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[RP] "A la croqueuse de pHommes"

--Castrix
Tout se déroulait pour le mieux pour Castrix, puis en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, tout dégénéra. Il resta figé lorsqu'il vit débouler dans la pièce une panthère ( ). Celle-ci fut suivit de près par une dame et son coutelas, sommes toute bien moins menaçante que l'animal.

Castrix étudia la situation en un éclair: Il était cerné. Pas d'autre solution que de se servir d'un bouclier humain.

Sitôt pensé, sitôt fait, il se rua sur grenade en dégainant lui aussi sa lame, la releva de force et glissa sa lame sou la gorge offerte de la jeune femme. Il pressa tant qu'un filet de sang ne tarda pas à venir rougir sa peau blanche.

Un otage face à un félin...rien de plus saugrenue...heureusement pour lui la dame en présence semblait avoir le contrôle de la bête, c'est donc à elle qu'il s'adressa:

"Fais moi dégager tout ce cirque tout de suite ou je la saigne illico tu comprend? "

A mesure qu'il parlait, Castrix essayait de raffermir sa prise tout en se dirigeant vers le coin de la pièce, là ou il y aurait le moins d'angle d'attaque...Babunda elle était encore au sol et pleurait comme une gamine. En son intérieur, il l'a maudissait, attendant qu'elle se relève pour l'aider d'une açon ou d'une autre...
--Babunda
Babunda était là, en pleure. La situation avait totalement dégénéré et elle ne savait plus quoi faire...

Elle sentait bien le regard de son patron lui intimer l'ordre d'agir, mais la situation semblait tellement désespéré pour lui qu'elle se demandait si l'occasion ne se presentais pas de se débarrasser une bonne fois pour toute de ce parasite.

Ils étaient à présent 5 dans la pièce, plus une panthère. Si elle l'aidait, elle serait dans la même situation que lui, et elle n'était pas enviable.

Alors, prenant son courage à deux mains, exaltée par la rage accumulée au cours de ces dernières années contre Castrix, Babunda se releva et bondit sur son patron les mains levées, mêlant cries et sanglot dans un accès de violence inédit pour elle...
--Castrix
Son cœur battait inhabituellement fort. Il sentait en son for intérieur que les événements à venir ne serait pas en sa faveur...Qu'importe, il emporterait sa proie dans la tombe.

Tout se déroula une fois de plus très rapidement. Un homme entra à son tour, mais Castrix n'eut guère le temps d'y prêter attention puisque Babunda se releva et se jeta sur lui telle une furie.


"Mais qu'est ce que tu fais sombre idiote!!?"

Fou de rage, Castrix vacilla sous l'impact du maigre corps de la jeune fille, lâcha sa prise sur Grenade , attrapa les poignet de Babunda qui le fouettaient sans cesse. il la regarda bien dans les yeux et y lut la terreur de la jeune femme à son encontre. Puis il leva sa lame et la plongea dans le ventre de sa nouvelle victime.
il s'y reprit à plusieurs fois, le tout avec rapidité et dextérité. La lame s'enfonçait et ressortait toujours plus souillée de sang...

Autours de lui, tout semblait se dérouler au ralentit...il allait devoir se défendre, mais contre qui? La panthère ou sa maitresse? Le supposé client? ou encore quelque intervenants en retard, alerté par les cries, les rugissements et les pleures...
Grenade
Grenade commençait à trouver le comportement de la belle voisine un peu douteux. Elle fuyait son regard et observait sans arrêt l’extérieur de l’échoppe.
A peine, la belle de nuit, avait-elle put prononcer un « Vous attendez quelqu’un jolie dame ? » que la blonde fut violemment projetée sur le sol.
A partir de cet instant, tout se passa très vite.
Une ruée de gifles mit Grenade à terre. Des coups, la belle en avait reçu, mais l’énergumène qui s’en prenait à elle n’y allait pas de main morte.
Il la saisit enfin par les cheveux pour la porter jusqu’à son visage. Grenade pouvait sentir l’haleine fétide du barbare.
Sa tête tournait, ses joues brûlaient et un filet de sang coulait sur sa lèvre tuméfiée.
Serrant les dents, elle défia du regard son agresseur n’écoutant qu’à moitié les mots qu’il prononçait.
Elle se retrouva à nouveau à terre.
Alors qu’elle entendait des voix familières, elle fut encore un fois malmenée et une lame froide vint s’appliquer à son cou.
La ténébreuse qui n’avait pas fière allure semblait vivre un pur cauchemar.
Elle s’effondra une dernière fois sur le sol, jetée par le malotru.
Il attaquait à présent la jolie blonde qui semblait être sa complice.
Aristote avait dû souhaiter la punir, car on ne pouvait plus rien espérer pour la malheureuse.

