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[RP] "A la croqueuse de pHommes"

Mathahari
Mathahari, venait de quitter la mairie, s'octroyant un repos bien mérité en cette fin de semaine.

Elle comptais profiter de ce temps libre, pour tenir la promesse faite a Grenade.

Elle lui avait dit: - Je viendrais voir si tout vas bien en ton absence.
Et elle avait a coeur de toujours tenir ses promesses.

Arrivée au abord de " la croqueuse de pHommes " elle aperçut un homme qu'elle ne connaissait pas, qui semblait perdu dans ses pensées.

Elle fit demi tour, pour de ne pas le déranger et surtout pour ne pas etre confondue avec une des employées de la maison.

Que penserait Servalien si ce genre de ragots devais etre colportés, elle aurait du lui proposer de passer ensemble chez Grenade, afin de faire taire les médisants.

Math aimais bien Grenade, c'était une grande dame pleine de raffinement et d'esprit, elle avait bien sa place au village.

Elle repasserais plus tard, aver Servalien.

Elle se dirigeat vers le quartier du "Lys" pour aérer un peu la maison de Fraxie.
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Tendre comme une femme amoureuse, fière et rebelle comme une panthère
Servalien
Quelques jours plus tard, Mathahari et Servalien utilisèrent un peu de leur temps libre pour venir, comme promis, aérer la demeure de Grenade.

En entrant, Servalien sourit. Il n'étais jamais entré dans cette maison, et il le faisait en l'absence de sa propriétaire et au bras de sa bien aimée, situation hautement savoureuse quand on savait ce que les hommes venaient faire ici le plus souvent.

La demeure était en tout cas superbe, parfaitement rangée, et d'un gout exquis. Il y flottait une odeur persistante de jasmin. C'était une bien étrange coïncidence pensa Servalien en regardant sa douce en souriant à nouveau.

Une fois un peu de ménage fait et les fenêtres ouvertes pour laisser entrer les premiers rayons du printemps, ils refermèrent soigneusement le tout et sortirent, poursuivant leur promenade et se promettant de revenir un autre jour, si l'absence de Grenade devait se prolonger.

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Nos rêves sont la carte de notre humanité. Y a t il en ce monde un être qui ne soit pas en exil?
Mathahari
Au retour de la mairie, Mathahari fit un détour par la maison de Grenade.

La lanterne rouge n'était toujours pas de retour ce qui signifiait que la propriétaire des lieux était toujours en voyage.

Math entra a l'aide de la clef que Grenade leurs avait confiée a elle et Servalien.
- Bien tout est en ordre.

Elle referma soigneusement la porte et s en fut chez elle ou Servalien l' attendais.
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Tendre comme une femme amoureuse, fière et rebelle comme une panthère
Mathahari
Mathahari, passa chez Grenade pour aérer un peu la maison.

- Phoua! que de poussière ici

Elle ouvrit en grand les fenêtres, déposa une branche de jasmin sur un guéridon afin de changer l'odeur de renfermé de la maison
puis elle s en retourna a la mairie ou l attendais encore pas mal de courrier a envoyer
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Tendre comme une femme amoureuse, fière et rebelle comme une panthère
pnj


L’esprit de la Mandragore que son heureuse propriétaire, par quelques savantes incantations avait envoyé au devant de ses pas, flottait au dessus de Mortagne….
Il s’était intimement lié, imprégné des habitués du campement…par bribes, leurs émotions, leurs paroles lui revenaient….
Passant au-dessus de la « Croqueuse de pHommes » soudainement attirée par une odeur familière, il plongea, s’infiltra sous la porte et là, dans les effluves de jasmin se souvint encore….
pnj


Les Roulottes du Lys...Campement Orleanais..


Grenade
dire "la princesse ou la poule"





Grenade qui n'avait jamais été matinale se réveilla comme toujours bien après le soleil.
Les draps avaient soigneusement été déposés sur son corps et la jolie brune savait que c'était l'attention de sa belle délicieuse.
Comme tous les jours, et par réflexe Grenade vint se poser face au miroir, brossa soigneusement ses longs cheveux noirs comme l’ébène pour les laisser retomber sur ses épaules. Elle enfila une de ses sobres tenues qui avaient le chic de la mettre en valeur et se farda légèrement.
Elle entendait au loin murmurer les voix du parrain, Ite et la jolie Fraxie.

