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[RP] L'heure est grave

Alvira
Un sourire bienveillant alors que Perlou égrainait le serment. Elle l'avait même personnalisé ce qui fit plaisir à la Souveraine. Laissant ses mains entourer celles de la Béarnaise notre Duranxie s'imprégnait des mots qu'elle entendait. Si elle avait eu des doutes elle se serait écouté. Les mois passant l’œuvre faisant, Alvira avait pu voir et constater. C'est donc pleinement, sans arrière pensées qu'elle répondit à la suite sans ciller.

Belle enfant va en Paix ! Nan... Plutôt ça !
Silence ça tourne.


Je n'en doute pas votre Grandeur, aussi moi Alvira de la Duranxie, Reyne du Royaume de France je vous entends et accepte votre serment, je vous promets à mon tour protection, justice et subsistance pour les terres d'Ardaine. Puissiez-vous toujours les faire prospérer.

L'amenant à elle c'est à cet instant qu'elle décida de clore ses lèvres par un baiser. Non pas à la sauvage mais en paix. Enfin, elle la relâcha et joua de ses onyx entre Brunehaut et Perlou avant de préciser un léger sourire espiègle collé à la trombine, une lueur tout autant malicieuse fichée dans le regard.

Sachez mes Dames que les deux Seigneuries ont été démembré du Marquisat d'Etampes. De ce fait vous ne vous retrouverez pas bien loin de mes héritiers. J'ose croire que vous saurez y trouver de bons voisins. A défaut d'être discret ils sont plutôt sympathique si ça peut vous rassurer.

Cette fois un rire fusa. Un clin d’œil plus tard et la voilà qui terminait cette belle brochette d'âme par un homme, le seul unique de la bande. Lentement, elle pose son index et son majeur conjoint sous le menton de Floriantis pour qu'il redresse la tête.

Valeureux marin, sans cesse sur mer pour la puissance et la grandeur de la France où durant des années vous n'avez pas arrêté de participer aux missions diverses ayant toutes leur importance. De l'Anjou au bassin méditerranéen, du Portugal à la Normandie sans vous lasser, sans jamais faiblir vous avez démontré que la France et sa sécurité compte sur vous depuis de nombreuses années. Aussi ai-je décidé de vous anoblir par une Seigneurie sise en Duché Normand où vous avez établi votre port d'attache.

Je vous laisse me prêter serment afin de recevoir toute la force de mes remerciements.


Hop-là, prenant les mains masculine, la Reyne les colla l'une à l'autre et les secoua très légèrement.
_________________

⚜️ Sa Majesté Alvira de la Duranxie - Ni remords, ni regrets ⚜️
Floriantis
Et après ? à quoi ça te sert tes études de navigation ?
Pour cueillir des nèfles pardi !
Ca l’étonnait toujours ce genre de questions oscillant entre connerie et évidence.
Et pourtant cette phrase résonnait régulièrement dans sa tête. A quoi servaient-elles…

C’était un peu comme tout ce qu’il avait dû assimiler cet été 60 à la Garde Episcopale de St Brieuc. Le chemin du paradis solaire, les embûches à éviter, le pourquoi du comment, les diocèses, le prêche de tartampion et tous ces trucs et machins dont on lui avait bourré le crâne, et dont aujourd’hui il n’avait que faire surtout face à des pirates. Si ses rêves de Chevalier s’étaient déjà envolés après un décevant passage éclair chez les Trente, la Garde Épiscopale avait fini de le voir s’étioler encore de nombreux mois. Comme quoi même un blond pouvait s’étioler.
La seule chose qu’il avait gardé de son passage dans ce port breton, c’était une curiosité naissante pour la mer. Elle avait balayé toutes ses incertitudes et tandis qu’il admirait les navires dans le port, il s’était promis qu’un jour lui aussi irait jeter un œil à ce qu’il y avait là bas, derrière cette ligne d’horizon qui séparait ciel et mer.

