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[RP] "A la croqueuse de pHommes"

--Chacal
Chacal était confortablement installé dans le bain. Il regardait évoluer Grenade autour de lui. Celle-ci s'eloigna du baquet et revint avec dans les mains un petit flacon et un linge. Il l'observa qui verser quelques gouttes d'une étrange mixture dans le bain. Les gouttes à peine mélangées à l'eau, Chacal put percevoir un agréable parfum. Il se cala confortablement contre la paroi du baquet, sans cesser de reluquer la tentatrice.

Il la regarda faire mousser le savon sur le linge qu'elle avait toujours en main. Il la vit se diriger vers le baquet et sourit lorsque celle-ci s'agenouilla et commença à lui savonner le torse en de lents mouvements circulaires. Chacal fut parcouru de frissons lorsque la jeune femme remplaça le linge par ses mains. Il esquissa une caresse, il effleura du doigt la peau si douce de son bras, remonta jusqu'à l'épaule qu'il caressa aussi. Il lui adressa un sourire.

Chacal, qui se demandait ce que serait la suite, vit se redresser Grenade. Il la regarda se rincer les mains et sourit de plus belle lorsque celle-ci commença à délacer la robe. Le vêtement, en quelques secondes se retrouva par terre aux pieds de Grenade. Chacal profita que Grenade restait immobile pour admirer ce corps si bien proportionné. Un délice pour les yeux. Des épaules satinées, Chacal avait déjà eu le loisir de toucher cette peau si douce, il n'avait qu'une seule envie, réitérer l'expérience ; des cuisses et des mollets très bien galbés, une poitrine ferme et haut perché. Chacal comptempla Grenade qui s'approchait du bassin. Il la regarda enjamber le baquet et s'installer avec lui dans le bain. Le baquet n'était décidemment pas fait pour deux personnes, fut la première chose qui vint à l'esprit de Chacal ; mais il changea rapidement d'opinion quand Grenade plaça ses cuisses autour de sa taille.

Chacal fixa alors Grenade et lui sourit mais son regard fut irrémédiablement attiré par sa poitrine. Ses seins étaient deux globes parfaits. Chacal ne cessait de les regarder, il fut donc surpris lorsque la tentatrice lui tendit le linge savonneux. Un sourire fendit le visage de Chacal jusqu'aux oreilles. Il allait pouvoir caresser ce corps parfait tout à son aise, pensa-t-il.

Chacal se rapprocha de la jeune femme, il commença par lui savonner les épaules, il continua sur la gorge et laissa descendre tout doucement ses mouvements vers sa superbe poitrine. Une fois que la peau de Grenade fut recouverte de savon, Chacal décida de céder à son envie de l'instant, à savoir caresser la peau soyeuse de Grenade. Il laissa tomber le linge dans l'eau et laissa ses mains vagabonder sur le corps de la jeune femme. Il passa ses mains derrière Grenade, lui effleura le dos du bout des doigts, les promena le long de la colonne vertébrale, sur ses côtes pour les ramener sous sa poitrine. Chacal se pencha alors en avant et embrassa délicatement son épaule, sa clavicule et continua vers son cou.
Arrivé à la base du cou, Chacal la mordilla doucement. Il se redressa et fixa son regard à celui de Grenade, approcha son visage du sien et déposa un léger baiser sur ses lèvres. Pendant ce temps, il vint placer ses mains sur la poitrine de la jeune femme, et repris ses effleurements. Chacal n'insista pas sur la poitrine, descendit sur le ventre et laissa glisser ses mains sous l'eau. Il caressa les jambes de Grenade sur toute la longueur, orienta ses mains vers le superbe fessier qu'il avait pu apercevoir quelques instants avant que Grenade ne vienne le rejoindre dans le bain et le caressa. Chacal regarda à nouveau Grenade et lui sourit. Il attendit de voir la réaction de la jeune femme.
Grenade
Alors qu’elle s’était libérée du tissu savonneux en le tendant à son compagnon, Grenade passa doucement les mains derrière sa nuque, saisit sa longue chevelure luisante, la fit tourner et la remonta sur le haut de sa tête. Elle attrapa un fin bâton de bois qu’elle planta dans la soyeuse tignasse.
Le cou ainsi dégagé, Grenade s’adossa doucement contre le bac.
Un long frisson traversa la jeune femme. Sûrement, la fraîcheur du métal. C’est du moins ce qu’elle préférait se dire. Chacal, qui l’avait déjà savonnée, commençait à faire sensuellement courir ses doigts sur son corps, ce qui à son grand étonnement ne la laissait pas indifférente.

