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[rp] Ventes d'esclaves

Thays
Airic a écrit:


- Vous déssiez toujours être raccompagnée ?




Thays observa le vendeur.

Le vieux, je repasserai peut-être. Cela t'apprendra à m'avoir fait attendre.
J'ai des perspectives plus intéressantes...


Elle se tourna vers le nobliau, lui offrant un sourire des plus charmeurs.

Puis, inclinant la nuque en guise de remerciement...


Bel inconnu, comptez-vous me raccompagner, vous sur votre destrier et moi à pied ?
Ou me feriez-vous une place tout contre vous ?
Vous ne semblez pas être un rustre...
Il faudra bien me tenir, je ne monte pas souvent à cheval...il serait fort dommage que vous ayez à me ramasser.


Un sourire malicieux en coin, elle n'attendait qu'une invitation...
Airic


Elle était mal à l'aise en cheval ? Voilà qui gênait quelque peu le jeune homme.

- Ma écoutez, je souis ploutôt pressé, je ne pouis pas prondre de retard. Je suis passé dévant une petite auberge en arrivant, le Com-bien o quelque chosse comme ça. Il réfléchit un instant à ce qu'il venait de dire. Le Bon Coin ! C'est come ça que ça s'appelait.
Enfin toujours est-il que j'y ai vu des carrioles sans mulets. Si vous avez du mal à marcher, il ne vous reste plous qu'à trouver une âne.
Scusatemi signora, vous n'aurez qu'à mander Airic Dicarpetra lorsque vous passerez à Toul, que vous ne gardiez pas de moi une souvenir de malotru.

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Thays


Fichtre, sa tentative avait lamentablement échoué. Mais pas totalement en fait : l'homme ne l'avait pas rejetée...et puisqu'elle n'avait rien de particulier à faire, après tout, pourquoi ne pas s'y rendre. Ça lui apprendra à jouer celle qui ne sait pas monter pour se rapprocher...elle qui montait à cru !

Bien, j'irai donc là bas et je vous y attendrai.
J'espère faire la connaissance du "non" malotru que vous êtes...
Il va falloir vous rattraper
, ajouta-t-elle malicieusement.

Elle lui tendit la main en guise d'au-revoir.


Thays... charmée...
Barberine
Barberine était restée quelque peu silencieuse, le réponse de Force jaune à sa requète l'ayant passablement débousolée.

Citation:

Quel malheur... je suis vraiment navré... mais je n'ai pas ce que vous souhaiter... Je n'ai pas de mignons petits domestiques a vie... J'en suis vraiment navré.
En effet, je n'ai que des esclaves, elevés a la dur, formés, par ma personne, a la dure... ils n'ont vraiment rien de mignions...

finalement elle ne prit pas de décision dans l"immédiat.

Elle regardait la présentation, tout en observant le manège de la dame, et ses tentatives qui tournaient court.
Ne voulant pas s'en méler elle ne lui dit pas qu'elle était aussi de Toul et qu'elle avait déjà rencontré l'élégant cavalier là bas.
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Airic


Airic descendit de cheval avec aisance et attrapa la main de ladite Thays. Il baissa la tête et y déposa un baiser.

- Moi dé même.

Les politesses faites, il regrimpa sur son palefroi avec tout autant de facilité et lui donna de grand coups de talons dans le ventre. Le vendeur vulgaire l'avait assez retardé pour rien. Le cheval fila au galop vers Toul.

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Forcejaune
FJ regardait le manege de tout ce monde. Hormis Ptromille et Zahra les autres commençait à le fatigué à gesticuler dans tout les sens.
Quand il entendit Ptromille lui dire qu'elle voullait l'enfant et qu'elle avait les 420 ecus, il demanda vite qu'on le lui amene, le petit. En attendant qu'il arrive, il luit dit :


Non je n'ai pas oublié, et puis j'ai demandé à ce qu'on vous amene le p'tit gars. Vous avez ma parole que vous ne serez pas déçue... Toutes les personnes qui m'ont acheter quelque chose n'ont jamais été deçu.

