Mary_lisa.
L’instant est grave, solennel. Prononcer les serment de vassalité n’est pas dénué de sens. Elle vient de lier sa vie à celle de cet homme d’une façon quasi similaire à celle du mariage. Désormais, chacun de ses actes devraient aussi être réfléchis en fonction de lui, de sa ligne de conduite et dans son respect. Pourtant, pas une fois elle n’hésita. Avec elle, le Dragon n’était pas cet homme détestable qu’il s’efforçait à paraitre. D’une façon qu’elle ignorait, ils s’étaient mutuellement apprivoisé. Alors non, cette chaine invisible qui allait les relier ne lui faisait aucunement peur. Elle en était fière et parfaitement heureuse.
Alors quand son désormais suzerain lui tend la main pour l’aider à se redresser, elle ne le quitte pas des yeux, posant sur lui ce même regard pleins d’affection et de profond respect. L’émotion est au rendez-vous de son côté. Elle sait que pour lui c’est devenu une grande habitude de voir une personne ployer le genoux devant lui pour prêter serment, pourtant il réussit à la faire se sentir unique en cet instant, et provoquer un vrai ascenseur émotionnel. L’espace de cet instant toute sa colère, sa haine, et sa tristesse est mise de côté.
Après avoir prononcé son propre serment le Sparte fait venir deux coffres devant eux. C’est attentive qu’elle découvre l’art réalisé sur ce qui devenait sa terre. Intrigué elle observe la théière parfaitement réalisé, splendide. Un sourire ne pu s’empêcher d’illuminer son visage à l’idée que sans doute grâce à elle, les tables de la maison royale seraient bientôt parsemé de ces théières. Pourquoi cela l’amusait ? Car Alex allait détester. Forcément, elle adorait l’idée.
« Je savais par vos mots que Dinant abritait bien des merveilles, mais j’ignorais tout ce cet art. J’ai grande hâte de le découvrir et d’aider à son développement, soyez en certains. »
Enfin, le deuxième coffret fut présenté. C’est surprise qu’elle découvrit une superbe bague des plus originale et des plus imposante. Un nouveau sourire à la découverte du dragon qui l’ornait. Non, clairement avec ceci à son doigts pas une journée elle ne pourrait l’oublier. Consciente de la valeur de cet objet, et de sa beauté, elle ne pu que poser sur son suzerain un regard pleins de reconnaissance.
« Je vous remercie, elle est magnifique, je serais fière de la porter en l’honneur de Dinant, de Vous, et de ce qui nous lie. Mais soyez certain qu’avec ou sans elle je prendrais soin de ne jamais oublier mes devoirs et ma loyauté. »
Alors que la lourde couronne est posé sur sa tête elle sait que le « grand » instant est venu. Avec Neyco, cela avait été simple elle avait eut droit à une accolade toute maternelle. Avec Alexandre… elle s’attendait au pire ! Il était capable de tout, vraiment de tout, et surtout, elle savait qu’il s’impatientait depuis des jours de pouvoir l’embrasser à pleine bouche simplement pour défier son père et son fiancé. Mais comme fiancé il n’y avait plus, c’est dans un grand soulagement qu’elle reçu le simple baiser vassalique. A l’instant où leurs lèvres s’effleurèrent, leur destin était scellé. Elle était à présent Comtesse de Dinant.
Instinctivement elle se tourna vers son père pour lire sur son visage une quelconque approbation. Car après tout, tout enfant ne cherche t-il pas indirectement la fierté de ses parents ? Elle lui offrit un timide sourire avant de se concentrer sur la dernière étapes. Après avoir parcourut rapidement des yeux la patente au cas où le Dragon y aurait glissé une quelconque clause qui n’était pas initialement prévu, elle finit par la signer.
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Alors quand son désormais suzerain lui tend la main pour l’aider à se redresser, elle ne le quitte pas des yeux, posant sur lui ce même regard pleins d’affection et de profond respect. L’émotion est au rendez-vous de son côté. Elle sait que pour lui c’est devenu une grande habitude de voir une personne ployer le genoux devant lui pour prêter serment, pourtant il réussit à la faire se sentir unique en cet instant, et provoquer un vrai ascenseur émotionnel. L’espace de cet instant toute sa colère, sa haine, et sa tristesse est mise de côté.