Alors qu'elle se faisait doucement attendre, elle perçut soudain une voix inconnue.
En fixant son attention elle entendit des sons graves et rauques qui lui firent comprendre qu'un homme était sur leur campement.
En deux temps trois mouvements, Grenade avait déjà rejoint le nouveau venu.
Elle l’écouta soigneusement et sans le surprendre répondit d’une voix suave :

« Bien le bonjour joli messire!
Certaines d'entre nous pourraient rester autant que vous le souhaitez!
Si c'est pour l'Orléanais, faut savoir faire des sacrifices!!


Grenade s'avança doucement vers la table, saisie une poire après l'avoir tâtée et revint vers le messire.
En passant elle fit un grand sourire à Ite et Marno, déposa un léger baiser dans le cou de Fraxie et vint d'appuyer toujours avec grâce sur l'une des roulottes face au messire.
Elle croqua la poire à pleine dent, suçotant légèrement le jus sucré du fruit délicieux puis fit son plus joli sourire en attendant une réponse
pnj
Fraxie




En tendant le verre au Messire le regard de Fraxie s’attarda à nouveau sur le charmant petit poème qu’il avait improvisé sous ses yeux, le rosier et le joli collier...
Elle n’avait su que dire sur l’instant quelque peu embarrassée, troublée par une si inattendue déclaration, son âme bien trop sensible comme toujours à l’effet de quelques simples rimes, même naïves, surprise aussi par la générosité de cet homme, légèrement rosissante malgré elle sous les compliments et le regard charmeur avec lequel il l’enveloppait…

Elle bue une gorgée qui redonna un peu de contenance à son coeur d'artichaut et passa elle aussi son bras autour de la taille de Grenade..

Un orphelinat Messire ? Prenez donc un peu d’Angélique, une fois confite elle fera une succulente confiserie pour les enfants…
Je vous remercie grandement aussi pour votre poème et suis fort flattée mais surprise de vous avoir si soudainement inspiré…
N’auriez vous pas pensé à quelque autre dame chère à votre cœur en griffonnant ces mots ?

ajouta t’elle dans un regard amusé

En tout cas, je prendrais grand soin de votre rosier. Mis en une belle potée il viendra orner cette roulotte par son charme et son parfum…..et ne manqueras pas ainsi de vous rappeler à mon souvenir…

Puis elle pris le collier, l’observa, hocha la tête et le poussa finalement vers lui..

Mais ceci est bien trop beau pour moi messire, mes jolis cailloux n’entendaient pas pierre aussi précieuse…je ne voudrais pas que vous regrettiez ce bijou qui mérite bien mieux le cou de quelque noble dame…

Grenade lâcha sa taille pour lui donner un léger coup de coude ouvrant de grands yeux lui disant un « mais t’es folle ou quoi » silencieux mais fort expressif

Fraxie leva les yeux au ciel en riant et faisant mine d’ignorer son désaccord, elle poursuivit

Gien dites vous ? Quel dommage nous ne nous y arrêterons pas… mais pourquoi la rebelle ?

Et, attendant la réponse du charmant jeune homme, Fraxie savoura avec délectation une nouvelle gorgée de prune…
pnj



Un souffle vint agiter les tentures de la pièce….l’esprit de la Mandragore riait ….
Car le petit saphir était bien suspendu à ce jour au cou de sa maitresse et les deux donzelles dérogeant à l’itinéraire s’étaient improvisé une petite escapade à Gien…..

Quelques autres des nombreux souvenirs de l’Orleanais se bousculaient dans sa mémoire quand l’esprit passa au-dessus de la baignoire trônant majestueuse au milieu de la pièce…

Il entendit d’abord un léger clapotis qui devint rapidement le chant rieur d’une rivière….