Le jeune homme s’était alors approché, avait posé ses lèvres sur le cou de la baigneuse qui instinctivement basculait la tête sur le côté pour offrir à son hôte plus de surface à mordiller.
La sensuelle morsure enveloppa Grenade d’une sensation très agréable.
La jolie brune n’était qu’au début de ses surprises.
Le sieur Chacal s’avérait être un tendre !
Le doux baiser déposé à ses lèvres lui en donna la preuve.
Cela faisait des lustres que la belle n’avait pas été embrassée de la sorte.
Décidément, ce Chacal n’avait rien de commun avec les habitués des lieux.


« Garde un cœur de pierre » lui avait sans cesse rabâché sa sorcière de maquerelle. * Qu’elle pourrisse en enfer*, songea Grenade, *elle et les maudits gorets qui l’avaient souillée sans qu’elle ne l’eut voulu.*
A présent, elle pensait tout autrement.
Elle tentait, dès que le talent et le physique de ses clients le permettaient de rallier travail et plaisir.
Et à cet instant précis, dans ce bain, offerte aux mains agiles de Chacal, la jeune femme sentait doucement le désir chatouiller le creux de ses reins.
Elle se résolut donc à se laisser aller.

Elle se cambra progressivement sous les caresses qui descendaient de ses épaules à son échine, qui voyageaient sur sa poitrine bombée, déambulaient sur ses cuisses pour atteindre enfin le bas de son dos.

Chacal était calme et détendu.
Pourtant, lorsque Grenade releva doucement une de ses cuisses pour caresser la hanche de son partenaire, elle s’aperçut que ce n’était pas le cas de toutes les parties de son corps.
Enchantée d’avoir pu si rapidement réveiller le pion principal de leur futur jeu voluptueux, grenade se redressa souplement et vint accoler son corps à celui de Chacal.
Au contact de sa peau à la sienne, elle laissa échapper un léger soupir.
Puis, mordillant à son tour le lobe soyeux de l’oreille de son vaillant gaillard, elle descendit sensuellement ses mains le long de son dos. Atteignant ses hanches, elle se rapprocha encore, plaquant son bassin au sien, histoire d’affoler une bonne fois pour toute le valeureux soldat au garde à vous.
L’attaque était lancée. Chacal avait maintenant l’offensive
.
--Castrix
Castrix venait en catimini vérifier les rumeurs qui couraient ces derniers jours... Il s'approcha de la masure et jeta un coup d'oeil par la fenêtre.
Ce qu'il y vit ne lui laissa aucun doute. Ainsi une jeune fille c'était installé à son compte, sans rien lui demander...Lui qui gérait les filles du coins depuis plus de 15 années...

Pour sur, et aussi jolie qu'elle soit, elle allait le regretter...

Pour l'heure, castrix s'eclipsa dans la nuit. Elle était accompagné d'un homme qui pouvait se reveler être dangereux, et mieux valait attendre qu'elle soit seule pour lui faire passer le "message..."
--Chacal
Chacal entendit le léger soupir de Grenade lorsque celle-ci vint accoler son corps au sien. Elle commença à lui mordre le lobe de l'oreille, à lui caresser le dos, Chacal fut alors parcouru de frissons et sa température monta en flèche lorsque la jolie tentatrice vint coller son bassin au sien. Chacal fixa son regard à celui de Grenade, il vint poser ses mains sur ses hanches pour les caresser, mit ensuite ses mains sur les reins de Grenade et l'attira plus prêt encore contre lui. La preuve de son désir pour la jeune femme était assez manifeste. Il sourit à Grenade.

