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[RP] Hospital du Maine

Max_premier
Un moment de calme sans cris, sans pleurs, sans tâches et surtout à voir Lillaka se reposer et il en profitait pour se mettre dans un vieux fauteuil près du feu dans la petite pièce du haut, veillant ainsi d’un œil sur l’entrée où Kessy faisait ce qu’elle pouvait mais surtout toujours à proximité pour aider Lilla, de plus en plus pâle, si fragile.

La nuit s’était passée ainsi, entrecoupée de soubresauts, de cauchemars, l’oreille tendue puis épuisé, il refermait les yeux et se disait encore un petit moment, la nuit est noire encore. Mais l’aube arriva vite et il fut étonné mais heureux de voir Bradwen aller bien mieux.


Bonjour Bradwen et merci mais attention, n’en faites pas trop, vous êtes encore fragile. Pas le temps de s’inquiéter plus, il devait repartir mais s’arrêta net quand le paysan lui annonça une colombe et un message. Il le remercia de la tête et déroula le parchemin. Cela lui était adressé et un moment le soleil rentra de plein fouet dans la pièce à moins que ce ne soit dans son cœur. C’était sa belle tribunette qui lui écrivait. Il s’approcha de la fenêtre et prit le temps de tout lire, apprenant par cœur chaque ligne, souriant béatement.


Myriam11 a écrit:



Mon coeur,
Je suis si heureuse de te savoir en bonne santé, j'ai si peur pour toi. Notre petit Clément commence à sourire, je lui parle souvent de toi, il sait que son papa l'aime de tout son coeur, il est trop petit pour comprendre tout, mais ressent déjà tout l'amour que ses parent lui porte. Il est si beau, si calme comme toi mon amour. Je l'embrasse pour deux, sachant qu'il doit te manquer, mais son coeur ressent ton amour, j'en suis sûre, je le vois dans ses yeux quand je lui parle de toi. Je t'attendrai toute ma vie, sans toi elle n'a plus de sens. Reviens vite, je sais que pour le moment tu dois être débordé mais j'ai appris à être patiente.
Montmirail est vide, les ruelles désertes, la peur est palpable. Je reste chez nous pour protéger Clément, j'évite les rencontres mais nous nous promenons parfois près du bois avec les chiens.
Je t'embrasse de tout mon coeur, j'imagine tes baisers ardents, tes mains douces, la chaleur de tes bras...tu es si loin de nous.
Je t'aime. Ta future qui garde espoir grâce à notre rayon de soleil.
Myriam


Le moment de quiétude fut furtif mais si revigorant. Il rangea dans son gilet le doux parchemin, se promettant d’écrire en retour dès qu’il le pourrait, pour l’instant des cris se faisaient entendre et il tendait l’oreille pour savoir d’où ils venaient.
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Cilou73


Dans sa chambre


Il lui fallu un moment pour remettre ses idées en ordre....
Ordonner tout les évènements de ces jours derniers...
Ses démangaisons, les hospices , la variole
...

Je vous remercie Bradwen
.

Buvant de cette eau tant espérer.

Il la trouvait drôle et plus elle même ? la maladie l'avait sans nul doute plus affectée qu'il ne semblait car le paysan se leurrait une fois de plus à son sujet.


Vous semblez bien mieux aussi. Il me tarde de rentrer chez moi.
Lillaka


Dans l'officine de Lillaka

Lillaka était débordée, il était facile de le voir... l'hospital débordait de patients, de plaintes, et de mourants...
Elle était épuisée également, ses traits tirés, sa peau couleur d'opaline semblait encore plus blanche qu'à l'accoutumé, seule sa chevelure de feu et son visage constellé de tâche de rousseur donnait un peu de couleur à sa silhouette vétue de noir...
Elle avait passé de nombreuses heures, de nombreuses nuits dans son officine à travailler à des potions et autres élixirs pour, si ce n'est guérir, il ne fallait point trop se faire d'illusion, au moins soulager les patients...
Elle avait besoin d'aide, cela était une évidence... et surtout de repos...

