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[RP] « La mort a toujours tort »

Lilye
A son arrivée sur le lieu de l'invitation la châtaigne se contente de saluer d'un signe de tête ou d'un sourire léger les personnes déjà présentes. Une fois encore il faudra faire face à une obligation déplaisante mais semble-t'il inévitable. Cela lui semble presque inapproprié d'être ici pour attendre un héritage quelconque car en réalité elle l'a déjà eu. Le souvenir et l'éducation donné par sa mère reste l'héritage le plus inestimable qu'il soit. Une fois les salutations bâclées et achevées Lilye se fait une place tant bien que mal en espérant pouvoir en sortir indemne.
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Constance..
Plus d'un mois après le décès de sa Reyne, l'Orsenac laissait les jours s'écouler dans un état d'esprit second, ou presque. La décès d'Alvira l'avait touchée plus qu'elle ne le montrait, raréfiant ses sorties en taverne ou autres évènements, pour preuve elle avait même oublié les joutes, et de toutes façons, elle n'avait guère le moral à jouter et se laissait porter par les jours qui passaient. S'occupant de son fils, des affaires à la Chambre des Magistrats du parquet concernant les appels, toujours dans la recherche de médecin, l'hérauderie, et sans oublier de parcourir les routes. Cependant, après des jours et des jours à vivre dans une certaine monotonie, cherchant une étincelle qui la réveillerait éventuellement, elle décida que son étincelle serait elle-même - après tout on n'est jamais mieux servi que par soi-même - et elle recommença à s'activer, à se reprendre en main. Le passage nostalgique était terminée, et des décisions furent prises en son for intérieur.

Ce jour, elle devait se rendre dans les jardins de la Chapelle Saint Antoine à Paris, sur convocation de Montjoie pour l'ouverture du testament. Aussi pour ce faire, elle s'était rendue en son hôtel particulier de Petite Bretagne juste à côté du Louvre, avec son fils Edouard, sa chère Margot qui la suivait partout, et quelques gardes. Après une nuit sur place, elle laissa son jeune fils aux bons soins de sa vieille - entendez par là femme d'age mure, très mure même - suivante, et prit la direction de l'endroit indiqué sur le billet qu'elle avait reçu.

Vêtue d'une robe noire et or, elle se dirigea vers les dits jardins où plusieurs personnes s'y trouvaient déjà présentes. Salut de la tête à droite, salut de la tête à gauche, carmines étirées en un beau sourire pour certaines personnes qu'elle avait l'honneur de côtoyer depuis plusieurs mois, bref, des salutations d'usage pour chacun. Elle aperçut sa soeur Lilly, et la rejoignit, après un salut chaleureux à son amie Merveylle et à son époux au passage. Elle irait saluer Athénaïs plus tard, ne voulant pas la déranger.


Bonjour ma soeur, tu es arrivée tôt dis moi. Tu crois qu'il va y avoir combien de personnes ? Vingt ? Cinquante ? Cent ?

Et oui, c'est qu'Alvira avait beaucoup d'amis, que beaucoup la chérissaient et cela risquait de durer longtemps, looongtemps.
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Stradivarius.
    - Même trépassée, Alvira continue à réclamer notre présence. Pff, on ne s'en sortira jamais! À quand la bien bonne retraite, ma mie?

    On ne fait pas de vieux os.
    Ben oui, pas le temps de se momifier, faut prendre la charrette du diable qui n'a point de boeufs pour tirer (ouais, on a Michel pour tirer) et se rendre à Paname pour dépouiller un papelard et voir les belles paroles d'amour que l'on prononce à mon encontre. On a toujours de l'amour pour moi, on ne peut avoir que de l'amour pour moi pardi. Alors on s'habille, comme des cons hen, on va pas non plus nous demander d'être à la mode. Surtout qu'Asphodelle a fait voeu de pauvreté, ce qui me gave bien par ailleurs. Heureusement, je cache mon trésor dans la chemi... non, vous n'avez rien lu. Je ne cache pas de trésor dans la cheminée, c'est faux. Bref, allez, c'est parti pour une nouvelle aventure rocambolesque.


