Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, ..., 9, 10, 11   >   >>

[rp] Ventes d'esclaves

Forcejaune
FJ ecouta attentivement son interlocutrice, avec un leger sourire de coin. Puis, il reprit, en disant :

Excusez moi de vous reprendre, mais je ne suis pas trafiquant d'armes. Vendeur d'armes. Si j'etais trafiquant, j'aurais trafiqué les armes, donc modifié la qualité de celle-ci. Ce qui n'est pas le cas.

Et je me souviens de l'episode de la taverne. J'en ris encore.


Il s'arreta un instant, puis il reprit, d'un calme presque deconcertant :
Ecoutez, les prix sont les prix. Si vous n'avez pas les moyens, repassez quand vous les aurez, ou ne repassez jamais. Je sais que le prix que je propose est normal, pour la qualité. Je pourrais meme trouver acheteur pour un prix plus elevé.
Je suis marchand dans l'ame, pas voleur.
Ptronille25
Pétronille dû reconnaitre que pour les armes, il avait peut-être raison. Elle baissa les siennes.

Excusez moi messire, je ne voulais point vous vexer. Il est vrai que je n'ai jamais eu preuve que vos lames soient cassantes. Mais pour ce qui est de votre prix ...

Le gamin faisait pitié et Bulle la regardait d'un air suppliant, suppliant ... C'est vrai qu'elle était bien seule, la petite Bulle. Un compagnon, ça la changerait de Corniaud, ça lui ferait comme un frère. Et s'il était instruit, il pourrait peut-être, en plus, lui apprendre quelques rudiments de lecture et écriture. En tout cas, à compter au delà de 3. Et puis il l'aiderait à l'auberge. mais bon, 400 écus !

Elle s'éloigna de quelques pas, pensive. Et son Astus, il en dirait quoi ?
Après un long dialogue intérieur avec son défunt, elle décida de suivre son avis, comme toujours, c'est à dire marchander alors qu'elle détestait ça


Bien. Messire le marchand d'âmes, je vous soulagerai de cette bouche à nourrir pour 200 écus. Mais c'est bien payé, je trouve, pour un va-nu- pieds maigrichon !
_________________
Pétronille veuve Renard
Bougmestre de Nancy
ex-Tribun de Verneuil en Alençon

"Le Whisky Selee, le Whisky qu'il vous réjouit!"
Forcejaune
En entenant ce que disait son interlocutrice, fj marmonna :

Manquerait plus que mes armes soit de mauvaises qualités.

Puis fj se reprit et d'une voix pleine de conviction :

Bon allé je vous le fais a 350, le jeunot... et puis sachez que le Seigneur juge l'arbre à ses fruits, non à ses racines. Vous devriez en faire autant vis a vis de ce jeune. J'en ai fai sla demonstration, qu'il savait s'exprimer correstement en plusieurs langues, ecrire, lire, et compter...

Fj s'arreta un instant pour continuer :

Tenez le pour dit, ne pas juger a l'apparance mais aux résultats
Ecaterina
La Cardinale qui avait été prévenu arriva:

Vous pouvez m'expliquer ce qui se passe ici?
_________________
Zahra.2
Toujours dans les pommes ou la mirabelle, Zahra euphorique, zen, heureuse, puis insouciante, songée à son avenir, et aux multiples choses qu'elle pourrait faire avec son equipe d'esclaves.. La voix du marchand et de Petronile se faisait de plus en plus lointaine, et semblait être de loin une sorte de berceuse, et à chaque fois qu'elle entendait le mot écus, Zahra souriait, la richesse, un rêve, le luxe, un rêve... Tout d'un coup, une voix la fit sursauter...
Citation:
Vous pouvez m'expliquer ce qui se passe ici?


La fin du monde, le bruit d'une calèche, les bruits de pas, puis cette voix calme mais à la fois autoritaire, c'était celle de la cardinale.... puis la soulotte se souvient vaguement d'un chose, la reputation de Forcejaune dans la Lorraine, The héretique, le type qui en avait rien à foutre de l'Eglise, le type...qui n'avait pas le sens de la moral ni de la foy...
Elle decide de se redresser, puis là, elle lutte de plus belle avec sa capuche, qu'elle reussit à mettre au bout de plusieurs minutes, le temps lui semblait long, et sa position de plus en plus genante...

Zahra était aristotelicienne, mais elle avait des penchants un peu héretiique, un peu paradoxale, du genre, lutte pour le port de la ceinture, mais bon quand on est amoureux, puis quand l'envie est plus forte que la foy, à bat la ceinture et vive le plaisir.... pensées qui la font un peu rougir du haut de son stand, puis une remontée de toute la boisson qu'elle avait ingurgitée depuis sa rencontre avec le marchand... suivit de plusieurs *hips* qui devoile son ivresse totale...