La belle Grenade avait pour habitude de s’habiller de tissus élégants, mais quand il s’agissait de sauver sa peau et de se défendre, elle ne faisait pas dans la dentelle.
La réalité la rattrapant elle empoigna sa dague coincé près de sa cuisse et, à l’abri du regard du frappeur fou, dans un dernier effort, d’un geste sec, elle la planta entre ses deux omoplates.

Epuisée des émotions dernières, elle se précipita dans l’arrière de sa boutique, rampant telle une vipère blessée pour se recroqueviller derrière le baquet.

Grenade ne savait pas faire grand-chose dans la vie. Offrir tous les plaisirs inimaginables grâce à son corps était l’un de ses seuls dons.
Elle en avait un second…elle visait toujours juste.
La dague encore coincée dans le dos de Castrix semblait avoir trouvé le point fatal.
Fraxie
Quand Ricks arriva Fraxie regrettait de ne s’être pas jetée sur l’homme avec toute la colère qu’elle sentait battre à ses tempes…
Car maintenant il tenait Grenade en otage, s’amusant dans un sadisme qui ne lui allait que trop bien à faire perler le sang de sa gorge


"Fais moi dégager tout ce cirque tout de suite ou je la saigne illico tu comprend? "

Fraxie demeura un instant interdite en serrant les dents de rage à en sentir sa mâchoire douloureuse.
Elle commençait à reculer un peu se demandant comment en faire faire de même à cet animal dont elle n’était point le maitre quand tout s’accéléra…

Une femme que Fraxie n’avait encore point remarquée se jeta sur l’homme armée de ses seuls poings…
Mais vite ils arrêtèrent de fendre l’air, ses cris se firent hoquets puis se fut le silence juste le bruit de sa lame pénétrant les chairs encore et encore…
et le sang, et le sang qui se répandait….
Grenade était à terre toujours à moitié inconsciente, Fraxie assistait à la scène comme figée, parcourue de long frissons glacés et elle ne compris pas quand elle vit l’homme soudain tomber à genoux les bras ouverts et la bouche ouverte comme pour une ultime prière…
Puis elle découvrit la dague plantée au milieu de son dos et la silhouette de Grenade qui disparaissait en rampant derrière la porte là-bas….
Elle enjamba le corps gisant de la femme, donna à l’homme une belle droite de son cru qui la soulagea et finit de le faire tomber à terre et pénétra dans la pièce…
Elle ne vit pas tout de suite Grenade puis entendant un râle de derrière la baignoire elle la rejoint et la prit dans ses bras


Grenade ? Grenade ? Ça va ?

Elle observa son visage tuméfié mais nulle plaie grave apparemment….
Elle l’aida à se relever et avisant la bouteille de liqueur de poire posée sur un charmant guéridon elle en servit un plein verre et le lui tendit ...

Tout va bien maintenant....

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Grenade
Postée dans son abri, Grenade tremblait de tout son corps.
Ce n'était pas de peur, cela faisait bien longtemps que la jeune femme n'avait plus peur. Ce monde ne la surprenait plus.
Si ses douces mains maculées de rouge flageolaient en tentant de saisir un foulard sur le tabouret derrière elle, c'était par fureur.
Grenade tenta de faire un bilan sur les dégâts que ce sagouin avait fait sur son corps.
Sa pommette gauche la faisait sacrément souffrir, mais elle ne semblait pas saigner.
Elle tamponna sa gorge de l'étoffe qui se colora immédiatement de sang.


*ARGGGGGGGHHHHHH ce répugnant pourceau ne l'avait pas loupé!
Elle aurait une belle cicatrice! Le saligaud*pensa Grenade toujours enragée.
Elle enroula le morceau de soie autour de son cou, et se massa doucement les côtes.

