Amaterasu.
Prise entre ces deux amours, le saké et l'opium, la belle - maintenant vieillissante et pleine de rhumatisme suite à une trop longue plongée au fond des eaux - s'était enfermée dans son appartement où elle se faisait livrer chaque jour un peu de riz et beaucoup de saké.
Elle ne voulait parler à personne et était devenu aigri et vite agacée.
Sa passion pour l'opium était bien entendu née d'une prescription médicale, aujourd'hui elle augmentait régulièrement les doses au point de vivre dans un brouillard permanent tant au sens propre qu'au figuré.
Pourtant la p'tite Tani - certainement la dernière personne à laquelle elle aurait pu penser s'était permise de la sortir de sa longue léthargie pour lui faire ressortir son katana avec pour objectif d'encore une fois sortir Oda d'un pétrin.
QU'ON ME FOUTE LA PAIX !
Tel fût alors sa réponse avant d'aller chercher son Katana et de s'infiltrer sournoisement et en râlant dans l'armée de sa vieille amie Kiwako.
PAR TOUT LES KAMIS, C'EST QUOI ENCORE QUE CE B...
Non, ne rêvez pas vous ne connaîtrez pas la fin de phrase, elle avait la tête fourrée dans un sac à la recherche de sa pipe à opium.
Ama ne savait plus parler sans hurler, elle avait perdu sa douceur et accentué son caractère bien trempé.
Elle n'avait même pas cherché à savoir qui était là avant et ce qu'ils avaient bien pu faire, il avait suffit qu'elle s'aperçoive du silence régnant alentour, propre à la laisser dormir certes pour savoir que ça ronfler dans le château.
Elle était de retour et prête à recevoir toute personne susceptible d'accepter de la remettre dans la danse. Elle avait des fourmis dans les jambes fallait que ça Swingue.
Prenant place sur un coussin elle s'installa sur ses genoux, droite comme un i.
La salle d'audience venait d'être improvisée, elle ferait sortir tout ceux qui ne seraient pas apte à lui redonner un peu de punch dans ce kuni endormi.
_________________
Elle ne voulait parler à personne et était devenu aigri et vite agacée.
Sa passion pour l'opium était bien entendu née d'une prescription médicale, aujourd'hui elle augmentait régulièrement les doses au point de vivre dans un brouillard permanent tant au sens propre qu'au figuré.
Pourtant la p'tite Tani - certainement la dernière personne à laquelle elle aurait pu penser s'était permise de la sortir de sa longue léthargie pour lui faire ressortir son katana avec pour objectif d'encore une fois sortir Oda d'un pétrin.
QU'ON ME FOUTE LA PAIX !
Tel fût alors sa réponse avant d'aller chercher son Katana et de s'infiltrer sournoisement et en râlant dans l'armée de sa vieille amie Kiwako.
PAR TOUT LES KAMIS, C'EST QUOI ENCORE QUE CE B...
Non, ne rêvez pas vous ne connaîtrez pas la fin de phrase, elle avait la tête fourrée dans un sac à la recherche de sa pipe à opium.
Ama ne savait plus parler sans hurler, elle avait perdu sa douceur et accentué son caractère bien trempé.
Elle n'avait même pas cherché à savoir qui était là avant et ce qu'ils avaient bien pu faire, il avait suffit qu'elle s'aperçoive du silence régnant alentour, propre à la laisser dormir certes pour savoir que ça ronfler dans le château.
Elle était de retour et prête à recevoir toute personne susceptible d'accepter de la remettre dans la danse. Elle avait des fourmis dans les jambes fallait que ça Swingue.
Prenant place sur un coussin elle s'installa sur ses genoux, droite comme un i.
La salle d'audience venait d'être improvisée, elle ferait sortir tout ceux qui ne seraient pas apte à lui redonner un peu de punch dans ce kuni endormi.
_________________