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[RP] Hospital du Maine

Max_premier
Il avait mis plus de temps que prévu, arrêté dans son quartier par des querelles qu’il aurait aimé vouloir éviter mais c’était ainsi… Il devait aussi protéger les gens qui lui étaient chers, ce qu’il fit. Quand il revint essoufflé avec tout le nécessaire pour soigner au mieux la demoiselle. Il trouva là, la couverture ensanglantée mais plus de jeune femme.

Mais qu’est-ce qui c’est passé ici ? Quelqu’un lui a porté secours peut-être pendant mon absence… j’espère que cette personne sait y faire car le garrot que j’ai posé ne doit pas rester longtemps en place, sous peine qu’elle perde sa jambe. Et dire que je ne sais même pas son nom…
Il ne pourrait donc lancer aucun avis de recherche par le biais des maréchaux de service.

Dépité, il remballa tout son matériel, récupéra le cheval qui s’était mis à l’abri des grands murs, toujours attelé à la charrette. Il faisait trop sombre pour qu’il puisse décharger tout ce qu’il avait amené, il verrait plus tard. Pour l’instant il lui tardait de repartir chez lui, il s’en voulait, il n’avait pas réussi à assumer sa tâche… Ses doutes ne le quitteraient pas pendant quelques temps encore sûrement. Main sur le licol, le voilà reparti rue des Ambuleurs avant de rejoindre au chaud sa belle qui apprécierait sûrement de le récupérer plus rapidement que prévu.
_________________
Flidrissela
Idrissela venait d'arriver dans le Maine. Elle si jeune, se retrouvait seule. Son père était mort. Il l'avait élevé seul, refusant de refaire sa vie.
Voilà six mois que cette jeune fille de quinze ans errait sur les routes, se maquillant outrageusement pour se vieillir, croyant se mettre ainsi à l'abri et dissimuler sa fragilité.

Cela faisait deux jours qu'elle était là dans cette ville du Maine, ville dont son père lui avait dit qu'il y avait eu des attaches mais qu'il les avait fui. Il n'avait jamais voulu y revenir et voila que elle foulait désormais la terre de Montmirail.

Idrissela souleva la tête de vit les hauts murs de l'hôpital, un chantier mais personne n'y travaillait. Intriguée, elle entra.


*Pourquoi il n'y a lus rien ? Pourtant les gens qui souffrent il y en a. J'ai vu des vagabonds couchés dans le froid dehors. Moi même je préférais travailler et dormir ici plutôt que dans la masure mal chauffée que j'ai trouvée*

Elle continua son inspection tout en réfléchissant au sens de la vie.
Swanhilde.


Mal aux pieds ! Qu'est ce qu'elle avait mal aux pieds. Swan avait marché longtemps sur les chemins en venant de Vendôme. Elle avait fait un petit tour, monter jusque dans le nord le long de la mer. Impressionnante la mer mais pas autant que les fjords suédois et ses falaises acérées. Nostalgie dans le coeur de la petite nordique.

Du haut de ses quartoze ans, presque 15 d'ailleurs, elle trainait les pieds. Elle se sentait bien seule sur ces routes. La langue des françois, elle la comprenait assez bien mais parfois pour parler, elle cherchait ses mots. C'était difficile surtout dans le brouhaha des tavernes.

Ce matin-là, elle s'était arrêtée sur le chemin, glacée jusqu'au sang. Elle n'avait pas dormi de la nuit. Cette présence qui la suivait ne la rassurait pas. Peut-être qu'Igor avait fini par la retrouver au fin fond de ce pays ? Nan c'était impossible ! Quelle idée saugrenue.
Puis un craquement de branches trop près d'elle la fit sursauter. Deux hommes masqués débouchèrent d'un talus et se précipitèrent sur elle.

Swan se leva, se posta devant eux, dégainant une épée fraichement travaillée. Jamais servie, la lame fit des étincelles contre celles des brigands. Malgré la lourdeur de l'arme, la jeune fille s'en sortait bien mais pas assez pour soulever celle-ci et empêcher le coup d'estoc qui s'abattait sur elle. Swan sentit le sang chaud couler sur sa peau. Ce n'était même pas la douleur qui la faisait trésaillir mais l'odeur du sang trop souvent arrivée à son nez.

Elle s'enragea et fit mouliner l'épée devant ses adversaires. Très vite les brigands ne demandèrent pas leur reste. Ils étaient face à une petite furie et celle-ci ne semblait pas posséder assez de biens que pour qu'ils risquent leur vie minable. Ils détallèrent comme des lapins.

Néanmoins, la blessure de Swan lui fit tourner de l'oeil. La ville n'était plus très loin. Il fallait qu'elle arrive à s'en approcher et trouver de l'aide. Trainant encore plus les pieds, la jolie suédoise arma sa volonté et rejoignit la capitale.
Quémandant de l'aide auprès de passant, elle finit par trouver ce qui devait être un hôpital. Elle s'écroula à genoux à l'entrée de la bâtisse.

