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[Rp] Des frangins à l'horizontale.

Tobias_maxence.

Sur la route pour Paris, J-2 avant l’arrivée à l’Aphrodite.


Mon cadet à parfois des idées dirons-nous étonnante. Depuis plusieurs mois ou nous sommes ensembles, il m’a proposé des solutions à mes problèmes, plutôt extravagante. Tu pleure, mange une saucisse, tu es débordé, prend un biscuit. Mais je dois avouer que le coup du : ‘’ Paye toi un catin’’, je l’avais pas vu venir et je m’était retrouvé un peu comme un con. Mexandre et son esprit si différent du mien.

Ceci dit je n’avais pas spécialement refusé la proposition, je n’allais pas faire le minot devant mon cadet. J’ai rétorqué : ‘’ Oui, tu sera enfin plus puceau comme ça’’. Et voilà que j’avais écrit une lettre au gérant et reçu une réponse mystérieuse d’un illustre inconnu.

Nous avions donc prit la route de Paris lui et moi, seuls ! Et c’était nouveau pour nous d’être seuls, généralement nous étions entourés ou en compagnie d’amis ou de domestiques. Là, non. J’avais prétexté un besoin de me rendre à la Surintendance des finances et Mexandre m’accompagne, logique, cohérent, faux. Sur le dos de nos montures, nous avions parcourut par mal de distance déjà et j’estimais Paris à deux jours désormais.

M’approchant de mon cadet, je me réchauffe au coin de feu et dépose ma cape sur ses épaules. Je suis papa poule, me collant contre lui. Je l’observe, Mexandre pourrait ressembler à une pierre ronde, il est dodu et plutôt gras. Mais sa bouille me fait fondre et son physique en vérité m’importe peu. Il a toujours de quoi mangé et cela m’amuse. Moi je suis une allumette, tout sec et sans réel muscle, je mange rarement et quand je le fais c’est plutôt pour tenir debout. D’ailleurs je chaparde un biscuit et le porte à mes lèvres, cela sera mon repas du soir. Ma tête retrouve son épaule, alors que je mâche la sucrerie.


Tu es vraiment puceau ?

Je parle rarement de cela avec lui, il connaît mes déviances, mes goûts, il sait mes amours et ou va mon cœur. Mais le sexe, en lui-même, nous n’en parlons pas. Va raconter à ton cadet comment tu t’envoies au septième ciel. L’idée ne m’est jamais venue, il doit avoir sa vision des choses, son idée a lui. Mais je ne vais pas lui raconter si je fais la femme ou l’homme, par respect pour Hvitserk et puis pour moi aussi.

Je me redresse et le regarde, souriant un peu en coin, nous sommes seuls et je n’ai pas l’habitude de balancer les secrets. Je suis curieux, un poil maniérer, mais je balance pas. D’ailleurs ça rend fou quelques hauts placés, mais je m’en tamponne pas mal. On me prends comme je suis, ou on continu son chemin sans me faire chier.

Je pose ma main sur son genoux et je regarde les étoiles de la soirée.


Ma première fois, j’étais comme un petit chiot fragile. Collé contre un mur à chercher ou me cacher, c’était ridicule. Je te promets, ridicule. J’ai fais tellement de connerie, des trucs cons tu vois. Et je me sentais empoté.

Je me marre, j’ai préféré le second amant, sans doute parce que je me sentais moins idiot et plus confiant. Et le troisième forcément c’est l’homme de ma vie. Je regarde mon cadet à la lueur du feu.