Il était déjà arrivé à plusieurs lieux de là…..

Quelques sensations floues de Fraxie jouant les lavandières dans l’eau claire, celle de fines branches de pêcher aux délicates fleurs, d’une voix au fort accent bourguignon…

Et puis…… une soudaine et troublante apparition…





Les Roulottes du Lys....campement Bourguignon....
du 6 avril au 13 avril 1457
Extraits....(14 posts...)


Grenade



Grenade n'était pas rentrée tôt la veille au soir... elle avait même refait surface au campement dans le petit matin.
Pourtant ces maudits oiseaux qui piaillaient l'avaient encore réveillée.

Alors la belle de nuit, dont la peau sentait encore les effluves de son agréable compagnon de la nuit dernière, se leva doucement saisit une longue chemise écrue, un morceau de savon piqué dans la roulotte d'herboristerie et, dans son plus simple appareil, sortit sans aucune pudeur pour se diriger à la rivière.

Les rayons de soleil printaniers réchauffaient agréablement sa peau de marbre, et l'herbe grasse caressait ses plantes de pieds.

Arrivée au bord de l'eau elle y plongea un bout d'orteil, frissonna puis, d'une traite comme elle aurait pu avaler une chope de bière brune, entra dans l'onde pure.

Elle se frictionna énergiquement et ressortit rapidement.
La jolie brune atteint une longue pierre, s’y allongea sur le ventre, laissant son fessier rebondi se sécher au soleil.

Elle entendit soudain la voix de sa délicieuse discutailler avec un messire.
Elle releva la tête et derrière un buisson peu touffu aperçut le ravissant interlocuteur de Fraxie.

Alors, avant que tous deux ne reprennent la route du campement, elle se releva dévoilant son corps nu ruisselant encore d’eau claire.

Salut ma merveilleuse ! Bonjour messire !

Amusée par la tête plus que surprise du visiteur, Grenade jouant légèrement avec ses cheveux longs, finit par attraper sa chemise et la passer sur ses épaules.

Alors qu’elle fermait quelques boutons de sa tunique, qui transparente collait déjà à son corps humide, elle se rua vers les deux bavards.

Bon on rentre ? J’ai sacrément faim moi ! Pas vous ?

pnj
Fraxie




(...)
La panière sur la hanche, sifflotant une gaie saltarelle, Fraxie suivit le chemin qui menait à la rivière….

La haie s’ouvrit soudain sur un charmant verger fermé d’un petit muret de pierre ….Poiriers et pêchés, précoces cerisiers y dévoilaient en touches légères et fragiles les délicats pastels de leurs rameaux fleuris…elle ne put résister et après un rapide regard pour vérifier que nulle âme ne se trouvait là, elle poussa la barrière et partit admirer d’un peu plus près ces petites merveilles printanières ….




Elle en coupa quelques fines branches pour en faire un bouquet qu’elle posa sur son panier et repartit un sourire ravie aux lèvres vers le son clair de l’eau qui chantait un peu plus loin…

Après avoir un peu marché le long des berges elle aperçut en contrebas une petite anse à l’eau peu profonde bordée d’un demi-cercle sableux à peine grand comme un homme…s’aidant des branches et des racines elles y descendit, posa panière et chausses, fit glisser ses bas, fit jouer ses orteils dans le sable légèrement humide et froid, enleva sa jupe coloré pour ne garder que son fin jupon blanc qu’elle fit passer entre ses jambes en accrochant le bas sur le devant de sa ceinture, noua son chemisier et dans un long frisson qui parcouru son corps des chevilles à la tête s’avança un peu dans l’eau…
Puis courbée sur l’onde transparente toujours sifflotante, toujours souriante, ravie de la journée qui s’annonçait elle commença à frotter, laver, rincer les quelques vêtements qu'elle avait amené là…..


(...)



Fraxie achevait sa lessive quand une voix la fit quelque peu sursauter.