Alors qu'elle avait convié ses amis Tak et Lys dans le coeur de l'hospital, cet officine pas encore vraiment installé correctement. Elle avait demandé à Max de les rejoindre... Elle s'adressa à eux d'une voix douce, tout en remplissant de petites fioles d'un liquide sombre qui reposait dans un petit chaudron...

Les petites fioles sont pour vos enfants... les 3 plus grandes pour vous...
Lys, tu sais que tu peux me faire confiance... je confectionne cet élixir depuis la dernière pleine Lune... il repose depuis la dernière nouvelle Lune, ce soir alors qu'elle est denouveau ronde, il a suffisament décanté...
Cela ne vous protègera pas d'un contact direct avec les plaies purulantes de la petite vérole, ni ne peut guérir une personne atteinte par sa simple absorbsion... par contre il aide à renforcer et à protéger... il aide à combattre à condition de vouloir combattre la variole...


Elle marqua une pause en regardant Lys dans les yeux, son regard vert perçant cherchant dans le regard de son amie l'accord et la compréhension de ses propos...

Certaines plantes qui le composent sont très rares et je n'en ai que très peu... de plus sa préparation est très complexe et longue... je ne peux malheureusement en préparer pour tout le Maine... j'ai cependant élaboré un autre élixir moins puissant avec des plantes plus faciles à se procurer mais qui aide à soulager les patients et qui les aide dans une moindre mesure à garder des forces contre la maladie...
leur corps et leur volonté doit faire le reste...

Accompagnant ses paroles d'un geste de la main, elle montra un second chaudron de grande taille...
Irella


Dans la chambre du petiot


Irella s'approcha de la couche de l'enfant et s'assit sur la chaise qui jouxtait. La poitrine de Lyderic se soulevait régulièrement, seule preuve que la vie l'habitait encore.

Lyderic, J'ai apporté avec moi un livre. Oooh, pas celui des vertus, non, j'ai pensé que tu voudrais plutôt écouter un conte.
Te plairait-il d'entendre celui de Berthe au grand pied?


Elle regarda l'enfant... et sortit le manuscrit de sa besace. Elle tourna quelques pages et sourit.

Nous y voilà!

Lorsque Pépin le Bref décida de se marier, ses conseillers partirent en quête d'une fiancée de bonne noblesse dans divers pays. Mais le roi ne parvenait pas à faire son choix. Jusqu'à ce qu'un trouvère qui avait parcouru une bonne partie du monde vînt lui chanter la beauté de Berthe, fille du roi de Hongrie, aussi intelligente que fine et sage. Elle n'avait qu'un seul défaut : l'un de ses pieds était trop grand.



Les pieds restent cachés sous les jupes», se dit le roi. «Qu'on amène donc Berthe à Paris!


Irella raconta la suite, le manuscrit posé sur ses genoux.
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--La_sixieme_plaie


Dans la chambre du petiot

Les paroles d'Irella émurent Pierre. Il savait que, si son fils les entendaient, il devait les apprécier. Certes, il ne s'attendait pas à ce que la diaconesse lise un conte. Il pensait même que le discours aurait été teinté de mots plus... religieux. Mais après tout, était-ce là l'important ? En acceptant de soulager ainsi les dernières heures, voire les derniers jours de Lydéric, Irella ne lui donnait-elle pas ainsi sa bénédiction pour que Dieu, Christos et Aristote acceptent le petit au Paradis ?

Pierre se rapprocha de la diaconesse alors que celle-ci terminait son récit.

Un "merci" sortit avec difficultés de sa bouche.

Merci pour cette bénédiction. Je suis certain maintenant que mon fils sera accueilli au paradis les bras ouverts. Je vous suis extrêmement reconnaissant de l'aide que vous nous avez apportée.


