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[RP] Hospital du Maine

--La_sixieme_plaie
Ainsi donc le Maine avait officiellement déclaré la présence sur son territoire d'une épidémie de variole, ou petite vérole, sur son territoire. L'annonce de la régente avait éveillé l'attention de la population. Tout à chacun avait surveillé qui ses fièvres, qui ses maux de tête, qui l'état de sa peau.

Ils étaient venus de partout : de Montmirail là où la maladie avait fait son apparition. Du Mans, de Laval, de Mayenne... Ils avaient en nombre convergé vers l'hospital du Maine, et tout à chacun patientait à l'entrée du bastiment attendant de se faire ausculter afin d'être rassuré.

A l'hospital, Lillaka et Max n'avaient pas tardé à être débordé par l'afflux de patients. Mais une chose était sure : l'épidémie progressait dans le Maine. Le nombre de personnes sous surveillance augmenta de manière importante. Plusieurs cas durent même être soigné au sein même de l'hospital, un hospital qui n'était pas encore prêt à recevoir autant de patient...
Max_premier


A l’étage

Oui Lillaka, j’avoue que je me pose des questions quant à la suite des opérations, quand je vois le nombre de personnes qui arrivent et en guise d’accueil, je ne peux que les faire patienter car je dois courir pour le feu, pour l’eau. Il nous faut de l’aide mais qui ? Qui serait assez fort ou assez fou pour venir prendre un tel risque ?

Gaélant ? ben non, c’est vrai, je lui ai dit d’attendre dans l’entrée et puis j’ai continué mes affaires et quand je suis remonté de l’officine je l’ai plus vu. Au fait, j’ai préparé un chaudron du produit que tu avais fait chez feu Casablanca pour tout désinfecter, je ne sais pas si j’ai bien fait, mais comme cela devait refroidir.

Lillaka, lui expliqua ensuite ses constations, le pauvre homme le clerc qui avait peur de mourir, serait donc condamné.
La petite vérole ? Tu en es sûre ? Dis moi ce que tu veux que je fasse alors, je veux en finir au plus vite avec ça, je suis très inquiet pour Myriam et notre futur enfant, Alphaïde m’a dit des choses qui m’ont inquiété tout à l’heure et là je vois la nuit bien avancée, je ne pourrai encore la rejoindre mais elle sait, que c’est important que je ne l’approche pas en cas de menace de contagion, j’espère juste qu’elle va bien.



Près du bureau et de la salle commune

Il accompagna Lillaka, la laissant rédiger une missive pour avoir de l’aide, il en profitait pour mettre de l’eau à chauffer, on en a toujours besoin, pensa-t-il quand Lillaka le rejoint pour lui annoncer la mort du pauvre clerc dans la salle commune. Il avait compris et s’en alla dans la cour à l’arrière allumer un feu, ce n’était malheureusement pas la première fois qu’il faisait ça et sûrement pas la dernière mais il pria pour que malgré tout ce le soit.

Ils s’accordèrent alors un temps de repos, le lendemain serait encore chargé. Mais il commença de manière tout à fait heureuse car Max reçu un pigeon de sa promise. Elle lui annonça qu’il était père.


Myriam11 a écrit:



Mon amour, tu es l'heureux père d'un merveilleux petit garçon. Il est la joie de ma vie. Je comprends que tu ne puisses venir nous rejoindre, prends soin de toi et de Lillaka...elle a besoin de toi...Montmirail aussi. Tu me manque, je ne sais si tu reviendras un jour, mais saches que ton fils est aussi merveilleux que toi. Je ne t'oublierai jamais...
Je t'aime, nous t'aimons. Reviens vite.
Ta future. Myriam


Entre la joie que tout aille bien pour Myriam et qu’un fils était né en bonne santé et la tristesse de ne pouvoir les rejoindre, Max préféra prendre le bon côté des choses et alla annoncer à Lillaka la bonne nouvelle, ce serait la seule de la journée, car peu de temps après, un à un des patients venaient à l’entrée, les uns seulement par peur du moindre point rouge sur leur peau, les autres réellement angoissés de voir des plaques les parsemer.

Il fit de son mieux pour placer les personnes dont il avait vraiment des doutes dans la salle commune et les autres réparties dans l’entrée ou dans la petite salle de consultation de gauche. Profitant d’un temps de pause, il prit un parchemin et une plume et répondit à Myriam.


