[Rp] Une Fiesta Mementomesque !!!

Makcimus..

Voila venu le temps du Chaste baiser.... Il gonfla la poitrine .... Hummm... Hummm !!

Lorsque les langues furent déliées il leva les bras en direction du ciel ....

Puisque vous avez donné pareil consentement Gardez-vous mutuellement dans la parfaite fidélité et l'aide mutuelle.

Dieu Créateur et conservateur du genre humain, Toi qui donne la grâce spirituelle et qui fais largesse de la vie éternelle, daigne envoyer Ta bénédiction céleste a Caro et Namay !!

Qu'ils puissent bénéficier de Ta protection céleste, qu'ils fuient les tentations du sans-nom, qu'ils gardent fidélité, qu'ils instruisent les enfants dans la piété, qu'ils trouvent grâce auprès de tous et que par une conduite bonne sainte ils parviennent au salut éternel.

Mes Amis, je vous déclare donc unis pour l'éternité !!!

Aimez-vous dans la joie, la bonne humeur, mais aussi lorsque les vents mauvais de l'existence souffleront, vous n'en serez que plus forts, ensemble pour les affronter!

Il aurait bien déclaré que Namay pouvait embrasser Caro.... Mais cela était déjà fait, et vu le regard de Caro il convenait de ne pas, a nouveau en public, rééditer la chose.... Les plus chaste comme Milly ou Yva ne comprendraient pas.

Aussi il se signa... Et Annonça non sans une certaine joie..... Il est l'heure de rompre le pain... Heu... Pardon... De couper cochons , boeufs et agneaux et de les partager !!! Buvons mes amis !!!

Vive Caro et Namay !!!
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Louison._

Un baiser furieux, des yeux écarquillés, des mots qui jaillissent, elle fait échos à ces mots et se lance.

Vive Caro et Namay !!!

Puis se rend au festin prenant une tranche de pain et la garnit de viande avant de retourner sur sa souche, non sans avoir happé en passant une chope bien mousseuse.

Tyranertus

Quelle belle cérémonie surprise. Enfin par pour tout le monde. Il était très content de cette union et espérait que la journée allait se poursuivre encore et encore dans cette bonne humeur et que la fête sera longue et pleine d’ivresse et de luxure pour les mariés.

Il semblerait que l’heure du méchoui arrivait.

Vive Caro et Namay !

Puis attend qu'un premier aille se servir une bonne chopine et d’y aller après.
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Manuella

Suivant le mouvement, Manuella leva les bras au ciel.

Vive Camay, vive Naro !
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Mara_vercors

Hoo Chef.. enfin Père, bref vous , quoi ! m'dites, m'aviez pas dit qu'fallait s'habiller, j'suis en guenilles presque.

De toutes façon, même avec une robe de princesse, elle aurait l'air d'une vagabonde. Ca lui collait à la face, son origine de chat des rues.
Un baiser sur le front du paternel, wouhaaa ! Elle en perd les pédales, la donzelle, tant ça lui fait de l'effet. Presque pire que ce regard si doux et chaleureux qu'il pose sur elle.
N'a jamais connu ça, l'hirsute, l'affection démontrée. De l'aveugle, jamais, même si chacun de ses actes envers elle le montraient, mais jamais... ça.. la tendresse.
Pfiuuu ça donnait envie de boire té !
Et ça tombait bien, le paternel l'emmène se rincer le gosier.
Et fauve qui pointe le museau, agrandissant le sourire dent cassée en biais de Mara, sifflant d'admiration de la tenue de sa toute nouvelle belle-mère. Fauve, elle l'aurait suivie en enfer, ou même pire si ça existait, et pour sûr que ça existait, et comment.

B'diou d'trou d'nasaille d'diable en rut, c'que t'es jolie !

Ensuite, elle maîtrise plus rien, tout part en vrille. Faut dire qu'elle s'en est sifflé quelques uns, des godets qui passaient par-çi et par-là. Fichtredéos c'que ça fait comme boucan ces armées en festoilles. Rangées en malles les attifements militaires, sont tous sur leur 421 au moins.

Ha, fiente de pigeon dysentrique, ça prie...

Silence de circonstance, pour l'athée invétérée qu'elle était. N'irait quand même pas dire que l'seul gus qui avait trouvé faveur à ses yeux se prenait pour le diable, et puis bon, y avait prescription, elle était gosse et il l'avait abandonnée, le salaud. Mais bon, n'irait pas non plus jusqu'à prier. Alors se la fermait, et ensuite marmonnait des trucs inaudibles pour avoir l'air de, et attendait que ça passe, la ferveur de l'instant.
Fauve lui lançait des regards suspects, pour sûr qu'elle allait piger, la finaude.

Il était impressionnant, le Père quand même... grands yeux de biche arrimés, elle le lorgnait avec naïveté et admiration.
Et le Namay qui se marie, là, justement maintenant. Elle n'était pas la seule à être bourrée, pour sûr.
Encore un truc qu'elle ne ferait jamais, ça, pour sûr, se marier.

N'empêche, elle trouvait ça diablement beau. Surtout les yeux des époux, là...parce que l'échange de bave tout ça... quand même, toute émue, la Mara. Mais l'estomac dans les talons, aussi.

Alors elle leva le triple énième godet qui lui avait été servi, et lança un peu fort :

Vive les mariés !

L'avait faim, quoi.
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...Je suis anachronique mais je me soigne !

Hooks

Journées de liesse , journées de joies ... Le vieux était resté loin des festivités, des beuveries et des flons flons ..

Non pas qu'il n’était pas heureux pour le Cap et Caro ... Bien au contraire ... Vu son passé avec la dame de cœur de Namay , les débuts houleux , le fait d'avoir prêté allégeance a sa duchesse par la suite .... non pas comme noble , il ne l'avait été que brièvement , et c’était tant mieux ... Pas fait pour cette bêtise le Hooks ... Mais comme simple homme d'honneur .

Puis l'amitié pris le pas , ah çà il l'aimait Caro ... Non pas comme Le Carmin pouvais l'aimer , non , juste comme un ami , il donnerait sa vie pour ses amis .

Et il aimait aussi Namay ... Pas comme certains le disent au point de le suivre aveuglement comme un mouton ... Non ... Memento n'est pas un troupeau .... Memento est une famille .. Avec ses cousins machins , ses cousines avec qui on tente des expériences .... ou non .. Ses neveux indisciplinés ... Et non pas une armée débiles suivant son "chef" sans réfléchir .

Pourtant il n’était pas en joie ... L'amour dont il était témoins était beau ... sincère , mais le ramenait à son expérience amoureuse .

Il n'avait eut que deux amours dans sa vie .... Un pure, vrai souvent a distance ... Mais sincère . Celui avec sa femme Mélénia ... Et un deuxième ... passionné, fougueux, charnel . Ceronnie.

Il regarde la rose fané piquée a son Mantel ... la prend entre ses doigts.... Il la regarde , puis la broie, et jette les pétales au vent ....

Il regarde ce dernier vestige d'un amour éphémère qui lui a coûté celui de sa vie ... son âme ... son âme sœur .. Il a deux enfants de cette passion rapide .. qu'il ne verra surement pas grandir, qui jamais ne l’appelleront père .

Son cœur était devenu pierre, il ne voyait plus d'amour autour de lui ... juste lui importait la guerre , les combats et la souffrances qu'il pourrait infligés a ceux qui toucherait sa famille .

Sans remord il se servirait de sa lame .

Il balaya toutes ses pensées , comme on tournerais la page d'un livre pour avancer plus dans l'histoire .

Il sort de l'ombre.. reviens vers la lumière des siens .

Essaye de faire comme si de rien n’était ... il savait que Caro le sermonnerais de n'avoir pas été là au moment des serments .Mais il devait aller auprès d'eux ..

Puis une fois prêt de tous . il s'exprima

Caro ... Carmin ... Soyez heureux ... c'est une grande et belle journée , une belle et longues histoire qui continue ....

un sourire .

Et vous savez quoi .... Je vous aime !!
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Epiphyte

Epiphyte et Estrella venaient de se retrouver dans le Rouergue après un départ agité du toulousain.

Période sombre pour les deux amants séparés qui venait de prendre fin.

Epiphyte marchait au coté d'Estrella en la tenant par la taille, ils allaient retrouver leurs deux amis qui avaient insisté pour les faire passer à la célébration du mariage de Namay' et de Caro', ne connaissant personne un peu réticent ils avaient fini par consentir, l'heureuse événement était aussi la première occasion de réunir les trois soeurs, dont Estrella sa compagne faisait partie, groupant ainsi la fratrie pour la première fois.

Epiphyte regarde sa compagne, la trouve belle, lui sourit.

- Vous allez créer un précédent ce soir chère amie, êtes vous prête ?

Hope....

Perdue dans ses pensées avant de répondre à la question, l’espagnole se sentait prête dans sa robe grenade et coiffer d’un beau chignon avec des fleurs roses qui entouraient son chignon, de son pendentif en étoile qui faisait ressortir ses yeux émeraudes.
D’un sourire ravie en regardant de manière intense, la tête au pied son compagnon , toujours aussi beau, pensa Estrellita.

-Hum mi amor… Mais quel charmeur ! Je suis prête mon beau troubadour !

Dit-elle de manière amusé à l’idée d’aller au mariage, elle avait eu l’occasion de faire la connaissance de Caro, qu’elle apprécie vraiment. Pour Estrella, un mariage c’est quelque chose d’important à célébrer, deux vies qui vont faire qu’un. Elle était ravie mais surtout de voir les mariés puis la danse des mariés tout ça… ! Puis également venir embêter ses deux sœurs.

-Nous sommes certainement bientôt arrivés mon chéri ? Avant d’aller voir mes sœurs et compagnie, faudrait chercher les mariés et je sens qu’il va avoir pas mal de monde !

A noter qu’elle avait peur de se perdre et Epiphyte le savait, ses yeux se posent sur son aimé, en serrant sa main tout en marchant à ses côtés.

Epiphyte

Epiphyte la guide vers les clameurs, le mariage vient d'être célébré, l'union est faite, la foule est en liesse de la viande grille dans un coin, l'atmosphère est joyeuse.

Il reconnait ses deux amis Elboron et Edanna avant de voir la robe rouge, celle de la mariée et entraine par la main Estrella pour aller les féliciter.

Une fois à proximité il porte sa main droite sur son coeur et incline légèrement la tête.

- Longue vie aux mariés, union sous le signe de la générosité en accueillant deux inconnus un jour si important.. que la réussite guide vos pas, Namay' et Caro'.

Epiphyte leur sourit et fait un discret pas en arrière pour laisser sa compagne parler.

Hope....

Estrella aperçoit ses deux grandes sœurs et ses deux beaux-frères mais avant d’aller les saluer, elle vient féliciter les mariés une fois que son compagnon avait finit, elle sourit en saluant de la tête.

- Félicitation pour votre mariage et je ne peux que vous souhaiter de continuer à être heureux tous les deux et je ne doute pas que votre amour continuera et restera fort. En ces lieux, on le ressent, vraiment. ¡Viva el amor y vuestras unión!

Dit-elle de manière sincère avant de sourire et de regarder son Epi’.

Une Fiesta Mementomesque !!!

Makcimus..

Par ce qu'il faut aussi prendre le temps pour ceux que l'on aime...

Sous un soleil de circonstance... La grande carcasse droit en ses bottes était ravie.

Il avait trouvé le lieu idéal légèrement en contre bas du château entre l'Aveyron et le ruisseau de l'Auterne proche du pont de Layoule ce qui faciliterait le dernier filtrage et le maintien de la sécurité. L’on ne pouvait accéder au lieu de la fête sans montrer pattes blanches et un service impressionnant de sécurité avait été mis en place. Les armées stationnées aux abords des différents point d’accès avaient reçu consignes. Les tours de gardes permettraient a chacun de profiter a un moment ou un autre de ce moment convivial et important pour Memento.

Les fermes avoisinante avaient été averti, Makcimus s’était lui même chargé de sélectionner la viande sur pieds. Des foyers impressionnant avaient été allumé et pour l’heure, bœufs, cochons, et moutons étaient à rôtir. Pour l’occasion les réserves de blanc et de rouge de Namay avait été très largement mise a contribution et de nombreux tonneaux avaient été mis en perce et permettraient a chacun de se sustenter a souhait.

Toute la troupe de Memento avait été conviée mais pas seulement, les valeureux combattants du cercle et du lys ainsi que l’ensemble des amis sur le Rouergue avaient été informés de la date et du lieu des festivités.

Milly , Louison et Fauve avaient été mises a contribution, et Makcimus avait averti… Aucune bouilli ou autres mélanges de légumes indigestes ne seraient servis. Le programme culinaire était simple, charcutailles, cochonnailles, et produits bien gras et gouteux seraient admis. Aucune dérogation n’était toléré et SEUL produit accompagnant serait les racines que Fauve faisait cuire dans l’huile bouillante et dont elle avait le secret seraient servi chaude lorsque le moment de festoyer viendrait. Plusieurs tas de ces racines avaient été épluchés et savamment coupées en forme de petit bâtonné.

