Zoyah
Le 26 novembre, La Trémouille
La petite troupe avaient dû partir en vitesse afin dêtre à temps en Languedoc pour sauver la caraque du soldat Eddard. Quitter Poitiers avait été un véritable déchirement intérieur pour Chevreuse. Elle partait. IL restait. Cloîtré. Nacceptant que les visites de quelques rares privilégiés. Et à chaque fois quelle le quittait après une longue visite, cela lui laissait le goût amer de la disparition à venir. Comme sil cherchait à la préparer à une séparation définitive mais en douceur. Un genre de sevrage progressif en somme. Le jour où elle avait laissé Iohannes derrière, Chevreuse avait eu le cur très lourd de chagrin. La jeune dame pressentait quelle nallait jamais le revoir et cela la hantait de jour comme de nuit. Elle était convaincue que dans quelques semaines, lorsquelle reviendra à Poitiers et quelle poussera la porte de lappartement, prête à se jeter dans ses bras, elle devra se lover dans les bras de son absence. Autant dire que pour lheure, noyée sous sa peine, elle avait presque oublié Apollonia, jusquà ce que cette dernière se rappelle à elle par lentremise dun soldat.
Et m erde. Elle avait envoyé son capitaine fouiller le Limousin puis le Berry. A cette heure, il devait être à Châteauroux. La lassitude sajouta à sa tristesse. Elle fit partir un pli griffonné à la hâte pour informer ses « yeux » de se contenter dobserver de loin la gamine et de lavertir si elle venait à bouger. Au moins, elle nétait pas très loin. Pourtant, Chevreuse avait du mal à rassembler ses idées. Il fallait quelle prenne le temps de réfléchir, or, elle naspirait quà une chose, cétait au contraire de soccuper lesprit afin de ne pas fondre en larmes. Alors, elle repoussa sine die le courrier quelle voulait faire parvenir à la mioche.
Le 27 novembre, Limoges
Ce jour, elle évita avec soin les tavernes afin que son regard ne croise pas « Les Combes » qui naurait pas manqué de réveiller des souvenirs aujourdhui douloureux. Zoyah était mutique la plupart du temps, forçant un sourire parfois, faisant tantôt leffort de tenir une conversation, mais tout lui coûtait, il fallait bien lavouer. La seule chose quelle désirait était de senfermer dans ce maudit appartement Poitevin avec lui. A peine sétait-elle arraché de sa selle, quelle senferma dans son appartement pour prendre un peu de repos. Lendroit lui était quasiment étranger. Elle lavait acheté sur un coup de tête afin davoir toujours un pied à terre et pour pouvoir louer les pièces quelle nutilisait pas. Le logement occupait le rez-de-chaussée et deux étages dun gros hôtel médiéval. Au niveau de la rue, elle louait la boutique, une pièce, la courette et un appentis qui faisait office décurie. Au second niveau, les trois chambres étaient occupées par des étudiants ou des clercs ? Le premier niveau, elle se létait réservé. Il se déclinait en trois pièces en enfilades dont la plus petite équipée dune petite cheminée, faisait office de cuisine. La plus grande était la pièce à vivre dont le seul luxe était limmense manteau sculpté de la cheminée qui occupait un des murs. La dernière faisait office de chambre de retrait. Tout était sommairement meublé, le confort presque spartiate. Une table et deux tabourets dans la cuisine. Quelques coffres et un siège dans la chambre de parement, un lit et une paillasse dans la chambre à coucher. Et nayant pas prévenu de son arrivée, les cheminées étaient éteintes et aucun draps, ni aucune couverture ne lui avait été monté. A peine était-elle libérée de son bagage quelle posa la main sur la poignée de porte, afin daller chercher du bois pour soccuper elle-même de lallumage des cheminées, quelle manqua de percuter un coursier qui s empressa de lui agiter un pli sous le nez. Elle reconnut le sceau et décida de nen prendre connaissance que bien plus tard.