Citation:


Mon Ange,

Tu ne sais pas le bonheur que m’a donné ton message ce matin. Il sera le rayon de soleil de tous mes jours loin de vous et je prie que cette épidémie s’arrête au plus vite pour venir vous rejoindre et vous embrasser. Tu m’annonces un petit garçon merveilleux et pour connaître sa mère, je n’en ai aucun doute. Embrasses le pour moi et dis lui combien je l’aime déjà. Je fais au mieux pour venir au plus vite t’embrasser toi aussi.
Ma belle tribunette, tu me manques toi aussi. Je t’aime… Il me tarde tant de vous retrouver.
Max ton tendre futur époux, si tu veux bien encore l’attendre.


Le parchemin donné à un enfant devait aller rejoindre la rue du Bois au n°5 où il l’espérait la mère et l’enfant se portait comme un charme, ne prenant aucun risque ni pour l’un ni pour l’autre.

Venant près du bureau de Lillaka, il l’attendit pour aller avec elle l’aider à fabriquer l’élixir tant attendu.
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Kessy..
Kessy suivit donc son interlocutrice dans la salle de consultation. Elle s'assied sur le tabouret et posa ses béquilles à terre.
Elle entreprit de défaire son bandage, puis sourit à la jeune médecin :

Comme vous voyez ma cheville a repris une couleur normale et elle a dégonflée, mais sans vos herbes et votre onguent, la douleur revient...
Vous pensez que je vais vite guérir ?

Kessy la regardait toujours et souriait puis se lança :
J'admire ce que vous faite et j'aimerais entreprendre des études de médecine, savez vous où je peux me renseigner ?
--La_sixieme_plaie
Jean dit le jeune à cause de son visage angélique et bon enfant avait été le premier dans la longue file d'attente de la journée. Jean avait toujours un sourire à offrir à ses congénères, quels que soient les circonstances. Ce sourire contrastait étonnamment avec la carrure d'armoire normande du bonhomme. Il faut dire que, sans être attardé, Jean n'était pas quelqu'un dont on put dire qu'il avait de la finesse d'esprit, mais il était un brave et honnête travailleur qui contribuait à sa façon au rayonnement de son comté.

Jean avait fait tout le trajet de Laval où il habitait jusqu'au abord de Montmirail pour se rendre à l'hospital. Il avait entendu qu'il fallait bien surveiller le moindre bouton rouge qui apparaissait sur soi. C'est ainsi que Jean avait pris la route... pour aller montrer à l'hospital ses nouveaux boutons rouges sur sa chemise de travail afin de s'assurer que ceux-ci ne présentaient pas de danger pour sa santé. Il était comme ça Jean le jeune ! Certains diront excentrique, d'autres diront benêt... Toujours est-il que l'inspection qui fut menée à l'hospital révéla tout de même la présence sur les bras, le dos et le visage de points rouges, signes que les pustules de la variole étaient sur le point d'éclore... Comme quoi même les simples d'esprit étaient sous la protection d'Aristote dans le Maine !

A son grand désappointement, Jean le jeune n'eut pas son congé et de l'hospital et fut placé dans la salle commune en attente de voir comment la maladie évoluerait.

C'est ainsi qu'on apprit que l'épidémie n'était pas circonscrite à la seule ville de Montmirail...
Cilou73


Dans la chambre de Cilou


S'allongeant, se relevant, s'allongeant de nouveau, déambulant dans la pièce, Cilou ne parvenait à trouver sa place.
Elle avait chaud, puis froid, grelottant comme si elle était à nouveau coincée dans son moulin durant le grand hiver...Puis , ses joues brûlaient ensuite comme si elle se trouvait en plein bûcher...
Des petits boutons apparaissaient sur son corps...
A force la fatigue la gagna et elle finit par s'endormir sur sa chaise.
Lillaka


Dans la salle de consultation

Lillaka examinait la cheville de Kessy tout en écoutant ses questions, le brouhaha au dehors se faisait entendre... l'annonce de l'épidémie par la Régente avait été lu et beaucoup venaient pour une consultation, certains pour des symptômes réels d'autres pour estre rassuré.
Cela va prendre un certain temps, il faut que vos os se ressoude correctement, et si vous vous server de vostre jambre cela n'en sera que plus long et plus douloureux...

Pour ce qui est des études de médecine, vous pouvez vous renseigner auprès de l'université pour ce qui est de la théorie... pour la pratique l'idéal est de faire vostre apprentissage auprès d'un médecin.