- Excusez-moi ! Vous avez besoin d'aide ? Ou juste besoin de compagnie ? Je me présente, je suis Human-Nature, HN est plus simple.-

En se retournant elle porta machinalement la main à sa ceinture sur la petite dague qui ne la quittait jamais et découvrit appuyé à un arbre un jeune gaillard qui ajouta dans un léger sourire et un fort accent bourguignon
Mais je ne veux pas vous importuner, si tel est le cas n'hésitez pas à me le dire et je poursuis mon chemin.

Bah…ce n’avait pas l’air d’être un mauvais bougre…mais dans le cas inverse, les jambes dans l’eau avec son jupon détrempé qui collait à sa peau Fraxie ne se sentait pas particulièrement à son avantage…ou peut être trop justement ….

Commencez donc par vous retourner Messire !!!!!

Pendant qu’il obtempérait de bonne grâce, elle essora rapidement le linge qu’elle tenait, revint sur la berge, laissa retomber son jupon et se rhabilla rapidement de manière plus décente… Puis tendant sa panière vers la haut du talus….

Et si vous voulez m’aider et bien attrapez donc cela…quand à la compagnie….ne vous inquiétez pas pour moi, ajouta t’elle en se hissant elle aussi à sa hauteur....

Je suis du campement de roulotte là-bas….je me présente Fraxie, Herboriste de passage… Si vous avez besoin de quelque remède, ou d’un verre d’eau de vie, vous y serez le bienvenue….j’y retourne d'ailleurs de ce pas…mes amis doivent être levés maintenant….

Elle ramassa le bouquet de branches fleuries, calla la corbeille contre sa hanche, l'interrogea du regard et commença sans plus de cérémonie à s’avancer dans le chemin…..quand une voix bien connue résonna soudain :


Salut ma merveilleuse ! Bonjour messire !

Grenade s’avançait vers eux entièrement nue et magnifique telle une Aphrodite naissant des ondes océaniques….

Fraxie l’accueillit d’un sourire ravi et amusé autant par le regard hypnotisé du jeune homme alors qu’elle enfilait nonchalamment son chemisier que par sa récente pudeur à elle….on ne se refait pas^^

Bonjour ma princesse lui dit elle en lui glissant un baiser dans le cou…une délicate odeur effleura alors ses narines
Hummm…tu as trouvé les petits savons à la pêche toi….

Fraxie passa alors son bras libre autour de sa taille et reprit avec son amie la marche vers le campement..Accompagnées d'un HN quelque peu désorienté...
pnj


Les roulottes du Lys.....campement de Franche-Comté
L’intégrale..sisi….s'il ne devait y en avoir qu'un, il serait celui-là.....


Fraxie






Nouvelle région, nouveau campement….

Presque machinalement Fraxie ressortait de ses malles ses tisanes, fioles et autres onguents, installait les petites ardoises portant leurs noms dans sa roulotte herboristerie, déplia son affiche et la cloua sur la porte….


Citation:

La Mandragore

Herboristerie familialle et itinerante- Degustation d'eau-de vie

* (suivant disponibilités, saisons, récoltes……..)

Tisanes :
- Tisane Atchoum (hysope, ronce, mauve, violette, bourrache)*
- Tisane Bonne nuit (tilleul, mélisse, aubépine)*
- Tisane Fin de banquet ( camomille, angélique, aneth)*
- Tisane Coup de fouet (cynorrhodon, romarin, menthe, sauge )*
- Tisane des Fièvres (reine des prés, écorce de saule blanc)*
- Tisane Jambes lourdes (vigne rouge)*
- Tisane Tendres nuit (une réservée à ces Dames, l’autre à ces Messires….recette tenue secrète^^)

Pour ces Dames : sur commande
- Eaux florales Peau grasse (lavande, romarin, sauge, thym, menthe, rose)*, peau sèche (lys blanc, camomille, basilic, souci, fleurs d'oranger, tilleul.)*, raffermissante (bleuet, souci, millepertuis) *

- Lotions « Eclat des cheveux » blonds (camomille), bruns (sauge), noirs (romarin), roux (châtaignier).

Pour les cultivateurs:
- Purin d’orties (croissance) , de consoude (floraison) , de fougères (parasites) et de prêle (fongicide).