Elle essait de se faire la plus discrete possible, un peu de crainte, que dira la cardinale, que diront ses amies ...s'il la repérerait dans ce lieu...?
Puis en même temps, une volonté de soutenir le marchand, après tout cette enchère était l'affaire du siecle...

Les lorrains pourront avoir les services d'esclaves, mais aussi, ils les sauveront de la famine...surement.. ..

_________________

décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!
Chlodwig_von_frayner
Chlo sourit en pensant à tout ce qu’il pourrait promettre en échange. De l’argent déjà… oui… et puis des appuis aussi, de solides implantés partout en France et en Empire, pourquoi pas des passe droits aussi ? Et puis… il avait bien une idée que son vis-à-vis jugerait peut être intéressante… Il s’écarta un instant, écoutant d’une oreille distraite les conversations qui avaient lieu entre le marchand et les autres acheteurs. Il regarda zahra du coin de l’œil, avant de s’en approcher pour mieux jauger de son physique et surtout de ses autres qualités. Bon pour le moment elle était complètement bourrée alors c’est sur que ça n’aidait pas à avoir une appréciation objective… mais elle avait l’air un minimum solide, pas trop laide et avec de bons arguments… Intéressant… et puis ça le ferait rire d’avoir une opposante politique sous ses ordres !

Il nota quelques idées dans un coin de sa tête, de choses assez drôles à faire avec sa future nouvelle acquisition… Quand soudain, une voix retentit derrière eux, une voix qu’il avait déjà entendu. Il n’y prêta d’abord pas attention, mais le ton lui avait fait pensé à une descente de la maréchaussée… Il se retourna les sourcils froncés, curieux de savoir ce qu’il avait fait de mal, quand il reconnu la baronne Ecaterina. Il se détendit. Elle aussi devait vouloir acquérir un esclave, et elle devait avoir peur de se faire piquer les meilleurs. Pas question qu’elle lui vole Zahra ! Il lui répondit d’un ton tranquille.


Bonjour à vous déjà ! Le respect passe d'abord par la politesse comme me le disait souvent mon père, Dieu ai son âme.

Que faisons nous ? Eh bien... nous faisons nos courses au marché. Vous aussi vous êtes intéressée ? Je comprends que vos fonctions longues comme le bras vous prennent trop de temps et que vous cherchiez à vous en décharger avec de la main d’œuvre.

_________________
Zahra.2
Zahra avait un petit noeud à l'estomac, surement un peu faim ....non , peur? Elle avait les jettons oui, elle entendit la voix du nobliaux, il allait peut -être lui tenir la conversation à la cardinale, sûrement qu'elle aurait le temps d'échaper à la vue ou à l'attention de son eminence....
Citation:

Que faisons nous ? Eh bien... nous faisons nos courses au marché. Vous aussi vous êtes intéressée ? Je comprends que vos fonctions longues comme le bras vous prennent trop de temps et que vous cherchiez à vous en décharger avec de la main d’œuvre



Zahra se dit qu'avec toute la noblesse, si même la cardinale se sert dans ce marché...il ne lui restera plus que les vieux esclaves...qui ne savent rien faire, les meilleurs pour les nobles encore une fois*soupir*... chose qui l'agaçait un peu mais à la fois qui la reconfortait si elle était là pour l'achat et non pas le sermon... elle ne dira rien sur sa presence...surement, elle garde la tête baissée, et prie silencieusement la boulasse, car etant ivre Zahra pensait que tout le bonheur ne pouvait que venir de boulasse et des chopes de mirabelle ..non pas de dieu...


elle gromelle tout doucement :

*hips*faudrait pas qu'ils me piquent les meilleurs*hips*je suis la première à être venue*hips*...puis*hips*

Elle regarde par terre, son parchemin roulé, son contrat de vente...ou de travail, elle ne saisisait pas tout le contenu du contrat, mais elle faisait une entière confiance en FJ, esperant qu'elle ne soit pas deçu, ivre , elle n'avait pas trop la force de luttait contre les clients nobles qui étaient arrivés après elle.... Elle oublit un instant la fonction de la cardinale, juge...esclavage..procès ...des mots qui viennent sonner dans sa petite tête..... toujours encapuchonnée, puis levant la tête, elle jette un regard vers le nobliaux , lui fait un clin d'oeil complice, puis dirige son index droit vers ses levres ...*hips*... chuuuuuuuuuuuuuuuuuut*hips*
_________________

décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!
Ecaterina

Bonjour à vous déjà ! Le respect passe d'abord par la politesse comme me le disait souvent mon père, Dieu ai son âme.

