Lazare.
Le jeune Lazare chassait les dragons, encore et toujours. Pour cette fois, les féroce bêtes ailées avaient pris la forme de quelques poules égarées plus effarouchées par le gamin qu'autre chose. Mais lui, le petit, le plus jeune de cette armée dont il ne connaissait pas encore tout le monde, il usait ses chausses à courir dans tous les sens. Il avait revêtu l'habit de lumière offert au gré de ses pérégrinations à travers les jambes des adultes. Une épée miraculeuse par-ci, un casque de soldat par-là, il avait désormais la tenue réglementaire de l'enfant aventurier et avide d'aventures.
Il avait fallu un vacarme assourdissant pour qu'il stoppe net ses aventures. Il avait tourné la tête et avait tout le monde, ou presque, se rassembler. Il devait être l'heure du goûter ou quelque chose comme ça. Il laisse son épée et so bouclier tomber au sol. Il savait pertinemment qu'aucun adulte ne lui prendrait des armes en bois et à une taille inadaptée au combat. Il était serein. En s'approchant, il s'aperçut que de goûter il était finalement question de prière. Alors le bambin découvrit sa tête et plaça la bouclier sous son bras droit avant de s'agenouiller près des femmes qui s'occupaient si bien de lui.
Serein et sérieux, appliqué, il récita le credo à voix basse. Il oubliait certains mots, certaines phrases, confondait quelques idées mais le coeur était là. Il voulait faire comme les grands. La conquête du monde pouvait bien attendre. Les poules n'auraient pas de dents ce soir. Les "gragons" avaient encore la peau dure. Il se leva ensuite et posa des yeux interloqués sur la liesse.
C'est quoi qu'y s'passe ?
Il avait fallu un vacarme assourdissant pour qu'il stoppe net ses aventures. Il avait tourné la tête et avait tout le monde, ou presque, se rassembler. Il devait être l'heure du goûter ou quelque chose comme ça. Il laisse son épée et so bouclier tomber au sol. Il savait pertinemment qu'aucun adulte ne lui prendrait des armes en bois et à une taille inadaptée au combat. Il était serein. En s'approchant, il s'aperçut que de goûter il était finalement question de prière. Alors le bambin découvrit sa tête et plaça la bouclier sous son bras droit avant de s'agenouiller près des femmes qui s'occupaient si bien de lui.
Serein et sérieux, appliqué, il récita le credo à voix basse. Il oubliait certains mots, certaines phrases, confondait quelques idées mais le coeur était là. Il voulait faire comme les grands. La conquête du monde pouvait bien attendre. Les poules n'auraient pas de dents ce soir. Les "gragons" avaient encore la peau dure. Il se leva ensuite et posa des yeux interloqués sur la liesse.
C'est quoi qu'y s'passe ?