[rp] Ventes d'esclaves

Ptronille25

Pétronille parcourait la Gargotte, cherchant Bulle dans la foule. Faut dire que ça grouillait de monde pour une fois. Entre un match de soule, une cérémonie officielle , une pénitence publique, le marché ...

Elle relut encore une fois le petit bout de parchemin qu'elle tenait en main :

Citation:

ah praupo du fairmié... Jeux sé qile te fé baucou rir mé... Ta pa qatres sang aicul ah me praiter ? Parsceqe gé dainiché une supere afer haie pi heu... ben sé une supere afer qu coute hein peut chair... Mai sa vo le cou, un ! Ci tu voeu bihein me lé pacé, laid sou jeu voeu dire, tu peu veunire ah la garggot, sé la qe je suit ?
Cil te plééééééé ?

Pour une fois que Bulle lui demandait un service, elle n'allait pas refuser. Mais 400 écus ... c'était une belle somme que d'ailleurs elle n'avait plus sur elle. Nul doute que la simple d'esprit soit en train de de se faire escroquer, c'était si facile d'abuser de sa naïveté. Elle n'avait aucune notion de la valeur des choses et ne savait pas compter. Pour Bulle c'était 1,2,3, beaucoup ...
Mais elle allait y mettre bon ordre et négocier l'affaire au plus serré dans l'intérêt de la petite gueuse.

Son regard fut attiré par un étal inhabituel, installé à côté d'une roulotte tout aussi inhabituelle, dont un homme vantait la marchandise. On aurait dit comme un bateleur de foire, sauf qu'au lieu d'exhiber des ours dressés, il avait pris des gueux.

Les pauvres bougres ... Elle frissonna de pitié mais se repris en voyant Bulle plantée devant l'étal, et l'homme qui lui parlait, lui parlait ...
Pétronille resta un moment à observer son manège, la manière dont il avait obséquieusement accompagné un riche noble à sa roulotte, le baratin qu'il servait à la Bulle en lui montrant Zahra et un gamin ...
Zahra ... !?! Mais que faisait-elle ici d'abord, au lieu de siéger au Conseil ?

Pétronille se rapprocha de la simple d'esprit et salua sèchement le montreur de serfs d'un geste du menton.
Me voici ma petite Bullette. Explique moi ce que je peux faire pour t'aider. C'est quoi ta fabuleuse affaire ? As-tu trouvé une robe ou une cape à bon prix ? Je n'ai pas compris pourquoi tu avais besoin d'écus mais si c'est pour une épée, c'est non : tu te blesserais avec.
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Pétronille veuve Renard
Bougmestre de Nancy
ex-Tribun de Verneuil en Alençon

"Le Whisky Selee, le Whisky qu'il vous réjouit!"

Zahra.2

La saoulotte dans son ivresse totale avait oublié de rester incognito, vrai qu'en etant porté sur les epaules du vendeur d'esclave, puis mené au stand, Zahra en avait perdu la capuche de sa jolie cape, son visage était à decouvert, puis toujours pompette, elle continuait à faire son signe de la main à la Bulle, puis baisse la tête un moment comme pour la relever et voir normalement car là pour elle tout était trouble et bizarrement jolie...
Elle était un peu euphorique comme toujours quand elle avit un coup dans le nez...

Elle decide relever sa tête au bout d'un moment, elle aperçoit des passants, ensuite elle entend une voix un peu familière, elle reconnait au loin dame Petronile, elle essait de relever sa main droite liée à la gauche et fait un geste qui pourrait sembler être un salut....

Puis elle dirige son index vers ses levres, puis murmure du haut du stand un petit :

chuuuuuuuuuuuuuuuuut......c'est pour aider le messire ForceJaune, ensuite il va me faire une reduction...

Elle reste un peu souriante, puis attend sagement que FJ lui rende sa liberté, et lui donne ses 4 esclaves... elle regarde ses voisins de stand, puis fixe la tenue de ces pauvres esclaves, s'ils travaillent bien pour elle , elle leur fera une fleur, un petit prix pour ses vêtements de marque...Zahra.2 qualité zara prix tati... Elle baisse sa tête de temps en temps comme pour se cacher...
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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!

Bulle

Bulle sursauta en entendant Pétro arriver.
Certes, elle avait espéré sa venue, puisque c’était sur elle qu’elle comptait pour euh… payer son caprice.
Pourtant, elle se sentait étrangement penaude, comme si elle avait fait une bêtise. Ce qui était vraiment vraiment étrange, parce que la simple d’esprit n’avait pas encore fait la bêtise (pas assez d’écus) et n’avait pas du tout l’impression que c’en était une.
Où était le mal ? S’acheter un employé à prix fort pour ensuite rentabiliser ledit prix par un travail effréné ?

Mais sans trop voir pourquoi, elle sentit que la veuve Renard ne serait pas d’accord du tout. Allez savoir pourquoi.

Nan, nan, c’est pas une épée… C’est… euhm… Arf… Ben…

Bruit d’une chausse qu’on tourne par terre, comme quand on est gêné.
La petite cervelle de la gueuse tournait à pleine vitesse.
Il était incroyable à quel point un esprit si mal dégrossi que le sien devenait subitement très calculateur quand il s’agissait d’obtenir quelque chose.
Et pourtant…

T’vois, il fait pitié le p’tit, fit-elle en désignant le gamin (elle n’avait pas choisi dame Zahra comme exemple, car elle avait l’air euphorique à souhait). L’a pas d’z’habits, l’a pas d’manger, l’a pas d’travail, l’a pas d’m’man… Et euh… Pis faudrait l’aider quoi. T’sais, il sait lire pis écrire. Pis il ferait très bien, euh il serait très content à l’auberge du Bon Coin, t’sais. L’aurait une maison comme ça. Y pourrait t’aider, pis… euh…

Nouveau bruit d’une chausse frotouillante.

Faut l'sortir d'la, quoi. Hein ?
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Le monde appelle fous ceux qui ne sont pas fous de la folie commune

Ptronille25

Pétronille adressa un sourire chaleureux à la p'tite gueuse préférée, ravie de la trouver si pleine de bons sentiments et sans imaginer un instant qu'elle ne cherchait en fait qu'à maquiller son envie de posséder un souffre-douleur

Brave petite Bullette. C'est bien ça, de penser aux autres ! Dieu te bénisse, je suis très fière de toi de te voir si généreuse.
Elle jeta un oeil apitoyé au gamin que lui désignait Bulle.
Tu as raison, ce gosse n'a pas sa place ici et j'ai besoin d'un coup de main à l'auberge, oui. Mais encore faudrait-il que son père ou son maitre en soit d'accord ... Peut-être est-il déjà placé dans une autre maison ? T'es tu renseignée à ce sujet ?

Pétronille observait avec stupéfaction les chaines qui entravaient les malheureux qui faisaient tous triste mine, hormis Dame Zahra qui tanguait en lui souriant béatement (voire bêtement) l'haleine chargée en mirabelle . Et bien, ça promettait pour la sécurité des mineurs !
N'empêche, elle ne voyait pas en quoi ces chaines apportaient quelques chose au numéro insipide de ces bateleurs. Pas étonnant qu'ils paraissent mal nourris, personne ne donnerait un denier pour un spectacle aussi peu distrayant ...
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Pétronille veuve Renard
Bougmestre de Nancy
ex-Tribun de Verneuil en Alençon

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Chlodwig_von_frayner

(hrp : désolé pour le délai... problèmes de temps)

Le Chlo sourit d’un air satisfait… bon, au moins ici il allait avoir le choix. Absorbé dans ses réflexions, il lui fit signe qu’il pouvait aller s’occuper des autres clients. Il commença à les palper pour vérifier que le marchand ne tentait pas de le tromper sur la marchandise. Il vérifia la virginité des deux qu’il lui avait indiquées comme vierges. Pas moches ces deux là… Qui plus est, elles savaient faire certaines choses. L’une cuisinait plutôt bien, l’autre était danseuse de profession. Parfait, elle pourrait égayer ses soirées? Il ne savait pas encore si il vendrait leur virginité à prix d’or pour de vieux nobles ou bourgeois en manque de distraction et voulant profiter de jeunettes. Le procédé était écœurant mais il n’avait strictement aucun scrupule. Après tout… c’était des esclaves, des objets vivants, rien de plus. Et il les payait assez cher comme ça. Ou alors il en profiterait à sa guise… et pas de la plus délicate des façons. Il savait se montrer particulièrement ignoble quand il le voulait ou quand une crise le prenait.

Néanmoins, une image lui torturait l’esprit sans qu’il arrive à s’en débarrasser… zarha… devant la roulotte… il la voulait… pourquoi ? Cette idée ne parvenait pas à trouver la moindre justification dans son esprit pragmatique. Il la voulait à lui, pour lui… en disposer à sa guise, lui ordonner de lui servir des plats, la forcer à lui donner du plaisir, toutes ces choses lubriques qui viennent à la pensée des hommes. Il fit donc demi tour et sorti à la recherche de FJ qui discutait avec les autres. Il se pencha à son oreille et lui dit.

Je prendrais bien la 4, la 16... Et puis… hum… je veux celle là.

Il montra zarha du pouce, en souriant. Il pris une gorgée de sa flasque sans tenir compte des gens aux alentours. Il avait une très bonne idée de ce qu’il voulait, aussi il rajouta quelques mots supplémentaires pour essayer de s’assurer du succès de la future transaction.

Je sais que ça va être cher… aussi pourrons nous peut être convenir de quelques arrangements !
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Zahra.2

Zahra regardait au loin dame Petronile et Bulle, elles étaient en pleine negociation, elle était un peu loin du haut du stand , elle ne pouvait que voir les gestes des deux femmes, puis un air qu'elle connaissait bien sur le visage de Bulle, comme quand Zahra demandait un service...ou qu'elle n'avait pas assez d'écu pour payer ses chopes en taverne...
Elle se demandait si Petronile aussi comme elle, bien qu'elles soient gueuses toutes les deux voulaient avoir un esclave dans son auberge.... La saoulotte revassait du haut de son stand, qui dit esclave dit plus de temps libre pour elle...**soupire euphorique**suivit de quelques *hips*...puis aussi de quelques sourires...de cliente satisfaite avant même d'avoir fait l'achat.. de temps en temps elle regarde autour d'elle, ses voisins de stand, entre la pitié et le je m'enfouttisme, une fois chez elle , ces 4 personnes enfin esclaves seraient plus heureux, elle leur donnera à manger et du travail, elle partagera sa propriété avec eux...

Son regard croise celui d'un potentiel client; la saoulotte joue le jeu de l'esclave, tenue droite prête pour travailler, tout en gardant à l'oeil le vendeur FJ, comme si elle recherchait de la complicité , genre une collaboration... avec lui...

Elle n'arrive pas à entendre les conversations, elle remarque que le nobliaux, (car Zahra avait le nez pour sentir ce genre de personne, ils sentaient bon, bien habillé, et tout et tout quoi…) la pointe du doigt, puis l’air de faire des négociations , Zahra admire le marchand pour ces talents de vendeur, elle pense un peu au contrat qu’elle venait juste de signer, convaincu d’avoir fait l’affaire de sa vie.

Tant pis , si on la traite d’esclavagiste, faut bien faire face à la mode, après tout elle était une super tisserande, parfois elle croulait sous les commande, en voila une bonne raison d’avoir une équipe de choc, exotique, car les esclaves étaient typé, les yeux bridés, le teint doré, puis ils avaient l’air quelque peu motivé… enfin maigre, misérables mais à la fois attirant , de quoi animé son échope…et l‘inspiré dans ses créations…

*hips* sourit*hips*
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Forcejaune

FJ, avec un leger sourire, ecoutait la conversation entre Bulle et Ptronille25 avec la plus grande attention. Il ne put s'empecher de dire aux deux femmes, potentiellement clientes, une fois le silence revenu :

Le petit...? Non, il n'est pas encore placé, et il est a vous quand vous le désirerez. Apres de vous etre aquittez de la somme prevus. Si vous le prennez dès ce soir je vous fais une remise de 10 ecus, ce qui portera le tout a 390 ecus.

Puis, alors qu'il attendait la réponse, il regardait du coin de l'oeil Zahra. Elle avait toujours l'air "joyeuse". Il esperait qu'elle le serait encore un bon moment.
Puis, soudainement et sans l'avoir remarqué venir à lui, chlod lui parla. FJ se tourna, totalement, vers lui pour pouvoir mieux discuter.
Quand il lui dit les numéros de celles qu'il souhaitait, fj se remémora leur tete, et leur prix. Cela allait etre cher. Tres cher, meme. Puis quand il percuta que son noble client voullait lui acheter Zahra. Il exculta interieurement. Puis il lui dit, sans etre entendu des deux autres clientes :

Mais, mon ami, vos désirs sont des ordres. Il nous reste, comme tu l'as dit, à convenir de quelques arrangements. Qui seront, je l'espere consequents. Car comme tu l'as vu, la marchandise que tu souhaites n'est pas de la plus mauvaise...

Fj lui fit un clin d'oeil.

Altesses973

toute cette agitation attisa la curiosité de l'irascible Touloise dont la cruauté n'était plus à prouver. Elle s'approcha pour voir ce qui pouvait autant faire de raffut en dehors de sa boutique qui en ce moment préparait ses noces... voyant clair que les denrées à acquérir n'était pas habituel, qu'une petite main supplémentaire pour nettoyer le sol bien crasseux de la taverne municipale ne se refusait pas, elle s'approcha du vendeur en toussotant légèrement pour marquer sa présence :

hum... bonjour... reste-il encore quelque chose à acheter?
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Forcejaune

FJ fit voletface et vit une nouvelle arrivante. Apres qu'elle ai fait connaitre sa requete, il lui tendit le bras en direction de son etale:

Regardez vous meme la marchandise. Je vous laisse faire votre choix, et si vous avez la moindre question à me poser, n'hesitez pas une seule seconde. Je suis la pour vous aider.

Zahra.2

Zahra toujours dans le bain de l'euphorie, puis de l'ivresse, aperçoit son amie Altesse, puis là, un petit coup de panique, bien qu'elle soit pompette, la soulotte, leve ses mains encore liées avec les menottes, vers sa tête, essayant de récupérer sa capuche, et de se cacher... puis au bout de quelques instants de luttes acharnées avec ses mains, elle abandonne.. puis à le reflexe de tourner le dos.... Elle essait de faire un quelques pas avec les pieds liés ..comme pour descendre du stand, action qu'elle abandonne, un peu essouflée par ses luttes, elle décide de rester là, elle baisse la tête , laissant ses cheuveux detachées venir cacher son visage, puis priant la sainte boulasse qu'Altesse ne la reconnaisse pas... enfin entre tisserande , elles pouvaient peut être se comprendre... l'augmentation d'activité pouvait pousser à vouloir embaucher ...m'enfin là pour 400 ecus vu la surprodution de blé et de maîs , bien l'achat d'un esclave était plus interessant et enrichissant qu'investir dans un champ... pompette, elle essait de penser ou reflechir ce qui est très dur pour elle...dans son état actuel, à une raison un peu "credible" sur sa presence sur ce stand... admirant la "tchatche" du marchand en même temps....
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Ptronille25

L'homme qui présentait le numéro de foire s'était approché, et s'empressa de répondre pour Bulle (le temps qu'elle comprenne la question ...) Le petit...? Non, il n'est pas encore placé, et il est a vous quand vous le désirerez.

Pétronille murmura pour elle m^me : bien, bien ...
Elle commençait à réfléchir à l'organisation du couchage : galetas au grenier ? ou petit cagibi derrière la grande salle pour être près de l'entrée ? Et il faudrait le laver avant qu'il mette le pied chez elle ce gamin, sinon il ramènerait de la vermine, pour sûr !

Toute à ses pensées, elle écoutait l'homme qui continuait à parler, sans vraiment lui prêter grande attention.
(...) Si vous le prenez dès ce soir je vous fais une remise de 10 ecus (...)
oui oui, dès ce soir ... oui, si cela vous arrange, effectivement, ça vous fera une bouche de moins à nourrir, je comprends ça.
(...) ce qui portera le tout a 390 ecus.

Pétronille sursauta, choquée.
Mais non voyons, vous ne me devez rien. Si je vous propose de prendre l'enfant, c'est de bon coeur. Et n'ayez crainte, il sera logé, habillé, blanchit,nourrit et éduqué sans que cela ne vous coûte rien.
390 écus écus ? Mais pour qui me prenez vous ! j'aurais honte de vous demander une telle somme alors que vous peinez à nourrir vos compagnons de spectacle ! Non, non, pas d'argent. Et puis ça fera plaisir à Bulle, elle cherche un compagnon de jeu.
Ne me remerciez pas. Encore une fois, je vous assure que c'est bien volontiers que je prend cet enfant à mon service
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Pétronille veuve Renard
Bougmestre de Nancy
ex-Tribun de Verneuil en Alençon

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Forcejaune

FJ en entendant les dires de Ptronille25, faillit s'etouffer. Il siffla un coup. Qautres de ses maoneuvres, tous aussi biens battis les uns que les autres, arriverent vers FJ.
Celui ci dit a cette femme ignoble qui voullait profiter de temps de travail acharné (pour avoir formé cet enfant) gratuitement :

Madame, avec tout le respect que je vous dois... vous etes entrain de me voler, a vouloir prendre cet enfant comme ça. Je l'ai receuilli, il ya pas de temps. J'ai du, moi meme, passer des heures a le former a l'arithmetiques, a l'ecriture, a la lecture, au français, l'allemand et l'italien. Certes, il n'a pas encore mon niveau... mais quand meme.

FJ s'arreta un court instant, puis repris d'un ton concilliant :

Ce cher petit n'est point squeletique, il mange à sa fain. Ceci étant l'argent que je vous demande, c'est le pris de sa formation, sans vous parler de son maintien en vie. Car sans moi, cet enfant aurait été mort depuis longtemps, ou alors devenu voleur.
Donc si vous ne voullez pas deboursez le moindre ecu pou l'avoir, j'aurais le regrets de vous demander de partir.

FJ vit Zahra, du coin de l'oeil qui s'agitait sur l'estrade. Il demanda à l'un de ces manoeuvre d'aller lui donner une bouteille d'eau de vie, de lui faire boire quelques gorgées et de la lui laisser pour qu'elle finisse. Et qu'il devait revenir au plus vite

Zahra.2

Zahra était plongée dans ses pensées, enfin elle était en meditation, comment faire pour expliquer sa presence à Petronile et Altesse si elles lui demandaient la raison de sa presence sur le stand... Elle n'est plus en état d'essayer de suivre le fil des conversations commerciales entre ForceJaune et ses autres clients, elle regarde pourtant de temps en temps ForceJaune, toujours patiente, sûre que ce bonhomme lui fera une fleurs un geste commerciale, une super remise après tout elle envisageait de lui prendre 4 esclaves ...enfin la seule question qui pouvait "torturer" la soulotte, était est-ce FJ acceptait de faire credit, car elle n'avait pas toute la somme, déja qu'elle peinait à avoir la somme necessaire pour aller voir le conseiller du comte invisible celui qui permet de passer les niveaux de la vie, être "notable" un jolie rêve pour la gueuse qui avait gravit quelques echelons dans la vie sociale,..la preuve, elle voulait avoir le must du must des esclaves qui dit mieux? ...Sûre que le commerçant allait lui accorder un credit même à vie, enfin il était pas tout jeune mais bon...
Milles et une pensées...quand soudain, un homme s'approche d'elle et lui tend une bouteille "eau de vie"... Zahra le remercie d'un simple sourire, puis *hips* et *hips* encore, prend la bouteille de ses mains liées , encore une fois elle se retrouve à lutter avec ses deux mains, au bout de quelques minutes voila la bouteille ouverte, puis elle boit quelques gorgées, l'attente était longue, elle n'avait pas de sablier, au moins au conseil ducal si on lui demanderait la raison du retard des calculs de rendement des mines, elle repondra "euphoriquement" que c'est de la faute à un commerçant rencontré sur la route de Nancy, elle a tapé la négociation ...plusieurs heures... une fois la bouteille vide, Zahra la jette avec nonchalance derriere elle, puis s'assoit à même le sol et comate tranquilement, en entendant la voix des esclaves qui parlaient des langues bien exotiques... la laissant reveuse...*hips*
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Ptronille25

Madame, avec tout le respect que je vous dois... vous êtes entrain de me voler, a vouloir prendre cet enfant comme ça.
... Donc si vous ne voulez pas débourser le moindre écu pou l'avoir, j'aurais le regret de vous demander de partir.

Pétronille tourna la tête pour dévisager l'homme, stupéfaite.
Mais je vous reconnais vous ! Vous êtes ... vous êtes le trafiquant d'arme !

Elle recule de 3 pas et l'observe froidement
Oui, parfaitement. je me souviens. Je m'étais disputée avec mon époux par votre faute. Vous discutiez tous deux en taverne lorsque je suis entrée et il n'avait pas voulu nous présenter l'un à l'autre. Je lui en avait tenu grief à l'époque , mais je vois qu'il était sage et que j'étais bien sotte de me vexer. Il aura voulu me préserver d'une telle rencontre.
Vous aviez acheté beaucoup de pain aussi ce soir là, pour nourrir des femmes aviez vous expliqué.

Elle le toise d'un air méprisant.
Je ne suis point une voleuse messire , et je vous dédommagerai. Mais quand au prix que vous en attendez, il me semble que c'est vous qui volez.
Le prix d'un champ pour un enfant ... ? Mais vous déraisonnez complètement !

Pétronille glisse un oeil vers Bulle, genre "dans quelle affaire m'as tu embarquée" , espérant qu'elle vienne à la rescousse. Les simples d'esprits ont parfois plus de bon sens que les sains d'esprits et elle comptait un peu sur son argumentaire, en général imparable de naïveté.
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Pétronille veuve Renard
Bougmestre de Nancy
ex-Tribun de Verneuil en Alençon

"Le Whisky Selee, le Whisky qu'il vous réjouit!"

Bulle

Gloups.
La petite gueuse voyait ses chances d’obtenir l’esclave s’amenuiser, et sentait confusément qu’elle se risquait en terrain dangereux.
La morale était décidément une sacrée sale bête, un peu comme la boue qui se glissait sous sa barque les jours de pluie.
Pétro lui lançait des regards insistants.
Bulle lui rendit un coup d’œil vide, ne comprenant absolument pas le sous-entendu.

Crouic…
Crouic…
Les méninges travaillaient à toute allure.
Un peu rouillées, mais bon.
C’est qu’elle le voulait, ce nouveau scribe !

Ben euh… Just’ment, marmonna-t-elle. T’sais Pétro, il connaît plein d’choses le p’tit, t’vois donc c’est un gros sacrifice qu’il nous propose là, le m’ssire…
Comme un fils pour lui, sûr’ment…

Silence. Avalage de salive.

‘Fin v’là quoi…

Panne sèche
Regard implorant à la veuve Renard qui semblait vouloir dire "Tu vas quand même pas laisser ce pauvre petit ?".
Mais qui en réalité signifiait "j'peux l'avoir, dis ? Dis ?"
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Le monde appelle fous ceux qui ne sont pas fous de la folie commune

Ventes d'esclaves

Forcejaune

hrp

ceci est un rp a but rp. Tout le monde peut venir poster rp coherant avec le rp en cours

hrp

FJ arriva sur la place Nancéene à la tête d'une caravane de roulottes. Il stoppa tous ses bœufs. Il demanda aux conducteurs de descendre pour venir à l'aider à installer un immense stand.
Lui s'occupa de la pancarte.

Au bout d'une heure, environ, tout était monté, car c'était des meubles IKEO DECO, facile à installer. Mais il lui restait malgré tout trois clous, une planche, et 3 pin's. Il posa tout ça dans un pot qu'il mit dans la boite a gant de sa charrette.
On pouvait lire sur la pancarte

VENTE D'ESCALVES. ARRIVAGE FRAI NOUVEAU CHAQUE VENDREDI, ORIGINE DIVERSE

[i]A, ce moment là, il fit monter sur l'estrade de son stand une vingtaine d'esclaves, plus ou moins equitablement composé d'hommes, de femmes, et d'enfants, venant d'Asie, d'Europe de l'Est ou encore des Sarasins...

Zahra.2

Zahra arriva encapuchonnée, elle titubait un peu sur les ruelles pavées de la gargote, elle tomba nez à nez avec ce qui lui semblait être une affiche

VENTE D'ESCALVES. ARRIVAGE FRAI NOUVEAU CHAQUE VENDREDI, ORIGINE DIVERSE

puis une cariole et du monde, puis une silhouette, un vieux, elle reconnait de loin l'ancien recteur...sourire aux levres, elle s'approche, elle en avait du travail, ô oui qu'elle en avait la saoulotte et en surplus, entre son champ, et son echope Zaza chope, et son nouveau post, un peu plus flippant que bougmestre, conseillere à la mine, sans oublié le chagrin de la saoulotte sa meconnaissance de son emploi, sa flemme royale de lire les pavés qui servaient de cours indicatifs pour conseiller, mais aucun guide "des nul CAM", elle s'approche de Force Jaune, un peu pompette, mais sachant ce qu'elle veut...
Bonjour Messire, je vois que vous avez une nouvelle activité*hips*, je vois que vous en avez de la bonne marchandise[/b]*sourire amusée , lorsque son regard croise celui d'un jeune homme, un peu effrayé*
[b]Dites moi, quel est votre prix?
Je prendrais bien , deux jeunes filles pour mon echopes, j'ai la flemme de tisser, *hips* puis me faudrais deux hommes*hips* un pour mon champ de blé, et un autre pour me caresser les cheuveux et me border la nuit, ma "maman " me manque, mon amant aussi*hips * mais bon... avant de faire affaire avec vous Sire Force Jaune, je souhaiterais tester la marchandise..

Elle tate, un jeune homme, puis se retourne vers FJ
Je le trouve un peu trop frêle, vous les nourrissez ? ou pas? en fait, votre marchandise , est-elle echangeable? remboursable?
Puis aurai-je le droit à une reduction, si je vous rapporte de la clientele...?

Zahra gardait sa capuche, elle évitait de se montrer, puis essayait de tenir droite, elle avait un peu abusé de sa mirabelle, esperant que cette trouvaille lui serait benefique comme oeuvre de la ste boulasse.
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Forcejaune

FJ voyait, avec joie, sa premiere cliente. Decidement, le monde est petit, tres petit. A croire que c'est toujours les memes qui se rencontrent...

Il regarda Zahra faire son petit cirque et debiter ses paroles. Elles auraient été incoherentes si FJ n'avait pas fait à l'ecole comme seconde langue "le mec bourré". C'est d'autant plus facilen que c'etait une femme, qui ne l'etait pas encore...bourrée, mais seulement saoul... (je suis désolé, pas pu m'en empecher, j'essaye de me calmer)

Tu pose trop de questions, ma Simone. Il n'y a pas besoin de vouloir etre rembourser, echanger ou de le ramener, ma marchandise. C'est de l'excelente marchandise.

Il lui montra une etiquette de chemissette d'une des escalves, il y etait marqué MADE IN TAIWAN.

Taiwan... c'est Taiwan les bain, dans le Gers. C'est Français, c'est de la bonne qualité.

Il s'arreta un instant, sourit. Puis il reprit :

Mais je te ferais signé un contrat. De toute façon, je te proposerais le must du must. Je te paye moi meme. Genre environ 5 ecus, mais tu deviendras escalve.
Ca sera magnifique tu verras, avant de te vendre a quelqu'un de riche, je m'occuperais de toi et puis [EXPLICATIONS VASEUSES] mais sans oublier [EXCPLICATIONS TENDANCIEUSES], mais surtout c'est [EXPLICATIONS CENSUREES CAR POUVANT ALLER JUSQU'A CHOQUER L'AUTEUR DES CES LIGNES, LUI MEME]

FJ appela un des manoeuvre, lui demanda de prendre sa place un instant, lui disant qu'il allait revenir dans un moment. Il prit Zahra par le bras et la dirigea et la fit monté plus ou moins de force dans sa roulotte, pour lui disait il, lui faire signer son contrat de travail...

Zahra.2

Zahra la tête un peu dans le cu cu dans le brouillard était quelque peu hilare, face à cette enchère, elle regardait les z'hommes et les femmes, puis essayait de suivre le fil de la discution avec le vendeur... elle le suivait dans son debit de parole, sûre d'avoir fait un super choix et une super affaire...

Donc*hips* pas besoin d'echanger ou*hips* de rembourser*hips* sans garantie, mais heu*hips* faut que je signe le contrat*hips*...