Aidez moi ...

Le sang avait taché ses cheveux et sa chemise, il provenait de sa gorge.
Flidrissela
*C'est décidé, j'irais à l'auberge en attendant de trouver une maison convenable, cette masure que j'ai trouve n'est vraiment pas assez chauffée!*

Idrissela continuait de fureter partout.

*Tiens cette pièce serait parfaite pour entreposer du linge....Cela serait celle des malades....*

Elle allait et venait, meublant et organisant l'hôpital. Idrissela revint vers la porte d'entrée pour mieux repartir dans l'autre bâtiment quand elle entendit

Aidez moi ...

Elle se précipita vers la voix et vit une jolie jeune fille couchée par terre. La jeune fille avait ses vêtements tous ensanglantés

- Mademoiselle, vous...êtes blessée!!

Bien sur qu'elle était blessée, elle n'avait surement pas mis du sang sur elle pour faire joli et elle ne se roulait pas terre pour admirer le ciel. Les gens avaient toujours des réflexions bêtes et malheureusement Idrissela ne fit pas plus preuves de réflexion et d'originalité. Disons que c'est surement la panique qui rend sot parce que là, elle était paniquée la jeune dame de quinze ans. Elle qui n'était qu'un bébé en quelque sorte devrait surement sauver une jeune fille qui devait avoir son âge. La Idrissela était dans de beaux draps.

- Où êtes-vous blessée ?

Ah !! Enfin une question intelligente. La jeune fille récupérait son sang.froid.
Swanhilde.


La jeune fille entendit des pas résonnant sur les pavés de l'entrée. Dans un soupçon de force, elle parvint à se rouler sur le sol et à se mettre sur le dos. Elle ravala le goût du sang qui pénétrait dans sa gorge. Ce n'était pas la première fois que Swan goûtait à son propre liquide carmin. Elle se souvenait de l'orphelinat où elle avait toujours vécu et les coups qui se perdaient souvent pour un rien. Heureusement que Svan l'avait emmenée avec elle quand elle s'était fait la belle. Svan ... pourquoi l'avait elle laissée maintenant ... ?

Puis apparut au dessus d'elle telle un ange, une belle jeune femme dans des habits blancs comme le divin, de belles boucles, un visage clair tel de la porcelaine. Elle était comme irréelle. Swan entendit sa voix, hésitante et douce. D'abord elle n'avait pas compris ce que l'ange disait puis elle entendit :

"Où êtes-vous blessée ?"

Aucun son ne sortit de la bouche de Swan alors elle porta sa main jusqu'à sa gorge. Celle ci était entrecoupée. La blessure n'était pas belle à voir et le sang avait noirci près de la plaie qui semblait avoir arrêté de laisser couler le sang.

Etait ce vraiment un ange ? La vue de Swan s'éclaircit progressivement et elle put voir une jeune femme écarquillant les yeux devant la situation ...
Flidrissela
Idrissela penchée sur la jeune fille comprit rapidement ce qui se passait. La première réaction de pnique surmontée, son intelligence lui était revenue.

- Ne parlez pas ! L'hopital n'est pas ouvert et je ne suis pas médicastre mais je vais m'occuper de vous comme je peux. Je ne connais personne ici et je ne saurais pas où m'adresser pour vous soigner. Acceptez-vous que je m'occupe de vous ? faites un signe de la tête.

Idrissela ne s'y connaissait pas tant que cela mais soigner une plaie,elle savait faire surtout que celle-ci ne coulait presque plus. Pas d'hémorragie,elle pouvait donc la soigner mais Idrissela voulait son accord avant de continuer.
Swanhilde.


Swan écoutait les paroles de la jeune femme. Celle-ci se proposait de la soigner. Mais pourquoi posait elle la question !!! Il n'y avait personne d'autre dans cet endroit abandonné. Tout démontrait qu'il n'y avait pas âme qui vive dans cet immense endroit.

Le sol glacé transperçait ses vêtements. Peut-être n'était ce pas que le sol mais la fièvre qui lui faisait ressentir ses faiblesses.
La jeune femme bougea la tête pour affirmer qu'elle acceptait l'aide de la belle mais lâcha un cri de souffrance par ce geste. La plaie s'ouvrit à nouveau légèrement, laissant filer une larme de sang.

Machinalement, la main de Swan se porta à sa gorge et son corps se crispa sous la douleur. Il fallait qu'elle s'entraine avec cette arme pour que jamais plus on ne la touche ...
Ann_maelenn


Slowenia arriva en titubant avec son arme brisé dans la main, son ventre saigné abondamment, elle avais besoin de soins et vite.
Slowenia s'écroula sur le sol.
--Simeon_le_juste


Le jeune homme était en plein préparatif dans l'atelier qui se trouvait derrière les jardins. Quelques plantes séchées à broyer, de la liqueur à préparer pour les sirops, et encore des baumes à la cire d'abeille pour les mains cailleuses des mineurs.