Les derniers chariots venaient de quitter la place et Makcimus le regard brillant, gonflant la poitrine tel un coq satisfait. Il entreprit de compter le nombre de table… Le nombre d’oriflamme aux couleurs de Memento et du Rouergue, il y renonça tant ils étaient nombreux a claquer sous une légère brise.

Au centre du dispositif visible de tous… une table, un plateau de bois faits de tierçons du Limousin avait été subtilisé en la tente du Cap. Sur le bois, un chandelier à sept branches, une centrale, cernée par six autres. Quelques privilégiés reconnaitront sans mal la provenance du plateau.

Makcimus disposa quelques objets … Il ne restait maintenant plus qu’a attendre les invités…

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Caro

[Avant la grande Fiesta]

Il me fallait passer dans mon grenier où je stocke tout un tas de choses, un grenier plus communément appelé appartement que je détiens mais où je n’y suis que très rarement tant l’habitude de vivre sous tente fait partie de moi. C’est donc avec un gros paquet sous le bras que je reprends le chemin du campement alors ce cri me revient encore en tête :

Oyééééééé Memento !!!

Il ne cesse de tourner dans ma tête. La curiosité prend le pas. Ni d’une ni de deux je bifurque vers le contrebas du Château, de l’autre côté du point de Layoule.

A l’approche une odeur alléchante titille mes narines et excite mes papilles. Pas besoin de chercher longtemps du regard que la grande carrure se fait voir. Après un rapide bonjour aux gardes en factions, je me dirige vers Makcimus.

Pssssst, vous avez enfermé Milly ? Parce que là….

Montrer du regard toute la nourriture qui était à cuire.

… Elle va nous faire un malaise en voyant tout cela.

Puis faisant un regard circulaire à l’endroit magnifiquement préparé. L’azur toutefois attiré par un plateau.

Et bien, vous avez mis les petits plats dans les grands à ce que je voie. Et même le plateau trône sur la table.

M’approcher et le caresser du bout de l’index dextre, un sourire naissant.

Il ne sort jamais de la tente….vous lui avez fait prendre l’air.

Sous-entendu subtilisé. En tous cas tout était très beau sous ce soleil d’octobre encore bien chaud. A la nuit tombée si la fête se poursuivrait jusque tard dans la nuit, nulle doute non plus que l’endroit n’en deviendrait que plus majestueux.

Mais l’heure filait à vive allure et il est temps pour moi de retourner au camp pour me préparer.

Encore bravo Makcimus et très belle initiative. Je ne vais pas vous déranger plus longuement, je m’en retourne en Memento terminer mes quelques travaux et ensuite me préparer. On se voit plus tard.
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Ongwhu

Campement des Artilleurs................

Une odeur de barbac grillée flottait dans l'air.........

Le vieux avait eu vent d'un bon gueuleton , et ça pour rien au monde il le manquerai.......

Prenant avec lui quelques munitions, de bon whisky ,faisant signe a ses gars.......

Mission pétage de panse..................
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Yvanah

Il avait dit faut une belle robe, une belle robe, pfiuuu QUELLE HISTOIRE !
Du coup elle était partie chercher du tissus et s'amusa à confectionner une robe pour elle et une pour Milly, la même bé oui "frangine de robe" quoi.

Tirant sur le col, parce qu'elle avait l'impression de ne plus pouvoir respirer, tirant sur les pans pour la même raison, et surtout parce que pas habituée à se vêtir de la sorte, Yva arrive enfin au buffet. Replaçant une mèche sur l'oeil invalide.

Le premier qui se marre je le grrrrrr

Fait coucou à tonton Nours s'approche à petit pas histoire de ne pas tomber et surtout de ne pas déchirer la robe.
De renifler l'air sourire aux lèvres

Hummm ça sent bon ici ! C'est une bonne idée cette fête dis donc.
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Milly.

Mais POURQUOI ? Hein ? Ya quelqu'un qui peut répondre à ca siouplait ?
Encore une fois, me voila embrigadé dans un plan .

Encore une fois, évidement , volontaire désignée qu'ils disaient.
Tu parles ouais.
Et pourquoi c'était pas le tour d' Yva ? Même que Tag ? hein hein hein ?
Mais non, Milly et Louison.
Et ca sentait le festin gargantuesque, et on avait vidé les planques, pardon, les ¨réserves ¨ de Namaycush en bouteilles.
Remarquez bien, y en resterait moins après. pas plus mal.

Lorsque j'eu terminé mon enième voyage , j'aperçus Caro qui papotait avec n'ours.
J'en profitais pour les rejoindre en me frottant les mains pour me débarrasser de toute la poussière.

Coucou Caro, N'ours !
M'ont pas enfermé mais enrôlé de force !

Tu trouves ca dégouttant toi aussi tout ce gras qui dégouline et cette viande qui rôtie ?
Oui bon d'accord, je l'avous, il a fait les choses en grands .
C'est beau hein ?

Mais regarde dans quel état je suis ....Toi aussi Caro tu dois aller te préparer .

Lui prenant la bras, je l'entrainais vers le campement en papotant . Un sujet me tracassait d'ailleurs, comment ou plutôt qu'avait préparer Yvanah pour ma tenue ?

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Turlututux

Tux avait envie d'une fiesta après sa capture de la nuit sur les terres du Marquis et de la Marquise.

Il arriva sur le lieu, tenant en laisse sa prise, se dirigea vers l'organisateur après avoir salué du chef tout le monde.

Bien que ça sent déjà très bon, j'ai mon estomac qui crie "à manger" rien que de sentir ces savoureuses odeurs.

Mais au cas où la viande viendrait à manquer, je vous ramène du surplus.

"Venez, mes petits, vous réchauffer sur les braises, près du feu, il fait frisquet aujourd'hui."

Il remarqua que la "grande bouche" était très en beauté, ce qui l'amusait en son fort intérieur.

Remarquant les tonneaux de vin et son gosier asséché qui lui criait "à boire".

Qui est le bienfaiteur qui offrirait un godet de vin à un simple braconnier ?

Cameliane

L'annonce s'était répandue comme une trainée de poudre à canon dans les rangs de la Memento Mori.

"Ils sont ! Nous sommes ! Se répétait-elle en écho, comme pour se donner du courage à se rendre au festoyement organisé par Makcimus, ayant toujours autant de mal à s'intégrer dans ce groupe.
Non point qu'elle soit une sauvage, mais sans savoir pourquoi exactement, elle n'avait jamais pu répondre aux invitations du Lion, de Fatum, de la Compagnie du Léman et autre organisation.
Sens aigu de la liberté ?
N'appartenir à personne mais être amie de tous devait en fait être son cheval de bataille. Ou plutôt celui de la Liberté. Liberté de penser et d'agir.

D'ailleurs, la Memento Mori était-elle un groupe ? Non point. Une idéologie. Un besoin de faire revenir les égarés dans le... troupeau ? Non plus !
En fait, elle ne parvenait toujours pas non plus à connaître les véritables motivations de son père.
Et il n'avait guère le temps de lui en expliquer plus sur cette notion de féodalité qu'il prônait dans ses discours et qui le gardait épée brandie face à l'adversité.
Tout occupé qu'il était avec sa nouvelle charge en plus d'être le Capitan de la Memento, il devait être harassé et elle n'irait pas l'ennuyer avec des questions absurdes.
Elle suivait donc le mouvement, avec fidélité puisqu'elle s'était engagée, se tenant au courant des actualités, lisait toute nouvelle déclaration, de la Reyne, de son père et d'autres protagonistes tels celui du Comté d'Armagnac et de Comminges qui s'insurgeait sur l'exclusion des obligations de vassalité de la Régente dudit Comté par Rose de Leffe.

Ce dernier nom d'ailleurs lui donnait l'eau à la bouche. La bière à la bouche.
Et pourquoi pas plutôt du cidre ou de l'hypocras ?

Tout en se rendant sur les lieux des festivités, n'ayant rien à apporter à part sa maigrelette carcasse dû à des jeûnes de plus en plus fréquents - c'est bien connu que le mercenariat ne nourrit pas la femme et tout en soupesant sa bourse riche de... un écu - elle chantonnait, ravie finalement de ce rassemblement moins protocolaire.

Réformée dans l'âme et le coeur, c'est habillée d'une vêture sobre et sombre comme il se doit à toute Réformée, qu'elle arriva au pont et rejoignit ses... nouveaux amis et nouvelle famille.
Ces personnes s'avéraient être riches de... de générosité, de don d'empathie, du sens de la solidarité...

- La bonne journée Caro, monsieur Makcimus, Yvanah, Milly, petite soeur, messieurs...

D'un sourire, elle les salua en hochant légèrement la tête.

- Ca fleure bon la grillade... Quelle belle idée monsieur Makcimus. Puis-je aider à quelque tâche ?

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Tour à tour Capitaine de l'Edelweiss, de l'Eternel, de La Camysole Genevoise, de la Bella Ciao, Du Coucou dans le Cucul, délicieusement nommé par la Madgnifique. La dernière, c'est La Déculottée Genevoise, nom dégoté par Nikkita. Ca dépend des circonstances, et surtout de l'ennemi. Mais l'idée reste encore et toujours : défendre nos libertés.

Tagertha

Sortir de ces bureaux..et répondre à l'annonce de la festa!! Tag adorait les festas..S'assoir et faire des concours de beuverie..

Il fallait juste prendre un peu soin de soit et faire semblant d’être une DAME...ca c'était facile...Mais ça durait jamais trop longtemps avec Tag...

Chercher le lieu de pitance..saluer ses camarades, ses amies de la main..

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Caro

[Avant la grande Fiesta]

Petite Milly arrive. Lui sourire et à sa remarque sur la viande, pas le temps de répondre quoi que ce soit que me voilà entraînée.

Juste le temps de faire un signe à Makcimus en guise de "à tout à l'heure"

Oui oui c'est bon on y va chef du mouvement VEGAN (Viandes Et Gras Ah que Non !). J'arrive !

Et nous voilà parties non sans croiser les premiers arrivants à la fête. Sont tous très beau. Juste le temps là aussi de leur faire un signe de la main car c'est que Milly elle est pressée là et surtout soucieuse de savoir ce que Yva lui a préparé comme robe.
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Maethor

Les semaines et même les mois s'étaient écoulés alors que le couple de genevois participaient aux manoeuvres militaires de la Memento.
Les combats en France et la retraite vers l'Espagne avaient séparés les deux amants pendant de trop longs jours. Ils s'étaient enfin retrouvés en Rouergue, territoire qui avait accordé un bref répit à cette ambiance de guerre.

Les manoeuvres avaient repris et de nouveau chacun devrait accomplir ce pour quoi il était fait. Cependant la vie n'était pas si noire. Il y a des petits moments où plus rien ne compte vraiment si ce n'est profiter de l'instant présent.

Ce jour était de ces instants où l'on peut encore croiser le regard de chacun encore entier. Trinquer en souriant et riant avec un bon morceau de viande dans la main. Attention à ne pas laisser des reliquats entre les dents !

Maethor avait mis le long mantel noir que lui avait offert son épouse Caméliane. Ils étaient réformés et il devait y avoir un côté austère sans être sévère dans la manière de vivre. L'italien au sang chaud et de noble lignage avait adopté ces traits sans pour autant les respecter à la lettre. Nous sommes comme nous sommes et il est impossible de se travestir entièrement, chassez le naturel et il revient au galop.

L'homme aux ascendances normandes et latines était une synthèse de deux peuples diamétralement opposés mais détenant en commun ce feu ou cette rage qui anime des êtres prêts à tout sans se soucier des conséquences.

Camy l'avait précédé et il prit un plaisir non dissimulé à se faufiler entre les convives pour retrouver son âme sœur. Un salut, un regard appuyé et il continua sa route jusq'à s'arrêter pour se saisir deux chopines.

Une odeur de viande qui grille doucement vint taquiner ses narines. Tout cela lui donnait faim. L'ours devait pourtant retrouver son oursonne au préalable.

Ce ne fut point difficile, elle brillait d'un éclat sans équivalent et son cœur s'éveilla en accélérant ses battements. Après des années de vie commune, c'est comme s'il la voyait pour la première fois et que tout son être le poussait vers elle.

Il s'avança donc de manière sérieuse vers celle qui était à l'origine de sa présence en cet instant de fête...

Louison._

Bon ça ne la changerait pas de la popote habituelle sauf que là c'est pas elle qui ferait. Tant mieux, il ferait bon de ne rien faire et de regarder les autres bosser. Pour l'occasion elle avait vêtu une robe, elle qui était la plupart du temps en armure ou en braies.

Elle s'approcha du coin ou on servait du liquide et prit une chope, puis elle se trouva un coin tranquille à l'ombre. Elle n'aimait pas le bruit et la cacophonie ambiante lui donnait le tournis. Elle s'assit dans l'herbe et se mit à regarder les uns et les autres aller et venir.

La viande grillait et embaumait l'air d'une douce odeur. Son estomac ne tarderait pas à crier famine. Mais pour le moment elle s'adonnait à la douceur de vivre.

Mara_vercors

Elle avait les crocs.
C'est qu'elle grandissait presque encore, la toute nouvelle De Kersak.

