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[RP] "A la croqueuse de pHommes"

Shining
Shining regarda la charmante demoiselle avec un air malicieux, mit sa main droite sur son aumonière et y chercha quelques écus.

Malheureusement je n'ai que quelques pièces ça et là dans ma bourse!
Pourtant je travaille sans relâche, jour après jour à la mine, sans compter mes heures et sans me plaindre de mes douleurs!


Se tient le dos tout en parlant.

J'ai, peut être, 10 écus à tout casser! Mais n'ayez crainte je reviendrai avec plus et vous ferez connaître l''extase!

Lui fit un petit rictus, une bise sur la joue et passa la porte en baissant la tête.
Shining
Lors d'une soirée passée en taverne en joyeuse compagnie, Shining voulu écrire un poème à Grenade.
Il prit sa plus belle plume, un fond d'encrier, et un bout de parchemin trouvé sous le comptoir.


Citation:
Femme aux formes généreuses,
Invite aux caresses délicieuses,
Du bout des doigts j’effleure votre visage,
Si près du mien, vous êtes si sage.

Femme aux rondeurs mystérieuses,
Passant la main sur vos courbes onctueuses,
De la tête jusqu’aux pieds,
Tout cela à merveille me sied.

Femme pudique et si exquise,
Un simple souffle de simples bises,
Vous fais frissonner sous la chaleur,
De mes doigts avec tant de douceur.

Femme belle j’imagine vos contours
Aphrodite, déesse de l’amour,
Parcourant votre corps avec délices,
Acceptant à présent les prémices.

Femmes aimantes et si caressantes,
J’aime ces douleurs si oppressantes,
Effleurant de ma main votre cubitus,
Avec ma langue votre Mont de Vénus.

De vos seins laiteux,
De ces plaisirs crémeux
De ma bouche qui est tienne
De ta courbe qui est mienne.

Femme que j’aime et que j’adore
Femme que j’aime et que j’implore,

Femme femme femme
De la liaison coquine
A la botte Florentine
De la caresse d’une cuisse
Et de ma main qui ne glisse


Il roula le morceau de papier, le fixa à la patte de son pigeon voyageur et le vit voler en direction du commerce de Dame Grenade.
Fraxie
(...)

D’errance en tavernes vides, de tristesse en ruelles, de coup de gnole en averses venteuses, Fraxie trainait ses pas de plus en plus titubants au hasard de la ville….
Sainte boulasse, malgré moult suppliques, se refusait encore à la faire sombrer dans l’oubli….demain serait un autre jour….mais diantre que cette nuit était longue…..
Alors, mais était ce vraiment un hasard, elle reconnue soudain une rue familière où, à une des maisons, chahutée par le vent, se balançait la silhouette d’une lanterne éteinte…

Il était tard…fort tard….et ses jupons trempés, ses yeux qu’elle sentait rougis de larmes lui firent hésiter l’espace d’un instant de frapper à la porte de sa fidèle et précieuse amie….elle n’aimait pas se montrer ainsi….imposer aux autres d’intimes chagrins….

Le souvenir de ce matin printanier en Franche-Comté où elle s’était glissé dans la roulotte de Grenade lui revint en mémoire…..Ses lèvres se fendirent d’un sourire mélancolique alors qu’elle s’appuyait lourdement au mur regardant sans la voir la danse solitaire de la lanterne….Len…le parrain…Ite….le Rapace…..que ce doux temps joyeux semblait loin maintenant……

La porte était là….juste là….essuyant ses yeux d’un revers de manche humide, elle frappa…nulle réponse….elle appuya sur la poignée qui céda s’ouvrant sur le couloir plongé dans l’obscurité….Grenade devait dormir…. Connaissant son habitude de toujours avoir sa dague sous l’oreiller et ne voulant point la voir lui tomber dessus avec, elle s’écria d’une voix qu’elle aurait voulu plus claire et moins pâteuse

Ma priiiiiicessse *hips*…….c’est moué*hips*………dégustation surprise de *hips* gnôle !!!!!!

Et s’avançant un peu à tâtons à l’intérieur, elle heurta le guéridon posé là, et s’affala à terre dans un juron à réveiller tout le quartier…..

_________________
Grenade
Une douce lueur de bougie presque éteinte éclairait le lit sur lequel Grenade, vêtue d’une tunique légère, s’était assoupie.
Dans son sommeil, son bel intelligent nu comme un apollon voltigeait doucement jusqu’à elle.
Alors qu’il l’enlaçait et s’apprêtait à la croquer avec vigueur, un hurlement primaire fit soudain sursauter la belle de nuit.
Sans aucune inquiétude, Grenade se força à refermer les paupières afin de terminer son rêve.
Elle eut beau chercher à gauche, à droite, plus de joli garçon, plus d’étreinte, que du noir.

