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[RP] Chambre des Communications entre peuple et kuni

Karzimor
J'ai une question : le conseil approuve-t-il la désorganisation de l'université annoncée et amorcée par le surintendant, à savoir que les cours ne sont plus programmés à l'avance et que le surintendant demande à tous les professeurs de postuler puis il choisi les 2 qui feront cours ?

Ne pensez-vous pas que sans programmation annoncée, les étudiants tournent le dos à l'université ?


Elle s'incline et se tait, se doutant bien qu'encore une fois, vu qu'elle met en doute le travail de l'un des amis du Daimyo, elle sera boutée hors de ce bureau.
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Karzimor
Le temps passait, mais rien ne bougeait, comme à l'habitude. Apparemment la salle de communication avec le peuple était géré de façon à démotiver tout dialogue avec le peuple.

Mais la jeune fille ne laisserait pas la partie si facilement, donc elle attendait. Comme de plus elle n'était plus shomin, elle avait à présent tout son temps.

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Yashiro_.shimazu
Yashiro-sama ?

Un regard qui s'éloigna de la future annonce/missive envoyée.
Il regarda la servante qui l'arrêtait dans son travail pour Oda.


- Hai ? Qui a-t-il ?
- Quelqu'un vous attend à la salle de communication ... Il me semble que c'est toujours la même personne.
- Ah ? Karzimor-san ? Très bien. J'arrive.


Mais quand on est un bon P-P, on achève son travail avant d'en commencer un autre.
La raison ? Tout simplement parce qu'en courant deux lièvres à la fois, on n'en attrape aucun.
Et puis, il voulait lui réserver toute son attention, elle le méritait, au même titre que tous les Oda'jins.

Il entra dans la salle, et s'inclina brièvement pour la saluer.


Konnichi wa Karzimor-san.
A vrai dire, je suis heureux de votre présence ici.
Notre dernière entrevue s'est soldée par votre disparition.
J'étais plutôt inquiet de ne pas avoir mes réponses de plus que j'ai appris que vous n'êtes plus à la tête du sô de Nakatsugawa.
Mes respects.


Sourire.

Donc, il parait que vous avez des questions.
On me les a écrites, et je dois dire que je suis touché par votre intérêt pour les institutions en Oda.
L'université est un organe à part entière du Shiro.


Il reprit les questions et en lut une à voix haute.

Karzimor a écrit:
le conseil approuve-t-il la désorganisation de l'université annoncée et amorcée par le surintendant, à savoir que les cours ne sont plus programmés à l'avance et que le surintendant demande à tous les professeurs de postuler puis il choisi les 2 qui feront cours ?


Et bien je dois vous avouer que la réponse est plutôt négative.
Vous devriez d'ailleurs être au courant, mais il me semble que vous ne lisez pas les annonces du Conseil, même si elles se trouvent en gargote, la preuve que ça ne marche pas là-bas sans doute.
Je pense qu'il faudra régler cela d'ailleurs.
Vous voyez bien comme moi que les discussions politiques se font au Shiro, et que c'est un lieu suivi par les Oda'jins, bien plus que la gargote comme en témoigne votre question.


Il prit une autre annonce dans les mains et la lut toujours à voix haute.

Nous avons ici l'annonce du deuxième jour de ce mois.

Yashiro a écrit:
    En ce deuxième jour du septième mois de l’an 1460,
    A ceux qui liront ou se feront lire.


    [...]

    Nous commençons également à prendre les candidatures pour le poste de surintendant à l’université.
    Il s’agit d’une fonction assez simple, qui ne requiert pas trop de temps, mais qui fournit de l’expérience et est valorisé par le contact à la fois du Conseil et des érudits. De la disponibilité en soirée est néanmoins requise pour la validation des cours (entre 17 et 20h).
    Nous espérons obtenir suffisamment de candidatures qui sont à déposer auprès de votre Porte-Parole.


Vous voyez que nous avions anticipé la réaction nonchalante du surintendant à l'université.
En toute franchise, nous n'avons eu aucune candidature alors que c'est un endroit très important, je le répète.
Comme quoi, le désintéressement touche Oda de plein fouet.
J'ai déjà été à sa place et je vous avoue que faire un plan de semaine n'est pas toujours évident au début.
Mais on finit par s'y faire.
J'espère avoir répondu à votre première question.