Que faisons nous ? Eh bien... nous faisons nos courses au marché. Vous aussi vous êtes intéressée ? Je comprends que vos fonctions longues comme le bras vous prennent trop de temps et que vous cherchiez à vous en décharger avec de la main d’œuvre.


Surprise qu'on l'interpelle de la sorte, Son Eminence leva les sourcil puis tout en fixant l'impudent, le reconnu. Un sourire narquois naquit sur ses lèvres puis elle prit la parole:


Bonjour? Non je ne crois pas, surtout quand je vois ce qui se passe ici, enfin ce que je devine.
Non je ne viens pas faire mes courses, si j'ai besoin d'aide j'embauche du personnel et ensuite je le paye.


Alors Baron pouvez vous m'expliquer ce que vous faites ici devant ce stand de marchandises un peu trop exotiques à mon goût. J'ose espérer que vous ne vous apprêtez pas à acheter des hommes ou des femmes, ceci serait contraire aux valeurs aristotéliciennes que vous défendez surement en tant que Noble et fils d'une famille aristotélicienne.
_________________
Chlodwig_von_frayner
Un instant décontenancé par les propos de la cardinale, Chlo fouilla dans son esprit, tentant difficilement de se remémorer ce qu’il savait. Non pourtant… Il avait beau chercher, rien ne venait. Il sourit distraitement au clin d’œil de zahra, mais le regard de la baronne étant braqué sur lui, il ne se permit pas de lui rendre son clin d’œil. Il mis la main distraitement à sa ceinture, en sorti sa flasque et en but une gorgée. Voilà qui serait plus pratique au moins, éloigner ces foutues migraines qui menaçaient de lui vriller les temps à n’en plus finir. Perplexe, il leva les yeux vers Ecaterina.

Non seulement je m’apprête, mais qui plus est vous venez de m’interrompre en pleine transaction. J’espère ne pas la manquer à présent. Pensez que nous pourrions déjà être en train de signer le contrat.

Arisote a dit, si je me souviens bien les enseignements de mon cousin Kad : « Un esclave peut être un homme de bien, s’il a conscience de sa propre nature d’homme, et qu’il sait se satisfaire de sa condition, car ainsi il œuvre au maintien de l’équilibre de la cité. La politéïa n’est pas que la participation aux assemblées. » Je n’ai pas souvenir d’une interdiction de l’esclavage. Le tout n’est il pas de respecter l’ordre établit ?

En me permettant de me décharger de certaines tâches bien plus efficacement que des serviteurs fainéants, ils m’évitent de trop travailler et de sombrer dans l’acédie. Ainsi, je peux participer à la vie de la cité en tentant d’approcher de la sagesse. Et en plus, grâce à moi, ils évitent de rester sur cet étal à ne rien faire et donc à rester marginaux… soit de ne pas devenir quelqu’un de bien.

Non vraiment je ne vois pas où est le problème.

Et puis je vous assure, vous devriez essayer d’en acheter, cela vous permettrait de finir votre travail au séminaire… vous savez, celui que vous ne pouvez faire parce que la gestion de votre diocèse vous prend trop de temps ! Vous risquez de ne plus arriver à satisfaire vos besoins élémentaire et menacer de tomber dans l’acédie. Se serait terrible pour un cardinal.

_________________
Forcejaune
FJ avait entendu une voix qui allait le faire bien rire. Il se retourna et vit cette vieille, heu cette ancienne ...heu cette brave Ecat.
Il s'approcha et ecoutala discussion qu'elle avait avec Chlo, celui qui allait le rendre un peu plus riche, et qui sait, peut etre d'autres avantage si le recteur ne s'en sort pas trop mal.

Puis, au moment ou la discussion avait l'air de prendre un temps mort il se lança avec un tonitruant :


Hey, mais c'est ma tres, tres chere Ecaterina. AH ce nom me rappelle mon pays et ses chansons populaires.

Sur ce il s'approcha encore un peu plus d'elle, lui fit une accollade, tout en continuant :

Que sa me fait plaisir de te revoir... Tu sais... les filles qui sont la... je les fais pas travailler dans ma maison close. Et puis je permet au gens de racheter la liberté de ces malheureux.
Bon allez, passele bonjour au pere Blaise, je dois parler personnellement à messire Chlodwig...


Sur ce il invita le noble à le suivre dans sa roulotte, tout en passant la main au fesses de l'archiduchesse qui avait les miches archis seches avant de les lui pincer.
Ecaterina
Ce pourceau de FJ lui mit une main aux mains. Dans un grand élan, la cardinal lui donne une gifle telle, qu'elle claqua fortement sur sa grosse joue rouge de porc aviné.