    - Salut à tous. C'est par ici qu'on parle de la défunte?

    Belle entrée en matière, n'est-ce pas?
    Prenant le bras de ma dulcinée, j'avance en scrutant les regards plus ou moins déconfits. Ouais, y'en a qui doivent espérer toucher une richesse et tout, donc ils sont plutôt contents. Ça me fait penser à l'histoire de Mireille, décédée. Elle avait une immense richesse, et ses héritiers se battaient pour avoir tout de la vieille. Au moment de lire le testament, elle est revenue à la vie. En fait, Mireille était une bout-en-train, elle aimait faire des blagues à la con. Le soucis, c'est qu'il n'y avait plus d'héritiers par la suite. Ils se sont tous entretués devant le héraut. Une sacrée bande de joyeux lurons.

    - Salut la joie.

    Non, c'est pas cynique.
    Je salue la Roi d'Armes, c'tout.

    - On prend place, ma mie? J'ai les jambes sciées.

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Valeryane
Un courrier était arrivé le matin alors qu'elle commençait à remettre de l'ordre pour la réouverture de l'atelier, elle posa les nouvelles robes en main sur la table de travail et ordonna à une employée de l'atelier de finir de ranger ces dernières, elle devait encore choisir celle qu'elle mettra en galerie et celle qu'elle offrira pour une vente au bonne œuvre.

La brune se posa sur un banc dans le jardin encore en fleurs, la lettre parlait de testament, elle devait s'y rendre, mais elle n'avait pas envie de voir des gens elle n'était pas très en forme depuis quelques jours, elle se força et se fit violence pour sortir de son trou, n'ayant pas digéré le décès de sa sœur encore, tout était encore trop frais et aller à ce rendez-vous l'angoissait.

Elle allait y croiser des têtes inconnus et d'autre connus des neveux, nièces qu'elle ne connaissait pas à part Athenaïs et Lyli qu'elle avait croisé quelques fois, la brune ne connaissait pas vraiment les enfants de sa sœur, ce qu'elle regrettait un peu, souvent absente pendant les cérémonies ou la famille se réunissait Val loupait des événements sans le vouloir.



Elle se pointe toujours habillé dans les couleurs du deuil , pas question de se mettre des robes affriolantes, en entrant elle voit bien du monde qu'elle connait d'autre pas du tout, sa nature timide reprend le dessus et elle reste là planté un instant sans savoir quoi faire, finalement elle s'avance et se dirige vers une place libre tout en disant un bonjour générale.


Bonjour à tous,

D'une main discrète elle fit signe à ceux qu'elle connaissait, elle attendait surtout d'autre membres de sa famille comme son frère Riri surement Octave enfin le reste des Duranxie.

Devait-elle se lever et allait voir les enfants de sa sœur? Mais que leur dire? Coucou je suis votre tante Valeryane alors et bien je suis désolé blablabla, du coup en voyant lanceline faire elle se leva et prit son courage à deux mains et pieds, ouaih! Parce que c'est bien de prendre le courage à pleine mains mais bon c'est les pieds qui mènent.

Elle devina les enfants de sa sœur en voyant Athenaïs et elle s'approcha pour leur dire bonjour.


Bonjour Athenaïs, Lilye Puis un tout petit bonhomme qu'elle ne connaissait pas elle lui sourit avec douceur, ils n'avaient plus de maman ces petits, Val connaissait très bien ce sentiment.

