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[RP] Hospital du Maine

Missocean
missocean prend son fils dans ses bras et l embrasse...
lui dit murmure 'bienvenu mon petit coeur alexandro' te voici enfin nous t attendions impatiemment.tu es beau comme ton pere que tu verras plus tard.
miss es soulage et regarde lolo merci mon amie je vais mieux je suis maman...quelle joie .embrasse lolo et slo.
Timi20
timi rentre en courant et vit miss puis vien près d'elle
Ann_maelenn


Slowenia étant censé etre gravement bléssé retourna sur la pointe des pieds dans son lit...
pour faire plus vrai elle dit : AIE
Elle entendit murmurer le medecin...il aller la saouler et la charcuter !!!!!
Slow se leva d'un bond de son lit :
-Je suis guéris merci pour tous docteur

Slo courut vers la sortie en hurlant :
Ils vooooooooont meeeeeeeeee tuuerrrrrrrrrr !!!!!!!!!!!!!

Slowenia revint chercher les chope de cervoises et reparti en courant.

-aaaaaaaaaaaaaaaaaa


vous avez un MP
{joker}
Flidrissela
Vu que ce délire est devenu du n'importe quoi, Idrissela aussi partit en courant.
--Simeon_le_juste
J'ai une solution héhé !!!




Simeon se réveilla brusquement. Il était dans son bureau, regardait tout autour de lui mais rien, les femmes n'étaient plus là ... Son rêve avait commencé normalement, il s'y serait cru, vraiment ! On lui demandait de l'aide, des femmes étaient blessées, une autre était en pleine forme et l'aidait pour soigner ... Cela paraissait si réaliste jusqu'à ce qu'une des blessées grâves se leva, accoucha d'un bébé et s'en alla le ventre en sang, courrant comme une jouvencelle au printemps ! Son assistante improvisée fit de même puis tout devint flou.

Quel rêve ! Simeon se leva de son tabouret, vérifiant ce qui avait pu lui donner de telles hallucinations ! Il regarda la fiole sur son bureau. Apparemment cette nouvelle expérience était hallucinogène ! Vite ... prendre note ...

Se précipitant pour prendre la plume qui ornait l'encrier près d'un carnet déjà bien rempli, un cri vint du couloir ...

On se calme, Simeon. Ca doit être le fruit de ton imagination et ce songe n'a fait qu'amplifier ton anxiété, c'est évident ....

Un nouvel appel provenant du fond de l'hôpital fit tressaillir le pauvre Simeon. Il abandonna l'idée de noter pour aller voir, non sans appréhension, à l'entrée de l'hôpital. Une jeune femme était penchée sur une autre à terre ... quelle drôle de sensation de déjà-vu ...
Flidrissela
Idrissela releva la tête quand elle entendit approcher. il y avait donc une personne dans ce chantier ? Pourtant l'hôpital était en construction, rien n'était fini. Surement un vagabond qui s'était installé ou bien, il y avait une autre entrée et que l'homme venait de l'autre rue.

Elle serra la main de la blessée. Pourvu que l'homme ne soit pas agressif.
--Simeon_le_juste


Le bureau du jeune moine était la seule pièce plus ou moins finalisée dans la construction. Il faut dire que Simeon avait la main à la pâte et avait été pressé de pouvoir continuer ses recherches. Toutefois, il manquait une porte à ce lieu, ce qui lui permettait d'entendre les bruits environnants.

Il passait ce qui serait sûrement le couloir d'entrée. Seules les dalles étaient placées sur le sol, d'un beau marbre blanc. Dans son rêve, tout était déjà fini. Un lieu splendide mais bien vide. L'hiver, les maçons et autres charpentiers étaient appelés pour couper du bois et travailler dans les champs ou les étables. Le chantier en était arrêté. Vivement le printemps se disait Simeon en se frottant les mains dans le froid ambiant.

Les lieux étaient censés être désert. Surpris d'ainsi voir ces deux personnes présentes sur le sol pavé, il se précipita.

Par Aristote ! Que se passe-t-il ici ? Qui êtes vous ?
Flidrissela
- Qui suis-je ?

Idrissela leva la tête effarée. elle ne s'attendait pas à être apostrophée de la sorte et encore moins à trouver un moine.