Il se redressa quelque peu dans le bain, tout en la maintenant serrée contre lui, il la fit basculer , l'adossa contre la paroi du baquet et repris l'exploration de ce corps si parfait. Chacal embrassa de nouveau Grenade dans le cou, lui lécha le lobe de l'oreille, dériva sur les épaules. Chacal continua ses baisers en descendant sur la poitrine de Grenade. Chacal commença à mordiller le dessus de sa poitrine bombée, l'embrassa, prit la pointe érigée dans sa bouche et la taquina de la langue.

Pendant ce temps, les mains de Chacal étaient toujours aussi baladeuses, elles caressaient les hanches voluptueuses de la jeune femme, le renflement de son superbe fessier, ses cuisses magnifiquement proportionnées.

Chacal, qui était toujours plein d'attention pour la poitrine de Grenade, put percevoir le changement de rythme de la respiration de la jeune femme. Celle-ci, qui était régulière quelques instants auparavant, devint saccadée, il sentit également les battements de son cœur qui s'affolaient.

Chacal, se redressa alors et approcha son visage de celui de la jeune femme, il hésita un instant et l'embrassa tendrement mais intensément. Il colla son corps contre celui de Grenade, mais fut gêné dans ses mouvements pas le bord du baquet. Ce bain, pourtant fort agréable, n'était cependant pas l'endroit le plus pratique pour la suite des opérations. Il lui murmura donc :


Et si nous sortions de ce bain, nous manquons un peu de place. Ce serait sans doute plus confortable, non?. De plus l'eau commence à refroidir et je ne voudrai pas que vous attrapiez froid.

Chacal déposa un baiser sur son sein, se redressa complètement, se leva et sorti du bain. Il aperçut, posé sur un fauteuil, un plaid. Il alla le chercher, revint vers le bassin, le déplia et attendit que Grenade vienne le rejoindre.
Grenade
Chacal entreprenait un travail d’expert sur le corps de la belle. Ce jeune homme savait allier tendresse et fermeté et Grenade s’en affolait.
La moiteur des lèvres généreuses à sa peau de porcelaine, la souplesse d’une langue agile explorant les paysages vallonnés de sa poitrine, les doigts glissants tantôt avec finesse tantôt la maintenant fermement tout contre le corps tendu de Chacal… Le moindre de ces mouvements troublaient les émois de la jeune brune.
Chacal l’avait emprisonnée contre le bord du baquet la serrant tout contre lui. Il l’embrassa à nouveau plus intensément. L’étonnement du premier baiser avait fait place à la fougue, et Grenade vint malicieusement faire danser sa langue à celle de son tendre bourreau.
Les saveurs de poires bues quelques instants auparavant, associées aux ardeurs du baiser ne fit qu’accroître le désir de la jolie brune.

Alors qu’elle était déjà offerte, Chacal s’éloigna de la ténébreuse et sortit du bain.


Chacal a écrit:
" … nous manquons un peu de place… De plus l'eau commence à refroidir et je ne voudrai pas que vous attrapiez froid. "


Ne quittant pas des yeux le corps doré de son charmant client, Grenade sourit à l’attention qu’il lui portait.
Elle lui répondit d’un ton suave :

« Vos désirs seront les miens ! »

Elle sortit du bac aussi gracieusement que possible avec, toujours pour intention première, se faire désirer encore et encore.
Les gouttelettes d’eau déferlant le long de son corps ainsi que la fraîcheur ambiante de la pièce saisit la peau de la belle de nuit, resserrant le moindre de ses pores.
La jeune promise alla vers la cheminée, saisit un tisonnier et repoussa une bûche dans l’âtre afin d’alimenter le foyer.
Une lumière chaleureuse envahit la pièce faisant danser les ombres sur les murs fissurés.
Soudain, Grenade se retourna vivement. Il lui semblait avoir aperçu une silhouette non loin de sa fenêtre.
Encore une fausse inquiétude, sûrement.
Elle glissa tout de même, un œil furtif sur la porte, afin de vérifier le loquet fermé puis bifurqua son regard vers un petit guéridon dans le coin de la pièce.
La poignée brillante de sa dague scintillait sous la lueur des flammes.
Il n’y avait pas de quoi s’inquiéter.

