--Alpaide
En haut de la rue des Ambuleurs
La vie avait repris son cours tranquillement à l’auberge de Montmirail pour elle… le travail ne manquait pas par ces belles journées estivales, les voyageurs ne faisaient que passer et du coup, beaucoup de linge à changer, à laver, de chambres à préparer, de ménage et de repas aussi mais bon elle était contente d’avoir un travail qui ne l’obligeait pas à se traîner dehors par tous les temps, se casser le dos à cultiver ou bien même vendre son corps comme certaines pauvres femmes qui se retrouvaient délaissées par leurs hommes et de surcroît quelques marmots sur les bras.
Il n’en était pas ainsi pour elle, les hommes, c’est elle qui les choisissait et c’est elle qui les répudiait et pas l’inverse quant à avoir des enfants, il n’en était pas question pour l’instant. Sa vie de liberté, elle y tenait trop et puis de toutes façons, elle n’avait trouvé aucun homme digne de devenir le père de ses enfants alors autant profiter de la vie avec ses propres choix.
C’est dans cette optique de vie qu’elle se promenait aujourd’hui dans la ville, un jour de repos que lui avait attribué son patron tout rond si ronchon mais si bon parfois. Faut dire qu’avec elle, il n’avait pas souvent le dernier mot et ce jour là, c’était calme. La petite jeunette employée pendant qu’elle était à soigner les malades avec l’herboriste et son ami Max. - Ami ? Oui c’est comme cela qu’elle le voyait aujourd’hui encore. Elle n’avait pas complètement perdu l’idée de le taquiner et de reprendre le jeu commencé à l’auberge, quand elle l’avait coincé dans un coin de la laverie. Cela fait longtemps d’ailleurs qu’elle ne l’avait pas vu. - Que devient-il ce pauvre Max si intimidé par moi au début et qui est bien sympathique à le connaître malgré quelques mauvais tours déjà de ma part.
Elle remontait sa jupe pour s’aérer en marchant, souriait aux jeunes enfants et aux garnements qui la connaissaient bien maintenant et décida de s’assoire un peu, réfléchir comment elle allait pouvoir relancer son amitié.
Alpaïde pour vous servir.
La vie avait repris son cours tranquillement à l’auberge de Montmirail pour elle… le travail ne manquait pas par ces belles journées estivales, les voyageurs ne faisaient que passer et du coup, beaucoup de linge à changer, à laver, de chambres à préparer, de ménage et de repas aussi mais bon elle était contente d’avoir un travail qui ne l’obligeait pas à se traîner dehors par tous les temps, se casser le dos à cultiver ou bien même vendre son corps comme certaines pauvres femmes qui se retrouvaient délaissées par leurs hommes et de surcroît quelques marmots sur les bras.
Il n’en était pas ainsi pour elle, les hommes, c’est elle qui les choisissait et c’est elle qui les répudiait et pas l’inverse quant à avoir des enfants, il n’en était pas question pour l’instant. Sa vie de liberté, elle y tenait trop et puis de toutes façons, elle n’avait trouvé aucun homme digne de devenir le père de ses enfants alors autant profiter de la vie avec ses propres choix.
C’est dans cette optique de vie qu’elle se promenait aujourd’hui dans la ville, un jour de repos que lui avait attribué son patron tout rond si ronchon mais si bon parfois. Faut dire qu’avec elle, il n’avait pas souvent le dernier mot et ce jour là, c’était calme. La petite jeunette employée pendant qu’elle était à soigner les malades avec l’herboriste et son ami Max. - Ami ? Oui c’est comme cela qu’elle le voyait aujourd’hui encore. Elle n’avait pas complètement perdu l’idée de le taquiner et de reprendre le jeu commencé à l’auberge, quand elle l’avait coincé dans un coin de la laverie. Cela fait longtemps d’ailleurs qu’elle ne l’avait pas vu. - Que devient-il ce pauvre Max si intimidé par moi au début et qui est bien sympathique à le connaître malgré quelques mauvais tours déjà de ma part.
Elle remontait sa jupe pour s’aérer en marchant, souriait aux jeunes enfants et aux garnements qui la connaissaient bien maintenant et décida de s’assoire un peu, réfléchir comment elle allait pouvoir relancer son amitié.
Alpaïde pour vous servir.