- Je suis une damoiselle qui se promenait et regardait l'avancée des travaux quand cette jeune fille est arrivée. Elle est blessée à la gorge, il faut vite la soigner mais cet hôpital est vide, en construction. Je ne sais que faire. Et vous que faites-vous là ? savez-vous soigner ? Parce que moi, je ne sais pas. Je suis musicienne pas infirmière.

La jeune fille avait reprit du poil de la bête en parlant.

- Y'a-t-il un coin où l'on peut la mettre à l'abri du froid à défaut de soins ?
Anatheo
...Ana rentra dans l'hôpital elle attrapa la première personne qu'elle vit par le bras...

Excusez -moi de vous attraper comme ça !! Bonjour, je suis Anathéo de Honfleur la Belle, je cherche un médecin !!
Je pars aujourd'hui en voyage mais je me sens mal !!
S'il vous plait...


...Elle s'assit sentant arriver un malaise...
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Flidrissela
Idrissela ne laissa pas au moine le temps de répondre et s'adressa à la dame

- Je suis navrée madame, ici n'est pas un hôpital. Il est en travaux.. Pas fini. Donc il n'a a ni médicastre ni infirmier ni médicaments ni même un lit. C'est juste un chantier. je ne comprends pas que personne ne le voit et j'ai sur les bras une jeune fille blessée et je ne sais pas quoi faire.


Au moine, elle ajouta

- Il faudrait qu'on fasse une petite cellule pour s'occuper des malades en attendant que tout cela soit fini.

Elle soupira, complètement dépassée par les évènements
Anatheo
...Ana se releva, remercia la dame et sortit, elle partirait comme cela en voyage, cela devait juste être un vilain rhûme...
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Max_premier


Montmirail de la rue des Ambuleurs à l’hôpital quand une épidémie menace.
Max était fatigué, il avait apporté à l’aide de sa charrette tout le bois qu’il avait abattu et mis de côté dans son appentis pour cuir son pain ; de toutes façons, il ne pourait plus travailler à son échoppe avant quelques temps. Il nourrissait ses bêtes car il ne pouvait faire autrement et juste après, il courrait de la rue des Ambuleurs à cette vieille bâtisse qui avaient un temps été laissée à l’abandon et dont il fallait reprendre dans l’urgence les travaux.

Il y a peu, chemin de Melleray, une jeune femme avait été trouvée morte par un pauvre paysan Bradwen. Il n’était pas du tout médicastre mais ce qu’il découvrit le fit réagir rapidement. La femme était parsemée de plaques rouges à brunes formant quelques cloques. Le paysan avait alerté la médicastre Lillaka qui s’était rendu au plus vite sur les lieux. Lui-même les avaient rejoints et ils avaient dû se résigner à brûler le corps mais les circonstances de la mort et le fait que Bradwen avait pu par ses différents contacts répandre cette maladie avait décidé Lillaka, le chargeant lui son assistant de remettre l’hôpital en route, et de prévenir des personnes de confiance.

Rue des Ambuleurs, il avait fait plusieurs messages comme le lui avait demandé Lillaka, pour Gaélant, Aubane, Lys et les autres membres du quartier. Parchemins avaient été laissés à quelques gamins débrouillards qui rendaient souvent service à Max contre quelques piécettes.

Et le voilà maintenant levant la tête pour voir le travail qu’il restait à faire.


Bon allez Max, faut pas te laisser aller… D’abord on va faire du feu dans les cheminées pour assainir tout ça et y mettre de l’eau à chauffer. Je vais laver pièce par pièce et ensuite j’irai voir si je peux trouver quelques paillasses à défaut de lit digne de ce nom. Aussitôt dit, aussitôt fait. Le travail l’aidait à ne plus penser aux derniers mots de Lillaka, il ne devait pas s’approcher de Myriam de peur de la contaminer ou l’enfant qu’elle portait. Il secoua la tête et reprit de plus belle.
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Bradwen
Chemin faisant depuis la rue des ambuleurs marchants, Lillaka flanquée du paysan Bradwen arrivèrent alors à l'hospital du Maine.