Alors, chaloupante à souhaits, elle vint rejoindre le bel Apollon déjà installé sur une couche de fortune à même le sol.
Ce corps nu allongé, rappela à Grenade une gravure qu’elle avait observée chez un de ses riches clients.

« Voici un athlète de la Grèce Antique… » lui avait-il dit…
Grenade sourit doucement.
L’athlète était chez elle, et n’attendait qu’elle pour débuter le match !

Elle s’étendit près de lui, captura son regard et frôla du bout de ses doigts le rose des lèvres charnues de Chacal.
Elle entama alors une longue caresse descendante partant des épaules, filant sur le torse, s’attardant quelques instants sur le ventre pour atteindre enfin, son but extrême entre les cuisses frissonnantes de son compagnon de jeu.
D’une étreinte langoureuse, elle s’y attarda longuement, remarquant que le froid environnant n’avait aucunement faiblit les ardeurs de son sportif.
Continuant les va et viens ensorceleurs de ses doigts de fée, elle attirait doucement Chacal au dessus d’elle.

*Les hommes aiment penser avoir le dessus* songea t-elle.
L’idée d’être dominée à cet instant la charmait d’autant plus.
--Chacal
Citation:
"Vos désirs seront les miens!"


Chacal regarda Grenade sortir du baquet, il s'aperçut que celle-ci avait un peu froid, des frissons parcouraient sa peau, et certaines zones de son corps étaient plus réactives que d'autres à la fraîcheur de la pièce, mais ce n'était peut être pas la seule cause de cet état de fait.

Pendant que Grenade allait alimenter le feu, Chacal étendit le plaid devant la cheminée, s'y allongea et attendit la belle tentatrice. Il sourit lorsque Grenade vint s'installer près de lui. Il passa sa langue sur le bout des doigts de Grenade lorsqu'elle vint lui caresser les lèvres. Le désir vint encore plus lui chatouiller les reins lorsque la belle fit courir ses mains sur son corps et qu'elle orienta ses caresses vers son entrejambe.

Chacal eut quelque difficultés à respirer lorsque Grenade s'attarda à cet endroit, les battements de son coeur s'affolèrent. Sans s'en rendre compte, tellement ensorcelé qu'il était par les caresses de la belle, Chacal se retrouva au dessus de Grenade. Il l'embrassa passionnément et colla son bassin au sien. Chacal parsema de baisers la poitrine de Grenade. Il caressa les hanches, les cuisses de sa partenaire et décida de passer à l'offensive.


[...] laissé à votre imagination


Chacal reprit sa respiration pour essayer de calmer les battements précipités de son coeur. Il jeta un coup d'oeil à Grenade qui restait alanguie à côté. Il lui sourit, lui caressa le dos, l'embrassa sur l'épaule. Il se leva, se rhabilla, ralluma le feu qui était éteint depuis longtemps et sortit de la maison de la belle tentatrice.

Chacal fut saisi par le froid extérieur, il était quelque peu fatigué par sa nuit. Le soleil se lèverait bientôt, il fallait donc que Chacal aille tout de même se reposer quelques heures avant la journée de labeur qui l'attendait. Il se remémora la soirée et se dit qu'il avait passé un agréable moment en compagnie de la jeune femme. Qui sait peut être reviendrait- il la voir!

Sur cette pensée, Chacal rentra chez lui pour se reposer.
--Babunda
Jeune, belle et fraichement réveillée, Babunda toqua à la porte de la masure, armée de son panier de fruits, comme pour souhaiter la bienvenue.

Croyant entendre un bruit qu'elle interpréta comme une approbation, la jeune femme poussa la porte et entra timidement.

D'un coup d'œil expert, elle jaugea la pièce, ses entrées, ses sorties, et surtout ses occupants. En l'occurrence, la jeune trainée était seule.