Bon, une fête, ça veut dire du monde. Saluer, parler, sourire, tout ça.

Pas habituée, la Mara. Vivait retranchée, la plupart du temps.
A servir les repas de l'armée, brèves conversations plutôt superficielles devant une plâtrée aussitôt attrapée, l'affamé(e) presque aussitôt disparu(e). Ça lui allait.
Mais là... le "Père" avait dit "Y a fête, on vous y attend".
Ha, bon. j'irai, donc.

Salutations, voilà.
Boudiou ce que ça comptait de monde, cette Memento !
Deux, trois têtes connues, pour l'instant.
Elle reste en retrait, lorgnant la grosse bébête qui rôtie docilement, patiente...
Un sourire au père : "b'ouais, j'suis là, c'fou, hein?"
Ha oui, elle avait dit "j'cause'rai pas, c'vaut mieux, j'sais pas faire".
Les autres savaient, elle, non. Ça sortait toujours en vrac, sa parlote.
Tiens.. à boire. Bien ça, à boire, ça occupe les papilles.
A voir rapidos, elle n'était pas la seule à lorgner sans causer.
Un bref salut à l'autre sauvage, du bout des doigts.

Elle était où sa belle-mère favorite ?
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...Je suis anachronique mais je me soigne !

Ruanon

Ruanon faisait son tour de garde à cheval lorsqu' il sentit une bonne odeur de grillade.

Oh tout doux .... aurais je oublier ? est ce aujourd hui ?

L homme fouilla dans ses poches contenant maintes missives et commença à les vérifier une à une ... Apres un juron , il ressaisit la pride , et galopa vers la Sainte Odeur.

Au bout de quelques minutes , il arriva au camp, les yeux pétillants

Ca sent si bon , j espère que vous m en avez laisser mes Amis

Makcimus..

Et Les premiers convives, les premiers frères d’armes arrivaient. Il la salua en un large sourire… Dominus Vobiscum Caro !! Oui le plateau… Il appréciera ! Il se devait d’être la ce jour !! Vous comprendrez plus tard !

Une accolade viril a l’artilleur … Faite vous servir Ernesto ! La vielle garde répondait toujours présente, c’est aussi en cela qu’il les appréciait autant.

Il failli tomber a la renverse… La Sauvageonne était superbement vêtu et il fut heureux de la voir faire autant d’effort … L’enlumineuse de Memento arrivait a petit pas et il sourit en sa barbe… Dominus Vobiscum Yvanah !

Arrivait Milly qui était toujours d’une redoutable efficacité en les affaires d’organisation et logistique. Bon, Il avait du imposer les grillades… Depuis qu’elle s’était mise dans la tête de leur faire perdre du poids , elle ne cessait de proposer des repas a base de légumes, fade et sans sauce…. Cela lui bloquait les genoux les légumes… Bref il devait ruser pour s’alimenter dignement… Ce jour… Elle n’avait pas le choix… C’était gras… C’était tendre… C’était de la viande … Du gout.

Il se tourne et salue chaleureusement le braconnier… Turlututux… oui faite vous servir… La viande ici nous ne la refusons jamais… Les cuistots vont se charger de rotir cela !!

Et de voir arriver Cameliane… Qui aurait pu un jour imaginer cela ? Elle et lui partageants le même combat et lutter pour la même cause… Partager le même repas… s’aider et se soutenir… Il n’y avait que le Carmin pour réussir cette prouesse. Et force était de constater qu’il l’appréciait beaucoup… Bon… Il y avait encore quelques point de divergence, concernant la Foi… Mais il apprenait a la connaître et il appréciait leurs échanges. Et de répondre… Dominus Vobiscum Dame Cameliane, heureux de vous voir !

Regard brillant… Et de saluer Tag qui arrivait vetu en bombe… Nul doute qu’elle allait finir caramélisé, mais d’ici la , elle tomberait un paquet de soldat essayant de la suivre… Attention… Faut pas jouer…

Il salua Matheor, la encore qui aurait pu croire chose pareille ? Bref il était heureux de la voir arriver.

Louison faisait une pause ? Humm… Il irait forcement la taquiner plus tard… Il ne pouvait s’en empêcher.

Ruanon !! Faite vous servir a boire !!

Et de finir par gonfler la poitrine, fièrement apercevant la dernière venue de la famille… Mara !!

Il l’adorait et elle était certainement la chouchoute du moment… Tellement il était heureux et soulagé de l’avoir près de lui. Toujours présente, toujours aimante, si droite en ses actions… Oui bon, il l’aimait comme un père quoi… Il vient l’embrasser sur le front avec affection… Venez ma fille, allons nous aussi nous servir un godet.
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Laur

laur; passé tout les jours au campement, on lui avait dit une fiesta était organisé par le capitaine Mackimus , pour y rencontrais tous ses autres et d'autre personnes qui étaient à nos côtés pour aider ce comté
donc elle devait se préparer et prendre le chemin.
Elle arriva au bon endroit, il y avait beaucoup de personnes présent, et une odeur qui titiller son nez.il y avait pleins de bonne chose nourritures et à boire .
Elle s'immiscer dans l'assemblée.

Bonjour à toutes et à tous!

Puis se dirigea vers la personne concernée qui avait préparer cette fiesta .

Capitaine Mackimus c'est une excellente idée d'avoir organisé cette fiesta, je ferais l'odeur d'y goûter ces plats , ai cette viande qui cuit lentement au-dessus de la chaleur
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Yvanah

Un oeil vers les cimes, pas d'arbre assez haut pour pouvoir y grimper, haussement d'épaule, faudra faire avec.
Voyant Milly la choppe au passage avant qu'elle ne disparaisse, et soulevant sa robe attrape un paquet coincé entre deux jupons harnaché on ne sait comment avec des fils aiguillés dans le dit jupon, n'arrivant à l’ôter, tire un coup sec déchirant au passage un des jupons, et le tendant à Milly tout en, de l'autre main rabattre la robe sur le tout en grognant d'avoir "foutu" ce "bondieu" de jupon à la .....

C'est ta robe Milly

Se sauve et va dans les jupes de Caro, ben quoi, quoi de mieux pour se planquer et se sentir en sécurité dans les jupes de sa madré. Au passage fait un sourire à Mara qui agite ses ptits doigts, attrape Cameliane qui allait mettre ses mains dans la sauce.

Non non non, toi tu touches à rien, tu viens avec nous, sinon après tu seras toute pleine de sauce et le padré va gueuler Fallait rester propre jusqu'à.. AHHH !!! LOUIIIIIIIIISON !!!!

Du coup lâche Caméliane pour aller voir Louison qui se planquait.

Trouvée !!!!!! Dis Louison, va falloir qu'on te case avec un gentil toi ! En ce moment tu es toujours triste.

Renifle et s'affale à côté d'elle

Et le Lanza ? Il est où celui là ?

Regardant à droite et à gauche et de se pencher vers Louison

Te plait pas lui ?

Et de frotter son museau avec le beau mouchoir de tonton "Nours" qu'elle ne sortait qu'aux grandes occasions. De le remettre dans sa manche comme le font les dames.
Oui elle venait taquiner Louison, histoire de prendre aussi l'air et aussi parce qu'elle se sentait "cupidon" en ce moment, et surtout parce qu'elle n'aimait pas voir Louison comme ça, elle avait remarqué depuis un petit moment qu'elle n'allait pas bien, elle, la sauvageonne, elle ne savait pas trop comment lui redonner le sourire mais elle trouverait bien. Ou alors elle l’ennerverait tellement qu'elle recevrait un grand coup de pied au fion, c'était le risque à prendre. Après tout ce serait une réaction comme une autre. Quoi qu'elle préférerait...

Partit loin dans ses pensées, la sauvageonne était ailleurs, dans son monde.

Louison._

Voit une tornade qui s'approche d'elle:

Trouvée !!!!!! Dis Louison, va falloir qu'on te case avec un gentil toi ! En ce moment tu es toujours triste.

Sourit:

Je ne suis pas triste. J’ai juste pas mal d'occupation et pas le temps pour le reste.

Lui fait une place quand elle s'affale:

Et le Lanza ? Il est où celui là ?

Je ne sais pas, je ne le vois plus depuis un moment.

Te plait pas lui ?

Pommettes qui rosissent, cœur qui s'emballe juste un peu:

Comme je ne le vois pas difficile de dire.

Réfléchis et bafouille:

Peut être.... A voir.... Enfin je ne sais pas.... Il est pas mal oui....

Racle sa gorge doucement. Histoire de parler d'autre chose:

Il y a quoi à manger? ça sent drôlement bon.

Caro

Ah le moment de se préparer… toute une histoire !

Courir en ville pour y trouver LA robe, courir à l’appartement pour récupérer quelques babioles et avec le petit détour au lieu des festivités, non sans avoir eu une Yva se jeter dans mes bras comme jamais elle ne l’a fait auparavant, heureusement que Milly était là pour me faire remarquer que j’étais en retard.

Ainsi de retour au campement, tant pis pour le travail en cours. Le plus important a été fait c’est le principal et ce temps va me permettre de profiter pour faire un tour dans un baquet d’eau bien chaude. Se prélasser un peu avant d’en sortir pour m’enrouler dans un drap le temps de me sécher, de défaire les cheveux -remontés pour le bain- pour les brosser.

M’approcher de la couche où la robe a été posée. Robe que j’ai soigneusement choisie en l’honneur de Memento, de notre Cap à tous, de l’homme que j’aime et avec qui je partage ma vie depuis bien longtemps à présent, en l’honneur de Carmin.

Je laisse tomber le drap à même le sol.

En avant !

Passer de mes sempiternelles, braies, chemises, corsets et cuissardes à une robe, alors ça fallait le noter dans les annales, tant cela est rare. Par contre si enfiler la robe n’est pas compliqué, il en est tout autrement pour la fermer. Mais quelle galère quand même. Je me tortille dans tous les sens mais rien n’y fait et voilà que je me mets à parler toute seule.

Pas possible ça. Faut être contorsionniste pour arriver à ses fins….Bon… plus le choix

Je me dirige vers la sortie de la tente, soulève légèrement le pan de la toile.

Millyyyyyyyy !!! Millyyyyyyy !!! J’ai besoin de toi !!!

Je retourne vers le lit lorsque Milly arrive. J’en reste bouche bée.

Wow ! Tu es magnifique, j’en connais un qui va succomber bien plus encore.

Lui sourire. Pour sûr que Chouchou n’y restera pas de marbre. Mais l’instant n’est pas au papotage bien que j’aurai bien voulu en savoir un peu plus sur ces deux-là.

Ma Milly, j’ai besoin de ton aide.

Je me tourne pour lui montrer mon dos, remontant mes cheveux.

Je n’arrive pas à fermer cette fichue robe toute seule. Quelle idée aussi de devoir la fermer à l’arrière, comment tu veux y arriver seule ? Mais…

Le minois fait un demi-tour vers Milly.

D’ailleurs comment t’as fait toi pour la fermer toute seule ? Tu as une astuce ?

Tout en papotant, Milly me ferme la robe, j’enfile mes bottes spéciales robe. Je la remercie et nous voilà fin prête toutes les deux pour rejoindre tout le monde à la fête. En route…

**********

Sur le pont qui mène à la fête, je m’arrête quelques instants. Il y a du monde, les odeurs de la viande à cuire viennent chatouiller les narines jusqu’ici. Makcimus a vraiment eu une magnifique idée. Quel plaisir, quel bonheur de pouvoir tous se voir en-dehors du feu de camp, habituel lieu de rassemblement. Je me sens bien, en joie. Un petit clin d’œil à Milly et large sourire de tous les retrouver. Nous traversons le pont pour les rejoindre.

Saluer toutes les personnes déjà présente. Mais remarquer aussi que Namay n’était pas encore là. Sans doute retenu encore au conseil.

Bonjour tout le monde ! Et que de monde ! Mes amis. Cela fait plaisir à voir. On ne remerciera jamais assez Makcimus pour avoir organisé cette fête.

Lorgner sur les chopes de bières dans les mains

Où est-ce que je peux me trouver une chope ? C’est qu’il commence à faire soif ici.
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Lemuel

C'était une fiesta qu'on lui avait dit, il fallait ne pas le rater, il avait sourit. lemuel avait fait le chemin depuis sa cochonnerie . Se rendre a cet événement faire la fête, manger, boire ,rire ,danser
Il y avait du monde, du beau monde, des belles femmes avec leur toilette de soirée. Les hommes avec leur uniformes. Son regard la cherche... est elle la.....
C'est alors qu'après un moment, les yeux de lemuel se fixèrent sur "elle", elle était la, et sérieuse, concentrée...si belle mince alors.

Son coeur s'emballa comme un loup sauvage qui galope vers la liberté.

buvons!!mangeons!!!rions!!

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Raianui

Raianui arriva en retard au repas organiser Par Makcimus. Mais il n'avait pas 5 min a lui depuis qu'il avait rejoint le rouergue.

Il pourrait enfin rencontrer les autres membres de cette grande famille. Des hommes et des femmes d'honneur prêt à tous pour défendre leur idées.

