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[RP] "A la croqueuse de pHommes"

.judas.
De toutes les femmes qu'il avait ponctuellement aimé, aucune n'avait la grace et la sensualité de Grenade. Chaque mouvement de la belle était un appel à ce que les gens de vertus appelleraient "vice"; chacun de ses regards aurait transformé le plus dur des hommes en doux chaton...

Installé dans le voluptueux fauteuil, Judas dévorait des yeux sa compagne de nuit lorsque celle-ci vint à lui. Les caresses de ses doigts, rapidement remplacées par les caresses de sa bouche, laissait derrière elles une indélébile sensation de plaisir et lorsque, coquine, sa bouche parcouru chaque parcelle de son corps, Juda ne put réprimer un doux frisson.

Sa premiere main, balladeuse à souhait, caressait le corps offert de la Belle lorsque celle-ci s'abaissa pour venir face à lui, presqu'à genoux.
Son autre main, bien plus maline, vint arracher les lacets de ses braies, libérant par la même une partie de son corps jusque la bien à l'étroit...

L'Essentiel de son corps dévoilé, Judas se delecta des caresses qui suivirent sans quitter la butineuse des yeux. Le plaisir qu'il prenait semblait venir d'un autre monde, là ou les sensations sont aussi exquises que l'infini est vaste.

Après quelques instants, Judas saisit son Offerte par le menton et l'attira jusqu'à lui. Il l'embrassa avec tendresse, digne remerciement pour ces caresses expertes....

Puis, il la saisit fermement par les fesses et se releva, l'emportant et l'embrassant toujours, accrochée à lui.

La suite de leurs mouvements étaient une danse, parfaitement synchronisée, dans laquelle les amants d'un soir semblait n'avoir jamais fais que ça de leur vie.

L'histoire ne se rappellera pas si , dans leur élan de passion, il la plaqua sur le mur ou bien commença par l'allonger sur la table avant de la déshabiller entierement et minutieusement, mais toujours est-il que la divine Créature et son cavalier se trouvèrent nez à nez dans leur plus simple appareil.

Après avoir contempler le corps parfait qui était à lui pour un soir, et à elle pour toujours, il la couvrit de baisé, chacun plus enflammés que le précedent...

Lorsqu'enfin il l'ammena à sa couche, ils étaient tous deux ruisselant de sueur...la danse ne faisait pourtant que de commencer, le plaisir de naitre, et la jouissance fut pour lui telle qu'il lui semblait n'en avoir jamais connu de si forte...
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Père d'un petit lion aux yeux d'or.
Grenade
Les instants passés auprès de ce bel étalon semblèrent infiniment exquis pour la jeune femme.
Après sa mésaventure, Grenade avait bien besoin d’une soirée agréable et réconfortante.

Alors qu’elle avait gentiment ouvert le bal sur ce fauteuil, son compagnon de jeu se mit complètement à l’aise, libérant l’arme principale de la bataille.
La jolie brune ne put s’empêcher de la recevoir, la cajolant avec application et envie.
Main, bouche, langue, tout ne fut que caresses sensuelles et enflammées.

Puis, dans un des baisers les plus doux qu’elle avait pu recevoir, Grenade fut emportée elle ne sait où !
A cet instant, la réalité n’avait plus guère d’importance.
Transportée par le désir, la jeune femme n’avait plus aucune notion des choses.
Elle ne percevait plus l’espace, les murs sur lesquels elle fut appuyée, la texture rugueuse de la table où elle fut allongée, le tissu de ses vêtements dont elle fut déshabillée.
La jolie tentatrice s’était laissée prendre à son propre jeu.
Ce mélange de corps, ces baisers qui s’égarent dans toutes les directions, ces caresses, ces va et vient incessants, ces complaintes de plaisir… toutes ces sensations merveilleuses eurent raison d’elle.
Dans un dernier mouvement, une ultime contraction, un extrême gémissement, la belle se laissa envahir de délice.

