Aryanna
Montfa en préparation, Montfa en ébullition.
C'était, certes, le premier grand événement organisé à Montfa depuis un bout de temps, mais l'habitude ne se perd jamais vraiment.
En haut de sa butte Montfa préparait salle de réception, salle du trône et tout le tralala. Pendant qu'Aryanna supervisait et répondait aux questions d'Amandine dans le calme et la sérénité.
Ctulhu avait été informé des invités à l'arrivée le lendemain. Sigrid préparait de ses spécialités connues d'elle seule. Amandine pâtissait, aussi. Alors que Doppel et Gänger rêvassait près de l'étang, soit : ils ne foutaient rien, comme d'hab'.
Les préparations allaient bons trains. Tant et si bien qu'à la fin de la journée... Tout était finalisé. L'oiselle pouvait donc retourner à des préoccupations bien plus préoccupantes que celles-ci, où tout roulerait comme sur des roulettes - à peu de choses près - le lendemain.
Sans compter que sa sur arriverait tard le soir même. Elles auraient le temps d'un peu se voir avant la cérémonie de l'après-midi suivante.
[ Montfa - 9 d'Agost ]
Soirée simple, nuit claire.
La noire avait été occupée une bonne partie de la soirée avant que sa sur et ses nièces n'arrivent au Château. Solveig ayant été couchée rapidement, la cadette avait pu retrouver l'aînée pour la séance papotage en règle.
Elles s'étaient quittées un peu tard, avant qu'Aryanna ne retournent à ses affaires.
Le lendemain matin avaient été dédiée à la vérification des derniers détails. Les oriflammes Montfanéens avaient été tendus sur les remparts, ainsi que dans la petite salle de plaid. Ce jour ne serait pas dédié à la réception des Montfanéens aux problèmes divers, mais à l'accueil de ses amis et de ses futures vassaux qui aurait lieu en début d'après-midi, sous le soleil encore chaud.
Bientôt les premiers arriveraient, bientôt Poitou leur ferait aussi l'honneur de sa présence en tant que Héraut dédiée à la cérémonie.
Que les "Hostilités" commencent, bientôt !
[* Référence pourrie, bonjour !]
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Devise - en sanskrit : Véda prasthâna dijvassia.
Le savoir est source de la vie. Ou la source de la vie est celle qui sait, soit : la femme sait