Et donc il s’était installé à Rouen vers la fin de l’an, où son nouvel “étiolage” avait été interrompu par celle qu’il allait surnommer le Cap’tain. Ancienne Amirale en poste alors qu’il était Chef de Port à Nevers, navigatrice hors pair, elle lui avait ouvert les portes de son école navale normande. Harpège puisque c’était elle, lui avait aussi transmis sans vergogne sa passion dévorante pour la mer et les navires, et il barrait avec fierté ceux qu’elle lui confiait, l’important comme elle lui disait, étant de ne jamais faire déborder l’eau de son bain, sous peine d’être de corvée de pont. Ca elle ne le lui disait pas mais il l’imaginait.
Autant dire que le jeune marin qu’il était s’appliquait à diriger nave et caraque avec toute la prudence dont il était capable. Et les conseils d’Evenice étaient toujours présents, “un bon capitaine ne se perd jamais s’il possède carte et boussole”. Depuis ce temps, il avait toujours sa boussole dans une poche histoire de ne pas perdre le nord et il vérifia d’un geste discret si elle était toujours à l’abri dans son veston.
Il avait aussi avec le Cap’tain et son équipage, vécu quelques belles aventures maritimes, notamment sur le Good Fortune, essuyé ses premières canonnades face à des irlandais ce début d’an 62, poursuivi des vilains sur des mers déchaînées, et vu les premiers débris des coques ennemies éparpillées autour d’eux. D’ailleurs, depuis, il aimait bien récupérer du bois flottant au grand dam de sa brune car il finissait souvent à la baille avant d’agiter victorieusement ses précieux trésors, sur lesquels il gravait le nom des navires.

Le Cap’tain l’avait emmené dans des ports anglois, avant de l’embarquer pour les terres italiennes où elle lui avait offert sa première nave génoise, et lui avait fait passer en l’escortant le Détroit de Gibraltar. Si des caraques pirates avaient eu raison de sa nave en septembre 62, il n’avait pas perdu sa soif de naviguer. Après quelques mois de convalescence sur Terracina et sa région où il en avait profité pour aider l’armée des Tards Venus de Simeon Charles, ce qui lui avait permis aussi de faire la connaissance de Tanissa, il était rentré au Royaume au début de l'été 63 avec un autre rêve dans ses bagages, celui de rejoindre les Corsaires.

Un courrier échangé en début d'été 63 avec l’Amirale cette autre navigatrice hors pair qu’il admirait toujours, et il avait poussé les portes de l’Amirauté peu de temps après sans savoir qu’il allait trouver parmi elle, cette famille de marins qui comme lui, partageaient les dangers, les rires et les tonneaux, prêts à sacrifier leurs vies pour sécuriser les mers, servir la Couronne et protéger ses terres. Et il l’avait trouvée, Elle, et depuis une paire d'années c’était côte à côte qu’ils usaient leurs bottes entre ponts et terres, elle collectionnant les oreilles des ennemis et lui les bois flottants.
De cette vie en mer, il en rapportait des cartes griffonnées, des parchemins noircis, des souvenirs indélébiles, et une avidité toujours plus grande d’entendre le bruit des vagues contre la coque.
Aujourd’hui, à la trentaine, son chemin se mesurait en bruit des vagues et des canonnades, avec de temps à autres quelques entraînements au sabre, et il espérait que ce chemin soit encore long.

Les doigts d'Alvira l'obligeant doucement à lever la tête le tirèrent de ses pensées et les mots le frappèrent en plein coeur, le laissant quelques instants décontenancé. Lui qui n'avait jamais agi pour obtenir quoi que ce soit si ce n'est la satisfaction de servir son Royaume et se rendre utile venait d'entendre la réponse à cette question. La Reyne ne se doutait pas, que cette récompense était la plus belle qu'il puisse recevoir, et celle qui lui faisait narguer un peu plus ces paroles prises souvent en pleine face. A quoi ça te sert ?
Les aciers bleutés du Capitaine se posèrent quelques secondes sur la Reyne qui venait de le prendre au dépourvu. Armer les canons, faire feu, lancer des abordages et gagner des victoires sabre à la main faisait partie de sa vie de Corsaire, mais là, ça n’était pas vraiment ça.