La seconde alors ...


Karzimor a écrit:
Ne pensez-vous pas que sans programmation annoncée, les étudiants tournent le dos à l'université ?


En vérité, je ne suis pas visionnaire mais il est certain qu'il ne règne plus d'ordre comme cela.
Cependant, entre ne plus avoir de cours car aucun surintendant, et des cours non programmés, je pense que le choix est tout de même fait.
Ce n'est pas acceptable et c'est pour cela que nous avons ouvert les candidatures.
Je ne vois pas vraiment ce qu'on peut faire de plus, sans remplaçant.
A moins que vous vous proposiez, bien entendu.


A nouveau un sourire.
Elle semblait avoir attendu longuement.
Cependant, elle avait été shômin donc elle devait bien pouvoir faire preuve de patience, surtout quand ses réponses mettent bien plus de temps à venir.
A être servie trop rapidement, on finissait par en avoir l'habitude.
D'ailleurs certains narrateurs sont bien médisants, autant sur le temps qu'elle devait attendre que sur certains faits.
Oda n'étant pas une tyrannie, jamais Karzimor ne fut boutée hors de la salle, et on attend encore, à nos jours, ses sages réponses.

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Karzimor
Elle sourit, se retient de rire franchement.

Très bien, mais il est dommage d'avoir mis autant de temps avant de vous rendre compte du problème d'avoir mis le surintendant actuel à la tête de l'université, et cela malgré nombre de personne, même en votre sein, qui y étaient opposés.

Et aujourd'hui vous êtes obligés de pourvoir à son remplacement au moins bon moment.


Elle se frotte le menton puis reprend.

Vous avez pourquoi personne n'a répondu à votre annonce ? Sans doute parce que personne ne l'a vu, tout comme moi.

Et oui, à force de multiplier les endroits où vous communiquez, vous avez perdus les Oda-jin.
Prenez mon exemple : pour savoir si je dois faire cours, si je peux vendre des Points d'institution, je dois allez dans une salle du château. Pour savoir si le conseil a daigné répondre à mes interrogations, je dois aller dans une autre salle du château. Pour savoir si le conseil ou les shomins ont des échanges à faire, je dois encore aller dans une autre salle du château. Je dois aussi aller sur la halle de mon village. Puis, s'il me reste du temps, je vais sur la place du village.

Donc oui, à force de diviser les communications, plus personne n'arrive à suivre.

Et je suis la première à subir la désorganisation que vous avez mis en place et à ne pas réussir à vous suivre. Et je suis persuadée ne pas être la seule.


Elle regarde l'homme, un peu déçue.

J'avoue ne jamais avoir compris votre entêtement à communiquer de cette façon. Mais je pense que le résultat est celui d'aujourd'hui.
Pourquoi les annonces du conseil vers le peuple sont dans un endroit différent de celui dans lequel vous répondez aux questions ? C'est un peu idiot, non ?

Et surtout, pourquoi l'annonce pour changer le surintendant n'a pas été affichée à l'université, là où tous les étudiants se rendent ? N'est-ce pas au sein des étudiants que vous trouverez le plus de candidats ?


Elle respire un grand coup, se revoyant quelque semaines en arrière.

Bien, je vous laisse vous débattre avec votre surintendant. Il paraît que mon nom a été évoquée pour le remplacer par le passé, mais vous avez préféré garder le larbin d'Amaterasu. Subissez-en maintenant les conséquences.
Pour ma part, je me prépare des vacances bien méritées.

Enfin, certains sont heureux de cette situation, puisqu'ils enchaînent les enseignements. Mais cela montre surtout que tous les érudits ont tourné le dos à l"université.

Et vous savez ce que l'on dit : il est facile de perdre des clients, mais difficile d'en gagner de nouveau !


Elle s'incline et se dirige vers la porte.

Avant de partir je vais vous donner une information : certains kuni préfèrent fermer l'université pendant l'été.