La brune déçue lâcha un
« Et chiotte! » de dédain, et se redressa avec flemme.
Alors qu’elle allumait une seconde bougie avec la flamme mourante de la première un grand fracas la fit sursauter, manquant de peu de la cramer vive !

Grenade poussa un long soupire puis se dirigea vers la pièce à vivre.
Bien qu’elle eut été à moitié endormie, la fille de joie avait reconnu la voix de sa merveilleuse et savait tout à fait à quoi s’attendre.

Entrant dans le couloir sombre, avançant à tâtons, elle posa alors son pied nu dans une flaque gelée aux odeurs de prune.

Alors d’un ton sévère :

Hey !!!!!! T’es entrain de dégueulasser tout mon parterre !
T’exagère ! tu me nettoieras tout ce…


Baissée en direction de la masse corporelle recroquevillée maintenant contre le mur, la lueur de la bougie proche du visage de Fraxie avait mis en valeur son regard noyé d’alcool.
Pourtant Grenade s’était immédiatement rendu compte de la détresse de sa toute belle.
Elle vint doucement s’agenouiller à côté d’elle, oubliant d’un seul coup son énervement et d’une voix douce lui murmura
:
« Ouh là, ma douceur… t’as une tronche à faire fuir un vampire ! »

Elle enlaça doucement Fraxie pour la blottir contre elle et s’arrêta soudain frissonnante.

Pouah ! Mais t’es trempée ! T’as décidé de chopper la mort ou quoi ?
Allez bouge toi de là qu’on te réchauffe !


Avec une énergie débordante, Grenade saisit Fraxie par la taille, la releva et traîna son corps accablé jusqu’à son lit.
Une bûche supplémentaire dans l’âtre de la cheminée augmenta la lumière de la pièce et fit rapidement monter la température.

Alors qu’elle s’empressait d’ôter les surcouches de vêtements humides de sa princesse, Grenade s’arrêta, observant attentivement sa délicieuse en chemise légère et jupon dégoulinants. Elle lui fit un de ses plus beaux sourires et une vive lueur étincela son regard.
L’émoustillement provoqué par son rêve était de retour.

Elle dégagea le tissu léger des épaules de Fraxie avec une douceur calculée, frôla du dos de sa main la peau douce et fraîche de son cou, puis sentant la belle à sa merci vint lentement déposer ses lèvres sur sa nuque.
L’odeur fruitée de sa merveilleuse n’avait pas encore été entièrement recouverte par celle de prune et Grenade entama une longue montée de baisers de l’épaule jusqu’en haut du cou, mordillant sans s’en rendre compte le lobe soyeux de son oreille.

_________________
--Tolkien_le_jeune
Tolkien trainait dans ce village sans âme depuis quelques jours...Pas une donzelle à se mettre sous la dent...où alors des mijaurées, des mutines, des sans vergognes pleines de principes...
Il avait entendu parler en des termes choquants du commerce d'une dénommée Grenade...et plus les termes étaient choquants, plus cela lui donnait envie d'aller jeter un coup d'œil à la donzelle...
A vrai dire, il s'en tamponnait le coquillard de la donzelle...disons que seuls ses charmes et l'éventualité d'une soirée bien arrosée et pétillante le faisait saliver...
Il mit un certain temps avant de trouver la ruelle où trônait la lanterne rouge...En plus, une pluie glaçante avait décide de s'abattre sur le village et c'est trempé comme un marin d'eau douce à son premier Cap Horn qu'il se présenta devant l'objet de tous ses désirs.
Il frappa deux coups secs...et attendit
Nulle réponse...en tendant l'oreille, il lui semblait bien qu'il y avait du monde pourtant ? Alors quoi, on laissait le client sous la pluie ?
Il n'hésita pas une seconde de plus et entrouvrit la porte d'entrée...
Les bruits provenaient de la chambre...
Il fit rapidement le tour de la pièce du regard et, laissant tomber sa capeline usée et détrempée sur une chaise, s'approcha de l'âtre...
Il attendrait, ma foi...A moins qu'on ne l'invite à participer à la fête qui...aux soupirs qu'il percevait maintenant plus clairement...s'annonçait alléchante...
Fraxie
Un bruit de verre accompagnant sa chute…bon là…la gnôle…c’était bel et bien fini…d’toute façon l’en restait presque plus…..se caler contre le mur….ça tournicotait drôlement quand elle entendit sa douceur infernale arriver et que dans la lueur d’une chandelle elle vit son visage se pencher vers le sien…l’entendre râler lui réchauffa le cœur mieux que tout autre remède, sa légère inquiétude, ses bras se refermant sur elle firent renaitre son sourire…..et c’est dans quelques paroles décousues et pour certaines inaudibles qu’elle se laissa guider jusqu’à sa couche

Len...partit…toute seule….pas bien…excuse moi..J’nettoierais….