Elle sent que FJ l'aide à monter dans sa roulotte, puis la naïve saoulotte le suit, titubant, puis heureuse comme jamais, la flemmarde allait avoir une equipe de bras d'esclaves près à la servir "le must du must" qui disait le vieux...

Elle entend juste le 5 ecus, puis soupire de joie et de satisfaction ne saisisant point le sens de la conversation :

merci 5 ecus mais c'est vraiment une bonne affaire sire ForceJaune... je veux voir de suite le contrat de travail et de vente...

*sourire niais*

Taiwan les Bains*hips* dans la France, faudrais *hips*que j'y aille, ça doit être chaud...hein sire*hips* ?

*hips*
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Forcejaune

FJ s'etait retrouvé dans la roulotte avec la, tres, charmante Zahra. Il l'a fit s'assoir, lui servit de la mirabelle et de la biere.
Pendant qu'elle se buvait cl de boisson apres cl de boisson, fj alla fouiller dans ces affaire pour sortir un contrat de plusieurs pages. Il les amena au niveau de sa futur collaboratrice.

Il s'assit à son tourn sortit un encrier et une plume. Il lui montrat different different endroit du contrat.

Alors la, tu peux lire : CONTRAT DE TRAVAIL, plus loin tu peux lire AOC, ce qui veut dire Apellation Original de Contrat. La tu peux lire Compensation du travail en liquide.

FJ ne laissa pas le temps a Zahra le temps de tout lire, sans parler des nombreuses petites lignes, du langage contractuelle qu'elle n'etait pas habitué a lire, donc a comprendre. Il lui donna la plume, tout fraichement trempé dans l'encre et l'invita tres fortement a signé en bas de chaque page.

Tu verras, dès que tu auras tout signer, je te montrerais comment je remercies mes secretaires, heu, les personnes qui travaillent avec moi.

Zahra.2

Zahra buvait chopine après chopine, assise confortablement, regardant la multitude de parchemins, puis son interlocuteur qui ne cessait de parler, bref Force Jaune etait un peu comme Zahra au masculin, il avait la petite tchatche du parfait petit vendeur... Elle regarde les grandes lignes, completement ivre, elle prend la plume que lui tend FJ..

Compensation du travail en liquide. *hips* ça veut dire, que je pourrais les payer avec de la mirabelle; de la bière... *hips* c'est vrai qu'entre nous, le liquide y a pas mieux*hips* enfin bon je veux tout de même qu'ils soient efficace*hips* pour ma part je sais que le liquide bah*hips* moi je travaille mieux quand je suis*hips* bourrée*hips*

*une fois son travail terminé, car signer des parchemins c'était aussi fastidieux pour la saoulotte, elle leve le coude une dernière fois, buvant la dernière goutte de mirabelle...puis fixe le vieillard*

bien, maintenant*hips* je peux prendre ma marchandise*hips*, l'affaire*hips* est plus ou moins *hips conclu*hips* vous me conseillez quoi... le taiwian des bains ou le sarassins*hips*

La saoulotte essait de se relever, avec un peu de difficulté, puis regarde le tas de parchemin..

pas besoin que vous signez *hips?
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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!

Bulle

Tite balade dans les rues.
Tiens ? Du bruit ? Pis des gens ! Un peu trop à son goût…
Et beaucoup avec une grosse chaîne à la patte. Drôle d’idée.
C’était ptet une nouvelle mode ? Les gens d’nos jours, ils aimaient bien ça, la mode.
Avec des vêtements et tout l’tralala qui servait pas qu’à avoir chaud au séant.
Quoique ceux-là, ils avaient pas beaucoup de tissu sur les fesses.

La gueuse s’approcha et s’aperçut que ces gens, on les vendait.
Quelle bonne idée ! C’était d’un pratique ! Pourquoi n’y avait-on jamais pensé avant ?
Elle pour sa part ne craignait rien. Elle puait trop pour qu’on la vende.
Pis à part en déterrage de pluchures dans l’auge aux cochons, elle ne savait rien faire de ses dix doigts.

Elle écouta un instant la conversation entre FJ et Zahra qui avaient l’air de faire de super bonnes affaires, puis pointa le bout de son nez crasseux.

Z’en avez pas un qui sait écrire ? S’enquit-elle en regardant le vieux bonhomme, devinant à sa manière de se frotter les mains que c’était lui le marchand de gens.
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Le monde appelle fous ceux qui ne sont pas fous de la folie commune

Chlodwig_von_frayner

Pourquoi venir incognito sur une foire aux esclaves ? Non, un Chlo se déplaçait toujours le visage découvert. Après tout, il n’était pas spécifié que cette pratique était interdite, à dire v’ai c’était plus une question de morale pour certains esprits sensibles. Mais pour lui, qui n’avait STRICTEMENT aucune morale, où était le problème. Il fallait aussi voir des problèmes de rentabilité. A force de faire fouetter ses serfs, certains disparaissaient (il était aussi possibles que des gens venus de terres proches de la siennes viennent les assassiner pour le priver de ses ressources, ah les chiens, il faudrait qu’il se penche sur ces problèmes à son retour, à savoir quand il serait allé à la soirée celib d’Epinal) et c’était horriblement difficile à remplacer (il fallait attendre 13 ans pour qu’ils soient opérationnels, le travail des enfants étant tout à fait normal voir même encouragé). On ne savait pourquoi mais son nom de famille ne jouait pas pour lui. Ou peut être étais ce simplement son prénom, allez savoir. Ah l’empire… en France il lui aurait suffit de dire qu’il avait mal aux pieds pour que des mains s’empressent de le secourir, ici… eh bien ici il allait enfin pouvoir acheter son esclave ! Ou plutôt… le premier de ses esclaves. Si il était content de la transaction, il tenterait un contrat spécial avec FJ.

L’étal n’était pas très grand et il se baladait (sur l’avenue) entre le peu de gens qui circulaient. Par moments, il prenait une petite gorgée de la flasque qu’il portait à la ceinture… l’écorce de saule blanc… rien de tel pour soigner ses migraines. Au cas où ça s’aggravait, il lui restait de toute façon l’opium… mais un dérèglement dans le dosage et il risquait de passer l’arme à gauche… c’était les risques du métier. Il portait sur ses vêtements de grand prix sa cape de vair, très utile en cette saison où il ne faisait pas encore tout à fait chaud (et puis ils étaient en lorraine, c’est bien connu qu’ici il fait froid), façon comme une autre de montrer qu’il avait du fric à dépenser… un très bon moyen de se faire arnaquer… mais aussi un bon de se faire sortir les meilleurs articles.

Enfin pour le coup, il se contentait de jeter des regards qui se voulaient septiques sur les marchandises. Il cherchait le patron… on ne traitait jamais avec les sous fifres car ils ne pouvaient pas débloquer les hautes arcanes qui menaient aux meilleurs contrats. Il lui faudrait des filles… mais rien à voir avec celles qui étaient là, non… des belles… avec de beaux yeux… très important les yeux. Et puis… hum… ça suffirait, mais il tenait à insister sur la qualité des filles, manquerait plus qu’elles lui refilent des maladies, non mais… Un noble comblé est un homme efficace ! Il s’adressa à l’un des hommes qui semblait travailler durement (en gros il pionçait).

Eh toi ! Je cherche des femmes… jeunes, saines, de bonne qualité… je voudrais voir ce que tu as de mieux. Il sourit légèrement. Ah... j'oubliais... j'ai de quoi payer.
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Forcejaune

FJ eclata de joie quand Zahra signa tout les parchemins. Il avait réussit à l'ambobiner. C'était elle, maintenant son esclave. Du moins, momentanément. Il avait decidé qu'il allait s'en servir comme "appat", esperant que certains allait etre attiré par elle. En envisageant meme, si quelqu'un voullait lui achter Zahra, bah il la vendrait. Mais il en doutait fortement, de pouvoir la vendre.

Il prit des menottes qu'il lui mit aux mains et aux pieds. Puis lui mettant les mains sur les hanches, il lui dit :

Excusez moin ma chere dame, avant nous allons jouer à un petit jeu. C'est marqué dans le contrat. Vous allez faire semblant d'etre une de mes escalves. Cela va attirer du monde...

Avec ces mains, il l'a mis sur son epaule. Il sortit de la roulotte et la mit sur le stand, tout en lui laissant une gourde d'eau de vie.
Ce n'est qu'à cet instant qu'il vit Bulle. Apres qu'elle lui ai demandé sa requete, il lui pointa un jeune garcçon d'environ 13 ans. Petit pour son age, ne possedant pas une grande beauté, mais FJ lui avait enseigné l'ecriture et la lecture pour ratrappé ses seux points faible.
Mais il lui dit, d'une voix basse :

Ceci etant je peux vous vendre Zahra...elle sait meme signé les contrats.

Puis, soudainement, il vit Chlodwig. Il laissa Bulle reflechir, et alla voir le noble qui lui rendait visite. Et pour faire affaire avec lui. Ce qui etait rare ces temps ci. Il flaira le bon coup. Le tres bon coup à faire.

Mon ami, mon tres cher ami, ne vous acoquiner point avec ce manoeuvre. Il est sale, sent mauvais, n'a aucune education. Je ne dit pas que je suis mieux que ui, mais au moins j'ai des anecdotes à raconter. Et en plus il parle pas le français le bougre.

Il reprit sa respiration, puis il lui demanda :

Je suppose que vous etes venu pour de la marchandise. Que souhaitez vous exactement...?
Je me doute que mon etale ne vous satisfera guere, etant donné que je ne pensais pas à faire affaire avec une personnes comme vous.

Chlodwig_von_frayner

Chlo sourit intérieurement en voyant le patron arriver… enfin les choses sérieuses commençaient. Il le jaugea du regard… FJ… le peu qu’il connaissait sur lui n’incitait pas à se laisser aller… il fallait se méfier, le renard était coriace… Il allait avoir besoin de toute sa tête pour réfléchir. Il but une longue gorgée de sa flasque… oui là au moins son mal de crâne ne reviendrait pas l’embêter. Il ouvrit les bras et lui donna une tape sur l’ épaule.

Aaaah mon ami, voilà enfin le véritable patron de cette société d’import export. Que veux tu, je déteste traiter avec des sous fifres… ils ont la désagréable manie d’être honnêtes ou de vouloir tirer profit pour leur tronche. Je préfère parler au chef, celui avec qui on peut… il baissa d’un ton… avoir de véritables arrangements.

Il rajusta un instant sa cape et claqua des doigts. Aussitôt, et avec une magnifique synchronisation un serviteur tira de sa besace deux bouteilles qu’il tendit à Chlo, avant de se remettre en retrait. Il donna la première au marchand d’esclaves avec un clignement de l’œil.

J’aime commencer mes transactions, même si elles n’aboutissent pas par un petit cadeau. L’avantage d’être noble et de pouvoir piquer du fric à sa mère. Voici une bouteille tirée des caves de son altesse Armoria… un détournement de fond que j’avais fait lors de la dernière guerre en Bretagne. Quand à la deuxième… eh bien… que diriez vous d’un peu de prune pour parler affaires ?

Il sourit légèrement… toujours apporter sa propre boisson… on ne savait jamais ce qu’un homme comme Force Jaune pouvait bien glisser dedans… On n’était jamais trop prudent. Il posa donc la bouteille sur le premier truc qu’il trouva. Puis il revint à sa conversation.

Je suis venu pour acheter de la marchandise… mais attention hein, je ne veux pas les rebuts que tu affiches là, je veux ce que tu as de meilleur… Bonne santé… bonne troche… pas trop bête… si tu vois ce que je veux dire. Mes critères sont difficiles mais… je suis prêt à y mettre le prix, et même à rajouter quelques petits arrangements, si tu vois ce que je veux dire.

Il cligna de l’œil et se gratta la joue, faisant mine de réfléchir.

Il me faut du personnel en fait… des femmes bien sur, qu’est ce que je ferais avec des hommes ? Pour les critères tu les connais déjà. Je vérifierais moi-même certains… détails… pas question de récupérer des morpions ou d’autres saloperies, si tu vois ce que je veux dire.
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Zahra.2

Zahra qui avait reussi à se mettre debout , avait les joues rouges, le nez rouges et un coup de chaleur, la mirabelle avait fait son effet, la saoulotte était chaos, debout, hilare, sourire hyper niais, puis elle suivait le marchand , elle le laisse lui passer les menottes, prenant la chose comme un jeu, puis c'est clair que comparé aux esclaves, la Zahra était bien nourri, convenablement habillé pour une artisane..

Citation:

Excusez moin ma chere dame, avant nous allons jouer à un petit jeu. C'est marqué dans le contrat. Vous allez faire semblant d'etre une de mes escalves. Cela va attirer du monde...

Bien d'accord, je vous suis, si ça peut vous aider dans vos affaires , messire*hips* parcontre, je pourrais avoir une reduction hein*hips* ils ont l'air un peu perdu les z'autres esclaves, enfin...
Elle était un peu génée dans sa demarche, passé de la roulottes au stand , elle était secouée, puis elle fait encore un sourire niais à ces voisins, les autres esclaves, puis essayant de rechercher du regard un de ses futurs bras droit et gauche, la flemmarde était toute heureuse d'avoir fait affaire avec Force Jaune , ne se doutant pas de ses desseins.. Elle remarqua Bulle, lui fait un geste de ses mains liées par les menottes.... se demandant si elle allait rester longtemps à jouer l'esclave...
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Bulle

Bulle s’effaça un brin le temps que FJ discute avec un m’ssire au regard vicieux et observa la marchandise que lui proposait le vendeur.
Hum… Le gamin était petit, plus que la crasseuse en tout cas, juste le bon gabarit pour se faire taper dessus.
C’était parfait, ça. Bulle était terriblement triste de ne plus pouvoir taper sur personne, affirmant ainsi l’autorité qu’elle n’avait pas par ailleurs avec les vrais gens.
Les vrais gens, s’entend par là ceux qui avaient des vrais vêtements et tout et tout, pas les gueux.
Bulle se considérait comme la seule gueuse digne de ce nom, sauf quand un noble était dans les parages, parce que là, il valait mieux s’effacer.
Enfin bref. Le scribe itinérant que la simple d’esprit aimait tant frapper avait lâchement fichu le camp, et le petiot proposé avait l’air de faire un super martyr remplaçant.

Mais… On lui proposait aussi dame Zahra, qu’elle connaissait un petit peu.
Certes, la Bulle avait des scrupules à taper sur ceux qu’elle aimait bien (hé oui, la gueuse avait une morale à l’état larvaire, mais du genre de larve qui ne supportera pas le voyage en chrysalide et qui crèvera en route), mais l’offre étai alléchante.
D’autant plus que dame Zahra faisait de grands signes ravis sans doute pour dire : « achetez-moi, achetez-moi ! ».
Elle souriait, et ça faisait plaisir de voir des gens heureux en tout circonstance, même quand on les prend pour du bétail dans la foire à bestiaux. C’était positif tout ça.
Pis elle, c’était sûr qu’elle savait écrire, elle avait encore une plume et un contrat entre les mains.

Quel dilemme !

C’quoi la différence de prix entre les deux ? S’enquit l’acheteuse, hésitante.
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Le monde appelle fous ceux qui ne sont pas fous de la folie commune

Nsaymar

Say passait par la place nancéenne, car il eut envie de se dégourdir les jambes et d'un pas fin et lent aperçut au loin une vente, il se rapprocha pour voir ce qui se vendait.

« VENTE D'ESCALVES. ARRIVAGE FRAI NOUVEAU CHAQUE VENDREDI, ORIGINE DIVERSE. »

« Je le trouve un peu trop frêle, vous les nourrissez ? ou pas? en fait, votre marchandise, est-elle échangeable? Remboursable?
Puis aurai-je le droit à une réduction, si je vous rapporte de la clientèle...? »

« Mais je te ferais signer un contrat. De toute façon, je te proposerais le must du must. Je te paye moi même. Genre environ 5 écus, mais tu deviendras esclave. »

Pour ne point montrer son étonnement, souriant d'un air de gaieté et de bonne humeur et se rapprochant de l'activité, tout était claire en lui et voulait bien passer son temps, car le temps à ne ryen ne faisait qu'à peine son apparition.

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Forcejaune

FJ ecoutait tres attentivement Chlodwig. Il commençait à avoir l'idée de quelles escalves il pourrait lui proposer. Il relechissait tout en epiant Bulle du coin de l'oeil.
Il appella l'un de ces aides, lui dit de renseigner les gens, de verifier qu'il n'y ai pas de fauche pendant qu'il reglait affaires avec deux clients.

Il invita Chlo du bras à se diriger vers une roulotte :

Je te propose qu'on aille parler vers une rollotte, je ne veux pas que les autres cliens apprennent que je reserves le meilleurs pour des gens comme toi.
Et avant de commencer à boire, je te propose de te montrer mes modeles. Pour voir si cela peut ocmmencer a te convenir

Ils se dirigerent vers sa roulotte, et lui montra l'interieur. On pouvait y voire une douzaines de charmantes créatures. La plus jeunes devait avoir tout au plus 15ans, la plus ancienne 25 ans. Bien nourries, sans l'etre excessivement, bonnes mines.
Il commença à lui dir leurs origines, ce que certaines savait faire quand soudainement Bulle l'interpella en lui possant une question. Il s'ecuse au pres de Chlodwig :

Je te laisse regarder la marchandise quelques instants. Pas de betisesn hein...
Je vais juste finir de faire la transaction avec Bulle.

Il s'approcha de Bulle a grandes enjambées. Il lui dit :

Il n'y a pas de difference de prix. Chacun des deux vaut 400 ecus. Le petit, j'ai passé un peu de temps a lui apprendre a lire, l'autre, elle est plus gatée par la nature, diront nous. Mais si tu achetes les deux je te fais un pris. Au lieu des deux à 800 ecus, je te les fais les deux a 600 ecus.
Sachant que la fille a deja 5 ecus dans sa poche.

FJ savait que le jeune garçon valait à lui seul au moins 500 ecus. Mais vendant Zahra en plus, il fasait une belle plus valu sur elle. 95ecus de benefice...

Bulle

Cornebistouille !
Bulle jura intérieurement. Quatre cents, c’était un brin cher… Elle n’était même pas sûre d’avoir assez de doigts pour compter tout ça, même avec les doigts d’pied !
Elle n’avait pas non plus cette somme.
Mais un scribe lui faisait tant envie, plutôt que ce fermier qui lui écrivait ses lettres à sa place…
Il fallait reconnaître que l’écriture dudit fermier faisait beaucoup rire Pétro, mais ce n’était pas exactement le but…

La crasseuse soupira et se demanda un instant si on pouvait payer en pluchures de navet, mais ça ferait un trop gros tas de pluchures pour une telle somme.

Il n’y avait qu’une solution pour réunir les écus…

‘Ttendez un instant, s’vous plaît, fit-elle à FJ.

Elle se tourna et siffla un fermier qui se tenait du côté de la foire aux bestiaux, avec une vache.
C’était celui qui rédigeait son courrier à sa place depuis la fuite de l’écrivain public qui lui servait de martyr auparavant.
Elle lui souffla quelques mots, tandis qu’il griffonnait à toute vitesse sur un vieux morceau d’almanach.
Puis la petite simple d’esprit se tourna à nouveau vers le marchand de gens.

Euh… J’en prends un. Normalement. Peut-être. L’argent devrait pas tarder à arriver, ajouta-t-elle en espérant fort, très fort que Pétro reçoive le pigeon (et surtout qu’elle daigne lui allonger les écus).
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Ptronille25

Citation:

"Le Whisky Selee, le Whisky qu'il vous réjouit!"

Zahra.2

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Bulle

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Forcejaune

Altesses973

Forcejaune

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Bulle

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Forcejaune

FJ ecouta attentivement son interlocutrice, avec un leger sourire de coin. Puis, il reprit, en disant :

Excusez moi de vous reprendre, mais je ne suis pas trafiquant d'armes. Vendeur d'armes. Si j'etais trafiquant, j'aurais trafiqué les armes, donc modifié la qualité de celle-ci. Ce qui n'est pas le cas.

Et je me souviens de l'episode de la taverne. J'en ris encore.

Il s'arreta un instant, puis il reprit, d'un calme presque deconcertant :
Ecoutez, les prix sont les prix. Si vous n'avez pas les moyens, repassez quand vous les aurez, ou ne repassez jamais. Je sais que le prix que je propose est normal, pour la qualité. Je pourrais meme trouver acheteur pour un prix plus elevé.
Je suis marchand dans l'ame, pas voleur.

Ptronille25

Pétronille dû reconnaitre que pour les armes, il avait peut-être raison. Elle baissa les siennes.

Excusez moi messire, je ne voulais point vous vexer. Il est vrai que je n'ai jamais eu preuve que vos lames soient cassantes. Mais pour ce qui est de votre prix ...

Le gamin faisait pitié et Bulle la regardait d'un air suppliant, suppliant ... C'est vrai qu'elle était bien seule, la petite Bulle. Un compagnon, ça la changerait de Corniaud, ça lui ferait comme un frère. Et s'il était instruit, il pourrait peut-être, en plus, lui apprendre quelques rudiments de lecture et écriture. En tout cas, à compter au delà de 3. Et puis il l'aiderait à l'auberge. mais bon, 400 écus !

Elle s'éloigna de quelques pas, pensive. Et son Astus, il en dirait quoi ?
Après un long dialogue intérieur avec son défunt, elle décida de suivre son avis, comme toujours, c'est à dire marchander alors qu'elle détestait ça

Bien. Messire le marchand d'âmes, je vous soulagerai de cette bouche à nourrir pour 200 écus. Mais c'est bien payé, je trouve, pour un va-nu- pieds maigrichon !
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Pétronille veuve Renard
Bougmestre de Nancy
ex-Tribun de Verneuil en Alençon

"Le Whisky Selee, le Whisky qu'il vous réjouit!"

Forcejaune

En entenant ce que disait son interlocutrice, fj marmonna :

Manquerait plus que mes armes soit de mauvaises qualités.

Puis fj se reprit et d'une voix pleine de conviction :

Bon allé je vous le fais a 350, le jeunot... et puis sachez que le Seigneur juge l'arbre à ses fruits, non à ses racines. Vous devriez en faire autant vis a vis de ce jeune. J'en ai fai sla demonstration, qu'il savait s'exprimer correstement en plusieurs langues, ecrire, lire, et compter...

Fj s'arreta un instant pour continuer :

Tenez le pour dit, ne pas juger a l'apparance mais aux résultats

Ecaterina

La Cardinale qui avait été prévenu arriva:

Vous pouvez m'expliquer ce qui se passe ici?
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Zahra.2

Toujours dans les pommes ou la mirabelle, Zahra euphorique, zen, heureuse, puis insouciante, songée à son avenir, et aux multiples choses qu'elle pourrait faire avec son equipe d'esclaves.. La voix du marchand et de Petronile se faisait de plus en plus lointaine, et semblait être de loin une sorte de berceuse, et à chaque fois qu'elle entendait le mot écus, Zahra souriait, la richesse, un rêve, le luxe, un rêve... Tout d'un coup, une voix la fit sursauter...

Citation:

Vous pouvez m'expliquer ce qui se passe ici?

La fin du monde, le bruit d'une calèche, les bruits de pas, puis cette voix calme mais à la fois autoritaire, c'était celle de la cardinale.... puis la soulotte se souvient vaguement d'un chose, la reputation de Forcejaune dans la Lorraine, The héretique, le type qui en avait rien à foutre de l'Eglise, le type...qui n'avait pas le sens de la moral ni de la foy...
Elle decide de se redresser, puis là, elle lutte de plus belle avec sa capuche, qu'elle reussit à mettre au bout de plusieurs minutes, le temps lui semblait long, et sa position de plus en plus genante...

Zahra était aristotelicienne, mais elle avait des penchants un peu héretiique, un peu paradoxale, du genre, lutte pour le port de la ceinture, mais bon quand on est amoureux, puis quand l'envie est plus forte que la foy, à bat la ceinture et vive le plaisir.... pensées qui la font un peu rougir du haut de son stand, puis une remontée de toute la boisson qu'elle avait ingurgitée depuis sa rencontre avec le marchand... suivit de plusieurs *hips* qui devoile son ivresse totale...

Elle essait de se faire la plus discrete possible, un peu de crainte, que dira la cardinale, que diront ses amies ...s'il la repérerait dans ce lieu...?
Puis en même temps, une volonté de soutenir le marchand, après tout cette enchère était l'affaire du siecle...

Les lorrains pourront avoir les services d'esclaves, mais aussi, ils les sauveront de la famine...surement.. ..
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Chlodwig_von_frayner

Chlo sourit en pensant à tout ce qu’il pourrait promettre en échange. De l’argent déjà… oui… et puis des appuis aussi, de solides implantés partout en France et en Empire, pourquoi pas des passe droits aussi ? Et puis… il avait bien une idée que son vis-à-vis jugerait peut être intéressante… Il s’écarta un instant, écoutant d’une oreille distraite les conversations qui avaient lieu entre le marchand et les autres acheteurs. Il regarda zahra du coin de l’œil, avant de s’en approcher pour mieux jauger de son physique et surtout de ses autres qualités. Bon pour le moment elle était complètement bourrée alors c’est sur que ça n’aidait pas à avoir une appréciation objective… mais elle avait l’air un minimum solide, pas trop laide et avec de bons arguments… Intéressant… et puis ça le ferait rire d’avoir une opposante politique sous ses ordres !

Il nota quelques idées dans un coin de sa tête, de choses assez drôles à faire avec sa future nouvelle acquisition… Quand soudain, une voix retentit derrière eux, une voix qu’il avait déjà entendu. Il n’y prêta d’abord pas attention, mais le ton lui avait fait pensé à une descente de la maréchaussée… Il se retourna les sourcils froncés, curieux de savoir ce qu’il avait fait de mal, quand il reconnu la baronne Ecaterina. Il se détendit. Elle aussi devait vouloir acquérir un esclave, et elle devait avoir peur de se faire piquer les meilleurs. Pas question qu’elle lui vole Zahra ! Il lui répondit d’un ton tranquille.

Bonjour à vous déjà ! Le respect passe d'abord par la politesse comme me le disait souvent mon père, Dieu ai son âme.

Que faisons nous ? Eh bien... nous faisons nos courses au marché. Vous aussi vous êtes intéressée ? Je comprends que vos fonctions longues comme le bras vous prennent trop de temps et que vous cherchiez à vous en décharger avec de la main d’œuvre.
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Zahra.2

Zahra avait un petit noeud à l'estomac, surement un peu faim ....non , peur? Elle avait les jettons oui, elle entendit la voix du nobliaux, il allait peut -être lui tenir la conversation à la cardinale, sûrement qu'elle aurait le temps d'échaper à la vue ou à l'attention de son eminence....

Citation:

Que faisons nous ? Eh bien... nous faisons nos courses au marché. Vous aussi vous êtes intéressée ? Je comprends que vos fonctions longues comme le bras vous prennent trop de temps et que vous cherchiez à vous en décharger avec de la main d’œuvre

Zahra se dit qu'avec toute la noblesse, si même la cardinale se sert dans ce marché...il ne lui restera plus que les vieux esclaves...qui ne savent rien faire, les meilleurs pour les nobles encore une fois*soupir*... chose qui l'agaçait un peu mais à la fois qui la reconfortait si elle était là pour l'achat et non pas le sermon... elle ne dira rien sur sa presence...surement, elle garde la tête baissée, et prie silencieusement la boulasse, car etant ivre Zahra pensait que tout le bonheur ne pouvait que venir de boulasse et des chopes de mirabelle ..non pas de dieu...

elle gromelle tout doucement :
*hips*faudrait pas qu'ils me piquent les meilleurs*hips*je suis la première à être venue*hips*...puis*hips*

Elle regarde par terre, son parchemin roulé, son contrat de vente...ou de travail, elle ne saisisait pas tout le contenu du contrat, mais elle faisait une entière confiance en FJ, esperant qu'elle ne soit pas deçu, ivre , elle n'avait pas trop la force de luttait contre les clients nobles qui étaient arrivés après elle.... Elle oublit un instant la fonction de la cardinale, juge...esclavage..procès ...des mots qui viennent sonner dans sa petite tête..... toujours encapuchonnée, puis levant la tête, elle jette un regard vers le nobliaux , lui fait un clin d'oeil complice, puis dirige son index droit vers ses levres ...*hips*... chuuuuuuuuuuuuuuuuuut*hips*
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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!

Ecaterina

Bonjour à vous déjà ! Le respect passe d'abord par la politesse comme me le disait souvent mon père, Dieu ai son âme.

