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[RP] Défilé d’inauguration – De Glace et de Feu

Princesselaure
[Châteaufort... Ou quand une "Altuchesse" squatte plus Paris que le Bourbonnais Auvergne]


Ou comment simuler une maladie extrêmement rarissime pour rester une journée de plus sur la Capitale ! Le conseil se demandant parfois si elle menait pas un trafic sur Paris... Debout dans la salle de travail de ce castel "gigantestement" Princier! Un scribe étale des mots sur le vélin... Se retenant l'éclat de rire ou la désolation ! Mais il fallait prévenir le BA de son absence ou du moins le Conseil ! Et donner quelques... Consignes ! Une Blonde aussi sérieuse que possible... Mains dans le dos... Petits pas chassés de temps en temps signe de son immense joie de profiter de ses filles !

Bon... Faut qu'on écrive ! Ce soir on est sur Paris avec les Filles... Bon c'est bon ? Alors notez mon p'tit !

Et voilà une blonde qui commence la dictée et se déplace d'un point A à un point B devenant le C ! Non je vous assure c'est cours de "Français" et non mathématiques !

Bon les Formules de politesses... Bonjour Mes petites Duchesses... Ma Brune, Ma Rousse... Non elle vont l'afficher... Rayez... Bailli ! Capitaine ! Oui !

Hum.... Notez cela comme un dernier adieu...Je souffre ! Je meurs ! Paris est féroce... Ceci est un S.O.S ! Sans Oreiller Satiné !

Le secrétaire reléve alors le minois, inquiet !

Mais non mais... C'est pour le plan vous êtes quand même sacrément niais vous ! Allez on y retourne donc... J'étais tranquillement en train de... Travailler au conseil des Feudataires quand une avalanche s'est abattue sur le Louvre, ne me demandez pas d'où venait toute cette neige ! C'est un détail et l'enquête est en cours ! Oui bien ca !

Bref j'étais assise face à une fenêtre somme toute ordinaire, du bois, des carreaux de verre quand le voile blanc ! Le paradis blanc s'est jeté sur moi ! Frigorifiée ! On a du me plonger dans une grosse marmite de cuivre sur le feu ! L'eau bouillonnait comme la soupe à l'oignon de l'autre soir ! Pour que mon corps puisse enfin retrouver des couleurs ! Bon l'avantage c'est que j'ai pas l'odeur ! Mais du coup ordre du Médecin Royal je dois rester alitée jusque... Quelques temps on sait pas encore combien exactement ! Mais pas de panique ! Vous allez gérer !

Valmonte ! Tu es Vice Duchesse ! Amuses toi ! Mais pas trop ! Penses à tout et oublie rien ! Voilà ca c'est des consignes qu'elle comprendra facilement ! Pis Elienore est là pour veiller !

Pensez et priez pour mon rétablissement... Je suis usée... Je ferme les azurs le temps de... Ahhhhh Moi !!! Dommage que l'on puisse pas donner plus de poids encore... On verse du vin ? Des gouttes de sang ? Coupez vous un doigt tiens pour voir.... Tssss z'êtes niais et vraiment austère !

Allez on signe ! SAR LdTdO... Duchesse Mourante Du Bourbonnais & de l'Auvergne


La blonde relit alors le pli ! PARFAIT ! Vachement crédible et tout et tout !

C'est pas mal... Dommage pour l'écriture de souillon... La prochaine fois j'écrirai moi même !

Fin du chapitre...

[Quand l'appel de Paris se fait si fort ! Si puissant ! Si... Bon en voiture Simone ! Marguerite ?! Oui oui !]


Le jour J... Non loin de la maison de couture Nuit Blanche !

Journée parisienne entre la Mère et la fille cadette ! Heure du rendez vous fixée avec Constance mais dépassée de quoi... 15/20 minutes ?! 1 heure ? Pas ma faute c'est Marguerite ! Bref délestée d'un monticule d'écus, un coche chargé de bijoux, vestures et autres étoffes voici donc la mère et la fille qui débarquent dans le prestigieux quartier des Halles et Galeries ! Le coche qui se gare en double file ! Rienàfout on est Princesses on a le droit ! Le devoir ?! Possible ! On s'extirpe alors du coche couleur ébène, l'une est l'autre redonnant formes et couleurs à leur toilette ! L'azur qui chavire... La neige aurait pu être déblayée non ? On remonte alors une partie de sa robe d'or et d'émeraude et on se dirige vers la blonde en se hâtant un peu !