Ne savant pas trop ou aller, lui qui n'avait pas de belle tenue à se mettre,il alla directement près du feu pour humecter cette odeur de viande qu'il avait presque oublié.
Qui sais il trouverait peut être une demoiselle en détresse.

Bien le bonjour, il a l'air très bon ce cochon
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Cameliane

Au "Dominus Vobiscum Dame Cameliane, heureux de vous voir !" de Makcimus, ses yeux s'agrandissent d'étonnement puis un sourire joyeux envahit sa figure...

- A vos souhaits monsieur Makcimus ! Il fait frisquet hein ? Vous êtes en train de vous enrhumer...

Impossible de ne pas finir par rire...

- Heureuse de vous voir aussi mon ennemi juré numéro deux termine t-elle en souriant chaleureusement à cet homme. Que Déos vous donne la cuisse ferme comme dirait Léamance.

Un soupire heureux... Les aléas de la vie vous prennent parfois au détour d'un chemin que vous croyiez tracé tout droit.
Et ben non.
Un virage, et hop, l'ennemi d'hier est l'ami de ce jourd'hui.

Elle aimerait bien tripatouiller quelque chose entre ses doigts, histoire de s'occuper l'esprit.
Oui parce que le tripatouillage d'un truc permet à l'esprit de moins penser. C'est fou.

Et alors qu'elle allait vers la table pour voir où elle pourrait apporter son aide, Yvanah lui saute dessus pour l'empêcher de s'occuper l'esprit via ses doigts !

- Heuu... oui... d'accord. Bien.

Elle n'est pas compliquée Caméliane.
Elle obtempère et lance un regard d'adieu à la table où elle aurait pu... blablabla... puis se tourne vers la jeune femme...

- Tu es superbe Yvanah ! lui sourit-elle alors qu'elle la suit... Au fait, pourquoi père serait fâché si je me salissais ? Et jusqu'à... jusqu'à quoi ?

Un homme s'approche d'elle à pas d'ours... Et lui tend une chope.

- Ho... toi ! Sourire radieux... Tu as pu suivre la troupe pour rejoindre les festivités... Ca me rend folle de joie !

Un baiser plein d'amour mais discret... puis de la senestre le débarrasse d'une chope, plonge sa truffe au dessus... lui sourit tendrement... Du cidre... tu connais mes goûts. Merci mon amour. Et de la dextre lui prend la main...

- Viens, Yvanah m'a dit "toi tu touches à rien, tu viens avec nous"... Elle est... là ! Près de Louison. Et j'aimerais bien discuter avec quelques autres personnes aussi. Il y a cette femme là, Tagertha. Elle me semble sympathique.

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Fauve_ebene

Voilà une idée qu'elle est bonne! Une fête! Y'avait juste un truc qui titillait l'esprit de la ténébreuse... Qu'est ce qui lui avait prit à Makcimus? Etait-il à ce point affamé par le régime de Milly que pour avoir envie d'organiser une cochonaille party rien que pour pouvoir s’empiffrer ? Peu probable. D’autant que Fauve rapportait souvent à son mari de quoi compenser. Terrines et autres charcuterie garnissaient régulièrement le bureau de l'ancien Teutonique. Discrète depuis quelques temps, l'épouse n'avait pas posé plus de questions et avait sagement obtempéré quand il avait été question de pourvoir à la bonne organisation de la journée. Aussi quand il avait évoqué une surprise, elle s'en était faite sa petite idée mais attendrait patiemment le moment venu. Tout comme d'autre, elle avait prit plaisir à aller passer une jolie robe qu'elle avait choisie émeraude pour s'accorder avec ses yeux.

La voici gagnant le lieu des festivités. De loin son époux était déjà affairé à bavarder avec sa cousine Cameliane. Cousine qu'il connaissait finalement bien mieux que Fauve. Elle le fixa un instant et fût satisfaite de voir qu'il semblait heureux. Quant à elle, sortant d'une bien trop longue léthargie, elle prenait un peu de temps pour observer ici et là les personnes déjà présentes avant de se lancer dans la mêlée. Finalement, elle s'en trouvait un peu perdue au milieu de campement plein de vie qui n'avait de cesse d'évoluer au gré des causes qu'ils défendaient. Il avait toujours été plus facile pour elle de se jeter au coeur d'une bataille qu'au coeur d'une réunion populaire. Encore quelques jours plus tôt, elle s'était retrouvée à crocheter la porte d'une mairie. Activité qui avait fait renaître bien des souvenirs et qui l'avait finalement beaucoup amusée.

Encore plus discrète qu'elle, voilà Mara trainant dans un coin. Un sourire large nacquis sur les lèvres rosés et illumina le visage pâle de Fauve. Sa petite soeur de coeur était devenue sa... belle fille! Et bien... il fallait que le nouveau paternel ait une sacrée emprise sur la sauvageonne pour parvenir à la faire venir en pareil lieu! Aussitôt, la noiraude alla rejoindre Mara et vînt passer son bras autour de ses épaules en lui collant un gros bisous bien claquant sur la joue.

Salut ma belle! En voilà une surprise! T'as pas osé dire non à ton papounet chéri?
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Tagertha

Elle s'était rapprochée de la rôtisserie, la grosse carcasse tournant en boucle sur elle même éjaculant son jus de bruyère..Le fumet venait se coller à sa tignasse, lui piquant dans son voyage les rétines et faisant couler comme toujours son maquillage en coulis épais.

Elle respirait mal, engoncée dans cette robe, et jurait tout en gardant l'empreinte d'un sourire polit et silencieux. Regret..envie de se mettre en tenue plus sobre et légère....

Elle aimait voir ce fouillis de gens qu'elle ne connaissait pas en détail, piétiner, se saluer avec des regards fraternels.. cela lui plaisait.. Leurs odeurs étaient familières et la rassuraient. Caro, Louison, Fauve, Yva..Milly, Caméliane, Laur, Mara...Elles étaient toutes comme des petites tiges qui assemblées réalisaient un bouquet de vie et de sens...

Les yeux fichés sur la barbac, la soif commencait a la tenailler..Pourvu qu'on ne vienne pas la chercher pour quelques verdicts...

Elle avait envie de fetes, d'observer les corps...d'ivresse...de fetes...d'ivresse...et surtout d'ivresse et encore d'ivresse!!!!

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Yvanah

Citation:

Je ne suis pas triste. J’ai juste pas mal d'occupation et pas le temps pour le reste.

La tête de la Sauvageonne se tourna vers Louison, c'était vrai que tout le monde était occupé en ce moment, ptêt qu'elle s'était trompée ou alors .. Lorsqu'elle lui demanda où était Lanza..

Citation:

Je ne sais pas, je ne le vois plus depuis un moment.

Te plait pas lui ?

AH AH indice, Louison rougissait, c'était étrange de voir ça sur son visage, une émotion? et de plus provoquée par le simple nom de "Lanza"

Citation:

Comme je ne le vois pas difficile de dire.

Recroqueville ses genoux, posant un bras dessus afin d'y caler sa petite caboche tandis que la main libre arrachait les herbes.

Citation:

Peut être.... A voir.... Enfin je ne sais pas.... Il est pas mal oui....

La main s'arrête d'arracher la verdure, un sourire se fige sur le visage de la sauvageonne, c'était donc ça.

Citation:

Il y a quoi à manger? ça sent drôlement bon.

Il ne fallait plus interroger, sinon Louison serait mal à l'aise, mais quand elle le croiserait le Lanza, irait lui dire deux mots. A ceux de Louison, la sauvageonne se lève, époussette sa robe, et d'une voix enjouée.

"Oui tu as raison allons voir ça de plus prêt"

Et d'un coup levant la tête alors que nombre de Mementistes passaient et repassaient devant son nez, voit ... Mam's, la bouche grande ouverte Yva s'arrête, un énorme sourire sur le visage

Citation:

Bonjour tout le monde ! Et que de monde ! Mes amis. Cela fait plaisir à voir. On ne remerciera jamais assez Makcimus pour avoir organisé cette fête.

Maaaaaaam's waaaaaaaa tu es trop belle !!
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Maethor

Maethor salua respectueusement le maître de cérémonie quand ils se croisèrent. Puis quand il arriva près de son épouse qui semblait déjà toute excitée, il sourit.

Chérie, il manque un petit quelque chose pour parfaire ta toilette.

Ses yeux se penchèrent sur sa propre chopine de bière dont la mousse débordait allègrement. Adroitement positionnée et après un délicieux mais fugace baiser échangé avec Caméliane, il souffla d'un coup sec. La mousse vola tant et si bien qu'elle atterrit sur le visage de sa moitié.

Tu me permets.

Du bout de ses doigts il dessina d'un air concentré sur le visage de Camy, une belle moustache immaculée.

Tu es parfaite désormais !

Il lui fit son plus beau sourire empli de malice. Elle pourrait rejoindre les autres femmes et continuer à deviser.

Il se pencha juste pour déposer un baiser sur le bout de son nez et apprécier le spectacle d'une femme moustachue en train de loucher.

Cameliane

Avoir un époux facétieux a ses avantages. On ne s'ennuie jamais.

Blanche moustache ornant sa lèvre supérieure, Caméliane ne peut se retenir de rire...
Mais... elle empoigne son homme par son col et l'embrasse à en perdre haleine ! Pour lui refiler une partie de la mousse...
Puis elle l'admire en souriant à pleines dents...

- Tel est pris qui croyait prendre !
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Milly.

Evidement qu'on peut pas filer en douce comme on veut et quand on veut.
Faut tomber sur une tornade appeler Yva.
Elle me refourgue un paquet en laissant entendre

C'est ta robe Milly

Je laissais tomber un simple
Ma robe ?

Rhalala, j'observais le paquet comme s'il allait me sauter en pleine figure.
Méfiance méfiance.....
Je fus encore plus pressée de rentrer au campement et en sécurité dans la tente.

Ce fut ensuite pour poser le paquet sans l'ouvrir sur mon lit et me préparer.
Oui bon faut faire des efforts, donc bain, de la tête aux pieds , séchage, coiffure...bof...et on laisse libre les cheveux après tout,
et me voila planter devant le lit et le paquet , les mains sur les hanches.
Je prend le risque ? j'ouvre ou pas ? Après tout, Yva a mit des efforts.
Oui alors, on ouvre.....et je découvris la robe en question.

L'admirer puis l'essayer , elle m'allait comme un gant. Franchement Yva avait un don .
Fin prête. je posais la coiffure sur ma chevelure et j,entendis un cri a l'aide.

Millyyyyyyyy !!! Millyyyyyyy !!! J’ai besoin de toi !!!

Je me précipitais dans la tente de Caro et en demeurais bouche bée en l'apercevant.
Mapprochant de son dos, je ferais sa robe en riant.

Bah moi elle s'attache devant c'est tout simple. Merci mais tu es fabuleuse .
On fera tout un effet toutes ensemble à la fête.

Toujours en riant, bras dessus , bras dessous, on parti rejoindre les autres.
J'étais aux anges malgré les abus de gras et de viande a venir. Parce qu'une fête, c,est une fête et puis peut être que....
Il serait là ou pas ?

*****

Lorsqu'on s'approcha, déjà de nombreuses personnes étaient arrivées. Je les connaissais tous je crois bien, au moins de vue.
J'aperçu d'ailleurs ma grande soeur et son époux, de loin je la saluais d'une main enthousiaste.

Bonjour bonjour, nous voila, tadamm !

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Rackam__frost

Le voyage fut tranquille et il avait décidé de le faire seul , uniquement pour ces quelques jours qu'il devrait passer, ici. Il hume l'air et sent comme un vent de liberté, que l'on ne ressent nulle part en France. Le vieux lion, continue à chercher un visage ami, ou pas... et finit par tomber sur une petite fête ou il sent bon, la bonne ripaille. il s'avance et est guidé par l'odeur de ces cochons qu'on tourne à la broche et à vrai dire, ça lui ouvre un peu l'appétit, il finit par s'arrêter et sortir une flasque de whisky, en boit une gorgée avant de foutre pied à terre.Derrière lui un paysan du coin décharge deux tonneaux de whisky qu'il a amené comme à chaque fois qu'il croise, tout ce petit monde.Il reconnait les vieux de la vieille, d'autres têtes moins connus et se dirige vers Caro tranquillement, étant surement au courant de son arrivée. Il arrive légèrement derrière et d'un air amusé..

"Si un jours on m'aurait dit que je te verrais en robe, j'aurais frappé la personne derrière la tête en disant, que son cerveau ne fonctionne pas beaucoup.. Cela dit ça te va très bien."

Un sourire et il attendit que sa vieille amie ne réponde, avant de saluer le reste du monde.
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Turlututux

Citation:

Turlututux… oui faite vous servir… La viande ici nous ne la refusons jamais… Les cuistots vont se charger de rotir cela !!

A la réponse du Mackcimus, Tux se fit servir un godet de vin et un bout de cochon rôti. Il n'avait pas l'habitude de se faire servir ainsi, il en bomba son torse bien maigre avec fierté.

Installé dans un coin, son postérieur taquina l'herbe.
Il profitait de ce spectacle de jolies dames qui s'étaient parées de belles robes pour l'occasion. Si sa main ne pouvait toucher les soyeux tissus, ses yeux s'en délectaient.

