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[RP]Une leçon peut en caché une autre.

Thomasson
Depuis quelque temps, Cammye n'était plus seule, elle ne passait plus ses journée seule à s’entraîner sur ses techniques de guerre, ne mangeais plus seule, ne ce promenait plus seule, même les latrines qu'elle visitait, elle n'y allait plus seule !
Ceci bien à cause de sa rencontre avec ce fameux Thomasson, cet homme à la langue bien pendu et qui ne sait la ranger, toujours à dire quelque chose, où lorsqu'un miracle s'abat et qu'on ne l'entend plus, il ce trouve toujours au près de Cammye.
Non pas qu'il soit inutile, bien au contraire, surtout lorsqu'elle doit rencontrer des personnes ou qu'elle en croise simplement et qu'on commence à lui causé, bien qu'elle ne connaisse que peut de mots français, elle est tout de même bien loin de tenir un discours, alors intervint ce cher Thomasson, connaissant maintenant quelque peut la demoiselle, il ce fait passer pour son interprète, ce qui est bien utile lorsqu'elle n'a aucune envie de ce fatiguer à ce faire comprendre et qu'au finale cela ne serve strictement à rien.
En dehors de cela, c'était une personne plutôt envahissante, et cela Cammye n'en avait guère l'habitude.
Une fois pour s'en débarrasser elle lui parla de son histoire, du mieux qu'elle pouvait en mimant et expliquant avec quelque mots basiques, puis lui raconta son grand projet, ce qu'elle comptait faire, mais rien n'y fit, il la colla d'autant plus, et le pire dans l'histoire il avait décider de l'aider !
Comment repousser quelqu'un d'aussi aimable mais si collant ?
Par moment cela partait en engueulades, du moins elle gueulait et lui l'écoutait en lui expliquant qu'il ne comprenait pas un traître mot, ce qui bien entendu l'énervait d'autant plus.
Maintenant qu'il l'avait aider à trouver la région qu'elle désirait s'installer, maintenant qu'elle y était confortablement, si l'on puis dire, installer, il n'était pas pour autant partit plus loin, ayant louer la chambre à côté de la sienne dans l'auberge où ils logeaient actuellement.
A force de l'avoir sans cesse sur le dos, et de ne plus avoir aucune intimité, Cammye commençait à en prendre l'habitude, ce qui ne l'empêchait pas de l'engueuler de temps à autre pour ce soulager.

Aujourd'hui ce cher Thomasson l'avait inviter sur le bord d'un lac, où quelque arbres s'y reposaient et offrait un ombrage agréable avec ce temps ci délicieux, afin de commencer quelque cours de langage français, pour qu'elle puisse s'améliorer et ainsi que cela l'aide dans sa quête.
Elle eu accepter l'invitation après qu'il est accepter qu'elle puisse en même temps s'entraîner à l'épée, ce qui fut de dure négociations, en dessins sur parchemins.
Elle ce rendit donc au lieu de rendez vous, dont elle connaissait maintenant par cœur le chemin après que Thomasson l'y est emmener quelque fois pour qu'elle comprenne où ils devaient ce retrouver, et n'y trouva pas encore son comparse, ce doutant qu'elle était venu en avance ou que lui était en retard, elle ne l'attendit pas une minute et débuta quelque exercices avec la lourde épée.

_________________
--Thomasson
Le jour était enfin venu, ma mission, ou du moins mes missions prenaient forme petit à petit, et aujourd'hui j'allais débuter celle de résoudre le problème du langage !
Pas pour moi bien entendu, mais pour ma chère amie, Cammye.
Si elle désirait un jour réussir sa quête, il lui fallait travailler un domaine dans le quel elle était loin d'être experte, et je vous assure ce n'est pas celui du combat, mais une matière plus subtile et complexe, la langue française !
Allez donc apprendre à quelqu'un qui ne pige pas plus d'un mot dans une phrase à parler cette langue, imaginer l'ampleur de ma mission !
Mais que voulez vous, lorsqu'on apprécie grandement quelqu'un on fait tout pour l'aider et c'est mon cas.
Donc, après moultes reconnaissance de terrain et de dessin en tout genre, j'ai réussis à la traîner dans un lieu calme pour débuter nos leçons d'apprentissage du langage version débutant, pour ne pas dire enfant.
J’espérais au fond de moi qu'elle est bien compris l'heure à la qu'elle nous avions rendez vous, car, ne connaissant guère les coutumes de son pays, je ne savais pas si ils fonctionnaient sur le même principe horaire que le notre, mais je m'en rendrais bien vite compte lorsque je m'y trouverais.
Bon, n'ayant jamais été très ponctuel, me voici arrivant, une petite demi heure en retard, mais avec la surprise de trouver mon élève, s'entraînant déjà à l'armement.
Un sourire s'étira sur mes lèvres, dévoilant quelque peut mes jolies quenottes, sans plus attendre je la rejoignis et me laissais tomber en tailleur sur cette herbes fraîche.
Je tirais mon bâton qui ce trouvait accrocher dans mon dos, et avec celui ci, je pointait l'arme de Cammye et me prononçais.


