Montparnasse.
Venez tous applaudir, à la fin dune idole. [Starmania]
Le mois de mars sachevait lentement. Le soleil encore timide à cette époque venait de sortir de son lit. Laube était encore fraîche. Un premier rayon vient frapper les paupières clause de Montparnasse, mais, bien que ces yeux soit fermé, son esprit était éveillé et ses sens aux aguets. Chaque sons, chaque murmure, chaque plainte, chaque odeur lui semblait décupler, comme si chaque parcelle de son corps essayait de profiter au maximum de ces derniers instant. Car oui, il vivait ces dernières heures. Le garde lavait informé la veille quil serait pendu sur la place publique lorsque le soleil serait à son paroxysme.
Le tintement des fers se fit entendre, on venait le chercher.
Si tôt ? Pourquoi ? Il avait refusé la dernière bénédiction.
Lenfer lattendait de toute façon, à quoi bon soulager son âme ?
Voila plusieurs mois quon avait enfermé le jeune galant dans une cellule à peine assez grande pour quil puisse sétendre à même le sol. Quelques mois qui lui avaient parut une éternité. Enfermé il navait eut de cesse que de compter les pierres qui le séparer de la liberté. Six long mois ou langoisse était son quotidien. Six long mois ou le sentiment que lair se raréfiée létouffait, malgré la petite ouverture sur lextérieur que comporté sa cellule. Six long mois à voir les murs se rapprocher inlassablement. Six long mois à se remémorer ce quil avait foiré. A essayer de comprendre comment il avait échoué sa vie au point de finir ici dans cette geôle froide et puante à attendre quon lui passe la corde au cou.
Attendre
Espérer même.
Espérer que cela soit rapide et sans douleur, car malgré ses fautes, malgré ses erreurs et ses crimes, il estimait avoir assez souffert.
Il estimait mériter cette mort promise.
Pouvoir sétendre dans le grand silence pour léternité. Ne plus avoir mal, ne plus avoir peur. Un paradis assuré, même si il se savait damner à lenfer éternel.
Peu être que le diable nest pas si détestable que ça ? Après tout ya-t-il vraiment une possibilité que la vie en enfer soit pire que sur terre ?
Montparnasse en doutait sérieusement.
Il inspira une grand bouffé dair tendit que les gardes ouvrait la porte de sa cellule et lui passait les fers sur ces membres tremblant. Il se laissa faire. Il voulait en finir.
Il ne s'était pourtant pas laisser faire lorsqu'on l'avait arrêté. Il sétait débattu comme un beau diable, saccrochant désespérément à ce qu'il lui restait. Car il savait ce qu'il l'attendait, et il n'était pas prêt à finir au bout d'une corde. Mais les mois denfermement sans visite aucune avait eut raison de sa volonté. Sa claustrophobie avait transformé le loup en agneau, espérant une mort rapide et sans douleur.
Il avait commencé sa vie seul et abandonné de tous. Il la finirait de la même façon.
Mort de n'avoir pas assez aimé. Mort de n'être pas aimé.
Mais haut les coeurs ! La mort est journée qui mérite dêtre vécu.
Léchafaud était déjà monté. Dressé là sur la place, comme une catin attendant son amant, les cuisses ouvertes, attendant lextase finale.
On lavait lavé, coiffé, habillé de manière décente. Pour sa dernière représentation publique, on avait tenue à ce que le jeune galant soit présentable.
Quelle douce ironie...
Peu à peu une foule danonyme sétait pressé sur la place, prêt à se réjouir de sa mort.
A applaudir peu être ?
Poupée de chiffon, on trimbalait Montparnasse comme on transportait un fut vide.
Car vide il létait.
Son âme il lavait laissé dans sa cellule, et dans les trois dernières lettres quil avait écrites.
Lettres parfaitement identique quil avait laissée à lattention de seules personnes quil avait aimées. Aimer dun sentiment sincère. Son frère ClaqueSous, sa sur Océane, et Vivia Celle qui avait mis fin à tous cela.
Midi tintait déjà au clocher. Le temps avait décider de jouer au farceur en cette matinée. Tout était allez très vite. Trop peu être.
On fit monter les marches de léchafaud à Montparnasse.
Marche après marche.
La tête haute il regardait la foule se presser pour ne rien rater du spectacle quil offrait.