Elle le regarda d'un ton dur et prit la parole:


Je vous suggère de cesser de suite ces gestes offensants, car la prochaine fois vous n'aurez que votre moignon pour le faire.
Il est donc dans votre intérêt de cesser, à moins bien sur que vous souhaitiez gratter votre masculinité avec un crochet.
Quoique, se sera peut être mieux pour vous, car vous pourrez plus facilement attraper vos morpions avec le crochet qu'avec vos doigts d'ivrogne.

_________________
Zahra.2
Zahra qui s'était faite toute petite, encapuchonnée, écoutait la conversation...enfin comprenant quelques fois le sens quelques fois pas...
Elle regarde la scène du haut du stand, puis lorsqu'elle entend la réaction de la cardinale... Elle se met à rire aux eclats, oubliant sa volonté de se cacher... son ivresse ne l'aidant en rien, le fou rire dure... au départ, elle était persuadée que le commerçant allait reussir à détourner l'attention de son eminence... mais là, avec son geste un peu hasardeux et audacieux... les transactions allaient prendre encore plus de retard.... par pour cette matinée que la Zahra allait partir avec ses 4 esclaves...


Citation:

Je vous suggère de cesser de suite ces gestes offensants, car la prochaine fois vous n'aurez que votre moignon pour le faire.
Il est donc dans votre intérêt de cesser, à moins bien sur que vous souhaitiez gratter votre masculinité avec un crochet.
Quoique, se sera peut être mieux pour vous, car vous pourrez plus facilement attraper vos morpions avec le crochet qu'avec vos doigts d'ivrogne.

_________________

décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!
Forcejaune
FJ eclata, lui aussi, dans un rire un peu gras. Puis, il se calma un peu avant de pourusivre

Bien gente dame... puis je vous laissez, j'ai des affaires qui m'attendent... des affaires des plus urgentes

Puis il força, legerement, Chlo à monter dans sa roulotte pour commencer a parler affaire, en faisant mine d'oublier tout le reste...
Ecaterina
La Cardinal vit rouge:

Vous vous moquez de moi ou quoi. Veuillez rester ici nous n'en n'avons pas finis.
J'exige des explication sur ce trafic d'âmes.


Tout en disant ça, elle ouvrit la porte de la roulette, attrapa le pourceau par le col de sa chemise trempé de bière et d'autre chose...
Lorsqu'il fut sorti, elle claqua la porte de la roulotte et se planta devant lui.
Puis d'un ton menaçant tout en levant le doigt elle ajouta:


Vous allez cessez votre trafique et vous faire oublier quelque temps, sinon je prépare moi même les morceaux de bois. J'ai toujours aimé le porc grillé.

Puis tout en attrapant sa masculinité elle ajouta:

Si le feu ne vous fait pas peur, pensez donc que si mes doigts se referment trop, vous ne pourrez plus vous amusez avec vos putains avant un très long moment, et nous savons tous que sans vin ni fille vous ne pouvez passer une journée agréable.
_________________
Forcejaune
FJ, une fois à terre, et le debit de paroles de la vieille peau debité, il lui repondit :

Vous savez que vous me faites un peu mal, vieille vache à lait de l'eglise...

FJ sentit les doigts se serrer un peu plus, puis il lacha discretement a Ecat :

A je voie que t'aimes ça ma cochone...mais moi je t'aime pas des masses... tu me donnes la nausée... t'es trop vieille aussi...

FJ sourit devant la mine deconfite d'Ecat... Puis, il hurla à ses gars de venir l'aider. Ecat avait beau serrer de plus en plus, et de part la meme occasion de faire souffrire de plus en plus le genialissime ancien recteur (remplacé par une incapable de Marjo), et se fit rapidement encercler par quatres hommes trapus.
Ils la prirent par les epaules, tout en s'excusant de leur comportement, car, eux etaient croyants contrairement a leur patron. Ils la deposerent presque, delicatement un peu plus loin. L'un deux lui dit :


Veuillez s'il vous plait , ne plus embeter notre patron... on veut etre payer nous.

Puis, ils retournerent voir le boss, l'aidé à se relever. FJ leur dit :

Ah j'ai cru que je ne pourrais plus forniquer de ma vie, avec cette gourdasse... Bon moi je remonte de la carriolle, je veux deux devant l'entrée et deux de l'autre coté. Ne laissé personne monté. Merci

FJ remonta, plié en deux de douleur. Il s'assit devant le noble et s'excusa et lui dit que l'on pouvait commencer à parler.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, ..., 9, 10, 11   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)