Quand son corps s’enfonça dans l’épaisseur moelleuse du matelas elle s’y étendit dans un soupir rassuré, satisfait…elle essaya tant bien que mal d’aider ces mains qui la délestait des tissus détrempés…un sentiment de chaleur, de cocoon rassurant la gagnait doucement….son amie était là….elle avait toujours été là….un léger frisson sous cette main effleurant doucement son épaule dénudée…le si doux présent, ultime réconfort de légers baisers…le troublant émoi de son souffle, de sa langue jouant délicatement avec le lobe de son oreille….
Ça tournait moins d’un coup…ou plus…Fraxie ne savait pas trop…
D’une main alourdie d’alcool elle vint caresser la soyeuse chevelure de sa trop belle et d’un doigt léger sur son menton releva son visage et plongea son regard dans le sien….sa main caressa doucement sa joue, replaça une mèche tandis que l’autre venait s’appesantir sur sa taille….le temps suspendu à ses lèvres vermeilles, à sa peau d’albâtre vibrant dans la lueur des flammes…

Ma princesse...

Sa bouche partit quêter un baiser de miel, sa langue goutant une à une la douceur de ses lèvres entrouvertes avant de s’y immiscer tendrement et de savourer la caresse de la sienne, lentement, longuement…..nulle femme jamais n’avait comme elle éveiller cette intime émoi avide d’arpenter le jardin des délices….
La raison, le corps vaincue par l’incolore liquide, les sens abandonnés à ces mains achevant de la dévêtir, à cette bouche aventureuse venant gouter, réchauffer la moindre parcelle de peau découverte, les yeux mi-clos s’abreuvant du spectacle de ses parfaites rondeurs, de sa grâce féline….un léger soupir ne demandant qu’à en voir naitre d’autres….
mais un bruit soudain…une ombre

Y’a quelqu’un……

_________________
--Tolkien_le_jeune
les soupirs avaient cessé...il en était sûr...
le son de la voix avinée qui lui parvenait à travers la porte était doux...
Il se demandait si ...une cliente ?
Était il possible que la greluche qu'on lui avait décrit comme habile à satisfaire le moindre désir contre quelques écus ait une cliente ... sous la langue ?
les murmures qu'il avait perçu alors que crépitaient les flammes ne semblaient pourtant pas...professionnels ?
Quoiqu'il en soit, il devait se manifester...
Il était suffisamment réchauffé, il pouvait entrer dans l'arène.
Il s'avança près de la porte et, se raclant la gorge, lança d'une voix ferme :


Tolkien...Pour vous servir...Mesdames
Grenade
Citation:
Ma princesse...


La jolie trempée avait dit ces mots avec une douceur infinie.
La liqueur de prune avait deux avantages : elle permettait à la merveilleuse Fraxie de se dérider la plupart du temps et, elle donnait à celui ou celle qui s’en abreuvait un goût divin.

Grenade put très rapidement en tirer tous les bénéfices ;

Avec un regard à faire rougir un macchabée, la belle alcoolique vint lentement faufiler sa langue fruitée dans la bouche de Grenade.
Les saveurs se mélangeant, la fille de joie ne parvint pas longtemps à résister à la succulente invitation.
Ses lèvres croquées à souhaits, elle sentait le désir monter en flèche, et bascula doucement la brunette vers l’arrière.
Avec délicatesse, elle laissa ses mains dégrafer le corsage humide de son amie, et soupira en réchauffant sensuellement la peau douce et glacée de sa poitrine au galbe généreux.
Effleurant du bout des doigts, les courbes divines de sa bellotte, Grenade abandonna soudain sa bouche pour accompagner ses mains baladeuses sur une Fraxie entièrement dénudée.

Descendant une main le long de la cambrure de son dos, s’attardant ainsi sur son fessier bombé, laissant remonter l’autre jusqu’au plus haut des cuisses, goûtant chaque parcelle de son corps frémissant, Grenade avait trouvé la meilleure des façons pour réchauffer la pauvre malheureuse.
Fraxie s’embrasait et Grenade brûlait tout contre elle.