Soudain, elle tressaillit. Une silhouette arrivée de nulle part, apparut au dessus de sa cachette.
Comme un animal traqué, la jeune brune ébouriffée se raidit prête à bondir.
Elle vit alors les allures de l’exquise Fraxie qui déjà la prenait dans ses bras.
Décidément, c’était la soirée des surprises ! Une femme qui la cajolait ! Grenade n’en revenait pas.
Elle se laissa pourtant aller dans ce moment chaleureux, éreintée, puis tenta non sans mal de se redresser lorsque Fraxie lui tendit un godet de sa liqueur préférée.
La délicieuse savait incontestablement y faire.
Ricks
Ricks aida Fraxie à relever Grenade. Jusque là il n'avait pas pu évaluer les blessures que l'odieux personnage avaient faites à Grenade. C'est alors qu'il vit sa pommade gonflée, sa gorge superficiellement blessée. Il remarqua aussi que le femme se tenait les côtes d'une façon qu'il avait déjà vu. Après se rapide examen, il lui dit :

"Oulà Grenade, il va falloir passer au dispensaire, je le crains. Ne t'inquiètes pas, tout le monde y sera gentil avec toi. Quant à ce soir, il vaudrait mieux que tu ne dormes pas chez toi. Le temps au moins que nous fassions le ménage. Fraxie se fera une joie de t'accueillir chez elle je pense. Enfin, si tu le souhaites ..."

Il laissa les deux femmes entre elles et se dirigea vers la porte. Il y retrouva la panthère des neiges, apaisée. Il caressa son pelage blanc tacheté, qui éveillait en lui de lointains souvenirs. Heureusement qu'elle avait été là pour effrayer cet individu méprisable et criminel. Ricks se demandait comment tout ceci avait pu se produire ici, à Mortagne. C'était peu habituel pour lui toute cette violence.

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--666
666 arriva enfin a "la croqueuse de pHommes", essouflée.

Punaise, Tysha, tu vas trop vite pour moi ou previent quand tu pars!

Elle remarqua la femme baignant dans son sang puis l'homme avec la dague dans le dos, etendu sur le sol. Tysha posa la patte sur la tête de l'homme au sol.

Ok, d'accord.

Son casque, qui ne recouvrais que la partie superieur de son visage ne cachait en rien la fureur sur son visage.Elle attrapa l'homme par la tête de son gantelet grifu et le traina dehors. Une fois dehors, elle le laissa la. Se retournant vers Tysha:

Bouffe le et mache bien!

Elle retourna à l'interieur et examina la demoiselle gisant sur le sol. Apres quelques instants, elle sortit de sous sa cape un linge rouge aussi grand qu'une nappe qu'elle deplia afin de couvrir le corps sans vie. Elle remarqua ensuite deux femmes dans la piece voisine. Elle les connaissait.Elle verifia donc son casque pour ne pas etre reconnue et puis elle s'avança. Elle remarqua que Grenade saignait à la gorge. Elle la saisit et lecha la blessure pour se rendre compte que se n'était que superficielle.

Ce n'est rien, ça ne devrait pas laisser de marque.

Elle lui souria
Grenade
Grenade semblait toujours ne pas vivre réellement ces instants.
Elle n'avait toujours pas vu le corps de son attaquant et ne serait rassurée qu'une fois certaine qu'il ne lui ferait plus aucun mal.
Alors, elle s'aida de Fraxie et Ricks pour se relever, et se dirigea vers l'entrée de l'échoppe.

C'était un beau bordel! Et dans tous les sens du terme!

Castrix gisait affalé dans une mare de sang qui ne semblait pas être le sien mais celui de la femme blonde.
C’est alors que la jeune brune aperçut pour la première fois le félin qui guettait la ruelle.

*Bon OK, j’ai trop picolé, du coup je fais des cauchemars avec des panthères blanches qui jouent les matous à leur mémère !*
Alors qu’elle allait se pincer violement pour se réveiller de ce délire, une grande silhouette masquée saisit le corps du malade pour le jeter dans la rue et ordonna à sa bestiole de le bouffer.