Peut-être, pour une fois, pourrions-nous nous inspirer de ce que font les autres plutôt que de pratiquer le nombrilisme de l'auto-satisfaction. Surtout quand on est insatisfait et démuni face à la situation actuelle.


Puis elle sort en riant, faisant un signe de la main.
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Karzimor
La nature a horreur du vide, il paraît. Pourtant, depuis plusieurs mois, le conseil semble vouloir se faire un ami du vide. Les communications vers le peuple sont, comme toujours, quasi inexistantes, et lorsqu'elles existe, elle sont d'un intérêt plus que réduit.
Je met quiconque au défi de savoir ce qui se passe en ce moment au conseil ! Comment vont les finances, les mines, la sécurité ? Les seules informations qui arrivent aux oreilles des habitants d'Oda ne leur parvienne qu'après un téléphone arabe de longue haleine.

Certains s'en complaisent, d'autre s'en plaignent. Et Karzimor faisait partie de cette deuxième catégorie de personne. Aussi, prend elle la décision d'aller au devant des informations. Puisque le conseil ne veut pas venir au peuple, elle doit aller vers le conseil.

Peut-être un jour y aura-t-il en Oda un vrai Porte Parole, qui comprendra qu'il doit autant représenter le conseil que le peuple.

Elle pénètre cet endroit qui lui donne des hauts-le-coeur pour s'adresser à celui qui s'y trouve... s'il s'y trouve quelqu'un d'ailleurs.


Konnichi-wa. Je viens vers le conseil - puisque le conseil ne daigne pas bouger vers nous - avec deux questions.

La première est toute simple : que se passe-t-il en ce moment au conseil ? Est-ce que vous travaillez ou est-ce que vous attendez les prochaines élections ? Comment vont les finances, les mines ? Nous entendons des rumeurs à propos de stock de fer au plus mal. Est-ce vrai ? Quel est votre plan d'action pour contrer cette baisse de stock ? De même j'ai entendu dire que certaines mines fermaient régulièrement. Est-ce vrai ? Si oui quelles mines ferment ? Est-ce que les habitants sont prévenus à l'avance de ces fermetures ?
Bref, je ne demande qu'une chose : que le conseil considère qu'il y a un peuple en Oda et nous parle.


Son sourire est crispé, elle a l'impression qu'Oda ne progresse pas. Mais elle s'est promis de ne pas s'énerver.

Deuxième point : j'ai appris que les frontières d'Oda sont fermées à certaines personnes, contrôlées par l'armée de Testuo. Est-ce vrai ? Et si oui, comment a été choisie la liste des personnes non désirables ? Et cette liste est-elle bien juste ou n'y a-t-il pas certaines largesses accordées ?

Elle attend la réponse, se doutant déjà de ce qu'elle contiendra. Mais elle espère au fond d'elle-même que la réponse lui donnera tort.
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Shaee
La Daimyo est de service ce jour là, lorsque la jeune femme entre dans la pièce pour demander des comptes, de manière tout à fait justifiée, mais un peu agressive. Peu importe.

- Konnichi wa. Quel plaisir de te revoir, après cette longue absence ! J'espère que ta méditation au sanctuaire fut bénéfique à ton âme et à ton esprit... Il parait que l'été est la saison idéale pour tout ça. Je trouve que de plus en plus de personnes choisissent ce moment pour aller vers les kamis.

D'ailleurs, c'est un peu le souci au Conseil, comme partout. Chacun fait un bout du travail de l'autre, afin que tout soit fait comme il faut, mais résultat, on manque un peu de temps pour la communication. Je m'en excuse, car j'ai moi-même senti le besoin de me recueillir, et je n'ai pu assurer la liaison entre le Conseil et le peuple durant ce temps-là.

Nous travaillons, les finances ne vont pas très bien et le stock de fer n'est pas au beau fixe étant donné que peu de personne fréquente les mines. Je viens de relancer l'idée d'Amaterasu-san il y a quelques heures pour essayer de remédier à ce problème, qui est sans doute dû à la saison plus qu'autre chose, car avec un salaire de 15.50 kobans ça devrait donner envie de prendre sa pioche ! Enfin, puisqu'il est vrai que nous avons négligé la communication, et que je suis revenue en forme de ma médiation, je vais m'occuper de faire un petit bilan.


