Ulysse.
Il ouvre la porte d'une main, entre, et ne la repose qu'au beau milieu de la pièce, mains s'attardant à sa taille. Ne pas rompre le contact, mais ne pas peloter, non plus. Il laisse la porte ouverte, après tout Julot doit être sur leurs talons avec le vin...
Avisant l'âtre avec les deux petits fauteuils d'un côté, et le lit de l'autre, le pauvre marin ne sait pas trop quoi proposer, de suite.
On s'installe où...?
Et d'ajouter, après un bon gros décalage, la fin de sa pensée de tout à l'heure.
C'vous qui décidez, hein. Que ce soit... dur ou pas.
Il tente maladroitement de l'attirer à nouveau contre son torse. On tapote la tête dans ces cas là ? Non, ça fait animal de compagnie, faudrait pas la vexer. Droit comme un i, tendu comme un con, le marin reste figé, yeux sur la porte. De la vinasse, et pas qu'un peu, voilà ce qu'il lui faut. Ah ben non, mauvaise idée...
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