Même le pire de ses cauchemars ne ressemblait pas à ça, Grenade compris alors qu’elle était belle et bien éveillée.
Si jamais elle se sortait de ce foutoir, elle se promit de réfléchir sérieusement à un futur déménagement parce que les minous sanguinaires, les tabasseurs pervers, les sorciers et tout le reste s’en était trop pour elle !

Pourtant elle n’en avait pas fini avec les surprises.
L’étranger maqué s’approcha d’elle lui ôta son fouloir et vont lécher la plaie de son cou.

Grenade le repoussa doucement, et sa nature revenant au galop elle se mit à râler !


Et ça va aller hein ! C’est pas trop le moment de me léchouiller ! On a d’autres trucs à faire je pense !
Pis dites voir, vous pourriez pas dire à votre bébête de pas becqueter l’autre abruti !
Parce qu’il a beau être un fanatique de la gifle et des coups de couteaux, il a quand même le droit à un minimum de respect !
Puis y a suffisamment de foutoir pour pas avoir en plus à devoir laver son sang de goret dans la rue, j'ai juste autre chose à faire que jouer à la bonniche!


La fatigue le stress et tout le reste aidant, Grenade se mit à gesticuler dans la rue devant les passants estomaqués.

De toute façon toute cette histoire ne sera pas très bonne pour son commerce, alors la belle de nuit n’en était plus à ça près !
--666
Citation:
Et ça va aller hein ! C’est pas trop le moment de me léchouiller ! On a d’autres trucs à faire je pense !
Pis dites voir, vous pourriez pas dire à votre bébête de pas becqueter l’autre abruti !
Parce qu’il a beau être un fanatique de la gifle et des coups de couteaux, il a quand même le droit à un minimum de respect !
Puis y a suffisamment de foutoir pour pas avoir en plus à devoir laver son sang de goret dans la rue, j'ai juste autre chose à faire que jouer à la bonniche!


Son sourire se dissipa imediatement.

Euh......je..euh.....euh.......pardon......euh..désolé...

Sa voix devenait de plus en plus tremblente.Les demoiselles devant elle ne remarqueraient surement pas la larme qui lui glissait sur la joue. Elle s'inclina et partit en courant pour disparaitre dans les ruelles de mortagne suivit de sa panthere.
--Castrix
La douleur....cette petite garce l'avait planté dans le dos et Castrix avait chuté comme un poids mort. La vie continuait à quitter ses veines lorsque quelqu'un le traina dehors tel un sac à ordure. Il était résigné à mourir de la pire des façons qui soit; dévoré vivant par une bête infernale.

De toute façon, la vie avait toujours été chienne avec lui, et il avait fais de son mieux durant son vivant pour rendre la pareil au genre humain...

Pourtant, l'inattendu se produisit, et il fut bientôt laissé seul pour mort, devant le lieux du crime.

Alors que la haine qui l'avait toujours fais tenir reprenait le dessus sur la mort, la vision de Castrix redevint presque claire. Et même si il ne pouvait totalement occulter la douleur qui vrillait son corps, il trouva en lui la force nécessaire pour se redresser...

A la lueur du matin, l'homme de mal clopina, lamentable qu'il était, jusqu'à son abris...là-bas se disait-il, on me soignera, ne serait-ce que par crainte...
Fraxie
Tout en prenant le verre qu’elle lui tendait, Grenade lui adressa un regard où se mêlait remerciement et…une autre chose…que Fraxie n’avait guère l’habitude de voir briller dans les yeux d’une femme…
Gênée et légèrement troublée elle mis cela sur le compte de l’atmosphère des lieux. ...« Là tout n’est que luxe, calme et volupté » pensa t’elle en ne sachant pas trop d’où cette phrase lui venait et riant d’elle-même car « calme » n’était point en ce jour le mot approprié…

Le suite des événements ne lui donna que trop raison…
Alors que Grenade déclinait l’offre de l’emmener au dispensaire et que Fraxie réprimait un haut le cœur à l’idée de nettoyer le carnage dans l’autre pièce, un étrange individu masqué pénétra dans la pièce, offrant le corps de l’homme en pâture à la panthère dont il semblait être le maitre et se mettant soudainement à lécher la plaie que Grenade avait au cou……
Fraxie et Ricks assistèrent à la scène avec la même incrédulité …

"C’est la lune qui fait des siennes ou quoi ???"

