Gabriel_
Gabriel n'était pas réellement orgueilleux, c'était plus la morgue de la jeunesse qui le faisait prendre cette attitude. Mais au fond, Gabriel connaissait une véritable faiblesse. Cette dernière avait été entrevue par le comte et la comtesse. Le jeune homme avait été fiancée avec sa propre soeur. Enfin pour être plus précis, il faudrait dire que ce n'était pas sa soeur de sang, mais que cette femme avait éduquée par sa propre mère comme si elle était sa fille, puisqu'elle était la fille de son ancien époux. Vous avez suivi ?
Cette faiblesse ne pouvait sembler qu'être superficielle alors qu'elle était intérieure. La psychologie de notre siècle pourrait trouver un certain nombre d'explication à cet aiguillon, mais l'homme du XVème n'y voyait que sensibilité déplacée, voire perversité démoniaque. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas songé à cette relation sous l'angle de l'interdit qu'on lui avait exposé. Alors, cela ravivait le sens de la reconquête au coeur du Bazaumont. Un jour son nom serait connu sur le monde.
Iban deviendrait un homme de valeur, à condition de se fortifier. Il le regarda se débattre puis s'énerver à en jeter son épée. Un rictus imprégna le visage blondin. Il n'aimait les éclats, il trouvait que cela trouvait l'ordre des choses et c'était la raison pour laquelle il n'élevait que rarement la voix. Le capitaine l'invita à continuer les passes, avec plus de vigueur. Le laïus à l'endroit du basque fait, Gabriel lança une attaque. Il n'avait pas prévu que le capitaine répondrait aussi fortement, ni même soupçonné que l'homme qu'il voyait plus comme un vieillard alcolo qu'autre chose soit si fort et si habille.
Si bien que le Bazaumont, au deuxième assaut mit toutes ses forces. Tellement qu'il se laissa embarquer dans son mouvement, trébucha à moitié sur le capitaine et chut comme un sac de patate, lâchant son épée.
Bourdiou d'merde !
La honte intégrale. Du coup, il feignit au sol d'être blessé, en mode joueur de foot italien. Attendant de voir la réaction des autres.
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Cette faiblesse ne pouvait sembler qu'être superficielle alors qu'elle était intérieure. La psychologie de notre siècle pourrait trouver un certain nombre d'explication à cet aiguillon, mais l'homme du XVème n'y voyait que sensibilité déplacée, voire perversité démoniaque. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas songé à cette relation sous l'angle de l'interdit qu'on lui avait exposé. Alors, cela ravivait le sens de la reconquête au coeur du Bazaumont. Un jour son nom serait connu sur le monde.
Iban deviendrait un homme de valeur, à condition de se fortifier. Il le regarda se débattre puis s'énerver à en jeter son épée. Un rictus imprégna le visage blondin. Il n'aimait les éclats, il trouvait que cela trouvait l'ordre des choses et c'était la raison pour laquelle il n'élevait que rarement la voix. Le capitaine l'invita à continuer les passes, avec plus de vigueur. Le laïus à l'endroit du basque fait, Gabriel lança une attaque. Il n'avait pas prévu que le capitaine répondrait aussi fortement, ni même soupçonné que l'homme qu'il voyait plus comme un vieillard alcolo qu'autre chose soit si fort et si habille.
Si bien que le Bazaumont, au deuxième assaut mit toutes ses forces. Tellement qu'il se laissa embarquer dans son mouvement, trébucha à moitié sur le capitaine et chut comme un sac de patate, lâchant son épée.
Bourdiou d'merde !
La honte intégrale. Du coup, il feignit au sol d'être blessé, en mode joueur de foot italien. Attendant de voir la réaction des autres.
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