Si vous voulez vraiment savoir si ce métier vous plait, mais avec les risques que cela comportent, j'ai grand besoin d'aide en ce moment à l'hospital avec le début d'épidémie de petite vérole.
..
Bradwen


A l'étage, dans la chambre de Bradwen

Seul dans sa chambre, à attendre que cette malédiction veuille bien laisser sa place, Bradwen commençait à trouver le temps long. Du rez-de-chaussée, provenait un brouhaha continu, signe évident que ce n'était pas l'activité qui manquait icelieu. Bradwen s'en voulait de ne pouvoir aider à résorber la crise. Il n'était qu'un poids mort en ce moment, il n'avait rien à faire si ce n'est laisser son corps combattre la maladie avec l'aide des estranges élixirs de Lillaka.

Cherchant à passer le temps plus rapidement, le paysan se décida à aller frapper à l'un des pièces de l'étage



Devant la porte close de la chambre de Cilou

Ne sachant pas si la meunière dormait, le paysan se fit discret en frappant à la porte.

Dame... z'êtes là ? C'te Bradwen ! Ca va bien ? .... J'me disais qu'si vous étiez comme mouais, vous d'viez trouver l'temps ben long... Et vu qu'on s'est point parlé pendant presque deux mois, j'me suis dis qu'on pourrait profiter de c'te temps-ci pour discutailler un peu...Z'en pensez quoi ?
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--La_sixieme_plaie
Dans la salle commune, le nombre de malades probables avait considérablement augmenté au point que l'on pouvait trouver la pièce... encombrée. Intimement mélés, il y a avait là des gens de tout âge, de toute condition sociale, des hommes, des femmes, des enfants...Visiblement la maladie n'épargnait personne.

Les malades avaient rapidement compris que le personnel de l'hospital était débordé et que pour s'en sortir, il fallait faire preuve d'esprit d'initiative. Aussi, une organisation spontanée fut rapidement mise en place. Les personnes qui se sentaient suffisamment en santé participaient aux tâches journalières : maintenir le feu dans les cheminées, se relayer pour aller puiser l'eau et la mettre à disposition dans les différentes pièces du bastiment, prévenir Lillaka et Max des personnes qui nécessitaient une auscultation ou des soins.

Ce va-et-vient contribuait certes à décharger Max et Lillaka de tâches pour lesquels ils n'avaient plus de temps, mais il favorisait également le contact non désiré entre tous, augmentant ainsi le risque de dispersion de la maladie.

Mais les choix qui s'offraient à eux étaient limités. L'hospital n'était pas encore prêt à recevoir un tel nombre de patients simultanément. Qui plus est, seuls Lillaka et Max étaient aptes à prodiguer des soins...

C'est dans ce capharnaum indescriptible qu'un homme de forte corpulence franchit la porte du bastiment, portant dans ses bras un enfant qui ne devait pas avoir plus de 10 ans...
Cilou73
Elle dormait paisiblement , un sommeil réparateur , sans rêve ni cauchemard...
Le réveil lui fut plus chaotique...On l'appelait et la mégère sursauta...tombant de sa chaise dans un grand fracas....


Aïe !!!!!

La position sur sa chaise n'était guère confortable pour dormir, son corps endolorie devait maintenant compter sur une chute qui lui vaudrait quelques bleues...
Bleues qui viendraient contraster avec ces tâches rouges...


Bradwen ?!...C'est vous ...?...Euh...ben...entrez...


Réajustant sa robe, et ses cheveux, remettant sa chaise debout, elle le laissa la rejoindre...
Bradwen


Devant la porte close de la chambre de Cilou

Bradwen avait entendu un grand fracas, suivit d'une onomatopée pour le moins éloquente.

Cilou ?!?!?!? ... Z'allez bien ?!?!?.... Vous n'avez point d'problème ?

La porte s'ouvrit sur la meunière manifestement occupée à réajuster une situation pour le moins ennuyeuse. Bradwen la regarda, étonné.

Eh bé... j'vous dérange peut-être... j'peux r'passer si vous l'voulez...

Elle lui fit signe d'entrer. Faisant bien attention à éviter tout risque de contagion, le paysan passa la porte.

Comment allez-vous ? Finalement, vous n'l'avez point attrapé c'te mordiouserie ?... Savez-vous quand vous allez pouvoir rentrer chez vous ?