Bien plus tard, donc
Enroulée dans une couverture, assise en tailleur devant la cheminée où ronflait un feu rassurant incitant à la lecture et repoussant le froid de ses os, elle décacheta le pli
Le pli ne reçut quun haussement dépaule. Voilà quil lallégeait dun fardeau. Peut-être aurait-elle dû être soulagée, mais ce ne fut pas le cas. Chevreuse naimait guère léchec. Elle lacceptait souvent, en tirait des leçons quand elle avait assez de recul pour le faire, corrigeait le tir pour saméliorer si elle sen sentait linspiration, mais là, rien de cela ne simposait à elle , juste le sentiment coupable de ne pas avoir su sy prendre. Toutefois, la réponse du Comte lagaça suffisamment pour quelle se penche sur le vélin avant de reprendre sa route. Alors quelle sattendait à quelques lignes courtes et cinglantes, sa plume se mit à noircir le parchemin plus facilement quelle ne laurait imaginé
Étrangement, elle décida de taire lendroit où se trouvait Apollonia. Ceût été plus prudent vu létat dans lequel se trouvait le père. Alors quelle remettait lépître scellée dun demi-vol à un coursier quelle avait mandé, un autre revenait à linstant du pigeonnier de la ville où un billet à son attention lui était parvenu.
« Mais elle ne sortait pas du couvent cette gosse ? » sinterrogea à voix haute laltesse devant la mine décontenancée du coursier quelle renvoya sans lui transmettre de réponse.
Ayant le sentiment que Wayllander avait rompu leur accord et retiré la faveur quil lui avait demandé, elle décida de le laisser gérer. Elle prendra des nouvelles plus tard, dApollonia et aussi de son cheval !
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La petite troupe avaient dû partir en vitesse afin dêtre à temps en Languedoc pour sauver la caraque du soldat Eddard. Quitter Poitiers avait été un véritable déchirement intérieur pour Chevreuse. Elle partait. IL restait. Cloîtré. Nacceptant que les visites de quelques rares privilégiés. Et à chaque fois quelle le quittait après une longue visite, cela lui laissait le goût amer de la disparition à venir. Comme sil cherchait à la préparer à une séparation définitive mais en douceur. Un genre de sevrage progressif en somme. Le jour où elle avait laissé Iohannes derrière, Chevreuse avait eu le cur très lourd de chagrin. La jeune dame pressentait quelle nallait jamais le revoir et cela la hantait de jour comme de nuit. Elle était convaincue que dans quelques semaines, lorsquelle reviendra à Poitiers et quelle poussera la porte de lappartement, prête à se jeter dans ses bras, elle devra se lover dans les bras de son absence. Autant dire que pour lheure, noyée sous sa peine, elle avait presque oublié Apollonia, jusquà ce que cette dernière se rappelle à elle par lentremise dun soldat.
Citation:
Bonsoir ,
j'ai chercher mais elle est ce soir ici à Angers mais je l'ai pas vue en taverne dites moi ce que je dois faire
amicalement
Bonsoir ,
j'ai chercher mais elle est ce soir ici à Angers mais je l'ai pas vue en taverne dites moi ce que je dois faire
amicalement
Et m erde. Elle avait envoyé son capitaine fouiller le Limousin puis le Berry. A cette heure, il devait être à Châteauroux. La lassitude sajouta à sa tristesse. Elle fit partir un pli griffonné à la hâte pour informer ses « yeux » de se contenter dobserver de loin la gamine et de lavertir si elle venait à bouger. Au moins, elle nétait pas très loin. Pourtant, Chevreuse avait du mal à rassembler ses idées. Il fallait quelle prenne le temps de réfléchir, or, elle naspirait quà une chose, cétait au contraire de soccuper lesprit afin de ne pas fondre en larmes. Alors, elle repoussa sine die le courrier quelle voulait faire parvenir à la mioche.