Fiévreuse, épuisée mais tellement satisfaite de cet affrontement savoureux, Grenade se surprit, une fois les battements de leur cœur calmés, à caresser machinalement avec tendresse les mèches de cheveux bruns de Judas entre ses doigts.
Elle fut bien tentée de se lever vite, se laver, se rhabiller pour se préparer à la prochaine visite, comme elle en avait l’habitude, mais cette nuit là elle ne le fit pas.
Elle laissa sa faiblesse de femme prendre le dessus, collant sa peau au corps de son dormeur encore brûlant.

A l’aurore, elle se réveilla plus en forme que jamais, saisit la bourse pleine d’écus posée sur le comptoir, hésita un instant et n’en prit qu’une partie.
Elle remit la sacoche à moitié pleine dans le pardessus du merveilleux qui dormait encore.


*Arf ! Ca ne me ressemble pas!*songea-t-elle. *Mais il faut bien tout de même que lui aussi soit récompensé de ces performances!*

Ce que Grenade n’osait pas s’avouer, c’est qu’elle espérait secrètement, que la moitié du pécule laissée, permettrait à ce client privilégié de revenir un soir la retrouver à nouveau.
.judas.
Lorsqu'il se reveilla, Grenade était déjà levée et fraiche comme le matin.
La nuit avait été courte, mais le sommeil d'une douceur sans précedent pour Judas.

Il ouvrit donc les yeux et s'étira lentement, se leva et s'habilla, prenant son temps comme pour profiter de ces instants et se remémorer la nuit passée.

Lorsqu'il l'a croisa, reine magnifique en son palais, leur regard s'échangèrent, à la fois furtifs et appuyés, légers et profonds. Judas ne put se retenir de donner une caresse sur la courbe de ses hanches, et de lui murmurer en guise de bonjour...

"Depuis cette nuit, je sais une chose, que l'Extase a un nom, et que c'est toi qui le lui donne..."

Judas ne savait que trop bien qu'il était temps pour lui de s'eclipser, de faire place aux autres. Il n'en eut pas de regrets, sachant d'avance qu'il l'a reverrait, et acceptant parfaitement les règles du "jeux" qui, bien que vieux comme le monde, semblait en cet instant n'être que le leur...
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Père d'un petit lion aux yeux d'or.
--.elle.
La tête baissée, enfoncée dans son capuchon, elle avançait à pas rapides, ombre furtive dans la rue. Un regard scrutateur à chaque ruelle, ne pas être vue, reconnue…
A la croqueuse de pHommes, la lanterne brillait… Elle ralentit l’allure…
A la croqueuse de pHommes, la lanterne brillait… Peut être pour elle bientôt…
Elle s’engouffra dans l’ombre d’un porche et attendit…Les minutes ramenèrent en elle le doute…Elle ne savait même plus trop pourquoi ses pas l’avaient conduit ici si rapidement après avoir vu l’annonce…
La lanterne s’éteint, la porte s’entrouvre…Dame Grenade est là, voluptueuse, magnifique… Et elle, elle était loin d’avoir sa sensualité rayonnante…. Elle reconnu la silhouette de l’homme sur le perron…un habitué des lieux semblait il… Et tous les clients ne devaient pas être aussi séduisants que celui-ci…

Le cœur soudainement affolé comme après une longue course elle su qu’elle n’irait pas, pas ce jour, pas encore….

Et elle disparut un peu plus sous le porche…l’homme repartait dans sa direction…
Grenade
Grenade n'était pas dans un bon jour.
Elle était plutôt irritable, fatiguée et morose.
Beaucoup de soirs ressemblaient à cela dans la vie de la jeune femme. Seulement, quand un client arrivait, elle se devait d'orner son visage d'un sourire resplendissant et de faire comme s'il était le plus bel homme au monde.
Pourtant, les plus beaux hommes du monde ne passaient pas tous dans le lit de la jeune tentatrice. Aristote lui en envoyait de toute sorte, et ils n'étaient hélas pas tous pourvus d'un physique avantageux!
Mais, pour un instant au moins, elle leur apportait le bonheur de se sentir charmants, aimés et désirables.