Shaee tente un sourire, qui se veut franc et amical.

Les frontières sont fermées à certaines personnes, en effet. Malheureusement, il y a des gens qui semblent ne pas vouloir le bien de la province, et d'autres, alors qu'ils pourraient aider, refusent de le faire. J'espère que ne pas revoir leur terre les fait réfléchir aux conséquences parfois dramatiques de leurs actes.
Karzimor
Le sourire reste sur son visage lorsqu'elle répond.

Effectivement, un bilan serait utile pour que nous sachions un peu ce qui se passe. Quant au manque de fer, quelle surprise pour un kuni possédant 2 mines de fer. Peut être la gestion des mines n'est-elle pas optimale.

Enfin, il paraît que je suis mal placée pour en parler, donc je vais me contenter de recueillir les pleurs des Oda'jin qui découvrent que leur mine est fermée sans aucune communication préalable.


Le deuxième sujet manque de la faire sortir de ses gonds tant la langue de bois est clairement visible.

Je vois que ma question doit être embarrassante puisque tu n'y réponds pas vraiment mais te contente de faire des allusions bien vagues.

Puisque j'en connais plus sur le sujet, je vais essayer de t'aigguiller en te posant une question simple : qu'est-ce qui différencie les hommes que vous empêchez de revenir de l'homme qui les empêchent de revenir ?

Pourquoi pardonnes-tu à l'homme qui a ruiné Oda en volant plus de 100 000 kobans, mais refuses tu le pardon à tes anciens amis qui n'ont pas volé plus de 5000 kobans ?


Le sourire est crispé, masquant une cruelle déception, partagée par bon nombre d'Oda-jin.

Je sais que tu es assez intelligente pour voir le burluesque de la situation : des Oda-jin empêchés de rentrer en leur terre par un homme qui a volé plus de 100 fois plus que ces hommes !

Et le pire est que ceux que vous empêchez de revenir ont été jugé et ont payé de leur crime par la prison alors que le soi-disant défenseur n'a jamais eu à s'expliquer devant la justice d'Oda !


Elle finit par perdre son sourire.

Je suis désolé, mais la seule chose que je vois dans cette histoire est une vengeance personnelle. C'est ainsi que tu vois ton rôle de Daimyo ? Tu te sers de ton titre pour faire une justice à 2 vitesses, appliquant les doubles peines à certains et accordant le pardon à ceux qui ont créé la crise économique d'Oda.

Non décidément, je ne te suis plus, Shaee-chan, je te pensais intelligente et travaillant pour Oda. Je vois que c'est loin d'être le cas.

Ou alors, est-ce tout simplement que ton titre de Daimyo n'est qu'une façade et que celui qui tient les rênes d'Oda est le chef de cette armée, et non toi. C'est tout ce que je te souhaite, d'être un pantin du plus grand voleur d'Oda, cela te dédouanerait en partie !


Elle n'a pu se retenir tant la situation est grotesque et complètement idiote.

Mais avec un tel comportement, ne vous plaignez pas de constater que le peuple ne vous suit plus. Qui voudrait suivre un tel Daimyo, qui multiplie les décisions sans queue ni tête ?
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Shaee
Tu sais très bien quelle est la difficulté de faire fréquenter les mines. Tu l'as éprouvé en tant qu'Intendante aux mines, et en tant que shomin, alors ne vient pas me parler de mauvaise gestion, alors que tu sais pertinemment que l'été est propice à la baisse de mineurs.

Ensuite, ta question n'est pas embarrassante, elle se veut polémique. Or, je déteste répondre à quelque chose qui n'est demandé que dans le but de créer un conflit.

Tu te trompes qui plus est dans les chiffres. Mes anciens amis comme tu dis, qui ont tenté de m'évincer par tous les moyens possibles et imaginables, allant jusqu'à mentir sur mon compte pour que les gens se détournent, ont volé environ 7000 kobans. J'ai encore les traces des registres, si tu insistes là dessus. Peut-être que Testuo a pillé bien plus, mais lui l'assume, et ne se cache pas derrière des prétextes pour garder cet argent. En outre, il s'avère qu'il défend bénévolement la capitale. L'un dans l'autre, Oda récupère son argent, car tu n'es pas sans savoir que nourrir une armée coûte cher.

