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[RP] Le Roy se montre, c'est démontré

Valnor


Valnor n'aimait pas la situation qui commençait à se dessiner devant lui et ses hommes devenaient nerveux.

L'apostrophe du Vicomte Dragonet au Roy n'avait pas été d'un coup certain, mais maintenant que les hommes du Limousin tentaient de le mettre aux arrêts, les choses se compliquaient d'autant qu'il semblait blessé. D'où il se trouvait Aubeterre n'avait pas tout vu de la scène mais les cris et les mouvements de foule n'étaient pas bon signe.


- Personne ne bouge ! lança-t-il aux gardes royaux sous ses ordres. Personne ne rompt la formation !

Il regarda sur l'estrade, pour voir si Kazert avait des consignes particulières et chercha du regard un départ éventuel du Roy avec l'autre fraction de la Garde Royale.



vert est réservé à la censure. Deirdre
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La_barrique
La_Barrique comprenait maintenant que les choses s'envenimaient sérieusement.

Plusieurs partisans loyalistes s'étaient fait remarquer par leur véhémences et d'autres avaient déjà eu mal à partir avec quelques partisans ULMiens.

Il avait réussi à rassembler quelques uns de ces amis et s'était rapproché de l'estrade.

D'où il était, il comprenait maintenant que Dragonet bien que chahuté n'était pas forcément en danger.

Inspiré, il se permit cet appel au calme :


Loyalistes ! Contenez vous !

Quel spectacle donnons nous à notre Roi ?

Rassurez vous, le comte Dragonet a vécu des épreuves plus dures que celle d'affronter quelques soldats zélés en manque d'émotions.

J'en appelle à votre sagesse et à votre loyauté envers le Limousin.

Certains se sont parjurés, ont trahis le serment qu'ils avaient fait en s'engageant sous les couleurs de la COLM et s'en sont pris à ses institutions.
Ne prenons pas exemple sur une poignée de félons ! Notre voie doit être entendu du Roi mais nous devons nous faire entendre sans violence, en toute légalité ou nous ne vaudrions pas mieux que ces renégats.

Retenez vos paroles. Redorrons par nos actes la fierté perdue de cette belle région et alors seulement nous ferons entendre raison à notre roi.

Profitons de sa visite pour lui faire entendre notre deception d'avoir été laché par celui en qui nous avions placé notre confiance, ce jour maudit où il accepta l'allégeance d'une tratresse et d'une parjurée.

Faisons lui entendre le désespoir de ceux qui ayant exprimé leur droit de choisir celui qui devait les guider, ont vu cette décision bafouée par une poignée de nobliaux se croyant au dessus des règles edictées par le Roi lui même.

J'en appelle au calme. Faites passer ce message d'appaisement. Faites dire jusqu'aux arrières de la foule que La_Barrique réclame l'appaisement.


Alors qu'il s'attendait à ce que tout ces officiers en tenue d'apparat ait eu un geste pour protéger leur Roi et l'institution, il avait dû prendre les choses en main.

Quelle bande de pleutre que ces officiers qui lorsqu'ils ne se déshonnorent pas préfèrent se pavaner aux banquets du comté que d'assumer pleinement leur rôle de maintien de l'ordre.

La foule ne réagit pas à l'instant mais petit à petit l'agitation cessa. Les esprits étaient encore échauffés mais le message était passé. Ils resteront vigilants mais tenteront au possible de contenir leur rage.
Armoria
Armoria n'avait pas bronché ; elle avait dit qu'elle laisserait le Roy seul juge des suites à donner à l'affaire et s'était contentée de surveiller les abords. Elle avait bien évidemment levé son verre à la suite de son souverain, et reprit son exclamation saluant le Limousin. Au geste de Dragonet, là encore, elle avait tourné son regard vers le Roy, qui affichait alors un air sévère. Attenter à la vie d'une créature de DIeu était un péché, sauf exceptions, et attenter à la sienne propre était plus grave encore. Le Roy, dans sa ferveur, condamnait sans doute cela avec force : c'était l'interprétation qu'elle faisait de son attitude actuelle.

Un agitateur s'époumonait, semblant se croire à la tête d'une multitude. Epris de boisson, peut-être. Cependant, elle pensait que c'était son tour de répondre. Nul besoin de monter la voix : il criait, certes, mais était seul à le faire. A qui s'adressait-il, quand il exhortait au calme ? Mystère...