La viande était bonne aussi, comme le vin d'ailleurs. "une belle fête" se dit-il.

Ongwhu

Le vieux artilleur entendit Mack...............

Citation:

Faite vous servir Ernesto !

Il lui sourit, et là, il faut dire qu'il se ferait pas prier.................

J'ai avec moi, quelques tonnelets de bon whisky...........

Mais............. Berthas...............hummm disons...........elles aussi vont se joindre , a la fête...................Elles vont chanter.............

Rallumant sa pipe, il fit signe pour que l'on ramène ses protégés ................

Une fête qui s'annonce bien..................
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Caro

Après tout il suffit de regarder comment font les autres et en faire de même. Ni d’une ni deux me rendre vers le lieu sacré de la boisson quand je croise Yva. Une carpe, elle me fait la carpe durant quelques secondes. Si si yeux ronds et bouche grande ouverte.

Sourire à son compliment.

Merci mon Yva, mais toi aussi tu es magnifique. Comme quoi il aura fallu d’une fête pour te…

Et c’est là qu’une voix plus que connue, dans mon dos s’adresse à moi. Je me retourne d’un coup, étonnée de le voir déjà là.

Rack ! Et bien en voilà une surprise, je ne m’attendais pas à déjà te voir… Alors oui, regarde bien surtout hein… comme quoi tu vois, je sais aussi mettre une robe même si c’est rare, très très rare. Note-le dans tes annales surtout car je ne sais pas quand tu en auras encore l’occasion.

Lui adresser un sourire. Peut-être s’attendait-il à ce que je grogne, mais non pas l’envie. Pas toujours avec lui, même si cela a très souvent été à l’ordre du jour. En profiter aussi pour saluer tous ceux arrivés après moi mais aussi ne pas oublier Yva

Rack, tu te souviens d'Yvanah ? et toi Yva tu te souviens de Rackam ?
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Namaycush

A tant de miens, je pouvais comprendre. A temps de mille, je suis comme Milly. Je pense.

Je suis dans ma tente, je n’ai plus ma table. Ma table. Je vois mon cellier, je blêmis. Je me dis que c’est encore un coup de ceux de Millau. Je m’énerve et enfin Ernesto donne l’alerte par un tir d’artilleur.

Je me précipite, arme au poing et je comprends, de suite, que le frère, l’ami, a exécuté ma demande, à sa manière. Je fiche mon épée en terre, sous le soleil couchant qui fait d’elle la croix, celle que Rome a perdue, bénédiction divine sur ce qui se passe.

Je suis officier de carrière, j’ai levé forts et donjons, comme mille jupons, mais je sais que personne ne m’a aimé comme Caro. D’autres l’ont fait à la passion qui les a détruites, elle me fait vivre.

Alors je regarde, je vois les nôtres, et j’ordonne. Peut-être que le fait d’ordonner me rassure. Peut-être.

Compagnie, arrivez !
Amis, arrivez !

Que monsieur l’archipape de Navarre officie.

Ce n’était pas le lac de Dax, mais c’était le moment. Là, maintenant.
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Rackam__frost

Il sourit à Caro.

" Pour sur que je vais noter ça... "

Il regarde la jeune femme que lui présente caro ensuite et se gratte la tête un instant.

"Je ne crois pas que l'on se soit croisé déjà, au camp peut être? Enchanté en tout cas."

Il incline cordialement la tête et voit le carmin qui avançait arme au poing après les coups de Bertha. il le regarde amusé et dans une voix légèrement murmurée.

"Il a l'air en forme à ce que je vois.... Il rit doucement et finit par dire... Tu as le bonjour de Sam Caro, elle n'a pas pu venir, je suis sur que cela l'aurait amusé un peu."
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Yvanah

Je tourne autour de mam's, touchant le tissu la trouvant magnifique

Citation:

Merci mon Yva, mais toi aussi tu es magnifique. Comme quoi il aura fallu d’une fête pour te…

Pour me pour me.. ben quoi, moi aussi des fois je sais me ..

Un peu grognon parce que c'est un compliment et que les compliments Yva elle aime pas, mais c'est mam's elle, elle peut, rare sont ceux qui peuvent d'ailleurs sans éveiller sa susceptibilité, sale caractère la sauvageonne mais quand elle aime, elle aime. Par amour elle vient mordre sa mère sur la joue, c'est coutume, mordre, pas trop fort, juste assez, c'est une transmission de force, d'amour.

Citation:

Rack, tu te souviens d'Yvanah ? et toi Yva tu te souviens de Rackam ?

La tête venant frotter son épaule, sourit

Citation:

"Je ne crois pas que l'on se soit croisé déjà, au camp peut être? Enchanté en tout cas."

Il incline la tête elle en fait de même allant rajouter un "pas pire" mais les coups de Berthas de tonton Nesto lui fait tourner la tête vers la tente du Chef Kalife Empereur de France et de Navarre, Comte du Rouergue.. Son père.

Citation:

Compagnie, arrivez !
Amis, arrivez !

Que monsieur l’archipape de Navarre officie.

C'était tout lui ça ! Même là il parlait en chef, elle en sourit amusée, jte jure des fois.. Elle lève les pans de sa robe pour s'approcher.
A l' entendre les appeler comme si c'était la guerre, l'on pouvait croire qu'il était froid comme les geôles, mais ceux qui avaient foi savaient que derrière cette armure, brûlait un sang chaud, bouillant, empli d'amour.
Levant la tête, fière, bombant le torse s'avance, non sans oublier de prendre la main de mam's et de Milly. Fait un clin d'oeil au padré, mordant dans le vent, le bon jour de loin, là elle ne pourra pas s'approcher et venir le mordre comme elle aime à le faire il y a du monde.
Elle lève le poing en lançant un cri de joie. Aujourd'hui elle est heureuse, plus que les autres jours. Allez savoir pourquoi.
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Makcimus..

Debout, fort de cette Amitié et de ceux qui combattent pour une même cause, il est heureux. Il sourit d’imaginer ce frère et ami trouver sa tente amputée du bien qu’il affectionne. Hé oui Namay… Ta table a disparue.

Un regard circulaire pour voir arriver les amis… Oui hein, il a eu une belle idée le Makcimus…. Sauf qu’en réalité… L’idée n’est pas vraiment de lui. Mais il gonfle la poitrine, heureux que l’organisation plaise. Allez un peu d’orgueil… Un peu de gloriole ne fait pas de mal.

D’apercevoir son amour avec sa fille. La famille est importante. Si il n’a pour habitude d’abandonner ses amis, il ne souhaite pour autant délaisser les siens.

Aussi de voir apparaître les différents protagonistes, les femmes de Memento ont troqué les habits de combat pour ceux de lumière. Et il doit en convenir… Elles sont très belles et savent montrer leurs féminités… Et Même la sauvageonne, évolue et apprends.

Alors que Namay arrive, et plante la croix…. Il sort un ustensile qu’il n’a utilisé depuis bien longtemps… La corne qu’il utilisait pour sonner rassemblement en l’ordre Teutonique, servira ce jour pour appeler au rassemblement. La troupe est conséquente qu’elle approche de cette fameuse table….

Knooouuuuuu Knouuuuuuuuuuuuuuuuuu ..... Oui il a du souffle !

Approchez les amis!!!!! Il avait annoncé surprises et bien en voilà une…
En regardant Namay, il le salue portant la dextre poing fermé contre sa poitrine… Il regarde Caro l’invitant à approcher de la Table.

A Tyra et Ernesto, A Louison et Milly il fait de même…

Ce jour… Nous allons festoyer !
Ce jour devant vous tous mes amis, devant le Tout Puissant puisqu’il est omniscient et omniprésent … Puisqu’Il est en chacun de nous… Un regard vers Yva… Oui même en Vous Yvanah !! Nous allons fêter l’Amour, qui fort de cette Foi militante sera à marquer d’une pierre. Ce jour qui raisonnera dans l’eternité.

Makcimus se signa lentement… Il traça dans l'air le signe de la croix de Christos…

Aujourd'hui, voici un grand jour, celui où une femme et un homme, ont décidé de clamer devant nous leur Amour, leur Amitié.

Il porta sa main sur Le Saint-Livre. Il y avait la autour d’eux des gens de toute croyance… Aussi il n’imposa aucun texte, mais la voix rocailleuse s’éleva se voulant pédagogue… Natchiachia et Yhonny avant vous ont décidés de s’unir… Comme nous le rappel Christos , lorsque deux personnes trouvent réellement leur "âme-soeur" ils peuvent prendre en conscience, l’un envers l’autre un engagement pour toute leur vie terrestre.

Afin d'être purs et fort de leur foi militante, je vais demander a Caro , a Namay et à ceux qui le veulent, de s’adresser au Tout Puissant. Et Makcimus de montrer l’exemple…

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Et d’enchainer… avec ferveur … Celle qui le caractérise...

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

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Charly

Charly, qui venait de poser sa monture Confiture dans les écuries d'Augias, s'avança lui aussi et brandit sa pioche vers le ciel bleu.

Vive Caroline !

Vive Namay !

Vive leur union désormais éternelle !

Marions-les, et que leurs lèvres s'entremêlent dans un élan si dur qu'elles resteront collées à jamais, ce qui posera certes des problèmes pour la bouffe, mais l'amour permet de vivre sans eau fraîche !

Marions-les, et que notre fier et altier Capitaine Namay nous montre demain matin à la fenêtre le linge rougi du sang que Caro aura promptement perdu durant la courte minute d'un assaut carminesque. Car nostre Capitaine se fait vieux, et Caro est belle, huhuhu !

Marions-les, et que chantent les pigeons, et que roucoulent les brebis, et que paissent...euh...les moineaux !

Et chantons, amis, chantons !

Lançons donc ensemble ce chant rassembleur !

Lançons ensemble le refrain de la liberté !

Il regarde Maksimus, tout sourire, et se met à chanter.

A baaas la caloooo-otteuuuu, à bas les ca-lo-tiiiiins !

--Rodrigue_hooksie

𝘓𝘢 𝘫𝘦𝘶𝘯𝘦 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦 𝘱𝘢𝘴𝘴𝘢𝘪𝘵 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘢 𝘳𝘦́𝘨𝘪𝘰𝘯 𝘢𝘧𝘪𝘯 𝘥𝘦 𝘳𝘦𝘨𝘢𝘨𝘯𝘦𝘳 𝘴𝘢 𝘱𝘳𝘰𝘱𝘳𝘪𝘦́𝘵𝘦́ 𝘭𝘰𝘳𝘴𝘲𝘶’𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘦𝘯𝘵𝘦𝘯𝘥𝘪𝘵 𝘱𝘢𝘳𝘭𝘦𝘳 𝘥’𝘶𝘯𝘦 𝘨𝘳𝘢𝘯𝘥𝘦 𝘧𝘦̂𝘵𝘦 𝘰𝘳𝘨𝘢𝘯𝘪𝘴𝘦́𝘦 𝘱𝘢𝘳 𝘴𝘰𝘯 𝘱𝘢𝘳𝘳𝘢𝘪𝘯 𝘴𝘪 𝘤𝘩𝘦𝘳 𝘢̀ 𝘴𝘰𝘯 𝘤𝘰𝘦𝘶𝘳.

𝘊𝘰𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘷𝘦𝘯𝘪𝘳 𝘦𝘵 𝘯𝘦 𝘱𝘢𝘴 𝘢𝘭𝘭𝘦𝘳 𝘭𝘦 𝘴𝘢𝘭𝘶𝘦𝘳, 𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘭𝘶𝘪 𝘥𝘰𝘪𝘵 𝘵𝘢𝘯𝘵, 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘤𝘦 𝘲𝘶’𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘥𝘦𝘷𝘦𝘯𝘶𝘦 𝘤’𝘦𝘴𝘵 𝘨𝘳𝘢̂𝘤𝘦 𝘢̀ 𝘤𝘦 𝘨𝘳𝘢𝘯𝘥 𝘩𝘰𝘮𝘮𝘦 𝘦𝘵 𝘮𝘦̂𝘮𝘦 𝘴’𝘪𝘭 𝘦𝘴𝘵 𝘮𝘢𝘭𝘮𝘦𝘯𝘦́ 𝘦𝘯 𝘤𝘦 𝘮𝘰𝘮𝘦𝘯𝘵, 𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘭𝘶𝘪 𝘳𝘦𝘴𝘵𝘦𝘳𝘢 𝘵𝘰𝘶𝘫𝘰𝘶𝘳𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘧𝘰𝘯𝘥𝘦́𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘢𝘵𝘵𝘢𝘤𝘩𝘦́𝘦 𝘦𝘵 𝘧𝘪𝘥𝘦̀𝘭𝘦 𝘫𝘶𝘴𝘲𝘶’𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘵, 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦 𝘶𝘯𝘦 𝘧𝘪𝘭𝘭𝘦 𝘱𝘦𝘶𝘵 𝘭’𝘦̂𝘵𝘳𝘦 𝘢̀ 𝘴𝘰𝘯 𝘱𝘦̀𝘳𝘦.