Pierre regarda un fois encore son fils. Il lui semblait voir une esquisse de sourire à la commissure de ses lèvres. Cette illusion ne trompa pas point le mayennais.

Reportant son attention sur la diaconesse, il invita celle-ci à la raccompagner jusqu'au presbytère.





A l'hospital du Maine

Le matin qui s'était levé avait, une fois n'est pas coutume, apporté au moins une bonne nouvelle dans cet hospital qui respirait le malheur, la mort... mais aussi l'abnégation au travail et l'entraide devant la difficulté. En effet, pour la première fois depuis que la maladie était passée au niveau d'épidémie, pour la premier hier, le nombre de patient se présentant à l'hospital était identique au jour d'avant. La variole commençait-elle à s'essouffler dans le Maine et ne devait-on voir là qu'un effet du hasard ? Cette stabilisation allait-elle se poursuivre ? Nul ne pouvait encore le dire. Quoi qu'il en soit, tout signe allant dans le bon sens ne pouvait être que salvateur pour Max et Lillaka.
Bradwen


Dans la chambre de Cilou

La réponse de la meunière parut décevoir le paysan. Il ne s'attendait visiblement pas à ce que Cilou quitte aussi rapidement l'hospital. Bradwen essaya de cacher sa déception.

Ah... euh... Oui...mais j'pense quand même qu'vous devriez voir Lillaka avant d'quitter l'hospital.

Le paysan semblait s'affairer à brasser du vent à droite à gauche dans la pièce, mal à l'aise.

Bon.... ben... vu qu'vous allez bien, j'pense qu'j'vais vous laisser vous préparer pour rentrer à vot'moulin.

Bradwen s'apprêtait à sortir de la chambre, marqua un instant d'hésitation comme s'il ne savait pas s'il allait ajouter quelque chose, puis se retourna.

Dame, si z'avez b'soin d'quelqu'un pour vous raccompagner chez vous, j's'rais en bas dans la salle commune...

Sur ces mots, il referma la porte derrière lui et descendit les escaliers sans grand entrain.
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Precio
La Consule hésita un moment avant d'entrer dans ce qui lui paraissait être une officine. La jeune femme n'en pouvait plus de ses quintes de toux qui la secouaient de plus en plus. Elle s'était préparée au pire en partant de Bretagne pour rejoindre Albi où elle était attendu par ses pairs herboristes et ses deux amis médicastres qui voulaient tenter sur elle un traitement dont elle ne pouvait bénéficier en Breizh. Le chirurgien que son maréchal de mari dont elle était séparée depuis bientôt cinq mois, lui avait envoyé avait diagnostiqué une maladie des poumons que son organisme fragilisé avait contracté suite au climat humide breton et sans doute ses voyages chez les angloys et dans les landes écossaises n'avaient pas du arranger la chose.
La pression constante sous laquelle son époux la maintenait continuellement n'avait pas non plus été pour prêter main forte à la jeune femme. Mais celui-ci était pris dans son avancée en Provence et Precio se souvenait encore de la honte qu'il lui avait faite devant ses hommes. Mais la jeune femme sous les regards qui en disaient long et qui n'osaient affronter celui de son maréchal d'époux , au lieu de monter en calèche pour voyager avait de colère éperonné son destrier et galopait depuis à travers la campagne en direction d'Albi.
Seulement le voyage allait être long et éprouvant et choquée par l'attitude indigne de son époux, la jeune femme en avait oublié toute prudence, renvoyant même le capitaine Paddy, chef de son escorte écossaise chercher sa fille au duché de Retz en calèche lui enjoignant l'ordre de la rejoindre sur Albi.
Elle ne savait même pas si elle arriverait à destination et avait même du s'aliter quelques temps chez les moines.
Le douanier d'Alençon qui était le fils d'une amie à elle avait toléré son passage sur ces terres mais la jeune femme savait qu'elle devait désormais continuer sa route.
Elle ne souhaitait pas vraiment faire état de sa personne et de ses différentes charges et c'est en respirant avec difficulté que Precio entra dans l'officine afin de se faire prescrire quelques herbes et de soulager ses douleurs durant le voyage qui s'avérait encore fort long.