"Bonjour Bella, je me présente je suis Babunda, une...voisine comme qui dirait! Je suis là pour...vous souhaiter la bienvenue parmi nous!"

La jeune femme déposa le panier sur le palier et sans plus attendre, recula doucement jusqu'à la porte ou elle sembla jeter un coup d'œil insistant à l'extérieur, puis elle se retourna vers Grenade et afficha un sourire de circonstance, attendant désormais que ce qui devait se passer se passe...
Drizzt
Drizzt, Sergent de police de la ville, recemment rentré de voyage depuis peu, arriva a ce drole d'endroit, puis essaye de bien comprendre...

- A la quoi?!? Nan ! Mais c'est quoi s'te blague ( o_O" )

Drizzt prit un air dépité face a l'enseigne de la maison.

-Faut que je voye ce que c'est ( -_-" )

Drizzt commenca a entrer quand il vit les deux jeunes femmes.

-Bonjour mesdames, puis-je savoir ce qu'est ce genre d'endroit, c'est légale?

Drizzt mis ses deux mains derriere le dos et attendit la réponse des deux femmes.

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Grenade
Chacal était incontestablement l’athlète attendu. Il n’avait pas fallu longtemps à Grenade pour réveiller son âme de sportif.
A peine avait-il pris le dessus, qu’un torrent de passion la submergea.
Caresses extrêmes, respirations saccadées, soupirs incontrôlés… Le mélange harmonieux de leur corps transpirants les mena enfin à un repos mérité.

Chacal s’était rapidement relevé et était parti aussi vite qu’il était venu.
Grenade aimait les hommes qui ne passaient pas trois heures à la bassiner avec leurs problèmes conjugaux une fois l’acte accompli.
Elle se redressa à son tour, et se glissa à nouveau dans l’eau froide du baquet.
Elle se hâta de se savonner, claquant des dents sous la fraîcheur du bain.
*Ca raffermit les chairs*, songea-t-elle pour se donner du courage.
Puis elle sortit grelottante et alla se sécher près du feu crépitant.
La belle enfila alors une longue tunique de soie vert émeraude qu’elle ceintura sur le devant.
Elle ramassa ses bas, les enfila et y glissa, par réflexe, la dague qui était posée jusqu’alors sur le guéridon.
Elle laissa ensuite retomber sa longue chevelure brune sur ses épaules et la brossa minutieusement.
Grenade arrangea enfin la pièce et alla ramasser la couverture qui jonchait encore le sol.

C’est alors que la porte d’entrée s’ouvrit laissant apparaître une femme, un panier à la main.
Grenade avait pour habitude de se méfier des donzelles qui entraient dans sa demeure, mais Mortagne semblait être une ville d’exception et Fraxie et Laeti, lui avaient fait un tel accueil qu’elle décidait de mettre ses doutes de côté. Elle déclara :


« Bonjour, jolie dame, que puis-je faire pour vous ? »

La femme au panier n’avait pas encore répondu, qu’un homme entra derrière elle.
Décidément c’était jour d’affluence !
Il était bien vêtu et avait les traits sévères.


Drizztus a écrit:
« Bonjour mesdames, puis-je savoir ce qu'est ce genre d'endroit, c'est légal? »


« Bonjour, vous êtes au temple du plaisir cher messire et à ma connaissance, aucune loi interdisant les hommes et les femmes aux bonheurs charnel et spirituel n’a encore été écrite ! »

Grenade fixa le bel homme dans les yeux avec un regard envoûtant comme elle savait si bien les faire.
Drizzt
Drizzt écouta les jusitificatifs de la personne.

-Bon tres bien, c'est vrai qu'aucun article ne fait objection a ca. Du moment que je n'ai pas de plainte sur votre entreprise... euh... du plaisir charnel comme vous le dites si bien. Vous n'aurez pas de probleme.

Drizzt regarda Grenade jouer du regard et détourna le sien.

-Bon sur ceux je vous laisse tranquile, j'etais intrigué par l'enseigne.