𝘜𝘯𝘦 𝘨𝘳𝘢𝘯𝘥𝘦 𝘤𝘭𝘢𝘮𝘦𝘶𝘳 𝘭𝘶𝘪 𝘢𝘳𝘳𝘪𝘷𝘦 𝘢𝘶𝘹 𝘰𝘳𝘦𝘪𝘭𝘭𝘦𝘴, 𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘴𝘦 𝘥𝘪𝘳𝘪𝘨𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘤𝘦 𝘴𝘦𝘯𝘴. 𝘌𝘭𝘭𝘦 𝘯’𝘦𝘴𝘵 𝘴𝘶̂𝘳𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘱𝘢𝘴 𝘷𝘦̂𝘵𝘶𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘤𝘪𝘳𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘢𝘯𝘤𝘦 𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘯’𝘦𝘴𝘵 𝘱𝘢𝘴 𝘭𝘢̀ 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘦́𝘣𝘭𝘰𝘶𝘪𝘳.

𝘌𝘭𝘭𝘦 𝘤𝘳𝘰𝘪𝘴𝘦 𝘣𝘰𝘯 𝘯𝘰𝘮𝘣𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘱𝘦𝘳𝘴𝘰𝘯𝘯𝘦𝘴 𝘲𝘶’𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘢 𝘳𝘦𝘯𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘦́ 𝘫𝘢𝘥𝘪𝘴, 𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘦𝘳𝘷𝘦 𝘶𝘯 𝘭𝘦́𝘨𝘦𝘳 𝘴𝘰𝘶𝘳𝘪𝘳𝘦 𝘢𝘵𝘵𝘢𝘤𝘩𝘦́ 𝘢𝘶 𝘷𝘪𝘴𝘢𝘨𝘦 𝘦𝘵 𝘴𝘢𝘭𝘶𝘦 𝘤𝘩𝘢𝘤𝘶𝘯 𝘥’𝘶𝘯 𝘱𝘦𝘵𝘪𝘵 𝘴𝘪𝘨𝘯𝘦 𝘥𝘦 𝘵𝘦̂𝘵𝘦.

𝘌𝘭𝘭𝘦 𝘴𝘦 𝘱𝘭𝘢𝘤𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘶𝘯 𝘤𝘰𝘪𝘯 𝘳𝘦𝘤𝘶𝘭𝘦́ 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘢 𝘭𝘪𝘨𝘯𝘦 𝘥𝘦 𝘮𝘪𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘔𝘢𝘬, 𝘪𝘭 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘳𝘢 𝘢𝘪𝘯𝘴𝘪 𝘭’𝘢𝘱𝘦𝘳𝘤𝘦𝘷𝘰𝘪𝘳.

𝘋𝘦 𝘴𝘢 𝘷𝘰𝘪𝘹 𝘨𝘳𝘢𝘷𝘦 𝘦𝘵 𝘱𝘳𝘰𝘧𝘰𝘯𝘥𝘦 𝘪𝘭 𝘦𝘯𝘵𝘢𝘮𝘦 𝘭𝘢 𝘱𝘳𝘪𝘦̀𝘳𝘦 𝘥𝘶 𝘱𝘢𝘳𝘥𝘰𝘯

𝘌𝘭𝘭𝘦 𝘧𝘢𝘪𝘵 𝘥𝘦 𝘮𝘦̂𝘮𝘦, 𝘱𝘶𝘪𝘴𝘴𝘦 𝘙𝘰𝘥𝘳𝘪𝘨𝘰, 𝘏𝘶𝘭𝘭 𝘦𝘵 𝘵𝘰𝘶𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘢𝘶𝘵𝘳𝘦𝘴 𝘭𝘶𝘪 𝘢𝘤𝘤𝘰𝘳𝘥𝘦𝘳 𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘱𝘢𝘳𝘥𝘰𝘯 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘤𝘦 𝘲𝘶’𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘦𝘯 𝘵𝘳𝘢𝘪𝘯 𝘥𝘦 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦.

𝕵𝖊 𝖈𝖔𝖓𝖋𝖊𝖘𝖘𝖊 𝖆̀ 𝕯𝖎𝖊𝖚 𝕿𝖔𝖚𝖙-𝖕𝖚𝖎𝖘𝖘𝖆𝖓𝖙,
𝖆̀ 𝖙𝖔𝖚𝖘 𝖑𝖊𝖘 𝕾𝖆𝖎𝖓𝖙𝖘, 𝖊𝖙 𝖆̀ 𝖛𝖔𝖚𝖘 𝖆𝖚𝖘𝖘𝖎, 𝖒𝖊𝖘 𝕬𝖒𝖎𝖘,
𝕻𝖆𝖗𝖈𝖊 𝖖𝖚𝖊 𝖏'𝖆𝖎 𝖇𝖊𝖆𝖚𝖈𝖔𝖚𝖕 𝖕𝖊́𝖈𝖍𝖊́,
𝖊𝖓 𝖕𝖊𝖓𝖘𝖊́𝖊, 𝖊𝖓 𝖕𝖆𝖗𝖔𝖑𝖊, 𝖊𝖓 𝖆𝖈𝖙𝖎𝖔𝖓.
𝕵𝖊 𝖘𝖚𝖕𝖕𝖑𝖎𝖊 𝖙𝖔𝖚𝖘 𝖑𝖊𝖘 𝕾𝖆𝖎𝖓𝖙𝖘, 𝖊𝖙 𝖛𝖔𝖚𝖘, 𝖒𝖊𝖘 𝕬𝖒𝖎𝖘,
𝖉𝖊 𝖕𝖗𝖎𝖊𝖗 𝖑𝖊 𝕮𝖗𝖊́𝖆𝖙𝖊𝖚𝖗 𝖕𝖔𝖚𝖗 𝖒𝖔𝖎.
𝕼𝖚𝖊 𝖑𝖊 𝕿𝖗𝖊̀𝖘 𝕳𝖆𝖚𝖙 𝖓𝖔𝖚𝖘 𝖆𝖈𝖈𝖔𝖗𝖉𝖊 𝖑𝖊 𝖕𝖆𝖗𝖉𝖔𝖓, 𝖑'𝖆𝖇𝖘𝖔𝖑𝖚𝖙𝖎𝖔𝖓 𝖊𝖙 𝖑𝖆 𝖗𝖊́𝖒𝖎𝖘𝖘𝖎𝖔𝖓 𝖉𝖊 𝖙𝖔𝖚𝖘 𝖓𝖔𝖘 𝖕𝖊́𝖈𝖍𝖊́𝖘.

𝘗𝘶𝘪𝘴 𝘭𝘦 𝘊𝘳𝘦𝘥𝘰

𝕵𝖊 𝖈𝖗𝖔𝖎𝖘 𝖊𝖓 𝕯𝖎𝖊𝖚, 𝖑𝖊 𝕿𝖗𝖊̀𝖘-𝕳𝖆𝖚𝖙 𝖙𝖔𝖚𝖙 𝖕𝖚𝖎𝖘𝖘𝖆𝖓𝖙,
𝕮𝖗𝖊́𝖆𝖙𝖊𝖚𝖗 𝖉𝖚 𝕮𝖎𝖊𝖑 𝖊𝖙 𝖉𝖊 𝖑𝖆 𝕿𝖊𝖗𝖗𝖊,
𝕯𝖊𝖘 𝕰𝖓𝖋𝖊𝖗𝖘 𝖊𝖙 𝖉𝖚 𝕻𝖆𝖗𝖆𝖉𝖎𝖘,
𝕵𝖚𝖌𝖊 𝖉𝖊 𝖓𝖔𝖙𝖗𝖊 𝖆̂𝖒𝖊 𝖆̀ 𝖑'𝖍𝖊𝖚𝖗𝖊 𝖉𝖊 𝖑𝖆 𝖒𝖔𝖗𝖙.

𝕰𝖙 𝖊𝖓 𝕬𝖗𝖎𝖘𝖙𝖔𝖙𝖊, 𝖘𝖔𝖓 𝖕𝖗𝖔𝖕𝖍𝖊̀𝖙𝖊,
𝖑𝖊 𝖋𝖎𝖑𝖘 𝖉𝖊 𝕹𝖎𝖈𝖔𝖒𝖆𝖖𝖚𝖊 𝖊𝖙 𝖉𝖊 𝕻𝖍𝖆𝖊𝖙𝖎𝖘,
𝖊𝖓𝖛𝖔𝖞𝖊́ 𝖕𝖔𝖚𝖗 𝖊𝖓𝖘𝖊𝖎𝖌𝖓𝖊𝖗 𝖑𝖆 𝖘𝖆𝖌𝖊𝖘𝖘𝖊
𝖊𝖙 𝖑𝖊𝖘 𝖑𝖔𝖎𝖘 𝖉𝖎𝖛𝖎𝖓𝖊𝖘 𝖉𝖊 𝖑'𝖀𝖓𝖎𝖛𝖊𝖗𝖘 𝖆𝖚𝖝 𝖍𝖔𝖒𝖒𝖊𝖘 𝖊́𝖌𝖆𝖗𝖊́𝖘.

𝕵𝖊 𝖈𝖗𝖔𝖎𝖘 𝖆𝖚𝖘𝖘𝖎 𝖊𝖓 𝕮𝖍𝖗𝖎𝖘𝖙𝖔𝖘,
𝕹𝖊́ 𝖉𝖊 𝕸𝖆𝖗𝖎𝖆 𝖊𝖙 𝖉𝖊 𝕲𝖎𝖔𝖘𝖊𝖕.
𝕴𝖑 𝖆 𝖛𝖔𝖚𝖊́ 𝖘𝖆 𝖛𝖎𝖊 𝖆̀ 𝖓𝖔𝖚𝖘 𝖒𝖔𝖓𝖙𝖗𝖊𝖗 𝖑𝖊 𝖈𝖍𝖊𝖒𝖎𝖓 𝖉𝖚 𝕻𝖆𝖗𝖆𝖉𝖎𝖘.
𝕮'𝖊𝖘𝖙 𝖆𝖎𝖓𝖘𝖎 𝖖𝖚'𝖆𝖕𝖗𝖊̀𝖘 𝖆𝖛𝖔𝖎𝖗 𝖘𝖔𝖚𝖋𝖋𝖊𝖗𝖙 𝖘𝖔𝖚𝖘 𝕻𝖔𝖓𝖈𝖊,
𝕴𝖑 𝖊𝖘𝖙 𝖒𝖔𝖗𝖙 𝖉𝖆𝖓𝖘 𝖑𝖊 𝖒𝖆𝖗𝖙𝖞𝖗 𝖕𝖔𝖚𝖗 𝖓𝖔𝖚𝖘 𝖘𝖆𝖚𝖛𝖊𝖗.
𝕴𝖑 𝖆 𝖗𝖊𝖏𝖔𝖎𝖓𝖙 𝖑𝖊 𝕾𝖔𝖑𝖊𝖎𝖑 𝖔𝖚̀ 𝖑'𝖆𝖙𝖙𝖊𝖓𝖉𝖆𝖎𝖙 𝕬𝖗𝖎𝖘𝖙𝖔𝖙𝖊 𝖆̀ 𝖑𝖆 𝖉𝖗𝖔𝖎𝖙𝖊 𝖉𝖚 𝕿𝖗𝖊̀𝖘-𝕳𝖆𝖚𝖙.

𝕵𝖊 𝖈𝖗𝖔𝖎𝖘 𝖊𝖓 𝖑'𝕬𝖈𝖙𝖎𝖔𝖓 𝕯𝖎𝖛𝖎𝖓𝖊;
𝕰𝖓 𝖑𝖆 𝕾𝖆𝖎𝖓𝖙𝖊 𝕰𝖌𝖑𝖎𝖘𝖊 𝕬𝖗𝖎𝖘𝖙𝖔𝖙𝖊́𝖑𝖎𝖈𝖎𝖊𝖓𝖓𝖊 𝕽𝖔𝖒𝖆𝖎𝖓𝖊, 𝖀𝖓𝖊 𝖊𝖙 𝕴𝖓𝖉𝖎𝖛𝖎𝖘𝖎𝖇𝖑𝖊,
𝕰𝖓 𝖑𝖆 𝖈𝖔𝖒𝖒𝖚𝖓𝖎𝖔𝖓 𝖉𝖊𝖘 𝕾𝖆𝖎𝖓𝖙𝖘,
𝕰𝖓 𝖑𝖆 𝖗𝖊́𝖒𝖎𝖘𝖘𝖎𝖔𝖓 𝖉𝖊𝖘 𝖕𝖊́𝖈𝖍𝖊́𝖘,
𝕰𝖓 𝖑𝖆 𝖁𝖎𝖊 𝕰𝖙𝖊𝖗𝖓𝖊𝖑𝖑𝖊.

Caro

Coups de Berthas qui coupent court à la discussion. Ca sent le début des festivités. Il arrive, il est là. Au murmure de Rack, incliner la tête et lui sourire en retour.

Oh oui j'allais justement te demander où elle est, dommage mais tu l'embrasseras de ma part.

L'attention se reporte sur Namay. L'épée plantée dans le sol, ombre qui se forme. Tout un symbole, toute une histoire, un nouveau pan qui s'ouvre. L'écouter à l'appel, comme celui du rassemblement au campement. J'en souris car il sonne différemment.