Elle poussa donc la porte et essorant légèrement sa robe trempée par les pluies diluviennes qui tombaient en ce moment, elle attendit patiemment, réprimant du mieux qu'elle le pouvait les quintes de toux qui la secouaient.

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Lillaka


Dans l'officine de Lillaka

La jeune herboriste attrappa 4 des fioles un peu plus grande et tout en prononçant quelques mots pour elle même en vérifiant le contenu des fioles à travers la lumière de la bougie, puis en tendit une à Lys, une autre à Tak, ainsi qu'une à Max, gardant la 4ème pour elle.
Le goût ne vaut pas celui de mon hypocras, mais les vertus n'en sont point les mesmes. Il convient de tout avaler d'un trait et de ne point boire ou manger pendant une demi-heure...
Puis souriant à ses amis, elle porta la fiole à ses lèvres, et en avala le liquide les yeux clos, comme concentré sur la sensation...
Cependant, une fois que ses amis eurent à leur tour avaler le contenu de la fiole, alors qu'elle avait rouvert ses yeux, Lillaka eut un léger malaise, portant sa main à sa teste, se raccrochant au bras de son amie, vacillant légèrement... l'épuisement se lisant sur son visage..
Irella


Dans la chambre du petiot.


Le conte terminé, Irella se leva et sentit Pierre s'approcher derrière elle. Elle prit la petite fiole d'eau bénite qu'elle avait apporté et fit couler quelques goutes sur le front de l'enfant.

Que la bénédiction du Très-Haut descende sur toi et y reste toujours.
Amen


Irella fit un signe de croix. Déjà le Mayennais la pressait de partir. Elle eut juste le temps de dire au revoir à l'enfant qu'il l'avait poussé dans le couloir.
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Yvondelaroulette
Yvon attendait toujours dans la grande salle d'entrée aux côtés de sa jumelle qui continuait d'accueillir les nouveaux malades. Il y avait décidément beaucoup de monde et se sentait un peu coupable de venir ainsi déranger la médicastre. Mais elle voulait être sûre que sa grossesse se passait bien.
Une jeune femme arriva avec des quintes de toux et elle pensait qu'il na s"agissait pas de la même maladie.
Comme sa sœur, elle était admirative devant les miracles de la médecine, et elle était fière que Kessy s'engage dans cette voie.
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--La_sixieme_plaie


Dans la chambre du petiot

Milles mots, un geste... pour le salut d'une âme. Puisse Dieu me donner l'occasion de vous remercier un jour au nom de mon fils diaconesse.

Mieux vaut maintenant que vous ne restiez point trop longtemps dans cet hospital. Je m'en voudrais beaucoup de vous avoir rendu malade.

Sur ces paroles, Pierre descendit les escaliers pour raccompagner la diaconesse à la sortie.
Bradwen


Dans la salle commune

Sitôt descendu, Bradwen avait entamé son travail auprès des malades, donnant de l'eau par-ci, aidant une personne à se déplacer par-là. Le paysan ne connaissait vraiment rien de rien en médecine (comme en beaucoup d'autres matières d'ailleurs), mais il essayait de faire de son mieux pour se rendre utile.

Faisant le tour des cheminées, il s'assura que le feu était vigoureux dans chacune d'elle, dut alimenter quelques-unes...

Les malheurs de ces pauvres gens le troublait. Le mal semblait frapper particulièrement les plus démunis, ceux que la vie n'avait pas ménagé jusqu'ici. Tous les âges étaient représentés, du bambin au vieillard.

Certes, le paysan n'était pas encore entièrement remis et l'efficacité de son travail s'en ressentait. Il y avait une activité auquel il décida de ne pas prendre part : la sortie des corps et leur crémation à l'extérieur, au bucher allumé spécialement pour se débarasser des victimes de cette épidémie. Le paysan avait encore en mémoire le travail qu'il avait du accomplir du côté du chemin de Melleray et il ne souhaitait plus revivre pareille expérience.