Tu vas pas appeler papa au secours, hein ?
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Mexandre
Mexandre regardait le feu, songeur. Il se remémorait des souvenirs, plus précisément le jour ou Tobias s'était fait larguer par son mec. Il soupire toute en regardant le feu crépiter.
Qu'est ce qu'il lui avait prit de dire à son grand frère d'aller à Paris ... pour tromper "l'homme de sa vie" comme il dit si bien son frère aîné. Peut-être est-ce pour se retrouver avec Tobias ? Il faut dire que depuis qu'il est Commissaire au Commerce, il le voit rarement... Ou bien est-ce pour sortir d'Argonne et voir du pays ? Il faut dire que la ville est peu animée. La seule animation qu'il ait trouvé, c'est de se geler les arpions sur les remparts trois nuits par semaine.
Ou bien est-ce son subconscient qui a parlé à sa place ? Serait-ce possible ?

Mexandre sourit à la question de son grand frère, s'avachissant contre lui.

- Si la veuve Poignet ne compte pas, je le suis oui !

L'adolescent se mit à rire en gesticulant sa main droite. Il ne connaissait rien concernant le péché de chair. Il savait juste comment ça marchait par Riton la Pivoine, un alcoolique de Lyon qu'il croisait parfois. C'était un de ces beaux jours de mai, devant la draperie de ses parents adoptifs. Il lui avait demandé: "Comment fait-on un bébé ?" et la Pivoine lui avait répondu le plus sérieusement possible:" L'homme met son truc d'ou qu'il pisse dans le machin d'ou que pisse la femme ... et ils se frottent entre eux !"
Mexandre ne savait que ça. Et à l'heure actuelle, il pense que l'accouchement se fait par la gorge.

Bref ! Mexandre, blottit contre Tobias, écoute ce dernier parler de sa première fois et se marre avec lui.


- Non, ne te fais pas de souci, il n'en saura rien.
Tobias_maxence.

Sur la route pour Paris, J-2 avant l’arrivée à l’Aphrodite.



La veuve poignet, tu ne m’étonnes pas. Comme quoi mon frère était bien un homme, enfin un petit homme, rond, mais quand même. Cette balade en famille m’ajoute des souvenirs d’enfance. Mon premier poil, j’étais fier comme un paon devant mon jumeau, lui montrant avec joie le dit poil noir sur mes noisettes. J’avais joué avec toute la nuit ! Si bien qu’au matin, je l’ai arraché sans le vouloir. Secouer le cocotier aussi était une activité lucrative et merveilleusement plaisante. Je prends plus le temps de le faire, et je devrais, ça détend cette histoire.

Je donne un coup d’épaule à Mexandre et me rassure en me disant qu’effectivement papa ne sera pas là. Heureusement !


T’inquiète pas, au pire tu ferme les yeux et t’imagine que c’est la main gauche.

Je suis nul en conseil moi, totalement nul à chier. Faut dire que je suis puceau des femmes moi aussi et plutôt fier, disons-le.


Sur la route pour Paris, J-1 avant l’arrivée à l’Aphrodite.


Mexandre, tu dors ?

J’étais couché à coté de lui, mains sur mon ventre à filer la toile de tente depuis quelques bonnes heures. Impossible de dormir, alors me retournant sur le coté, la main soutenant ma tête, le coude au sol, je le regarde.

Comment tu sais que tu aimes les femmes ? Elles te font quoi ?

Ca m’intrigue cette histoire, c’est bien le seul Talleyrand-Cheroy à aimer les femmes. Laurent et moi, nous sommes plutôt homme, peut-être Thitus, mais rien n’est certain. Après tout, vu la jalousie j’émets des doutes. Je tortilles les lèvres.

Tu ne veux pas prendre un homme ? Pour être sur ?
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Mexandre
Mexandre n'arrivait pas à dormir. Il se posait tant de questions, trop de questions: "Ca fait mal ?","Qu'elle va être la réaction de la femme quand elle va me voir ?", et cetera ...
Il remua et tourna la tête et regarda Tobias, pour lui signifier qu'il ne dormait pas.


- J'aime les femmes parce qu'elles sont plus gentilles et souriantes. Je n'en ai jamais vue des mauvaises, à part ma sœur Luzéa. Et j'aime bien les seins.