Je n'appelle pas ça une double peine. Lorsqu'on veut échapper à la Justice, et à nouveau à la prison pour non respect du verdict du juge, qui était de restituer les biens à Oda, on assume sa fuite dans un autre kuni. Si on veut revenir chez soi et aller de l'avant, on essaye pas non plus de passer en douce, alors qu'on sait pertinemment que l'armée nous recherche.

Pense donc que cela est une vengeance personnelle. Cela fait bien longtemps que j'ai abandonné l'idée de te faire comprendre les choses telles que je les voyais. Ça fait aussi des semaines, que je n'essaye plus de te prouver quoi que ce soit, puisque tu refuses de retirer tes œillères.

As-tu une autre critique non constructive à faire à mon encontre, ou comptes-tu encore déblatérer et me faire perdre mon temps alors que je pourrais être entrain de travailler pour le kuni ?
Karzimor
Le sourire revient et la jeune fille s'incline.

Et bien, je comprends. Je vois qu'effectivement les mouches ont changé d'ânes et que les rôles d'amis et ennemis se sont inversés.

Puisque 7 000 k ont plus d'importance que 120 000 k, pourquoi continuerais-je à discuter ?

Te voir encore une fois défendre Testuo-san, ne fait que renforcer les idées que beaucoup se font de ton intégrité. Il est déplaisant de voir que tu donnes raison à beaucoup.

Juste pour information : pourquoi aucun juge n'a demandé à Testuo de rendre ce qu'il a volé ? Peut être parce qu'il n'a jamais été jugé ? Mais à tes yeux il est plus innocent que ceux qui ont payé pour leur faute par la prison et ont eu le courage d'un procès plutôt que de fuir comme il l'a fait.

Et il n'ont pas eu la chance de voler assez pour monter une armée, eux, donc il sera plus difficile d'avoir le pardon à tes yeux si je comprends bien.

Donc pour ce qui est des oeillères, je me demande laquelle de nous deux à les plus grandes.


Elle se dirige vers la porte.

Et bien soit, je te laisse à ton travail pour le kuni. De toute façon vu que rien ne transparaît de ce qu'il s'y passe, qui pourrait te contredire... ou abonder en ton sens. A bien y réfléchir, un cimetière semble plus vivant que le conseil d'Oda. Et je ne parle pas seulement du mandat actuel !

Avant de partir je ne dirais qu'un chose. Note la contradiction dans tes paroles : tu te plains qu'il n'y ait pas assez de monde pour remplir les mines, mais tu empêches des Oda-jins de revenir en Oda.

Alors, vois-tu, encore une fois je me demande quel intérêt tu défends en faisant ainsi ? Je n'ai vraiment pas l'impression que ce soit celui d'Oda en tout cas.


Elle s'incline une nouvelle fois et disparaît, déçue de ne pas avoir eu tort, déçue de voir qu'encore une fois les actions imbéciles prêtées au conseil s'avéraient vraies et surtout déçue que Shaee n'ait pas vu plus loin que les paroles prononcées.

N'oublie pas d'embrasser Testuo-san de ma part quand tu réchaufferas sa couche.

Ses paroles, prononcées dans le couloir et à voix basse n'auront certainement pas dépasser les oreilles des gardes. Elle n'avait d'ailleurs pas d'autre but.
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Kupi
L'homme entra dans le château qu'il avait connu un peu plus que les autres Oda'jin durant le mandat précédent. En avançant, il croisa Karzimor qui sortait de la chambre de communication. Il allait là. Il fut aussi un peu surpris, et choqué, de l'entendre dire de telles idioties au sujet de la daimyo. Elle devait être bien mal informée, pour croire que Testuo avait pu toucher la daimyo ne serait-ce qu'une fois. Ou alors elle lui en voulait pour autre chose, et essayait de la blesser par de bien basse manière.