"Que monsieur l’archipape de Navarre officie." la phrase tourne très vite dans ma tête aussi vite que je sens la main d'Yva se glisser dans la mienne et la lâcher dans un poing levé relevé d'un cri et non des moindres.

L'azur qui se dirige vers les émeraudes croise le regard de Makcimus à l'invitation. Je suis désarçonnée, j’en ai les jambes en coton et tout mon être résonne des battements du cœur tel un cheval au galop, mais j’avance. Cette fois j’accroche les émeraudes, je suis émue, lui souris entremêlant mes doigts aux siens, légèrement les serrer. Geste si simple, qui ce jour prend une importance infinie. En arrière son les paroles de Makcimus viennent enrichir les miennes.

Les couleurs de l’arc en ciel, ce jour à la dominance carmine…. Encore et toujours à me surprendre Mon Namay.

Le sujet a été abordé à maintes reprises mais toujours le moment a été décalé pour x raisons et aujourd’hui, en surprise, il a tout mis en œuvre pour qu’Il le soit.

L’arrière son revient en place principale. Makcimus est en forme en très grande forme au point de devoir contenir un rire à sa voix qui s’élève fortement. Un Charly qui me fait rire comme toujours.

Et enfin à la Foi…

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Puis

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Je récite, j’y suis, nous y sommes oui !

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Tyranertus

C’est la fiesta boum boum qu'on lui a dit.

Une grosse fête où on pourra se goinfrer. Tyra y était conviée et devait être bien habillé pour cet événement. Mais comment doit s’habiller un cul nu. La bonne question et la réponse seraient le cul à l’air et ce n’est pas l’envie qui lui manqua. Bon il allait faire un effort pour être présentable mais il n’avait pas grand-chose dans sa garde-robe. Le temps à chercher et une fois bien habillé et prêt il retrouve son vieux bâton de roi mage. Avec ça il aura la classe.

Maintenant faut filer a la fêté.

Oh mais P…. sa commencer !

Et oui la cérémonie avait commencé. Notre vieux Cap avait préparé les choses en grand et notre vieille maman adorée complètement surprise. La scène offre un joli spectacle et une belle cérémonie. Il court vite se mettre dans les rangs dans la foule présente.
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Elboron

[Après une promenade, pas loin de la fête - Avant le début de la cérémonie]

Elboron et Edanna sortaient d’une belle promenade entre amoureux, sur les routes de la ville durant de nombreuses heures, sans vraiment voir le temps passer, ils discutèrent en se dirigeant vers leur maison mais Edanna était en train de réfléchir à quelques idées pour embêter sa sœur et avait bien entendu des idées, tous aussi dingue les unes des autres mais elle devait rester concentrée sur comment embêter son époux, comme à son habitude elle aimait le taquiner.

Edanna regarda son chéri d’un air malicieux, avant d’engager une discussion et Elboron savait que ce regard n’annonçait probablement rien de bon, il se demandait quelle idée pouvait-elle bien avoir pour le regarder de cette façon.

Ce matin j’ai vu un ours, il se promenait tranquillement en ville, près de la taverne.

Elboron était étonné par cette phrase.

Ah bon… un ours ?

Edanna de sourire.

Oui… En regardant mieux je me suis rendue compte que ce n’était pas un ours mais Estrella.

Elboron sans rien dire, tous les deux d’un regard complice se mirent à rire de bon cœur. Heureusement que sa sœur n’est pas là, sinon Edanna se serait retrouvée dans un lac. Puis, d’un coup Edanna, se rappela de la fête.

Mon chéri, la fête !!! Nous allons être en retard !!!

Il regarda son épouse, qui paniquait pour rien. Après un petit moment de réflexion, il opina de la tête.

En effet, allons-y, mais pas de panique ma chérie.

Main dans la main, ils traversèrent la ville, d’un pas plus rapide que précédemment, après un petit moment de marche, ils arrivèrent au lieu indiqué et saluèrent tout le monde.

Bonjour à toutes et à tous, nous sommes désolés pour le retard. J'espère que nous n'avons pas tous ratés ?

Edanna était excitée, commençait à dandiner sur place, se laissant un peu emporter par l’ambiance tout en incitant son époux à faire de même. Elboron sourit gêné ne voulait pas et ne comprenait pas pourquoi elle était agitée alors qu’il n’y avait pas de musique, il prit le bras de sa femme en l’emmenant vers la nourriture.

Ça sent très bon !

Edanna regarda la nourriture de manière gourmande. En la regardant, Elboron qui se tenait à ses côtés ne put s’empêcher de rire.
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Namaycush

Debout, grand de cette fraternité qui les unit, il répond au salut du Makcimus par le poing levé des trois doigts sur le cœur.

Il s’agenouille, fort de foi et de cœur, celui que certains rois et reines n’ont jamais fait fléchir, celui qui de l’Arbanville aux confins des mondes connus, n’a eu de cesse d’appréhender ses limites, de les repousser encore et encore, emplissant le crescendo d’une existence hors du commun. Il veut ce que personne n’a. Il a eu ce que personne n’a connu, toujours empli du frisson de l’aventure, cette frisse qui fait vivre, non survivre, ce souffle qui l’amène et les emmènent, ces Memento partant de tous les coups, surtout les impossibles. Il les aime plus que lui.

Il s’emplit du Credo fervent, entonne de sa voix forte…

Je jure de servir fidèlement, loyalement et de bonne foi, l’Eglise militante, celle de la vraie Foy, comme je jure, ce jour, d’éliminer tous les cancrelats qui la dénaturent de prédicats inutiles.

Empli de foi et d’amour sincère, de cet amour qui irradie, le seul vrai, je demande, moi le Grand Félon de France, l’Excommunié de la Rome décadente, comme épouse légitime Caro Compalite.

Elle sera reine de cœur, princesse de l’âme et de l’esprit. Elle sera.

Il t’appartient, mon frère, après que Ma Dame ait donné accord, si elle le donne, d’attribuer le sacrement fervent, devant tous ceux que je considère comme mes fils ou filles, frères et sœurs, représentés par quelques-uns.

Comme à la sentence, Namay à genoux, cela valait la peine…
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Manuella

Manuella suivait sur une vieille mule récupérée dans un champs désolé. La vieille carne, libérée, prenait ses aises et broutait les touffes d'herbes et de fleurs qui s'égayaient sur leur passage.
Au loin la cavalière entendait les clameurs, et le fumet du rôti faisait frémir ses narines.

Va donc ma belle ! On est pressées !

Mais l'herbe était trop tendre pour que la mule s'accélère, de temps en temps elle agitait la tête donnant à ses longues oreilles des airs de vagues.

Tu serais pas un peu énervante toi ? s'émeut Manuella devant autant de nonchalance.

Et soudain
"Vive Caroline !
Vive Namay !
Vive leur union désormais éternelle !"

Kouaaaa ? Caro se marie ! Il n'est pas question que je ne chante pas à sa noce !

Elle saute aussitôt de sa monture, court à fond de train, en bouscule Elboron sur son passage, lui crie bonjour en riant, saute sur les épaules de son époux et lance à pleine voix :

Vive les mariés !

Avant de se mordre les lèvres, devant l'homme qui se donne à la femme.
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Caro

L’instant est fort, puissant. Le voir s’agenouiller, entendre ses mots. Voilà que tout repart de plus belle. Mon cœur bat bien puissamment encore, comme s’il voulait sortir de la cage pour se jeter dans les mains de Namay, se donner à lui.

L’azur plonge sur l’homme que j’aime. la main gauche, vient lui caresser la joue alors que l’azur se voile de minuscules perles de bonheur et yeux dans les yeux.

Oui, je le veux.

Puis à Makcimus

Oui, oh que oui je le donne mon accord.

Sourire, la main lâchant la joue pour la tendre à Namay afin qu’il se relève.

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Milly.

Ah enfin ! J'en sautillais d'excitation. Non mais garder un tel secret ca avait été lourdddddddd.

Alors voir arrivé papa Lynx et entendre ces mots suivi de ceux de Makc et surtout surtout
voir la tête de Caro !
Çà n'a pas de prix !

Je glissais ma main dans celle d'Yva et rejoignis le devant de la scène . Mais je fus ébranlée je l'avoue en voyant mon père a genoux.

C'était...émouvant , vraiment...J'en eu les yeux tous embués.
J'écoutais avec attention et répétais les paroles qu'ils prononcèrent à mon tour.
Puis l'échange solennel entre Namaycush et Caro qui scellait l'affaire...houlalala.

Clin d'oeil vers Makc, Fauve, Louison, Tyra et tonton Nesto, j'avais juste envie de rire de joie.

Un coup d'oeil autours pour regarder tous les invités qui assistaient avec nous a ce moment si important.
Que pourrais je dire ? Pas le moment, mais comme je les aime.

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Thibali

Une invitation à une fête que la mandra accepta avec joie.

Au jour dit, elle s'y rendit après s'être apprêtée pour l'occasion.
Les bruits et les odeurs qui provenaient de l'endroit des festivités ne laissaient aucun doute.

Une fois sur place, elle salua chacun qu'elle croisa et bavarda.

Lorsque la voix carmine s'éleva, elle s'approcha pour écouter la suite, on lui avait mentionné des événements surprises mais celle là, elle ne s'y attendait pas.

En souriant, elle observa la suite , prononça les prières puis applaudit lorsque les nouveaux époux échangèrent paroles.
Les odeurs alléchantes n'attiraient plus personne, la foule semblait toute concentrée sur le moment qui se déroulait devant eux.

Pour une fête cela en était toute une. Elle se tourna vers Rackam et lui chuchota

Tu connaissais la surprise toi ?
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Virtus semper triomphat!
La libertat qu'ei lo camin

Lazare.

Le jeune Lazare chassait les dragons, encore et toujours. Pour cette fois, les féroce bêtes ailées avaient pris la forme de quelques poules égarées plus effarouchées par le gamin qu'autre chose. Mais lui, le petit, le plus jeune de cette armée dont il ne connaissait pas encore tout le monde, il usait ses chausses à courir dans tous les sens. Il avait revêtu l'habit de lumière offert au gré de ses pérégrinations à travers les jambes des adultes. Une épée miraculeuse par-ci, un casque de soldat par-là, il avait désormais la tenue réglementaire de l'enfant aventurier et avide d'aventures.

Il avait fallu un vacarme assourdissant pour qu'il stoppe net ses aventures. Il avait tourné la tête et avait tout le monde, ou presque, se rassembler. Il devait être l'heure du goûter ou quelque chose comme ça. Il laisse son épée et so bouclier tomber au sol. Il savait pertinemment qu'aucun adulte ne lui prendrait des armes en bois et à une taille inadaptée au combat. Il était serein. En s'approchant, il s'aperçut que de goûter il était finalement question de prière. Alors le bambin découvrit sa tête et plaça la bouclier sous son bras droit avant de s'agenouiller près des femmes qui s'occupaient si bien de lui.

Serein et sérieux, appliqué, il récita le credo à voix basse. Il oubliait certains mots, certaines phrases, confondait quelques idées mais le coeur était là. Il voulait faire comme les grands. La conquête du monde pouvait bien attendre. Les poules n'auraient pas de dents ce soir. Les "gragons" avaient encore la peau dure. Il se leva ensuite et posa des yeux interloqués sur la liesse.

C'est quoi qu'y s'passe ?

Charly

Manuella a écrit:

Elle saute aussitôt de sa monture, court à fond de train, en bouscule Elboron sur son passage, lui crie bonjour en riant, saute sur les épaules de son époux et lance à pleine voix :

Vive les mariés !

Avant de se mordre les lèvres, devant l'homme qui se donne à la femme.

Mais mais...ma Mie !

Enfin vous z'arrivâtes, fulgurante comme un jeune daguet aux abois !

Alors...si j'ai bien compris l'affaire...je vous l'explique, ô ma Douce…

Voici l'histoire: Caroline aime Namay, Namay aime Caroline mais ne le lui dit pas, doncques Caroline, ne sachant pas que son amour fou n'est pas si fou que cela, ne dit rien. Cependant, Caroline aime à montrer son amour à Namay, mais par des voies détournées.
Namay ne comprend pas.
Moi vouloir toi, moi aimer toi, toi pas comprendre, moi penser toi pas aimer moi, moi faire en sorte que toi pas savoir que moi aime toi...bref, un nain Broglie, oh !

Puis la guerre arrive en Rouergue, on prend les mêmes et on recommence: moi aimer toi, toi pas savoir que toi aime finalement le toi que tu vois z'en moi...bref, ça continue sur la lancée.

Puis z'enfin, alarmé par un indice tonitruant -un mouchoir négligemment jeté par Caroline quand passe Namay, Namay le ramasse, le sent, le respire, pense qu'il serait grand temps que ses soldats aillent enfin...allez hop, à la douche- donc alarmé par le jetage de mouchoirs, Namay se dit qu'une entrevue pourrait avoir enfin lieu entre lui et Caroline.

Namay étant un habitué des z'annonces, il en fait une où il annonce son entrevue au coin du feu, en intimes, entre lui z'et Caroline.