Ah Constance, ma Douce ! Nous sommes là... Tu ne devineras jamais ce qui nous est arrivé... Un ... Euh... L'azur qui glisse sur Marguerite... Air de lui dire, ben aides moi m'enfin... Ses joues se gonflent et les mains se lèvent ... Tsss faut toujours tout faire dans cette famille ! Sanglier ! En plein Paris ! On aura tout vu ! Bloquant ainsi la circulation sur une bonne distance ! Bref l'important c'est que nous soyons là saines et sauves !

Elle n'avait pas menti ! Non ! Jamais à Constance ! Elle le devinerait t'façon !Elles avaient bu un chocolat chaud dans une taverne nommée " Au bon Jambon "... Et le rapport ? Jambon... Cochon... Sanglier... Simple pourtant ! Se mettant entre ses filles, prenant chacune un bras entre les siens.

Bon on y va ou on continue de se cailler ?!

Plus tard elles verraient les premières tenues de la soirée... Notant sur un carnet ce qui pourrait potentiellement se retrouver sur elles ! Maman est d'humeur dépensière les filles ! Pis comme c'est sur le compte du BA ! On y va on se fait plaisir ! Être Duchesse y'a pas à dire ! C'est la classe !
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Thibaud_
Voilà qu’après six mois de règne, l’Empereur commençait à regarder le côté un peu plus amusant de son job. Il sortait plus souvent. Enfin, pour être plus précis, il sortait pour se changer les idées et pour passer des bons moments. Adieu les voyages vers Modène pour des prises de tête entre deux groupes politico-religieux qui se détestent. Adieu les voyages vers Aix-la-Chapelle pour essayer de trouver une solution pour les problèmes de la constitution du royaume Allemand. Voilà que maintenant il voyageait pour des joutes et pour le défilé d’inauguration d’une nouvelle maison de couture parisienne. Qui l’aurait cru ?

Il allait pouvoir faire d’une pierre plusieurs coups. Tout d’abord, il allait pouvoir découvrir une bonne maison de couture. Ça pouvait toujours servir pour faire plaisir. En plus, il avait du mal dernièrement à trouver une bonne adresse. Ensuite, il allait pouvoir passer une bonne après-midi avec une femme qui semblait, à première abord, assez sympa. Ce qui n’était pas monnaie courante dernièrement.

En arrivant à l’endroit prévu, il s’attendait à trouver la marquise l’attendant dehors, telle une cendrillon attendant son prince charmant. Mais non, même pas. Grosse déception. Il décida d’aller à l’intérieur pour voir si elle y était. Mais autant dire qu’en attendant de tomber sur elle, c’était la grosse remise en question sur son charme, sur la signification de la vie et tout ce genre de questionnement inutile quand il la vit de loin. Enfin, plus précisément, il a reconnu son style vestimentaire assez particulier. C’est donc avec un sourire non dissimulé qu’il s’approcha d’elle lentement.

La maitresse des lieux venait de commencer son discours quand il se mit à côté de la Duranxie, épaule contre épaule, et alors que cette dernière était trop occupée à regarder ce qui allait se passer, il dit sans tourner le regard vers elle


Excusez-moi, je suis souvent en retard. C’est un don et une malédiction.

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Rappel: c'est qu'un jeu.
Athenais_
Songeuse, elle avait salué tout ceux de sa connaissance ou qui en avait fait autant. Ne loupant pas, plus particulièrement Carmen et Bélisaire. Elle félicita d'ailleurs le dit Béli pour ses fiançailles. Il faudrait qu'elle parle avec lui d'ailleurs car elle avait quelque chose d'important à lui communiquer. Un sourire à Chiméra et Cornélius avant de revenir à ses rêvasseries.