Après avoir prononcé son propre serment le Sparte fait venir deux coffres devant eux. C’est attentive qu’elle découvre l’art réalisé sur ce qui devenait sa terre. Intrigué elle observe la théière parfaitement réalisé, splendide. Un sourire ne pu s’empêcher d’illuminer son visage à l’idée que sans doute grâce à elle, les tables de la maison royale seraient bientôt parsemé de ces théières. Pourquoi cela l’amusait ? Car Alex allait détester. Forcément, elle adorait l’idée.
« Je savais par vos mots que Dinant abritait bien des merveilles, mais j’ignorais tout ce cet art. J’ai grande hâte de le découvrir et d’aider à son développement, soyez en certains. »
Enfin, le deuxième coffret fut présenté. C’est surprise qu’elle découvrit une superbe bague des plus originale et des plus imposante. Un nouveau sourire à la découverte du dragon qui l’ornait. Non, clairement avec ceci à son doigts pas une journée elle ne pourrait l’oublier. Consciente de la valeur de cet objet, et de sa beauté, elle ne pu que poser sur son suzerain un regard pleins de reconnaissance.
« Je vous remercie, elle est magnifique, je serais fière de la porter en l’honneur de Dinant, de Vous, et de ce qui nous lie. Mais soyez certain qu’avec ou sans elle je prendrais soin de ne jamais oublier mes devoirs et ma loyauté. »
Alors que la lourde couronne est posé sur sa tête elle sait que le « grand » instant est venu. Avec Neyco, cela avait été simple elle avait eut droit à une accolade toute maternelle. Avec Alexandre… elle s’attendait au pire ! Il était capable de tout, vraiment de tout, et surtout, elle savait qu’il s’impatientait depuis des jours de pouvoir l’embrasser à pleine bouche simplement pour défier son père et son fiancé. Mais comme fiancé il n’y avait plus, c’est dans un grand soulagement qu’elle reçu le simple baiser vassalique. A l’instant où leurs lèvres s’effleurèrent, leur destin était scellé. Elle était à présent Comtesse de Dinant.
Instinctivement elle se tourna vers son père pour lire sur son visage une quelconque approbation. Car après tout, tout enfant ne cherche t-il pas indirectement la fierté de ses parents ? Elle lui offrit un timide sourire avant de se concentrer sur la dernière étapes. Après avoir parcourut rapidement des yeux la patente au cas où le Dragon y aurait glissé une quelconque clause qui n’était pas initialement prévu, elle finit par la signer.
Citation:
Patent of Nobility
To the holder of this patent,
To whom it may concern,
We, Cesare Aristotele Ermes Copona, imperial herald, acknowledge and declare the fact that Geneviève Elisabeth Mary-lisa de Courcy has been given the rank of countess and fief of Dinant by His Majesty Alexandre Maximilien von Ostenmark-Sparte, imperial duke of Liege and Breslau and lord of Ruffey-le-Château during a ceremony that took place on the 16th day of November in the year of Our Lord 1465 in Liege.
During the ceremony Geneviève Elisabeth Mary-lisa de Courcy pronounced the following oath of Obsequium, Consilium and Auxilium that were accepted by the landlord:
- "Your Ducal Serene Highness Alexandre Maximilien von Ostenmark-Sparte, it is with great pride thath I, Geneviève Elisabeth Mary-lisa de Courcy, hereby declare accepting this honour with humility and respect. On my faith and my honour, I promise Your Ducal Serene Highness, as countess of Dinant, to fulfill my duties of Obsequium, Consilium and Auxilium. May the Almighty be witness of my oath."
Geneviève Elisabeth Mary-lisa de Courcy will receive and enjoy the rights and honours that are befitting of her new noble status.
She is granted the use of the lands and resources that were given by the landlord.
In her coat of arms she may use the blazon of the fief that is described as follows:
"Argent a demi-lion issuant Gules crowned Or."
Signed in Liege the November 16th in the year of the Lord 1465,
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