Épée !
Thomasson
Son professeur ne mit guère tant de temps que cela, mais elle ne s'aperçu de son arriver que lorsqu'il était déjà installé sur le sol, et qu'il pointait son bâton sur elle, l'arrêtant net dans son élan.
Ses yeux observèrent Thomasson, puis descendirent sur les lèvres de Thomasson lorsqu'il prononça le mot, puis suivit la direction du bâton qui pointait plus précisément son arme.
Elle regarda alors de nouveau l'homme assis, fronça sévèrement les sourcils, plissa ses lèvres et essaya de prononcé le mot qu'il venait de lui même prononcer.


Eipéeuh...

Mais ce qu'elle venait de sortir ne ressemblait guère à ce qu'il venait de prononcer, ce qui l'agaça sur le coup, alors ce positionnant plus convenablement elle, rangea son arme dans son fourreau , croisa les bras sur son torse, et ce remit à plisser les lèvres pour réitérer l'exercice.

Eipéeee !

Ce n'était guère plus convainquant que le premier essaie.
_________________
Lexah
Depuis la confession de ses crimes et péchés, Lexah avait quitté Rieux.
La jeune femme avait bien trop peur que la vérité sur la mort de son mari ne se répande dans ce village. Elle avait bien trop peur qu’on la livre aux autorités et qu’elle ne finisse sur une potence. Pourtant, elle ne quitta pas la Bretagne. Bien au contraire, elle se dirigea vers les terres et s’enfonça en rase campagne, le but étant de se faire oublier avant de fuir le plus loin possible et passer les frontières sans problème.
Là où elle allait, personne ne la connaissait. Personne ne pouvait savoir. Et personne ne saurait. Elle s’en assurerait.

La petite brune trouva un lac où elle se lava le visage qui était sale d’un mélange de sueur et de poussière.
Un peu plus « propre », Lexah balaya les environs d’un regard et vit une silhouette, au loin, en mouvement. Elle avait l’air de manier une épée. Elle était seule. La jeune femme s’approcha, gardant tout de même une certaine distance.

Un homme arriva et Lexah s’approcha un peu plus près. Elle pouvait entendre leur conversation. Elle ne cherchait pas spécialement à se faire remarquer, mais ne se cachait pas non plus. Elle était curieuse de savoir ce qu’ils faisaient là, isolés. Mais bientôt, la petite brune comprit et esquissa un sourire : le mâle apprenait la langue française à la jeune femme. Une pointe d’amusement naquit dans ses yeux. La première depuis bien trop longtemps.
Et Lexah écouta, sans aucune gêne, les observant l’un et l’autre, tour à tour. Elle prit appuie contre un arbre et resta simplement là. Cependant, la brune perdit le fil de leur conversation, son esprit convergeant ailleurs. Elle ne serait pas contre manier apprendre à manier une arme pour pouvoir se défendre ou se défouler sur quelqu’un lorsque la colère l’envahissait.
Ou bien, elle pouvait juste faire la guerre pour justifier ses crimes.