Elle était du genre satisfaite de voir que les affiches avaient fonctionné. Du monde arriveraient encore c'était certains. Ce défilé n'était qu'un début sans fin de flux de personnes venues là pour observer un talent avéré. Contemplative presque absente quelques secondes quand une voix se fit entendre.

Petit mouvement du menton, coulant ses céruléennes sur la silhouette de l'Empereur venant de fleurir à ses côtés comme une jonquille au printemps.


Allons, en retard, oui et non.
Le retard n'existe que parce qu'on veut bien le dire & le considérer.


Oui Athénaïs est poète par moment et là tout de suite elle était trop absorbé par ce qui allait se jouer pour chipoter concernant un retard qui n'existait pas selon elle. Adoncques il était quand même venu alors que les paris n'avaient rien donné de probant. L'homme devait apprécier le sens du beau tout autant qu'il avait sans doute besoin de s'aérer l'esprit. Ce genre de chose qui vous permet de vivre sans remord, ni regrets. Par plusieurs aspects elle pouvait le comprendre.

Cela dit, excuses acceptées. Après quelques mots sérieux, elle tenta de lui cacher sa moue taquine.

L'épaule contre épaule était un bien grand mot car l'homme faisait facilement une tête de plus que notre Princesse. Il aurait pu en plein soleil lui faire de l'ombre sans trop de difficulté. A l'acceptation du pardon notre jeune femme poussa très légèrement Thibaud lui donnant un petit coup de bras sans volonté de lui faire mal mais plutôt pour appuyer ses dires.

Elle passa rapidement aux présentations avec Sam et Rae histoire de ne pas passer pour la sauvage du coin avant que brusquement les lumières ne s'éteignent plongeant tout le monde dans l'obscurité.

Et merde.


J'allais vous proposer de nous asseoir..
Ah !


La lumière revient doucement.
Bon maintenant on fait quoi ? On va pas rester là comme des piquets quand même !

Et puis les premiers modèles arrivent et Athéna reste statufié. L'artiste surpasse tout, comme d'habitude la perfection est là, le sens du détail, le tissu de qualité, l'étoffe bien travaillé. Non en fait elle n'a plus envie de bouger et coule vers Samaële un petit sourire ajoutant un pouce vers le haut en mode "T'as grave géré !". De fait, l'Irissarri se retrouve à devoir prendre des initiatives s'il veut poser son cul sur une assise confortable.

Les joies de Paris !

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Fathia_
[Sortie entre filles]

Fathia était devenue impatiente à l'idée d'assister au défilé de robes organisé par Samaële. Déjà parce que sa mère lui avait promis une robe pour son anniversaire, dans quelques semaines, mais en plus parce qu'elle pouvait profiter d'une sortie avec Ceriera sans avoir Solveig qui requiérait l'attention de leur mère.

Non pas qu'elle était jalouse de sa petite sœur, elle estimait pleinement normal que sa mère lui dévoue son attention, mais il restait très agréable de pouvoir avoir quelques heures exclusives en compagnie de sa mère.

Avec l'arrivée de la puberté, qui modifiait peu à peu le profil de la jeune fille, elle s'était découverte un attrait pour certaines frivolités qui l'avaient autrefois laissé de marbre. Pendant longtemps, elle s'était habillée pour se cacher, mais la confiance aidant, et le travail de fond de sa mère pour l'aider à s'épanouir, Fathia commençait à envisager de se mettre en valeur.

Elle salua gaiement Samaële, même si elles se connaissaient peu, et sa mère l'entraina vers Manon et Arfie.


Bijour Manon !

Elle répondit à la question de sa mère.

Oui on si déjà croisés !

Pendant que ses parents étaient partis jouer à la guerre.
Elle s'assit, se cala contre sa mère et il n'y eut pas trop le temps de discuter, puisque le défilé se lança, et les premiers mannequins se présentèrent.