[i]Oh! Punaise le malaise la brune n'avait pas l'art et la manière hein! Élevé dans l'état brut, elle était agacé de ne pas savoir quoi dire, désolé pour votre maman? Toute mes condoléances ? Sinon et bien je suis là si besoin. Et bordiol il faut faire comment ? Se disait-elle en regardant les enfants de sa sœur complètement perdue.
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Thiberian
Une convocation à la hérauderie ?
Il y a quelques temps il l'aurait jetée au feu avec un "et puis quoi encore, si je fous les pieds là bas c'est pour y foutre le feu en commençant par leur codex à la con !" mais les temps changent, les Roi d'Armes changent et les Monarques trépassent...Et cette convocation n'avait rien de trivial, il savait quel en était l'objet avant même de lire la suite de l'outrecuidant entête.

Dans un premier temps il avait battu en retraite, refusant d'en lire d'avantage, refusant encore l'idée même que le drame avait pu se produire. Mais l'Impétueux était un pragmatique comme tout bon soldat et il savait que fuire n'arrangerait rien.
Il avait donc finit par lire le message et prendre connaissance du rendez vous fatidique.

Le jour J, il se pointa donc à l'Hôtel Saint-Paul, muni de sa missive et de sa matrice pour les vérifications d'identité, bien qu'il était connu dans le coin il savait à quel point les fonctionnaires tenaient à leurs procédures de m...Leurs procédures quoi.

Il fut enfin introduit dans la salle où de nombreuses personnes étaient déjà présentes mais il ne s'y engagea pas, se contentant de faire un signe de tête à ceux qu'il connaissait et donc il croisait le regard et il s'adossa alors contre le mur de l'entrée pour écouter silencieusement.

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Sancte
Il était là, présent dans la petite foule, lui aussi dans l'attente.
De celles qui ne s'appelaient ni Quechua, ni Vincent McDoom.

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Gauttier
    Il avait invité à la lecture testamentaire de sa défunte tante. Une activité qui ne lui plaisait pas vraiment. Pour cause, soit les gens étaient tristes à en mourir une tristesse commune qui avait tendance à être communicative et à amplifier sa propre tristesse. Soit, c'était des moments bien merdiques que les défunts avaient choisis pour régler leurs comptes publiquement, n'ayant pas eu le courage de le faire de leur vivant. Ce qui était toujours extrêmement embarrassant.

    Par chance, Alvira était quelqu'un de plutôt lumineuse et entière. Il y avait chances de chance donc, qu'il se retrouve dans le second cas de figure. Résigner à devoir lutter contre lui-même pour garder sa virilité et sa contenance, il entra dans la salle, non sans un stock de mouchoir en soie, et salua les présents.

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En deuil de sa Tata
Orome
J'avais été très surpris d'avoir reçu un pli de Montjoie pour une invitation à la lecture du testament d'Alvira. Et voilà que ce courrier remue bien le couteau dans la plaie. C'est à reculons que je me rends à Paris, parce que je n'ai pas vraiment envie d'y aller. La mort de l'Inébranlable m'avait boulversé même si je ne laissais rien paraître. Le courrier indiquait les jardins de la chapelle Saint-Antoine. Je présente le pli reçu aux gardes. Il y a du monde. Beaucoup de monde.. Bonjour.
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Vanguhsen
Convoqué pour l'ouverture d'un testament... Ainsi donc Alvira avait pensé à lui à la fin mais il se demandait s'il devait craindre ou pas ce qui allait lui être annoncé.

Vanguhsen fit donc son entrée dans les lieux qu'il connaissait fort bien étant maréchal d'armes et y vit beaucouuuuup de monde. Forcément elle avait pas fait les choses à moitié son ancienne suzeraine !

Il prit donc place et attendit.

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La_poulette
Faites place à Alvira !!! Faites place !

Guise. Huit ans. Bafouilleur de première catégorie dans la place.