Il se jeta à l'eau.


ho

Un marin ça sentait bon les embruns, mais à terre, c'était un peu comme une caraque sur le Gave, ça n’était pas vraiment à l’aise. Alors il ajouta.

ho Majestée... Deux mots alignés, il était fier. Rien que Ho ça valait bien cinq points au scrable.

Ma Reyne, l'été 63 où je me suis engagé chez les Corsaires a été pour moi une certitude, une évidence, celle de lier ma passion pour la mer et celle de servir mon Royaume et sans jamais attendre quoi que ce soit si ce n'est la fierté de participer à sa protection et à celle des navires que les manants des mers prennent pour cible.
Aujourd'hui c'est un grand honneur que vous me faites et je n'aurai jamais assez de mots pour vous remercier.
Ma fidélité vous est acquise depuis le premier jour, et ma loyauté ne s'estompera jamais pour continuer à servir et défendre vos terres.
Vous êtes la Reyne qui restera pour moi celle qui a ouvert en grand les portes de ma vie, et votre nom restera à jamais gravé en mon coeur.


moi, Floriantis Alcapari Capitaine Corsaire, vous promets et vous jure à vous Alvira de la Duranxie, Reyne de France, Auxilium, Consilium et Obsequium pour ces terres que vous me confiez et dont je promets de prendre soin avec fierté et une grande humilité.
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Alvira
La Reyne avait toujours eu foi en l'Amirauté, quand bien même il fallait tenir ou maintenir les élans de bonne volonté qui parfois auraient pu mener sur des chemins escarpé. La Reyne avait embrassé cette amour pour les marins déjà à l'époque de l'Anjou. Puis par la suite elle n'avait pas oublié de rendre visité aux vaillants hommes et femmes qui barraient les navires de la Royales. Souvent, elle pensait à eux qui ne voyaient que peu la terre et se retrouvaient plus qu'à leur tour coincé sur des bateaux pour la sécurité de tous. Une vie suspendu aux grés des flots, des évènements pirates et au commandement de l'Amiral et de leur Souveraine. Pourtant jamais ils ne faisaient preuve de mauvaises volontés. La jeune femme trouvaient en ces âmes la plus pure implication.

Il n'y avait qu'à voir l'accueil qu'ils lui réservaient à chaque fois que leurs chemins se croisaient et l'énergie qu'ils déployaient à honorer tous leurs paroles et leurs vocations. A bien y songer, ils étaient un exemple pour tous. Floriantis faisaient parti de ceux-là. De ceux qui savent apprécier un honneur, une présence simple, des mots sincères. Tous avaient de quoi prendre exemple, elle la première. C'est donc touchée voir coulée qu'elle écouta l'homme et lui répondit avec une intention à fleur de peau.


J'ai la chance de pouvoir compter sur vous comme sur tant d'autres, il est parfois un temps à chaque chose. Aujourd'hui est celui des remerciements. Merci pour votre joie de vivre et votre volonté sans faille ainsi que votre sincérité. La France a de la chance de vous avoir, l'extension se fait aux marins dans leur globalité. Je vous l'ai déjà dit en d'autres lieux, je tiens à le répéter, continuez ainsi, gardez toujours foi en notre territoire et en ce que vous effectuez pour le bien commun. N'oubliez jamais, car moi je n'oublie pas.

Serrant ses mains davantage, elle égraina le serment.

Présentement, moi Alvira de la Duranxie, Reyne du Royaume de France reçois et accepte votre serment. Je vous jure à mon tour justice, protection et subsistance pour les terres sises en Normandie.

Puissiez-vous vous relever en Seigneur d'Harfleur.