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Celeste.bussey
Au-delà du Royaume de France, en terres bretonnes, la nouvelle fut parvenue qu’une nouvelle boutique ouvrirait ses portes prochainement avec, en préambule, un défilé. Céleste s'était bien décidée à s’y rendre, attisée par la curiosité, mais aussi parce que toute femme qui se respecte se devait d’être à la mode comme l’on dit. C’est donc la veille qu’elle était montée dans son coche flambant neuf aux couleurs de ses armoiries, noir et or qu’elle se présenta à la première auberge. Carensa avait souhaité l’accompagné pour être sûre qu’il ne lui arriverait rien. La nuit avait été courte et sans doute l’impatience avait touché la Comtesse qui ne pensait qu’au lendemain.

Arrivée devant l’endroit, elle aperçut de nombreux visages. Il y avait un monde certain et légèrement anxieuse, avec l’aide d’une main tendue, descendit du coche. Arpentant le chemin qui la mènerait à l’intérieur de quelques pas, elle observa tout ce petit monde. Aucun visage ne lui semblait familier, il faut dire qu’avec ce monde… Carensa était restée à l’auberge et c’est donc après avoir remercié son cocher qu’elle pris son courage à deux mains avant de suivre la foule.

S’installant parmi les derniers arrivés, elle prit place dans un petit coin et écouta le début de la cérémonie. La jeune femme qui présentait le défilé semblait avoir un aplomb à en faire pâlir plus d’un. Un sourire s’étira sur le visage de l’Ange Blond, impatiente de voir la suite. Et qu’elle ne fut pas sa surprise quand les rideaux s’étirèrent pour faire apparaitre les premières tenues. Ses yeux émerveillés dessinaient les moindres détails. Céleste était éblouie.

Ce défilé s'anonçait avec de belles surprises, assurément.

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Hivar

    Drôle de début de journée à Honfleur, après une approche comme seule Marihna sait le faire... un soupçon de moquerie agrémentée d’un poil de vérité, le tout saupoudré de tendresse pour faire glisser la demande et voilà l’travail. Que pouvait-il bien faire d’autre que d’accepter?!

    Bon très honnêtement lorsqu’elle lui sortit “Si nous allions à Paris” le Scandinave paniqua intérieurement un court instant, son sang se glaça dans ses veines… la date, la date…. On est le….. Respire Hivar, respire! 21! On est le 21, logiquement on sera le 22 demain.... Et la paix l’envahit et le soulagea en une fraction de seconde. C’est bon j’ai rien loupé d’important. C’est qu’à l’approche de l’anniversaire de leur rencontre il est quelque peu nerveux.

    Son épouse semblait tellement heureuse qu’il ne garda que cela à l’esprit enfin jusqu’à ce qu’elle lui parle de provisions évidemment. Faire la route jusqu’à Paris pour des tenues…. du grand Marihna ça. Enfin soit ! Quand faut y aller, faut y aller et puis il a éviter le pire, l’oubli d’un de leurs célèbres et non moins nombreux “moiniversaires”.
    Et avec ça il fallait se presser si le couple ne voulait pas être en retard et rater la moitié du spectacle. La journée était définitivement chamboulée, tout ce qui était prévu fut annulé à la hâte, sans ménagement.

    Paris… passons sur les détails. L’auberge et leur chambre… les détails croustillants qui s’y sont déroulés ne vous intéressent certainement pas, passons également.
    Le soleil avait fini par prendre congé, il était donc plus que temps pour nos Honfleurais de quitter leur chambre afin de se rendre sur les lieux de tous les dangers, bourses vides ou pleines peu importe elles allaient morfler à coup sûr !
    Il n’était pas dans son élément mais qu’importe tant que sa moitié est à ses côtés, ils entrent là où commence à se presser des gens de tous horizons. Absorbé à observer le lieu, Hivar se prend un coup de coude tout Marihnesque, pourtant aucun son n’était sorti de sa bouche pour une fois. Il la regarde étonné et l’écoute avant de lui grogner un “Hmmm” et de poursuivre


      Je sens que vous allez vous lâcher et que mes écus vont en prendre un sérieux coup. Vous savez que j’ai presque rien amené comme argent, vous pourrez à peine vous payer des gants et encore ptêtre même qu’un seul….