Redescendant doucement de leur petit nuage, les deux jeunes femmes affalées l’une contre l’autre partageait encore de douces caresses quand Fraxie murmura
:

Citation:
Y’a quelqu’un……


Grenade qui en avait vu d’autre, se redressa doucement, sa fine tunique collant son corps encore transpirant de plaisir et plissa les yeux afin de reconnaître l’identité de l’ombre qui se cachait dans l’encadrement de la porte.

Citation:
Tolkien...Pour vous servir...Mesdames


L’homme d’une assez grande carrure, les cheveux ébouriffés par la pluie affichait un immense sourire et des yeux brillants comme des diamants.

Alors qu’elle répondait au messire avec un de ses plus jolis battements de cils, Grenade tourna la tête afin de voir la réaction de sa merveilleuse.

La toute belle ronquait en chien de fusil, un filet de bave dégringolant le long de sa joue rosie.
Même dans cette situation assez tordante, la belle de nuit avait du mal à ne pas admirer la douceur des traits de Fraxie.

Elle lui caressa doucement le front, emportant dans son geste sa chevelure brune vers l’arrière puis se retourna vers le joli client.


"Je crois qu’il n’y a plus que moi messire, mais si je peux vous rendre service, moyennant une vingtaine d’écus bien sûr, j’en serais ravie !"
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--Tolkien_le_jeune
Il n'etait plus là question d'écus mais bien de plaisirs..
Tolkien n'avait pas l'habitude de négocier avec sa conscience, généralement ..Elle était aux ordres ! Mais cette fois, en regardant le corps, délicieusement alangui sur la couche, elle se permit un assaut...Il s'en voulait d'avoir interrompu ce qui se pressentait comme... une nuit caline.
D'un autre coté, il suffisait d'un peu d'effort pour en faire...une nuit torride ?
Il regarda la tôlière qui ne manquait pas de charme et dont l'assurance toute professionnelle le fit sourire...
C'est qu'il en avait fait crier, des ambitieuses et des travailleuses...
Plongeant sa main dans ses braies...l'air de se caresser les joyeuses...il en sortit une petite bourse, laissant à leur place les deux autres...
Les ecus cliquetaient dans sa main lorsqu'il dit :


Vingt écus ? Et...pour Cinquante ? un effort pour réveiller la p'tite dame ? A deux, on devrait y arriver ?

Sans attendre de réponse, il s'approcha de la couche et caressa de son gant la courbe d'une hanche...
Puis se tournant vers la maitresse des lieux...

De toute façon, Y'a d'forte chance qu'on la réveille, la belle au bois dormant...
Grenade
Citation:
Vingt écus ? Et...pour Cinquante ? un effort pour réveiller la p'tite dame ? A deux, on devrait y arriver ?


Grenade éclata d'un rire léger et observant la main du messire qui frôlait la hanche de Fraxie, elle répondit.

Vous semblez vous méprendre mon joli, y a que moi qui bosse ici.
Cette beauté est bien trop délicate pour vous!
Puis la connaissant, avec la biture qu'elle se traîne, j'suis pas certaine qu'elle ait senti votre caresse ni qu'elle vous entende!


Puis elle poursuivit avec un certain agacement :

Je crains bien que vous n'ayez pas d'autre alternative que de vous contentez de ma petite personne ou d'aller vous trouver une autre gueuse gratuite, mais moins belle, en taverne....
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--Tolkien_le_jeune
Tolk haussa les sourcils mais fut legerement troublé par le rire de la belle - c'etait vrai qu'elle l'était - devergondée...
Son regard concupiscent traina encore un instant sur les formes de la soularde au joli minois et il se retourna, la bourse d'écu toujours en main...
Il l'a fit sauter, se délectant du cliquetis des ecus et sourit à son hôtesse d'une nuit..

J'ai mal saisi votre nom, ma belle ? Qu'importe, je ne suis pas là pour les mondanités...
ses yeux brillaient de malice dans l'obscurité...Il s'approcha de l'espiegle et lui murmura...
Je suppose qu'on ne va pas faire ca ici, donc...si je vous bouscule sur la couche commune, ca va faire désordre...

Puis, devenant audacieux, il écarta la fine tunique en soie de la belle pour en découvrir les charmes cachés...
le silence qui suivit la représentation en dit long sur la qualité du spectacle...
Grenade
Citation:
Je suppose qu'on ne va pas faire ça ici, donc...si je vous bouscule sur la couche commune, ca va faire désordre...


Grenade sourit à nouveau.