Bref, au moment de l'intime rencontre et de l'intime baiser qui annonce le rendez-vous nuptial de ce jour, toute la troupe Memento est cachée dans les fourrés et observe l'affaire tout en croquant des noisettes salées et des pommes de terre sautées dans l'huile.

Voila, ma Dolcita. J'ai résumé.

Nous z'attendons tous demain avec la plus grande impatience afin de voir le drap rougi du sang de Caroline porté au balcon par Namay !

Yvanah

Le padré à genoux, si on lui avait dit .. Elle l'aurait pas cru
La tête de mam's, ça ça valait le détour, c'était la surprise qu'elle avait du garder secrète jusqu'au jour "j" la sauvageonne, et là de les voir tous les deux, voilà son oeil qui se met à suinter, et Emily qui lui tient la main, et qui elle aussi a les yeux emplis de sueurs, du coup Yva se mord la lèvre, il ne faut pas, elle n'est pas un bébé, et les émotions ça endort les sens, il faut penser à autre chose...

Citation:

C'est quoi qu'y s'passe ?

Ah te voilà toi !

En riant Yva attrape le gamin à bras le corps et le soulève afin qu'il voit

C'est LE mariage Lazare, celui du Cap et de Caro

Le repose au sol et fourrant sa main dans sa tignasse

Mais toi tu peux aller veiller sur la bou.. Nourriture, avant qu'elle ne soit piller par des bandits affamés.

Et si tu vois un dragon, tu sais ce qu'il te reste à faire

Tournant la tête pour voir arriver une furie qui saute sur le dos de Charly, prête à prendre son épée et de hurler qu'on les attaquait, mais reconnaissant Manuella Yva se calme, écoute Charly, rigole. Elle les trouve marrant tous les deux. Sacré couple que ces deux là.

Citation:

Nous z'attendons tous demain avec la plus grande impatience afin de voir le drap rougi du sang de Caroline porté au balcon par Namay !

..glups..!! Et....... tirant la manche de Milly

Dis...... C'est quand que le vieux "chouchou" il va nous montrer le tiens de drap ?

Et de se marrer
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Makcimus..

La demande devant l'ensemble des frères et soeurs d'armes, devant les amis, devant le Tout Puissant était belle. Caro le voulait... Et il opina de la tête en écoutant sa réponse.

De sa lourde démarche, gonflant la poitrine a son habitude, il s'approcha de Caro et de Namay...Il leur tendit à chacun une main et prit la dextre qu'ils lui tendaient. Il plaça ainsi la main de l'homme dans celle de la femme et reprit alors d'une voix forte...

Un engagement aussi fort suppose que les deux personnes s'engagent l'un vers l'autre librement et sans contrainte, qu'ils se promettent amour mutuel et respect pour toute la vie, afin qu'ils accueillent les enfants que le Très Haut leur donne, et les éduquent selon les Saints écrits.

Puis il regarda Caro, en premier lieu...

Caro, je vous remets Namay pour que vous le gardiez, sain ou malade! Pour que vous lui conserviez votre foi, pour vivre avec lui dans l'amour de chaque jour.
Voulez-vous faire dépendre votre bonheur de son bonheur?

Allez Caro... Encore un Oui je le veux et nous y sommes presque...
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Caro

L’instant n’en devient que plus solennel. J’ai du mal encore à y croire, du mal à réaliser que là maintenant, devant toute la famille, les miens comme je les appelle, devant les amis, cette union en devient réalité.

Main dans sa main que je serre légèrement, je souris à Makcimus avant de plonger mon regard en celui de mon époux en devenir. Emue, la voix légèrement chevrotante par l’émotion :

Mon Namay, tu es mon roi de cœur, mon veilleur et âme sœur. Tu es mon autre .
A jamais te garder près de moi, Oui.
Quel que soit le chemin de vie. Qu’il soit parsemé de bonheur ou de pleurs, je serai là. Oui
Vivre pour ce Noux, cet amour. Le rendre plus fort et grand chaque jour qui passe, dans notre bonheur commun, Oui, je le veux.
Entre tes mains je me remets et d’un Oui je veux faire dépendre mon bonheur de ton bonheur.

Puis retour vers Makcimus pour répondre à sa question

Oui, oh que Oui je le veux.
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Makcimus..

Il sourit et si la grande carcasse sur le champ de bataille se montrait dur et sans état d'âme... Il était en réalité qu'un homme au coeur tendre.

Les paroles de Caro le touchèrent, comme elles devaient toucher les gens présent... C'est donc avec une émotion certaine qu'il défit les mains des amoureux et les croisa en sens inverse, puis portant l'azur de son regard vers l'homme, la voix rocailleuse s'élevait avec force...

Namay, je vous remets Caro pour que vous la gardiez, saine ou malade! Pour que vous lui conserviez votre foi, pour vivre avec elle dans l'amour de chaque jour.
Voulez-vous faire dépendre votre bonheur de son bonheur?
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Turlututux

Le braconnier laissa ses quelques dents qui lui restaient sur son bout de viande. Figé, interloqué, il se demandait bien s'il saisissait la scène.

Une belle dame venir se confier à ce vieux fripé, même s'il les commandait tous, ça dépassait tout son entendement. A croire que le vieux qui l'avait sous sa coupe depuis des lustres, à ce qu'il parait, n'avait jamais pu la voir comme une femme, belle, docile même si elle pouvait se montrer gardienne de leur troupe.

Il ne leva pas son derrière de l'herbe, ne cria pas non plus, comme d'autres, il regarda. C'est tout. Après un bref instant, les échanges échangés, il continua à dévorer sa viande.

La vie, quoi.

Namaycush

L’instant n’est que ce que l’on en fait.

Deux nuages passent. Deux. Un ciel bleu sans nuage n’est pas un ciel. Il lui manquerait quelque chose. Pour être un ciel. Un vrai.

Loin

Je n’ai pas choisi.
J’ai cette force au fond de moi qui me porte vers toi.

Caro, je t’aime. Je t’ai toujours aimé.

Alors, ils sont là, Thibale aussi. C’est important qu’elle soit là. Pas le plus important. Tandis que le Charly fait la résume, qu’un chasseur de gragons ne fait pas le chevalier, que l’Yvah s’émeraude de l’œil, que le Makcimus se rocaille…

Caro, tu porteras le nom maudit. Le nom lourd qui fait parfois voûter l’épaule, mais le nom de tout honneur, le nom sanglant, le nom écarlate, le nom carmin.

Nul autre que Mak aurait pu nous lier, en la foi militante. J’entrecroise mes doigts dans les tiens, en l’alliance de notre amour, jamais bagué, jamais emprisonné.

Plus loin que l’au-delà, j’ai cette force au fond de moi.

Makcimus, je prendrai soin de Caro, elle est en mes mains, à son amour, je réponds par le mien. Monsieur l’Archipape, désormais bure de la Memento, sacralise !

Alors il l’embrasse, si profondément, si intensément, entremêlant ses doigts dans les cheveux à belle boucle brune, qu’il en fait trembler les cierges de la petite Milly…
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Yvanah

Il y a des mots qui vous font trembler, de peur, de panique, d’effroi, mais en ce jour ceux du Chef Kalife Empereur de France et de Navarre, Comte du Rouergue, font trembler d'émotions Yva.
La sauvageonne s'en mord les lèvres au sang, faut pas chialer.
Le sang s'écoule, elle relâche la pression de ses dents, retrousse sa lèvre inférieur pour y mêler sang et salive.
Ils sont beaux ! Ils SONT !
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Louison._

Ah ben enfin il se décide. Des années qu'ils sont là les deux, qu'ils cherchent sans trouver ce qui est sous leur nez. Il leur a fallut du temps pour y arriver.
Regarde amusée les réactions. Puis écoute les deux.

Citation:

Monsieur l’Archipape, désormais bure de la Memento, sacralise !

Moui elle aussi aurait pu mais bon, elle avait moins de charisme que lui. Elle se concentra sur la suite. Nul doute que la suite il y aurait au moins avec le banquet.

Milly.

C'est beau, c'est émouvant, même que je vois tout brumeux tout a coup.
Nan mais qu'est ce qu'ils sont beaux ces deux là, et puis je les aime tant.

Oh ca se corse ! Ouais beaucoup même, de quoi me donner envie de me couvrir les yeux.
Mais j'veux pas voir ca moaaaaaaaa.
Nan mais ca se fait pas , pas en public, pas devant la progéniture angélique en plus !

Çà y est , j'vais certainement devenir aveugle, c'est trop pour mes ptits yeux.
Quoique, a bien y penser.
Mon regard louche vers l'assemblée dans un espoir peut être vain et utopique.
Bon faut croire , que j'ai encore des trucs a apprendre.
Je demanderai a Mom's ou papa Lynx....quoique c'est pas le moment.
Mon regard tombe sur notre soeur ainée Cam et son époux.
Ca donne envie de soupirer.
Je serre la main d'Yva fortement tout a coup en ayant eu une pensée soudaine.

J'trouve que ca manque de garcon dans la famille, pas toi ?
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Tagertha

Cernes jusque sous les coudes, elle regardait les entrelacs d'amours et d'affections d'un œil souriant .

Elle leva son godet en leur honneur et hela :

Oyez! Oyez!
Je vous créant que joile cette nouvelle avec joie, vos épousailles me ravissent.
Plaisir que de faire ripaille à vos cotés la bonne pitance et boirons de la vinasse gouleyante. Santat!

Nous Sommes!

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Yvanah

Dans la vie il y a deux façons de s'amuser, la première est de piquer son adversaire, son ami, sa famille, ici sa soeur, histoire qu'elle s’énerve et qu'elle hurle, ou vous frappe, l'autre est de jouer au noblio, genre, oui mooooooooodame, nooon moooooooodameuuuuuu, et là bé, ON S EMMERDE !
C'est, suivant la première solution qu'yva avait demandé à Milly si on allait voir son drap tâché de sang au mariage histoire de, pour se marrer.
Et que nenni,quenouille et peau de crin, l’arroseuse ne se fit point arrosée mais détournée par une phrase...... Sans...Intérêt

Citation:

J'trouve que ca manque de garcon dans la famille, pas toi ?

Lâche la main de Milly qui lui écrabouillait les doigts qu'ils allaient finir en marmelade.
Les secouant pour qu'ils retrouvassent vie..

Et ? ... Tu veux en adopter un ? Ta besoin d'esclave ?

Tout en secouant fortement ses doigts qui maintenant fourmillaient, trop maintenus sans doute dans la main de sa soeurette.

Citation:

Oyez! Oyez!
Je vous créant que joile cette nouvelle avec joie, vos épousailles me ravissent.
Plaisir que de faire ripaille à vos cotés la bonne pitance et boirons de la vinasse gouleyante. Santat!

Nous Sommes!

YEEEEEEEEEEEEE TAAAAAAG !!!!!
NOUS SOMMES !!!!!!!!
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Caro

Si ça ce n’est pas de l’ascenseur émotionnel !

Je les entends, j’entends la joie des nôtres, des amis, se répandre mais je suis dans ma bulle.

Un Vertige…le vertige de l’amour. Tourbillon qui vous emporte et vous inonde de bonheur, d’une joie incandescente.

Moment fort, comme si, en ce baiser, auquel je réponds avec la même ferveur, une partie de nos âmes se rejoignent, se lient bien plus qu'elles ne le sont déjà, bien plus encore que ne peuvent faire l’union de nos corps. Perles salées tant retenues, franchissent la barrière pour s’échapper et rouler sur les joues.

Vite à Makcimus d'oeuvrer et sacraliser, car avec un tel baiser, s'ils savaient tout ce qui me passe par la tête en cet instant...
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Edanna

Edanna et Elboron étaient en train de regarder le menu et de saluer tout le monde, lorsque d’un coup Makcimus demanda à chacun de s’approcher. Quand il dévoila la surprise de fête, le moins que l’on puisse dire c’est qu’ils ne s’y attendaient pas.

Ils suivirent attentivement la cérémonie en se remémorant leur mariage. Ils étaient complètement perdus dans leurs pensées, en se serrant tendrement la main et en se regardant de manière complice. Ce moment n’était pas pour leur déplaire, ils aimaient discuter régulièrement de leur rencontre, de tous ces magnifiques moments passés ensemble et surtout de leur épousailles devant leurs amis.

La cérémonie se déroulait tranquillement, c’était tellement émouvant, qu’Edanna eu une petite larme en voyant l’échange des vœux. Elboron la réconforta avec amour en comprenant la raison pour laquelle son épouse se laissait emporter par ses émotions, c’était un moment fort qui lui rappelait tellement de souvenirs.

À la suite de cela, ils levèrent ensemble leurs choppes en l’honneur des mariés.

Vive les mariés !!!

Les deux amoureux étaient prêts à faire la fête avec les mariés et les invités.

Ecrit avec JD Elboron.

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Makcimus..

Louison._

Tyranertus

Manuella

Suivant le mouvement, Manuella leva les bras au ciel.

Vive Camay, vive Naro !
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Mara_vercors

Hooks

Epiphyte

Hope....

Epiphyte

Hope....

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