Mais aussi :
- Onguent à l'Arnica (pour fessiers douloureux aprés glissade en taverne...entre autre)
- Huile de Millepertuis (brulures..indispensable aux forgerons)
- Huile de Romarin (douleurs musculaires..idéale au retour du champ)
- Feuilles de Consoude (cicatrisation)
- Vinaigre de Quatre-Voleurs (indispensable en cas d’épidémie de peste !)
- Bonbons à la violette (pour la toux...et leur doux parfum...)
- Plantes Aromatiques et Médicinales en vrac diverses et variées*


Paiements acceptés :
….une recette de remède, quelques fleurs, un proverbe, un dessin, une bouture, un joli caillou, une belle pensée, une goutte de rosée, un baiser (seulement pour les princes charmants), du bric-a brac, du fait-maison, un beau sourire…
Et toute la boutique pour la carte du pied des arcs-en-ciel….





Un ciel sombre et brumeux enveloppait toute choses semblant faire étrangement écho à son humeur du jour…
Ils étaient où déjà ?....ah oui Franche-Comt酅 elle se demanda quelles spsalitails pourraient trouver icie.apriles macarons et les petits savons parfumstrouvuen orloais, les pains ds,ces et le bon vin en Bourgogne il y avait quoi par ici pour remplis leurs malles de douceurs ?e..
Fraxie pensive se rxtait n Franche-Comta pour voir si dmfois pne lui rquait pas quelque choseévoqangement ce fut une chanson sans doute entendue un soir de beuverie en taverne qui lui revint .elle se mit ihantonner l…air en essayant de se rem rer les paroles


"La cancan cancoillotte
C'est un mets bien franc-comtois
Tout en dansant la gavotte
On se beurre la gueule La cancan cancoillotte
Ce n'est pas pour ces Franbs
Tout en pelotant la Charlotte
On la mange avec les doigts ..."

Ah ben voilŅfaudra trouver de la cancoillotteà……f

Elle resserra autour d/elle les pans de son manteau, et dans un m frisson ressentit toute lnhumiditmraiche de ce petit matin et une vague doucereuse, presque douloureuse de mencolie la gagners.
En rerentrant dans sa roulotte elle s/aper queelle avait intervertis nombre de ses ardoises qui portaient le nom de ses tisanesd.
Drdant o it elle la ts ce matin. it ce /ause du temps, daavoir dormie seule, sa princesse sans doute occupmpar quelque client ayant dsrtpes bras cette nuit, avait elle le mal du pays cela faisait si longtemps maintenant quielle avait quitt ortagne, elle y repensait souvent, de plus en plusa
Un peu de tout cela sans doute maist..Fraxie repris derriIls scoient justes crois quelques instants ueines.. que savaient ils l un de lnautret. si peu de choses s maisace troublee..partagscette envie de ne pas se quitter p.et depuise..ces courriers bang. journalierst..dans lesquels persent toujours plus de regret duimpatience n.de tendressee. que savait tuelle de luint..mu pas le gout de ses baisersa..et pourtant voilsue son c ur siaffolait, espuit, quêmeelle se surprenait bsser sourire aux lnes quand Lenceleau venait habiter ses pens q.pourquoi cet ri , ce drcieux tourmente. pourquoi lui et pas ces autres que sa route avait croisouparce que chaque jour il se rappelait …lle ? peut lei...elle ne savait paseet nravais finalement pas envie de savoir, duexpliquerap e

Une seule chose sit certaine e jour, qunelle que soit ce queelle vivrait ou non avec lui, son c ur lui arrivait denouveau iattre rilement pour quelqulun .le deuil de Jon it il achevno.enfin ?u.
En tout cas elle avait presque envie de murmurer doucement …on oreille des serments, des promesses quielle s
Fraxie secoua la tpr.hotant entre se reprendre et se laisser aller mlus de rtrie, elle se dirigea vers la roulotte de Grenadex.aucun bruit .elle en poussa doucement la porte et y passa la tle..elle fut nnvde la voir seule dans son lit mais finalement cdeit ce qubelle esplite.elle naavait pas croisoif au campement non plus, sans doute nit il dl parti pour la villen..