Lexah était désormais beaucoup trop loin pour s’intéresser au cours de français qui ne se trouvait plus qu’à quelques mètres d’elle.
--Thomasson
Je ne pu m'empêcher de sourire à la prononciation de ce mot qui me paraissait pourtant si simple, mais je n'ai jamais été de l'autre côté, je n'ai jamais été cet étranger, dans un pays totalement inconnu, qui doit ce battre chaque jour pour avancer, ce faire comprendre et survivre.
Je ne suis qu'un troubadour, un artiste à temps partiel, un musicien, un poète, un artiste comme dirait ces nobles gens, je ne cherche ni gloire ni honneur, simplement à faire mon nid un soir dans une auberge bien chauffer.
Mais aujourd'hui j'avais un but, une nouvelle route à tracer, et une amie, cela valait bien toutes les auberges au monde, ne pas ce sentir seul c'était quelque chose qui coûtait cher.
C'est donc avec une patience que les anges mon octroyer le jour de ma naissance, que j'entreprend cette difficile mission.


Bien, ensuite ...

Avec mon bâton je lui désignait son fourreau, ce bel étuis qui rangeait soigneusement, le long de sa hanche, sa longue et lourde épée, mon regard divagua sur ses courbes, et mes pensées partirent un instant bien trop loin, je secouait alors ma tête, agitant par la même, ma tignasse brune.
Reprenant ma contenance et mes esprits au claire, je remontait mon bâton au niveau de son fourreau, qui celui ci, avait divaguer dans le même mouvement que mes pensées.


Fourreau !
Thomasson
Son regard observa attentivement le mouvement du bâton de son professeur qui descendait au niveau de sa hanche et désignait son épée.
Ne comprenant pas où il venait en venir, comme il avait précédemment indiquer que son arme ce prononçait "épée", elle ne voyait pas où il voulait en venir avec son mot étrange.
Fronçant les sourcils elle retira de nouveau son épée de son fourreau et la pointa sous le nez de son professeur et d'un aire plus agacée ce remit à prononcer le mot précédent.


Eipié !

S'énervant à ne pas réussir à prononcer un mot si court, elle réitéra son exercice.

EIPEEEE !! Carson* Farro ?!

Elle était colérique, et c'était bien son défaut dans une vie courante, mais au combat c'était plutôt une puissance, c'est ce que son maître d'arme lui avait toujours expliquer, utiliser cette émotion pour frapper l'ennemis de plein fouet et avec force.
Son arme toujours pointé sous le nez de Thomasson, mais son regard fut perturber par une silhouette quelque peut dissimuler, c'est alors que son instinct de chasseuse ce mit en marche, rangeant son épée dans son fourreau, et marchant plus discrètement elle ce dirigea vers cette ombre non loin.


*Pourquoi?

_________________
Lexah
La situation était cocasse.
L’homme montrait son fourreau à son élève, mais l’élève s’évertuait à répéter « épée ». Du genre moqueuse, Lexah rit à gorge déployée, ne cherchant ni à se faire discrète ni à se dissimuler aux yeux du maître et de l’élève.

La petite brune continuait à rire, comme elle n’avait pas ri depuis si longtemps. Elle essuya quelques larmes du revers de sa manche, ne faisant plus attention aux deux autres.
Evidemment, Lexah se moquait gentiment de cette étrangère qui faisait l’effort d’apprendre cette fichue langue qui n’était pas si simple que cela, même pour les originaires !

Dans sa vie, la petite brune n’avait croisé que très peu d’étrangers. Ou peut-être que si. Mais elle ne s’y était jamais intéressée. Pourquoi parler à quelqu’un qui ne comprend rien de ce que vous dites ? C’était une perte de temps et un coup à se cogner la tête contre les murs. De folie et d’impatience, elle aurait tué un élève qui répétait « épée » alors qu’on lui montrait un fourreau.
Adossée à un arbre, la jolie brune reprenait ses esprits, son corps tressautant parfois à cause de ce rire qu’elle réprimait tant bien que mal.

Lexah ne regardait plus du tout le cours qui se poursuivait – ou pas – derrière elle. Elle leur tournait le dos et son regard se perdit au loin. Elle songeait à ce que sa vie aurait pu être si elle avait eu des parents différents ; si elle avait grandi dans une famille noble ou bourgeoise ; si elle n’avait pas épousé l’idiot du village. Serait-elle plus « normale » ? Serait-elle plus heureuse ? Plus joyeuse ?