Que faisons nous ? Eh bien... nous faisons nos courses au marché. Vous aussi vous êtes intéressée ? Je comprends que vos fonctions longues comme le bras vous prennent trop de temps et que vous cherchiez à vous en décharger avec de la main d’œuvre.

Surprise qu'on l'interpelle de la sorte, Son Eminence leva les sourcil puis tout en fixant l'impudent, le reconnu. Un sourire narquois naquit sur ses lèvres puis elle prit la parole:

Bonjour? Non je ne crois pas, surtout quand je vois ce qui se passe ici, enfin ce que je devine.
Non je ne viens pas faire mes courses, si j'ai besoin d'aide j'embauche du personnel et ensuite je le paye.

Alors Baron pouvez vous m'expliquer ce que vous faites ici devant ce stand de marchandises un peu trop exotiques à mon goût. J'ose espérer que vous ne vous apprêtez pas à acheter des hommes ou des femmes, ceci serait contraire aux valeurs aristotéliciennes que vous défendez surement en tant que Noble et fils d'une famille aristotélicienne.
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Chlodwig_von_frayner

Un instant décontenancé par les propos de la cardinale, Chlo fouilla dans son esprit, tentant difficilement de se remémorer ce qu’il savait. Non pourtant… Il avait beau chercher, rien ne venait. Il sourit distraitement au clin d’œil de zahra, mais le regard de la baronne étant braqué sur lui, il ne se permit pas de lui rendre son clin d’œil. Il mis la main distraitement à sa ceinture, en sorti sa flasque et en but une gorgée. Voilà qui serait plus pratique au moins, éloigner ces foutues migraines qui menaçaient de lui vriller les temps à n’en plus finir. Perplexe, il leva les yeux vers Ecaterina.

Non seulement je m’apprête, mais qui plus est vous venez de m’interrompre en pleine transaction. J’espère ne pas la manquer à présent. Pensez que nous pourrions déjà être en train de signer le contrat.

Arisote a dit, si je me souviens bien les enseignements de mon cousin Kad : « Un esclave peut être un homme de bien, s’il a conscience de sa propre nature d’homme, et qu’il sait se satisfaire de sa condition, car ainsi il œuvre au maintien de l’équilibre de la cité. La politéïa n’est pas que la participation aux assemblées. » Je n’ai pas souvenir d’une interdiction de l’esclavage. Le tout n’est il pas de respecter l’ordre établit ?

En me permettant de me décharger de certaines tâches bien plus efficacement que des serviteurs fainéants, ils m’évitent de trop travailler et de sombrer dans l’acédie. Ainsi, je peux participer à la vie de la cité en tentant d’approcher de la sagesse. Et en plus, grâce à moi, ils évitent de rester sur cet étal à ne rien faire et donc à rester marginaux… soit de ne pas devenir quelqu’un de bien.

Non vraiment je ne vois pas où est le problème.

Et puis je vous assure, vous devriez essayer d’en acheter, cela vous permettrait de finir votre travail au séminaire… vous savez, celui que vous ne pouvez faire parce que la gestion de votre diocèse vous prend trop de temps ! Vous risquez de ne plus arriver à satisfaire vos besoins élémentaire et menacer de tomber dans l’acédie. Se serait terrible pour un cardinal.
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Forcejaune

FJ avait entendu une voix qui allait le faire bien rire. Il se retourna et vit cette vieille, heu cette ancienne ...heu cette brave Ecat.
Il s'approcha et ecoutala discussion qu'elle avait avec Chlo, celui qui allait le rendre un peu plus riche, et qui sait, peut etre d'autres avantage si le recteur ne s'en sort pas trop mal.

Puis, au moment ou la discussion avait l'air de prendre un temps mort il se lança avec un tonitruant :

Hey, mais c'est ma tres, tres chere Ecaterina. AH ce nom me rappelle mon pays et ses chansons populaires.

Sur ce il s'approcha encore un peu plus d'elle, lui fit une accollade, tout en continuant :

Que sa me fait plaisir de te revoir... Tu sais... les filles qui sont la... je les fais pas travailler dans ma maison close. Et puis je permet au gens de racheter la liberté de ces malheureux.
Bon allez, passele bonjour au pere Blaise, je dois parler personnellement à messire Chlodwig...

Sur ce il invita le noble à le suivre dans sa roulotte, tout en passant la main au fesses de l'archiduchesse qui avait les miches archis seches avant de les lui pincer.

Ecaterina

Ce pourceau de FJ lui mit une main aux mains. Dans un grand élan, la cardinal lui donne une gifle telle, qu'elle claqua fortement sur sa grosse joue rouge de porc aviné.

Elle le regarda d'un ton dur et prit la parole:

Je vous suggère de cesser de suite ces gestes offensants, car la prochaine fois vous n'aurez que votre moignon pour le faire.
Il est donc dans votre intérêt de cesser, à moins bien sur que vous souhaitiez gratter votre masculinité avec un crochet.
Quoique, se sera peut être mieux pour vous, car vous pourrez plus facilement attraper vos morpions avec le crochet qu'avec vos doigts d'ivrogne.
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Zahra.2

Zahra qui s'était faite toute petite, encapuchonnée, écoutait la conversation...enfin comprenant quelques fois le sens quelques fois pas...
Elle regarde la scène du haut du stand, puis lorsqu'elle entend la réaction de la cardinale... Elle se met à rire aux eclats, oubliant sa volonté de se cacher... son ivresse ne l'aidant en rien, le fou rire dure... au départ, elle était persuadée que le commerçant allait reussir à détourner l'attention de son eminence... mais là, avec son geste un peu hasardeux et audacieux... les transactions allaient prendre encore plus de retard.... par pour cette matinée que la Zahra allait partir avec ses 4 esclaves...

Citation:

Je vous suggère de cesser de suite ces gestes offensants, car la prochaine fois vous n'aurez que votre moignon pour le faire.
Il est donc dans votre intérêt de cesser, à moins bien sur que vous souhaitiez gratter votre masculinité avec un crochet.
Quoique, se sera peut être mieux pour vous, car vous pourrez plus facilement attraper vos morpions avec le crochet qu'avec vos doigts d'ivrogne.

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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!

Forcejaune

FJ eclata, lui aussi, dans un rire un peu gras. Puis, il se calma un peu avant de pourusivre

Bien gente dame... puis je vous laissez, j'ai des affaires qui m'attendent... des affaires des plus urgentes

Puis il força, legerement, Chlo à monter dans sa roulotte pour commencer a parler affaire, en faisant mine d'oublier tout le reste...

Ecaterina

La Cardinal vit rouge:

Vous vous moquez de moi ou quoi. Veuillez rester ici nous n'en n'avons pas finis.
J'exige des explication sur ce trafic d'âmes.

Tout en disant ça, elle ouvrit la porte de la roulette, attrapa le pourceau par le col de sa chemise trempé de bière et d'autre chose...
Lorsqu'il fut sorti, elle claqua la porte de la roulotte et se planta devant lui.
Puis d'un ton menaçant tout en levant le doigt elle ajouta:

Vous allez cessez votre trafique et vous faire oublier quelque temps, sinon je prépare moi même les morceaux de bois. J'ai toujours aimé le porc grillé.

Puis tout en attrapant sa masculinité elle ajouta:

Si le feu ne vous fait pas peur, pensez donc que si mes doigts se referment trop, vous ne pourrez plus vous amusez avec vos putains avant un très long moment, et nous savons tous que sans vin ni fille vous ne pouvez passer une journée agréable.
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Forcejaune

FJ, une fois à terre, et le debit de paroles de la vieille peau debité, il lui repondit :

Vous savez que vous me faites un peu mal, vieille vache à lait de l'eglise...

FJ sentit les doigts se serrer un peu plus, puis il lacha discretement a Ecat :

A je voie que t'aimes ça ma cochone...mais moi je t'aime pas des masses... tu me donnes la nausée... t'es trop vieille aussi...

FJ sourit devant la mine deconfite d'Ecat... Puis, il hurla à ses gars de venir l'aider. Ecat avait beau serrer de plus en plus, et de part la meme occasion de faire souffrire de plus en plus le genialissime ancien recteur (remplacé par une incapable de Marjo), et se fit rapidement encercler par quatres hommes trapus.
Ils la prirent par les epaules, tout en s'excusant de leur comportement, car, eux etaient croyants contrairement a leur patron. Ils la deposerent presque, delicatement un peu plus loin. L'un deux lui dit :

Veuillez s'il vous plait , ne plus embeter notre patron... on veut etre payer nous.

Puis, ils retournerent voir le boss, l'aidé à se relever. FJ leur dit :

Ah j'ai cru que je ne pourrais plus forniquer de ma vie, avec cette gourdasse... Bon moi je remonte de la carriolle, je veux deux devant l'entrée et deux de l'autre coté. Ne laissé personne monté. Merci

FJ remonta, plié en deux de douleur. Il s'assit devant le noble et s'excusa et lui dit que l'on pouvait commencer à parler.

Ecaterina

La cardinal sourit aux hommes de FJ;

Soyez sans crainte mes enfants vous serez payés, mais chercher dés à présent un nouveau patron..

Elle claqua des doigt et un valet vint vers elle. Elle lui murmura quelque chose à l'oreille puis le valet fila en direction de la cathédrale.
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Elenion

Elenion se baladait dans le coin, Ambroise derrière lui portait des paniers avec la nourritures pour le jour et des réserves pour les jours à venir (saucisson, beurre, œufs, bouteilles d'alcool et confitures principalement). Le jeune baroudeur de la politique Lorraine avait vu plus tôt, lors de son arrivée sur le marché, l'étale de FJ. Lorsqu'il repassa dans la direction opposée pour rentrer chez lui, il s'arrêta et tendis l'oreille aux discussions entre FJ, Pétro, Zahra et Chlo.

Et il réfléchit sur la nature du bien fondé de l'action de FJ... Une réflexion intense.

Alors surgit Ecaterina, pétrie de bonne morale aristotélicienne. Et, alors qu'elle s'escrimait et menaçait FJ, Elenion s'avança et pris la parole.

Votre Éminence du calme! Réfléchissons ensemble à ce que fait FJ. Comme il a été dis, les esclaves servent à décharger leurs maîtres des taches ingrates et fastidieuses, lourdaudes et bateaux. Ainsi le maître, au lieu de de perdre en basses occupations, peut faire autrement mieux de son temps.

Nous voyons donc que l'esclave travail pour le maître, sous condition de peur, il travail même bien, voire mieux qu'un simple travailleur embauché. Ce qui améliore donc les rendements du travail. Meilleur rendement impliquant meilleurs revenus!
Le maître récupère tout ce revenu et en échange nourris son esclave. L'esclave n'aurait pas pu manger s'il n'avait eu de maître et donc un honnête lorrain n'aurait pas pu vendre la dite nourriture.
Par conséquent : les esclaves augment la consommation et donc la vente des lorrains.

Le maître, déchargé de basses besognes, peut s'occuper du plus important : avoir des revenus supérieurs par une activité économique supérieure ou faire de la politique pour le bien commun.
Dans les deux cas l'activité du maître est bénéfique pour la Lorraine, soit il améliore la richesse par son travail soit il aide au développement politique du Duché.

Donc l'esclavagisme c'est bien pour l'économie, au pire ça ne change rien mais induit un mieux politique. Je vois pas où est le problème votre Éminence. Soyez raisonnables et réfléchissez donc au bien qu'apporte FJ par ce commerce! Grâce à lui la Lorraine va aller de l'avant!
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Thors6389

attirée par tous ce remue ménage nous arrivions la patrouille , les loups, et moi
au loin nous avions VUE son excellence ECATARINA,qui paraissait fort agiter entouré de gens plus que suspects et déja fort connue de nos services

votre grace que ce passe il donc ici?

m approchants sur l'estrade je vis ces personnes dont zahra2 ce qui m interpellas
soldat zahra garde as vous au rapport immédiatementdescendez de la

soldats aux armes et interpeller moi tout ce joli monde tous au trou, on feras le tri sur place

troubles as l' ordre public esclavagisme ,insulte er propos outragans envers un représentant du clergé ton compte est bon mon gaillard au cachot

[color=blue]votre grace compte t elle déposer plainte?
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Sthoreal

[A l'état Major de l'ost lorrain]

Sthoreal travaillait d'arrache pied a la comptabilité de l'ost dans son bureau de capitaine. Il en était à son 15ième allez retour de la journée entre la salle du conseil ducal et l'état major. Et plus important, il était d'une humeur massacrante.

Alors 10 plus 12 je retient 2 et je soustrait 25 ... que je multiplie pas 3 et auxquelles je resoustrais 15 ... ce qui me donne - 1500 écus ! Foutre dieu ! Nom d'un curé sans tonsure c'est pas possible !

Il comptait toujours sur son boulier lorsqu'un jeune coursier frappa à la porte.

ENTREZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ !

Messire Sthoreal, une affaire de la plus haute importance requiert votre présence sur le marché de Nancy.

C'est quoi cette affaire ?

Je ne sais pas messire

C'est alors que le boulier traversa la pièce s'écrasant sur le mur à 2 pouce à peine du visage du jeune valet. Ce lancé montrait clairement que Sthoreal manquait d'entrainement.

Mais bougre d'abruti comment peut tu dire que c'est de la plus haute importance si tu ne sais pas ce dont il s'agit.

Le jeune homme fixait les pieds de Sthoreal. Il était terrorisé, sachant que Sthoreal n'hésiterais pas à le décapiter par un simple accès de colère. Il tremblait comme une feuille et marmonnait. Il semblait pleurer sa mère mais Sthoreal n'en était pas sûr. Mais plus grave encore ... il semblait aussi mouiller ses brais.

Mais répond triple buse ... ou tes braies passeront du jaune au rouge sang !

Je ... je ... je ... sais pas messire ... c'est le soldat totenkoptf qui ... qui ... qui a transmit au soldat fritz qui a ... a ... a ... transmit au sergent Laschcoumoune qui ... m'a ... m'a ... maman haaaaaaaaaaaaaa ... qui m'a chargé de vous transmettre ce message sans me … me … me donné de détailles !

Sur ce le jeune coursier traumatisé détala dans les couloirs de la forteresse.

Pfff les jeunes c'est plus ce que c'était.

[Plus tard, sur le marché de Nancy]

Sthoreal se dirigeait vers le marché en compagnie d'un détachement de soldats. Après avoir hurler après 2 sergents, 3 caporaux et une bonne 10aine de 1ères classes avait réussi à savoir de quoi il s'agissait. Et tout ça en moins de 10 minutes s'il vous plait. Quel charisme ce Sthoreal !

On avait expliqué a Sthoreal qu'un marchand d'esclave semait la pagaille et provoquait intrigues et polémiques sur le marché. En bref il compromettait la sécurité ducale.

Je vais le faire coffrer moi ce trouble fête ! Mais que fait la police ? C'est pas possible que ce soit toujours à nous de botter les trains !

Arrivé sur place il aperçu un rassemblement de badaud. IL remarqua aussi que le lieutenant Thor et un autre détachement était déjà sur le coup. Vert de rage Sthoreal songea qu'on l'avait dérangé pour rien puisqu'on s'occupait déjà de l'affaire. Mais puisqu'il était la il allait en profiter pour faire respecter son autorité. Sthoreal s'adressa d'abord à ses hommes

Dispersez moi cette foule !

Puis il s'approcha du détachement de Thor

Lieutenant Thor ! Soldats ! Garde à vous ! Exécution !

Sthoreal s'approcha à hauteur du lieutenant !

Lieutenant c'est quoi cette chianlie ? J'attends des explication !
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Elenion

Elenion vit arriver les soldats... Beaucoup de boucan pour pas grand chose. Surtout... Qu'avait à foutre l'armée ici, encore la Prévôté pourquoi pas mais l'armée. Grand Dieu que les Lorrains étaient globalement une belle bande de crétins militaro-lobotomisés.

Le moment le plus drôle fut l'arrivé de "loups", sans doute des chiens déguisés parce qu'apprivoiser des loups c'est chose fort peu possible, voire irréalisable. Mais bon les petits malins ça a toujours existé.

Deux soldats s'approchèrent d'Elenion sur l'invective du "type aux loups". Elenion leur lança un regard qui en disait long sur son humeur. Cependant l'un d'eux cru bon d'essayer de suivre quand même les ordre et posa une main sur son épaule pour l'interpeler.

Ttttt! Retire ta main de mon précieux mantel, sombre idiot! On t'as pas appris que suivre les ordres stupides peut entrainer de lourdes conséquences sur ta durée de vie?

La voix de Sthoreal se fit entendre.

Ah ! J'entends la mélodie d'un peu plus de finesse... Allez donc me chercher votre Capitaine plutôt que de rester bêtement ici!

Elenion n'était pas du genre à se laisser emmerder par les premières buses venues.
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Bulle

Bulle secoua la tête, dépitée.
Trop d’événements d’un coup. Trop de gens.
La petite gueuse se planqua derrière Pétro.

Oh lala ! C’était qu’il y avait de l’animation !
D’abord la grande dame, qui avait l’air de méchante humeur et qui avait fait mal à m’ssire FJ apparemment.
La crasseuse ne savait pas trop bien comment, mais le marchand de gens était devenu drôlement rouge et il marchait bizarrement.
Puis il y avait eu les soldats. Ils étaient grands, fort et avec des armes en plus.
Ils faisaient peur et ils criaient beaucoup beaucoup, et la Bulle n’aimait pas bien ça.

Cornebistouille !
Elle avait comme une mauvaise impression…
Ça s’annonçait mal, pour son esclave !
Si près du but, c’était bien embêtant…
Soupir…
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Le monde appelle fous ceux qui ne sont pas fous de la folie commune

--Ambroise

Faire le marché... Une occupation agréable pour ce cher Ambroise! Sauf quand le maître était là. Pour sûr! En son absence, Ambroise n'achetait qu'au jour le jour ce qu'il y avait besoin pour ne pas se surcharger et profiter chaque jour d'une balade et de rencontres.
Mais quand Elenion était à Nancy c'était une tout autre chose! Des paniers remplis pour plusieurs jours et plusieurs personnes. Et en plus ce foutu bourgeois ne portait rien et laissait tout à Ambroise!

Aujourd'hui était sans doute pire puisqu'il venait de rentrer et avait vu que le garde manger était presque vide. Ceci avait d'ailleurs valu à Ambroise des remontrances... Mais surtout un regard qui disait : "Ambroise tu va souffrir de faire les courses aujourd'hui!". Le tout agrémenté d'un sourire sadique et mesquin.

Et en effet les courses furent dures! Deux saucissons, deux livres de beurre, douze œufs, 3 pots de confiture, deux litres de liqueur de mirabelle, du fromage, quatre miches de pain, deux bottes de poireau et divers fruits et légumes de saison... Elenion avait fait grâce du tonnelet de bière (10 litres tout de même, pas un tonnelet de taffiole) qu'il demanda à se faire livre à domicile.

C'est donc chargé comme un mulet qu'Ambroise se retrouva empêtré pour la première fois dans les tribulations d'Elenion le trublion.

Espérant retrouver le foyer de son maître une fois les courses fini, il avait retrouver un peu de baume au cœur en cette fin de calvaire dépensier. Manque de chance Elenion s'arrêta devant le stand des esclave qu'ils avaient dépassé plus tôt sans un regard.
Et là grande frayeur! "Le maître a-t-il décidé de me remplacer???? Moi qui suis de si grande qualité et qui en rechigne pas (trop) à la peine! Non se serait injuste! Je ne veux pas retourner à la misère que j'ai connu avant!!!!"

Ambroise pâlit en entendant le discourt de ce jeune briscard d'à peine dix-huit ans faisant l'éloge d'un procédé avilissant pour l'être humain!!! Il baissa la tête en croyant que ses jours presque heureux allaient prendre fin, remplacé par un être venu d'on ne sait où!

D'un coup débarque l'armée! Ça crie, ça donne des ordres et des soldats entoure tout le monde! Ambroise apeuré se rapprocha de son maître et lui murmura :

Dans quoi nous avez vous fourrez? Maître! J'espère que vous ne faites pas ça juste pour vous amuser!!! Ça devient dangereux... Ils ont des épées!

Elenion ne lui prêta même pas attention.

Ecaterina

La Cardinale n'avait pas eu le temps de répondre à Elenion que des soldats, des loups, arrivaient de tous cotés.
Elle regarda tout ce petit monde faire leur manage sans savoir quoi dire....

Mes enfants, mes enfants veuillez vous calmer je vous prie...

Puis se tournant vers le soldat Thor:

Vous pouvez rentrer vos................... loups je vous prie.
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Zahra.2

Zahra ivre de chez ivre, "pomperup" quoi, regardez la scène amusée, elle admirait la poigne de la cardinale, mais également le je m'enfouttisme du commerçant FJ, puis cette inquiètude de se faire remarquer, et également cette frousse de se faire piquer les 4 esclaves qu'elle voulait, tout ce monde... Petro, Ecaterina, puis le nobliaux Von Frayner, elle avait de la concurrence mais c'était la preum's des preum's, elle avait oublié ses mains et ses pieds liés.. toujours encapuchonnée, elle leve la tête lorqu'elle entend la voix d'Elenion, defendeur des esclavagistes...

Elle suit un peu le fil de la conversation, .... lorsque tout à coup elle entend ce qui lui semble être toute une cavalerie, puis une voix grave, heu militaire...qui la fait sursauter.. elle essait de se lever n mais impossible, trop bourrée, puis ces voix, des beuglements pour elle... elle a oublié toutes ses fonctions, soldate, conseillère ducale et tout autre chose...même sa foy...

Citation:

soldat zahra garde à vous au rapport immédiatement descendez de la

Gné?
*hips* soldat*hips*bluuuuuuuuuuuuuuuurp, gné papotib*hips* gné veut pas travailler*hips*bluuuuuuuuuurp*hips* oulaaaaaa du calme siouplé!!! siouplé*hips*

les 4 esclaves *hips* à ma droite*hips* sont à moi*hips*

Elle essait de récuperer son parchemin à terre, le ramasse avec ses deux mains et le brandit ... regardant naïvement et un peu innocement la foule qui s'était agrandie... la peur s'était un peu évanoui, laissant place à un coup de fatigue, et une envie de roupiller, puis une envie d'être secourue de cette situation..

Je suis en train*hips* d'acheter quelques *hips*produits éxotiques, je veux les sauver de la misère*hips*Sieur ForceJaune s'est montré*hips* courtois et professionnel*hips* regardez voila mon contrat de vente*hips* en ce qui concerne les menottes et le boulet*hips* c'est juste...un*hips* je donne*hips un coup de main, je fais un peu de publicité*hips* pour*hips* son commerce interessant!*hips* je vous jure*hips* mon lieutenant*hips * je ne suis pas en service, je suis en repos*hips* puis, ce stand n'a rien d'illegale*hips* regardez pour preuve il y a sire Elenion, Dame Petronile, puis le nobliaux ... puis moua..*hips*

Zahra voulait defendre ce commerce, peut être que le FJ lui fera une bonne remise... elle a acceptait d'avoir les pieds et les mains liés, puis là ...tout ce monde...

Elle regarde la cardinale et juge

mon Eminence*hips* je vous jure* il y a rien de mal *hips* le dieu et ses saints sont temoins*hips* ...

Zahra était maintenant encapuchonnée mais decouverte!
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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!

Chlodwig_von_frayner

Il sortit une autre fiole de sous son manteau qu’il se passa rapidement sous le nez. La dose étant peu forte, il n’y eut pas de grande claque derrière le crâne, juste un sentiment de plénitude… il planait à moitié. Sans son fichus mal de crâne, il pourrait mieux réfléchir à la transaction. Il s’assit à la table, s’apprêtant à recevoir le contrat que FJ allait lui proposer pour l’acquisition de ses esclaves. Il salivait déjà à l’avance des âpres négociations qui allaient suivre. Soudain, une baronne hors d’elle surgit dans la roulotte et traîna le marchand en dehors. Il failli saluer la force peu commune de la vieille décrépie qui parvenait à traîner un homme en pleine force de l’âge et qui avait bourlingué un peu partout. Surement un secret transmis de mère en fille… rien de très aristotélicien là-dessous à priori…

S’ensuivit un flot de parole qu’il ne comprit pas… Trop loin, ou dit trop vite… ou trop bas. A dire vrai il s’en fichait, il s’impatientait. Il avait hâte de signer le contrat et ainsi de pouvoir profiter pleinement de ses esclaves le plus tôt possible. Il avait de très bonnes idées quand à l’utilisation qu’il pourrait en faire. Il se prit à imaginer alors quelques scènes… se souvenant du visage des filles qu’il allait acheter. Oui… de très bons achats, si la baronne voulait bien lâcher FJ pour lui permettre de conclure toutefois. Il finit par rentrer d’ailleurs, à moitié plié en deux. Chlo haussa les sourcils, se demandant ce que la cardinale avait bien pu lui faire au bas ventre. Les rares paroles qu’il avait capté l’avaient un peu choqué venant d’une ecclésiastiques. Il aurait juré qu’elle avait essayé de violer le pauvre marchand d’esclaves. Ahurissant… Comme quoi la notion de morale était fluctuante chez elle…

Bon… j’espère que cette fois nous serons tranquilles.

Il se pencha vers lui, baissant d’un ton malgré leur isolement.

J’ai quelques petits arrangements à vous proposer… de l’argent déjà. J’en ai à ne plus savoir quoi en faire. Et puis… je peux vous garantir une protection sur mes terres, une cache pour vos divers trafics… en échange d’une très faible commission bien sur, vous n’imaginez même pas les risques que je prends. Et puis… j’ai de nombreux appuis un peu partout, en France notamment… Pour contourner les embargos ça peut être utile…

Il ne finit pas sa phrase, un gueulard dehors venait d’arriver. Un soldat visiblement au ton de voix qu’il avait employé. Toute la Lorraine avait décidé de se retrouver sur cette place de marché ou quoi ? Excédé, il se leva et ouvrit la porte et contempla le spectacle les bras ballants. Une escouade de soldats entourés de chiots tentaient d’arrêter les personnes présentes… enfin plus ou moins… Car sur ces entrefaites, croyez le ou non, le capitaine Sthoreal arriva avec encore plus de soldats et brailla quelque ordres supplémentaires. Par la catin d’Aristote, se passait quoi dans ce bled ? Ne sachant que faire, il s’assit sur les marches, sa garde se trouvait à côté du chariot, les cinq soldats commandés par leur chef Wiegfried, le gros germain, n’attendant qu’un signe de lui pour mettre leur vie dans la balance. Anciens mercenaires, vétérans de nombreuses batailles, ils ne mettraient pas longtemps à disperser ces soldats d’opérette qui n’avait jamais vu couler le sang de leur vie sauf quand ils se coupaient avec leurs armes.

Et ça y était son mal de crâne revenait… l’opium n’avait pas suffit. Il respira de nouveau sa fiole, e prenant soin de rester à distance raisonnable et, l’esprit enfin clair, s’adressa à Stho pour lui expliquer ce qu’il s’était passé.

Rien de grave capitaine, j’étais tranquillement en train de faire mon marché lorsque la baronne de Chamblay est venu troubler l’ordre public, en disant que ce qui se faisait ici n’était pas très aristotélicien… Limite elle nous tapait un scandale ! Entre nous, je suis sur que c’est faux, elle n’a sorti aucun argument… Comme quoi elle arrange la morale pour que ça serve ses intérêts. Je l’ai même vue en train d’essayer de violer cet honnête marchand que voici. Croyez moi, elle a perdu la boule, il faut la faire enfermer !

Il respira une nouvelle fois le goulot de sa fiole, de façon à être totalement stone. Grosse claque et gros brouillard… Il préféra rester assis, les nausées commençant à arriver.
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Thors6389

bonsoir capitaine ,qui c est permis de vous déranger ,nous pouvions gérer cet petite affaire de trouble as l'ordre public,mais puisq2UE votre détachement ETS LA

au pieds les loups!

allez les gars embarquez moi tout ce beau monde on trieras au poste
chacun pourras nous donner ses explications sur cet affaire pas trés clair

soldate zahra2 suivez le sergent au poste vous etes aux arrets vous expliquerez avec le capitaine demain en attendant au poste pour la nuit pour désaouler
oubliez pas votre parchemin

votre grace souhaite elle éclairer le capitaine sur cet affaire ?
ces messieurs de nobles Lignées souhaitent ils s exprimer eux aussi?
quels sont vos ordres capitaine pour ces messieurs?