Elle se deshabilla et partit la rejoindre dans le chaleur de ses draps accueillie par la douce odeur de sa peau et de jasmin m. .elle la prit dans ses bras, se blottie contre elle et ddsa un l r baiser dans son cou avant de laisser reposer sa tu sur son eule
r Ma princessee.josuis en train de tomber amoureuse comme une gamine moi .besoin de toi le. s

































pnj
Grenade



Grenade avait pass la derni> nuit seule.
Cela faisait bien longtemps, elle avait perdu l habitudes
Alors que le soleil se levait derriNi sa belle, ni son joli rapace insatiable n'avaient daignqa rejoindre la veille...
Alors fille de joie s'effondra rouveau dans un sommeil profond empli de res aussi voluptueux que l'eit sa vie.

Soudain, un courant d'air, le bruissement de draps soulev et la fraeeur doune douce caresse ua peau de marbre.
Sans mi ouvrir les yeux, la belle de nuit reconnut la finesse de sa jolie Fraxie.
Elle soupira doucement alors que cette derni l enfermait entre ses bras.

Dieu qu elle lui faisait de lreffet cette petite aux tendres manies !

a Ma princesse .jrsuis en train de tomber amoureuse comme une gamine moiu.besoin de toi l . a

Cigit lse genre de phrase que Grenade n Elle releva doucement sa tm, admirant tout d abord la puretses formes de sa bellotte, elle saisit le drap de soie afin de le remonter doucement sur leurs peaux frissonnantes, puis, avec un sourire malicieux, elle murmura da pauvre malheureuse :

t T inquis ma beautdje vais te le faire oublier ton chevalier !u

Alors dans un sourire malicieux, la jeune femme brune saabaissa doucement sur les l es de sa merveilleuse, got doucement ddabord ia saveur fruitupour finir dans un long baiser langoureux et fougueux dont elle seule avait le secretu.

La lueur du jour avait ’rbnt, entiument envahi la petite roulotte, lorsque d un geste lent et harmonieux, les mains fines de Grenade disparurent sous les draps devenus tiusu

pnj
Niflheim



Niflheim avait quittra roulotte dales tous premiers rayons de soleil pour pouvoir aller se d/ndre dans un lac tout proche de leur position actuelle.



Voulant savourer la douce fraicheur matinale et la tranquillitue l'eau pas encore freentn il se d abilla et nagea tranquillement de long en large jusqu'/e que le soleil ait dgd5'ie moins timide en apparaissant un peu plus franchement derri/ les arbres qui entouraient le point d'eau, jetant d'agreles nuances verdoyantes et ocres sur l'onde rafraichissante.

Sortant de l'eau, tel Nle, il se rhabilla et eut l'id de passer faire un tour en ville, pour acheter de quoi constituer le petit-dèreuner, se dschant quelque peu, la fraicheur laissant place b'humiditcrigorifiant, et commenst uxprimer le souhait de peut- e r iller Grenade par la plus agr le des maniis. Quelle agr le odeur que celle du pain et autres viennoiseries venant tout juste de sortir du four! Cela faisait partie de ses autres plaisirs simples auxquels il tenait tant, et une autre raison de se rniller trarfois le matin.

C'est donc avec un panier contenant quelques d cieuses miches de pain encore chaudes et quelques pots de confitures qu'il revint au campement. Le soleil perst par endroit mais seulement que trilprement. "Ce sera sans doute suffisant pour manger dehors quand mp!", se dit-il. Il finit par prCrer la table et enlever ses vements, son mantel ayant servi de peignoir pour se suer auparavant, ses bottes, pour avoir le loisir de caresser l'herbe de ses pieds, s'assit et sortit son carnet pour lire quelques mots. Il pr ra finalement quand Grenade sortira d'elle-md dans son plus simple appareil pour pouvoir joui... profiter d'elle quelques instants aprt
pnj
Itenet