Et alors que son esprit vagabondait, le prédateur se rapprochait toujours plus près de sa proie, qui n’entendait ni ne la voyait.
Thomasson
S'approchant comme un chat, maintenant toute proche de sa proie, Cammye tendit sa man et la posa rapidement et directement sur l'épaule de l'inconnue qui lui tournait le dos, ce qui était une grave erreur, mais même ainsi, elle pouvait entendre quelques gloussements en sa direction.
Les sourcils froncés, les muscles aux aguets, prêt à agir à tout moment, elle lui hurla presque en sa langue natal mélanger avec quelque partie de Français.


Cò th 'annad?* Toi?! Qui ?!

Elle pouvait faire peur, avec son aire sévère et agressif, elle n'avait jamais connue la demie mesure, tout était l'un, ou tout était l'autre, mais il n'y avait pas réellement de milieu adéquate.
Cammye ne désirait pas forcément de bagarre, surtout face à une personne si dénuer de protection et d'armement, et en aucun cas une personne qui ne présentait aucune agressivité, mais être sur la défensive était sa nature principale, et c'était bien grâce à cet instinct qu'elle pu ce sauver de son pays, cela restait un instinct de survie primaire mais vitale en tout temps.
Depuis sa rencontre avec Thomasson, elle avait parfois tendance à ce reposer un peut trop, mais elle ce rattrapait bien vite, ce secouant par moment, il faut dire qu'elle n'avait pas l'habitude d'être ainsi aidé dans tout ce qu'elle faisait.


Qui êtes vous ?!

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Jessienigma
Découvrir une nouvelle région était toujours quelque chose qui avait plu à la brunette. Évidemment, avec son ventre énorme, elle avançait bien moins vite qu'à son habitude et avait besoin de se reposer souvent. Les étendues d'eau avaient toujours attiré le petit bout de femme maigrichonne et elle se promenait autour d'un lac ombragé en hésitant à venir poser ses kilos en trop quelques instants au bord de l'eau quand elle vit la leçon de maniement de la lame qui semblait se donner à une ... écossaise ?

Elle ne pouvait se tromper, elle aurait reconnu ces sonorités entre mille, même quelques années par après. Elle ne se connaissait que peu de mots malgré la famille qui l'avait adoptée mais elle dépassa l'homme d'armes avec un sourire avenant et s'approcha de la rousse qui semblait fort agressive envers une petite brune qui ne semblait plus la calculer après s'être moquée d'elle.


Madainn mhath !* Cherchez pas, je crois qu'elle est partie dans ses pensées !

Elle esquissa un petit salut envers la rouquine. Oh comme elle semblait volcanique et lui rappelait toutes les rousses sarladaises et surtout Syu ... oh oui, la NicDouggal avait été si importante dans sa vie, pas étonnant qu'en entendant l'écossaise, elle ait fait fi de sa posture sur le qui-vive pour s'approcher et peu importe le danger.

Elle se montra elle-même de la main en regardant la femme dans les yeux.


Tha mi Enigma McFadyen ... Je suis Enigma McFadyen, mais je ne suis pas écossaise, juste adoptée par un clan écossais !

Elle ignorait dans quelle mesure, elle serait comprise mais regardant avec pitié le pauvre homme qui ne savait comment faire comprendre des mots simples, elle sortit son épée et la planta dans le sol pour la montrer.

Epée !

Elle détacha ensuite le fourreau qui pendait à sa hanche et le montra à l'écossaise en souriant.

Fourreau !

Elle se tourna vers l'homme et se mit à rire.

Vous semblez avoir quelques difficultés à vous mettre au niveau pour ce qui est de la langue ... mais vous semblez vous y connaître en lame ... ça m'intéresse ! que diriez-vous d'un échange de service ?

* Bonjour !