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Ecaterina

Entendant la tirade du bron, Ecaterina intervint:

Tout d'abord ce n'est pas la baronne qui vient râler mais bien la Cardinal. Je vous demanderai donc un peu plus de respect lorsque vous parlez de moi.....vous devriez comprendre ça vous qui vous considéré comme une personne aristotélicienne.
Ensuite concernant le fait que j'arrange la morale selon mes souhaits c'est ridicule, l'esclavage est illégal et moralement répréhensible, c'est d'ailleurs pour cela que la grille de salaire existe, pour empécher les gens de se faire exploiter.
D'un point de vue religieux, il est dit dans le Livre sur les péchés:

Citation:

Alors, l’homme et la femme se firent orgueilleux. Le fort se mit à mépriser le faible, qui ne pouvait pas se nourrir autant qu’il le souhaitait. Comme la Créature Sans Nom, ils pensaient maintenant que le rôle des forts était de dominer les faibles. ”

Or qu'est ce que l'esclavage si ce n'est la domination d'une personne sur une autre, vu que en l'occurrence l'esclave n'est pas payé pour le travail qu'il fait.
Je peux aussi vous citer ceci:

Citation:

DE L'AMITIE ARISTOTELICIENNE
Chapitre Premier
1) L'amitié Aristotélicienne, selon les principes d’Aristote établis au cours du repas avec Polyphilos, ne peut être véritable que si les membres de cette amitié sont égaux l’un envers l’autre.

Vous citez le passage sur l'esclavage mais les personne vendues sur cet echoppe ont-elles conscience de leur nature d'homme?

Enfin vous dite que le principal est de respecter l'ordre établit, or il me semble comme dit plus haut que la Lorraine condamne l'esclavagisme, donc en achetant des esclaves vous aller contre l'ordre établit lorrain.
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Elenion

Elenion braqua son regard sur le soldat qui parlait.

Oui j'ai à dire que le premier soldat à la mort moi le nœud [PNJ ou non] qui portera la main sur moi devra en payer le prix. Donc tes menaces de détentions tu te les carre où je pense et tu laisse ton Capitaine bosser. Lui au moins il est intelligent!
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Zahra.2

Zahra était un peu hilare, ensore sous le fourire du spectacle, puis alors son ivresse qui ne l'arrangeait pas, et oui elle a l'alcool bon! C'est qu'elle n'en peut plus de rire, lorsqu'elle entend les ordres du lieutenant, celle-ci essait d'analyser le contenu, mais bon elle est australopitheque c'est à dire le niveau d'intelligence en negatif exemple moins 255 oui oui ça existe, plus aucun bonus, oui oui la mirabelle c'est bon mais ça a tendance à la mettre chaos, elle a toujours les pieds et mains liés mais en apparence, le lieutenant Thors s'en balance de son état d'ivresse.... alors la saoulotte, n'a plus que les yeux pour pleurer de rire et d'incomprehension... ça voulait dire que ce contrat n'avait plus de valeur..elle baisse sa tête et essait de ramasser son parchemin, tout est flou, sa vison troublée, puis incapable de prononcer la moindre chose sencée...

Citation:

soldatezzzzzzzzzzzzzzz zahra2bzzzzzzzzzzzzzz suivez bzzzzzzzzzzzzzzle sergent au poste vous etes aux arrets vous expliquerez avec le capitaine demain bzzzzzzzzzzzzzzen attendantbzzzzzzzzzzzzzz au poste pour la nuitbzzzzzzzzzzzzzz pour désaouler
oubliez pas votre parchemin bzzzzzzzzzzzzzz

Elle n'était pas en service, mais peut-être qu'un soldat n'avait pas le droit de faire du shoping, oui oui pour Zahra rien de toute cette histoire lui paraissait immorale? Elle regarde la cardinale cherchant à comprendre : mais où qu'il est le mal?

*hips*besoin d'un coup de main siouplé*hips*, quelqu'un peu m'aider à me relever*hips* j'ai heu*hips* une envie pressante*hips* on peut me detacher*hips* Sieur Forcejaune ne fait rien de mal*hips* il commerce c'est tout!*hips* mon lieutenant*hips* vous pouvez me donner un coup de main siouplé?*hips* pis sieur Elenion il a bien raison, il y a pas de mal dans le commerce...tout est bon dans les écus...*hips*

La phrase culte de la nana bourrée :

*bluuuuuuuuuuuuurp*gné papotib*oulaaaaaaa du calme*hips* tout doux tout doux*hips* n'veux pas travailler moua*hips*

Elle regarde son eminence sa grandissime cardinale "adorée", Zahra était fan de sa cardinale.. elle lui sourit et prend un air angélique, enfin bourrée .. un peu pathétique la zahra...elle avait entendu le discours , sûre et certaine que la juge faisait une messe en plein air...elle fait une courbette ...la prosternation devant la noble dame...suivi de ce qui peut sembler être la demande de benediction...

Mon eminence*hips*merci pour la messe*hips* très bon sermon*hips*amen*hips*, si vous voulez je vous laisserais emprunter deux de mes esclaves, enfin de mes employés..*hips*je leur inculquerais les valeur aristoteliciennes je vous jure*hips*!
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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!

Ecaterina

Ecaterina s'approcha de Zahra et tenta de la remettre sur pieds. Tant bien que mal elle la maintient tout en disant:

Il semble ma fille qu'il serait fort souhaitable de vous retirer en votre logis afin de....décuver.
Soyez assurée que je vous ferez parvenir un de mes seaux afin que vous puissiez m'imiter allègrement. De plus un seau sera mieux qu'un sac ^^

Elle sourit à Zahra et interpella un soldat pour qu'il la porte.
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Ptronille25

Effarée, Pétronille regardait la foule débarquer et envahir progressivement la place où le marchand s'était installé. Il y avait tant de monde qu'elle ne voyait plus ni zahra, ni le jeune garçon qu'elle voulait tirer de là. Deux troupes de soldats lui cachaient l'estrade, sans compter les mercenaires du marchand ni le personnel du noble qui entouraient la roulotte.

Bulle, visiblement paniquée (mais on le serait à moins), s'était réfugiée derrière elle.
Pétronille lui aurait bien pris la main pour la rassurer mais c'était la pire des choses à faire : Bulle ne supportait pas le moindre contact physique. Il y avait une chance sur deux pour que la petite gueuse pique une crise, et ça n'était franchement pas le moment !
En présence de la Cardinale, c'était un coup à voir sa Bullette tomber dans les mains de l'Inquisition, taxée de possession par les démons.

Déjà l'avant-veille en taverne, il avait fallut convaincre Messire Selee qu'il n'en était rien.
Bulle était encore une fois tombée de son tabouret, malgré les multiples avertissements de Pétronille qui lui répétait inlassablement qu'il est dangereux de se balancer, et elle s'était cognée la tête en se relevant. Le sus-dict "magnifique" avait alors oublié son arrogance (à moins que ça ne soit pour éblouir la gent féminine) pour aider la gueuse à se relever, ce qui avait immanquablement dégénéré en hurlements de la part de la simple d'esprit.
Il lui avait alors fallu user de beaucoup de charme et de pédagogie pour le convaincre que la gueuse était une inoffensive aristotélicienne et qu'il n'était nul besoin de la dénoncer au clergé.

Bref, pas la peine de remettre ça de sitôt. Et elle se voyait mal tenter d'enjôler des soudards. Quant à faire appel à leur coeur ou à leur intelligence ....

Prenant la mesure du danger, elle se tourna vers Bulle pour lui montrer un porte cochère située à peine plus loin, dans un rue adjacente.
Viens ma Bullette. Trop de monde pour nous. Allons sous le porche là-bas nous mettre à l'abri, attendre que ça se calme et voir venir. De toute façon, le marchand n'a pas entendu ma proposition dans tout ce brouhaha.
Suis moi !

Pétronille, Bulle à sa suite, entama une discrète manoeuvre de retraite pour aller se mettre à l'abri d'une rafle.
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Pétronille veuve Renard
Bougmestre de Nancy
ex-Tribun de Verneuil en Alençon

"Le Whisky Selee, le Whisky qu'il vous réjouit!"

Chlodwig_von_frayner

Le bien être l’envahissait et sa gorge se desséchait… Quel calme, quelle volupté… les êtres bougeaient au ralentit et les sons lui arrivaient déformés. Oh… si peu encore vu que sa dose avait été faible, mais il reconnaissait bien là le lent engourdissement qui laissait présager la félicité. Un large sourire béat envahissait ses lèvres tandis que ses yeux, désormais rougis, laissaient apercevoir des pupilles dilatées. Il contemplait la scène avec une joie qui faisait chaud dans les cœurs… Et puis… la baronne lui répondit… il l’écouta la bouche ouverte, l’air un peu ahuris, voir complètement en fait. Il réprima l’envie de respirer une nouvelle fois sa fiole mais s’en dissuada.

La cardinale, la baronne, au final c’est comme votre morale, c’est comme ça vous arrange. Quoi que non en fait, la cardinale n’a jamais existé… C’est juste la baronne qui utilise tous les moyens qu’elle a pour avoir du pouvoir, le joli masque pourpre ne servant que pour vous donner, lorsque ça vous met en valeur, ou pour mieux appuyer vos propos, une certaine dose de respectabilité. Dans le cas contraire, vous vous attacheriez bien plus à vos fonctions religieuses plutôt que de cumuler le plus de postes possible à tout bout de champ, quitte à en négliger certains.

Il respira à nouveau rapidement la fiole qu’il tenait à la main. Hum… faire attention quand même là… bientôt il ne pourrait plus de lever, déjà c’était limite.

Votre notion de la justice, comme de la morale d’ailleurs, est bien fluctuante et vous la détournez quand ça vous arrange. Comme vous ne le savez peut être pas, notre codex interdit juste l’emploi de personne en dessous du salaire minimum. En tant que juge, vous devriez quand même vous renseigner ça peut aider pour les verdicts. Je ne vois pas où est le problème à acheter des esclaves. Je les traite bien, moi les miens. Ils sont payés en nourriture, en vêtement, et même en nature, si vous voyez qu’est ce que j’veux dire. Ben oui c’est des femmes, faut bien en profiter. Je leur ferais même l’honneur des les chaser sur mes propres manses ! Des non libres certes, mais attention quel honneur !

Tant que vous ne m’aurez pas vu en train de les employer à des salaires ridicules, vous ne pouvez rien me reprocher.

Cette fois la tête lui tournait franchement il parlait d’un air beaucoup plus détaché, presque absent. Les pensées cohérentes avaient du mal à s’enchaîner… qu’est ce qu’il était bien là sur ces marches… plus d’envies plus de douleur, plus rien.

De toute façon, vous en venez même à interpréter le droit canon à votre avantage, sans prendre conscience du sens des mots et du texte… ben oui d’ordinaire personne y connaît rien et n’ose vous contredire. C’est mal de profiter de l’ignorance. Déjà vous vous contredisez… vous dites que la domination c’est mal, mais vous défendez l’ordre établit… or l’ordre établit dans notre société est fondé sur la domination ! L’empereur, le duc, les nobles, le conseil, les maires, les soldats, ces gens là ne sont que les instruments de notre société pyramidale. Mais… la domination, vous êtes d’accord en fait, quand c’est l’Eglise qui est en haut, et plus particulièrement vous, car y a que ça qui vous intéresse. Ah ! Morale à deux vitesses quand tu nous tiens !

Mais pour en revenir à votre texte, ce n’est pas la domination qu’il réprime, mais bien le sentiment que le fort est fait pour dominer le faible, la pensée systématique, et quand vous vous intéressez à la suite, il réprime aussi l’envie du faible de renverser le fort. Il condamne aussi le fait d’abuser de ses inférieurs.

Quand à votre texte sur le fameux banquet… c’est à croire que vous ne connaissez pas le dogme ou que vous ne l’avez pas lu car vous oubliez toute l’explication d’Aristote qui n’a rien à voir avec ce que vous me chantez là.

Vous êtes beaucoup trop dans la pensée unique et catégorique, vous oubliez que se ne sont pas les choses en elles même qui sont mauvaises mais la façon dont-elles sont faites et le but caché derrière tout cela. Vous ne faites qu’utiliser des textes pour manipuler la morale et les esprits des gens… c’mal… très mal… enfin pas tant que ça mais ce qui est mal c’est l’hypocrisie derrière laquelle vous vous cachez… A vomir comme d’hab… Mais vous ne m’aurez pas avec vos tours de passe passe habituels.

Il fut alors pris d’une nausée à ce mot, non pas à cause de l’hypocrisie hein, mais à cause des effets de l’opium. Il en profita pour prendre une longue bouffée de son suc de pavot… Très longue… Les battements de son cœur ralentirent un peu plus… brouillard… els choses bougeaient faisant tanguer son estomac et sa vision… les contours se flouaient Il releva la tête vers Ecaterina et quiconque connaissait son état aurait vu ses yeux de déchiré. La voix qui s’éleva fut monocorde.

Mais… j’vous r’connaît en fait… vous êtes la vieille catin qui fait le trottoir à Nancy. Ah mais j’comprend pourquoi vous êtes venue. FJ a oublié de vous payer et vous lui réclamez vos écus. Allez donc voir Wiegfried, il vous en donner 4... J’espère que vous avez pris vot’ plaisir au moins parce que vous en aurez pas plus, vous valez pas mieux.

Et pis lâchez ma future acquisition ! Vous allez l’abîmer !
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Ecaterina

La Cardinal regarda l'homme puis d'un ton las ajouta:

Vous ne faites que détourner mes propos Baron, mais bon si cela vous amuse......
Je sais où se place ma morale et quoi que vous en pensez, j'estime être juste.

Cependant que vous ne partagiez pas mon avis ne vous donne nul droit de m'insulter de la sorte, l'alcool ou la drogue n'excusent pas tout.
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Bulle

Et ça criait, et ça criait… Terrible !
En plus, la crasseuse ne comprenait pas bien la raison de toute cette agitation.
Il y avait des gens contents et des gens pas contents.
Le problème, c’est que les gens pas contents c’était la grande dame qui avait l’air très importante et les soldats qui avaient des armes et des gros chiens.
Zahra s’était écroulée dans les bras de la grande dame et était toute verte. Marrant, ça.

Mais Bulle sentait la panique monter, et elle gémit.
Trop de gens, trop de cris, trop de mouvement.
Les mains plaquées sur les oreilles, elle vit Pétro lui parler et lui faire signe.
Elle resta un instant coite, la tête mi-penchée sur le côté, ne comprenant pas.
Blabla, mouvement des mains en direction de plus loin, blabla…
Koikelkoz ?

Crouic… Crouic…

Ah !
Faut aller aut’part !
Elle sourit à la veuve Renard, reconnaissante de cette initiative, et la suivit.

Pfiou ! Terrible toute c’t’agitation ! Souffla Bulle en s’adossant au mur derrière elle.

Elle continua néanmoins à suivre les événements du regard…
Snif, le petit esclave…
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Le monde appelle fous ceux qui ne sont pas fous de la folie commune

Forcejaune

FJ voyait toute cette agitation, visuelle et sonire d'un tres mauvais oeil. Il commença à prendre peur. Il parla discretement à l'un de ces manoeuvre.

Ce dernier reunit les autres manoeuvres pour leur parler. Dans tout ce brouhaha, ils passaient presqu'inaperçu. Surement les consignes du patron furent transmisent, car personne n'entendi ce qu'ils se disaient. Puis, chacun alla vaquer à ses occupation, comme si rien 'etait.
L'un alla voir rapidement Zahra, lui glissa à l'oreille qu'elle devra se rendre à la demeure de FJ quand toute cette affaire se sera un peu tassé, pour parler du contrat. Qu'il ramassa d'ailleurs pour le remettre dans la roulotte du patron.
Un autre alla dire la meme chose à Bulle et a la femme d'eglise qui l'accompagnait, afin de pouvoir reparler de l'affaire en cours, et que le jeune restait en priorité pour elles.
Les autres allerent vers les esclaves pour leur repeter certaines consignes...

De son coté, FJ commençait à prendre les chose en mains pour sauver ses arrieres. Il prit Chlo par les epaules et lui dit :

Je t'emprie, calme toi. Je peux te demander une faveur...? Est ce que tu peux m'offrir la protection sur tes terres comme une avance de payement. Et on finira de discuter quand on sera dans ta demeure... je pense que cela sera plus calme...

Zahra.2

Tout allait si vite pour la soulotte, toutes ces conversations, toute cette foule, puis son envie de rester blanche clean devant la cardinale, puis le capitaine et les autres... puis le marchand, car après tout elle avait signé son contrat, elle les voulait ses 4 esclaves quitte à faire credit, puis ne jamais passer dans la case "erudit" de Lorraine. Elle observe un homme qui s'approche d'elle, lui murmurant quelques mots, c'est un employé de Forcejaune qui vient lui dire qu'elle devra se rendre chez lui, afin de parler du contrat, elle regarde bêtement le type prendre ce qui était il y a peu son contrat...et se retiré, puis la cardinale qui avait entendu ses remerciements pour le sermon fait en place publique, qui lui donner un coup de main pour tenir droite... La soulotte se laisse porter par le garde, puis essait de suivre le fil de la conversation, qui semblait être plus une dispute entre nobliaux... le jeune nobliaux semblait aussi un peu ivre, elle souriait bêtement, toujours euphorique mais legerement secouée par toutes les scènes... puis elle se laissa conduire loin de la foule, regardant au loin le commerçant et l'etale... esperant avoir ses 4 esclaves un jour...

Citation:

Il semble ma fille qu'il serait fort souhaitable de vous retirer en votre logis afin de....décuver.
Soyez assurée que je vous ferez parvenir un de mes seaux afin que vous puissiez m'imiter allègrement. De plus un seau sera mieux qu'un sac ^^

un seau*hips*oui merci mon eminence*hips* me faut juste une bonne raison pour vomir!*hips* on se revoit au conseil autour d'un bon seau*hips* dites mon eminence, ne faites pas attention*hips* on a un peu forcé sur le lever de coude*hips* c'est tout*-hips*

*hips*
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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!

Sthoreal

Sthoreal faisait face au lieutenant Thor et écoutait son explication. Il l'arrêta net.

Lieutenant ... je vous ai demandé des explications foutre dieux ! Puis je savoir sous les ordres de qui vous agissez ? Vous êtes hors de votre zone d'action. Qui donc vous a autorisé à débarquer autant d'hommes à Nancy ? Et c'est quoi tout ces clébards enragés autour de vous ?

Il s'arreta une minute et regarda ses hommes disperser la foule. Il fit alors apparaitre devant lui une grande estrade et des visages connus. Sur l'estrade Zahra, qui visiblement ne tenait plus debout toute seule. Devant le sieur Elenion et son Eminance.

Qui dit coup tordu dit ecaterina ... quand ca sent la bouse elle est jamais très loin .

Vous dites mon capitaine ?

Hein ? Heu rien je réfléchissais ...

Puis Stho posa sa main devant ses yeux à la manière d'un trappeur pour voir un peu plus loin. En faite ce genre de geste ne sert à rien mais ca fait vachement plus classe.

Il aperçu alors le baronnet Chlodwig et FJ. Sthoreal afficha un grand sourire et commença à Rigoler.

Haaaaaa ben ca y est je comprends tout ! Enfin je crois que je comprends ! Tout de même étrange que Forcejaune ne m'ait as convié à une de ses excentricités.

Lorsqu'il le vit, Chlodwig se dirigea vers Sthoreal et lui adressa la parole. Pendant qu'il parlait Sthoreal regarda au loin, ne l'écoutant même pas. Peut être pouvait il éclairer Stho sur la situation, mais c'était une question de principes. Puis il finit par répondre d'un ton autoritaire.

Va-t’en ! Je t'exècre ! Je ne m'abaisserais pas à dialoguer avec un Von Frayner, retourne te cacher dans les jupons de ton oncle avant que ma lame ne soit attirée par ton jabot espèce de gallinacé ! Ou alors incline toi devant ma supériorité car saches que tu t'adresses à un membre de la famille régnante de Lorraine.

Le snobant royalement, Sthoreal aurait bien interrogé FJ sur ce qui se passait, mais il se doutait qu'il allait l'envoyer paitre ! Il héla alors le sieur Elenion.

Sieur Elenion s'il vous plait ! Pourriez-vous m'expliquer ce qui se passe ici ? J'ai la désagréable impression qu'on m'a déranger pour rien ! Ok il y a un certain trouble à l'ordre publique, mais moi on m'a parlé de bagarre générale et de maréchaussée débordée ! Puisque vous semblez être ici la seule personne douée d'une intelligence relatif, pourriez vous éclairer ma lanterne
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--Monsieur_seguin

Quatrine était devenu folle tout d'un coup. Approchant de la place de Nancy, aux abords d'une estrade, elle avait commencé a montrer des signes d'anxiété.

En observant la scène de loin, Monsieur Seguin aperçut des loups. Ah, voila la raison de l'agitation de la chèvre.

Pensant qu'il avait compris, il s'éloigna de la place avec la chèvre, Enfin, il essaya... Quatrine au lieu de fuir, resta immobile puis avança vers les loups.

Boudiou Quatline, ne vas pal la. Tu vellons bien qu'il y a des loups.

Il tirait sur la corde jusqu'à en etouffer le pauvre animal, mais celui ci semblait s'en moquer.

Monsieur Seguin laissa donc la chèvre avancer pour ne pas provoquer la mort de l'animal, et l'accompagna jusqu'aux bas des marches en bas de l'estrade puis grimpa dessus avec la chèvre. La chèvre se rua sur le cardinal et se colla à ses pieds, en la regardant comme si elle avait retrouvé sa mère. Ne voila t il pas que la chèvre colle son museau sur les jambes de la cardinal et se frotte contre elle.

Monsieur Seguin rouge de honte lâcha la corde et s'éloigna de la chèvre. tout en gardant un œil sur la scène qu'il trouvait cependant touchante.

Quatrine se sent si bien dans les jupes du cardinal, qu'elle se met à émettre des petits pets malodorants dans une pétarade sonore.

--Garde_episcopal_de_treves

Un garde épiscopal fut alerté et vint prendre place entre Son Eminence Ecaterina et le Baron Von Frayner.
Sans sourciller, il toisa le Sieur. Même si il méritait - peut-être - le respect eu égard à son rang de noblesse, ses paroles étaient intolérables envers un prélat de l'Eglise Aristotélicienne.

En bon Garde Episcopal et membre des Saintes Armées, il ne le considérait pas comme un ennemi, mais un troublion et n'éprouvait aucune haine envers lui.

Il suffit, maintenant, Messire Baron,

Ravalez votre fiel et crachez-le ailleurs que sur Son Eminence.
Si il vous plait de me l'envoyer à la figure, faites-le si cela peut apaiser votre ... frustration ... ?

Vous qui semblez si "érudit" du Droit Canon et autres textes sacrés, vous devriez peut-être parfaire vos connaissances.
Laissez-moi vous rappeler que le concordat entre la Lorraine et l'Eglise Aristotélicienne stipule qu'une insulte envers un religieux est un grave délit.

Imprimez donc ceci en lettres de feu dans votre esprit :

Citation:

§6. Toute insulte à l'Eglise ou à un religieux ainsi que la dégradation de lieu de culte Aristotélicien est passible d'un bannissement du duché de Lorraine pour une période choisit par le juge et d’une amende de cinquante pourcent de la richesse de la personne.

Alors, maintenant et pour votre bien, je vous invite à ne plus parler de la sorte et je vous conjurer de présenter vos excuses à Son Eminence.

Le garde, à l'instar de ce qu'il devait être, tentait d'abord une approche plus ou moins correcte avant d'employer la force.

Elenion

Elenion fut hélé par Sthoreal et arriva tranquillement, Ambroise collé aux basques portant toujours ses paniers de courses.

Alors en fait, n'étant pas là du tout début, puisque je faisait mes courses avec mon petit Ambroise -le gars qui se planque derrière moi- j'ai juste pu assister à quelques menues prises de becs juste avant l'arrivé du "type aux chiens bizarres".

Or donc et cependant... FJ fait un brun de commerce... Pas un commerce très licite si on regarde bien la constitution, mais chut! Pour le moment il n'a encore rien fait, donc c'est pas réprimendable. Rajouta-t-il plus bas. Je pense que les gens se sont emportés un peu... Vous connaissez comme moi ce bougre de Forcejaune... Et disons qu'il a fait des choses, que la bonne morale me défend de décrire, à son Éminence. Et Chlodwig n'est pas dans son état normal... Il fait des trucs étranges après avoir reniflé son flacon, résultat il l'a insulté.
Zahra... Elle a l'air dans un sacré pétrin, je pense que FJ à dû la rouler... Quand à ma relativement intelligente personne... bah j'em...nuie le monde comme d'habitude, mais juste parce que j'ai vu son Éminence monter sur ses grands chevaux, quand ils parlaient encore. Mais rien d'illégale, juste un petit discourt argumentatif et complètement amoral sur l'esclavagisme et ses bienfaits économico-politiques.

Bon après je ne pense pas que tu sois venu pour rien au non! Parce que pour que la maréchaussée soit débordée... Bah faudrait déjà qu'elle soit là! Eclate de rire. Et c'est pas vraiment le cas.

Mais bon, toute cette petite comédie étant fini et m'étant bien amusé, je pense rentrer chez moi, sinon Ambroise va faire une syncope. Puis-je disposer?
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Forcejaune

FJ ne sachant pas pour combien de temps tout c'est embetement allait durer, decida de sortir de sa besasse, soigneusement rangé dans la roullotte, la nourriture qui y etait.
De ce fait, il commença à se faire un delicieux casse croute avec un peu de charcuterien fromage et une bone grosse miche (de pain, mais pas une miche d'Ecat...ça serait imangeable).

Il vit au loin Stho... Decidement, quand celui la n'est pas dans l'eglise, il est dans l'armée...diantre...n'aurait il pas de femme... ne les aimerait il donc pas... pauvre homme. FJ le pleignait. Il trouvait neanmoins bizarre qu'il ne soit pas venu lui demander quoique se soit.

Apres tout, cette affaire allait pet etre bien se finir, se mit à penser l'armurier. Sur ce, il fit s'assoir son noble à ces cotés, et lui mit dans les mains un morceau de pain et de fromage et il le conviat à casser la croute... et lui glssa tres discretement qu'il aimerait casser aussi cette Ecat...et la faire manger par les gardes episcopal.

Ecaterina

Voyant que la garde Episcopale était sur place, la Cardinale s'approcha de Force jaune et prit la parole:

Il semble que même les nobles aristotéliciens vous soutiennent mon cher. Et bien puisque la Lorraine est ainsi je vous laisse à vos ventes.
Cependant, si vous voyez des lances et des torches ne soyez pas trop surpris, il se pourrait fortement qu'ils viennent pour vous.

Elle salua la GE puis parti d'un pas décidé
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--Garde_episcopal_de_treves

Le Garde resta impassible mais prêt à agir lorsque la Cardinale prit la parole.

Lorsqu'elle sortit, il lui emboita le pas.

Forcejaune

FJ en voyant Ecat venir lui parler... il sentait qu'une situation comique allait se presenter... Il ne fut pas deçu, quand elle lui dit son intention de partir. A peine avait elle eue le temps de se retourner qu'il sauta en l'air de joie tout en hurlant son bonheur.
Il alla meme prendre une trompette qui trainait dans sa roulotte et souffla dedans comme un dératé. A s'en rendre sourd comme un pot de chambre papale...

Il allait enfin pouvoir reprendre ses affaires, comme au bon vieux temps d'il n'ya pas si longtemps que ça...quelques dizaines de minutes...que le temps pouvait paraitre long avec une plaie telle qu'Ecat. Mais il se frottait les mains d'avance de cette nouvelle liberté...

Bulle

Il y avait eu encore un peu d’agitation, quelques discussions… et une chèvre.
Un vilain très costaud était venu dire à Pétro et à elle-même que le marché tenait toujours pour le petit garçon, ce dont Bulle avait été très trèèèès heureuse.
Puis la grande dame était partie.
Et tout d’un coup…

Tutututuuuuut !!!

La crasseuse sursauta, et mit un instant à reprendre ses esprits. Et l’usage de ses tympans.
Elle tira sur la manche de la veuve Renard

Pétro, Pétro ! Ça veut dire qu’on peut aller chercher l’es… le mart… le pauvre p’tit garçon, ça ? S’enquit la petite simple d’esprit.
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Le monde appelle fous ceux qui ne sont pas fous de la folie commune

--Assassin_religieux

Cet homme avait reçu une bonne bourse d'écus pour éliminer une personne.

Passant dans la foule il poussait les personnes pour ce rapprocher de ca cible qui était monté sur une estrade.Voyant qu'elle était entouré de plusieurs garde il chercha un endroit d'où il pourrait les éliminer.

Il monta au dessus d'une tour et regarda la foule,il prit son arbalète et visa les deux gardes.