La douceur du tissu glissant sur sa peau la vit doucement frémir et alors que son futur client admirait sa nudité, la fille de joie réagit.
Vive comme l'éclair, elle laissa tomber aux pieds du lit trois des coussins moelleux qui gisaient sur le matelas puis, avec un regard mutin comme toujours, poussa en deux deux le corps inerte de la belle Fraxie qui vint se vautrer au sol.
La tapis improvisé, quelques secondes plus tôt, amortit la chute de la soularde qui grogna à l'atterrissage et replongea dans un coma éthylique bien prononcé.


Alors, laissant glisser entièrement sa longue chemise sur le lit, Grenade attrapa le joli par la taille, l'attirant un peu plus vers elle sur le lit.

D'une main elle commençait déjà à déshabiller minutieusement le bellâtre alors que de l'autre elle mélangeait ses doigts à sa chevelure.
La bouche pulpeuse tout près de son oreille elle susurra torridement :



Vous parliez de me bousculer il me semble?

_________________
Shining
Après une nouvelle longue journée passée à travailler à la mine, Shining rentra chez lui faire un brin de toilette.
Sur le chemin du retour, il passa à l'épicerie locale et acheta un savon au lait d'anesse et parfum de jasmin.
En rentrant chez lui, il prit un grand baquet mit un peu d'eau à chauffer dans la cheminée tandis qu'il retira ses vêtements un à un.
Sa transpiration russelait sur son corps musclé.
Il entra dans l'eau tiède et se mit à se savonner avec rigeur afin de retirer toute la suie cumulée.
Il souhaitait être beau et sentir bon pour se rendre chez une certaine dame, qu'il appréciait de plus en plus...
Ses plus beaux habits du dimanche, sa bourse pleine en poche, il reprit la route.
En chemin, il cueilla quelques fleurs sauvages, en renifla quelques senteurs et les glissa dans sa saccoche.
Il arriva devant la porte du commerce de Dame Grenade. Il ne sut comment si prendre, devait il entrer,frapper...?
Ne voulant pas faire preuve d'impolitesse, il toqua furtivement dans la lourde entrée.
Personne ne semblait réagir. Il tendit l'oreille... rien.
Il ouvrit, entra et entendit quelques voix.
Ne voulant pas déranger, il observa autour de lui et trouva une chaise confortable.
Il y posa son derrière soyeux et attendi que la maîtresse de maison vienne l'accueillir.
--Tolkien_le_jeune
la prêtresse des sens était vive à l'action.
Tolk en sourit intérieurement. Il aimait les femmes qui prenaient rapidement les bonnes décisions.

Quel dommage, se dit il, que ce ne soit qu'une fille facile...
Alors qu'il laissait de cotés ses humeurs pour s'apprêter à bousculer la donzelle...un bruit, un souffle...dans la pièce principale...La présence d'un autre homme...un parfum écoeurant de fleur...tous ses sens aux aguets, Tolk se redressa...
Il n'était qu'une ombre dans la ville et entendait le rester...
Souriant à la fille, il fit tomber quelques écus sur son ventre mouvant et s'en fut, comme il était venu, franchissant la porte rapidement, caché sous sa capeline, dans les rues froides de Mortagne.
Grenade
Grenade le regard brûlant observait les gestes du joli.
Soudain quelqu'un entra dans la boutique.
Décidément c'était sa soirée!

De son côté le bellâtre frémit. Il prit à une vitesse impressionnante quelques piécettes qu'il balança sur Grenade comme on balance un os à un clébard.
Puis, il fila de la chambre avant même que la belle de nuit furieuse put l'atteindre avec le pot à eau qu'elle avait balancé à travers la pièce!

Elle articula très fort pour que tout le quartier puisse entendre :


ENCORE UN QUI ASSUME PAS D'AVOIR ETE PEU GATE PAR LA NATURE!!!!!!
QUAND ON A RIEN DANS LES BRAIES ON VIENT PAS ME DERANGER!!!!!!!!!
GRRRRRRRR


Grenade respira un bon coup afin de retrouver son calme puis, se rua dans la pièce voisine pour vérifier que le dernier entré ne s'était pas sauvé en l'entendant brailler.

La fille de joie aperçut un grand homme qui observait sûrement le froussard se sauver comme un voleur.
Elle mit peu de temps pour reconnaître le beau vampire qu'elle avait réussi à dénicher en taverne.
Alors, en habit d'Eve, la jeune femme reprit son grand sourire charmeur, s'appuya contre le mur :


Bonsoir mon mignon! Je pensais pas vous revoir si vite!

Puis s'approchant très près de celui qui la dévisageait maintenant :

J'espère que vous avez enfin l'argent nécessaire car j'ai une furieuse envie de découvrir votre mordant !
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