Voyez-vous, mon brave, quand une province change de tête, pour que les voeux perdurent, il faut de nouveau prêter allégeance. La raison pour laquelle elle peut changer de tête fait toujours l'objet d'une enquête. C'est le cas, présentement. Est-ce à dire pour autant qu'il faille attendre le résultat de l'enquête - pour rappel, une enquête qui se veut fiable et efficace ne se peut faire dans l'urgence - quitte à paralyser tout un pan de l'activité de la région ? Nenni non... A ce titre, l'allégeance se doit faire au plus vite.
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La_barrique
La foule calmée, La_barrique resta attentif, peut-être allait-il se passer quelque chose d'autre du coté de l'estrade.

Qui donc était cette femme au physique plutôt ingras qui tentait de lui faire passer un message ? Une dame de la haute parisienne qui semblait articuler quelques phrases dans sa direction... Sans doute devait-elle être un peu faible d'esprit, il n'y preta pas attention. La vie ne l'avait pas gâtée à la naissance et il était assez aristotélicien pour ne pas mépriser cette femme aux manières si étranges qu'elle préfère s'adresser à un petit bourgeois qu'aux femmes et hommes bien nés qui l'entouraient.
Finitou
Tout était allé si vite...Dragonet s'automutila.
Qu'est ce qu'il n'allait pas chercher pour se faire remarquer. Il fallait que tous les regards soient toujours tournés vers lui.

S'en était pitoyable.
Corenthine regarda la scène mais alcyone et Tiboulola avait fondue sur lui telle deux louves protectrices.
Corenthine les laissa faire. Il y avait déjà assez de monde autour de lui, il risquait l'évanouissement, ce qu'il fit.
La chef barbière se dit qu'une bonne paire de claques auraient suffit à le mettre sur pied et qu'heureusement un tel homme n'est pas fait la guerre en Bretagne, sous peine de tomber en pâmoison toutes les 5 minutes.
Ca c'était du MALE viril....

Il fut transporter sur une charette et partit avec Alcyone et Tiboulola.

Corenthine se tourna vers deux soldats.


Allez desuite à la porte du Vicomte et vous me tiendrez informer.

Elle parla à Guyart et Zakuro pour vite rentrer dans le rang car certaines personnes en profitaient pour proférer des insultes.
Il y avait quelques "génies illuminés" dans le limousin qui auraient donné leur séant pour sauver celui de Dragonet.
Enfin une histoire de séant sent toujours mauvais en somme.

Elle ne se faisait pas de soucis quand à l'état de santé du Vicomte...elle était sûre qu'il était capable de revenir hanter les lieux. Mais l'histoire n'allait surement pas en rester là.
On excusait plus des hors la loi de leur manque de savoir vivre qu'un Vicomte.

Elle rentra elle même dans le rang et lança quelques ordres.

Soldats soyez vigilants.

Elle se permis d'aller voir Messire Valnor.

Messire désolée de tout ce raffut mais le Vicomte est un homme de spectacle et vous en avez eu pour vos deniers.
Il a néanmoins certains partisans qui se compte sur le doigt d'une main mais restez sur vos gardes.


Elle fit un léger signe de tête et tourna les talons.
Corenthine avait entendu des rumeurs comme quoi c'était les soldats qui avait blessé le Vicomte, ce qui bien évidemment faux car le pire ennemi de Dragonet, c'était Dragonet lui même.
Elle s'approcha de la Comtesse.


Comtesse, des fausses rumeurs circulent comme quoi nous aurions blessé le vicomte. Dites leur la vérité. Ils doivent savoir. Je sais ça va peut être pas les rassurer de savoir qu'il est au conseil mais bon!!!

Corenthine salua Ewaële puis se replaça dans son rang avec les hommes dans une discrétion presque totale.
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Fur
Fur suivit la scène, le Vicomte parti sur une charette, la foule qui ne savait plus trop quoi faire entre acclamer ou huer...
Les mouvements de masses, les soldats pexplexes, et cet homme étrange qui s'adressait à la foule, qui semblait intéresser la Princesse...

Par sécurité, Fur décida de bien le surveiller... Bien qu'il semblait se calmer...

C'est alors qu'il vit la connétable revenir et s'adresser à son collègue... Qui était à quelques pas de lui...

une connétable qui parle à un garde royal entre le Roy et une foule excitée c'est rarement bon signe
se dit-il...