Il décocha un carreau dans la poitrine du premier garde.
La foule commença a paniquer,puis tira sur le deuxième garde qui fut toucher au bras.

Il ce cacha derrière la cloche qui était en haut de la tour.Et attendit que la foule s'éparpille pour pouvoir touchez ca cible.

Des autres gardes l'ont aperçu,l'homme descend et est poursuivit par 3 garde du vendeur.

Forcejaune

Alors qu'FJ faisait le fanfaron en fanfaronnant comme un fanfaron, il vit un mouvement de foule soudain. Il ne comprit pas du tout ce qu'il se passait. Il ne s'etait pas deshabillé ou fait une grimace si laide que ça...
Puis, l'un des manoeuvres, bléssé au bras le plaqua au sol et se mit entre lui et la tour pour le proteger des fleches qui fusaient.
On vit un homme sortir de la tour poursuivit par trois hommes. Ce premier ne tardit pas à etre ratrappé par les trois lascars. Ceux-ci le desarmerent, puis l'assomerent et l'amenerent jusqu'a la roulotte du patron apres lui avoir liés mains et chevilles.

Entre temps, FJ avait commncé a prodiguer les premiers soins aux presonnes bléssés. Comme quoi, les heures passées à l'université à etudier la medecine etaient enfin benefiques, et une fois de plus le tres VERTUEUX FJ fit le bien autour de soi. Ceci etant, il aimait rester humble et ne pas se mettre en avant pour ne pas trop ridiculiser les autres de son implacalble superiorité.

Au bout d'un moment il allat voir le tireur d'elite, qui etait d'ailleur avait du recevoir le titre "tireur d'elite" dans une pochette surprise, comme on reçut un certain nombre de lorrains leurs titres de noblesse.
Juste pour le plaisir, il lui donna un grand coup de pieds dans les parties genitales. Pour etre sur que celui l'ecoute.

Alors on pote, tu voullais me tuer...? Si tu veux on peut s'arranger. Je te donnes ma dague et tu me l'enfonces en plein coeur... mais avant faudra vendre ton ame à l'enfer...

FJ lui fit boire quelques gorgées d'eau de vie...parait que cela delie les langues les plus cadenassées... Il parait...

Forcejaune

HRP

suite a une discussion... j'ai ete pris d'un doute... qui est visé...? ForceJaune ennemi de la religion Aristo comme semble l'indiquer le :

Citation:

Des autres gardes l'ont aperçu,l'homme descend et est poursuivit par 3 garde du vendeur

et le nom assassin religieux

Ou plustot Ecaterina avec justement le nom assassin religieux (ou le de aurait ete omis volontairement)

Citation:

rapprocher de ca cible qui était monté sur une estrade.Voyant qu'elle était entouré de plusieurs garde

je ne suis pas venu avec des gardes mais avec des manoeuvres, ecat est venu avec des gardes... et etait monté sur l'estrade voir Zahra... d'ou l'imbroglio d'apres coup...

Merci d'eclairer ma lanterne...

si c'est Ecat qui est visée, ne prenez pas en compte mon dernier message rp
hrp

--Assassin_payer

un homme normale passa près de la foule agitée,il était armée d'une

arbalète et d'un sabre arabe.L'homme décocha 3 carreaux pour trois

manœuvrier qui fut tuer sur le cou,le nouvelle assassin tira un carreau

dans la jambe de FJ qui fut obliger de s'agenouiller.L'homme délivra le jeune

assassin qui devait avoir moins de 15 ans et l'emmena avec lui en

esquivant les gardes.Un groupe de moine passa dans les parages qui bloqua

les poursuivants.Les deux hommes disparurent et l'assassin habiller de blanc

avec le visage recouvert laissa un rose rouge sur le sol.

Forcejaune

FJ posa ses fesses par terre et resta hebeté devant cette scene qu'il ne comprenait decidement pas. Il voullait que quelqu'un lui explique comment ce qui venait de ce passer avait pu se passer...

Elenion

Elenion qui regardait la scène avec un air qui voulait dire "gné papotib" se disait que les PNJ foutaient royalement la défection dans les RP et que ceux les utilisant ne respectaient vraiment rien... Puis il se dit que cette pensée n'avait aucun sens... Il vérifia que la fiole de Chlo ne s'était pas ouverte près de lui pendant ce bordel et vit que non... Comme cela était étrange...
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Forcejaune

FJ croisa le regard d'Elenion, et compris qu'il etait etonné par ces "ev'nements". Il s'approcha un peu de lui, et pour detendre un peu l'atmosphere, il demanda, avec un large sourire :

Bah, un p'tit escalve...? A pas cher, a bonne qualité...

Mais FJ sentait qu'il yavait eue quelque que chose de cassé, comme qui dirait l'autre (mais on ne sait pas qui). Il sentait qu'il allait encore devoir trouver une nouvelle idée de commerce pour se relancer...

Elenion

Elenion s'assit sur un tonnelet qui trainait non loin, comme c'était souvent le cas dans ce genre de décors pittoresque, bien que le plus souvent il (le tonnelet) serve de perchoir à orateur du Dimanche.

Et il tint a peu près ce discourt à FJ qui le questionnait.

Ah! FJ, mon bon vieux FJ...

Il lui sourit.

Vois-tu, ou ne vois-tu pas? Suis-je si bon comédien que personne n'arrive à percer mon jeu et s'installe dans cette douce tragédie que je tisse chaque jour autour de moi? Je ne pourrais le croire. Car oui FJ! Sous ce regard implacable. Derrière ces paroles si arrogantes. Il se cache pourtant un cœur des plus doux et des plus tristes. Déçu par ce monde vil et bas, et pourtant obligé de se rabaisser à son niveau, pour essayer plus tard de le remonter par la force des convictions intimes et profondes, d'habitudes cachées sous le drap du théâtre qui me vois chaque jour me produire.

Il soupira et se tut un instant avant de reprendre.

Tu sais... Ce n'est pas par goût personnel de la chose que j'ai défendu ton commerce. Mais elle m'insupporte. Je n'aime pas les enjôleurs, les menteurs, les manipulateurs et toutes ces sortes de gens.

Il lança un regard à FJ.

Je ne parle pas pour le commerce! Il n'y a pas de morale dans l'acte économique. Mais la politique! Oui la politique! Elle touche les âmes et les consciences... Que dire de quelqu'un qui nous baptise ou qui nous sermonne et qui après marche sur ses propres prêches et préceptes pour l'appât de la couronne... Ou devrais-je dire des couronnes! Voilà pourquoi j'ai utilisé mon art pour défendre ton activité. En soit ce que j'ai dit n'est pas faux... Mais en mon âme et conscience comprend bien que je ne peux m'y résoudre ni y adhérer. Mon goût du commerce à quelques limites, limites qui m'empêchent donc de m'enrichir encore plus!

Si seulement pouvait être aussi beau que dans mes rêves... Que devrais-je faire pour y arriver? Que devrais-je faire??? Répéta-t-il comme pour lui même en hochant de la tête.
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Forcejaune

FJ ecoutait, attentivement, ce que lui disait sire Elenion. Diantre lacha t'il à un instant ou deux. Il se sentait géné. Tres géné. Lui qui voullait simplement faire une petite boutade à une personne qu'il ne connaissait que de loi, celle-ci lui mit à faire des confidences...
Les yeux du commerçant brillerent un instant, come s'il comprenait les paroles profondes d'Elenion, ou il voullait en venir. Comme, si d'un certain coté, ils etaient tout les deux semblables.
Il allait lui dire quelque chose, mais, il retourna vite sous le masque sous lequel, il essaye de se cacher, habituellement. Un melange de mechansté, cynisme, humour special, une pointe d'arrogant, mais aussi ...

Il alla chercher, cependant, de la boisson, il tendit la bouteille a Elenion. Il lui dit :

En attendant, on peut trimquer... j'ai rien a faire

Elenion

Elenion s'accouda sur ses genoux et pris sa tête entre ses mains... Il n'était plus trop d'humeur.

A côté de lui Ambroise regardait son maître ainsi dépité ne sachant que faire. C'était la première fois qu'il le voyait sous ce jour : celui d'un homme normal et non pas d'un tyran assoiffé de pouvoir et de gloire.

Quand FJ revint Elenion tendit un main pour prendre la bouteille et s'enquilla une bonne rasade. En rendant la bouteille il s'essuya de sa manche et dit un faible "merci". Ambroise s'installa dos contre le tonnelet et attendit qu'Elenion en eu fini de son état dépité.
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Zahra.2

[ quelque part dans un hôtel dans un noeud en Lorraine pas trop loin de la capitale]

Zahra était enfin arrivée au premier hôtel sur la route de Nancy, elle était toujours bourrée, elle lance un petit ecus à l'aubergiste, et se prend une petite chambre de bonne, où elle ne cherche pas à rouspeter sur l'hygiène de la chambre... son objectif reussir à dormir quelques heures pour sortir de son état... australopitheque, incapable de penser à quoique se soit...

Au bout de quelque minutes là voila dans le pays des songe, où tout il est jolie et tout il est beau, que sa propriété de Vaudémont s'est transformée en un grand domaine , avec même un donjon, puis elle a 4 champs, des chêvres, des oliviers, puis même des poules et un coq, qui la reveille à 4 heure du matin avec son cocorico, puis quand elle se leve , la Zahra est heureuse, il y a plein de petits papillons multicolores, puis dans son echope de tisserande il y a mille braies , et mille chemises de pretes, aussi des chausses.

Elle passe son temps à dormir, ses 4 esclaves , Lee_han, Sakura, Zoulika, et Maïmouna s'occupent de tout et elle bien elle s'occupe de rien, à part peigner ses cheveux à la coupe Jeanne d'Arc , puis écrire des courrier bidon à sa soeur où elle raconte sa vie jolie comblée par ses esclaves...puis pleurer un peu pour ses deboires amoureux...ou rire de ses vielles boutades pas drole...

Elle adore son personnel, son equipe d'esclave polyvalents , souriants...Ils sont super quoi, il ne lui laisse pas le temps de soupirer sous la masse de travail qu'elle a , à savoir que lever le coude devient compliqué quand on a un grand domaine, un donjon et toute une ferme à faire tourner..

bzzzzzzzzzzzronflebzzzzzzzzzzzzzzBzzzzzzzzzzzzzzzzgnéééééééééééépapotib*hips*laisse moi heuuuuuuu*veux*dodo**chutttttttttttt*bzzzzzzzzzzzzzzzzz
Soudain un enorme bruit vient troubler son sommeil et son jolie rêve..
qu'est ce que c'est!!???

La soulotte est troublée par son propre ronflement, elle se leve, un peu grincheuse...puis ouvrant ses yeux sur la petite pièce delabrée...un rapide coup d'oeil sur la couche, suivit d'un soulagement, il y a personne avec elle...plusieurs fois elle se reveillait au chevet de personnes inconnues..croisé vite fait en taverne, le hasard faisait souvent que l'ivresse la menait au lit.... chassant ses souvenirs de sa tête, se massant la nuque delicatement, essayant de remettre ses idées en place, elle sourit en pensant son rêve...elle cherche du regard dans la petite pièce son baluchon, elle y sort un parchemin vierge, puis une plume , et son encre...

Décidée à realiser son rêve! elle aura des chevres, des moutons même, des oliviers, et surtout le plus realisable pour le moment c'etait les 4 esclaves!

Elle prend sa plume, hesitant sur la tournure de sa lettre...
repensant à son contrat abandonné ...

Cher Sire Forcejaune,

Je me permet de vous écrire, pour vous confirmer mon desir d'acheter 4 de vos esclaves.
Je vous prie de m'excuser, j'etais quelque peu pompette, d'ailleurs j'en ai encore un peu mal à la tête...
Il se trouve que la fois dernière , j'ai un peu egaré le dit contrat, celà-dit, je suis prete à en signer un autre.
Désolée de vous avoir fait honte sur le stand, en image d'esclave , j'avoue que je dois pas être vendable messire!
Je tenais à vous poser une question quelque peu genante... mais...
accepteriez vous de me faire credit?, c'est à dire que ...je dois trouver 1600 ecus pour acheter ces 4 esclaves...
Celà dit j'ai 50 ecus d'avance, le reste est partie en tournée generale et en frais divers...
Je passerais dès que possible à Nancy après acceptation de credit, pour reccuperer 2 de mes esclaves!

En esperant que mon Geongeons , le pigeon reussit à vous trouver facilement!

mes salutations,
Zahra.2

Elle roula le parchemin, puis sortit de l'hôtel, en claquant la porte et grommelant, signe de son mecontentement du service, en toisant l'aubergiste...

pfff! honte à vous! et on dit que c'est un hôtel ça!! je suis peut être gueuse, mais quand même un peu de propreté sieur ne fait que du bien!
Si vous voulez, je vous presenterais à un vendeur d'employé, des esclaves frais et jeune et motivé!...pour pas cher 500 ecus!!!

Elle annonçait son prix, fallait bien faire de la publicité pour Forcejaune, puis se faire une petite marge..on sait jamais!
L'aubergiste la voit , du style "casse toi l'ivrogne!"..Zahra est un peu loin de l'hôtel, elle écarquille les yeux, le soleil tape encore trop fort, puis ce maudit mal de tête qui lui rappel la douceur de toute la boission enfilée le matin même... Elle siflotte, puis une fois que Geongeon est prs d'elle , elle lui passe le parchemin roulé, elle regarde l'envole du pigeon, puis s'éloigne en direction de Vaudémont, attendant une reponse positive au credit, dès qu'elle sera operationnelle, c'est à dire sobre et en capacité de prendre la route, elle se dirigera vers Nancy chez le vendeur...des fois qu'il change de commerce le sieur, il avait une reputation d'homme à tout faire...
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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!

Forcejaune

FJ etait resté aux cotés d'Elion et de son larbin, dont la tete lui disait quelque chose... mais il n'arrivait pas a se faire les idées claires sur ce sujets. Puis, soudainement, un pigeon arriva.
Il avait un parchemin à l'une de ses pattes. FJ lança des miettes de pain à terre, ce qui lui permit de s'approcher de lui et de prendre le parchemin (et oui, bizarerie, quand tu nous tiens... mais c'est pour la forme). Bon bref.
Apres la lecture, il y anota au bas :

Citation:

Revenir au plus vite, à l'etal, sur la place du marché.

fj remit le parchemin au pigeon, le pris dans ces mains, le lacha par terre, mais avant que celui ci n'est pu toucher le sol et s'envoler, FJ lui donna un grand coup de savate, savament dosé. Le pigeon reprit sa course, izarrement, vers Zahra.

Bizarre ? Vous avez dit bizarre ? Comme c'est bizarre ?

Forcejaune

FJ, maintenant que tout etait redevenu calme; commençait presqu'à s'ennuyer. Il decda de donner la sope à ses escalves. Mais pas trop, hein... sinon ils s'engraisseront et ils ne seraient plus beau du tout à voir.
La soupe etait composé de navets, de pomme de terre et de croutons de pain bien dur. Et la soupe etait à temperature ambinte. Il servit les esclaves les uns apres les autres, la soupe versé dans un casque de soldat mort au combat.

Une foicette besogne, il leur donna la permission de se reposser et de faire une sieste. Il allait en faire autant. Une bonne petite sieste a l'ombre, dans sa roulotte...

Bulle

Bulle avait continué d’observer la scène de loin.
C’était un instant devenu très étrange. La gueuse avait eut d’abord très peur, puis s’était réellement demandé ce qu’il se passait.
Elle avait fini par en conclure que c’était un pestacle.
Le théâtre était si moderne de nos jours !
A présent, tout était redevenu calme.

Mais le porte-monn… euh… Pétro semblait s’être endormie contre le mur.
Bulle envisagea de lui piquer son aumônière, mais se dit que ce serait vraiment vilain si bien qu’elle s’en abstint.
Fichue morale ! Pas tout à fait morte…
La petite simple d’esprit jeta un dernier regard de regret au petit esclave, et s’en alla…
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Le monde appelle fous ceux qui ne sont pas fous de la folie commune

Forcejaune

FJ n'arrivait pas a trouver le sommeil, meme pour une petite sieste. Il ressassait ce qui venait de ce passer.
Il ne comprenait pas, en effet, comment en si peu de temps, il etait sur le point de vendre plusieurs escalves, a bon prix, et faire quelques petites affaires pour au final, ces acheteurs soient parti, dans un etats second ou effrayés par les uluberlus qui sont venu.
L'armée etait reparti aussi rapidement qu'elle etait venu. Ainsi que ces "assassins a la bouze"...

Il commençait à se dire que le monde entier se ligait contre lui, pour l'empecher de vendre ces produits, qui sont malgré tout de bonne qualité...

Zahra.2

Zahra court...
Zahra court , court sans s'arreter.... elle a dans sa main la missive du marchand d'esclave, apparament ça ne marche pas trop ce commerce, mais non aucune envie de perdre la seule occasion de se prendre 4 esclaves... c'est si rare d'avoir ce genre de commerce en Lorraine, au Sans Nom la moralité! Elle arrive un peu essoufflée au stand de ForceJaune, la saoulotte a vendu un champ...mais a toujours besoin d'autant de main d'oeuvre, elle fera attention de jouer sa carte de la pauvreté, puis essayer d'obtenir une autorisation de credit de FJ... quel autre moyen pourrait-elle demander? Sûerement pas le paiement en nature... elle lui avait proposé dans sa missive, la vente de chapeau et autres robes, tablier.... pas cher... après tout elle était super tisserande de Vaudémont...

Le stand était calme, d'un calme assez inquiétant... la Zahra regarde autour... l'ex-recteur a du faire rentrer ses esclaves dans la roulotte...

Sa super collegue du conseil et son eminence avait demissionné du conseil et même quitter le duché Lorrain, c'est donc sans crainte de voir debarqué toute la garde Episcopale, et l'Ost qui n'avait rien à faire dans un tel lieux... d'ailleurs Zahra se souvenait vaguement de ce fameux jour, elle était quelque peu pompette, mais les secousses de l'armée lui avait fait de l'effet... un effet un peu soporiphique d'ailleurs...

Elle s'approche de la roulotte et frappe energiquement...comme pour reveiller ou secouer le marchand.. esperant qu'il soit là...

TOC TOC TOC!!!!!!
Sire ForceJaune... je veux mes esclaves..........s'il vous plait , profitons en ! c'est un peu calme...s'il vous plait... j'ai perdu mon contrat... mais ça me derange pas d'en signer un autre ... TOCTOCTOC...

Zahra attendait de voir la tête du vendeur, elle esperait aussi qu'une amie la rejoigne , pour peut être causer de reduction...
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Arphasar

Arphasar c'était un peu perdue dans la ville. Elle vit passer Bulle qu'elle admirait par dessus tout. Elle semblait regretter quelque chose... Si elle avait osé, elle lui aurait adressé la parole mais elle était bien trop timide pour ça.
Soudain, elle vit une flèche passer à côté de son oreille. Mais n'était-ce pas Zaza? Arpha se mit à courir à sa suite. Elle vit Zaza faire beaucoup de choses sans se rendre qu'elle était suivie depuis un 'tit moment...
Et ça c'est une soldate? La qualité des vétérans se perd de nos jours on dirait...

Zaza...

Zahra.2

Zahra attendait devant la porte, aucune réaction de la part de l'ex recteur, elle recule un peu, puis croise les bras, attendant de le voir, elle les voulait ces 4 esclaves, elle en fasait des rêves à ne pas en finir, elle en parlait à ses amies et amis, elle faisait même de la publicité pour le FJ , en esperant que son commerce marche et qu'il lui fasse un jolie geste commerciale pour sa collaboration... Un peu songeuse, elle restait planter là, tel un arbre, lorsqu'elle entendit des bruits de pas, elle n'avait pas remarqué qu'elle était suivi, elle se retourne et entend la fine voix de sa Touloise, elle sourit largement, voila qui est magnifique! Son amie était venu pile poil au bon moment.. Elle lui fait une bise et lui montre du doigt la roulotte...

Bonjour ..Arpha!!!!!!! heureuse de te voir , c'est un pur hasard? Ou tu me suivais ? *rit*

en fait tu te souviens, je t'avais parler d'un marchand d'esclave, si ça te branche, cette roulotte c'est la place de son petit marché...apparament il dort ..le sieur ForceJaune, ô ma Arpha , ma lionne! si tu savais , c'est super ils savent tout faire ses esclaves qu'il a dit, pis pour pas cher... 400 ecus! pis ensuite tu l'as pour la vie, il peut te servir pour l'entretien de ta propriété, tes champs, ton echope, pis heu même toi...enfin heu ..peuvent s'occuper de tes cheuveux par exemple... Il y a en a de toutes les couleurs, ma Arpha c'est d'un exotisme , on a l'impression d'être au paradis Solaire je te jure! Puis je crois que le marchand ...bé il est super sympa, il fait signer un contrat vite fait, puis ensuite je sais pas trop comment ça se passe, en tout cas il offre aussi à boire... là j'attend de le voir pour heu... negocier.. j'en voudrais 4 des esclaves ...

Elle regarde Arpha, apparament elle a reussi à la saouler avec son blabla...
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Airic

Après avoir quitté le parlement, Airic détacha son cheval et le remonta pour quitter Nancy, direction Toul. Sur une place, il vit un grand panneau signalant une vente d'esclaves. Peut-être trouverait-il enfin un domestique, depuis le temps qu'il cherchait un brave paysan qui travaillerait à son service. Il ne pensait pas aller chez un esclavagiste, il n'aurait certainement pas ce qu'il cherche mais sait-on jamais...

Il descendit de cheval et s'approcha des deux femmes qui attendaient devant la roulotte. En tenant son cheval par la bride, il fit un signe de tête en guise de salutations puis demanda, avec son léger accent transalpin :
- Buongiorno mesdames ! Savez-vous si c'est biene ici per l'achat d'esclaves ?

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Barberine

Barberine s'approcha intriguée par la présence de Zahra et de Arpha qui discutaient avec animation.

Enn entendant la question du voyageur elle demande à Zahra

Réellement on vend des esclaves dans cette roulote ?
Ils sont bien, efficaces Zahra ? on peut essayer la marchandise avant ?
Et toi ma chère jumelle tu es tentée ?
un petit domestique tout mignon pour Arpha.

400 écus oui c'est raisonnable, mais va falloir que je vende encore un peu de viande avant.
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Zahra.2

Zahra expliquait un peu sa presence à son amie Arpha, quand soudain elle entendit les bruits de pas d'un cheval, au départ, elle tire une legere grimace, pis se dit interieurement "punaise encore la garde episcopale ou un soldat égaré, ma parole! je l'ai aurais jamais ces fichus esclave" , lorsqu'elle vit un jeune homme descendre de sa monture, et les saluer avec charmant accent "exotique" , loin de ressembler à un esclave, le gus avait l'air d'un petit nobliaux, la gueuse, repond à son salut;

Citation:

- Buongiorno mesdames ! Savez-vous si c'est biene ici per l'achat d'esclaves ?

Bonjour messire, oui , oui c'est ici, le marchand n'est pas encore arrivé, il doit être dans sa roulotte...

Elle prend le temps de regarder l'homme de la tête au pied, ce qui est impoli, mais la Zahra n'a point eu d'education de la parfaite petite "dame", juste le temps pour savoir si l'homme en question portait une quelquonque insigne d'un quelquonque ordre religieux...

Je suis Zahra, habitante de Vaudémont, je viens ici dans l'espoir d'acheter 4 esclaves si Dieu le veut...pis si le marchand accepte de faire credit...*leger soupire*,en tout cas j'ai eu la chance de voir la marchandise il cela quelques semaines ou quelques jours, ça vaut le detour! Il a des femmes et des hommes, des jeunes, et forts, motivés , ils ont l'air un peu fatigué, mais je crois que ça doit être le voyage de leur pays respectifs à ici la Lorraine... Les voyages sont fatigants parfois...

Elle respire un coup, puis trifouille dans ses poches, et ensort une flasque de mirabelle, boit quelques gorgées..

Il me semble que sieur ForceJaune se fait quelque peu désiré... mais bon c'est purement commercial... l'offre et la demande et tout ça...

Zahra a juste le temps de finir sa phrase, qu'elle voit une autre amie Touloise, c'est le bon dieu qui les envoit pour sûre , Forcejaune allait avoir du succès... elle la salut d'une bise de gueuse...

Citation:

Réellement on vend des esclaves dans cette roulote ?
Ils sont bien, efficaces Zahra ? on peut essayer la marchandise avant ?
Et toi ma chère jumelle tu es tentée ?
un petit domestique tout mignon pour Arpha.

400 écus oui c'est raisonnable, mais va falloir que je vende encore un peu de viande avant

Pour l'essai, je ne sais pas encore, mais bon il garantie sa marchandise le Forcejaune, pusi entre nous 400 ecus un homme ou une femme à vie ...si c'est pas un bon commerce ça... un employé à vie!!!! le rêve!
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Barberine

Barberine rend sa bise à Zahra apprenant du même coup ce qu'est un baiser de gueux, et surtout qu'elle en faisait habituellement sans le savoir.

Elle suit le regard de son amie et comme elle détaille le voyageur très bien mis, puis revient à sa préoccupation

Citation:

moui tu as raison, je crois que je vais me laisser tenter, un employé à vie corvéable à merci, 400 écus c'est donné.

Enfin je voudrais bien les voir moi !! il ne sort jamais de sa roulotte Force Jaune ?
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Zahra.2

Zahra regarde les autres clients potentiels de l'ex recteur, hausse les épaules et se redirige vers la porte de la roulotte, elle tape très fort de ses deux poings, puis cri en même temps :

Sieur ForceJaune, vous êtes là? Vous avez de la visite !!

Elle se retourne vers les autres "patients " ou "clients", puis leur dit d'un ton nonchalent...

c'est ça les commerçants ? ça dort, pis ça espere faire du chiffre en ronflant... *rit amusée de ça phrase bête*

il se fait desirer ... en tout cas je vous dis ça vaut le detour, vous allez voir , j'espere qu'il en a encore des esclaves, qu'il a pas tout vendu...quand même....

Elle s'assoit à même le sol, un peu fatiguée de sa course de Vaudemont à ce stand, puis de ses multiples va et vient sur les routes de lorraine... elle ressort sa flasque de mirabelle et boit quelques gorgées, puis regarde Barbie, Arpha et le jeune homme...

Il fait soif*hips*, je vous en proposerais *hips*bien quelques gorgées mais elle est*hips* bientôt vide*hips*
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Forcejaune

Soudainement une voix d'eleva de l'interieur de la roulotte. C'etait fj qui chantait une chanson paillarde venu d'ailleur :

Osteria numero uno
In convento non c'è nessuno
Ci son solo preti e frati
Che s'inculano beati

Puis on voit le joyeux ex futur ex futur ex recteur sauté à terre puis se remettre a chanter à tue tete une autre chanson joyeuse :

Osteria numero nove
Le putane fanno le prove
Fanno le prove col prosciutto
per veder se c'entra tutto

Puis il s'arreta un instant puis il dit :

Ya plus moyende pioncer dans cette ville... que puis je ne pas faire pour vous paraitre fort desagreable...?

Thays

Thays passait par là... hé oui, car Heure était à la promenade...400 écus un homme ou une femme... à vie... intrigant...
Puis une chanson d'ailleurs... tiens, un homme qui, lui aussi, venait d'ailleurs ? Il lui fallait le rencontrer...

Citation:

Ya plus moyende pioncer dans cette ville... que puis je ne pas faire pour vous paraitre fort desagreable...?

Héééé lààà le vieux ! Ne pas répondre sans doute.
C'est quoi cette histoire de 400 écus l'humain ? Je peux le voir ?
Si je t'en prends un, j'en fais ce que je veux ?
C'est pas que je compte abuser, mais un compagnion ça pourrait être sympa. En plus, s'il est ma propriété, il ne me gonflera pas avec niaiseries et autres foutaises. C'est un investissement intéressant. Puis un animal, ça cause pas...pas marrant.

Zahra.2

Zahra se releve , retire la poussiere de ses braies, en entendant la voix du vieux recteur... il braillait ou chantonnait, en tout cas il avait l'air d'une sacré humeur...

Un peu mal à l'aise , d'avoir eu à frapper à plusieurs reprises et hurler devant sa roulotte, la saoulotte, regarde une dame s'approcher, la dame Thays... apparament elle aussi interessée par le commerce..

Citation:

Ya plus moyende pioncer dans cette ville... que puis je ne pas faire pour vous paraitre fort desagreable...?