Régalez vous mes amis, prenez-en plein la vue. Cest la dernière fois que vous verrez ma gueule damour. Buvez en jusqu'à plus soif, il ny aura pas de rappel cette fois...
Il nentendait pas les insultes qui fusaient.
Il pensait seulement à ce quil laissait dernière lui
Des souvenirs amères, de nombreux curs remplie de haines
Et trois curs.
Trois curs quil espérait toucher un peu par sa mort.
Sinon cela signifierait quil nétait rien, quil nétait personne... et cela était bien trop dur à accepter. Même pour un être abominable comme lui.
Trois marches.
Trois dernières pensées.
Les trois raisons de sa présence sur cet échafaud en ce dernier matin de mars.
Trois
La première a un joli minois, de belle manière, un cur sensible. Un cur quil a blessé. Et un surnom qui sent bon les embruns marins. Son Océane.
Le poids de son corps se transféra sur sa jambe droite tandis que son pied gravit la deuxième marche.
La deuxième marche pour la deuxième raison de ce quil était devenu. Son petit frère, celui que lon surnommé Claques sous. Petit frère mal née, avec un visage trop gracieux quil a fallut cacher sous un masque pour le protéger des autres. Frère dont il avait vécu le deuil. Frère quil avait tant aimé, et que pourtant il avait abandonné seul face à son destin.
La deuxième marche gravit, il vacilla légèrement en montant la dernière marche.
Ces dernières pensées allèrent à Vivia. Sa sur, son amie, son amour, sa maitresse, la mère de son enfant, la raison de sa présence ici.
Le voila à présent sur léchafaud. Le bourreau passe la corde autour de son cou. On prononce haut et fort la sentence :
- Enguerrand, plus connue sous le sobriquet de Montparnasse : Vous avez était jugé pour avoir sciemment commis des crimes. Les dits crimes étant divers et varié et de sinistre nature: brigandage, pillage, meurtre en la personne d'un noble, enlèvement et séquestration d'enfant, viol, homosexualité...
Vous êtes condamné à ce jour à être pendu haut et court jusquà ce que mort sensuive.
Son regard parcourt une dernière fois la foule. Tous ces visages plein de haine, toutes ces personnes qui veulent sa mort. Il cherche un visage connu...en vain.
Un dernier sourire en coin se dessine sur ces lèvres.
Un sourire torve, cruel, sans cur. Un sourire froid.
Malgré toute les cruautés dont il a fait preuve, il ne regrette aucun de ces actes qui étaient pesé, réfléchit. Il est le seul est unique responsable de ce qui lui arrive. La seul chose qui lui enserre le cur en cette instant, c'est de n'avoir pas sut se faire aimé, et de mourir seul. Il avait réussit à se mettre à dos les trois seul personne qu'il avait pourtant aimé....
Une chose est sur, il aura bien profité de sa vie
On lui met un tissus sur le visage pour couvrir se sourire.
Ce dernier pied de nez à la vie.
La corde se tend.
La mort répond à son appel.
Ce soir il a rendez vous avec la plus chaude des putains.
Ses pieds bascules dans le vide.
La justice avait gagné.
Il part sans un mot, sans un cri.
Enguerrand était déjà mort.
A présent Montparnasse nest plus.
Un monstre disparaît.
Un être abominable de moins sur cette terre.
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Thaliie : Vous êtes un être ignoble Montparnasse.
- [Paris, le 31 mars 1467 - un peu avant midi]
Le mois de mars sachevait lentement. Le soleil encore timide à cette époque venait de sortir de son lit. Laube était encore fraîche. Un premier rayon vient frapper les paupières clause de Montparnasse, mais, bien que ces yeux soit fermé, son esprit était éveillé et ses sens aux aguets. Chaque sons, chaque murmure, chaque plainte, chaque odeur lui semblait décupler, comme si chaque parcelle de son corps essayait de profiter au maximum de ces derniers instant. Car oui, il vivait ces dernières heures. Le garde lavait informé la veille quil serait pendu sur la place publique lorsque le soleil serait à son paroxysme.
Le tintement des fers se fit entendre, on venait le chercher.
Si tôt ? Pourquoi ? Il avait refusé la dernière bénédiction.
Lenfer lattendait de toute façon, à quoi bon soulager son âme ?