Parfois également, il renseignait les nouveaux arrivants et les guidait à l'intérieur de l'hospital. Le paysan constatait également que le flot des nouveaux venus avait diminué car quelques places commençaient à se libérer dans la salle commune.
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Max_premier


Dans l'officine

Les cris s'étaient arrêtés et c'était tant mieux, il faut dire que depuis la veille, une douleur intense lui vrillait les tempes et il sentait par moment ses joues qui s'échauffaient et pour une fois ce n'était pas faute de s'être fait attraper en disant quelconque ânerie ou bien sous le joug d'une donzelle impertinente.

Il avait suivi pourtant le remède de Lillaka à la lettre, avalant en grimaçant les fioles préparées. Il n'avait rien voulu lui dire et préparait discrètement les quelques traitements qu'il connaissait pour combattre fièvre et fatigue à base de plantes et de racines connues. Mais ses connaissances étaient loin d'être à leur maximum. Quand elle lui avait demandé de le rejoindre dans son bureau, il allait lui dire mais happée par les urgences et par l'arrivée de Tak et Lyse, il s'était dit que cela pourrait attendre, il était fort et là devant le léger malaise de la médicastre, il pensa qu'il avait eu raison.

Il fit signe à Tak de la tenir sous une épaule et lui même de l'autre, il pensait qu'il fallait qu'elle se repose, contournant le moindre reproche.


Lillaka, reposes toi, un petit peu, juste un petit peu. Si tu es trop faible et que tu tombes, tu ne seras plus utile à personne. On va faire au mieux.

Il avait pris soin de rabaisser le tissu de sa manche quand celle-ci s'était soulevée, car les quelques points rouges apparus n'auraient pas permis que Lillaka écoute la voix de la raison.

Bradwen va bien mieux et apparemment Cilou aussi, ils se sont l'un et l'autre soutenus et soignés et maintenant, il aide ainsi que Kessy. Je vais aller voir sa soeur jumelle, lui disant qu'il est préférable qu'elle revienne dans quelques jours, si elle n'a pas de douleur particulière, la contagion étant encore trop importante ici pour son étati. Et je vais distribuer ce qui est fait d'élixir aux personnes de la salle commune. A ton réveil, nous en refabriquerons d'accord ?

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The_undertaker


Dans l'officine


Comme Tak le pensait, Lillaka presumait de ses forces et son léger malaise ne faisait que le confirmer.

Il avait bu la petite fiole au goût si .. "delicieux"...
Il avait aidé Max à allonger la dame .

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--La_sixieme_plaie


Dans la chambre du petiot

Au moment où Irella quittait l'hospital du Maine, une teste sur un oreiller de paille tourna de la droite vers la gauche. Les poumons accélèrent leur travail, accompagnés par quelques battements de paupières. La gorge était sèche, l'estomac était vide. Les plaies sur les bras avaient temporairement cessé de saigner.

Un rayon de soleil entra par le fenestre et frappa droit dans les yeux de Lydéric. Celui-ci les ouvrit. Pour la première fois depuis plusieurs jours, le petit mayennais reprenait conscience.

Son regard se promena de droite à gauche, du haut vers le bas. Le petit est faible. Il n'avait pas la force de se lever et son inquiétude grandissait à chaque instant car il ne savait point où il se trouvait.

Tendant l'oreille, Lydéric entendit un grondement sourd provenant d'en dessous. Il se trouvait à l'étage d'un bastiment inconnu. Personne ne l'accompagnait. Où était donc sa mère ? Son père ? Ses frères ? Ses soeurs ?

Le petit essaya de se mettre sur ses pieds. En vain. Il sentait un grande faiblesse en lui. Il avait soif, très soif !

Maman ! ... papa !

Maman ! ... papa !

Maman ! ... papa !
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