Le 27 novembre, Limoges
Ce jour, elle évita avec soin les tavernes afin que son regard ne croise pas « Les Combes » qui naurait pas manqué de réveiller des souvenirs aujourdhui douloureux. Zoyah était mutique la plupart du temps, forçant un sourire parfois, faisant tantôt leffort de tenir une conversation, mais tout lui coûtait, il fallait bien lavouer. La seule chose quelle désirait était de senfermer dans ce maudit appartement Poitevin avec lui. A peine sétait-elle arraché de sa selle, quelle senferma dans son appartement pour prendre un peu de repos. Lendroit lui était quasiment étranger. Elle lavait acheté sur un coup de tête afin davoir toujours un pied à terre et pour pouvoir louer les pièces quelle nutilisait pas. Le logement occupait le rez-de-chaussée et deux étages dun gros hôtel médiéval. Au niveau de la rue, elle louait la boutique, une pièce, la courette et un appentis qui faisait office décurie. Au second niveau, les trois chambres étaient occupées par des étudiants ou des clercs ? Le premier niveau, elle se létait réservé. Il se déclinait en trois pièces en enfilades dont la plus petite équipée dune petite cheminée, faisait office de cuisine. La plus grande était la pièce à vivre dont le seul luxe était limmense manteau sculpté de la cheminée qui occupait un des murs. La dernière faisait office de chambre de retrait. Tout était sommairement meublé, le confort presque spartiate. Une table et deux tabourets dans la cuisine. Quelques coffres et un siège dans la chambre de parement, un lit et une paillasse dans la chambre à coucher. Et nayant pas prévenu de son arrivée, les cheminées étaient éteintes et aucun draps, ni aucune couverture ne lui avait été monté. A peine était-elle libérée de son bagage quelle posa la main sur la poignée de porte, afin daller chercher du bois pour soccuper elle-même de lallumage des cheminées, quelle manqua de percuter un coursier qui s empressa de lui agiter un pli sous le nez. Elle reconnut le sceau et décida de nen prendre connaissance que bien plus tard.
Bien plus tard, donc
Enroulée dans une couverture, assise en tailleur devant la cheminée où ronflait un feu rassurant incitant à la lecture et repoussant le froid de ses os, elle décacheta le pli
Citation:
À l'attention de Zoyah Aurel-Novotny, Princesse de Chevreuse, etc.
De Wayllander Louis-Ambroos de Leffe-Miras, Comte de Rubroëk, etc.
Votre Altesse,
Chère Princesse.
Croyez bien que je suis navré -et hors de moi, mais guère à votre encontre- de la tournure des évènements. Vous avez toute ma reconnaissance pour vos efforts ; je suis votre obligé.
L'enfant semble décidément encore, ou déjà, trop brute pour être polie par un meule aussi douce que vous. Bien que beaucoup moins précise et de moins bonne qualité, la mienne seule maintenant peut je le pense lui tailler les coins, par la force.
Je vous remercie une nouvelle fois.
Si vous trouvez trace d'elle, je vous serais gré de m'en faire part.
W. de L-M.
Tout aussi dépité que vous l'êtes, croyez-le bien.
De Wayllander Louis-Ambroos de Leffe-Miras, Comte de Rubroëk, etc.
Votre Altesse,
Chère Princesse.
Croyez bien que je suis navré -et hors de moi, mais guère à votre encontre- de la tournure des évènements. Vous avez toute ma reconnaissance pour vos efforts ; je suis votre obligé.
L'enfant semble décidément encore, ou déjà, trop brute pour être polie par un meule aussi douce que vous. Bien que beaucoup moins précise et de moins bonne qualité, la mienne seule maintenant peut je le pense lui tailler les coins, par la force.
Je vous remercie une nouvelle fois.
Si vous trouvez trace d'elle, je vous serais gré de m'en faire part.
W. de L-M.
Tout aussi dépité que vous l'êtes, croyez-le bien.