C’en fut trop pour Grenade qui se mit à hurler, gesticuler dans la rue, épargnant à son agresseur une mort digne d’un cirque romain et faisant finalement fuir l’étrange individu suivi de son insolite animal de compagnie…


Ricks reste avec elle, je vais chercher de quoi soigner ses plaies, je reviens tout de suite..

Fraxie courut à sa maison et en revint avec thym, arnica et consoude …

A son retour la rue était vide, le sinistre individu laissé pour mort ne l’était point…

Il avait disparu, son âme noire avalée par les ruelles sombres de la ville….

Le danger rôdait toujours




_________________
Grenade
Quelques jours avaient passé depuis l'attaque du maquereau.
Grenade avait usé ses mains à nettoyer les taches de sang sur son sol pierreux.
Elle l’avait frotté encore et encore afin qu’aucune trace de cette affaire ne puisse la lui rappeler.
Pourtant, la fuite du monstre machiavélique ne rassurait pas la fille de joie et chaque soir elle avait pris pour habitude de s'enfermer lorsqu'elle se trouvait seule.

La rare chose qui la réconfortait encore, était ce petit air que Fraxie lui avait chanté, Grenade qui n'était pas très mélomane, s'étonnait alors de s'entendre fredonner à tue tête ces quelques paroles qui lui correspondait tellement.


Citation:
Bien que ces vaches de bourgeois
Les appell'nt des filles de joie
C'est pas tous les jours qu'ell's rigolent

Y a des clients, y a des salauds
Qui se trempent jamais dans l'eau
Faut pourtant qu'elles les cajolent

Qu'ell's leur fassent la courte échelle
Pour monter au septième ciel
Les sous, croyez pas qu'ell's les volent...


Rayonnante, la cicatrice à son cou n'était plus qu'un filet clair que la belle cachait encore derrière son foulard de soie.
Grenade avait enfin put revêtir sa belle robe rouge qui faisait ressortir le brun de ses cheveux et le blanc marbré de sa peau et qui, échancrée comme il le fallait, permettait de faire valoir ses longues jambes dont les bleus n'étaient que de mauvais souvenirs.

Son commerce avait été boudé depuis l'affaire, mais Grenade ne baissait pas les bras et, ornait son intérieur avec goût afin d'attirer les hommes de la ville.
.judas.
C'est encore tout ruisselant d'eau fraiche que Judas vint frapper à la porte de Grenade, armé d'un sourire implacable et d'une fiole d'onguent qui lui rappellerais que, si elle lui avait massé l'arrière train, elle ne serait pas en reste ce soir...

Lorsque la belle ouvrit la porte, Judas sentit une flamme s'allumer dans son regard, ainsi qu'une boule se former dans son bas ventre (et tout un tas de réactions physique, discrètes ou non...)

"Bonsoir charmante, ayant eu votre petite chansonnette dans la tête toute la journée, il m'a semblé approprié de venir vous dévoiler l'épaisseur de ma bourse après m'être trempé dans l'eau"

Tout à fait à l'aise dans ce genre d'endroit, Judas pénétra dans la demeure aux milles plaisirs et déposa sa fiole ainsi que la dite bourse sur un coin de table. Son expérience des femmes du métier était telle qu'il savait ce qu'elles attendaient au plus profond de leur intimité..;Et c'est pour cette raison que sans attendre, il prit les devants.
S'approchant à pas feutré mais conquérants, il dévora l'espace qui les séparait, pris un appui ferme sur ses reins et vint lui chuchoter au creux du cou...

"Je ne connais pas votre réputation mais je compte bien contribuer à la rendre exquise..."

Son autre main vint s'emparer de la sienne qu'il souleva, comme le ferait un cavalier avec sa danseuse, alors que tendrement, ses lèvres vinrent gouter la peau sublime qui s'offrait à lui.
Leurs pas devinrent légers, l'attraction de leur corps de plus en plus forte, et les caresses de ses lèvres au creux de son cou, de plus en plus sensuelles.
relevant doucement la tête, sans cesser de la respirer, il lui murmura...