Drizzt salua les deux dames et fit volt face pour quitter les lieux

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--Babunda
Le cœur de Babunda accéléra subitement lorsque le nouvel arrivant se présenta en tant que policier. Une perle de sueur roula le long de sa tempe.
Que venait-il faire ici celui-là? Il prétendait ne pas être en connaissance de ce genre d'établissement alors même que les policiers en étaient les clients privilégiés...
"IL vient voir la tête de la nouvelle" se dit-elle alors que grenade prenait la situation en main.

Fort heureusement, le policier dégagea aussi vite qu'il était apparu et Babunda retrouva son calme.

"Bien comme je vous le disais je viens vous souhaiter la bienvenue! Dites moi vous avez monté votre affaire très vite et vous êtes devenue....un sujet de conversation privilégiée en ville..."

Alors même qu'elle disait ça, Babunda guettait de l'œil l'extérieur de la masure...Que faisait-il ? Elle avait hâte de s'en aller et de ne plus être mêlé à ce qui allait se passer ici...
--Castrix
Castrix avait d'abord attendu le signal...Il s'était avancé à pas de loup dès qu'il l'avait vu mais s'était stoppé net avec l'arrivée de l'agent.

"Fouttre de Meerde..Il vient quand même pas en besogner une en plein service!?"

Le temps de redresser sa course sur le chemin et de jouer au baladeur lambda, que le policier en question était reparti.

"Tous les même les policiers...ils font dans leur braies dès qu'ils voient un bout de tétons..."

Enfin libre, Castrix dévora l'espace qui le séparait de la maison, maltraita la porte d'un grand coup de pieds et s'engouffra dans la maison de charme.

IL bouscula Babunda qui se présentais de dos. Laquelle chuta lourdement sur le coté.

"Degage toi! Tu rentres maintenant t'as du travail!"

Puis, toujours dans le même élan, il élança le revers de son bras qui vient s'écraser sur le visage de la petite catin qui avait osée le défier, lui, sur ses terres. N'en ayant pas finit avec elle, et étant dans le genre de rage incontrôlable qui lui arrivait près d'une fois par jours, et dont ses filles en faisaient invariablement les frais, il l'attrapa par les cheveux, lui recolla une violente gifle puis tira sur ses cheveux pour rapprocher leur deux visages.

"Maintenant regarde moi bien petite trainée, ici les filles c'est moi qui les protège. Et toi y'a personne pour te proteger tu vois? Alors si tu veux continuer à faire tourner tes miches comme ça à tous les vieux dégueulasse de cette ville, va falloir le faire comme les autres, avec l'assurance sécurité...Si j'te vois encore à travailler à ton compte, j'peux te promettre que je serais pas là pour empêcher ta maison de bruler avec toi dedans...

Il la regarda bien, pour sur qu'avec une telle pépite, son commerce allait fleurir de plus belle. La violence, la domination, toute cette scène donnait à Castrix l'envie de lui montrer de quoi était permis le patron.
Il l'a releva avant de la lancer violemment à terre, puis commença à ôter sa ceinture en affichant un sourire goguenard...
--Tysha
Tysha apparue dans l'encadrement de la porte.
Toutes griffes et crocs dehors, elle grognait en direction de l'homme qui ne semblait guere amicale.


Elle detestait que l'on s'en prenent a une femme.
Fraxie
Fraxie se promenait dans Mortagne quand passant à proximité de la rue où exercer Grenade elle décida de faire un petit détour…

Cela faisait longtemps qu’elle n’avait croisé en taverne cette dame à la discussion fort plaisante et sensée…les gens en apparence décalés dans leurs actes étaient souvent fort sages et philosophes, elle ne doutait plus que sa profession, les douleurs traversées, l’obligatoire distance à prendre face à l’humain lui avait donné un précieux supplément d’âme….
Cela ferait peut être bien jaser si on la voyait frapper à sa porte mais cela l’amusait plus qu’autre chose…
Enfin elle ne la dérangerait pas si sa lanterne était allumée !