Voila plusieurs mois quon avait enfermé le jeune galant dans une cellule à peine assez grande pour quil puisse sétendre à même le sol. Quelques mois qui lui avaient parut une éternité. Enfermé il navait eut de cesse que de compter les pierres qui le séparer de la liberté. Six long mois ou langoisse était son quotidien. Six long mois ou le sentiment que lair se raréfiée létouffait, malgré la petite ouverture sur lextérieur que comporté sa cellule. Six long mois à voir les murs se rapprocher inlassablement. Six long mois à se remémorer ce quil avait foiré. A essayer de comprendre comment il avait échoué sa vie au point de finir ici dans cette geôle froide et puante à attendre quon lui passe la corde au cou.
Attendre
Espérer même.
Espérer que cela soit rapide et sans douleur, car malgré ses fautes, malgré ses erreurs et ses crimes, il estimait avoir assez souffert.
Il estimait mériter cette mort promise.
Pouvoir sétendre dans le grand silence pour léternité. Ne plus avoir mal, ne plus avoir peur. Un paradis assuré, même si il se savait damner à lenfer éternel.
Peu être que le diable nest pas si détestable que ça ? Après tout ya-t-il vraiment une possibilité que la vie en enfer soit pire que sur terre ?
Montparnasse en doutait sérieusement.
Il inspira une grand bouffé dair tendit que les gardes ouvrait la porte de sa cellule et lui passait les fers sur ces membres tremblant. Il se laissa faire. Il voulait en finir.
Il ne s'était pourtant pas laisser faire lorsqu'on l'avait arrêté. Il sétait débattu comme un beau diable, saccrochant désespérément à ce qu'il lui restait. Car il savait ce qu'il l'attendait, et il n'était pas prêt à finir au bout d'une corde. Mais les mois denfermement sans visite aucune avait eut raison de sa volonté. Sa claustrophobie avait transformé le loup en agneau, espérant une mort rapide et sans douleur.
Il avait commencé sa vie seul et abandonné de tous. Il la finirait de la même façon.
Mort de n'avoir pas assez aimé. Mort de n'être pas aimé.
Vittorina : vous êtes un monstre en réalité Montparnasse
Vittorina : je devrais souhaiter votre mort, je devrais prier pour que vous disparaissiez pour le bien être de tous
Vittorina : je devrais souhaiter votre mort, je devrais prier pour que vous disparaissiez pour le bien être de tous
Mais haut les coeurs ! La mort est journée qui mérite dêtre vécu.
Léchafaud était déjà monté. Dressé là sur la place, comme une catin attendant son amant, les cuisses ouvertes, attendant lextase finale.
On lavait lavé, coiffé, habillé de manière décente. Pour sa dernière représentation publique, on avait tenue à ce que le jeune galant soit présentable.
Quelle douce ironie...
Peu à peu une foule danonyme sétait pressé sur la place, prêt à se réjouir de sa mort.
A applaudir peu être ?
Poupée de chiffon, on trimbalait Montparnasse comme on transportait un fut vide.
Car vide il létait.
Son âme il lavait laissé dans sa cellule, et dans les trois dernières lettres quil avait écrites.
Lettres parfaitement identique quil avait laissée à lattention de seules personnes quil avait aimées. Aimer dun sentiment sincère. Son frère ClaqueSous, sa sur Océane, et Vivia Celle qui avait mis fin à tous cela.
- [Paris, le 31 mars 1467 - 12h ]
Midi tintait déjà au clocher. Le temps avait décider de jouer au farceur en cette matinée. Tout était allez très vite. Trop peu être.
On fit monter les marches de léchafaud à Montparnasse.
Marche après marche.
La tête haute il regardait la foule se presser pour ne rien rater du spectacle quil offrait.
Régalez vous mes amis, prenez-en plein la vue. Cest la dernière fois que vous verrez ma gueule damour. Buvez en jusqu'à plus soif, il ny aura pas de rappel cette fois...
Il nentendait pas les insultes qui fusaient.
Il pensait seulement à ce quil laissait dernière lui
Des souvenirs amères, de nombreux curs remplie de haines
Et trois curs.
Trois curs quil espérait toucher un peu par sa mort.
Sinon cela signifierait quil nétait rien, quil nétait personne... et cela était bien trop dur à accepter. Même pour un être abominable comme lui.
Trois marches.
Trois dernières pensées.
Les trois raisons de sa présence sur cet échafaud en ce dernier matin de mars.
Trois
La première a un joli minois, de belle manière, un cur sensible. Un cur quil a blessé. Et un surnom qui sent bon les embruns marins. Son Océane.