Parce que lui on lui lit testament, il comprend test, et comme la reyne lui avait dit de nommer la plus jolie et plus lourde en son honneur, il pensait innocemment que d'autres allait faire de même et donc que c'était un concours. Guise aim ebien les concours. De fait il avait embarqué son précepteur avec lui comme souvent quand il prépare une connerie et s'éloigne de sa mère. L'homme qui l'accompagne n'a absolument pas compris que son jeune maitre/ bourreau / emmerdeur quotidien - rayez la mention inutile - avait pas capter un broc de ce qu'il lui disait. Le jeune von Frayner était persuadé qu'il présentait Alvira à un concours. De fait il avait passé son temps à la laver, brosser, soigner pour qu'elle soit fin prête sans jamais oh grand jamais délaisser Charlotte, sa compagne de toujours.

Et c'est donc comme ça que naturellement, il arrive dans les jardins de Saint Paul, après tout un jardin c'est fait pour exposer des poules sinon quoi d'autres ? Quand à Saint Paul ... il n'a absolument aucune idée d'où il se trouve au final mais tant qu'il peut présenter Alvira pour gagner le concours. Le reste n'a que peu d'importance. Vous vous doutez donc très bien qu'il ne sait pas que la reyne est morte.


Bah elles sont où les autres poules ? Pourquoi vous faites tous la tête ?
Je suis en retard ? C'est ça ?
Le concours est fini ?


Il paniquait un peu le môme, son Alvira devait gagner !

Xxxpersonnexxx
A invitation reçu, Max présent. C'est ainsi, bien que surpris, que je me présentais à cette petite sauterie et puis à ce qu'il parait Alvira payait sa bière.
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Celui qui cesse d'être ton ami ne l'a jamais été."

Othello
Acte 3, scène 4.
Athenais_
Sagement, aux côtés de son époux Wallerand et de Montjoye, elle patientait observant le nombre de personne qui arrivaient en flux presque continu. De temps à autre elle haussait un sourcil tachant de se remémorer une rencontre ou un truc qui pourrait lui permettre de situer X ou Y dans le fil de sa vie. Carmen fut une des premières et sa seule vision lui tordit le coeur autant qu'elle la rassura, mélange du jour fatidique et du soutien qu'elle est, de cette douceur qui se dégage d'elle ainsi que sa bienveillance qu'ils ont pu éprouver.

Merci Carmen, Wallerand est adorable avec nous tous ce qui nous a permis de ne pas arriver sans voir le temps passer.

Salutations et déjà c'est un autre de leur témoin de mariage qui s'avance en la personne de Morgane. La Duranxie marque un bonjour également et laisse le soin au Beauharnais de dire un mot s'il le souhaite, légèrement pudique sur le coup. Ainsi s'égraine encore Merveylle, Lanceline, Lilly, avant que ce soit un frère d'arme qui attire son attention par deux mots.

Jolie robe.
Hum ?
Merci mais je vous préviens, ne me charriez pas ici.


La voix est ferme mais piquée de taquinerie. Pas le temps de palabrer davantage car c'est un vassal de sa mère qui se présente à elle. Lentement elle se décale pour parler plus paisiblement et sans déranger les invités qui voudraient dire un mot à Montjoye.

Bonjour Gerei, un vassal ou ancien de par la rupture du serment au trépas de ma mère mais j'ai le souhait je ne vais pas m'en cacher d'apprendre à vous connaitre et, si vous l'accepter, réitérer le lien de confiance. Mais nous aurons à l'avenir tout le temps nécessaire pour nous découvrir avec le concours de mon mari vous connaissez il me semble. D'ailleurs, je vous laisse un instant.

Un sourire naquit sur ses carmines et elle s'excusa auprès d'eux pour se tourner vers Guillaume.

Merci à vous, pour vos mots, votre soutien ici et à l'avenir. Je sais Ô combien vous étiez important pour elle. Qui aurait pu l'ignorer. Nous nous reverrons sans doute au gré de la vie, la possibilité de nous revoir.