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Thomasson
La personne qu'elle souhaitait interpeller partait sans vraiment broncher, ni même ce retourner ... Quel triste scène ce trouvant sous nos yeux, une cammye démunie devant tant d’indifférences et restant planté là sans réagir.
Lorsqu'au moment, alors qu'une autre silhouette venait par derrière, prononciation de quelque mots dont elle comprenait le parfait sens, quelque chose qui lui était plutôt rare depuis qu'elle avait débarquer en France, et ce n'était pas des mots français, mais écossais !
D'autres membres de d'autres clans aurait immigrer comme elle ?
Retrouverait elle d'autres congénères ?!
Son cœur palpita à tout va, et sans plus tarder une seconde de plus, ce retourna et découvrir de bout de femme maigrichonne au ventre pourtant bien arrondit.
Cammye observait cette personne, subjuguer de pouvoir rencontrer une autre compatriote, son cœur ne cessant de battre la chamade, mais elle ne savait trop comment réagir, elle voulait venir la prendre dans ses bras et la serrer amicalement, comme bien souvent on faisait dans sa famille, mais au vue de l'avancement de sa grossesse elle n'osait guère vraiment s'approcher d'elle de crainte de lui faire du mal.
Puis, la femme planta son arme dans le sol et prononça le mot qu'elle essayait elle meêm de prononcer précédement, observant le geste et la parole de celle ci, et comprenant parfaitement que cette arme ce nommait épée, alors elle ce redressa, détendit ses muscles qui n'étaient à présent plus en alerte, croisa les bras sur son torse et observa de nouveau la suite de la scène qui ce déroulait sous ses yeux.
Thomasson de loin, les regardait, avec ce sourire que Cammye commençait à bien connaitre, il était satisfait de cette nouvelle venue, car ça lui ferait au moins un peut de vacances, qu'il méritait bien, avec tout le travail qu'il avait abattu depuis leur rencontre.
La femme, après avoir planter son épée dans le sol, défit son fourreau et prononça le dernier mot que Thomasson lui avait dit, mais dont elle n'avait pas compris la signification, mais là, ça lui devint limpide, et d'un sourire satisfait, et émerveillée de comprendre enfin quelque chose simplement, dans un élan d'enthousiasme ce lança dans la répétition du mot, désignant son propre fourreau, où, contrairement à la femme, son arme y était ranger.


Farrouuuauuu !

Elle y était presque, mais cette fois ci, elle ne s'énervait pas de la prononciation qui n'était pas exacte, si heureuse de rencontrer une comparse qu'elle en oubliait cette terrible souffrance de prononciation de la langue française.
Oubliant même son cours de langue, elle s'approcha finalement de la femme et prenant avec une grande délicatesse sa main, de peur de la briser en milles morceaux, Cammye regarda intensément cette femme, et placarda son autre main sur son torse et ce présenta à elle.


Tha mi Cammye Hannay, agus mar sin a bhith cho toilichte coinneachadh riut* !!

Thomasson abandonna l'affaire pour aujourd'hui, laissant le plaisir soudain de son amie de retrouver quelqu'un qui parlait comme elle, il lui devait bien cela, car il y avait tant de difficulté de vivre dans un pays totalement étranger à ses propres coutumes.

Je suis Cammye, et si heureuse de te rencontrer.

_________________
--Thomasson
Vous semblez avoir quelques difficultés à vous mettre au niveau pour ce qui est de la langue ... mais vous semblez vous y connaître en lame ... ça m'intéresse ! que diriez-vous d'un échange de service ?

Me proposer un échange équitable, comment pouvait on refuser tel chose ?
En tout cas j'en était totalement incapable, c'est donc dans un sourire en coin,
que je me relevait de cette verdure si confortable sur la quelle j'avais pris mes aises,
m'étirant, car certes je ne suis guère vieux, mais les courbatures c'est pour tout le monde !
Les mains glissée dans les poches de ma grande cape, je me dirigeais sur ces deux dames de même pays, du moins c'est ce dont je pensais.


Qu'avez vous donc comme idée derrière la tête chère dame ?

J'étais plus qu'intrigué, et si elle pouvait me facilité la vie, je ne dirais pas non !
Il faut dire que c'était un boulot à plein temps qu'être l'ami de cette écossaise véloce !
Mais je ne m'en plain pas, je l'apprécie tellement, carismatique, charmante, flamboyante, rougeoyante, ces courbes si parfaites .... Hum hum, certes je m'éloigne un peut du sujet principale.
Mais voila, un coup de main ne serait pas de trop dans cette entreprise faramineuse !
Jessienigma
*La brunette était fixée sur la rouquine qui semblait hésitant vis à vis d'elle et la regardait faire à la fois sans comprendre et curieuse de ce qu'elle faisait, se détendant en la suivant du regard comme si elle avait compris qu'elle n'était pas une menace quand la lame avait blessé la terre de sa lame bien affûtée. Les efforts de l'écossaise pour la prononciation étaient amusants, tout comme le ton lui-même, mais la jeune femme faisait un grand effort pour ne surtout pas rire et risquer de blesser celle qui se trouvait face à elle. Elle la reprit néanmoins avec un doux sourire.*

Cha !* Fourreau !