- «
Oui Océane, tu fais malheureusement partie des trois raison pour laquelle je gravis ces marches aujourdhui. Cest par toi que tout à commencer. Cest pour téviter un viol que je me suis laissé prendre. Jétais si jeune alors. Un garçon différent des autres. Un être rejeté par sa mère, quun orphelinat na pas sut protéger. Un enfant jeté en pâture à un pervers. Un enfant qui a subit les assauts dun homme avant de reproduire par la suite, le même crime. Lironie na rien à voir la dedans. Seule la perversion est responsable. La perversion et la peur, qui transforme le sentiment damour en haine. Oh mais je ne ten veux pas à toi petite Océane, si je devrais revivre ce moment je ferais le même choix, pour te protéger, même si, je sais que cela na pas était suffisant. Tu as encore dans ce corps trop maigre les séquelles de mes mauvais choix, les séquelles dun traumatisme que jai réussit a atténuer seulement, mais il est encore bien là en toi. Je sais que je suis déjà mort à tes yeux, je voulais seulement te remercier pour lamour que tu mas porté un jour
. Jai fait de mon mieux tu sais.
Mais à lheure actuel, ou la corde semble déjà se serrer autour de mon cou, je ne peux mempêcher de penser à celui que je serais devenue si ce jour là je ne métais pas porté volontaire pour subir les assauts de cet homme. Que ce serait il passé si je lavais laissé sen prendre à toi ? Aurais-je culpabilisé ? Aurais-je finis par le tuer comme je lai fait ? Serais-je allé en prison ou jai subit bien pire encore ?
Toutes ces questions nauront jamais de réponse parce que jai fait un choix ce jour là.
Un choix qui a transformé ma vie.
Le choix de te venir en aide.
Surement le seul et dernier acte de bonté désintéressé dont jai fait preuve. Est-ce la récompense trop amère qui a fait que je nai plus jamais était bon par la suite ? Ou mon âme était telle déjà pourris, et ce geste nétait quun dernier sursaut de bonté avant de sombrer pour léternité en enfer ?
Quoi quil en soit, je tai laissé ce jour là une partie de mon cur.
Prend en soin pour moi, ainsi je continuerais à vivre un peu à travers toi. ... »
Le poids de son corps se transféra sur sa jambe droite tandis que son pied gravit la deuxième marche.
La deuxième marche pour la deuxième raison de ce quil était devenu. Son petit frère, celui que lon surnommé Claques sous. Petit frère mal née, avec un visage trop gracieux quil a fallut cacher sous un masque pour le protéger des autres. Frère dont il avait vécu le deuil. Frère quil avait tant aimé, et que pourtant il avait abandonné seul face à son destin.
- «
Lutécien, jai vécu ton deuil une fois, avant dapprendre que tu vivais encore au détour dune conversation volé. Mon monde sest écroulé pour la deuxième fois à ce moment là. La folie qui rodait autour de moi depuis la nouvelle de ta mort, tel un prédateur autour de sa proie, à put enfin prendre possession de moi. Jai eu un moment de faiblesse et jai perdu pied
Je te sais entre de bonnes mains, cest pour cela que je ne tai pas contacté, mais je porterais toujours sur mon cur la cicatrice de ta mort, dont jétais responsable. Est-ce que jen veux à ceux qui mont caché que tu avais survécu ?
Oui.
Mais ils ont fait le bon choix, parce qualors je serais venue te récupérer et je naurais put toffrir quune vie de débauche et de crimes, car oui je suis coupable de tous les crimes dont on maccuse.
Je crois que tu as perdu la mémoire, aussi je ne reviendrais pas sur tout ce que nous avons vécu tous les deux. Cela est une bonne chose que tu ne ten souviennes plus. Tu mérite la vie que tu as actuellement, tout comme moi je mérite la corde pour ce que je tai fait à toi et aux autres.
Même si jai réussit à te préserver à ma manière, je tai fait bien plus de mal encore. Je veux que tu sache que je taime plus que tout au monde.
La croix sur mon poignet, notre promesse, je lemmène avec moi en enfer.
Jespère ne jamais t'y voir, parce qualors je mesurerais létendu de mon échec.
Prend sois de toi petit frère.
Promet moi que jamais tu ne deviendras pas comme moi »
La deuxième marche gravit, il vacilla légèrement en montant la dernière marche.