Bon voilà, j'm'ennuyais ben ferme dans c'te chambre, à rien faire du tout, si c'n'est à attendre qu'la maladie passe...Alors, j'me suis dit qu'tant qu'à attendre, autant discutailler. Et vu qu'z'avez point l'air d'détester ça, vu qu'on n'a pas beaucoup discutailler ensemble ces deux derniers mois... ben, v'là, j'me suis dit qu'ça s'rait ben l'occasion... et en plus ça nous permettrait d'passer l'temps ben plus vite ! D'après c'que j'ai compris d'la science d'not médicastre, c'est point en échangeant quelques mots qu'on risque la contagion !

Le paysan regarda droit dans les yeux la meunière, sceptique. Il lui était arrivé par la passé de pouvoir anticiper ses réponses, mais tel n'était plus le cas aujourd'hui.

Mais si vous préférez être ben tranquille, j'peux ben trouver un aut' compagnon à embêter aussi !

Bradwen marqua un temps d'arrêt dans son discours.

C'est ben bizarre... j'ai l'impression d'être aussi genée dans la façon d'choisir mes mots... un peu comme si j'connaissais point la personne qu'j'avais en face d'moi.
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Max_premier


Courant partout

Les consultations s’enchaînaient, Lillaka avait à peine le temps de prendre du repos et Max s’inquiétait pour elle. Elle était revenue à Montmirail si affaiblie. Il avait peur que son corps ne soit pas assez fort pour combattre la fatigue, la maladie, les peurs des autres. Pour le mental, il la connaissait suffisamment bien pour savoir qu’elle tenait le coup. Il essayait du mieux possible à la soulager, prodiguant comme elle le lui avait montré les premiers soins.

De toutes façons maladie ou pas, toutes les plaies bénéficieront de ces soins. pensa-t-il. Bien sûr quand il vit arriver ce grand gaillard montrant ses boutons de chemises rouges, il ne put pas s’empêcher d’éclater de rire mais quand ce dernier remonta ses bras de chemise, son rire se transforma en grimace et il ne put que le faire rejoindre le nombre de gens grandissants s’entassant maintenant en salle commune.

Les plus faibles étaient emmenés à l’étage, allongés sur de simples paillasses à plusieurs par chambre, ils ne pouvaient faire autrement, essayant de respecter l’état de gravité apparent mais malheureusement, ils ne pouvaient faire de miracle, repousser les murs et avoir suffisamment de gens courageux pour venir aider tous ces pauvres hères. La crémation à l'extérieur s'amplifiait. Les gens arrivaient souvent trop tard malheureusement. A chaque fois, il faisait un mot pour tous, même ne les connaissant pas, afin qu'Aristote prenne soin d'eux maintenant.

Les jours passaient et le jour tant redouté pour lui arriva ce matin là, quand il vit arriver dans les bras d’un homme robuste un enfant, le premier. Lui qui se réjouissait d’avoir enfin quelques résultats avec Bradwen et Cilou se remontant le moral l’un, l’autre voilà qu’il voyait ce pauvre petit corps. Aussitôt son sang ne fit qu’un tour, pensant à son fils qui l’attendait là bas, rue du bois, qu’il n’avait pas encore vu à ce jour.

Poussant tous les gens même bien intentionnés, il alla toquer à la porte de Lillaka.


Lilla, vite.. s’il te plaît, viens vite, y’a un enfant !!!! Je le monte à l’étage.

Il eu le réflexe qu’il avait maintenant acquis vu le nombre de corps manipulés de se saisir d’un drap propre et alla prendre des bras de l’homme le pauvre enfant, brûlant, pour l’amener à l’écart, dans une des chambres encore non utilisé, une des rares en parlant à l’homme.

Suivez-moi, je suis Max, je suis assistant, on va le mettre à l’écart, je vais faire au mieux en attendant notre médicastre. Dîtes moi, il y a longtemps qu’il est malade ? Vous êtes son père ?

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Cilou73


Dans sa chambre


Reprenant place sur son lit , elle invita Bradwen à prendre place sur la chaise...Tout en le prévenant..

Prenez place...mais attention ce siège..est...caractérielle...

L'écoutant discourir....Elle attendit son tour...S'assurant qu'il n' avait point de rajout...Puis tâcha de répondre posément dans l'ordre...


Je vais... Je ne sais pas encore si je suis atteinte du même mal que le chemin de Melleray...Et de ce fait non je ne sais pas quand je pourrais rejoindre mon moulin..


Il la regardait droit dans les yeux et La mégère soutint son regard qui se voulait perçant.

