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[RP] "A la croqueuse de pHommes"

Grenade
La majestueuse était jeune mais pas téméraire pour deux sous !
Elle entra la croupe dansante et vint frôler volontairement le bras de Grenade de sa peau douce.
Puis sur air décontractée la jeune effrontée proclama :


Citation:
« Dame, tout le plaisir sera pour moi et si vous le désirez...... »


A ces mots les sens de Grenade se troublèrent légèrement.
Cette petite avait un culot particulier qui plaisait déjà beaucoup à la belle brune.
Elle saisit rapidement le poignet de l’audacieuse, la retourna doucement et une main contre sa taille l’attira tout contre elle, collant sa moelleuse poitrine à la sienne.
Grenade était un peu plus grande et dominait donc légèrement la charmante.
D’un air tout aussi espiègle elle lui répondit avec arrogance :


« Avec une poignée d’écus ma jolie, je désirerais tout de vous… Mais votre irrésistible frimousse me rendrait presque généreuse ! »

Tenant toujours la taille de guêpe de l’impertinente, elle caressa doucement son visage du dos de la main et vint rapidement mordiller le coin de sa lèvre inférieure.

Puis redressant la tête elle esquissa un large sourire enchanteur sur le minois juvénile de la beauté qu’elle tenait encore dans ses bras.
pnj
Un sourire amusé se dessina sur les levres de Chanterelle. Dès que la femme prit son poignet pour l'attirer à elle et déposer sa main sur sa taille, elle sue qu'elle avait gagnée se qu'elle désirait.

A cette poitrine tout contre la tienne, elle frémit d'anticipation. Sentant un lieu bien secret palpiter agréablement.

Elle la laissa aussi lui mordre une lèvre, tant de gestes aussi charnels la troublait davantage. Elle vit meme la poitrine de cette belle brune frémir. Se durcir. Qu'elle vint tout en la regardant ardiemment, déposer un baiser à la commisure des deux seins.

De son autre main, elle sortie une bourse effleurant au passage ce ventre sous les tissus de leurs vetements.


Voilà pour vous belle dame. A vous de me faire fondre.

Dans le regarde de Chanterelle on pouvait vraiment détecter, qu'elle salivait déjà de ce qui l'attendait. Etre avec une femme. Ça lui manquait tellement. Mais treve de balivernes. Son sourire était mutin, invitant, sensuel. Et un doigt audacieux parvint a caresser un bouton de rose bien éclot sous le léger vetement de sa charmante.
pnj
Grenade
Un baiser sur ses seins frémissants, et une bourse d’écus apparue comme par magie.
La jeunette était décidément surprenante et c’est lorsqu’elle sentit une main errer vers l’écartement de ses cuisses que Grenade se mit à rire doucement.
Elle resserra fermement et adroitement le haut de ses jambes emprisonnant alors la main vagabonde et curieuse.


« Et bien ma jolie ! Vous êtes bien impatiente ! Je ne croyais pas vous avoir fait autant d’effet ! »

Grenade aperçut une ombre dans la commissure de la porte.

« Pourquoi n’allez vous pas vous mettre à l’aise dans une des pièces du fond et attendre que je vous y rejoigne !
Et si vos belles ardeurs ne peuvent vraiment pas patienter, peut-être qu’au passage vous tomberez sur une belle baigneuse blonde qui sera à votre goût.
Si ce n’est le cas, je suis à vous entièrement dans quelques secondes !
»

Grenade desserra l’étreinte de ses mains libérant la belle profiteuse et la regarda doucement s’éloigner sans, bien sûr oublier de s’emparer du petit sac empli d’écus.

Elle se retourna alors et ouvrit à nouveau la porte.

Encore une femme ! Décidemment !

Une jeune fille se tenait tout près, prête à partir.


« Bonsoir jeune demoiselle ! Je peux faire quelque chose pour vous ? »
pnj
Hamnel s'arreta dans sa démarche et se retourna tout sourire. Surprise peut etre, mais pas effrayée pour un denier qu'elle revint sur ses pas pour dire a la jolie dame,

Non Grenade, j'avoue que ma curiosité fut éveillée par les dires que j'ai entendus a votre propos. Maintenant que je sais qui vous êtes, cela m'ira.