Il leva la main, tourna la tete et cracha, en signe promesse. Il voyait Zahra qui n'avait pas l'air joiasse de ne pouvoir obtenir credit, mais les affaires sont les affaires. On ne pas faire une fleur, sinon c'est la fin du commerce. Et puis, il savait pas ce que la donzelle faisait dans la vie, son metier, ses hobbies, son mari etc.

Quand il entendit ce que lui dit Thays, il ne dit rien. Du moins à haute voix. Mais il gromnela à lui meme, à voix basse, sans que personne ne puisse l'entendre, surtout pas cette derniere :


Bah casse toi la grosse, et embete pas ceux qui travaillent...
Zahra.2
Zahra toujours assise, se tient la tête , puis reflechit en core et encore, elle observe la scene, le nobliaux et la dame Thays, sourit un peu amusée, mais tout de suite, son attention et attirée par le commerçant,ayez, la dame Petronile était servit, la saoulotte se leve lentement, prend le temps de se depoussiérer un peu, puis regarde Barbie, elle se posait quelques questions, la touloise était-elle toujours interessée ou le mythe du mignon petit esclave tombé bêtement à l'eau... Elle s'approche un peu plus des esclaves, les regarde un à un, puis regarde sa bourse, la secoue, et écoute sa petite monnaie "clinguées ", elle sourit... puis se dit "de toute façon il est bientôt temps que je passe à l'operation manche en Lorraine pour devenir notable et il faudra que j'aprenne à negocier et faire la plus miserable des futures notables, mais que je paraisse assez serieuse comme je peux l'être quand je suis sobre, pour convaincre que je rendrais mes emprunts, que se ne seront point des dons mais un prèt, et que je serais digne d'être une future fonctionnaire reconnue de Lorraine"...*rêvasse et soupir*, ça vaut le cout de foutre 400 ecus dans cet achat? ...
Elle regarde le vieux ForceJaune, puis encore sa bourse,

Citation:
Vous avez ma parole que vous ne serez pas déçue... Toutes les personnes qui m'ont acheter quelque chose n'ont jamais été deçu.


Ses paroles raisonnent dans sa tête,et de plus en plus elle les veut ses esclaves... Elle baisse la tête; puis s'approche du vendeur..


Sieur ForceJaune, par vos parole , j'apprend que vous refuser catégoriquement le credit, ou le paiement séparée... je ...
*hésite*
Elle prend sa bourse et la tend au marchand,

Elle se penche vers lui, pas trop près car elle sentait la liqueur de mirabelle, parfum naturelle de Zahra, qui avait le don parfois de lui faire faire des folies et lui murmure...


Voici 400 ecus..., je sais ...c'est pas heu...*hesite un peu honteuse depuis le debut qu'elle dit qu'elle en voulait 4* c'est pas 1600 ecus... je suis bien loin du compte , sieur.. mais..je ne tiens pas repartir ce jour bredouille comme la fois dernière, pis votre courrier m'indiquant que vous etiez à la recherche d'un autre commerce vu que celui -là bé , il avance pas trop...je serais triste de ne pas avoir conclu cet achat... désolée, si vous en avez d'autres....quand je serais...un jour ..riche..bien je vous en prendrais volontier d'avantage...* Elle baisse le regard , fixe ses bottes, très deçue, puis releve la tête essait de ne pas montrer sa deception, elle jette un regard vers la veuve Renard qui avait l'air rapide en affaire, puis Barbie, qui était un peu ailleurs pour Zahra.
Elle sourit au marchand, puis regarde à nouveau les esclaves, puis lui dit

en fait Sieur ForceJaune, lequel vous me donnez? j'en veux un ou une qui sait lire, ecrire, qui aime rire, pis sourire même quand y a rien qui fait rire, même quand il est pas content, je veux qui sache aussi coudre , et filer la laine, de cette façon , il me liberera un peu dans mon echope, il me secondera... pis aussi, je veux que se soit un bon cuisinier si possible... car j'en ai marre de manger dans les tavernes .. pis autre chose , sieur, je veux qui sache aussi... mmm, manier l'épée et le bâton, car on s'amusera à faire des combats var à l'ost j'en ai un peu marre de m'entrainer avec les mêmes... me faut un nouveau souffre douleur!