Fermement, la Duranxie ramena Floriantis - Seigneur d'Harfleur qui vivait à Honfleur, trop facile ! - jusqu'à elle pour le gratifier d'un baiser. Ses lèvres touchent les siennes sans timidité. Elle est rompu à l'exercice après des mois à régner. Pour autant, le geste n'est pas brutale mais plutôt imprégné de douceur. Une fois fait, elle laissa ses mains quelques secondes sur celles de l'Alcapari avant de les relâcher. Son rôle dans ces anoblissements prenaient fin, c'était au tour de Montjoye de jouer maintenant !
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⚜️ Sa Majesté Alvira de la Duranxie - Ni remords, ni regrets ⚜️
Floriantis
La Reyne qu’il avait face à lui était sans nul doute celle qui avait le plus prêté attention au marins qui la servaient, et à sa Flotte en général et celle dont il se souviendrait le plus. Depuis que le Capitaine l’avait croisée durant la campagne de Keyfeya il n’avait pu que constater sa capacité de travail, et la personne qu’elle était. Et puis un baiser de la Reyne ça n'était pas banal, et ça ne pouvait qu’embellir cette journée parisienne, et le blond imaginait déjà la surprise qu’il allait faire à son italienne au retour de sa petite escapade.

Un franc sourire éclaira son visage et fit scintiller son regard alors qu'il répondait.


le Seigneur et Capitaine que je suis, est très fier de cet honneur et je vous remercie.
Ma fierté de servir ce royaume n’est pas prête de s’estomper, n’ayez crainte Majesté.
Pour nous, Corsaires et Royale, la mer est un terrain rebelle et dangereux, mais nous y sommes chez nous et nous mettrons toujours tout notre cœur et notre courage à chasser les vilains de tous horizons afin de protéger ce Royaume.


Il inclina légèrement la tête.

Souvenez vous que vous serez toujours la bienvenue chez les marins.

Et de se redresser. Emporté par sa passion de la mer et le bonheur de ce moment, il en oubliait le temps.
L’Alcapari était heureux, tout simplement.

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Perrinne
S'avancant alors d'un pas, la normande s'approcha pour remettre ce qui seraient les dernières armes et la clôture de la dernière cérémonie où elle officierait en tant que Roy d'Armes.

Dames et sires, j'espère que vous me pardonnerez cette mise en scène convenue avec Sa Majesté dès le départ pour laquelle l'effet de surprise avait été souhaité.

Voici donc les armes de vos fiefs respectifs.
Les contreseings vous seront remis par un petit page n'ayez craintes.


Elle se présenta donc successivement devant chaque nouveau noble du Domaine Royal.

Voici le comté de Breval.



Spoiler:
Code:
[quote][hr=50][color=darkblue][center][b][size=16]- ILE DE FRANCE - [/size][/b]

[size=15]OCTROI FIEF DE MERITE[/size][/center][/color][hr=25]

[color=darkblue]A tous ceux qui la présente liront ou se feront lire,

[b]Nous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil, dicte [i]Montjoie[/i][/b], Roy d'Armes de France, faisons savoir,

[list]Que, conformément aux textes et coutumes héraldiques, faisons acte de la demande de Sa Majesté [b]Alvira de la Duranxie[/b]*,  Reyne de France, quant à l'octroi d'un fief de mérite sur les terres d'Ile de France à dame [b]Rose de Leffe[/b].*

Qu'après recherches héraldiques dûment entérinées, le fief de [b]Breval[/b] est bien fief mouvant de l'[b]Ile de France[/b].

Qu'après recherches et consultation d'armoriaux, l'écu se référant au dict fief est ainsi décrit : [i]D'argent à 2 pals de sinople[/i], soit après dessin :

[center][img]https://i62.servimg.com/u/f62/11/14/52/95/brehal10.png[/img]    [img]https://i13.servimg.com/u/f13/11/14/52/95/breval10.png[/img][/center]

Que nous attestons avoir été témoin de l'échange des serments vassaliques entre l'octroyante et l'octroyée.

En conséquence, Dame [b]Rose de Leffe[/b] se voit octroyer le fief de mérite de [b]Breval[/b], érigé en [b]Comté[/b].
Elle peut dès à présent en arborer les armes et se prévaloir du rang et titre.[/list]

Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Faict à Paris, le 1er jour de juin de l'an 1466. [/color]
[center][img]https://i14.servimg.com/u/f14/11/14/52/95/signau10.gif[/img]
[img]https://i64.servimg.com/u/f64/11/14/52/95/sceaup10.png[/img][/center]
[size=9][*IG : Alvira, Hellina_rose][/size][/quote]


La Seigneurie de Boutarvilliers.