Versant délicatement un liquide verdâtre dans une fiole, un cri retentit jusqu'à lui. C'était un cri de souffrance sans aucun doute.
Soulevant la jupe de sa robe de moine, il courut dans les couloirs afin de retrouver d'où venait l'appel. Des voix se faisaient entendre, en provenance de l'entrée.

Un regard surprit de voir trois femmes dans l'entrée, dont deux qui semblaient blessées et couchées sur le sol, Simeon se précipita vers elles.

Mais que se passe-t-il ici ? Qui êtes vous ?

Son regard continua à fléchir sur les deux agonisantes.

Par Aristote mais elles sont dans un piteux état ! Vous ... s'adressant à Idrissela. Vous n'avez rien ? Alors aidez moi ! Nous allons les porter jusqu'à la salle d'à côté, on ne peut pas les laisser dans ce froid.

Il souleva la femme blessée au ventre, laissant Idrissela tenter d'emmener la jeune Swan avec elle.
Ann_maelenn


Slowenia n'avait ni la force de se relever ni de parler, elle avait froi et fut soulager de constater qu'on l'emmener dansune autre piece qui seraitcertainement plus chaude. Elle avait horriblement mal au ventre et elle lutait pour ne pas tomber dans l'inconscience.
Sasousem
le soldat sasousem passa pour voir swan et entendit un cri et courra



je vais vous aider attention doucement


et cria

[/b]il ya pas quelqu' un qui puisse nous aider
_________________
Flidrissela
Idrissela aida à installer les blessées. Miraculeusement il y avait des lits dans une pièce avec des matelas mais sans draps et la pièce n'était pas chauffée.

Idrissela installa la jeune fille qui était blessée à la gorge, un homme aidait l'autre blessée en compagnie d'un soldat.

Idrissela s'adressa à l'homme


- Êtes-vous médicastre ou infirmier ? Pouvez-vous soigner ces jeunes femmes ? Moi je ne suis ni l'un ni l'autre, je me promenais simplement. J'ai seulement un onguent cicatrisant sur moi, un onguent dont je mesers pour mes mains. Je travaille à la mine.
--Simeon_le_juste


Une fois les personnes installées, Simeon s'approcha d'Idrissela et lui tendit un linge pour essuyer ses mains en sang. Il réfléchissait à comment s'en sortir dans une telle situation.

Non demoiselle, je ne fais que préparer certains remèdes, je suis ce qu'on peut appeler un pharmacien. J'ai déjà vu les médecins aider les gens. Je vais faire de mon mieux mademoiselle mais je vais avoir besoin de vous !

Il ramassa des linges dans un panier, ceux ci semblaient propres. Il alla poser un épais linge sur le ventre d'une des femmes et lui dit d'appuyer dessus. L'autre avait la moitié de la gorge tranchée. Néanmoins ça ne semblait pas trop profond et le saignement c'était calmé. Il s'adressa à nouveau à Idrissela.

Je m'appelle Simeon, pouvez vous les rassurer quelque peu le temps que j'aille chercher du matériel et des potions ?

Puis il disparut dans l'entrebaillement de la porte.
Flidrissela
-Heu... je m'appelle Idri...

Et hop il était parti et Idrissela n'avait même pas eu le temps de lui dire son nom. Elle appuyait sur le ventre de la dame comme il le lui avait indiqué.

- Avez-vous mal ? est-ce-que je vous fait vous fait du bien ?

Bien sur Idrissela n'attendait pas de réponse, quand on a mal on a pas envie de faire de conversation mais la jeune fille pensait qu'il ne fallait pas que ces femmes voient le temps passer

- Je m'appelle Idrissela et je viens d'arriver en ville. Je me promenais et j'ai vu l'hopital et je suis entrée.

Elle chuchotait presque, se disant que le bruit était néfaste, ainsi en parlant à voix basse, les femmes pouvaient s'endormir si elles le voulaient. Idrissela ne savait pas que le sommeil est dangereux pour une personne qui est blessée.
Ann_maelenn


Slowenia ouvrit les yeux, elle était maintenant dans une une autres piece, couchée sur un lit. Elle le va les yeux et esquissa un sourire pour la jeune femme penchée au dessus d'elle. Slowenia avait horriblement mal mais elle sentait que son sang ne coulait plus a abondament.
Elle n'avait pas encore la force de parler mais elle remercier interieurment de tout coeur ceux qui s'occupaient d'elle.
Puis elle tournit la tete sur le lit d'a coté ou était couchée une femme bléssée a la gorge. Combien de temps ce cauchemar va t-il durer ?
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