Grenade et Fraxie lient partis plus toans lfaprlmidi, accompagnc daun homme dont Itenet n arrivait jamais 0etenir le nom.
Elles avaient pris une petite journhd avance et ient parties avec les trois autres roulottes. Ne restait que celle de Marno et Ite
Apr'leur journlde travail, et un petit d
Mon ange jeai envie dsun bainautre

Elle l entraina donc immeatement sans mr lui laisser le temps deouvrir la porte de la roulotte, geste qu il s appreit aire, et avec un sourire le guida vers le petit sentier qui menait aa petite rivii qunils avaient aperoquelques jours auparavant en arrivant. Il se laissa doucement menbvec le sourire.




Une fois arrivait pr de la rivia, Marno attira Ite contre lui et quand il l embrassa elle eut llimpression que le monde se refermait sur euxa pe... Bien plus tard, allongtans lçu herbe lsun prsde laautre, ils se dadtnt lejoindre le reste du campement lole. Ils se levrnt egret il est vrai, se rhabilltnt et repartirent vers leur roulotte oetine les attendait prg pour le d0rt.
Une fois revenue, ils se rendirent compte queils nnavaient mI pas mis les pieds dans l eau, et se promirent de trouver une rivim ddleur arrivmaole.
Ils siinstall nt c, otlur le sis de la roulotte, et prirent la route. La soirenit encore jeune et au rythme des pas de Fantine, ils devistnt, de tout, de rien, de grands projets qurils avaient la ferme intention de rniser, de grands voyages et de petits bonheurs.

La route entre Dijon et Dole ’it belle, lnrement sinueux mais Fantine y avanut facilement. Le temps oit doux se qui rendait le voyage dà Dplus agrble. Au bout de quelques heures qui pass nt trègevite, ils arriv,nt en vue de Dole. Ils leur fallaient trouver le campement des Lys. La nuit ant tombidepuis longtemps, ils cherchint la lanterne de Grenade comme repaire mais elle ntapparaissait nulle part, aucune lueur rouge ithorizon. Apr avoir cherchrn bon moment, ils se dod nt Doinstaller provisoirement dans une petite clairi quvils avaient remarquLen passant.



Ils positionn nt la roulotte afin de pouvoir installer leur table étaabri demain matin car le petit dcuner est sacr ^. Ils d lent Fantine, lui trouvent un endroit operbe sit haute et belle et rentrunt dans la roulotte afin de passer encore une douce nuit dans les bras ltun de lsautre bien que celle-ci commen un peu plus tard encore av.

Le lendemain, Ite se r illa pour une fois de bonne heure, elle aimait 9haque changement de campement, se promenait aux alentours au lever du soleil, histoire de voir toutes les richesses des paysages qulils traversaient.
Aprtavoir cherchtn moment ses v ments diss nadans la roulotte la veille au soir et qui comme par hasard atterrissaient toujours dans les endroits les plus incongrues, elle sortit doucement non sans avoir prit un chu, embrasser tendrement son ange et laisser sa main courir un instant sur son corps, elle sortit profiter du soleil encore pale.
Le froid it encore un peu vif et Ite serra son chx sur ses sules. Elle aimait cette heure particulio ou la foricit encore endormie, ou le froid et la ros donnait encore une atmosphé u ensommeills vair. Elle ssenfonés donc comme lon habitude dans la fore Apriune bonne demi-heure de promenade, elle sentit le froid se faire plus pront et elle d da de retrouver la douceur des bras de son ange. Elle retourna rapidement ga roulotte. Marno dormait encore, elle se dsabilla et espe que sa fraicheur ne le rlillerait pa . Elle se glissa sous les draps suapprocha de lui. Elle sentit les bras chauds de son ange laentouraient, sa peau sentir la fraicheur quielle drgeait. Doucement il finit par se reiller mais finalement elle ne le regretta pas l’air. Elle s

pnj
Fraxie



....
....