Il regarda Valnor curieux


YEP ! Valnor..... ?
Espérant qu'il l'entende avec tout ce bruit

Du nouveau ?
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Famille de Chéroy

Aphelie
Tourne, tourne sur la piste.
Tourne, tourne dans sa tête...
La nuit est finie mais elle est toujours endormie.
Y a un moustique qui lui a chatouillé le front un peut plus tôt.
Elle a grogné avant de frotter à l’endroit de l’effleurement,
Et l’a entendu ce moquer d’elle et de son état d’commatage dû à une absorption importante d’alcool.
C’est fou ce qu’un baiser sur le front peut faire comme effet quand des vapeurs d’alcool envahissent un esprit endormi...
Encore quelques heures et elle se réveil.
Une main sur son front,
L’autre le cherche sur la paillasse.
Vide...
Calcul rapide dans la tête pour savoir quel jour on peut bien être.
Elle sait qu’elle a quelque chose à faire aujourd’hui mais quoi...
Se redresser en sursaut quand les esprits sont retrouvés.
Oublier le mal de crâne et chercher ses fringues éparpillées dans la piaule.
Pas possible qu’elle allait rater ça !
Déjà qu’il leur a posé un lapin hier,
Alors elle va pas manquer l’occasion d’au moins approcher ce qu’elle voulait non mais oh !
Pi pourquoi bire l’a pas réveillé ?
Sourire à l’idée...le pauvre, heureusement qu’il a pas essayé en fait...
A moitié habillé, elle descend les escaliers quatre à quatre.
Et direction la place publique.
La foule est en vue et l’agitation se fait entendre.


Evidement ! En retard...comme d’habitude tiens.

Elle parle toute seule et quelques personnes se retournent sur elle alors qu’elle joue des coudes pour passer.
Seulement y a vraiment du monde.
Elle écrase quelques pieds au passage.
Décroche quelques coups de coudes dans le dos...
Mais rien n’y fait, elle recule plus qu’elle n’avance.
Résignée elle s’écarte de la foule et sautille pour mieux voir ce qui se passe.
Elle sautille...Gné ? Mais à quoi elle joue là ?
Décidemment elle a pas les idées claires.
Voilà qu’elle ressemble à tous ces couards venus l’acclamer.
Une nausée lui vient alors...l’alcool peut être, ou le dégout d’elle-même qui sait...
Réfléchir un instant alors que le monde tangue autour d’elle.
Le meilleur moyen de voir...
Mais oui ! Un jour quelqu’un lui a dit que du haut d’un arbre on voyait tout, qu’on se sentait plus fort, plus grand...sentiment de puissance et de contrôle.
Depuis elle a cessé de s’asseoir au pied des arbres pour grimper à leurs branches.
Un arbre...on y revient toujours au final.
Elle scrute la place du regard et...
La charrette attire son regard, sourire qui s’élargie à la vue de l’arbre.
D’un pas décidé elle s’y dirige.
Les paysans sont restés bouche bée de l’emprunt de la charrette, ou simplement parce que la dame leur a adressé la parole.
On s'en cogne en fait, ils sont beaux les vilains gueux dans le paysage.
Elle se tourne vers eux.


Voyez comme ils se croient tout permis les mobliots ! j’vous jure...et vous dites rien en plus !

Sourire aux coins des lèvres elle se baisse pour ôter ses chausses et les glisser dans son sac.
Un air qui trotte dans la tête alors qu’elle commence à grimper à l’arbre.
Elle chantonne.


Pa pala pala pa pa pa, pa pala pala, pa pala pala...

Arrivée en haut, surplomber la foule.
Voir la charrette emmener un blessé.
Apercevoir au loin l’objet convoité.
Evaluer la situation, le nombre de garde.
Chercher dans la foule un rasé...


Ouch...ouai...pas sur que ça va l’faire pour le coup...

Attendre et observer.
Qui sait un mouvement de foule et pouff envolé les bijoux !
A voir, attendre le moment et continuer à chatonner...


Pa pala pala...
Trokinas


Trokinas n'avait pas bougé pendant toute la scène. Il avait regardé Dragonet se tailler une artère et vit le flot de sang qui sortait. Le Vicomte venait de réaliser un péché : suicide. Puis les cris fusèrent, la foule s'anima. Le Baron ne bougea toujours pas. Il regardait toute cette agitation. Le Banquet de la veille avait été un fiasco, cette présentation était censée calmer les esprits, et voilà ce qu'il se passait. Encore une fois, Dragonet était sur le devant de la scène, et se ridiculisait, et avec lui tout le Limousin. Le Roy aurait de la belle province une image de personnes s'agitant en tout sens, avec un Vicomte dément, et qui plus est Conseiller Comtal. Le Baron se demandait d'ailleurs comme un tel conseiller pouvait remplir son office alors qu'il venait de commettre un des plus terribles péchés.

Et voilà, encore une fois, le Limousin bouillonnait, et les blessures se rouvraient. Cela brisa encore une fois le coeur du Baron. Les plaies qui s'étaient ouvertes pendant l'été dernier, venaient de se rouvrir. Le Limousin n'apprendrait probablement jamais. Trokinas se pencha vers Bess.