Hamnel sourit et partie cette fois pour de bon d'une démarche nonchalente sans aucune inquiètude.
--Amelys
Amelys qui finissait de se préparer entendit que Grenade avait de la visite. Elle décida donc de se faire discrète pour ne pas déranger le client et la patronne. Elle rassembla ses affaires et se dirigea vers sa chambre pour les laisser seuls en tête à tête.
pnj
En fait la belle Chanterelle décida gracieusement de quitter les lieux. Sa bourse. Elle n'était pas en manque d'écus. Ce qui expliquait qu'elle pouvait aisément agir à sa guise. En dépenser sans compter. Le cheptel, le travail de son mari et le sien quand il devenait utile, offrait largement le luxe dont elle appréciait la valeur.

Elle ne dit mot à Grenade. Cette dernière si elle désirait ses atouts, il lui faudra faire preuve de plus de dépendance. Ainsi, Elle marcha jusqu'à un certain point de rencontre marchand langoureusement, faisant mine de porter une attention particulière à son environnement et monta dans le carosse qui l'attendait et dit au cocher,


Nous rentrons Brutus. Mais nous reviendront et je te promets que tu auras ton dessert.

Parfait maitresse! Et vous savez bien que je vous fait confiance. Ce dernier sourit avec un brin de concupiscience dans le regard. Dévorer tout crue une chair tendre et nouvelle avec sa maitresse, ne faisait que l'émoustiller. Il fouetta l'un des chevaux et la balade du retour débuta pour ces deux amants aux plaisirs bien particuliers.

Se callant dans le fond, émmitoufflée de peau de moutons pour bien la tenir au chaud, Chanterelle se laissa balancer par la voiture qui prenait la direction du Manoir de son illustre époux. Tendre certes, mais lassant. Terriblement lassant. Surtout qu'il n'était, qu'un homme.
Latika
Elle s'approcha telle une ombre qui glissait sur les pavés,
une lueur à la porte de cette maison pas comme les autres,

elle toqua légèrement à la porte et attendit sagement.

Une grand cape protégeait son délicat visage, elle avait noué ses longs cheveux noirs derrière sa nuque, de sorte que seul le bout rose de frois de son petit nez rond dépassait de la capuche;
la cape, descendait sur ses frêles épaules et descendait jusqu'aux genoux, de cette partie du corps on ne pouvait rien deviner...

Du bas de la cape, s'échapper de fines jambes musclées, serrées dans des bottes de voyage.

_________________
Grenade
La jeune effrontée était partie sans demander son reste.

Grenade avait toujours la bourse dans ses mains, c'était le plus important.
Décidément les gens de cette ville étaient bien étranges!
Grenade s'en rendait compte de jours en jours. Seulement la jolie brune commençait sérieusement à s'ennuyer. Pas un seul amusement depuis son milliardaire!

Alors qu'elle revoyait les images du joli traître la chevauchant dans toute la demeure, la porte toqua à nouveau.

Grenade comme à son habitude alla ouvrir avec légèreté et élégance.

Encore une jeune femme! Elle avait l'air plus mûre que la précédente, et bien qu'il fut protégée par capuche et cape, Grenade lui trouva un visage charmant et fin.


"Puis-je vous aider mademoiselle?"

[Désolée mais ma future réponse risque de se faire attendre, je serai absente une semaine...je ferai ce que je peux pour me libérer ]
Latika
Une jeune et belle jeune femme lui ouvrit la porte,
et lui demanda si elle pouvait lui apporter son aide.

Elle se mordit la lévre et la regarda en souriant.


J'aime beaucoup le nom de votre... maison,
et les pHommes c'est exactement le genre de fruit dans lequel j'aime à croquer....


Elle émit un petit rire cristallin et lui lança un regard rieur cette fois.


Je passais faire un tour, voir si je pouvais vous proposer mon aide...?


[aucun soucis je ne suis pas préssée...]
_________________
Grenade
Grenade ne fut pas étonnée d'entendre la demoiselle lui proposer ses services.

"Ecoutez moi ma belle!
J'ai déjà une gueuse qui loge sous mon toit!
Pis il semblerait que les hommes de Mortagne aient tous virés de bord!
C'est mort en ce moment.
Alors si vous arrivez à me ramener des clients je vous laisse vous amuser tant qu'il vous plaira. Faudra juste me payer le loyer et les dépenses pour la nourriture parce que ben je suis pas hôtelière et je suis pas du genre à faire l'aumône.
"

Grenade tout en parlant ne cessait de zieuter la rue et l'arrivée d'un client potentiel.

C'était donc vrai?
Mortagne était une ville sans célibataire et sans homme prêt à l'adultère.
De toute sa vie de fille de joie, la Grenade n'avait jamais vu ça!
Latika
Latika écouté les paroles de la jeune femme,
celle ci sembla plus que réticente,
et puis quel acceuil, en fait elle la comprenait et puis à l'entendre parler,
elle se dit qu'elle allait suivre sa petite route à sa manière et differement,
elle sentait que cette ville pouvait lui apporter bien plus.