    Il lui sourit d’un air taquin et sauvé par le gong, c’était à leur tour de se présenter aux propriétaires des lieux. Ce qui fut vite fait et les voilà déjà au coeur de l’ambiance, un signe de la main vers l’autre couple Normand bien connu. Et une Aylice sautant littéralement au cou de Marihna qui la salue chaleureusement à son tour, sans même prêter attention au barbu… un sourcil se lève, une moue boudeuse et… nouveau grognement du nordique. Cette soirée promettait d’être looooooooooongue.

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Hersent
la duduche champenoise était tristounette et quoi de mieux sinon une sortie pour assister à l'inauguration d'un nouvel atelier de couture et d'admirer les tenues qui y seront présentées.
L'entrée étant libre, elle franchit le seuil et prit place après avoir salué quelques têtes connues: c'est que recevoir les gens aux Doigts d'Or ou les croiser lors de joutes permettait de connaître, du moins de vue, pas mal de monde.

L'organisatrice et couturière prit la parole avant de présenter ses modèles. Il était évident que l'Ar Sparfel passerait un excellent moment.

Elle applaudit avec discrétion à la présentation des premiers modèles. Ils feraient fureur sous peu, elle en était certaine.
Elle nota sur un petit carnet le modèle qu'elle pourrait offrir à son époux.

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Participe au Challenge RP
Aylice
J'etai vraiment ravie de revoir Marihna...a tel point que j'ai failli lui sauter au cou...
Apres quelques secondes je regardai a nouveau autour de moi...et un grand sourire se dessina quand je vis Hivar.Je m'approchai de lui et lui fit a lui aussi deux bises amicales
tout en me retenant de rire en voyant sa moue boudeuse


Bonsoir Hivar , je suis contente de vour revoir et j'etais loin de me douter de vous revoir
ici.


Voyant que les invités s'etaient pour la plupart installés j'allai me presenter a la proprietiire
puis je revins aupres de mes amis

Puis je m'installer pres de vous ? cela ne vous derange pas ?je suis venue seule

le defilé commençait
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Mangarofw
Yoshi et Manga déboulèrent à Paris.

Après avoir vu l'affiche du défilé de la maison de couture qui aurait lieu ce jour 22 mars à 20h30, mais sans l'adresse, ils s'étaient jetés sur Paris par pure hasard.

Et c'est donc en demandant à tous les badauds, même les plus étranges, qu'ils arrivèrent enfin devant l'enseigne de la boutique de Samaele.... Ce qui impliquait qu'ils avaient bien fait de miser sur la grande ville de Paris.

Hélas et doublement hélas.... Il n'y avait plus personne pour les accueillir !

Bon, ils devaient faire seuls... Soit, après un regard jeté à son mari manga entre dans l'établissement... Elle avise un rideau et le pousse.... Visiblement la boutique...... Mais pas encore le défilé... Peut être étaient ils en avance finalement..... Manga regarda bien partout et avisa qu'il y avait une pièce annexe, peut être même plusieurs, sauf qu'à cet instant seule une l'intéressait... Et c'était donc vers celle-ci que son intuition la guida.... Et d'y pénétrer avec son petit mari...

Le défilé avait donc commencé, puisqu'ils découvrirent trois personnes au milieu d'un semblant de neige et de torches allumées... Le mari et la femme ne voulant pas se faire remarquer, ils s'installèrent sur le banc le plus proche et se mirent en condition pour regarder le travail de Samaele, à savoir que Manga prit la main de son Yoshi dans la sienne...


(hrp je modifierais le post s'il reste une personne à l'accueil comme le mari de samaele ou autre/hrp)
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Marihna
Aylice a écrit:
Puis je m'installer près de vous ? cela ne vous dérange pas ? Je suis venue seule


Oui bien sûr Aylice, viens près de nous... Lui sourit en tapotant le banc juste à côté d'elle...