"Si demain je n'ai plus un écus en poche, cette nuit je serai le plus riche des hommes..."

Judas ponctua cette phrase par un baisé soudain et enflammé, tandis que sa main quittait la courbe de ses reins pour venir s'emparer de celle de son sein...
_________________
Père d'un petit lion aux yeux d'or.
Grenade
Grenade se paraît tranquillement espérant qu’enfin quelqu’un vienne lui rendre visite.
Depuis quelques jours, son affaire avait été bien calme.
Elle orna sa coiffure de fleurs rouges assorties à sa longue robe de mousseline.
Elle dégagea son corsage du bout des doigts en étirant les lacets de cuir afin de mettre en valeur sa gorge généreuse.
Alors qu’elle finissait de peindre ses lèvres gourmandes et d’illuminer ses yeux, on frappa à la porte.
Quelques secondes à peine suffirent à la Grenade pour se retrouver dans l’entrée et accueillir Judas.
Pour la belle, le moment de découvrir le futur client n’avait jamais été son préféré. Les surprises étaient rarement bonnes. Pourtant, ce soir, était un soir de chance.
Grenade fut ravie de voir que son futur milliardaire s’était enfin décidé à la visiter.

Elle s’appuya sur le chambrant de la porte, une main sur sa hanche et balaya du regard le nouvel arrivant.


Citation:
"Bonsoir charmante, ayant eu votre petite chansonnette dans la tête toute la journée, il m'a semblé approprié de venir vous dévoiler l'épaisseur de ma bourse après m'être trempé dans l'eau"


A ces mots, la jeune femme ne put déguiser un sourire de satisfaction, qui sembla être une réponse suffisante à Judas.
Il s’engouffra dans la demeure et y déposa ses affaires.
Grenade avait à peine refermé la porte à double tour qu’une main ferme la saisit par la taille.
Quelques murmures prometteurs au creux de son oreille, et déjà le bel homme lui mangeait le cou.


Citation:
"Si demain je n'ai plus un écus en poche, cette nuit je serai le plus riche des hommes..."


« Je peux tenter de remplacer vos écus contre un souvenir inoubliable ! »

Y avait pas à dire, Grenade préférait les hommes qui savaient prendre les devants. Et Judas savait y faire.
Déjà il mordait à ses lèvres avec fougue et empoignait avec entrain l’un de ses seins rebondis.
Sous la surprise, la brune toute émoustillée, laissa échapper un soupir d’étonnement.
Elle se recula alors doucement, le regard brillant d’envie, mordillant sensuellement sa lèvre inférieure d’une insolence aguichante.

Puis elle déposa, bras fléchi, la paume de sa main grande ouverte sur le torse de Judas. Elle tendit fermement le bras de sorte à faire brutalement basculer son client dans le fauteuil douillet installé juste derrière.
La chute fut surprenante mais douce, réceptionnée par le moelleux des coussins.
Engoncé dans son trône, Judas la dévorait toujours des yeux.
Grenade s’avança la croupe chaloupante, releva doucement une jambe et vint s’asseoir à califourchon sur le bel affalé.
Cette position improvisée fit glisser le tissu de la robe rouge dévoilant avec volupté le haut des cuisses de la belle de nuit.

Aucun geste n’était innocent ! Grenade se cambra légèrement, faisant gonfler, sous les yeux de Judas, sa poitrine fermement emprisonnée dans son corsage.
Une esquisse de sourire au coin des lèvres, elle entreprit avec lenteur le déshabillage de l’homme.
Un à un les boutons de la chemise s’effacèrent entre ses mains d’experte laissant petit à petit apparaître un peau, encore humide, tannée par le soleil.

Le dernier bouton avait cédé et Grenade entrouvrit complètement l’étoffe blanche.
Elle laissa alors voyager ses mains sur le torse découvert, frôlant chaque parcelle de peau, partant du cou pour arriver comme par provocation à la limite des braies déjà très étroites.

Trop envieuse de goûter à cette peau dorée, la jeune femme bascula son poids vers l’avant et vint à son tour mordre au cou de Judas.
Elle mit peu de temps pour remplacer les caresses divines de ses mains par celle de ses lèvres, faisant danser de-ci delà, sa langue experte.
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