Bien*hips* il serait sympathique et agrèable de sortir *hips*de votre roulotte sieur ForceJaune, on commence à perdre patience.. comme qui dirait les gens...*hips* il commence à y avoir foule devant votre stand , sortez donc vous et votre marchandise...s'il vous plait... *hips*

Bonjour dame Thays, vous aussi êtes interessés par l'esclavage... enfin l'achat d'employé à vie, ça fait moins mechant...à dire ou à entendre*hips*

d'habitude je force les portes , mais j'ai pas envie d'ouvrir sa roulotte, on sait jamais ce qu'on pourrait voir... loin de moi l'envie d'être choquée...*hips*
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Forcejaune

Apres avoir ecouter ça, FJ parut reflechir un petit moment. A quoi...? Meme lui ne le savait pas. Et a quoi cela aurait il servis de savoir a quoi on pensait...? A strictement rien du tout, c'est moi qui vous le dit. Et je sais de quoi je parle.

Bref, apres cet intermede reflexionnaire fj remonta dans sa roullotte un lançant un bref mais pas trop court :

Revenez d'ici une heure ou deux, le temps que je finisse ma sieste. Cela ne vous derange pas j'espere. Et si c'est le cas tant pis pour vous

Finalement ce n'etait pas si court que ça, mais qu'on ne sait pas quoi dire on fait comme avec les femmes, du remplissage...

Airic

À peine Zahra répondit à Airic que le marchand devait être dans sa roulotte, qu'un air au fort accent français s'éleva de dans la roulotte. L'Italien fronça les sourcils en entendant les deux chansons loin d'être aristotéliciennes. Il fut assez surpris qu'un francophone chante en italien. Un vieux bonhomme sortit, se plaignant qu'on le réveille et les invita à repasser.

Le jeune homme grimpa sur sa monture et s'adressa à Forcejaune :
- Vous n'avez bessoin de rien de plous per nous être dessagréable. Si les clients vous dérangent, il souffit de le dire ! Il fit faire un demi-tour à son cheval, petit signe de têtes aux dames : Mesdames !

Puis il s'apprêta à partir.

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Zahra.2

La saoulotte de Vaudémont ne s'attendait pas à un meilleur accueil de l'ex recteur, mais était decidée à prendre ses 4 esclaves, elle se dit que 1 heure ou deux c'est court pour aller jusqu'en ville s'acheter une bouteille....Elle regarde le jeune homme à l'accent fort "chantant", puis se dit que c'est bel et bien un nobliaux pour avoir une telle réaction... d'instinct cool et zen, elle s'assoit à nouveau à même le sol, sort sa flasque bientôt vide et boit quelques gorgées qui lui font voir quelques étoiles et un peu flou... Elle fixe les autres femmes, puis secoue sa flasque vide, la balance à l'arriere sur l'herbe verte, rempli de paquerettes et de pissenlits, une legère grimace, du genre "y en a pu"!... puis regarde vers la route, hesitant à la prendre pour aller s'acheter son nectar... ou attendre ici que le vieux ex recteur se decide à conclure avec elle... elle tate sa bourse d'Ecus pleine... mais sans avoir le compte pour 4 esclaves...
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Thays

Thays sourit à la Dame, une lueur sanguinaire dans les yeux.

Forcer sa roulotte... quelle bonne idée...on lui apprendrait à causer à ses clients...et ça tombe bien, j'ai envie d'action...

Puis, le sacripan exigea que l'on revienne dans une heure ou deux.
Un messire des plus charmants intervint, puis les salua.

Vous avez raison... depuis quand les clients supplient pour acheter ? Je vais m'en aller, tout comme vous.

Saluant la Dame et adressant un "Vous n'aurez qu'à venir me trouver si vous voulez me vendre votre camelote !" à l'intention du vendeur, elle se tourna vers le Messire.

M'accompagnez-vous ?

Zahra.2

Zahra secoue sa tête,

Vous savez dame Thays,*hips*, ce bougre sait que son affaire est une affaire en or, alors il en profite , imaginez dame Thays, un esclave, enfin un employé pour 400 ecus à VIE! *soupir songeuse* n'est -ce pas un rêve? Je suis gueuse mais bon dieu avoir des esclaves ça doit être le pied! plus besoin d'aller *hips*courir à la mairie pour embaucher, plus besoin d'avoir des manifestations pour la hausse de salaire, puis comme vous le dites.... ça fait aussi de la compagnie, des fois être seul dans sa propriété c'est ennuyeux! Pis y en a des exotiques...*soupir peu aristotelicien* des beaux gosses! enfin assez beau pour m'inspirer dans mon echope, plus les hommes sont beau plus j'aime les habiller ...pour mieux les deshabiller ensuite*hips*

Elle a un sourire niais, puis commence à avoir des phrases sans queues ni tête, digne de son début d'ivresse...

en tout cas , je ne prefere pas forcer sa roulotte, deja il est un peu grincheux*hips* il serait stupide qu'il soit encore plus desagreable...*hips* j'aurais aucune chance d'avoir mes n'esclaves...*hips*

Elle met sa main devant la bouche , legèrement génée d'être pompette face à la dame.
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Barberine

Barberine avait écouté tout ce fatras d'un air étonné !!

un vendeur qui ne veut pas vendre, non mais vous avez entendu comme moi !!!

Elle regarde Zahra dépitée devant sa fiole vide !!

Ne t'inquiète pas ma belle j'ai de quoi nous faire patienter un bon moment, Barbie elle ne part jamais sans biscuit !!

Avec un grand sourire elle sort de sa besace, au milieu d'un tas de choses, une bouteille :

De la mirabelle de Toul Zahra !!
A ça il faudra se passer des gobelets, mais quand on fait des baisers de gueux, on peut bien boire au goulot.

ça te dit ?

Elle tend ensuite la bouteille à Arpha qui semblait absente et ne répondit pas.
S'adressant à l'autre Dame qu'elle ne connaissait pas elle lui propose une rasade.

Alors Zahra qu'en penses tu ? Mais ne bois pas tout malheureuse, j'en voudrais bien un peu !!!
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Thays

Ahh l'exotisme... je connais...
Elle rit.
J'imagine bien la volupté... en effet...

Souriant malicieusement, puis acceptant la gorgée proposée de bon coeur...

Merci bien !
Que faites vous Mesdames ? Partez-vous également ?
Vous je n'sais pas, mais moi j'me ferai bien raccompagner... dit-elle, un sourire malicieux au bord des lèvres, regardant le Messire qu'elle ne connaissait pas.

Forcejaune

D'un coup on vit sortir FJ de sa roullote, une nouvelle fois, mais cette fois ci avec une jeune et charmante demoiselle a ses bras. Blonde, aux yeux bleux de glace. Le vendeur embrassait sa charmante demoiselle.
Puis il s'adressa aux autres :

Bon vu que je ne peux pas avoir un volume sonore assez bas pour me concentrer, je vais m'occuper de vous. Que puis je faire pour etre traquille rapidement.

Zahra.2

Zahra était heureuse! ô oui heureuse, Barbie lui tendait une bouteille.... de la bonne mirabelle touloise de quoi la garder éveiller, elle regarde amusée Dame Thays, sourire aux levres, le nobliaux lui avait tapé à l'oeil comme qu'elle aurait dit si elle la connaissait d'avantage, mais évitant de faire une remarque stupide comme elle l'aurait fait en temps normal, elle savour une seule gorgée du nectar... puis rend la bouteille à Barbie, lui fait un clin d'oeil complice...

merci ma Barbie, dis donc t'sais comment faire attendre toi...
Elle se penche vers Thays, et lui dit...

Vous savez par contre... je doute que les esclave sentent bons comme le nobliaux là...mais *hips* c'est pas un souci un bon bain chaud tout mignon...et ils seront tout propres près à être caliner... *rit malicieusement*

Soudain elle entend les grincement de la porte de la roulotte, le grincheux se reveillait, toujours assise, la saoulotte tente de se relever... une fois debout elle croise les bras , pour tenir en équilibre,

Citation:

Bon vu que je ne peux pas avoir un volume sonore assez bas pour me concentrer, je vais m'occuper de vous. Que puis je faire pour etre traquille rapidement

Elle lui montre du doigt Barbie, Arpha qui était comme qui dirait sous le choc..puis dame Thays...

Occupez-vous des dames en premiers, elles viennent pour la première fois, moi je sais ce que je veux... mais elles, bien elles n'ont pas encore vu la marchandise...

Elle faisait un effort pour alligner ses mots, et essayait par la même occasion de cacher ses hoquets.
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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!

Barberine

Barberine but une gorgée à son tour et laisse la bouteille bien en évidence , après tout elle était partageuse.

Tiens Zahra n'hésite pas à te resservir.

Enfin Messire Force jaune vous voilà

Avez vous de jolis mignons petits domestiques à vie à nous montrer ?
Je suis impatiente.
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Forcejaune

FJ demanda à la demoiselle qui était avec lui de remonter l'attendre dans la rolotte. Puis, apres avoir ecouter a moitié ce qu'on lui disait repondit tranquilement :

Quel malheur... je suis vraiment navré... mais je n'ai pas ce que vous souhaiter... Je n'ai pas de mignons petits domestiques a vie... J'en suis vraiment navré.
En effet, je n'ai que des esclaves, elevés a la dur, formés, par ma personne, a la dure... ils n'ont vraiment rien de mignions...

Thays

Un sourire très entendu à la Dame un tantinet coquine...elle avait dû saisir que le blondinet avec du caractère lui avait tapé dans l'œil, à défaut d'ailleurs.

Puis Thays s'adressa au vioque :

Ca tombe bien. Je ne veux pas d'un agneau. Aboulez.

L'espace d'un instant elle se demanda si les esclaves seraient, comme elle-même, des exotiques... Malheur au vieux s'il ferait ne serait-ce que songer à l'intégrer parmi ses marchandises femelles...

Zahra.2

Zahra toujours là, se met à rire discretement... bon ok elle avait un peu forcé la pub, les esclaves étaient crasseux, maigre, elle se doutait bien que le vieux FJ ne les goinfrer pas, mais après apparetenir à de bonnes "gentilles " propriétaires ça allait surement changer... Elle continue à se dépoussierer tout en grommellant, un peu bourrée, et un peu fatiguée d'attendre pour avoir au moins un ... ou une esclave, au moins qui lui servirait de canne pour entrer vite fait dans la première auberge du coin.. Pendant que Barbie et Thays parlent au vieux, elle prend la bouteille puis boit quelques gorgées ...

Citation:

Quel malheur... je suis vraiment navré... mais je n'ai pas ce que vous souhaiter... Je n'ai pas de mignons petits domestiques a vie... J'en suis vraiment navré.
En effet, je n'ai que des esclaves, elevés a la dur, formés, par ma personne, a la dure... ils n'ont vraiment rien de mignions...

Elle entend ses paroles, puis soupir, tout en esperant que les touloises ne vont pas être degoutées ou déçues de la marchandise et du deplacement.. Elle avait remarqué une petite qui tenait un mouchoir dans le stand, elle lui avait tapé à l'oeil, le mouchoir était brodé...surement que la fille était de Taiwan ou une autre region dans les royaumes que la gueuse ne connaissait pas... mais si elle savait filer la laine, celà l'aiderait bien...
Elle reflechissait, si seulement la dernière fois elle n'avait pas eu l'arrivée de l'armée et des z'autres, elle aurait pu avoir conclu son affaire ce jour là... elle avait son fichu contrat...pompette qu'elle était elle l'avait perdu... elle regarde la bouteille de Barbie dans ses mains et grimace legerement, puis la rend à Barberine... inutile de s'énivrer d'avantage... elle avait des affaires à conclure... et fallait être sobre...

Bon...excusez-moi, pour ma part qui soit beau , belle, laid , laide, m'en contrefiche... je veux quelqu'un qui sait... tisser.., pis aussi qui sait faire la vaisselle, car j'en ai marre de racheter les assiettes que je jette... quand aux verres et aux chopes j'en ai pas je bois à la bouteille... pis me faudrais quelqu'un qui sait calculer... puis qui sait comment les mines elles marchent... comme ça je serais tirée d'affaire , fera tout je ferais rien... donc deja m'en faut deux , un pour le terrain qui n'a pas peur de se salir , et de recevoir des coups de fouets, puis quelqu'un qui est intelligent... pour les bureaux quoi......

Elle reprend sa respiration... pis se demande si elle a oublié quelque chose dans la description de "ses desirs"... elle se caresse les cheuveux, pis prend l'air de quelqu'un qui reflechit...

en fait sieur ForceJaune on pourrait peut être les revoir... pis pour le paiement...*hesite*

Elle baisse la tête et regarde ses bottes... reflechit!
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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!

Thays

Thays écoute et observe la Dame...

Citation:

en fait sieur ForceJaune on pourrait peut être les revoir... pis pour le paiement...

Et ce fut très naturellement qu'elle s'adressa au vieux :

...l'on pourrait vous régler en nature je suppose.

Forcejaune

FJ ecouta les differentes requetes des differentes dames. Une fois qu'elles se donnerent la peine d'arreter de parler pour laisser ce genialissime de vendeur faire son travail( c'est à dire vendre), il prit enfin la parole, tel un geand seigneur (mais etait il un grand seigeur ou un tres grand seigneur, moi, simple narrateur ne puis repondre à a la question ne connaissant pas assez ForceJaune) :

Hum...pour la paiement, donc c'est le montant payé de suite, sans repport. Il n'ya pas de possibilité d'echeance, de remboursement, d'echange. Une fois que c'est aheté, c'est acheté. Ensuite pour payé, c'est en ecus sonnant. Malheureusement pour vous, il n'ya pas d'autre possibilité de payement.

Il parti dans une explication, qui paraissait foireuse tant qu'elle etait extravagante, que dans les siecle a venir ou pourrat payer avec des petit rectangle qui suivant le chiffre inscrit dessus avait une valeur differente, ou alors qu'on pourrait nous meme remplir la somme sur un rectangle en signant, ou meme avec une sorte de carte miniature la mettre dans une machine et l'argent etait transferer de façon invisible d'un endroit a un autre.
C'est fou non...? Je pense le marchand s'n porte et dit n'importe quoi pour l'avenir du payement.Mais il reprit :

Bon je vais vous montrer les esclaves.
Mouba cria t il

En queslques instants les esclaves avaient ete ressorti, et installés comme il se doit...pour une presentation en bon et du forme

Airic

Alors qu'Airic allait partir, Thays lui proposa qu'il la ramène. Il l'observa d'un rapide coup d'oeil de haut en bas. Elle était élégamment vêtue, de vêtements peu communs par ici, mais les tissus semblaient riches et étaient beaux à voir. Il ouvrit la bouche pour répondre :

- Bon vu que je ne peux pas avoir un volume sonore assez bas pour me concentrer, je vais m'occuper de vous. Que puis je faire pour etre traquille rapidement.

C'était ce bougre de vendeur qui avait rouvert la porte en ayant visiblement décidé de repousser sa sieste. Airic, lui, n'était pas décidé à repousser son départ. L'esclavage, ça ne lui plaisait pas vraiment, au départ mais en plus, il n'avait aucune envie de traiter avec cet homme vulgaire. Il s'adressa à la dame qui s'était mise à marchander.

- Vous déssiez toujours être raccompagnée ?

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Ptronille25

La veuve déboula devant la roulotte alors même que le marchand exhibait sa marchandise. Bulle se mourrait peut-être, mais elle avait tant supplié pour que Pétronille rachète ce jeune garçon ...
Promis, elle le lui avait promis ... Promesse idiote mais par Aristote, il ne serait pas dit que Pétronille était une menteuse !

Lorsqu'elle 'entendit Zahra réclamer un esclave sachant compter, elle se précipita pour la doubler et lui passer devant
Oups, pardon dame Zahra, mais sauf votre respect j'étais là bien avant vous. Vous faisiez encore l'andouille sur l'estrade que j'avais fait mon choix et marchandais déjà.

Elle tendis une bourse à Forcejaune
420 comme convenu l'autre fois messire ! En bons écus sonnants et trébuchants.
Où est ce garçon que Bulle a réservé ? Vous savez, Bulle, la fille bizarre avec un chien bizarre qui était avec moi tantôt.

Méfiante, elle retira sa main sans lâcher la bourse et regarda autour d'elle.
Elle ne vit qu'une femme à la vesture excentrique qui semblait plus intéressée par le noble à cheval que par la marchandise, ledit noble visiblement sensible à cette marque d'attention, et une connaissance de la Conseillère Ducale dont la mission consistait à lui passer la mirabelle.
Pas de risque de surenchère donc, à part si Zahra s'entêtait.

Allons messire le marchand d'âmes, montrez le moi. L'avez vous déjà vendu ?
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Pétronille veuve Renard
Bougmestre de Nancy
ex-Tribun de Verneuil en Alençon

"Le Whisky Selee, le Whisky qu'il vous réjouit!"

Arphasar

Arphasar les regardait completement eberluee.

Esclave ca etre?

Et elle remit elegamment ses tripes...

Zaza ce n'est pas ce que tu avais dit!

Arpha s'eloigna et disparut derriere un buisson pour qu'on la laisse en paix.

Zahra.2

Zahra était toujours là debout, attendant sa reponse.. pour le mode de paiement, pour elle c'était le paiement à credit ( n'allez pas penser autre chose voyons!), pis en nature c'était la proposition faites par courrier, en vêtements... mais bizarrement le marchand était strict en affaire, decidement les 4 esclaves c'était en rêve que la Zahra allait les avoir...

Citation:

Hum...pour la paiement, donc c'est le montant payé de suite, sans repport. Il n'ya pas de possibilité d'echeance, de remboursement, d'echange. Une fois que c'est acheté, c'est acheté. Ensuite pour payé, c'est en ecus sonnant. Malheureusement pour vous, il n'ya pas d'autre possibilité de paiement

Elle fronce les sourcils, puis hausse les epaules, elle prend sa bourse , il y a exactement 400 ecus, les 400 du champ de blé qui faisait sa richesse et sa reputation de la plus genereuse des blécultrice de Vaudémont, elle cumulait les titres qu'elle même se donnait biensûre...
Il crit un MOUBA, la saoulotte sursaute et voir arrivé la bande d'esclaves, "les mignons petits esclaves " qu'elle disait aux gens pour les pousser à venir chez le marchand avec elle... esperant avoir une reduction ou pourquoi pas les 3 acheté le 4ème offert!....

Elle observe de loin le nobliaux, puis la dame, qui paraissait interesser par la marchandise et aussi par le nobliaux... Zahra regarde sa bourse un peu maigre comparé à ses desirs 400 c'est pas 1600 ecus ..

Elle s'appretait à interpeller le commerçant pour tenter une derniere negociation sur le credit ou delai de paiement quand tout à coup! Surgit la veuve renard, elle passe devant elle!

La saoulotte déja choquée par la reaction du vendeur , et son refus de credit, et troublée par l'arrivée de dame petronile.

Citation:

Oups, pardon dame Zahra, mais sauf votre respect j'étais là bien avant vous. Vous faisiez encore l'andouille sur l'estrade que j'avais fait mon choix et marchandais déjà.

Zahra, se demandait qu'est ce qu'elle avait pu faire sur l'estrade, une danse du ventre?, un streep tease? , comme elle aimait faire de temps en temps en taverne pour s'appreter à se deguiser ou se travestir en bonhomme .. le vide, le trou noir l'amnesie , ou l'oubli volontaire...

Elle reste muette, regardant la veuve, qui tendait une bourse au marchand, l'air sûre d'elle, du genre "le compte il est bon , aboule la marchandise pas besoin de recompter je suis pressée!".. le truc que la saoulotte n'oserait jamais faire quoi...

Citation:

420 comme convenu l'autre fois messire ! En bons écus sonnants et trébuchants.
Où est ce garçon que Bulle a réservé ? Vous savez, Bulle, la fille bizarre avec un chien bizarre qui était avec moi tantôt.

Elle regarde Arphasar, qui avait l'air desinteressée par l'affaire, la touloise avait deja tourné les talons, la lionne était elle devenue un agneau? ou ces esclaves étaient pas à son goût... Zahra hausse les épaules, puis soupire, tout en regardant la veuve... pis elle reprend ses esprits (car plusieurs)..
Bonjour Dame petronile, faites , faites... vous avez de la chance vous êtes decidée vous, pis le marché a l'air d'être conclu entre vous et l'ex recteur...
Il refuse de faire credit..*mine de la cliente ou potentielle cliente deçue*
.*soupire et prend sa bourse, la regardant bizarrement, est ce que ça vaut le coup et le coût ou pas?", elle regarde en direction des esclaves, une petites de Taiwan les bains du Gers qui disait, surement , elle efrait l'affaire dans son echope...puis pour celui qui sait calculer ...c'est mort, la soulotte se decidait, à se mettre aux calculs et tout ça... pour eviter de revenir voir le marchand ...qui n'acceptait pas les credits....

Elle s'assoit encore à même le sol, puis se tient la tête , elle reflechit...en regardant la veuve et le marchand, pis de temps en temps par curiosité , Thays et le nobliaux... pis aussi, d'une regard envieux, les esclaves......
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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!

Thays

Airic a écrit:

- Vous déssiez toujours être raccompagnée ?

Thays observa le vendeur.

Le vieux, je repasserai peut-être. Cela t'apprendra à m'avoir fait attendre.
J'ai des perspectives plus intéressantes...

Elle se tourna vers le nobliau, lui offrant un sourire des plus charmeurs.

Puis, inclinant la nuque en guise de remerciement...

Bel inconnu, comptez-vous me raccompagner, vous sur votre destrier et moi à pied ?
Ou me feriez-vous une place tout contre vous ?
Vous ne semblez pas être un rustre...
Il faudra bien me tenir, je ne monte pas souvent à cheval...il serait fort dommage que vous ayez à me ramasser.

Un sourire malicieux en coin, elle n'attendait qu'une invitation...

Airic

Elle était mal à l'aise en cheval ? Voilà qui gênait quelque peu le jeune homme.

- Ma écoutez, je souis ploutôt pressé, je ne pouis pas prondre de retard. Je suis passé dévant une petite auberge en arrivant, le Com-bien o quelque chosse comme ça. Il réfléchit un instant à ce qu'il venait de dire. Le Bon Coin ! C'est come ça que ça s'appelait.
Enfin toujours est-il que j'y ai vu des carrioles sans mulets. Si vous avez du mal à marcher, il ne vous reste plous qu'à trouver une âne.
Scusatemi signora, vous n'aurez qu'à mander Airic Dicarpetra lorsque vous passerez à Toul, que vous ne gardiez pas de moi une souvenir de malotru.

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Thays

Fichtre, sa tentative avait lamentablement échoué. Mais pas totalement en fait : l'homme ne l'avait pas rejetée...et puisqu'elle n'avait rien de particulier à faire, après tout, pourquoi ne pas s'y rendre. Ça lui apprendra à jouer celle qui ne sait pas monter pour se rapprocher...elle qui montait à cru !

Bien, j'irai donc là bas et je vous y attendrai.
J'espère faire la connaissance du "non" malotru que vous êtes...
Il va falloir vous rattraper, ajouta-t-elle malicieusement.

Elle lui tendit la main en guise d'au-revoir.

Thays... charmée...

Barberine

Barberine était restée quelque peu silencieuse, le réponse de Force jaune à sa requète l'ayant passablement débousolée.

Citation:

finalement elle ne prit pas de décision dans l"immédiat.

Elle regardait la présentation, tout en observant le manège de la dame, et ses tentatives qui tournaient court.
Ne voulant pas s'en méler elle ne lui dit pas qu'elle était aussi de Toul et qu'elle avait déjà rencontré l'élégant cavalier là bas.
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Airic

Airic descendit de cheval avec aisance et attrapa la main de ladite Thays. Il baissa la tête et y déposa un baiser.

- Moi dé même.

Les politesses faites, il regrimpa sur son palefroi avec tout autant de facilité et lui donna de grand coups de talons dans le ventre. Le vendeur vulgaire l'avait assez retardé pour rien. Le cheval fila au galop vers Toul.

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Forcejaune

FJ regardait le manege de tout ce monde. Hormis Ptromille et Zahra les autres commençait à le fatigué à gesticuler dans tout les sens.
Quand il entendit Ptromille lui dire qu'elle voullait l'enfant et qu'elle avait les 420 ecus, il demanda vite qu'on le lui amene, le petit. En attendant qu'il arrive, il luit dit :

Non je n'ai pas oublié, et puis j'ai demandé à ce qu'on vous amene le p'tit gars. Vous avez ma parole que vous ne serez pas déçue... Toutes les personnes qui m'ont acheter quelque chose n'ont jamais été deçu.

Il leva la main, tourna la tete et cracha, en signe promesse. Il voyait Zahra qui n'avait pas l'air joiasse de ne pouvoir obtenir credit, mais les affaires sont les affaires. On ne pas faire une fleur, sinon c'est la fin du commerce. Et puis, il savait pas ce que la donzelle faisait dans la vie, son metier, ses hobbies, son mari etc.

Quand il entendit ce que lui dit Thays, il ne dit rien. Du moins à haute voix. Mais il gromnela à lui meme, à voix basse, sans que personne ne puisse l'entendre, surtout pas cette derniere :

Bah casse toi la grosse, et embete pas ceux qui travaillent...

Zahra.2

Zahra toujours assise, se tient la tête , puis reflechit en core et encore, elle observe la scene, le nobliaux et la dame Thays, sourit un peu amusée, mais tout de suite, son attention et attirée par le commerçant,ayez, la dame Petronile était servit, la saoulotte se leve lentement, prend le temps de se depoussiérer un peu, puis regarde Barbie, elle se posait quelques questions, la touloise était-elle toujours interessée ou le mythe du mignon petit esclave tombé bêtement à l'eau... Elle s'approche un peu plus des esclaves, les regarde un à un, puis regarde sa bourse, la secoue, et écoute sa petite monnaie "clinguées ", elle sourit... puis se dit "de toute façon il est bientôt temps que je passe à l'operation manche en Lorraine pour devenir notable et il faudra que j'aprenne à negocier et faire la plus miserable des futures notables, mais que je paraisse assez serieuse comme je peux l'être quand je suis sobre, pour convaincre que je rendrais mes emprunts, que se ne seront point des dons mais un prèt, et que je serais digne d'être une future fonctionnaire reconnue de Lorraine"...*rêvasse et soupir*, ça vaut le cout de foutre 400 ecus dans cet achat? ...
Elle regarde le vieux ForceJaune, puis encore sa bourse,

Citation:

Vous avez ma parole que vous ne serez pas déçue... Toutes les personnes qui m'ont acheter quelque chose n'ont jamais été deçu.

Ses paroles raisonnent dans sa tête,et de plus en plus elle les veut ses esclaves... Elle baisse la tête; puis s'approche du vendeur..

Sieur ForceJaune, par vos parole , j'apprend que vous refuser catégoriquement le credit, ou le paiement séparée... je ...*hésite*
Elle prend sa bourse et la tend au marchand,

Elle se penche vers lui, pas trop près car elle sentait la liqueur de mirabelle, parfum naturelle de Zahra, qui avait le don parfois de lui faire faire des folies et lui murmure...

Voici 400 ecus..., je sais ...c'est pas heu...*hesite un peu honteuse depuis le debut qu'elle dit qu'elle en voulait 4* c'est pas 1600 ecus... je suis bien loin du compte , sieur.. mais..je ne tiens pas repartir ce jour bredouille comme la fois dernière, pis votre courrier m'indiquant que vous etiez à la recherche d'un autre commerce vu que celui -là bé , il avance pas trop...je serais triste de ne pas avoir conclu cet achat... désolée, si vous en avez d'autres....quand je serais...un jour ..riche..bien je vous en prendrais volontier d'avantage...* Elle baisse le regard , fixe ses bottes, très deçue, puis releve la tête essait de ne pas montrer sa deception, elle jette un regard vers la veuve Renard qui avait l'air rapide en affaire, puis Barbie, qui était un peu ailleurs pour Zahra.
Elle sourit au marchand, puis regarde à nouveau les esclaves, puis lui dit

en fait Sieur ForceJaune, lequel vous me donnez? j'en veux un ou une qui sait lire, ecrire, qui aime rire, pis sourire même quand y a rien qui fait rire, même quand il est pas content, je veux qui sache aussi coudre , et filer la laine, de cette façon , il me liberera un peu dans mon echope, il me secondera... pis aussi, je veux que se soit un bon cuisinier si possible... car j'en ai marre de manger dans les tavernes .. pis autre chose , sieur, je veux qui sache aussi... mmm, manier l'épée et le bâton, car on s'amusera à faire des combats var à l'ost j'en ai un peu marre de m'entrainer avec les mêmes... me faut un nouveau souffre douleur!