Et lui murmure ensuite car le défilé commençait


On ne s'attendait pas non plus à te voir ici, quelle bonne surprise
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Samaele
    Tandis qu’elle s’affairait en coulisse, elle réalisa avec un temps de retard ce qu’elle n’avait qu’à moitié percuté à cause du stress au moment des brèves présentations : Athenaïs avait ramené l’empereur. L’empereur ! Quand même, elle aurait pu prévenir ! Que Samaële s’organise… qu’elle embauche un voleur à la tire dans le public, on ne peut quand même pas laisser repartir l’empereur sans lui chiper un truc ! Nan ? Si ? Ouais bon…
    On se calme. On se ressaisit. On se recentre.
    Au moins pouvait-on dire que le public était aussi hétéroclite que la collection, et cela ne pouvait que plaire à Samaële qui tenait absolument à ce que la Maison soit celle des nobles autant que des roturiers.

    Les prochains modèles attendaient juste derrière le rideau, prêt à le franchir au signal de Samaële, qui pour l’instant les inspectait un à un avec minutie. Depuis les coulisses elle était incapable de savoir comment était accueilli son travail, ce qui entretenait le nœud au ventre qu’elle se coltinait depuis le début de la soirée. Pourtant, alors que les premiers mannequins revenaient sur leur pas, elle entendit quelques applaudissements discrets qui firent naitre aussitôt un sourire au creux de ses lèvres, et lui donnèrent un peu de confiance. Elle jeta un œil discret par le rideau, non pour guetter les réactions -elle n’avait pas le temps pour ça-, mais pour synchroniser la deuxième fournée avec le retour des premiers modèles.


    Maintenant.



    Eux même sont suivis de près par deux nouveaux mannequins qui voient les flocons cesser de tomber après leur passage.


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Raymond_de_petrus
Raymond avait cédé à l'odieux chantage de son épouse. Après tout, il était le premier à vouloir qu'elle s'habille en fonction de sa condition de bourgeoise, même si cela signifiait fréquemment devoir mettre la main à la bourse. Ainsi, quelques semaines plus tôt, il lui avait acheté à Alexandrie une de ces tenues orientales indécentes, comme d'autres cadeaux généralement destinés à adoucir l'humeur de Sorianne à son encontre.

Ils se présentèrent ainsi au lieu du défilé, saluèrent les deux personnes à l'entrée, que Raymond ne connaissait pas, et il entraina rapidement son épouse pour aller s'installer. Il apprécia d'ailleurs que le défilé démarre rapidement, car généralement ce genre de manifestations s'éternisait rapidement.

Il répondit à voix basse à son épouse.


Nous verrons bien, le créateur va bien finir par se présenter.

Il s'astreignit ensuite au silence, tandis que les tenues étaient présentés.
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Marihna
Marihna resta bouche bée devant les tenues qui défilaient... Il n'y avait pas le moindre doute, la personne qui les créait avait vraiment beaucoup de talent!

Elle examinait en silence les mannequins passant les uns après les autres, jusqu'à la deuxième "tournée" où le deuxième coup de coude de la soirée fut envoyé, doucement, dans les côtes de son mari chéri. Et elle chuchota le plus bas possible...


Regardez la première dame qui arrive maintenant, sa tenue! Elle est, elle est... splendide! Oh j'espère qu'elle n'est pas réservée à la noblesse...

La rousse était en état de surexcitation devant tant de talent... Mais que lui arrivait-il!? Elle aimait et savait apprécier de belles tenues mais là, elle était épatée...
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Agatha.isabella
Une annonce fut faite. Une annonce fut lu et la curiosité avait poussé Agatha Isabella à faire le chemin jusqu'ici ce jour. Elle était venu seule, sans se soucier de pouvoir au moment du défilé partager son futur enthousiasme ou commentaires avec quelqu'un.
Elle même jeune couturière, elle ne considérait pas comme une des plus douées loin de là et savait qu'il y avait nombre de noms connus et reconnus dans ce domaine. Pouvoir donc assister à un défilé était toujours des plus intéressant et permettait à n'en pas douter de faire son propre shopping! Oui, même si le plus souvent elle confectionnait les tenues qu'elle portait elle en commandait aussi par ci par là!