Alors que l'un d'entre eux sortait de son échoppe, Grenade encore humide de son Nième bain, décrochait jusqu'au prochain visiteur ce merveilleux sourire fixé à ses lèvres et descendait sans aucune hésitation une bouteille de liqueur de poire.

L'alcool chaleureux accueilli dans ses entrailles l'apaisait quelque peu.
Alors qu'elle allait entamer une seconde rasade, elle aperçut une silhouette près de sa porte.
Elle empoigna sa dague et se précipita vers la rue.

*L'autre raclure serait déjà remis?*

Grenade découvrant l'allure féminine du corps encapuchonné, se détendit légèrement et l'observa attentivement.

*Une réponse à son annonce? Déjà? Pourquoi pas!*

La fille des rues, comme on l'appelait souvent, avait espéré en mettant cette annonce, que quelques unes des filles persécutées par le sagouin qu'elle avait poignardé aurait eu le courage de venir la rejoindre plutôt que de rester à sa mercie.

Hélas le courage ne semblait pas le plus grande qualité de la visiteuse, car déjà la silhouette emmitouflée s'en allait dans la nuit sombre.

La longue dame brune grommela une série de jurons, rentra et saisit la seconde bouteille de poire.

Grenade n'était pas dans un bon jour...
--Amelys
Amelys avait vu l'annonce, elle décida donc d'aller voir ce qu'il en était.

"Une maison avec une lanterne rouge, ça devrait pas être compliqué à trouver bong sang", bougonnait-elle.

Cela faisait quatre fois qu'elle faisait le tour du quartier mais elle ne trouvait pas. Amelys était prête à abandonner quand elle vit au détour d'une rue la fameuse lanterne. Elle fut très heureuse d'avoir enfin atteint sa destination.

Amelys avait revêtu pour l'occasion la plus robe de son trousseau, une superbe robe bleu roi, la couleur faisait ressortir la blondeur de ses cheveux et la blancheur de sa peau. Elle lissa sa robe une dernière fois et s'avança vers la maison pour aller frapper à la porte.

Arrivée devant la porte, Amelys eut une hésitation. Prenait-elle la bonne décision? La diparition de Castrix avait été une bénédiction, en aucune façon Amelys ne regrettait ce porc. Par contre, cela la mettait dans une situation un peu....embarrassante au niveau pécunier. Il fallait absolument qu'Amelys subvienne à ses besoins. Tout à coup plus sure d'elle, Amelys rentra à la croqueuse de pHommes.
Grenade
Grenade venait juste d'entamer sa deuxième bouteille de poire quand la clochette de la porte d'entrée se mit à teinter.
Elle tourna le regard et vit alors une jolie créature aux cheveux d'or.

La jeune brune se leva et alla à la rencontre de la belle toute en bleu qui fermait la porte.
Elle semblait mal à l'aise, hésitante, pourtant Grenade remarqua en un instant qu'elle n'était pas le genre de fille à venir ici juste pour offrir son hospitalité.
Elle avait un visage soigné, une peau nette et fine, mais des traits tirés par de longues heures de travail... Grenade connaissait trop bien la besogne qui abîmait les petites frimousses comme celle de la jolie blonde.

Alors contrairement à son hôte, elle s'avança sur d'elle et déterminée.


"Bonsoir! Je suis Grenade! Je suppose que vous venez pour l'annonce?"
--Amelys
Amelys était entrée. Elle se demandait encore si elle avait pris la bonne décision, lorsqu'elle vit s'avancer vers elle, une superbe brune. Cela devait être Grenade. AMelys ne pouvait plus reculer, elle se redressa et plaqua un sourire sur son visage.

Citation:
"Bonsoir! Je suis Grenade! Je suppose que vous venez pour l'annonce?"


"Bonsoir Grenade, je m'apelle Amelys et effectivement je viens pour l'annonce."
Grenade
Grenade ne se trompait jamais quand à ses premières impressions.
La blonde était bien celle qu'elle imaginait.
Elle la fit entrer et commença à lui faire faire le tour du propriétaire. C'était vite fait!