Elle sourit satisfaite de sa description, puis attend que le vendeur lui emballe la marchandise et qu'elle se casse de l'etale avant qu'une armée ou autre debarque pour casser son plan esclave.. bien qu'elle est deja preparé sa plaidoirie au cas ou on lui porterait comme accusation "esclavagisme"..


Bon, le compte il est bon dans ma bourse, pis j'aimerais beaucoup l'avoir des maintenant mon esclave, je ne veux pas être encore une fois, interrompue par une quelquonque armée ou même , par d'autres clients ...*toise du regard la veuve Renard, du genre à bon entendeur!!!*
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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!
Barberine
Barberine avait regardé Zahra faire en souriant :

Il faut dire qu'elle sait mener une transaction, mais en fin de compte pas de crédit, comme les autres.

Elle hésitait encore :

Ai je vraiment besoin d'un gentil petit mignon , besoin, non, envie oui !

Attendons je vais peut être avoir une surprise, là je me défais sans hésiter des 400 écus. c'est pas que je sois pingre mais j'en veux pour mon argent


Elle jette discrètement un oeil à sa bourse et attend en silence.
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Thays
Thays admira les flancs... du cheval qui s'éloignait au galop, naturellement...en lorgnant éhontément sur ceux de son cavalier puis en remontant sur son port maintenu et altier. Une taille ravissante, juste de quoi enlacer avec délice, des mains douces et fortes à la fois...un frisson lui parcouru l'échine.

Puis, avec un sourire de chez sourire, elle se retourna vers les Dames, les yeux pétillants de malice.


Mesdames... Je vous dis à bientôt... il me faut aller vers Toul dès à présent, c'est que j'en ai des choses à voir.
Merci pour votre sympathie, ainsi que pour le... jus...


A la généreuse bienfaitrice elle adressa un clin d'oeil. Faudrait qu'elle lui fasse goûter des alcools de chez elle un de ces jours... ça lui plairait certainement, ainsi qu'à sa comparse, pour sûr !

Au vieux, elle n'adressa pas même un salut, si ce n'est qu'un regard froid et une maigre inclinaison de la tête, politesse oblige.

Le vieux...

Elle s'en retourna et, de la démarche tranquille du félin qui s'approche vers une proie qui n'a pas d'issue, elle s'en alla nonchalamment à travers champs.

Toul, me voici...
Forcejaune
Zahra accaparait le temps de parole. Mais ou etait donc le partage equitable de parole. Que fait le CSA. Il laisse le monopole a une minorité de personnes qui peuvent se permettre de tout faire. Et la majorité n'ose pas s'elever contre cette racaille campagnarde...
Heu, oui bo, je m'emporte un peu. Revenons a nos personnages. Donc, Fj etait obligé, malgré lui, d'ecouter l'alolo crasseuse. Quand elle lui dit qu'elle n'avait que 4OO ecus, il lui dit :


Et bah t'en prend qu'un d'esclave... on va pas se faire suer le front pour rien... et on en parle plus...

Mais quand elle lui dit qu'il lui fallait un qui sache lire, ecrire, rire, sourire, coudre, filer la lainen la cuisine, manier l'épée et le baton et etre un souffre douleur... Il faillit se mettre a li rire au nez... Il reussit à garder son serieux tant bien que mal...puis lui dit :

400 ecus pour un esclave, c'est le prix pour un esclave habituel. Comme le p'tit pour Petromille... (oui bon je sais le prix est a 420, mais c'est un petit arrangement entre amis) Par habituel, j'entends qu'il sait faire reelement bien faire deux ou trois chose. Le p'tit c'est lire, ecrire, et compter... J'ai d'autre esclaves qui savent tres biens faire la cuisine, servire a boire et le menage etc.