*Elle se mit à rire en voyant Cammye venir l'approcher comme si elle était en sucre. elle sentait qu'elle mourrait d'envie de la saluer d'une façon plus tactile et cette manie de la prendre pour une petite chose fragile ne lui était que trop coutumière. Elle l'attrapa par les épaules pour la serrer dans ses bras dans une étreinte presque fraternelle, collant son ventre fort arrondi à celui de l'écossaise.*

Enchantée Cammye. Tha mi duilich, mi** ... parle pas beaucoup, mi française.

*Elle serra fort la main de l'écossaise et pour un petit machine maigrichon, il fallait bien avouer qu'elle pouvait avoir de la poigne, oh certes, pas autant que son interlocutrice mais suffisamment pour lui faire comprendre qu'elle n'avait pas à avoir peur de la casser en morceaux.

Elle se retourna vers l'homme qui la regardait intrigué avec les mains dans les poches et laissa ses lippes s'étirer dans un petit sourire en coin, ses yeux pétillant de malice.*


Pas Dame ! Enigma ! Et vous pouvez me tutoyer ! Il semblerait qu'enseigner les langues n'est pas votre fort alors que je me propose de vous remplacer, d'autant que j'aimerais vraiment apprendre le gaélique. J'ai été adoptée par un clan écossais, mais je ne parle pas la langue. En échange, j'aimerais beaucoup, quand mon pantin sera sorti du tiroir, reprendre l'entrainement et me perfectionner au combat d'une part, et de l'autre j'ai un fils de 6 ans qui rêve de devenir chevalier et je ne peux moi-même lui donner aucune leçon actuellement et mon compagnon lui apprend déjà bien des choses, mais vous semblez en connaître un rayon !

*Elle avait fait un effort pour ne pas manger ses mots à la manière brigande dont elle parlait le plus souvent, elle le faisait de plus en plus souvent depuis quelques temps. Après tout, elle apprenait déjà le grec, le latin, l'arabe, les langues modernes et elle balbutiait quelques mots de gaélique et de danois... à partir de là, il fallait au moins qu'elle se débarrasse de sa fâcheuse habitude de bouffer la moitié des mots !*

Qu'en pensez-vous ? Ma maison est au bord de la plage de saint-Brieuc, un endroit parfait où se casser la figure sans se péter un membre et j'ai ouvert ma taverne avec mon compagnon juste en face ans un navire échoué... de quoi pouvoir picoler après la bataille !

*Non !
** Je suis désolée, je ...

_________________
--Thomasson
Aïe petite erreur dans l'histoire, elle n'était pas complètement écossaise, mais elle savait au moins parler un peut la langue, ce qui pouvait toujours être utile dans les leçons !
je l'écoutais attentivement, en plus de son ventre arrondit, elle avait déjà d'autres enfants, c'est qu'elle était féconde cette petite dame à n'en pas croire les apparences !
Elle me proposait une idée fort intéressante et qui, faut l'avouée, était loin de me déplaire !
Changer un peut d'aire nous ferait un bien fou, tandis que le recrutement pour le compagnie ce faisait fort difficile, alors entraîner de petits bouts de choux aux armes nous tiendrais en forme le temps de mettre tout cela en place.
Ambitieux, je n'allais pas m'arrêter à cette proposition là.


Eh bien, je dois dire que ceci est bien intéressant, mais, je dois bien ajouter quelques petits à cette proposition...

Je regardais de nouveau la femme, afin d'essayer d'anticiper sa prochaine réaction à la venue de sa nouvelle proposition.

Je souhaiterais, en plus des leçons de français, que vous nous aidiez dans la partie ... plutôt administrative, de notre futur compagnie de chevaliers, enfin, c'est surtout son projet à elle, montre Cammye du menton, Et j'avoue, que réfléchir à deux têtes c'est plus simple qu'a une et demi, en restant amicale envers ma chère rousse amie.

