Alvira
Un sourire bienveillant alors que Perlou égrainait le serment. Elle l'avait même personnalisé ce qui fit plaisir à la Souveraine. Laissant ses mains entourer celles de la Béarnaise notre Duranxie s'imprégnait des mots qu'elle entendait. Si elle avait eu des doutes elle se serait écouté. Les mois passant luvre faisant, Alvira avait pu voir et constater. C'est donc pleinement, sans arrière pensées qu'elle répondit à la suite sans ciller.
Belle enfant va en Paix ! Nan... Plutôt ça !
Silence ça tourne.
Je n'en doute pas votre Grandeur, aussi moi Alvira de la Duranxie, Reyne du Royaume de France je vous entends et accepte votre serment, je vous promets à mon tour protection, justice et subsistance pour les terres d'Ardaine. Puissiez-vous toujours les faire prospérer.
L'amenant à elle c'est à cet instant qu'elle décida de clore ses lèvres par un baiser. Non pas à la sauvage mais en paix. Enfin, elle la relâcha et joua de ses onyx entre Brunehaut et Perlou avant de préciser un léger sourire espiègle collé à la trombine, une lueur tout autant malicieuse fichée dans le regard.
Sachez mes Dames que les deux Seigneuries ont été démembré du Marquisat d'Etampes. De ce fait vous ne vous retrouverez pas bien loin de mes héritiers. J'ose croire que vous saurez y trouver de bons voisins. A défaut d'être discret ils sont plutôt sympathique si ça peut vous rassurer.
Cette fois un rire fusa. Un clin dil plus tard et la voilà qui terminait cette belle brochette d'âme par un homme, le seul unique de la bande. Lentement, elle pose son index et son majeur conjoint sous le menton de Floriantis pour qu'il redresse la tête.
Valeureux marin, sans cesse sur mer pour la puissance et la grandeur de la France où durant des années vous n'avez pas arrêté de participer aux missions diverses ayant toutes leur importance. De l'Anjou au bassin méditerranéen, du Portugal à la Normandie sans vous lasser, sans jamais faiblir vous avez démontré que la France et sa sécurité compte sur vous depuis de nombreuses années. Aussi ai-je décidé de vous anoblir par une Seigneurie sise en Duché Normand où vous avez établi votre port d'attache.
Je vous laisse me prêter serment afin de recevoir toute la force de mes remerciements.
Hop-là, prenant les mains masculine, la Reyne les colla l'une à l'autre et les secoua très légèrement.
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Belle enfant va en Paix ! Nan... Plutôt ça !
Silence ça tourne.
Je n'en doute pas votre Grandeur, aussi moi Alvira de la Duranxie, Reyne du Royaume de France je vous entends et accepte votre serment, je vous promets à mon tour protection, justice et subsistance pour les terres d'Ardaine. Puissiez-vous toujours les faire prospérer.
L'amenant à elle c'est à cet instant qu'elle décida de clore ses lèvres par un baiser. Non pas à la sauvage mais en paix. Enfin, elle la relâcha et joua de ses onyx entre Brunehaut et Perlou avant de préciser un léger sourire espiègle collé à la trombine, une lueur tout autant malicieuse fichée dans le regard.
Sachez mes Dames que les deux Seigneuries ont été démembré du Marquisat d'Etampes. De ce fait vous ne vous retrouverez pas bien loin de mes héritiers. J'ose croire que vous saurez y trouver de bons voisins. A défaut d'être discret ils sont plutôt sympathique si ça peut vous rassurer.
Cette fois un rire fusa. Un clin dil plus tard et la voilà qui terminait cette belle brochette d'âme par un homme, le seul unique de la bande. Lentement, elle pose son index et son majeur conjoint sous le menton de Floriantis pour qu'il redresse la tête.
Valeureux marin, sans cesse sur mer pour la puissance et la grandeur de la France où durant des années vous n'avez pas arrêté de participer aux missions diverses ayant toutes leur importance. De l'Anjou au bassin méditerranéen, du Portugal à la Normandie sans vous lasser, sans jamais faiblir vous avez démontré que la France et sa sécurité compte sur vous depuis de nombreuses années. Aussi ai-je décidé de vous anoblir par une Seigneurie sise en Duché Normand où vous avez établi votre port d'attache.
Je vous laisse me prêter serment afin de recevoir toute la force de mes remerciements.
Hop-là, prenant les mains masculine, la Reyne les colla l'une à l'autre et les secoua très légèrement.
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