Spoiler:
Code:
[quote][hr=50][color=darkblue][center][b][size=16]- ILE DE FRANCE -[/size][/b]

[size=15]OCTROI FIEF DE MERITE[/size][/center][/color][hr=25]

[color=darkblue]A tous ceux qui la présente liront ou se feront lire,

[b]Nous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil, dicte [i]Montjoie[/i][/b], Roy d'Armes de France, faisons savoir,

[list]Que, conformément aux textes et coutumes héraldiques, faisons acte de la demande de Sa Majesté [b]Alvira de la Duranxie[/b]*,  Reyne de France, quant à l'octroi d'un fief de mérite sur les terres d'Ile de France à dame [b]Brunehaut de Ponsay Navarot[/b].*

Qu'après recherches héraldiques dûment entérinées, le fief de [b]Boutarvilliers[/b] est bien fief mouvant de l'[b]Ile de France[/b].

Qu'après recherches et consultation d'armoriaux, l'écu se référant au dict fief est ainsi décrit : [i]D'azur à une cloche d'argent bataillée d'or surmontée et soutenue d'un filet en fasce d'argent.[/i], soit après dessin :

[center][img]https://i62.servimg.com/u/f62/11/14/52/95/boutar10.png[/img]    [img]https://i13.servimg.com/u/f13/11/14/52/95/boutar10.png[/img][/center]

Que nous attestons avoir été témoin de l'échange des serments vassaliques entre l'octroyante et l'octroyée.

En conséquence, Dame [b]Brunehaut de Ponsay Navarot[/b] se voit octroyer le fief de mérite de [b]Boutarvilliers[/b], érigé en [b]Seigneurie[/b].
Elle peut dès à présent en arborer les armes et se prévaloir du rang et titre.[/list]

Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Faict à Paris, le 1er jour de juin de l'an 1466. [/color]
[center][img]https://i14.servimg.com/u/f14/11/14/52/95/signau10.gif[/img]
[img]https://i64.servimg.com/u/f64/11/14/52/95/sceaup10.png[/img][/center]
[size=9][*IG : Alvira, Brunehaut_][/size][/quote]


La baronnie de Pomponne.

.


Spoiler:
Code:
[quote][hr=50][color=darkblue][center][b][size=16]- ILE DE FRANCE - [/size][/b]

[size=15]OCTROI FIEF DE MERITE[/size][/center][/color][hr=25]

[color=darkblue]A tous ceux qui la présente liront ou se feront lire,

[b]Nous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil, dicte [i]Montjoie[/i][/b], Roy d'Armes de France, faisons savoir,

[list]Que, conformément aux textes et coutumes héraldiques, faisons acte de la demande de Sa Majesté [b]Alvira de la Duranxie[/b]*,  Reyne de France, quant à l'octroi d'un fief de mérite sur les terres d'Ile de France à [b]Merveylle de la Mirandole Louveterie[/b].*

Qu'après recherches héraldiques dûment entérinées, le fief de [b]Pomponne[/b] est bien fief mouvant de l'[b]Ile de France[/b].

Qu'après recherches et consultation d'armoriaux, l'écu se référant au dict fief est ainsi décrit : [i]De sable à une bande d'or chargée de 3 cloches de vair du champs à plomb, accostée de deux filets en bande également d'or[/i], soit après dessin :

[center][img]https://i13.servimg.com/u/f13/11/14/52/95/pompon10.png[/img]    [img]https://i62.servimg.com/u/f62/11/14/52/95/pompon10.png[/img][/center]

Que nous attestons avoir été témoin de l'échange des serments vassaliques entre l'octroyante et l'octroyée.