    Enfin bon... Les amis ne sont plus ce qu'ils étaient on dirait. Les couteaux sont pointus

Kupi passa le seuil, et s'inclina devant la daimyo toujours présente. Il espérait voir quelqu'un d'autre, mais il allait demander, tant pis.

Konni Shaee-sama, j'aimerais avoir un entretien avec Krendal-san s'il vous plait. Celui-ci ne passe jamais dans son bureau de shomin, alors je me dis que peut-être qu'il passe plus de temps au conseil.
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La première fleur du printemps est la plus douce.
Mari de Cala — Père d'Izumi & Yuki.
Shaee
L'incident était déjà oublié alors que la magicienne quittait la place. Fort heureusement, ce ne fut que l'ancien shomin de Gero qui arrivait, et non pas quelqu'un qui aurait sans doute vu d'un mauvais œil les paroles de la jeune femme - Shaee aurait été bien en peine de calmer celui à qui elle pensait d'ailleurs. Cela lui tira un sourire.

- Konnichi wa Kupi-san. Voir Krendal ? Ma foi je vais essayer de le faire quérir, mais cela fait plusieurs jours que je ne le croise que très peu au Conseil.

La Daimyo fit signe à l'un des gardes, qui partit en quête de la personne recherchée. Le problème était : que faire en attendant son arrivée ?

- Dis-moi, comment t'en sors-tu avec ton poste de greffier ?
Zakari
Zakari, il cours, il appris qu'il y a un endroit où on peut poser les question au conseil, alors il y va, il y va il y va à pied, en courant donc forcement, comme 2+2=4, et bien quand on regarde pas devant soi on se paye forcément quelqu'un.

koniiiiiiiiiiiiiiiiiii, dit il en rentrant dans kupi..
Oups pardon, dit-il à Kupi. Dit pourquoi t'es dans le passage, hein, parce que moi, je suis Zakari le prince de Oda, alors tu me dois place, d'accord ?

Dit dit, c'est toi le le Shan charger de parler avec tout le monde ? ou c'est un Shan plus vieux que toi ?
Kupi
Kupi remercie la daimyo.

Tout va bien, j'ai mis à jour le procès de Zazzera-san avant de venir ici. Je surveille régulièrement le déroulé des procès...

Un petit lui rentre dedans. Outch.

Konni, euh... je suis pas dans... enfin bon, désolé de t'avoir percuté gamin. Je me pousse, là.

L'homme se décale, en souriant à l'enfant.

Ce n'est pas moi qui est chargé de cela non, c'est la dame que tu vois là.

Il se permet de faire les présentations.

Petit, voici Shaee-sama, notre daimyo. Je venais aussi la voir d'ailleurs.
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La première fleur du printemps est la plus douce.
Mari de Cala — Père d'Izumi & Yuki.
Shaee
Shaee s'apprêtait à répondre, ou plutôt, à remercier Kupi, lorsque le fils adoptif de sa sœur fit irruption dans la pièce, et percuta de plein fouet le greffier. Ses paroles lui tirent d'ailleurs un sourire ; le prince d'Oda, rien que ça ?

- Konnichi wa Zakari... Tu as besoin de quelque chose ?
Zakari
Alors moi c'est Zakari. Pas grave t tu pouvais rester là, hein, je rigolais, j'auras du faire plus attention.

Puis il se retourne vers Shaee.

Koni Shaee, oui, je voulais savoir pourquoi, il y a pas de rapport de mine ? Hé pis savoir si les bateaux à la capitale d'Oda faisait des transaction maritime ? parce que le marché est un peu mort, alors on devrait échanger avec les autres régions non ?

Les mines, c'est important, mais après on nous cries dessus quand on doit fermer une mine, mais on c'est pas vue qu'il y a pas de rapport. Hé les numéro sa sert à rien, il faudrait les appeler par mine de fer de... et derrière tu met le nom de la ville.

Hé faudrait aussi nous prévenir d'avance quand les mines fermes, parce que moi je suis trop petit pour la milice, je sais pas nager alors pêcher le poisson je peux pas, après il me reste le sanctuaire, et pis le sanctuaire c'est 5 koban, alors après avec le odun à 6,25 koban, il me reste pas grand chose.
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