Le pli ne reçut quun haussement dépaule. Voilà quil lallégeait dun fardeau. Peut-être aurait-elle dû être soulagée, mais ce ne fut pas le cas. Chevreuse naimait guère léchec. Elle lacceptait souvent, en tirait des leçons quand elle avait assez de recul pour le faire, corrigeait le tir pour saméliorer si elle sen sentait linspiration, mais là, rien de cela ne simposait à elle , juste le sentiment coupable de ne pas avoir su sy prendre. Toutefois, la réponse du Comte lagaça suffisamment pour quelle se penche sur le vélin avant de reprendre sa route. Alors quelle sattendait à quelques lignes courtes et cinglantes, sa plume se mit à noircir le parchemin plus facilement quelle ne laurait imaginé
Citation:
À l'attention de Wayllander Louis-Ambroos de Leffe-Miras, Comte de Rubroëk, etc.
De Zoyah Aurel-Novotny, Princesse de Chevreuse, etc.
Votre Seigneurie,
Cher Comte,
Ne vous ayant jamais vu hors de vous, je dirais que le faciès terrorisé de votre serviteur lorsque vous êtes en rage se dessine plus facilement dans mon esprit. Toutefois, je suis persuadée que la colère et la violence ne sont pas une réponse à apporter à cette rébellion adolescente. Révolte à laquelle vous nêtes pas étranger. Avez-vous bien lu son pli ?
Cest une enfant en peine que vous navez pas daigné rencontrer, mais à qui vous imposez déjà, ce qui pour elle, doit être un insupportable dictat. Vous me lavez envoyé comme un paquet de linge sale sans même chercher à la voir. Dailleurs, je crois quelle a vos yeux, mais peut-être me trompe-je. Et ainsi, il nest guère étonnant quelle rue dans les brancards.
Que vous le vouliez ou non, elle sest probablement sentie rejetée et méprisée car vous ne consentez guère à lavoir près de vous tant quelle naura pas pris les traits et les allures que vous souhaitez lui donner. Elle a un fort caractère. Peut-être bien le vôtre. Mais assurément, elle a la tête bien faite et qui plus est, elle est pieuse. Elle a un potentiel certain pour vous satisfaire.
Comment étiez-vous à son âge ? Doux et docile, acceptant dêtre conditionné ou plutôt farouchement indépendant et à ne pas vous laisser imposer votre conduite ? Comment auriez-vous réagi à sa place après semblable traitement ? Vous ne pouvez lui demandez de se comporter en une fille respectueuse de lautorité paternelle quant à ses yeux, vous vous employez à la garder loin de vous. Il est presque indécent dexiger delle davoir à cur limage et lhonneur dune famille, quand vous faites tout pour quelle reste cachée aux yeux des Leffe.
En parlant de cur, vous seriez bien avisé de faire un peu plus parler votre cur, moins votre tête et de taire un peu votre honneur lorsque vous envisagez Apollonia. Et par pitié, ne prenez pas mes mots avec hauteur ! Avant de hurler, menacer et lui tailler les coins, tentez donc de lui parler et de lécouter. En ce qui me concerne, je ne lui en veux pas.
Pour linstant, un de mes hommes a tenté de la pister, en vain. Jai contacté prévôts et maires, aucune trace delle encore. Elle na été vue ni à Poitiers, ni à Niort, ni à Thouars, ni à La Trémouille, ni à Saintes et ni à la Rochelle. De mon côté, jai dû prendre la route, je dois me rendre à Montpellier de toute urgence. Néanmoins, jai laissé à Poitiers mon jeune page, Bastien qui pourra lui ouvrir les portes de mon appartement si elle le désir.
Pour ce qui est de la meule, vous auriez pu faire leffort de trouver une comparaison plus flatteuse, il me semble avoir plus de grâce ! Cependant, je vous saurai gré de me tenir au courant de vos recherches également.
Zoyah. AN
P-S : Avez-vous apprécié le présent que je vous ai laissé afin de vous remercier pour la pastorale dAgnès ?
À l'attention de Wayllander Louis-Ambroos de Leffe-Miras, Comte de Rubroëk, etc.
De Zoyah Aurel-Novotny, Princesse de Chevreuse, etc.