En conséquence, Dame [b]Merveylle de la Mirandole Louveterie[/b] se voit octroyer le fief de mérite de [b]Pomponne[/b], érigé en [b]Baronnie[/b].
Elle peut dès à présent en arborer les armes et se prévaloir du rang et titre.[/list]

Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Faict à Paris, le 1er jour de juin de l'an 1466. [/color]
[center][img]https://i14.servimg.com/u/f14/11/14/52/95/signau10.gif[/img]
[img]https://i64.servimg.com/u/f64/11/14/52/95/sceaup10.png[/img][/center]
[size=9][*IG : Alvira, Merveylle_mirandole][/size][/quote]


Le duché de Montjay la Tour



Spoiler:
Code:
[quote][hr=50][color=darkblue][center][b][size=16]- ILE DE FRANCE - [/size][/b]

[size=15]ELEVATION FIEF DE MERITE[/size][/center][/color][hr=25]

[color=darkblue]A tous ceux qui la présente liront ou se feront lire,

[b]Nous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil, dicte [i]Montjoie[/i][/b], Roy d'Armes de France, faisons savoir,

[list]Que, conformément aux textes et coutumes héraldiques, faisons acte de la demande de [b]Alvira de la Duranxie[/b]*,  Reyne de France, quant à l'élévation  d'un fief de mérite sur les terres d'Ile de France au bénéfice de [b]Sakurahime de Valrochelles[/b]*

Qu'après recherches héraldiques dûment entérinées, le fief de [b]Montjay la Tour[/b] peut prétendre à élévation au rang de Duché.

Qu'après consultation d'armoriaux, l'écu se référant au dict fief est ainsi décrit : [i]D'or à trois fasces de gueules, à l'orle de 10 merlettes de sable brochant sur le tout[/i], soit après dessin :

[center][img]https://i13.servimg.com/u/f13/11/14/52/95/montja10.png[/img]     [img]https://i13.servimg.com/u/f13/11/14/52/95/montja12.png[/img][/center]

Que nous attestons avoir été témoin de l'échange des serments vassaliques entre l'octroyante et l'octroyée.

En conséquence, Dame [b]Sakurahime de Valrochelles[/b] se voit octroyer le fief de mérite de [b]Montjay la Tour[/b], élevé en [b]Duché[/b].
Elle peut dès à présent en arborer les armes et se prévaloir du rang et titre.[/list]

Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Faict à Paris, le 1er jour de juin de l'an 1466. [/color]
[center][img]https://i14.servimg.com/u/f14/11/14/52/95/signau10.gif[/img]
[img]https://i64.servimg.com/u/f64/11/14/52/95/sceaup10.png[/img][/center]
[size=9][*IG : Alvira, Sakurahime][/size][/quote]


La Seigneurie d'Ardaine.



Spoiler:
Code:
[quote][hr=50][color=darkblue][center][b][size=16]- ILE DE FRANCE -[/size][/b]

[size=15]OCTROI FIEF DE MERITE[/size][/center][/color][hr=25]

[color=darkblue]A tous ceux qui la présente liront ou se feront lire,

[b]Nous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil, dicte [i]Montjoie[/i][/b], Roy d'Armes de France, faisons savoir,

[list]Que, conformément aux textes et coutumes héraldiques, faisons acte de la demande de Sa Majesté [b]Alvira de la Duranxie[/b]*,  Reyne de France, quant à l'octroi d'un fief de mérite sur les terres d'Ile de France à [b]Perlou[/b].*

Qu'après recherches héraldiques dûment entérinées, le fief d'[b]Ardaine[/b] est bien fief mouvant de l'[b]Ile de France[/b].

Qu'après recherches et consultation d'armoriaux, l'écu se référant au dict fief est ainsi décrit : [i]de gueules à 5 fermails ronds d'or posés en croix [/i], soit après dessin :

[center][img]https://i62.servimg.com/u/f62/11/14/52/95/ardain11.png[/img]    [img]https://i13.servimg.com/u/f13/11/14/52/95/ardain10.png[/img][/center]

Que nous attestons avoir été témoin de l'échange des serments vassaliques entre l'octroyante et l'octroyée.