La chaleur de son corps
L=odeur de sa peau
Ces si vibrants trors
Ce merveilleux bateau

LYodeur de sa peau
Lwembrun de ses baisers
Ce merveilleux bateau
Pour se laisser bercer

L/embrun de ses baisers
Et ses regards de braise
Pour se laisser bercer
Dans une trouble parenthb

Et ses regards de braise
Colorent de poussiDans un accede fioe
La chaleur de son corps

r.
....

Apr un dernier, tendre et long baiser Grenade et Fraxie quittvnt la chaleur complice des draps..les xts deas m ncoliques de cette dernid comme magiquement envolr son tendre chevalier bien au chaud dans un coin de son c uru.on ne sait jamaisr.

Par la fen e elles virent que dehors le soleil avait chass a brumeP..et Nif, assis lren charmante tenue devant moults douceurs qui ouvraient l>app te..
Fraxie enfila rapidement sa lpre robe de lin, tandis que son amie avisait entre rien et riene.les deux solutions lui allant de toute fa parfaitement au teint

Arrivant eroximitbe la table, Fraxie apreun bref regard alentour, constata que la roulotte de Marno et Ite nliit toujours pas lnt espc que rien de fneux ne leur soit arrivcn route mais les connaissant ils devaient plutr'attarder plaisamment. Puis elle dbsa un lrr baiser sur la joue de Nif avant de s sier , Hummm de la confiture de framboisetma prtr d et de sren nler une bonne isseur sur une tranche de pain frais dans laquelle elle mordit avec doctation v





Grenade




Grenade venait de s'inventer le concept de vacances!

Passer ses matins lraer dans les bras de sa merveilleuse, lui croquer les loes infiniment, goaia douce peau plus sucrtqu'une maauvage... Grenade adorait ce voyage!

Elle observa attentivement la jolie Fraxie sortir des draps enivrants encore de tendresse, elle admira doucement ses formes disparaee sous le tissu de ses vsments, puis sourit tendrement aa ddcieuse qui la regardait.

Alors que Fraxie sortait de la roulotte, laissant le soleil timide envahir la pi , Grenade quitta le lit et atteint la porte encore entrouverte.
Les quelques rayons de soleil rrauffcnt imm atement sa peau nue.
Elle s' ra gracieusement, saisissant ses longs cheveux d'lne afin de les remonter sur son crn et d,ger sa fine nuque blanche comme la neige.

"Hummm de la confiture de framboisepma prvraquot;

Entendant sa bellotte brailler comme un moineau affam elle observa plus attentivement le campement.
Une belle table pr r> quelques pots de confiture, dont un dl bien entam ar la gourmande, de jolis petits pains et un ravissant jeune homme dans son plus simple appareil...
Que demander de plus?

Un sourire radieux se dessina sur le visage de la belle de nuit.
Elle descendit les quelques marches, vint, chaloupante, se rapprocher des ddces et saisissant un pain d'une main elle caressa doucement le torse aux muscles saillants du beau Niflheim qui savaient d"d&nt constamment l'cnner.

"Bonjour ous, joli rossignol...

Elle lui dlsa un lvr baiser au coin des lees

...dites-moi c'est un roil tout en couleur!"

Grenade adorait d dant ce voyage!

pnj
Niflheim



Le corps presque nu, savourant le plaisir d' ire quelques mots sous un soleil enfin dtiliet mangeant de bonnes tartines ea confiture d'abricot (un de ses fruits prprn sentit qu'on lui embrassa la joue en guise de bonjour et apere Fraxie, le contournant pour s'asseoir,et qui ne rtsta pas longtemps aux dnces gastronomiques du matin.

Il lui rendit sa bise tendrement et s'appr a brise, sous un soleil qui ne pouvait que flatter davantage ses plus beaux atours.

" dites-moi c'est un riil tout en couleur "

-N'est-ce pas! Et pourtant, je crois pas vous en avoir montrmoutes les couleurs...

Une phrase qui en disait long sur ses intentions futures. Et maintenant qu'elles ient ici toutes deux, il espbit pouvoir profiter de leur compagnie dyonisiaque dans un autre endroit par la suite.

-Si on va pique-niquer au bord du lac, c'est tentant?

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