Et voilà, moi qui pensais qu'on pouvait apprendre de ses erreurs, et de son passé, regarde tout ce gachis. Regarde comment le Limousin se donne en spectacle. Mais à quoi cela peut il bien servir? Le Vicomte, j'espère que vous allez vous en occuper, parce que là ca devient vraiment n'importe quoi. Il est au mieux fou, au pire dangereux. Moi je vous laisse, je quitte la place avant de voir encore plus de ridicule.

Puis le Baron fit demi tour, et tourna le dos à toute cette scène aussi médiocre que son principal acteur.

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Kiyana
Kyana avait vu le Roy, la princesse, et quel beau spectacle, elle comprenait pourquoi il y avait si peu de monde, incapable de festoyer tranquillement, le monde devait se rapporter à lui et à lui seul, quelle déception, mais il restait son parrain, et cela elle devait de le respecter, elle écrit quelques mots et demanda à ce qu'on le donne à Dragonet, un garde lui rigola au nez et le elle donna à TibouLola avant qu'elle ne parte

Citation:
Cher parrain,

J'espère que tout ira pour le mieux, je me dois de retourner en Guyenne quelques temps, je viendrais vous voir à mon retour, mais arrêter votre folie, laissez le Limousin, laissez le partir, il ne vous reste pas que la politique, il vous reste la famille.

Tendrement,
Kyana.


une fois fait, elle regarda cette scène, presque une scène macabre, souleva légèrement ses jupons pour marcher plus vite et s'en alla...
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Valnor


Lorsqu'il vit arrivé vers lui Dame Finitou, Valnor l'écouta calmement d'autant que la foule semblait se calmer.

D'un signe de tête accompagné d'un sourire, il lui répondit par l'affirmative sur son conseil de prudence avant de la voir repartir vers sont poste.


Citation:
- YEP ! Valnor..... ? Du nouveau ?


Aubeterre se retourna pour voir qui l'apostrophait. C'était Fur qui de loin lui demandait si il y avait des nouvelles. Il haussa des épaules tout en le regardant.

- Ma foi non ! lui lança-t-il d'une voix assez forte pour qu'il entende. Nous restons sur place mais on m'a conseillé d'être vigilant. Il ponctua la fin de sa phrase par un clin d'oeil à son collègue, avant de se retourner pour faire face à la foule.

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Johane
VIVE LE ROY ! c'est ce que Johane entendit en arrivant sur la place noire de monde. Elle sautait sur place pour essayer d'apercevoir le Roy, mais elle était encore bien trop loin. Elle se faufila parmi la foule, pour s'approcher et pu voir le Roy, au côté de la Comtesse, lever son verre en disant :

Longue vie au Limousin !

Elle avait souvent douté de l'existence du Roy, ne connaissant de lui que son portrait qui trônait en salle du conseil et les soldats morts à la guerre en son nom. Le voir, là sur l'estrade, prendre la parole et boire à la santé du Limousin, emplit Johane de joie. Faisant mine de tenir un verre à la main, elle s'écria :

LONGUE VIE AU ROY !!!

un peu plus loin, le bouffon du Limousin se donnait en spectacle. Johane avait pris pour habitude de ne plus écouter ses mensonges et les bêtises qu'il était capable de déverser. Aussi, tournée vers le Roy, continua t elle à crier

LONGUE VIE AU ROY !!!
LONGUE VIE AU ROY !!!
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le journal non officiel des RR
http://pressecitron.unblog.fr/tag/accueil/
Armoria
Le fond de l'air se faisait frais, et même le vin chaud avait grand mal à dissiper les frissons. Une chose était sûre, le manteau de Pair était plus utile en novembre qu'en août... Elle monta les quelques marches qui menaient à l'estrade, et se plaça de l'autre côté du Roy, qui se trouva ainsi joliment encadré, entre une Comtesse et une Princesse.

C'est la Cour toute entière, par ma voix, après celle de Sa Majesté, qui remercie le Limousin de son accueil. Gageons que nous aurons le plaisir de nous retrouver au hasard des routes et du calendrier...

Elle ajouta plus bas, pour la Comtesse :

Ne vous mettez point martel en tête pour l'agitation, notre venue est une sorte de point de mire pour les olibrius... Cela ne retire mie à la valeur de votre province et de ses habitants.

Encore un peu de vin chaud, encore quelques mots échangés entre les officiels d'ici et ceux d'ailleurs, et la Cour se dispersa en bon ordre, le Roy encadré par ses gardes et suivi d'une blonde frileusement emmitouflée dans son manteau.

[Toujours difficile de partir en queue de poisson, mais c'était le dernier post avant sychronisation. Merci à tous de votre participation, et à bientôt !]
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