Bradwen n'était jamais venu en ce lieu, mais il ne put que constater l'ampleur du travail qu'il restait à réaliser pour pouvoir accueillir ici une quantité importante de malade.

Entrant dans le bâtiment, le paysan aperçut max qui se démenait comme un beau diable pour essayer de rendre le lieu fonctionnel.

Max ! Nous voici ! Not' médicastre n'm'a pas confirmé qu'j'étions malade... et elle n'm'a pas confirmé qu'j'pourrais voir l'jour d'mon prochain anniversaire d'naissance. Alors, en attendant, si j'puis être utile à quelque chose ici, dites-le moi.... A la vue de c'qui a à faire, j'suis ben sur que j'peux vous être utile quelque part...
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Lillaka
Bradwen avait devancé Lillaka dans la bastisse, pendant que celle-ci commençait à décrocher les sacoches de selles...
Elle rejoignit les hommes à l'intérieur, adressa un sourire à son assistant en train de faire de son mieux pour mettre d'applomb l'hospital...

Contente de te voir Max, comment te sens tu ?
Tu as bien avancé, mesme s'il reste à faire..
Il faut que nous installions la partie officine pour commencer à préparer des potions et autres onguents... Pour cela nous devons trouver une pièce adéquate, si possible que l'on puisse aéré facilement, avec une cheminée également, et qui en été puisse rester fraiche... Idéalement, je dois pouvoir de cette pièce accéder facilement aux autres, mais il faut tout de mesme qu'elle ne soit pas visitable facilement... je ne veux pas que les patients puissent y rentrer sans y estre convié au risque d'estre interrompu dans un dosage...
Et bien évidemment il faut qu'elle puisse estre suffisament grande pour y mettre une table, des étagères, et une armoire sous clefs...
Max as tu repérer des pièces qui pourraient estre acceptable ?

Ensuite, Bradwen, pourrez vous allumer un feu si cela ne vous dérange pas ?
Max, pourras tu m'aider à déballer le nécessaire ?
Bradwen
Le paysan acquiesça d'un hochement de teste à la demande de la médicastre. Aussitost, il laissa Lillaka et Max deviser ensemble et se mit à la recherche du réduit qui devait contenir le bois de chauffage.

Dans la cour, le vent s'était levé et l'hospital aurait bien vite besoin d'estre réchauffé. Bradwen hasta le pas en direction du réduit. A peine eut-il ouvert la porte qu'un chat noir en sortit poussant au passage un miaulement plaintif.

Le paysan faillit lancer un juron en voyant la créature, mais il se rappela les leçons de sa pastorale.

Nous sommes tous des créatures de Dieu... Ouais....mesme toi, l'chat noir, t'es une créature d'dieu... Alors, tu dois point être l'suppot d'la créature sans nom. Si t'es une créature d'Dieu, tu peux point porter malheur, hein ?

Le réduit était sombre, mal aéré. Bradwen alluma une torche qui se trouvait accrochée au mur. Ayant repéré des ouvertures dans le mur, Bradwen alla ouvrir les volets pour y laisser pénétrer la lumière. Aussitost, toute une famille de rats s'enfuirent à la recherche d'une pénombre plus rassurante.

Maudite vermine.... Bon sang l'Christos, peux-tu ben m'dire pourquoi Dieu a voulu créer des animaux aussi répugnant qu'ça ? J'déteste les rats !

Ayant découvert la réserve de bois de chauffage , le paysan fit plusieurs allers et retours pour alimenter les différentes cheminées de l'hospital

Peu à peu, les pièces devinrent plus chaleureuses, plus accueillantes. Une fois la dernière cheminée crépitant sous les assauts des flammes, le paysan s'assit. Il sentit un léger frisson traverser tout son dos. Son travail l'avait fatigué. La sueur gouttait de son front. Chaud... froid... Le paysan ne savait plus comment trouver le confort.

Bradwen avait besoin de reprendre des forces. Dans la pièce d'à costé, il entendait Lillaka et Max deviser de concert. Il savait que les jours qui allaient suivre aller estre difficiles si la maladie se déclenche réellement et il voulait estre en pleine possession de ses moyens pour supporter les médicastres de Montmirail.

Alors que le paysan allait se relever, il entendit l'appel qui parvenait de l'entrée de l'hospital...
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