Mexandre trouvait les seins mystérieux. Il avait entendu dire que c'était joli un paire de nichons mais les seuls qu'il ait vues ce fut celles de sa mère qu'il tétait il y a quatorze ans.


- Si ça ne va pas avec une femme j'essayerai avec un homme ... Un autre jour ... il paraît que ça fait mal ...
Tobias_maxence.

Sur la route pour Paris, J-1 avant l’arrivée à l’Aphrodite.


Les questions, qui n’a jamais eu peur de vivre quelque chose d’inattendu ou d’effrayant. Va-t-il me trouver beau, mon corps nu ne va-t-il pas le faire fuir, suis-je à la hauteur ? Dois-je laisser la bougie, ou pas. Et si j’étais trop gros, trop maigre, trop poilu, trop maladroit. Et si j’avais une haleine de chacal, des dents de chien si j’avais peur, mal. S’ouvrir à l’autre n’avait rien de sympathique et tout de très complexe. L’acte était bon, divin même, mais l’inquiétude était présente. Je ne pouvais pas aider mon cadet, il allait avoir une professionnelle devant lui, j’avais l’amour. Rien à voir ! Mais alors, rien à voir.

Mal ?

Je hausse un sourcil perplexe, je n’avais pas souvenir d’avoir eu mal. Peur d’avoir mal, si, trente-six fois oui : oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui. Vous pouvez comptez il y en à trente-six. Mais mal dix fois non : Non non non non non non non non non non. Je le regarde un peu attendri et passe une main dans les cheveux de mon frère.

Je te laisserais pas avoir mal, Mexy. Tout est une question de préparation. Comme monter à cheval tu vois ? Si tu ne sais pas, tu ne vas pas au galop. Mais si tu connais l’animal et la posture, le galop c’est du beurre. Ca fait pas mal, un homme, c’est juste très… Impressionnant.

Je connais les classiques, c’est vrai que cela doit faire peur. J’ai moi-même eu hyper peur. Mais ce truc de la démarche de canard c’est des conneries, le lendemain tu as rien de spécial, si ce n’est un peu mal au ventre et le sourire aux lèvres. Je me penche pour embrasser sa joue et lui accorde un clin d’œil.

Bien aimé les seins doit répondre à ma question. Je trouve cela trop, très, présent tu vois ? Quand Joh’ me fais un câlin elle m’étouffe. Je me sens petit entre les montagnes de ma cousine.

Je me marre, cela reste néanmoins réelle. Me calfeutrant, contre mon cadet je baille et ferme les yeux. Je m’accroche à ce qu’il me reste et Mexandre est toujours là, je soupir et murmure.

T’inquiète pas, curieux comme je suis, je vais te regarder et je donnerais des conseils technique.

Rassurant non ?
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Mexandre
Mexandre arrêtait de réfléchir, coupé dans son élan par l'interrogation de son frère aîné. Lui qui souhaitait rajouter " pour un sodomite, et ca dépend encore ou on se place ..." . Il écouta donc la réponse de Tobias et acquiesça. Il regarda la campagne de la Brie, terne et frigorifiée, comme tout le reste du continent, par l'hiver devenant trop longuet à son goût. L'adolescent tenta de trouver la raison exacte de cette admiration pour les bosses pectorales féminines. Son rire accompagna celui de son frère à la métaphore concernant la rousse croisée en décembre.

- C'est leur présence que j'aime. Il y en a de divers gabarits puis ca se remarque et on peut les regarder facilement, quelques secondes, sans éveiller les soupçons. Dommage qu'il y ait des femmes qui sont comme les églises, les seins à l'intérieur ...


Le jeune homme pouffa un instant, jusqu'à ce que son frère lui signale qu'il sera présent quand il s'affairera sur la demoiselle.

- Je préférerai que tu ne me regardes pas. Je pense que ma partenaire sera de meilleur conseil que toi ... Je suis déjà pudique alors si tu es sur mon dos, ça va casser mon coup.
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