a dans ses gestes aucune précipitation, tant la peur de mal faire et de le décevoir est inscrit, tant à ses tempes qu'à son derme. Elle découvre le poids d'un met que l'on se sait indigne d'avoir et que l'on déguste d'avantage, que l'on se doit de satisfaire avec dévotion pour ne pas que ce dernier nous soit de nouveau refusé, interdit. Langue se fait sournoise, jouant tant de cette pièce intrusive que de cette chair qu'elle se doit de flatter alors que visage imprime une gestuelle plus lascive, faisant luire malgré elle, les traits carmins de son échine.
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