FJ s'arreta, un court instant, puis reprit, avec un tres grand sourire :

Mais la, avec toute les qualité demandées.... il vous en faut bien 4... Mais je vous avoue que j'en ai bien deux ou trois qui pourrais presque vous satisfaire... mais la qualité ça se paye... on a passé beaucoup plus de temps pour les former (bah oui puisqu'un esclave moyen on le form pour deux ou trois taches, tandis que lui c'est une dizaine) et donc c'est du temps, et que le temps c'est de l'argent... De ce fait, cela commence a etre un esclave de luxe... Il coutera bien plus cher que 400 ecus... je ne suis pas sur que puissez payer... en ecus sonnant, j'entends...
Zahra.2
Citation:
Mais la, avec toute les qualité demandées.... il vous en faut bien 4... Mais je vous avoue que j'en ai bien deux ou trois qui pourrais presque vous satisfaire... mais la qualité ça se paye... on a passé beaucoup plus de temps pour les former (bah oui puisqu'un esclave moyen on le form pour deux ou trois taches, tandis que lui c'est une dizaine) et donc c'est du temps, et que le temps c'est de l'argent... De ce fait, cela commence a etre un esclave de luxe... Il coutera bien plus cher que 400 ecus... je ne suis pas sur que puissez payer... en ecus sonnant, j'entends


Zahra le regarde, elle pensait que le prix était identique, à la base l'ex recteur de Lorraine lui avait dit " 400 ecus", puis il était vrai que vu son état d'ivresse elle n'avait pas porté d'importance au contrat qu'elle avait signé, les paroles du marchand raisonne dans sa tête, ayez les 400 ecus lui était confié au commerçant, elle lui faisait confiance, mais ces dernières paroles la laissent quelque peu hesitéante, ou curieuse... le commerçant va-t-il lui accordé un credit?... paiement différé... Elle avait remarqué que pour Dame Petronile les affaires étaient rapides, peut être de la concilliation et de la facilité entre bourgeois de la capitale..


Sieur Forcejaune, je vous ai proposé de payer en plusieurs fois, vous refusez, je vous ai proposé de vous payer en nature, c'est-à-dire, la seule chose que je sache faire de mes mains
*suspens*, des vêtements, on m'a parlé d'un autre commerce que vous aviez, je me ferais un plaisir d'habiller vos "femmes", ou employées, je ne suis pas beaucoup portée sur le luxe, mais j'aime les bonnes affaires Sire ForceJaune, ainsi un esclave de "luxe" comme vous dites, m'interesserait plus qu'un gueux comme moi, et je n'aurais pas de honte à ce que je sois instruit par un ou un esclave!
Mes vêtements sont reconnues de qualité, si vous le voulez bien...si vous changez d'avis, je vous paierais en nature, enfin avec mes vêtements!...car vous avez bien deviné, je ne pourrais point vous payer avec de la monnaie sonnante..


Elle reprend son souffle, c'était fou, le marchand était dur en affaire, elle avait l'impression qu'elle causait à un mur, encore quelques minutes et il allait faire comme elle, quand elle a des clients indécis dans son echope...
"casse toi, va au marché, y en a plein des vêtements ! J'ai pas de laine, je l'achete au prix plus fort, je te fais le meilleurs prix, pis tu oses gratter encore une reduction! Pis quoi encore, y a pas marquer "vêtements d'occasion", si tu veux des haillons, va chez le conseiller du comte il en fournit gratis! Moi se sont des vêtement bon marché mais de qualité unique! La meilleure!".... et oui encore un peu et le marchand d'esclave allait surement l'envoyer à Taiwan les Bains dans le Gers qu'il dit, pour qu'elle se fournisse elle même... esperant qu'il accepte sa proposition, elle sse tait et regarde Barbie et la veuve Renard.