Votre Seigneurie,
Cher Comte,
Ne vous ayant jamais vu hors de vous, je dirais que le faciès terrorisé de votre serviteur lorsque vous êtes en rage se dessine plus facilement dans mon esprit. Toutefois, je suis persuadée que la colère et la violence ne sont pas une réponse à apporter à cette rébellion adolescente. Révolte à laquelle vous nêtes pas étranger. Avez-vous bien lu son pli ?
Cest une enfant en peine que vous navez pas daigné rencontrer, mais à qui vous imposez déjà, ce qui pour elle, doit être un insupportable dictat. Vous me lavez envoyé comme un paquet de linge sale sans même chercher à la voir. Dailleurs, je crois quelle a vos yeux, mais peut-être me trompe-je. Et ainsi, il nest guère étonnant quelle rue dans les brancards.
Que vous le vouliez ou non, elle sest probablement sentie rejetée et méprisée car vous ne consentez guère à lavoir près de vous tant quelle naura pas pris les traits et les allures que vous souhaitez lui donner. Elle a un fort caractère. Peut-être bien le vôtre. Mais assurément, elle a la tête bien faite et qui plus est, elle est pieuse. Elle a un potentiel certain pour vous satisfaire.
Comment étiez-vous à son âge ? Doux et docile, acceptant dêtre conditionné ou plutôt farouchement indépendant et à ne pas vous laisser imposer votre conduite ? Comment auriez-vous réagi à sa place après semblable traitement ? Vous ne pouvez lui demandez de se comporter en une fille respectueuse de lautorité paternelle quant à ses yeux, vous vous employez à la garder loin de vous. Il est presque indécent dexiger delle davoir à cur limage et lhonneur dune famille, quand vous faites tout pour quelle reste cachée aux yeux des Leffe.
En parlant de cur, vous seriez bien avisé de faire un peu plus parler votre cur, moins votre tête et de taire un peu votre honneur lorsque vous envisagez Apollonia. Et par pitié, ne prenez pas mes mots avec hauteur ! Avant de hurler, menacer et lui tailler les coins, tentez donc de lui parler et de lécouter. En ce qui me concerne, je ne lui en veux pas.
Pour linstant, un de mes hommes a tenté de la pister, en vain. Jai contacté prévôts et maires, aucune trace delle encore. Elle na été vue ni à Poitiers, ni à Niort, ni à Thouars, ni à La Trémouille, ni à Saintes et ni à la Rochelle. De mon côté, jai dû prendre la route, je dois me rendre à Montpellier de toute urgence. Néanmoins, jai laissé à Poitiers mon jeune page, Bastien qui pourra lui ouvrir les portes de mon appartement si elle le désir.
Pour ce qui est de la meule, vous auriez pu faire leffort de trouver une comparaison plus flatteuse, il me semble avoir plus de grâce ! Cependant, je vous saurai gré de me tenir au courant de vos recherches également.
Zoyah. AN
P-S : Avez-vous apprécié le présent que je vous ai laissé afin de vous remercier pour la pastorale dAgnès ?
Étrangement, elle décida de taire lendroit où se trouvait Apollonia. Ceût été plus prudent vu létat dans lequel se trouvait le père. Alors quelle remettait lépître scellée dun demi-vol à un coursier quelle avait mandé, un autre revenait à linstant du pigeonnier de la ville où un billet à son attention lui était parvenu.
Citation:
Bonsoir
nous somme madi 27 novembre1466
et Cixi_apollonia d'Rien est touours a Agers ,je ne l'ai vue en taverne et je ne sais pas avec qui elle est
je vous tien au courant pour demain
nous somme madi 27 novembre1466
et Cixi_apollonia d'Rien est touours a Agers ,je ne l'ai vue en taverne et je ne sais pas avec qui elle est
je vous tien au courant pour demain
« Mais elle ne sortait pas du couvent cette gosse ? » sinterrogea à voix haute laltesse devant la mine décontenancée du coursier quelle renvoya sans lui transmettre de réponse.
Ayant le sentiment que Wayllander avait rompu leur accord et retiré la faveur quil lui avait demandé, elle décida de le laisser gérer. Elle prendra des nouvelles plus tard, dApollonia et aussi de son cheval !
_________________