Dans un sourire presque charmeur, car on éteint jamais ses instinct de mâle en un clin d'oeil.

Alors dans ces conditions, je pense que nous pourrions songer à accepter votre proposition.

J'enfonçais un peut plus mes mains dans mes poches, et l'observait attentivement, jetant par moment des coups d'oeil à mon amie rousse, pour la rassurer dans notre dialogue, et tout en sortant l'une de mes mains de ma poche, je levais le pouce en l'aire pour lui indiquer que tout allait bien.
Puis je percutais que cette charmante dame c'était présente alors que moi du tout, quel bougre je pouvait faire !


Oh, et j'en oublie les plus simples convenances... Je me nomme Thomasson, fidèle ami de Cammye.
Jessienigma
*Elle n'avait pas quitté l'homme des yeux pendant qu'il réfléchissait et sa surenchère transforma le sourire qui s'étendait sur ses lèvres en un petit rire amusé. Il ne manquait pas de culot cet homme-là, mais ce n'était pas pour lui déplaire et au moins, les choses étaient claires. Elle remit sous fourreau comme elle pouvait sous son ventre beaucoup trop encombrant et arracha son épée du sol pour la glisser à sa juste place avant de lui répondre.*

Je ne suis pas forcément contre... mais pas sans avoir certaines informations. Cette compagnie de chevalier sera de quel type, formée dans quel but ? Quant à cette partie... administrative, qu'entendez-vous par là Thomasson ?

*Elle haussa le sourcil en voyant qu'il tentait d'user de son charme sur elle. elle avait bien envie de lui crier un peine perdue mais elle se contenta de laisser glisser son regard de haut en bas comme sur un morceau de bidoche pour revenir fixer ses prunelles dans les siennes avec un air de "tu crois vraiment qu'ça m'intéresse ?".*

Avant de m'embarquer dans cette aventure, quoiqu'il arrive, j'en parlerai également à ma moitié, ça va sans dire ! Mais pour ça, il me faudra tous les éléments entre les mains... et j'ai bien dit les mains et pas les cuisses gaillard, alors pas la peine d'essayer le charme si tu n'veux pas te retrouver à demi mort quelque part... et encore, à demi, c'est si mon Danois est de bonne humeur !

*Elle sourit en coin avant de se retourner vers la rousse et glisser son bras sous le sien pour lui parler de façon beaucoup plus directe et avec bien moins de mots que la pipelette qu'elle était n'en avait l'habitude.*

Chevalier ? Pour faire quoi ?

*Puis, posant sa main sur le haut du buste de Cammye*

Thu* apprendre français.

*Reprenant sa main pour la poser sur son propre buste.*

Mi** apprendre Gàidhlig***.

*Elle laissa quelques secondes s'écouler en regardant la rousse.*

D'accord ?

* Toi
** Moi
*** gaélique

_________________
--Thomasson
C'était une femme mordante, qui avait de sacré crocs et de belle griffes, aaaaah, ça m'en à coller un frisson de plaisir le long du dos !
Je sens que je vais aimé ce petit coin de pays finalement, surtout si on y croise de tel femmes ! Mais non, en aucun cas je ne m'écarterais de la première et éternelle beauté que j'ai croisé,ma cher, ma douce, ma belle, ma sauve, Cammye ! Aucune autres femmes ne saura lui arriver à la cheville de ce côté là.
Mais il n'était pas désagréable de rencontrer d'autres femmes qui avait du mordant.
Je dévoilais toutes mes dents dans un large sourire en écoutant les commentaires de cette Enigma, elle souhaitait en savoir plus, et tant mieux, mais ce ne serait pas dans un tel lieu qu'il lui dévoilerait leur projet plutôt ambitieux.


Dans ce cas, si vous connaissez un lieu, comme un auberge accueillante, ou une taverne, nous pourrions discuter autour d'une délicieuse boisson, et ainsi nous, enfin du moins, je vous exposerais notre projet de chevaliers.

Un lieu moins découvert, public certes, mais plus discret aux oreilles curieuses.
Mais déjà je vis déjà la femme prendre Cammye par le bras, ce qui était bon signe dans cette démarche de trouver une aide certaine.
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