Ces dernières pensées allèrent à Vivia. Sa sur, son amie, son amour, sa maitresse, la mère de son enfant, la raison de sa présence ici.
- «
Vivia, tu as fait le bon choix en me livrant en pâture à la prévôté. Je crois quaucun mot ne saurait décrire ce que nous avons vécu toutes ces années. Tu as en toi le fruit de lamour que je te portais. Tu as en toi un fruit que jai essayé de te retirer avec force. Je nai malheureusement pas réussit
Et je me retrouve face à la corde en représailles de ce geste pourtant sensé.
Une femme devient louve quand on cherche à toucher au fruit de ces entrailles.
Puisque le destin à voulut que jéchoue à te retirer ce petit être qui porte mon sang maudit, promets moi simplement que tu sauras le protéger de ce nous avons vécu, le protéger de lui-même. Aime-le. Preserve-le. Ne le laisse pas devenir comme nous. Comme moi. Cela est mon unique est derniers souhait »
Vivia : Je t'aime p'tit con...
Le voila à présent sur léchafaud. Le bourreau passe la corde autour de son cou. On prononce haut et fort la sentence :
- Enguerrand, plus connue sous le sobriquet de Montparnasse : Vous avez était jugé pour avoir sciemment commis des crimes. Les dits crimes étant divers et varié et de sinistre nature: brigandage, pillage, meurtre en la personne d'un noble, enlèvement et séquestration d'enfant, viol, homosexualité...
Vous êtes condamné à ce jour à être pendu haut et court jusquà ce que mort sensuive.
Son regard parcourt une dernière fois la foule. Tous ces visages plein de haine, toutes ces personnes qui veulent sa mort. Il cherche un visage connu...en vain.
Un dernier sourire en coin se dessine sur ces lèvres.
Un sourire torve, cruel, sans cur. Un sourire froid.
Malgré toute les cruautés dont il a fait preuve, il ne regrette aucun de ces actes qui étaient pesé, réfléchit. Il est le seul est unique responsable de ce qui lui arrive. La seul chose qui lui enserre le cur en cette instant, c'est de n'avoir pas sut se faire aimé, et de mourir seul. Il avait réussit à se mettre à dos les trois seul personne qu'il avait pourtant aimé....
Une chose est sur, il aura bien profité de sa vie
Vittorina : vous me faites l'effet d'un chien trop docile qui pourrait montrer les crocs à tout moment
Vittorina : même à la main qui le nourrit
Montparnasse. : je ne suis pas sur d'apprécier d'être comparé à un chien
Vittorina : un chien est pourtant mieux qu'un monstre
Vittorina : même à la main qui le nourrit
Montparnasse. : je ne suis pas sur d'apprécier d'être comparé à un chien
Vittorina : un chien est pourtant mieux qu'un monstre
On lui met un tissus sur le visage pour couvrir se sourire.
Ce dernier pied de nez à la vie.
La corde se tend.
La mort répond à son appel.
Ce soir il a rendez vous avec la plus chaude des putains.
Ses pieds bascules dans le vide.
La justice avait gagné.
Il part sans un mot, sans un cri.
Enguerrand était déjà mort.
A présent Montparnasse nest plus.
Un monstre disparaît.
Un être abominable de moins sur cette terre.
Montparnasse. : le diable nous a créer et nous n'allons pas le décevoir !
Claquesous : toi et moi Engu..contre tout le reste.
Montparnasse. : et que le très Haut les protege tous.
Claquesous : et que le sans nom guide nos pas...
Claquesous : toi et moi Engu..contre tout le reste.
Montparnasse. : et que le très Haut les protege tous.
Claquesous : et que le sans nom guide nos pas...
Merci à tous, jai vraiment passé de très bon moment à jouer avec vous avec mon petit Monty damour. Ce RP est libre, faites vous plaisir, si vous voulez le lyncher une dernière fois..ou pas.
Je mexcuse auprés tous ceux avec qui je nai pas finit le RP. Je métais pourtant promis de tous les finir avant de le tuer Encore une promesse de pas tenue. Jespère vous revoir tous très vite. Bisous cur sur vous !
Je mexcuse auprés tous ceux avec qui je nai pas finit le RP. Je métais pourtant promis de tous les finir avant de le tuer Encore une promesse de pas tenue. Jespère vous revoir tous très vite. Bisous cur sur vous !
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