Elle sourit satisfaite de sa description, puis attend que le vendeur lui emballe la marchandise et qu'elle se casse de l'etale avant qu'une armée ou autre debarque pour casser son plan esclave.. bien qu'elle est deja preparé sa plaidoirie au cas ou on lui porterait comme accusation "esclavagisme"..

Bon, le compte il est bon dans ma bourse, pis j'aimerais beaucoup l'avoir des maintenant mon esclave, je ne veux pas être encore une fois, interrompue par une quelquonque armée ou même , par d'autres clients ...*toise du regard la veuve Renard, du genre à bon entendeur!!!*
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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!

Barberine

Barberine avait regardé Zahra faire en souriant :

Il faut dire qu'elle sait mener une transaction, mais en fin de compte pas de crédit, comme les autres.

Elle hésitait encore :

Ai je vraiment besoin d'un gentil petit mignon , besoin, non, envie oui !

Attendons je vais peut être avoir une surprise, là je me défais sans hésiter des 400 écus. c'est pas que je sois pingre mais j'en veux pour mon argent

Elle jette discrètement un oeil à sa bourse et attend en silence.
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Thays

Thays admira les flancs... du cheval qui s'éloignait au galop, naturellement...en lorgnant éhontément sur ceux de son cavalier puis en remontant sur son port maintenu et altier. Une taille ravissante, juste de quoi enlacer avec délice, des mains douces et fortes à la fois...un frisson lui parcouru l'échine.

Puis, avec un sourire de chez sourire, elle se retourna vers les Dames, les yeux pétillants de malice.

Mesdames... Je vous dis à bientôt... il me faut aller vers Toul dès à présent, c'est que j'en ai des choses à voir.
Merci pour votre sympathie, ainsi que pour le... jus...

A la généreuse bienfaitrice elle adressa un clin d'oeil. Faudrait qu'elle lui fasse goûter des alcools de chez elle un de ces jours... ça lui plairait certainement, ainsi qu'à sa comparse, pour sûr !

Au vieux, elle n'adressa pas même un salut, si ce n'est qu'un regard froid et une maigre inclinaison de la tête, politesse oblige.

Le vieux...

Elle s'en retourna et, de la démarche tranquille du félin qui s'approche vers une proie qui n'a pas d'issue, elle s'en alla nonchalamment à travers champs.

Toul, me voici...

Forcejaune

Zahra accaparait le temps de parole. Mais ou etait donc le partage equitable de parole. Que fait le CSA. Il laisse le monopole a une minorité de personnes qui peuvent se permettre de tout faire. Et la majorité n'ose pas s'elever contre cette racaille campagnarde...
Heu, oui bo, je m'emporte un peu. Revenons a nos personnages. Donc, Fj etait obligé, malgré lui, d'ecouter l'alolo crasseuse. Quand elle lui dit qu'elle n'avait que 4OO ecus, il lui dit :

Et bah t'en prend qu'un d'esclave... on va pas se faire suer le front pour rien... et on en parle plus...

Mais quand elle lui dit qu'il lui fallait un qui sache lire, ecrire, rire, sourire, coudre, filer la lainen la cuisine, manier l'épée et le baton et etre un souffre douleur... Il faillit se mettre a li rire au nez... Il reussit à garder son serieux tant bien que mal...puis lui dit :

400 ecus pour un esclave, c'est le prix pour un esclave habituel. Comme le p'tit pour Petromille... (oui bon je sais le prix est a 420, mais c'est un petit arrangement entre amis) Par habituel, j'entends qu'il sait faire reelement bien faire deux ou trois chose. Le p'tit c'est lire, ecrire, et compter... J'ai d'autre esclaves qui savent tres biens faire la cuisine, servire a boire et le menage etc.

FJ s'arreta, un court instant, puis reprit, avec un tres grand sourire :

Mais la, avec toute les qualité demandées.... il vous en faut bien 4... Mais je vous avoue que j'en ai bien deux ou trois qui pourrais presque vous satisfaire... mais la qualité ça se paye... on a passé beaucoup plus de temps pour les former (bah oui puisqu'un esclave moyen on le form pour deux ou trois taches, tandis que lui c'est une dizaine) et donc c'est du temps, et que le temps c'est de l'argent... De ce fait, cela commence a etre un esclave de luxe... Il coutera bien plus cher que 400 ecus... je ne suis pas sur que puissez payer... en ecus sonnant, j'entends...

Zahra.2

Citation:

Mais la, avec toute les qualité demandées.... il vous en faut bien 4... Mais je vous avoue que j'en ai bien deux ou trois qui pourrais presque vous satisfaire... mais la qualité ça se paye... on a passé beaucoup plus de temps pour les former (bah oui puisqu'un esclave moyen on le form pour deux ou trois taches, tandis que lui c'est une dizaine) et donc c'est du temps, et que le temps c'est de l'argent... De ce fait, cela commence a etre un esclave de luxe... Il coutera bien plus cher que 400 ecus... je ne suis pas sur que puissez payer... en ecus sonnant, j'entends

Zahra le regarde, elle pensait que le prix était identique, à la base l'ex recteur de Lorraine lui avait dit " 400 ecus", puis il était vrai que vu son état d'ivresse elle n'avait pas porté d'importance au contrat qu'elle avait signé, les paroles du marchand raisonne dans sa tête, ayez les 400 ecus lui était confié au commerçant, elle lui faisait confiance, mais ces dernières paroles la laissent quelque peu hesitéante, ou curieuse... le commerçant va-t-il lui accordé un credit?... paiement différé... Elle avait remarqué que pour Dame Petronile les affaires étaient rapides, peut être de la concilliation et de la facilité entre bourgeois de la capitale..

Sieur Forcejaune, je vous ai proposé de payer en plusieurs fois, vous refusez, je vous ai proposé de vous payer en nature, c'est-à-dire, la seule chose que je sache faire de mes mains*suspens*, des vêtements, on m'a parlé d'un autre commerce que vous aviez, je me ferais un plaisir d'habiller vos "femmes", ou employées, je ne suis pas beaucoup portée sur le luxe, mais j'aime les bonnes affaires Sire ForceJaune, ainsi un esclave de "luxe" comme vous dites, m'interesserait plus qu'un gueux comme moi, et je n'aurais pas de honte à ce que je sois instruit par un ou un esclave!
Mes vêtements sont reconnues de qualité, si vous le voulez bien...si vous changez d'avis, je vous paierais en nature, enfin avec mes vêtements!...car vous avez bien deviné, je ne pourrais point vous payer avec de la monnaie sonnante..

Elle reprend son souffle, c'était fou, le marchand était dur en affaire, elle avait l'impression qu'elle causait à un mur, encore quelques minutes et il allait faire comme elle, quand elle a des clients indécis dans son echope...
"casse toi, va au marché, y en a plein des vêtements ! J'ai pas de laine, je l'achete au prix plus fort, je te fais le meilleurs prix, pis tu oses gratter encore une reduction! Pis quoi encore, y a pas marquer "vêtements d'occasion", si tu veux des haillons, va chez le conseiller du comte il en fournit gratis! Moi se sont des vêtement bon marché mais de qualité unique! La meilleure!".... et oui encore un peu et le marchand d'esclave allait surement l'envoyer à Taiwan les Bains dans le Gers qu'il dit, pour qu'elle se fournisse elle même... esperant qu'il accepte sa proposition, elle sse tait et regarde Barbie et la veuve Renard.
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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!

Ptronille25

Pétronille s'impatientait devant tant de parlotes. Elle n'avait pas que ça à faire. Elle devait encore acheter son pain et passer voir Bulle dont elle était sans nouvelles ce qui l'inquiétait. Elle s'était aussi promis d'aller ce jour mettre un cierge à l'église Sainte- Epvres pour solliciter la protection de sa patronne.
Si le marchand ne lui amenait pas le petit, elle n'aurait jamais le temps de tout faire.

Son pied commençait à marquer le rythme de son impatience ...
Alors marchand ! Où est l'enfant ? Tu me dis qu'on l'amène, mais je ne vois rien venir ... Et n'essaye pas de m'en faire accroire, tu n'auras pas un denier d'avance !
Va donc présentement t'occuper de mes affaires pendant que ces dames réfléchisssent à leurs futurs achats. Je n'ai pas toute la journée devant moi !

Elle regarda avec exaspération Zahra qui mégotait pour essayer de tirer les prix comme si 10 écus de plus ou de moins changeait la donne, et s'éloigna de trois pas pour tenter d' attirer le marchand.
Où est-il ? s'écria-t-elle en haussant le ton
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Pétronille veuve Renard
Bougmestre de Nancy
ex-Tribun de Verneuil en Alençon

"Le Whisky Selee, le Whisky qu'il vous réjouit!"

Forcejaune

FJ voyait bien que Zahra ne pouvait pas payer...mais il aimait bien jouer au jeu auquel il jouait... du moins avec elle...Il avait bien plusieurs solutios en tete, plus ou moins de façon precises... Mais il n'avait encore rien décidé... beaucoup dependait notament de sa chere, tres chere, O combien chere cliente... Il riait presque d'avance des issues que pouvait prendre cette vente... Il s'approcha d'elle et lui glissa a l'oreille, d'un air, plus que malicieux...

J'ai l'impression qu tu le veux cet esclave... mais jusqu'ou es tu prete a aller pour l'avoir...

Il eue pas le temps de tout finir que Petromille commença a gueler inutilement... Puis, il decida d'elever la voix a son tour, en s'approchant d'elle, apres avoir passé sa main sur le derriere de Zahra :

Qu'ouie je... que vois je...ue cliente qui s'emporte... mais vous etiez devant moi quand j'ai demandé à ce que l'on m'amene l'enfant... il ne devrait pas tarder...vous etes fort impatiente, ma foi...

En disant ceci, l'enfant arriva, accompagné par l'un des hommes de mains du vendeur le plus connu de Lorraine. C'etait bel et bien le meme enfant presenté la premiere fois, qui avait fait ses preuves...
Puis fj dit :

Voila la marchandise, ma p'tite dame... à vous de faire le reste

Zahra.2

Zahra suit du regard le vendeur qui s'approche un peu plus d'elle, elle se dit ayez... "il va m'envoyer voir ailleurs..." elle soupire legerement, et le marchand lui pose une question ...

Citation:

J'ai l'impression qu tu le veux cet esclave... mais jusqu'ou es tu prete a aller pour l'avoir

Elle baisse la tête, et se triture la chemise, elle reflechit... elle se dit , que le marchand doit le faire exprès, elle lui a fait des propositions... des vêtements en rabais... qualité "Zara prix Tati comme elle disait à ses clients la Zahra... sans savoir ce qu'était le zara surement elle et le tati; surement tati un derivé de Alti Altesse faisait elle des prix cassée?
En même temps la veuve qui râle, decidement la dame était plus que pressée, voire desagreable quand elle avait des affaires... surement les jettons d'être interrompue par une garde quelquonque la dame, un peu comme elle d'ailleurs.. elle se concentre sur le marchand, "hum y a moyen de moyenner, "? ... Pas le temps de repondre... pas le temps de reagir, qu'elle ressent, la main du vieux effleurait ses fesses..
puis *tilt* jusqu'où était elle prete à aller pour l'avoir son esclave de luxe? ... juste un mouvement de recul, un peu génée, loin d'être farouche la Zahra, mais elle se laissait jamais approcher par n'importe qui..... puis regardant dans les yeux le vendeur... un regard assez special... qu'il avait.. la laissant un peu perplexe... à se questionner... à quoi qu'il pense là?.... nan quand même pas heu? .... elle lui murmure ..

on pourrait en parler.... faites moi une proposition...je vous ai dit... paiment différé...ou bien en vêtement pour vos filles ... ou bien ..enfin comme vous voulez... j'ai l'impression que vous êtes un peu plus ouvert que tout à l'heure... si je peux vous payer en liqueur de mirabelle... je le ferais volontier... ou enfin...*hesite*

Elle regarde à nouveau en direction des esclaves, puis elle regarde le petit qu'avait acheté la veuve... elle sourit poliement à la veuve renard, après tout la Zahra ne lui en voulait pas de passer devant elle ... pis de monopoliser l'attention du vendeur ...alors qu'elle luttait pour avoir ses esclaves... et que elle là... bien ayez elle l'avait... un terrible péché qu'est l'ENVIE!
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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!

Ptronille25

Pétronille regarda le garçon s'avancer, poussé par l'un des hommes de main de ForceJaune. Il était pâle mais ne semblait pas maltraité outre mesure, apeuré plutôt. Elle tendit d'une main la lourde bourse au marchand, tentant de dissimuler son mépris du mieux possible, et posa l'autre avec douceur sur l'épaule de l'enfant pour le rassurer. D'un signe du menton, elle avait fait reculé le gardien.

Tenez, voici le compte de ce qui était convenu
Le marchand empoigna aussitôt la bourse, les yeux pétillants de satisfaction.
Sans plus se préoccuper des autres, elle s'accroupit devant le jeune garçon pour être à sa hauteur et lui sourit gentiment.
Je m'appelle Pétronille. Tu vas travailler pour moi désormais. Et toi comment te nomme-t-on ? Es tu baptisé ?
Le garçon baissa le nez .
Et bien ? je t'écoute ?
Suis pas baptisé dame. Vous allez pas vouloir me prendre, c'est ça ?

Devant son inquiétude, Pétronille ne poussa pas plus loin son interrogatoire, se gardant le soin de le questionner plus tard en chemin.
Hum, tu apprendras que je n'ai qu'une parole et je n'ai pas pour habitude de changer d'avis pour un rien. Tu n'es pas baptisé ? Nous y remédierons. Ta présence à mes côtés en sera encore plus agréable aux yeux de Dieu.
Je travaille pour Messire Selee, qui est surement le plus pieux de tout Nancy. C'est un homme bon pourvu qu'on ne le contrarie point. Il me dira comment faire.

Elle se releva et lui pris la main.
Viens avec moi, nous allons passer à mon auberge, puis nous irons au manoir des De Dhoyes. J'y attends une livraison de denrées qu'il faudra ensuite charger pour ramener en gargotte.
As tu déjà entendu parlé de Selee ô Mon Selee ? Non ? hum ... Il va falloir tout t'apprendre alors !

Elle s'éloignait avec l'enfant mais on entendait encore sa voix qui expliquait :
Messire Selee a pour idée de faire une Fondation SM (Selee contre la Misère). Une noble action pour notre duché, tu verras.
L'enfant essayait de caler son pas sur le sien, les yeux écarquillés et les oreilles en écoutilles, absorbant par goulées toutes ces nouveautés.

Il a de grands projets pour la Lorraine tu sais. C'est une grande chance pour toi que de compter parmi ses gens. Il te faudra en être digne et montrer que les écus que j'ai donnés au marchand ne l'ont pas été pour rien.

La voix de Pétronille se perdit dans le dédale des ruelles.
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Pétronille veuve Renard
Bougmestre de Nancy
ex-Tribun de Verneuil en Alençon

"Le Whisky Selee, le Whisky qu'il vous réjouit!"

Mun

De retour depuis quelques jours le Vidames itinérant avait eu vent de chose qui se passait en Lorraine.
Secouant le jeunot plusieurs fois afin d’être certain d’avoir bien compris ce qu’il venait de dire, Mun le lâcha lui donnant plusieurs miches de pain pour les nouvelles qu’il venait d’entendre.
S’en retournant vers l’auberge ou il avait pris domicile, bousculant quelques personnes présente, s’est quater à quatre qu’il monta les escaliers qui le menait à sa chambre.

Se parlant intérieurement
Ce Force Jaune n’arrêtera donc jamais
tout en se souvenant de la maison close qu’il avait ouverte.
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Vice Dominus Veteranus

Forcejaune

FJ ecouta peine Zahra, car il ne pouvait s'empecher de voir partir son p'tit esclave, avec Petromille... Certes, il avait obtenu le prix qu'il souhaitait, mais quand meme... tout le mal qu'il s'etait donné pour lui apprendre ce qu'il savait... mais les affaires sont les affaires...

Fj resta songeur un bon moment, puis, il regagna sa roulotte sans adresser un seul regard (encore moins une parole) a Zarha tout en tatant la bourse contenant tous ces jolis ecus...

Zahra.2

Zahra voit la veuve Renard partir , le petit esclave à son bras, elle est heureuse de la voir enfin éloigner, peut être que le marchand va lui refiler son esclave à elle...après tout elle lui avait donner sa bourse de 400 écus tout rond sans 1 denier de plus ni de moins, certes elle était moins convaincante puis surement un peu plus radine que la veuve.

Le visage du vieux se fait un peu songeur, de la nostalgie?
Puis il baisse la tête et il se dirige vers sa roulotte, la Zahra le regarde un peu troublée, quoi ? Il va lui chercher un esclave à l'intérieur de sa roulotte sûrement, ou bien il va compter ses sous, comme elle fait à chaque fin de transaction, ou bien le vieux serait-il en train de la "gruger"?

Un petit coup de panique vite fait, aurait-elle balancé 400 écus trop vie?

Elle s'approche des esclaves, fait mine de patienter, puis se dit, que si au bout d'une heure de temps le vieux ne sort pas de sa roulotte, elle se servira toute seule, elle en prendra 4 au prix d'un... le plus discrètement possible, sinon.... elle jette un regard aux "manœuvres" de FJ; leur fait un de ses plus beaux sourire niais et un peu aguicheur... puis fixe les esclaves un à un...

Les manœuvres étaient armés, elle regarde Barbie qui était toujours là , puis s'approche en douce de celle-ci...

Elle lui dit discrètement :

Dis-moi, Barbie, t'es témoin là, tu vois je viens de refiler 400 écus à ForceJaune, dans l'espoir d'avoir un esclave comme je veux, là il vient de s'éclipser dans sa roulotte...
dis... t'sais bien que tu sois lieutenant de Police à Toul, personne ne saura ce que j'ai l'attention de te demander de faire... t'es armée à ce que je vois...? *sourit, la regarde d'un regard de mendiante ou de petite fille qui veut qu'on lui rende un service* bon y a quelques hommes de Force Jaune, mais bon on s'en fiche, si FJ ne sort pas de sa roulotte dans les quelques minutes qui suivent.... tu vas me donner un sacré coup de main... on embarque les esclaves, je t'en laisserais la moitié si tu veux, ou on les laisse à la cathédrale de Toul pour le reste... moi je veux que 4 esclaves à la base, par contre pour faire le tri , entre les savants et les ignorants ça va être chaud*..

Elle respire un coup, puis la regarde dans les yeux attendant sa réaction, elle continu à jauger la marchandise...

Elle songe encore à son plan, en prenant son temps..

Barbie...stoplé dit oui... tu me suis? ...j'ai vraiment envie d'avoir des esclaves moi...pis poireauté comme on fait...il est tellement dur en affaire le vieux... je te jure ... pis on est pas obligée de se battre contre eux là, on peut utiliser ta bouteille de mirabelle.... puis avec nous deux ça fera l'affaire comme distraction... une fois pompette , on les ligotte, puis on les prend les esclaves...? dis moi OUI!!!
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Forcejaune

Soudainement, alors que Zahra faisait tout son cirque (comme d'hab, quoi...) et que FJ buvait un verre (oui, lui aussi, comme d'hab...), ce dernier lui dit à lui meme :

Oh le con ! J'ai oublié l'autee grognasse de service... si je l'appelle pas tout de suite, elle va encore me faire des grosses conneries comme elle sait si bien les faire.
Oh le tres con !

Il appella d'une voix forte Zahra :

Zahra, montez dans ma roulotte pour me rejoindre, et tout de suite... nous avons, je crois, à parler affaires aux sujets de mes excellentissimes esclaves.

FJ prépara un deuxième verre, pour sa cliente...

Zahra.2

Citation:

Zahra, montez dans ma roulotte pour me rejoindre, et tout de suite... nous avons, je crois, à parler affaires aux sujets de mes excellentissimes esclaves.

Elle regarde Barbie...pis ecoute la voix du vieux...

oulalalala, Barbie, mince alors je crois que mon plan de vol va se planter! le vieux ne m'a pas oublié! tsss! bon, je te demande de m'excuser, vais aller taper une dernière negociation avec lui, si tu vois que je tarde trop... tu me rejoins, des fois que je me saoule un coup et que je ne repond plus de mes actes... *se marre* j'aimerais pas me retrouver dans une sale posture, si tu vois ce que je veux dire , héhé!

Bon, pour le vol d'esclaves, on tentera une autre fois,... il a pas oublié que je lui ai filé mes 400 ecus, j'éspère qu'il va me donner l'exclave qui sait tout faire...

Elle se dirige vers la roulotte et entre, surement qu'il va lui refaire signer le contrat, mais bon...

Sieur ForceJaune, pendant un court instant, j'ai cru que vous m'aviez oublié, enfin je doute que la bourse de 400 ecus soit si legère..

Elle chasse son plan de la tête, puis se dit que les manoeuvres à FJ sont sauvés...pis les esclaves, tant pis, elle ne pourra qu'en acheter...pas les voler...
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Barberine

Barberine avait vu Zahra payer FJ, et le vieux sans un mot retourner dans sa roulotte.

Ne connaissant pas bien l'esclavagiste elle ne pouvait que se baser sur la mine inquiète de son amie pour craindre une entourloupe. Elle glisse alors à Zahra :

N'ai pas peur ma belle, je suis témoin j'ai vu ta bourse pleine de 400 écus sonnants et trébuchants passer dans sa main.

Elle allait lui expliquer que portant l'uniforme de la maréchaussée, elle ne pouvait pas participer à un vol, tout au plus à un emprunt quand tout à coup le vieux sortir de sa roulotte, comme un diable de sa boite et l'interpeller.

Citation:

Zahra, montez dans ma roulotte pour me rejoindre, et tout de suite... nous avons, je crois, à parler affaires aux sujets de mes excellentissimes esclaves.

un peu rassurée elle pense que l'affaire va s'arranger, cependant son amie n'en semble pas convaincue, elle lui glisse même à l'oreille avant de suivre le vieux :

.

Citation:

oulalalala, Barbie, mince alors je crois que mon plan de vol va se planter! le vieux ne m'a pas oublié! tsss! bon, je te demande de m'excuser, vais aller taper une dernière negociation avec lui, si tu vois que je tarde trop... tu me rejoins, des fois que je me saoule un coup et que je ne repond plus de mes actes... *se marre* j'aimerais pas me retrouver dans une sale posture, si tu vois ce que je veux dire , héhé!

Sur ce Barberine éclate de rire, sachant parfaitement de quoi cette dernière est capable .

Imaginant le tableau et secouée par les éclats de rire, elle parvient à lui murmurer :

T'inquiète je veille, le vol vaut mieux oublier pour le moment, mais s'ilveut te faire des misères fais le cri de la chouette, je serai là dans l'instant. Et foi de Barberine, il te le donnera ton esclave, avec des intérêts même, ou bien il me passera sur le corps.

En prononçant ces derniers mot elle a un hoquet de dégoût.
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Anais_ambrosia

Ana était arrivée depuis trois jours à peine qu’elle furetait déjà à Nancy. Le temps d’une journée elle avait délaissé ses affaires posées dans sa petite maison à Verdun pour faire un tour sur le marché de Nancy. Simple curiosité, elle ne comptait pas acheter grand-chose avec le peu d’écus qu’elle avait encore après son voyage.

Elle avait attaché Absynthe, son cheval, dans un coin et était partie se perdre parmi les nombreux étals…enfin se perdre est une mauvaise expression. Anaïs ne se perd pas. Sa sœur jumelle oui. Mais Ana non. On pouvait très bien être blonde et pas tout à fait stupide. Bref reprenons…
Ana était donc en train de regarder tous les étals quand un attira plus particulièrement son attention. Il y avait une roulotte moche, selon Ana, voire même très moche, toujours selon Ana. Auprès de la roulotte des gens qui auraient pu être aussi moches que la roulotte mais qui étaient tout à fait normaux, et puis à coté d’autres gens qui étaient attachés par des chaines avec des regards sombres et vides. Eux n’étaient pas non plus moches, juste très maigres et visiblement pas du coin. La Ambroise regarda plus précisément l’étal, histoire d’être sure de ne pas halluciner et conclu que non elle n’avait pas des problèmes de vue.

Des esclaves. Elle n’en avait jamais vu auparavant. Pas en Bourgogne, ni en Rouergue. Ni même pendant son voyage. Spécialité locale ? Mouais…La blonde n’était pas convaincue par l’utilité des esclaves. Qu’on les embauche et qu’on les payes un peu tout en les logeant, pourquoi pas, les acheter pour les faire travailler n’importe comment elle ne trouvait pas ça nécessaire. Elle en avait entendu parler certes, mais maintenant qu’elle avait la preuve que les esclaves existaient vraiment, elle était sceptique. Question de point de vue. Ils étaient peut être différents ces gens. Mais pas tellement. Ils avaient tous une tête, deux bras, deux jambes…enfin presque tous, mais ça même chez les nobles on pouvait trouver des canards boiteux comme des eunuques du haut. Question de point de vue là aussi.

La blondinette regardait toujours la scène avec ce même air détaché et froid qu’elle avait depuis quelques temps. Elle avait grandi (intérieurement, sinon c’était toujours une naine) et malheureusement pour les autres, son caractère s’en était retrouvé empiré. Ses yeux bleus lui donnaient encore plus cet air distant mais tellement joli chez elle. Ana s’attendait presque à ce que le marchand vienne lui vanter les mérites de ses « marchandises » dans l’espoir de lui en refourguer deux ou trois, mais il aurait fallu que la blonde se fume un prunier tout entier pour accepter ne serait-ce qu’un cheveu d’esclave. Ainsi pour éviter d’avoir à faire avec le négociant elle décida de tourner les talons. Elle jeta un dernier regard sur les pauvres esclaves qui allaient finir par exemple chez un petit bourgeois chauve et radin, ou pire, chez un noble du style prétentieux avec la mèche dans l’œil pour faire genre (parce que des nobles non prétentieux ça existe, si si) puis partit vers d’autre étals pour ne pas déranger les futurs clients potentiels car elle se doutait bien qu’il y en aurait un certain nombre. Et puis en fait elle se fichait de les déranger, c’est surtout elle qui n’avait pas envie d’assister à ça et que bon, rester planté là ça servait pas à grand chose.
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Forcejaune

Quand Zahra fut dans la roulotte, en face du sacro-saint vendeur d'esclaves, elle vit un joli petit verre rempli d'eau de vie mirabelle devant elle. Elle fut invitée à boire, et que si par mégarde, elle avait encore soif, il y avait encore de l'eau (de vie) dans la bouteille .
Avant qu'elle ne décide de quoique se soit, FJ fit glisser délicatement sur la table, jusqu'à sa cliente, la fameuse bourse de 400 petits écus. Il eue un léger rictus de désolation. Puis, il décida de commencer la discussion :

Bon je ne vais pas y aller par quatre chemins. Tes 400 écus, tu ne peux avoir qu'un seul esclave de classe moyenne. Je veux dire par la qu'il ne sera bon que dans deux ou trois domaines. L'écriture, la cuisine, par exemple... et tu n'en aura qu'un seul avec 400 écus...
Si tu en veux quatre, d'esclaves, de classe moyenne, il t'en faudra débourser 1600 écus. Et tout de suite. Ou alors tu m'achètes le premier, je te réserves les 3 autres, et tu viens les payer quand tu auras l'argent. Et tu ne les aura qu'à ce moment la.

FJ fit une petite pause. Il vida son verre, se resservit, et laissa la bouteille sur la table bien en vue de sa cliente. Puis, il reprit, sur le même ton :

En revanche si tu veux un super esclave, qui sache faire plein de chose, il te faudra débourser au minimum 1000 écus. Une fois la somme payée, tu auras l'esclave.
Mais si tu ne peux pas payer, tu as deux solutions : soit tu n'auras pas d'esclaves, soit tu travailleras pour moi dans ma maison close en tant que fille de joie et tu passeras un certain nombre de nuits avec moi. Alors, quand j'aurais décidé que tu te seras acquittée de ta dette pour ton ou tes esclaves, tu pourras repartir avec.

FJ resta silencieux un moment. Il regardait droit dans les yeux Zahra. Pas spécialement pour l'impressionner, mais pour la pousser dans ces derniers retranchements pour qu'elle prenne une décision...

Zahra.2

[ dans la roulotte...seule avec le marchand ]

Zahra s'assoit face au marchand, il était prevenant, un verre puis de l'eau de vie, la saoulotte ne se fait pas prier, elle boit à petite gorgée le "nectar", esperant ne pas être troublée et transactionnée avec le vieux. Elle reste silencieuse, de loin on pourrait penser que c'est de la timidité, au fond, c'est juste qu'elle attendait que l'ex recteur competent de Lorraine, brise le silence et lui fasse une proposition...afin de conclure la vente qui s'eternisait..