Elle arrive, reste discrète, adresse de petits sourires clos aux regards croisés. Elle reconnait quelques personnes mais le défilé débute il est donc question de trouver bonne place, elle en saluera quelques uns après ou ... ça commence!

La mâchoire décrochée, les yeux ébahis, les modèles commencent à défiler et Agatha n'en croit pas ses yeux. Elle savait qu'aucunes autres réactions n'auraient pu être possible, elle aurait du se préparer à se trouver une contenance et non à ressembler présentement à une ahurie totalement azimutée...

C'est beau! C'est beau non, c'est juste sublime!!! ... Incroyable...
A peine ce défilé commence qu'elle sait déjà que n'ayant pas tout vu encore elle tentera d'acquérir elle même une de ces tenues!
Les coupes sont parfaites, les tissus et matériaux d'une qualité exquise.
Au fond d'elle, elle espérait un jour atteindre un tel niveau d'artisanat ou juste même l'effleurer du doigt. Cette créatrice était une virtuose...

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❧ CaM ~ Directrice du BAD ~ Conseillère Municipale ☙
Jeannine
Un rabat-joie lui a dit qu'elle ne pouvait pas venir à Paris avec son âne et sa barque à roulettes. Et elle a hésité jusqu'au dernier moment avant de se décider à prendre un coche, trop pressée par le temps.
Paris !
Elle en rêvait depuis longtemps, elle aurait du y venir à l'automne mais le destin en a décidé autrement. Qu'importe là voilà, pour un triple événement. Le défilé, l'allégeance et surtout SA Vittorina. Elle n'a pas eu le temps de passer à l'auberge recommandée par sa pintade, arrivée tard en ville. Avec l'impatience qui la caractérise couplée d'un soupçon de mauvaise foi, elle a engueulé le cocher parce qu'il ne poussait pas assez les chevaux alors que c'est elle qui était partie au tout dernier moment. Elle a traversé la ville sans même la voir pour arriver au quartier des halles et trouver l'agitation devant la nouvelle boutique. Tout juste à l'heure, le défilé n'a pas encore commencé.
Elle descend du coche et se dirige vers l'entrée, salue le couple qui accueille -fort bien habillé, ça donne le ton de la qualité des tenues- et cherche l'italienne en se faufilant entre les bancs, bousculant quelques genoux au passage.


Pardon.. désolée... excusez moi... j'vais voir Vittorina... pardon... Vittorina ?Ah non, excusez moi... VITTORINA ?


Voilà comment afficher la florentine avant même de l'avoir retrouver.

Et pour répondre à cet éclat de voix qu'elle aurait sans doute préféré éviter, la réclamée Alzo s'affaissa doucement sur son banc, ne voulant montrer au tout venant la gêne qui la maquillait à outrance face à son nom ainsi lancé, mais leva tout de même une main, mise en exergue au dessus de toutes ces têtes jolies peignées, et l'agita pour attirer l'attention de la Roche.

Jeannine accoure vers la main qui s'élève et vient poser ses fesses à la place laissée libre sur le banc. Elle regarde un instant Vittorina, le rouge aux joue, et la serre dans ses bras.



Ma pintade, vous m'avez tell'ement manqué ! J'viens juste d'arriver à la capitale, j'ai rien eu l'temps d'voir. La faute au cocher, il s'endormait presque, les ch'vaux avec d'par le fait. Vous m'ferez visiter ? Vous allez bien ? Vous êtes encore plus pintade qu'avant ? Va m'falloir des s'maines avant d'vous r'trouver vraiment ? Savez qu'j'ai pas l'temps ! Vous avez intérêt à tout m'raconter tout c'qui s'passe pour vous. Vous viendrez à l’allégeance ? Vous avez l'droit ? J'veux qu'vous restiez avec moi tout l'temps que j'suis à Paris, que j'puisse profiter d'vous, ca fait trop longtemps.


Jeannine ne lui en laisse pas placer une et déjà le défilé commence. Elle la relâche et la regarde encore un peu, trop heureuse de pouvoir l'avoir à côté d'elle avant de lui lancer :
Ah ! Taisez vous, ça commence !

Petite partie par JD Vittorina

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