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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!
Ptronille25
Pétronille s'impatientait devant tant de parlotes. Elle n'avait pas que ça à faire. Elle devait encore acheter son pain et passer voir Bulle dont elle était sans nouvelles ce qui l'inquiétait. Elle s'était aussi promis d'aller ce jour mettre un cierge à l'église Sainte- Epvres pour solliciter la protection de sa patronne.
Si le marchand ne lui amenait pas le petit, elle n'aurait jamais le temps de tout faire.


Son pied commençait à marquer le rythme de son impatience ...
Alors marchand ! Où est l'enfant ? Tu me dis qu'on l'amène, mais je ne vois rien venir ... Et n'essaye pas de m'en faire accroire, tu n'auras pas un denier d'avance !
Va donc présentement t'occuper de mes affaires pendant que ces dames réfléchisssent à leurs futurs achats. Je n'ai pas toute la journée devant moi !


Elle regarda avec exaspération Zahra qui mégotait pour essayer de tirer les prix comme si 10 écus de plus ou de moins changeait la donne, et s'éloigna de trois pas pour tenter d' attirer le marchand.
Où est-il ? s'écria-t-elle en haussant le ton
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Pétronille veuve Renard
Bougmestre de Nancy
ex-Tribun de Verneuil en Alençon

"Le Whisky Selee, le Whisky qu'il vous réjouit!"
Forcejaune
FJ voyait bien que Zahra ne pouvait pas payer...mais il aimait bien jouer au jeu auquel il jouait... du moins avec elle...Il avait bien plusieurs solutios en tete, plus ou moins de façon precises... Mais il n'avait encore rien décidé... beaucoup dependait notament de sa chere, tres chere, O combien chere cliente... Il riait presque d'avance des issues que pouvait prendre cette vente... Il s'approcha d'elle et lui glissa a l'oreille, d'un air, plus que malicieux...

J'ai l'impression qu tu le veux cet esclave... mais jusqu'ou es tu prete a aller pour l'avoir...

Il eue pas le temps de tout finir que Petromille commença a gueler inutilement... Puis, il decida d'elever la voix a son tour, en s'approchant d'elle, apres avoir passé sa main sur le derriere de Zahra :

Qu'ouie je... que vois je...ue cliente qui s'emporte... mais vous etiez devant moi quand j'ai demandé à ce que l'on m'amene l'enfant... il ne devrait pas tarder...vous etes fort impatiente, ma foi...

En disant ceci, l'enfant arriva, accompagné par l'un des hommes de mains du vendeur le plus connu de Lorraine. C'etait bel et bien le meme enfant presenté la premiere fois, qui avait fait ses preuves...
Puis fj dit :


Voila la marchandise, ma p'tite dame... à vous de faire le reste
Zahra.2
Zahra suit du regard le vendeur qui s'approche un peu plus d'elle, elle se dit ayez... "il va m'envoyer voir ailleurs..." elle soupire legerement, et le marchand lui pose une question ...

Citation:

J'ai l'impression qu tu le veux cet esclave... mais jusqu'ou es tu prete a aller pour l'avoir


Elle baisse la tête, et se triture la chemise, elle reflechit... elle se dit , que le marchand doit le faire exprès, elle lui a fait des propositions... des vêtements en rabais... qualité "Zara prix Tati comme elle disait à ses clients la Zahra... sans savoir ce qu'était le zara surement elle et le tati; surement tati un derivé de Alti Altesse faisait elle des prix cassée?
En même temps la veuve qui râle, decidement la dame était plus que pressée, voire desagreable quand elle avait des affaires... surement les jettons d'être interrompue par une garde quelquonque la dame, un peu comme elle d'ailleurs.. elle se concentre sur le marchand, "hum y a moyen de moyenner, "? ... Pas le temps de repondre... pas le temps de reagir, qu'elle ressent, la main du vieux effleurait ses fesses..
puis *tilt* jusqu'où était elle prete à aller pour l'avoir son esclave de luxe? ... juste un mouvement de recul, un peu génée, loin d'être farouche la Zahra, mais elle se laissait jamais approcher par n'importe qui..... puis regardant dans les yeux le vendeur... un regard assez special... qu'il avait.. la laissant un peu perplexe... à se questionner... à quoi qu'il pense là?.... nan quand même pas heu? .... elle lui murmure ..