La salle principale était juste séparée de la salle d'eau par un beau paravent de bois sculpté que la belle avait pu s'offrir grâce à ses dernières visites. On pouvait aussi apercevoir un recoin dans le fond pour la cuisine.
Elle lui montra ensuite les trois chambres, lieu de ses futurs exploits.

Grenade n'avait pas un grand château, mais elle avait su rendre sa petite mansarde coquette et accueillante.
Une fois le tour de la bicoque terminé, les deux jeunes femmes se retrouvèrent devant le petit comptoir.
La jolie brune offrit à sa comparse un godet de liqueur et se mit à lui énoncer clairement les conditions de son hébergement.


« Si j'ai bien compris d'où tu viens ma jolie, saches tout d'abord, que ta vie ici, peut nettement s'améliorer!
Je ne viole ni ne tue personne. Je ne frappe pas... du moins, pas sans raison valable!
Ici, tu peux être logée et nourrie.
Bien sûr, je n'ai pas les moyens de t'héberger gratuitement, alors il faudra que tu participes au frais. Ceux de la vie quotidienne et les dépenses nécessaires à l’amélioration de notre antre.

Maintenant, je ne te promets pas une vie de princesse! Les filles comme nous n'y avons pas droit!
Mortagne n'est pas une ville magique et les hommes y sont tout aussi vicieux et sales qu'ailleurs! Par contre avec un peu de chance, tu tomberas sur certains qui te donneront du plaisir!
M'enfin... avec tes cheveux couleur de blé et ta peau de gamine, je suis sûre que tu connais déjà tout ça! N'est-ce pas boucle d'or ?



Grenade saisit le menton de la blonde un peu intimidée, lui redressa le visage et l’observa attentivement.
Elle était très jolie, de grands yeux qui se mariaient à merveilles avec sa chevelure.
Alors que la longue brune caressait doucement sa joue du bout des doigts, elle descendait son regard sur le corps de sa future colocataire.
Sous sa robe bleue se dessinaient des seins fermes et rebondis. La jolie avait de charmantes courbes qui invitaient volontiers à venir y poser les mains.
Grenade résista à l’envie avec un léger sourire.
Cette nouvelle venue était une bonne chose. Sa beauté classique allait attirer du monde sans pour autant faire concurrence à la propriétaire !
--Amelys
Une fois entrée, Grenade lui fit faire le tour du propriétaire. Même si la maison n'était pas très grande, Grenade avait su l'aménager agréablement.

Amelys écouta patiemment ce que Grenade avait à lui dire. Elle lui répondit lorsque Grenade lui saisit le menton.

"Effectivement , je connais tout ça, je sais de quoi il en retourne. Je n'attends pas une vie de princesse rassure toi, je veux juste pouvoir gagner de l'argent pour vivre et un toit pour m'y abriter. Je ne dirai rien des conditions dans lesquels nous travaillions pour Castrix, mais travailler pour toi, ce serait le paradis comparé à ce que j'ai vécu."

Amelys vit la façon dont Grenade la reluquer.

"Normal, elle examine la marchandise", pensa-t-elle.

Amelys, qui était un peu intimidée jusque là, voulait avoir une réponse. Elle se ressaisit un peu et décida d'être directe.

"Alors, Grenade c'est oui ou non? Je peux rester ici ou pas?"

Amelys appréhendait un peu la réponse de Grenade. Si celle-ci venait à refuser que ferait-elle?
Grenade
Citation:
"Alors, Grenade c'est oui ou non? Je peux rester ici ou pas?"


Déjà, la blondinette prenait du bagou.

Derrière son assurance se cachait tout de même un peu de crainte.
La jolie brune lacha le joli visage et alla se reservir un peu de liqueur de poire.
Elle aimait observer le comportement de la nouvelle : cet espoir dans ses yeux qui grandissait au fur et à mesure que les secondes de silence passaient.