Il était difficile de répondre, de formuler ce que serait leurs lendemains. Elle avait une vision parfois restreinte de ce qu'elle voulait. Elle envisageait l'évolution de sa fratrie, de son parcours mais la maladresse s'emparait d'elle dès qu'il était question d'un panel de personne qu'elles ne connaissaient peu ou pas. Cette idée la quitta tout aussi rapidement que fleurissait dans les jardins d'autres proches d'Alvira auxquels elle adressa des salutations discrètes, voir distraites. De retour vers Wallerand, un faciès se découpa, celui de Toto puis d'Alexandre, Zoyah et enfin Arioce.

Merci, nous prendrons le temps de discuter ultérieurement. En Touraine, sans doute à Montrésor d'ailleurs, j'ai encore des choses à y faire avant de retourner dans le Sud.

Elle serra la main de son frère, glissa un regard vers Lilye qui était sans doute heureuse de ce soutien elle qui le connaissait pour avoir été sous sa protection. De nouveau, elle put mirer les uns et les autres, s'apercevant de la présence de son papy Sancte, du Baccard et de son cousin mais également de sa tante. Pour toute réponse, elle la salua et acquiesça sobrement afin de ne pas se répéter. Le monde n'avait pas le même effet sur elle que sur sa créatrice qui avait le don pour se fondre dans les foules et papoter sans jamais éprouver de lassitude.

Faites place à Alvira !!! Faites place !
Pardon ?
Regard qui s'arrondit l'Enfant de France reste interdite et découvre un petit blond.

Oh, mais Alvira c'est ta poule ? Lumière.
Tu es Guise alors, je crois avoir vu ton nom sur les dernières volontés de ma maman. Tu sais, il n'y a pas de concours de poule ici, on s'est tous réuni pour lire un document important, dedans la Reyne va surement te dire quelque chose. C'est pour ça que tu es là, parce qu'elle a voulu te donner quelque chose.

Elle ne sut pas comment lui dire, du coup la seule chose qui lui vint c'est... Ta maman n'est pas avec toi ?
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Lexhor
Jamais en avance, pas toujours en retard, mais rarement absent lorsqu'il était convoqué, demandé ou invité, Lexhor fit son entrée au sein de l'hôtel Saint-Paul qu'il avait très longtemps fréquenté. Si l'occasion s'y était prêté il aurait probablement nourri une certaine nostalgie de l'époque où la hérauderie occupait une grande partie de ses journées. Nombreux étaient déjà celles et ceux présents, attendant d'être sollicités.
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Riwenn


Le temps avançait à une vitesse que Riri ne pouvait pas controsler. Ainsi estait-il vieux. Ou avec une longue expérience de vie plutost. Cela estant, il se ramena, après bien d'autres, à la dictée des dernières volontés de sa sòr. Lecture de testament en somme. Il estait tot de noir vestu et pénétra les lieux en silence, le deuil le touchant encor intimement, mesme s'il se forçait, comme il l'avait faict et le faisait encor pour chaque membre de sa famille disparu, à tenir la teste haute et le regard droit, tourné vers l'avenir qu'il lui restait à vivre.

Un simple
adishatz, presque soufflé, s'échappa d'entre ses lèvres lorsqu'il fit face à la petite foule déjà présente. D'une invitation ne demeurait désormais que sa présence. Parmi icelle de tant d'autres. Elle avait de l'encore à user feue Sa Majesté. À croire qu'elle estait le stéréotype des femmes dont parlaient la plupart des hommes. Une volaille. À piailler et pondre. Mais surtout piailler. Bref, cette fois, elle n'estait là que par l'esprit et le silence de son asme enveloppait les lieux.

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Héraldique européenne
Axel_baccard
Axel était là aussi la mimine posée sur la paluche du Baccard. Elle n'avait eu aucune intention de filer le train de son Géant,la blonde netait pas ce genre d'épouse.Toutefois elle avait été invitée elle aussi à l'ouverture... Pourquoi donc elle ne savait pas. Mais à voir les têtes de certains présents et bien elle ne devait pas être la seule à pas savoir . En hommage à sa Reyne, la Précieuse portait une robe aux couleurs de la nuit. Clair de lune.

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Work in progress...
Béanours forever!
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