Zilofus
Le groupe avait investit les lieux en peu de temps, il fallait dire que la température extérieure n'était pas des plus chaudes en cette période de l'année alors pour se réchauffer quoi de mieux qu'un bon feu et une tisane bien chaude. Comme ses compagnons de route il n'avait pas échappé à la règle et en avait profité pour se joindre à eux pour faire l'état des choses, des imprévus ...
Saucisson se plaignait encore et toujours, comme à son habitude me direz vous, elle s'était plainte tout le long de la route de tous les maux qu'elle avait bien pu se trouver, les petits riens devenaient des gros bobos, les petites tapes amicales devenaient des coups violents, les mots préventifs pour son bien être devenaient des menaces ... Bref une longue liste dont il n'allait pas tout énuméré, cela prendrait la journée au moins mais là, en cet instant cela ne semblait pas être des paroles en l'air pour s'accorder à être la victime dont le destin s'acharnait contre elle, les faits étaient tels qu'il ne pouvait le nier, ni se rassurer autant qu'il tentait vainement de la rassurer depuis plusieurs jours en disant que ce n'était rien, là c'était ... sanglant.
On vous trouvera un médecin. Lui avait-il dit sèchement.
Mais non, t'avait donc rien pigé mon pauvre Zilo, pas de docteur, pas de charlatan, elle voulait, enfin non elle exigeait que se soit une femme, qui plus est une matrone. Malgré l'insistance qu'il avait porté sur le fait que les compétences ne différaient que très légèrement entre les deux elle avait fait sa petite scène journalière pour dire que non, blablabla, c'était mieux, un homme ne comprendrait pas, ne saurait pas, des arguments bidons qui n'étaient en fait que pour cacher sa pudeur et sa réticence à se mettre à poil devant un autre homme que son mari.
Forcément le seul médecin en ville qu'il connaissait et dont il était sûr de sa capacité à résoudre le problème de Fanette n'était pas là, surement partit en voyage ou dans une ville voisine, ça ne serait donc pas celui là qui s'en occuperait. Dommage. La tâche de trouver la personne adéquat incomberait donc à Petit Caramel qui semblait avoir plus de faveurs que lui, sans doute dû au fait qu'il était le méchant de l'histoire, il s'accorda donc le rôle de la rassurer, enfin d'essayer.
Fanette ! Vous n'allez pas perdre Mini Corléone !
C'est bien parce qu'elle saignait qui s'abstenait de lui coller un taquet derrière le crâne parce que c'est pas l'envie qui lui manquait quand elle était comme ça, prête à chialer de porter tous le désespoir du monde sur ses épaules. Alors qu'il tenterait de la rassurer ou du moins de lui parler d'autre chose en attendant que la spécialiste arrive il fit un signe de main à la bretonne de se dépêcher d'aller en trouver une dans les environs.
Cours aussi vite que Saint Caillou te le permet Petit Caramel !
"Et trouve une matronne avant que se soit moi qui ne la saigne." aurait-il bien ajouter mais il se ravisa juste à temps pour le garder pour lui, il avait promis de ne pas l'abimer plus que nécessaire et uniquement si elle cherchait à s'enfuir alors ses mots restèrent suspendus sur le bout de la langue.
Il ne lui restait plus qu'à attendre le retour de la bretonne avec la personne qu'il fallait, en espérant que se ne soit pas trop long pour qu'il n'ait pas à entendre gémir Fanette trop longtemps et de devoir se taper la tête contre la table pour passer calmer ses nerfs.
Saucisson se plaignait encore et toujours, comme à son habitude me direz vous, elle s'était plainte tout le long de la route de tous les maux qu'elle avait bien pu se trouver, les petits riens devenaient des gros bobos, les petites tapes amicales devenaient des coups violents, les mots préventifs pour son bien être devenaient des menaces ... Bref une longue liste dont il n'allait pas tout énuméré, cela prendrait la journée au moins mais là, en cet instant cela ne semblait pas être des paroles en l'air pour s'accorder à être la victime dont le destin s'acharnait contre elle, les faits étaient tels qu'il ne pouvait le nier, ni se rassurer autant qu'il tentait vainement de la rassurer depuis plusieurs jours en disant que ce n'était rien, là c'était ... sanglant.
On vous trouvera un médecin. Lui avait-il dit sèchement.
Mais non, t'avait donc rien pigé mon pauvre Zilo, pas de docteur, pas de charlatan, elle voulait, enfin non elle exigeait que se soit une femme, qui plus est une matrone. Malgré l'insistance qu'il avait porté sur le fait que les compétences ne différaient que très légèrement entre les deux elle avait fait sa petite scène journalière pour dire que non, blablabla, c'était mieux, un homme ne comprendrait pas, ne saurait pas, des arguments bidons qui n'étaient en fait que pour cacher sa pudeur et sa réticence à se mettre à poil devant un autre homme que son mari.
Forcément le seul médecin en ville qu'il connaissait et dont il était sûr de sa capacité à résoudre le problème de Fanette n'était pas là, surement partit en voyage ou dans une ville voisine, ça ne serait donc pas celui là qui s'en occuperait. Dommage. La tâche de trouver la personne adéquat incomberait donc à Petit Caramel qui semblait avoir plus de faveurs que lui, sans doute dû au fait qu'il était le méchant de l'histoire, il s'accorda donc le rôle de la rassurer, enfin d'essayer.
Fanette ! Vous n'allez pas perdre Mini Corléone !
C'est bien parce qu'elle saignait qui s'abstenait de lui coller un taquet derrière le crâne parce que c'est pas l'envie qui lui manquait quand elle était comme ça, prête à chialer de porter tous le désespoir du monde sur ses épaules. Alors qu'il tenterait de la rassurer ou du moins de lui parler d'autre chose en attendant que la spécialiste arrive il fit un signe de main à la bretonne de se dépêcher d'aller en trouver une dans les environs.
Cours aussi vite que Saint Caillou te le permet Petit Caramel !
"Et trouve une matronne avant que se soit moi qui ne la saigne." aurait-il bien ajouter mais il se ravisa juste à temps pour le garder pour lui, il avait promis de ne pas l'abimer plus que nécessaire et uniquement si elle cherchait à s'enfuir alors ses mots restèrent suspendus sur le bout de la langue.
Il ne lui restait plus qu'à attendre le retour de la bretonne avec la personne qu'il fallait, en espérant que se ne soit pas trop long pour qu'il n'ait pas à entendre gémir Fanette trop longtemps et de devoir se taper la tête contre la table pour passer calmer ses nerfs.