En conséquence, Dame [b]Perlou[/b] se voit octroyer le fief de mérite d'[b]Ardaine[/b], érigé en [b]Seigneurie[/b].
Elle peut dès à présent en arborer les armes et se prévaloir du rang et titre.[/list]

Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Faict à Paris, le 1er jour de juin de l'an 1466. [/color]
[center][img]https://i14.servimg.com/u/f14/11/14/52/95/signau10.gif[/img]
[img]https://i64.servimg.com/u/f64/11/14/52/95/sceaup10.png[/img][/center]
[size=9][*IG : Alvira, Perlou][/size][/quote]


La Seigneurie de Harfleur, sise en Normandie.



Spoiler:
Code:
[quote][hr=50][color=darkblue][center][b][size=16]ILE DE FRANCE[/size][/b]

[size=15]OCTROI FIEF DE MERITE[/size][/center][/color][hr=25]

[color=darkblue]A tous ceux qui la présente liront ou se feront lire,

[b]Nous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil, dicte [i]Montjoie[/i][/b], Roy d'Armes de France, faisons savoir,

[list]Que, conformément aux textes et coutumes héraldiques, faisons acte de la demande de Sa Majesté [b]Alvira de la Duranxie[/b]*,  Reyne de France, quant à l'octroi d'un fief de mérite sur les terres de Normandie à messire [b]Floriantis Alcapari[/b].*

Qu'après recherches héraldiques dûment entérinées, le fief de [b]Harfleur[/b] est bien fief mouvant du duché de [b]Normandie[/b].

Qu'après recherches et consultation d'armoriaux, l'écu se référant au dict fief est ainsi décrit : [i]D’azur à un navire aux voiles ferlées d’argent sur une onde du même[/i], soit après dessin :

[center][img]https://zupimages.net/up/17/45/580y.png[/img] [img]https://zupimages.net/up/18/21/tusz.png[/img] [img]https://zupimages.net/up/18/21/h8x9.png[/img][/center]

Que nous attestons avoir été témoin de l'échange des serments vassaliques entre l'octroyante et l'octroyé.

En conséquence, Messire [b]Floriantis Alcapari[/b] se voit octroyer le fief de mérite de [b]Harfleur[/b], érigé en [b]Seigneurie[/b].
Il peut dès à présent en arborer les armes et se prévaloir du rang et titre.[/list]

Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Faict à Paris, le 1er jour de juin de l'an 1466. [/color]
[center][img]https://i14.servimg.com/u/f14/11/14/52/95/signau10.gif[/img]
[img]https://i64.servimg.com/u/f64/11/14/52/95/sceaup10.png[/img][/center]
[size=9][*IG : Alvira, Floriantis ][/size][/quote]


Felicitations à tous !
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Floriantis
Harfleur.
Le blond afficha un franc sourire aux paroles du Roy d'Armes. Bien qu'il commençait à connaitre la Reyne à travers leurs échanges et leurs rencontres même espacées, il fallait avouer qu'il s'était inquiété quelque peu, mais maintenant c'est avec fierté qu'il allait pouvoir retrouver sa compagne.
Lorsqu'elle lui remis ses armes, le Capitaine remercia d'abord d'un signe de tête le Roy d'Armes avant de poser ses aciers bleutés sur l'objet, un petit éclair scintillant dans son regard.

Juste quelques mots parce que lorsqu'on lui faisait un tel honneur, il répondait toujours.


Ce blason est magnifique Montjoye, merci à vous.

Peu habitué à ce qu'on lui offre quelque chose son doigt glissa lentement sur les armes qui étaient devenues siennes.
Un navire, quoi de mieux pour cette terre confiée qu'il allait devoir découvrir et apprivoiser.

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Brunehautdeponsay
Une agitation en son sein fit sursauter la Comtesse poitevine qui sourit, béatement. La maternité instaurait chez elle la faculté, parfois agaçante, d'être ravie devant toute chose.
Le futur héritier des Ponsay Navarot semblait apprécier la description du blason de Boutarvilliers, et le montrait en gigotant dans son habitacle.

Brune reçut le contreseing et dit à Montjoie:

Quel beau blason! Il sera en bonne place auprès de mes armes poitevines, précieuse distinction que je porterai avec fierté.

Son époux était fier d'elle et surtout content de voir son travail récompensé.
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