Citation:

Bon je ne vais pas y aller par quatre chemins. Tes 400 écus, tu ne peux avoir qu'un seul esclave de classe moyenne. Je veux dire par la qu'il ne sera bon que dans deux ou trois domaines. L'écriture, la cuisine, par exemple... et tu n'en aura qu'un seul avec 400 écus...
Si tu en veux quatre, d'esclaves, de classe moyenne, il t'en faudra débourser 1600 écus. Et tout de suite. Ou alors tu m'achètes le premier, je te réserves les 3 autres, et tu viens les payer quand tu auras l'argent. Et tu ne les aura qu'à ce moment la.

Elle regarde le fond de son verre vide, puis lorsqu'elle entend les paroles du marchand, elle prend son temps, elle prend la bouteille, puis se ressert, genre à l'aise la demoiselle, puis boit une gorgée, elle montre un léger mecontentement face au bon calcul du vieux, la belle avait bien deviné qu'il lui fallait 1600 ecus pour avoir les 4 esclaves... Elle hoche la tête, sans rien dire, le vieux se ressert un verre, surement qu'il allait être un peu bourré, qu'elle pourrait en profiter pour "taper la negociation"...

Citation:

En revanche si tu veux un super esclave, qui sache faire plein de chose, il te faudra débourser au minimum 1000 écus. Une fois la somme payée, tu auras l'esclave.

Elle soupire legerement, 1000 ecus, namého , ... puis elle reste attentive..

Citation:

Mais si tu ne peux pas payer, tu as deux solutions : soit tu n'auras pas d'esclaves, soit tu travailleras pour moi dans ma maison close en tant que fille de joie et tu passeras un certain nombre de nuits avec moi. Alors, quand j'aurais décidé que tu te seras acquittée de ta dette pour ton ou tes esclaves, tu pourras repartir avec.

Zahra en écoutant la seconde proposition , prend la bouteille , sans trop reflechir, puis bois le contenu , cul sec, qu'est-ce qu'elle pensait? Entre faire le cri de la chouette, pour dire à la miss Barbie de venir car elle était au bord de la volonté de faire des conneries... ou bien rester muette , et laisser l'eau de vie faire son effet... ivresse, trop sobre la "cliente" était vide, sans repondant, morte... voire stupide.. mais avec la bouteille de vider, elle se sentait un peu plus dans la capacité de repondre au vieux...

Celui-ci avait plongé son regard dans le sien, pis la Zahra imagina , l'inimaginable, punaise elle la belle Zahra, la fougasse, la "posée", celle qui voulait progresser dans la vie sociale... celle qui pouvait faire preuve d'intelligence parfois, si si ça lui arrivait ... elle qui avait eu le droit de vivre des belles histoires d'amour , puis qui avait été "pure"... et tout ça...se retrouver déja dans un plumard avec celui qui la fixer là...pis d'autres crasses... la gueuse à ce moment là laisse echaper sa crise de hoquet qui marque son état... confus...

*hips* *hips* *hips* *hips**hips* *hîps* *hips* *hips* *hips* *hips**hips* *hîps* *hips* *hips* *hips* *hips**hips* *hîps*
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veuillez-m'excuser, je suis quelque peu confuse, à la base je voulais acheter ..4 esclave, bon si avec mes 400 ecus j'ai le droit, qu'au plus stupide de vos esclaves... je ne sais pas quoi dire... mais là ce que vous me proposer... vous imaginez vous?
une gueuse certe, qui va devenir Notable j'espere! Pis je suis dans le conseil ducal... bon entre nous, Sieur Forcejaune*hips*, quand on parle de frais de bouche et de la richesse des conseillers ducaux, se sont de vils mensonges! On gagne que dalle! Mais delà, à me prostituer chez vous , pour avoir des esclaves je trouve ça un peu décalé, certe je suis totalement décalée, pis suis aristolicienne*hips* mais j'ai quelques principes*hips*, j'ai failli passé par la case catin dans ma vie, je crois que j'y suis d'ailleur passée*hips* mais là, si je monte l'echelle sociale, pis qu'en Lorraine et de par le monde on apprend que moi Zahra j'ai été faire ma catin chez vous Sieur Forcejaune, pour avoir des esclaves....oulalalalalla*hips* la HONTE!!! *hips* entre nous je serais venue plutôt pour gagner des zecus , pas pour avoir des esclaves...*hips*

Elle detourne son regard vers la bouteille, qu'elle avait vidé sauvagement... *hesitation, puis elle ose tenter une autre negociation.

Sieur ForceJaune, je vous ai filé 400 ecus*hips*gardez les, je vous prend une jeune esclave à ce prix là, elle se prostituera à ma place, je l'habillerais, la pouponnerais, puis je vous l'enverrais metamorphosée en magnifique jeune femme, pis les écus qu'elle gagnera seriviront à me financer mes autres esclaves... bien , je trouve que c'est une excellente idée, vous savez, je suis sobre là,*hips* donc je sais*hips* ce que je dis!

Elle ose s'approcher de l'ex-recteur, et lui caresse la joue droite, la pinçant legerement, puis lui sourit malicieusement..

Je vois , messire. vous voulez le meilleur pour votre maison close, je sais bien que je suis mignogne on me le dit souvent *se la pete un peu oui oui*, pis si j'etais un peu plus ivre là desuite, je vous aurais bien croqué à pleine dent, mais je vais essayer de rester sage... juste pour mon image....

Zahra la catin de ForceJaune ça sonnerait mal, en plus.... ahlalalala*hips* vous êtes dur en affaire.... * lui sourit *

Alors que pensez vous de ma proposition, 400 ecus , vous me passer une fillette, je ferais d'elle la plus belle des catins de votre maison, elle me financera mes autres esclaves... je suis plus du genre à être tenancière de bordel , que.... être maitresse dans une chambre d'hôtel, ou vulgaire fille de joie....

Elle le regarde, un peu plus serieuse...attendant sa reponse...
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Barberine

Barberine avait regardé Zahra entrer dans la roulotte du vieux marchand.

j'espère qu'elle ne va pas se faire avoir, mais la connaissant elle saura bien retourner la situation à son avantage.

Elle sourit machinalement, marchant de long en large guettant soit un cri, soit la sortie de son amie, examinant la foule sur la place.

Son regard est attiré par une nouvelle venue qui toisait l'assemblé d'un air méprisant, s'attardant sur les hommes et femmes enchainés.

A son visage fermé elle devinait aisément ce que cette Blondinette pouvait penser de la situation.

La voyant tourner les talons, elle la chasse de ses préoccupations, attentive surtout aux évènements qui se déroulaient dans la roulotte du vieux.

A tout hasard elle s'assied sur la margelle d'un puits tout proche, à l'ombre d'un chène vénérable, guettant tout bruit suspect.

Pour patienter, elle porte de temps en temps sa fiole de mirabelle aux lèvres.
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Forcejaune

FJ toussota un bon coup quand l'impetueuse Zahra commença à s'approcher de lui. Un peu trop pres. Que diantre, les negociations ne sont pas encore fini. Gardons ça pour the happy end, comme qui dirait les grands bretons (et les petits suisses, eux, ils s'en foutent). Il pinça legerement la charmante demoiselle aux fesses, pour qu'elle recule un petit peu...
Soudainement, FJ se pencha sous la table. Il semblait chercher quelque chose. Quand il se redressa, il tenait dans chacune de ses mains une bonne bouteille d'alcool a bruler...heu d'eau de vie...(a la mirabele bien sur) Il les déposa fort délicatement sur la table. L'une vers Zahra, l'autre au milieu de la table, neanmoins apres s'etre servi un verre. Puis, l'ilustre recteur lorrain prit la bouteille vide et la balança hors de la roulotte, par la porte.

Puis, il se retourna vers elle, et lui adressad'une voix plus que ferme, tout en repoussant la bourse rempie d'ecus :

Je vous ai fait des propositions. Soit vous en accepeter l'une d'elle soit vous reparté de suite. Et sachez, que je ne vais pas me laisser dicter mes choix par une femme...

Zahra.2

Zahra observe le vieux, oulalalala, il recharge la table en mirabelle, pas sur qu'elle va repartir en titubant là , c'est en rampant qu'elle va rentrer chez elle... La saoulotte pense qu'il est peut être d'accord avec sa proposition, ce silence... pis le voila qu'il repousse sa bourse de 400 écus
... elle marmone :

Citation:

Je vous ai fait des propositions. Soit vous en accepeter l'une d'elle soit vous reparté de suite. Et sachez, que je ne vais pas me laisser dicter mes choix par une femme...

"tout de suite les z'hommes, il pensent que les femmes veulent dicter ...j'veux rien dicter moi*hips*, c'est juste une proposition..tsss"

Elle le regarde, puis reprend sa bourse, ...elle se relève ,lui tourne le dos sans rien dire, vue quelque peu flou, essayant de rejoindre la porte de la roulotte... puis elle fait un demi tour brusque , qui laisse echapé un *oulaaaaaaa du calmeeeeeeeeee* elle prend une des bouteilles d'eau de vie, elle ouvre sa bourse , prend quelques pièces et les jettes sur la table du marchand... toujours sans rien dire, elle lui fait juste un clin d'oeil, puis tente de ressortir maladroitement de la roulotte... Elle tient bien sa bouteille dans sa main... et tout cette scène en silence...

Pis une fois dehors, elle prend son manche qui est à la base une arme redoutable dans les mains de la jeune Caporale quand elle est en état de combattre, mais c'est tout naturellement qu'elle l'utilise comme canne, pour s'éloigner de la roulotte... pis quelques pas desiquilibrés plus tard elle se met à grommeller :

Namého! *hips*Pis quoi encore! chuis pas une catin! chuis plus une Catin ! Hors de question de me prostituer pour me payer mes esclaves! Je veux rentrer dans mon chez moi! *hips* vos esclaves vous pouvez vous les garder !*hips* puis c'est tout!

Elle s'arrete un moment debouche la bouteille, puis boit plusieurs gorgées; elle regarde une dernière fois en direction du stand, puis hausse les épaules, une fois la bouteille descendu, elle regarde en direction de Barbie... elles sont plusieurs pour Zahra, ayez, l'ivresse totale, et une envie de roupiller... elle laisse tomber la bouteille quasi vide (notez que le vieux et la saoulotte sont des pollueurs notoires en Lorraine), et titube vers Barberine, sans se retourner vers la roulotte... déçue ou convaincue que les esclaves ça restera un rêve de luxe, qu'elle ne pourra pas se payer honnetement... pis que le marchand est un mechant obsédé, très bon commerçant, qui refuse de baisser ses prix...pis qui a refusé la bourse de 400 ecus à la Zaza...

Elle murmure à Barbie...

T'sais *hips*quoi Ma Barbie,*hips* j'te jure au nom de la mirabelle! que je reviendrais avec mon plan de vol par ici, pis que je me servirais moi même dans le stand*hips* parcontre là j'crois que j'suis bien faite... je veux quitter la place... je voudrais pas faire de bétises étant pompette*hips*! J'ai laissé tomber la bouteille ,m**** ! plus une goutte pour faire la route du retour *hips*
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Barberine

Barberine sourit soulagée quand elle voit zahra sortir de la roulotte.
Complètement bourrée mais saine et sauve.

Elle s'approche de son amie, la prend par les épaule et lui dit.

T'inquiète ma Zaza, on verra ça plus tard l'important est que ce méchant vieux ne t'ai rien fait.

Elle regarde tituber en riant et esquisse à son tour quelques pas mal assurés. En tournant sur elle même , elle manque de s'étaler.

Regarde hipsss. hipsss. je ne vaux pas mieux que toi.

Et elle se met à rire sans pouvoir s'arreter
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Forcejaune

A peine Zahra eue t'elle sorti de la roulotte, que ce fourbe de FJ commença à sortir, avec la seconde bouteille d'eau de vie a la mirabele a la main. Mais, quand il vu qu'elle discutait avec, tres probablement, son amie, il s'arreta avant de descendre les marches. Il essaya d'ecouter la discussion, maisn il n'y arriva. Surement les degats de l'age et l'uage excessf, dans sa jeunesse, d'un certain mange... relativement grand et rigide...heu bon bref... je m'egard... ou en etais-je...? Ah oui...

Donc, FJ etait sur la palier de sa roulotte, quand il vit l'amie (plus que probable, rappelons le...) de Zahra s'affaler par terre comme une grosse truie violette (oui... heu bon désolé, c'est pas ma meilleur métaphore, j'avoue). A ce moment la, il decida de descendre les deux ou trois marches de la roulotte (au fait y en a combien...? quelqu'un a compté...?). Mais il s'affala comme une grosse buse.
Deux de ses manoeuvres accoururent pourl'aider à se relever. FJ les remercia, et encore plus le cel quand il vit que la bouteille etait intacte... Sans attendre quoique ce soit, il courut rejoindre Zahra et son amie, en leur disant, d'un ton malicieux :

Hop hop hop... j'arrive a temps, je crois... vous alliez partir sans me dire au revoir... ce n'est pas tres courtois tout ca, mes dames...
Au fait, je crois que vous avez oubliez la seconde bouteille, ma chez amie... on la deguste ensemble...?

Zahra.2

Zahra était hilare, elle voit son amie qui titube; qu'est ce que c'était marrant pour elle, déja qu'elle voyait un peu flou, voir la Barbie, faire des gestes aussi maladroit qu'elle...comme une grosse boutade d'écouter, elle rit... puis son attention est attirée par le vieux...

gné qu'est-ce-qui dit!? gné.........*hips*..........

Citation:

Hop hop hop... j'arrive a temps, je crois... vous alliez partir sans me dire au revoir... ce n'est pas tres courtois tout ca, mes dames...
Au fait, je crois que vous avez oubliez la seconde bouteille, ma chez amie... on la deguste ensemble...?

Son regard se dirige vers la bouteille de mirabelle, que l'ex recteur tenait... mais qu'est ce qu'elle s'en fout de la courtoisie! qui la lui donne la belle bouteille, plus aucune force de parler, mais son regard envieux s'exprime pour elle, la saoulotte est plus que bien faite, plus que rond comme un rond, nan nan , pas plus rond quand même elle a encore une belle silhouette, pas sûre que dans quelques années elle l'est toujours vu tous qu'elle boit...comme un trou! Elle regarde son amie Barbie , et lui fait un clin d'oeil...

on ne va pas partir sans picoler ma Barbie, *hips* j'ai encore soif*hips* pour la route*hips* encore quelques petits verres*hips*...

Elle regarde le vieux, elle essait de se tenir droite avec l'aide de son bâton...

ô m'sieur Forcejaune, que vous êtes bons! Que vous êtes PREVENANT!!!!!!
Je veux bien la bouteille si ça ne vous derange pas....on veut bien boire un dernier coup avant de quitter la place...*hips*vu que vous ne tenez pas à me vendre votre esclave*hips* pis heu...c'est pas qu'on est pas courtoise...c'est qu'on est pressé de rentrer pour picoler.... Barbie et Moi!...
pour sûre que si on avait pas à faire... on serait restée elle et moi vous tenir compagnie....

Zahra , regarde Barbie, pour sûre que la blonde touloise allait être larguée, mais sûre que pour la seconde bouteille de mirabelle, la soulotte aurait été prete à vendre Barbie! Les deux avaient mieux à faire que de tenir compagnie au vieux pervers, peut être se laisser conter fleurette par des jeune riche beau lorrain ou voyageur... ou des gueux, ou bien des bouteilles à descendre en taverne..... Elle se contente de sourire niaisement au vendeur...puis de fixer la bouteille ...telle une crevarde!
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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!

Barberine

Barberine pouffe de rire en voyant le vieux s'étaler comme une bouse, sa bouteille en avant comme un étendard.

l'a beau avoir plus d'âge il sait pas se tenir ce vieux. Mais ça pour aggripper sa bouteille il est fortiche, dommage qu'elle ait pas roulé à mes pieds j'en aurais fait mon affaire. Pis j'en connais une qui aurais bien pârtagé .

pas vrai ma belle ?

dit elle en fixant sa copine, persuadée qu'elle avait pensé tout fort.

Quand même ce vieux, même pas capable de se relever tout seul, affalé là comme un gros poussah en attendant ses gens !!. Ce que c'est dêtre riche !!!

Son regard allait du vieux à la bpouteille et de la bouteille à son amie sans savoir se décider qui elle devait fixer le plus. De toutes façons elle voyait double, et Zahra aussi surement.

Mais elle n'aimait pas trop la lueur de convoitise qu'elle apercevait dans le regardede cette dernière. Se demandait si elle allait pas lui faire un coup fourré .

Tu as quoi dans la tête Zahra, tu ne prévois pas de piquer la bouteille et de nous fausser compagnie quand même. je te préviens, je suis la bouteille. Je reste pas seule avec le vieux ça non!!. D'abord je veux pas de ses esclaves, c'est toi qui es demandeuse. Moi il a pas ce que je cherche.

elle ajoute à son oreille :

mais sa bouteille on se la partage à deux, et on le plante là. Tu es la plus près, tu aggrippes la divine mirabelle, le temps qu'il réagisse tu me la lances et je détalle comme si ma vie en dépendait. On se retrouve près du couvent, dans le jardin on y boira tranquille , il va pas venir nous ennuyer là. Pis moi je serais prète pour une petite visite mystique après tous ces débordements.

tu es prète, à trois tu lui piques son élixir.

..UN ... DEUX .... et TR
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Zahra.2

Zahra écoute les doux murmures de Barbie, puis se met à rire aux éclats, toujours hilare la saoulotte, regarde sa comparse ivre aussi, et l'entend compter......pourquoi compter et se sauver quand on peut la boire tranquilou?..

Elle ne se voyait pas agriper la bouteille et détalait aussi vite que Barbie le voulait, vu son état d'ivresse, elle aurait été aussi rapide que les fameux escargots bourguignons... pourtant sa main tente un arrachage de bouteille des mains de Forcejaune, toujours avec le sourire niais, puis à peine le temps de vouloir saisir la bouteille que la Barbie se met à courrir....

La Zahra regarde bêtement la scène...puis sa main toujours sur la bouteille qui est dans les mains du vieux...

bien*hips*heu* Barbie elle est où? *hips*? *hips.... je tennais à vous decharger de la bouteille , il parait qu'elle est lourde Sieur...forceeeeeeeeee*hips*

Puis elle se met à crier desesperement

BARBIE J'AI PAS REUSSI!!!!!!!!!! Tu peux revenir...je vais pas arriver à rentrer toute seule!!!....chez moi!
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Barberine

TROIS !!!!

Sans plus attendre elle s'élance, jetant un coup d'oeil en arrière tandis que Zahra aggrippe le vieux.

Tranquille elle essaie de ne pas trop la distancer pour attrapper la bouteille plus facilement.

Le cri désespéré de sa copine la stoppe dans son élan.

Citation:

BARBIE J'AI PAS REUSSI!!!!!!!!!! Tu peux revenir...je vais pas arriver à rentrer toute seule!!!....chez moi

Elle revient aussi vite que ses jambes flageollantes lui permettent, écroulée de rire.

Evidement, ma belle, c'est pas le vieux que tu dois tenir c'est la bouteille !!!

bon c'est pas grave, laisse de la mirabelle y'en a encore chez moi, viens je t'invite, tu rentreras plus tard. On se casse l'est pas beau le vieux !!!
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Forcejaune

FJ regardait tut ce remue menage sans vraiment comprendre le but de ce dit remue-ménage... Peut etre un nouveaujeu de gonzesses... sait-on jamais... Décidement, ces charmantes créatures féminines semblaient s'etre mi das un état encoreplus pitoyable que lui meme, quelques instants au par avant, en s'affalant de tout son long, par terre...

Ceci etant, FJ decida de prendre les choses en mains (sans lache la bouteille, cela va de soi...). D'ailleurs, il ouvrit cette derniere (je parle de la bouteille pour ceux qui seraient deja perdu), et il fit mine d'en boire une gorgée.
Puis, il fit boire, presque de force, une bonne et grande et belle rasade a Barberine et a Zahra de cette magnifique eau de vie a la mirabelle lorraine.

Puis il les fit s'assoir t leur laissa la bouteille...

Barberine

Barberine regardait FJ d'un air perplexe.

Etait il sincère quand il parlait de les inviter ?

Elle fit un signe à a Zahra et lui demande discrètement.

Tu crois qu'on peut ? mais vite fait alors, je ne veux pas arriver en retard au couvent.

Rassemblant toute sa dignité, camoufflant ses hips comme elle pouvait, elle sourit au vieux et s'asseoit pour boire un verre.

Merci Messire hipss, pour de la mirabelle c'est de la bonne mirabelle. hipss.

Oups je vais être en retard

Elle boit un verre vite fait, embrasse son amie, salue le vieux et se sauve.
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Forcejaune

FJ vit Barberine s'assoir etboire d'une traite son verre de mirabelle et se sauver... L'ancien faisat il si peur que ça...? Pourtantn sur ce coup il n'avait rien fait de specialement mechant.

Mais, il n'essaya pas de retenir cette derniere... pour deux raisons : une de perdue, dix de retrouvées, et (surtout) Zahra etait encore la, assise comme une niaise à boire, boire, boire et encore boire...

Zahra.2

Zahra regarde Barbie partir sans pouvoir bouger ou la suivre, juste un signe de la main,puis elle continue à picoler... tout en detachant son attention du vieux, pour se concentrer que sur sa bouteille..

Tout à coup elle pensa aux elections ducales, et à tout ce qui s'en suivait, puis à penser à ses futurs fonctions au conseil encore pas defini, elle finit la bouteille, la secoue ... vide, elle la balance derriere elle, puis se dit autant en profiter de ses dernieres heures à chômer...

Forcejaune était toujours là, elle tente de se relever, s'appuyant sur son bâton (canne là), puis jette un oeil sur le stand des esclaves...

bien, je ferais mieux de quitter votre "marché", je suis quelque peu pompette, pis imaginez, si les lorrains me trouvaient dans cet état là... avec vous là...*grimace*....me prendront pour une fille de votre maison close...ou une de vos esclave...*hips* je ferais mieux...d'y aller....
au plaisir sieur forcejaune...*hips* pis Barbie est partie sans m'attendre...

Elle soupire, la route de cette place à Vaudémont allait être longue...aucune envie de faire un détour au castel de Nancy dans cet état...

FJ ,pouvez pas me preter un esclave pour me porter non...? je vous le rendrais.. * ayez elle dit "FJ" bourrée, plus de marque de politesse... fini les sieurs... *
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Forcejaune

FJ regardait Zahra, avec une tres grande joie interieur. Il avait envie de lui rire au nez comme...comme... bah comme lui meme devant ce...magnifique spectacle... Mais, il réussit, malgré tout, à garder son calme, et son serieux habituel.
Zahra bafouillait des choses incomprehensible... d'n autre coté, cela ne devait pas etre tres important... à ça non... tu l'as dit bouffi...

D'un coup, fj donna un coup dans le baton, qui destabilisa Zahra, qui s'appuyait dessus comme une grosse manche. Elle se vautra par terre comme un gros cochon se vautre malicieusemnt dans la boue de sa porcherie...
FJ s'accroupi à son niveau et lui dit, d'un ton plus que serieux :

Je n'ai pas d'esclaves à vous preter. Mais en revenche j'ai encore quelques bouteilles d'eau de vie de mirabelle à vous preter... J'ai meme une petite roulotte que je pourrais, gracieusement, vous preter...

Zahra.2

Zahra s'apretait à partir, fuir cette place malgrès son état, lorsque tout à coup le vieux fourbe donne un coup à "la canne" , la pompette de la vie se retrouve étalée à même le sol... pis le vieux qui s'accroupie pour lui raconter des conneries ... elle le regarde, elle lui en veut, elle se relève en grommellant. Elle tente de ramasser son bâton, puis le toise du regard, d'un air sevère, la saoulotte ne rit plus, ce vieux farceur aurait pu lui faire une ecorchure ou autre....!

La chute a été assez rapide, la belle a un peu le vertige, puis une nausée... et l'inévitable...arriva... elle se cramponne à l'ex-recteur, son estomac est retournée ( elle s'est tapée tout de même deux bouteilles à elle seule, plus quelques gorgées avec Barbie un peu plus tôt dans la journée..), la Zahra est 100% pompette, une remontée gastrique , puis hop, la voila qui se met à perdre toute son elegance , toute sa classe , elle vomit sur les bottes du vieux sans hesitation, sans se retenir, tout en restant agripée à sa chemise... elle se sent malade, mais bon dieu gerber la soulage ...!

Elle relève la tête une fois son estomac soulagée, elle s'essuit la bouche avec le revers de sa main droite, l'autre tient encore le vieux...

Génée...ou pas?

Elle recule legerement en lachant prise, puis le regarde genre "désolée" ou pas... elle hausse legerement les épaules, c'était sa deuxième victime dans le genre, à trop la titiller la saoulotte , on pouvait s'en prendre que plein les chausses!

bon ! je suis bien faite là, je me tire! j'en veux plus d'eau de vie, pis je veux plus d'esclave , et je veux pas de roulotte, et je veux plus vous voir... je pourrais me facher, et j'en ai pas le coeur ni l'estomac là...

Elle fait son dernier discours en luttant contre les crises de hoquets, mais bon soulager l'estomac, c'est avoir un moment de répis sans "hips"...
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Forcejaune

FJ assista a un spectacle plus qu'affligeant. Une charmante (quoique....) demoiselle venait de lui vomir ces tripes sur lui. Lui FJ, LE monument lorrain. celui qui essayait de rehausser la Lorraine sans faire de politique politiquement honteuse (comme tous les politiques lorrains). Bon bref, le seul, l'unique personnage qui aurait du être anobli pour services commerciaux rendu aux lorrains... Bon bref, je m'emporte au sujet de mon héros.

FJ ecouta, attentivement, ce que la vomisseuse lui vomissait dessus, après le vomit... Une fois qu'elle eue fini de sortir tout son venin, fj se déchaussa, avec attention. Puis, il lui dit, d'une voix calme :

Hum... je vous entends, je vous entends... je crois que j'ai abusé de votre temps, vous de ma mirabelle. Je ne vous embêterais pas plus. Je m'en vais sur ce pas.

FJ se retourna et se dirigea vers sa roulotte. Il fit réunir ses hommes, il leur donna quelques ordres, puis il monta dans sa roulotte. Une partie des manœuvres du vendeur s'occupèrent des esclaves en les faisant rentrer dans les roulottes, et leur donnèrent un peu a manger. Quand ils eurent fini, ils allèrent aider l'autre groupe de manœuvres a finir a désinstaller le stand.

L'opération se déroula assez rapidement, signe d'une bonne organisation et d'une grande habitude de ce genre de manœuvre (pas les hommes, hein... mais l'action). L'un des manœuvres alla prévenir FJ que tout était fini et qu'il attendait les ordres suivants...

Zahra.2

La soulotte, se cramponne à son bâton, elle tourne le dos au vendeur, puis titube sur la route s'éloignant peu à peu de ce marché qui l'interessait tant.... toujours avec la même fin, elle s'en va bredouille sans esclave , puis avec l'esprit embrumé, la vue flou; puis pompette.

Elle était quelque peu honteuse d'avoir vomis sur l'ex recteur, mais c'est une chose qu'elle n'arrivait pas à controler, son estomac tennait de moins en moins les litres de mirabelle, comme dans son enfance...? à croire que la saoulotte venait de s'initier à la buverie... mais la liqueur de chez FJ était très forte, puis les bouteilles trop rempli...et elle sa soif toujours grandissante...l'ivresse c'était pour la Zahra un état tout à fait naturel.

La sobriété était comme une maladie, quelque chose d'impensable.... mais dans une minute de conscience enivrée, Zahra s'était resignée à abandonner definitivement l'idée de s'acheter des esclaves ou même autre chose chez le vieux.

Elle pensait à son plan B, possibilité de se trouver une équipe de choc à Nancy, pour aller chez le vieux et lui voler ses esclaves, une liberation d'âmes pommés; ou bien juste de l'exploitation de la belle , qui était peut être moin cruelle que le vieux...? Pis 1000 ecus pour avoir le must du must, autant le faire un coup au vieux escroc... Elle marchait , se cognant à des tronc d'arbres, saluant les murs comme si c'était des personnes....

Plusieurs jours de marche plus tard....on retrouvera la Zahra dans la capitale à faire d'autre marchandage...plus ou moins licite... puis s'occupait d'autres choses, pour oublier son envie d'esclaves...
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[rp] Ventes d'esclaves