Alors, doucement, Grenade reposa son godet sur le comptoir et annonça :

"C'est d'accord, tu restes!
Mais je te préviens ma belle, à la moindre entourloupe, toi et tes jolis attraits vous irez retrouver l'autre demeuré! Et je suis pas sûre que ton retour sera des mieux accueillis"


Grenade avait appris une seule chose depuis le temps qu'elle était dans ce métier.
La règle d'or : ne jamais faire confiance en personne.
La belle blonde avait l'air d'une brave petite, mais Grenade tenait tout de même à montrer qu'elle n'était pas le genre de femme à se laisser berner.
Les omoplates de Castrix pouvaient en témoigner. D'autres ordures n'avaient plus la chance d'être sur cette terre pour le faire...


"Tu peux t'installer dans la chambre du fond.
Maintenant, si j'étais toi, je me préparerai, au cas où un client friand de tes boucles jaunes venait à entrer!
Le baquet d'eau est sur ta gauche! Il est rempli trois fois par jour!
J'aimerai que tu y passes avant et après chaque visite...
Ca permet de nettoyer le corps ... et l'âme..."
--Amelys
Amelys fut ravie d'entendre Grenade lui dire qu'elle pouvait rester. Elle alla voir la chambre que celle-ci lui avait attribuée. La pièce était sommaire, un lit, une commode et rien d'autre. Amelys se dit que si elle pouvait rester elle améliorerait la pièce à son goût, en demandant bien sur la permission à la patronne.

Amelys déposa son baluchon sur le lit et rangea le peu d'affaires qu'elle avait amené. Elle décida ensuite de faire comme Grenade lui avait conseillé à savoir prendre un bain. Elle redescendit donc et alla prendre son bain. Une fois la chose faite, Amelys revêtit de nouveau sa robe bleu nuit et attendit que des visiteurs arrivent.
pnj
Une jeune fille au regard de miel se présenta chez la croqueuse de phommes. Cette jeune fille, qui a prime abord semblait timide et tres douce, dissimulait bien le métier qu'elle faisait.

A vrai dire, venant d'un autre village, où elle était l'image même de la sagesse, Chanterelle, s'appelant ainsi dans ce métier qu'elle aimait véritablement, adorait s'amuser avec les hommes.

C'est donc dans cette douce allure, de femme fragile et au regard de miel, qu'elle frappa chez la croqueuse de phommes.


Grenade
Alors que Grenade observait attentivement la somptueuse blonde se tremper dans le baquet, la porte frappa à nouveau.
La propriétaire espérant enfin recevoir une nouvelle visite alla immédiatement ouvrir.
Elle fut un peu déçue lorsqu'elle découvrit une jeune femme toute aussi jolie que la précédente.
Grenade était assez étonnée du succès de sa boutique auprès des dames. Cela faisait un drôle de contraste avec les rencontres qu'elle faisait à la ville où elle était sans cesse méprisée ou agressée par la gente féminine.

Alors toujours piquante et souriante elle déclara :

« Bonsoir belle demoiselle, peut-être souhaiteriez- vous passer un moment agréable parmi nous? »

Rares étaient les femmes friandes des jeux amoureux dont Grenade était experte, mais certaines venaient tout de même, curieuse de connaître des plaisirs inconnus. En général, ces moments de douceur n’étaient que purs plaisirs pour la ténébreuse.
pnj
Elle fut tout sourire quand la porte s'ouvrit sur cette voluptueuse femme qui laissait agréablement percevoir ces adorables atouts. Chanterelle à cette vue, eut un sourire mutin. D'un peu, elle aurait sorti le bout de sa langue pour se lècher lascivement la lèvre supérieur.

Rentrant d'un geste lent et se balançant des hanches sans outrance, la jeune femme fit exprès d'effleurer la maitresse des lieux de son bras sur le sien, tout en faisant mine de rien et dit,


Dame, tout le plaisir sera pour moi et si vous le désirez...... et sans rien ajouter de plus, lentement elle jeta son regard de miel dans ceux de sa vis-à-vis lui passant un message on ne peut plus clair sans le verbaliser.

Chanterelle appréciait autant les femmes que les hommes. Et tous les plaisirs étaient les siens.
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