Merci jeune femme! Desole de vous avoir dérangé,
enfin je vous remercie de m'avoir ouvert la porte,
j'espere à bientôt,
et si jamais vous avez besoin d'un conseil, n'hésitez pas.
Je suis désolé, mais du nom de gueuse, je ne pourrais me laisser appeler!


Elle rit et lui fit un clin d'oeil, avant de filer dans la rue,
elle avait vu une grande batisse à l'entrée de la ville, des projets se formaient dans son esprit.

_________________
--Amelys
Amelys, qui préparait le repas, entendit la discussion de Grenade et de la visiteuse. Il est vrai qu'en ce moment les affaires ne marchaient pas spécialement bien. Personne n'était venu pendant l'absence de Grenade et l'ouverture des thermes n'avait pas arrangé la situation. Amelys décida qu'elle resterait avec la patronne, elle avait accepté de l'accueillir, et elle lui devait au moins cela. Elle partirait quand Grenade lui demanderait.
Itenet
Itenet avait longuement hésité, de peur de paraitre inopportune surement, mais finalement elle s'était décidée.
Elle était donc devant la porte de Grenade, une brioche à la main (on est boulangère ou on l'est pas ) espérant que Grenade serait chez elle.

Avant de frapper à la porte elle se demanda ce qui motivait sa visite. Beaucoup de choses en fait la pousser à venir rendre visite à Grenade, d'abord l'envie de la connaitre mieux et de faire fi des on-dit afin de se faire sa propre idée sur sa personnalité, après tout Grenade était appréciée des personnes qu'elle appréciait le plus ici, et tous ses préjugés qui courraient en ville l'énervait il faut bien dire et elle n'avait pas du tout l'intention de leur donner de l'importance.

De plus elle avait beaucoup entendu d'éloge de son intérieur de ses tentures et de l'impression de bien être qui régnait chez elle. Bien entendu Itenet n'avait pas l'intention de transformer la roulotte en maison de Grenade mais elle avait l'air d'une femme de gout et les bonnes idées sont toujours les bienvenus.

Itenet frappa donc d'un air résolu à la porte et attendit une réponse
Grenade
Grenade était d'une humeur exécrable depuis quelques jours.
Le manque de clients, l'ouverture des thermes, le départ de son gentil petit imaginaire et la disparition de son milliardaire y faisaient beaucoup.

Elle se forçait tout de même à rester le plus agréable possible avec la jolie Boucle d'or qui vivait à ses côtés.
Cette jeune femme était d'une douceur et d'une discrétion épatante.
Grenade était au final bien heureuse de l'avoir pour colocataire.
Pourtant, depuis quelques temps, elle songeait secrètement à faire ses bagages et aller offrir ses services un peu plus loin dans la région, dans une ville où les femmes seraient un tantinet plus farouches que les Mortagnaises afin de lui permettre de travailler assez pour vivre.

Mais au réveil ce matin, ses idées noires semblaient envolées et, malgré le chant des oiseaux qu'elle avait en horreur, Grenade s'affaira d'une humeur assez bonne.
Elle grogna à peine lorsque la porte frappa à cette heure matinale (enfin pour elle).
Sur le pas de sa porte se trouvait une jolie jeune femme que Grenade connaissait déjà.
C’était la compagne de son ami Marnofred.

Aussi étonnant que cela puisse l'être, la brune fut presque gênée de cette visite. Elle avait toujours craint de faire mauvaise impression auprès d'Itenet et ne voulait pas que cette dernière ait une mauvaise image d'elle.
Il était vrai, que d'habitude, et heureusement pour elle, Grenade se moquait bien de ce que l’on pouvait penser ou dire d'elle.
Mais dans ce cas de figure, elle tenait à ne pas décevoir.

Grenade lissa sa longue robe rouge, remonta légèrement son châle sur les épaules et fit un chaleureux sourire à Itenet l'invitant volontiers à entrer.


Bonjour dame Ite! Je suis flattée de votre visite. Entrez! Je vous en prie... et ne faites pas attention au bor... euh..... au désordre !
Y a quelque chose que je peux faire pour vous aider ?


Grenade poussa discrètement du pied un godet qui traînait au sol, histoire de le faire disparaître sous un meuble, ramassa les bas oubliés sûrement par un ancien client et offrit un siège à sa nouvelle visite.
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