Vous n'avez aucune gêne à avoir ....C'est bien moi , je suis toujours la meilleure béiclutrice et meunière de montmirail à la sauce mégère....Mais pour ma part à qui ai je à faire ?...
Kessy..


Dans la salle de consultation


Kessy sursauta quand un brouhaha se fit entendre au dehors. Elle se concentra sur Lillaka et l'examen qu'elle faisait de sa cheville.

Elle écouta attentivement ses conseils.
L'université ? oh mais je ne sais pas, je se suis pas une grande érudit moi... mais si je dois en passer par là et bien j'y passerais.

Je veux bien vous aider mais je ne vais pas pouvoir courir en tous sens comme vous avec ma cheville. Mais je veux bien vous aidez du mieux que je peux.


Kessy était contente de la proposition de Lillaka et souriait.

Dehors le Brouhaha se faisait de plus en plus violent.
The_undertaker
A l'entrée

Comme lui avait repondu son épouse par missive, Tak se presenta à l'entrée de l'hopital aux commandes d'une charrette contenant 2 chaudron de nourriture .

Il descendit, puis aida son épouse à le faire.
Ils se presentèrent à l'entrée, demandant après Lillaka .

_________________
Lillaka


Dans la salle de consultation

Alors que Lillaka finissait de refaire le bandage de Kessy après y avoir appliquer de nouveau de l'onguent, la jeune soldat accpeta sa proposition.
Ne vous inquiétez pas il y a suffisament à faire pour vous trouver une tâche où vous n'aurez que peu à bouger.
Pour vostre cheville elle prend le bon chemin, il faut continuer à estre raisonnable en évitant au maximum de l'utiliser le temps que les os se ressoudent mais aussi en mettant plus souvent de l'onguent.
Venez avec moi, je vais vous expliquer en quoi vous pouvez m'aider tout en restant assise.




Dans le grand hall

Avait été posé dans cet immense hall d'entrée, un petit bureau avec une chaise qui pour le moment était toujours vide.
J'aurai besoin d'une personne qui accueille les nouveaux venus, les renseigne, et les dirigent vers le bon interlocuteur. Max assume en partie cette fonction, mais il fait tellement d'autres choses que beaucoup de personnes se retrouvent icelieu, inquiet et doivent attendre qu'on arrive à venir les voir.
Si vous savez écrire, je veux bien également que vous preniez note du nom de chacun, sa ville, sa date d'arrivée et la raison de sa visite, puis sa date de sortie ou... son decès.
Cette place à l'accueil est très très importante. Non seulement elle permet de rassurer les personnes qui arrivent, et elle permet également d'évaluer l'urgence de la situation.
Ne vous inquiétez pas, je vais vous donner des éléments tangibles pour pouvoir choisir où adresser telle ou telle personne. Suivez moi, je vais vous montrer les différentes pièces où vous aller envoyer les personnes, ainsi que certains symtômes qui vous permettra de faire vostre choix...




Dans la grande salle commune

Alors qu'elle se déplaçait doucement avec Kessy dans la grande salle commune, découper par de grand morceau de tissu pour cloisonner les différentes "section", Max fit irruption pour alerter d'une urgence...
Kessy, je vous abandonne... si vous le souhaitez, allez vous installer, et pour le moment faite patienter les personnes qui arrivent. Il y a sur le bureau un registre et un nécessaire d'écriture si vous le voulez... dès que possible je reviens pour vous en apprendre plus sur comment reconnaitre les cas urgents et les suspition de petite vérole... mais dans tout les cas, surtout ne toucher personne !
Puis précédent Kessy, elle se rendit dans le grand hall et aperçu Max en train de monter à l'étage, un enfant envelopper dans un drap dans ses bras... alors qu'elle allait le suivre, elle aperçu Tak à l'entrée à qui elle s'adressa tout en commençant à monter le grand escalier du hall
Merci Tak d'estre venu, Lys, je suis si heureuse de te voir... je reviens dès que possible, Kessy pouvez vous essayer de voir avec Tak comment vous pouvez l'aider en attendant que je revienne... j'essaie de faire vite...



Dans une petite chambre de l'étage

Bonjour Messire, je suis Lillaka Sandrelune, le médecin de cet hospital... je vais examiner le petiot... Pouvez vous m'en dire plus ?
Son prénom ? Depuis combien de temps est il inconscient ? Tout ce dont vous vous souvenez, les symtômes... depuis quand...?
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