on pourrait en parler.... faites moi une proposition...je vous ai dit... paiment différé...ou bien en vêtement pour vos filles ... ou bien ..enfin comme vous voulez... j'ai l'impression que vous êtes un peu plus ouvert que tout à l'heure... si je peux vous payer en liqueur de mirabelle... je le ferais volontier... ou enfin...
*hesite*

Elle regarde à nouveau en direction des esclaves, puis elle regarde le petit qu'avait acheté la veuve... elle sourit poliement à la veuve renard, après tout la Zahra ne lui en voulait pas de passer devant elle ... pis de monopoliser l'attention du vendeur ...alors qu'elle luttait pour avoir ses esclaves... et que elle là... bien ayez elle l'avait... un terrible péché qu'est l'ENVIE!

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décalée , motivée , décalée! énivrée mais jamais énervée! wéwé! c'est celà wé!
Ptronille25
Pétronille regarda le garçon s'avancer, poussé par l'un des hommes de main de ForceJaune. Il était pâle mais ne semblait pas maltraité outre mesure, apeuré plutôt. Elle tendit d'une main la lourde bourse au marchand, tentant de dissimuler son mépris du mieux possible, et posa l'autre avec douceur sur l'épaule de l'enfant pour le rassurer. D'un signe du menton, elle avait fait reculé le gardien.

Tenez, voici le compte de ce qui était convenu
Le marchand empoigna aussitôt la bourse, les yeux pétillants de satisfaction.
Sans plus se préoccuper des autres, elle s'accroupit devant le jeune garçon pour être à sa hauteur et lui sourit gentiment.
Je m'appelle Pétronille. Tu vas travailler pour moi désormais. Et toi comment te nomme-t-on ? Es tu baptisé ?
Le garçon baissa le nez .
Et bien ? je t'écoute ?
Suis pas baptisé dame. Vous allez pas vouloir me prendre, c'est ça ?

Devant son inquiétude, Pétronille ne poussa pas plus loin son interrogatoire, se gardant le soin de le questionner plus tard en chemin.
Hum, tu apprendras que je n'ai qu'une parole et je n'ai pas pour habitude de changer d'avis pour un rien. Tu n'es pas baptisé ? Nous y remédierons. Ta présence à mes côtés en sera encore plus agréable aux yeux de Dieu.
Je travaille pour Messire Selee, qui est surement le plus pieux de tout Nancy. C'est un homme bon pourvu qu'on ne le contrarie point. Il me dira comment faire.


Elle se releva et lui pris la main.

Viens avec moi, nous allons passer à mon auberge, puis nous irons au manoir des De Dhoyes. J'y attends une livraison de denrées qu'il faudra ensuite charger pour ramener en gargotte.
As tu déjà entendu parlé de Selee ô Mon Selee ? Non ? hum ... Il va falloir tout t'apprendre alors !


Elle s'éloignait avec l'enfant mais on entendait encore sa voix qui expliquait :
Messire Selee a pour idée de faire une Fondation SM (Selee contre la Misère). Une noble action pour notre duché, tu verras.
L'enfant essayait de caler son pas sur le sien, les yeux écarquillés et les oreilles en écoutilles, absorbant par goulées toutes ces nouveautés.

Il a de grands projets pour la Lorraine tu sais. C'est une grande chance pour toi que de compter parmi ses gens. Il te faudra en être digne et montrer que les écus que j'ai donnés au marchand ne l'ont pas été pour rien.

La voix de Pétronille se perdit dans le dédale des ruelles.
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Pétronille veuve Renard
Bougmestre de Nancy
ex-Tribun de Verneuil en Alençon

"Le Whisky Selee, le Whisky qu'il vous réjouit!"
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