En arrivant dans la rue une jeune femme qu’elle ne connaissait pas la bouscula en courant, le visage rouge de larmes semblant fuir le diable en personne. Fraxie la regarda disparaître au coin de la rue intriguée puis regardant à nouveau vers « l’échoppe » de Grenade elle constata que la lanterne était éteinte.
Elle pressa le pas et crue soudain comprendre pourquoi la donzelle fuyait aussi vite. De la porte entrouverte dépassait une longue queue poilue blanche et mouchetée battant l’air avec rage au rythme de rageurs feulements…

Une panthère des neiges….
Une panthère ?????

Mortagne était une ville de félins, ça elle le savait déjà mais cette panthère là, elle ne l’avait jamais vu encore….se serait elle échappée d’un cirque qui serait passé en la ville ?
En tout cas sur elle allait effrayer plus d’un habitant ici !!!!

Inquiète pour Grenade Fraxie s’approcha calmement de l’animal, les gros chats ça la connaissait….elle se plaça doucement derrière l’animal en ne cessant de parler d’une voix douce et posée…l’animal lui jeta un regard dans lequel elle ne vit nulle cruauté puis se retournant vers l’intérieur repris de plus belle ses grognements dissuasifs…
Mais que se passait il ici nom de nom !!!!!
Fraxie s’avança et sans quitter des yeux le magnifique félin, posa sa main sur la tête de l’animal aux oreilles rabattues sur l’arrière, lui flatta la gorge ne cessant de lui parler puis quand elle la sentit en confiance à son égard elle risqua enfin un regard dans la pièce…

Elle ne put réprimer un grand cri mêlant rage et incompréhension…
Grenade était à terre, le visage tuméfié, sa tunique de soie verte tachée de sang et un homme était là, debout face à elle, le ceinturon défait, le visage mauvais, son être tout entier dégageant une impression de vice et de violence à laquelle Mortagne ne l’avait point habitué, mais qu’elle connaissait bien, oui, trop bien….

Apercevant quelques passants plus loin dans la rue elle hurla à l’aide puis sa main aussitôt tira de son bas la fine lame qui ne la quittait pas et profitant du regard encore emplis de terreur et d’incrédulité de l’homme face à la panthère, elle l’en menaça en le défiant du regard……il ne s’en tirerait pas comme ça…..

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Ricks
Ricks s'était enfin décidé à tenir sa parole. Cela faisait déjà quelques temps qu'il avait promis à Grenade de passer boire un coup chez elle. Alors, prenant sous le bras une bouteille de rhum que Fraxie lui avait offerte et oubliant volontairement tous ses sous à la maison, il s'en alla à la croqueuse de pHommes.

..................

Arrivant devant l'établissement, il entendit un hurlement d'appel à l'aide qui le fit frémir. Il connaissait trop cette voix pour s'avancer calmement. Elle venait de chez Grenade en plus. Malgré la haute estime qu'il avait pour le rhum et encore plus pour les cadeaux de Fraxie, il laissa tomber la bouteille et fonça à toute allure vers la porte. Son sang n'avait fait qu'un tour lorsqu'il avait reconnu la voix de sa douce. Il lui semblait n'avoir jamais eu aussi peur de sa vie.

Il arriva au seuil de l'échope et y vit une panthère blanche. Elle feulait d'une manière qu'il connaissait bien. Mais cela ne lui était point adresser, alors s'avançant, il la caressa rapidement afin qu'elle sente qu'il n'avait pas d'intentions hostiles. Puis il passa le corps à l'intérieur de la maisonnée qu'il découvrait pour la première foias.
Qu'elle ne fut pas sa rage lorsqu'il vit Grenade à terre apparement violentée, et Fraxie qui n'avait rien mais qui tenait de sa lame un individu aussi hideux qu'effrayé.


"Que se passe t-il ici ?" dit Ricks de sa voix de stentor la plus grave possible.
La porte était bien gardée par la panthère.
Fraxie était farouchement décidée à en découdre si l'homme osait un mouvement brusque.
Il n'avait aucun échappatoire.

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